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Notre patrimoine - Page 73

  • Le canton de Vic-sur-Seille

    vic sur seille.jpgCe numéro de la collection Images du Patrimoine est le fruit de l'étude d'inventaire général du canton de Vic-sur-Seille (Moselle), menée entre 2000 et 2008. Alliant études de terrain et recherches en archives, l'ouvrage s'attache à la présentation et à la description du patrimoine architectural et du mobilier, de l'Antiquité aux années 1960.

    Ce territoire, d'une grande variété voit se côtoyer des vestiges les plus divers allant de l'exploitation du sel, pratiquée depuis l'âge du Bronze, à l'architecture urbaine en passant par les signes de la puissance temporelle des évêques de Metz (fortifications et édifices religieux majeurs) et maints témoignages plus modestes de l'activité agricole et de son évolution entre le XVIIIe et le XXe siècle.

    C'est donc un visage varié qu'offre ce territoire, dont le caractère doit une part de ses contrastes à son histoire riche en rebonds.

     

    ‡ Le canton de Vic-sur-Seille. Entre Seille et Sânon, collectif, Somogy éditions d'art, 2011, 160 p., ill. (30 €).

  • Saône vosgienne : les Journées du Patrimoine se préparent

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    [Vosges Matin]

  • Soulosse-sous-Saint-Elophe : réunion de travail de Maisons Paysannes de Lorraine

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    [Vosges Matin]

  • Monthureux-sur-Saône : inauguration du Musée du Patrimoine local

    lorraine,vosges,monthureux sur saone,musée,patrimoine,marie madeleine boulianCe samedi 2 juillet, le petit monde de la culture de la Saône Lorraine inaugurait le nouveau musée du Patrimoine local installé dans l'ancien presbytère.

    Marie-Madeleine Boulian, la cheville ouvrière de cette opération, guidait ses invités dans les salles rénovées de l'ancien presbytère reconstruit par la famille du curé Gantois au début des années 1730. Ce conservatoire du patrimoine local rassemble tous les objets de la vie quotidienne et des métiers de nos ancêtres. Les collections sont sympathiquement mise en valeur dans les vastes pièces de l'ancienne demeure curiale, en particulier la reconstitution d'une chambre à coucher avec le nécessaire de toilette... et son vase de nuit !

    Le musée du Patrimoine local de Monthureux fut fondé dans les années 1970 avec le soutien du docteur Cayotte, alors maire de la localité et conseiller général, de Serge Beltrame, alors maire de Contrexéville et député des Vosges, des époux Michel, actifs animateurs de l'association Saône Lorraine, de M. Poirier, un monthurolais attaché à la sauvegarde du patrimoine de nos aïeux, ainsi que de nombreux donateurs du secteur. Le musée était alors installé dans le lavoir de la rue des Halles. Mais ce local était devenu trop exigu et, surtout, était régulièrement envahi par les caprices de la Saône toute proche...

    "Pour bâtir l'avenir, les générations doivent s'appuyer sur leur passé" rappelait Marie-Madeleine Boulian. Les animateurs du musée local se font fort d'appliquer ce principe de vie en poursuivant l'aménagement des salles d'exposition dont les vitrines proviennent du musée départemental d'Epinal.

    Une nouvelle vie désormais pour le vieux presbytère... Même si l'on peut regretter qu'il ne réponde plus à son usage premier : celui d'accueillir le curé de la paroisse.

    Quelques images de l'inauguration...

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    [clichés © H&PB]

  • Bleurville : vif succès de la marche populaire

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : entre Barrois mouvant et Lorraine, un village à la riche histoire

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    [Vosges Matin]

  • Des visites insolites au Pays d'Epinal Coeur des Vosges

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    [Vosges Matin]

    ‡ Découvrez le site des Merveilleuses & Insolites du Pays d'Epinal Coeur des Vosges : http://www.lesmerveilleusesetinsolites.com

    ‡ Découvrez la brochures des visites estivales proposées par le Pays d'Epinal Coeur des Vosges : Merveilleuses et Insolites_été 2011.pdf

  • Robécourt (Vosges) : animations autour de la fonderie de cloches

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    (Vosges Matin]

  • Monthureux-sur-Saône (Vosges) : le musée du patrimoine local dans l'ancien presbytère

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    [Vosges Matin]

  • Samedi 2 juillet 2011 : La Nuit des églises

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    ‡ Plus d'infos sur www.narthex.fr

  • A la découverte du monastère de Godoncourt (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • Ville-sur-Illon (Vosges) : l'histoire de la brasserie

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : La Fondation du Patrimoine au chevet de l'église Sainte-Thérèse

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    [Est Républicain]

  • L'Hôtel des Postes de Metz : 100 ans d'histoire

    metz.jpgLa présence de la Poste à Metz remonte à l'Antiquité et elle s'est considérablement développée au fil des siècles au gré des innovations qui ont marqué l'acheminement et la distribution du courrier.

    A la fin du XIXe siècle, l'accroissement considérable du trafic postal rend le bâtiment de la Poste principale inadapté. Un édifice fonctionnel, aux allures de forteresse est alors construit par l'administation de la Poste allemande au coeur du quartier impérial, dans le cadre du projet d'extension de la ville.

    Lorsque l'Hôtel des Postes de Metz ouvre ses portes en 1911, il accueille à la fois les services postaux, télégraphiques et téléphoniques. Un siècle s'est écoulé depuis cette époque durant laquelle il a été le témoin de son temps.

    Cet sympathique petit ouvrage invite le lecteur à partir à la découverte de l'histoire de ce vaste bâtiment au travers des principaux événements qui l'ont marquée. Et qui ont marqué Metz également.

     

    ‡ L'Hôtel des Postes de Metz. 100 ans d'histoire, Maryline Simler, éditions du Républicain Lorrain, collection Les Patrimoines, 2011, 51 p., ill. (7,90 €).

  • L'Echo des Trois Provinces : spécial tourisme été 2011

    La livraison estivale du magazine des Trois Provinces, L'Echo des Trois Provinces, est parue.

    echo 3 provinces.jpgLes habitants des confins des Vosges, de la Haute-Marne et de la Haute-Saône - et tous les amoureux de ce pays - y trouveront le programme des visites programmées et organisées par l'Association de l'ADP3P dans les villages et bourgs de ce secteur rural situé entre Lorraine, Champagne et Franche-Comté.

    Outre ce riche programme, le sommaire offre une diversité d'articles qui nous font découvrir l'histoire locale : la chronique de Dora, le château de Bougey (Haute-Saône), Laneuvelle, des ancêtres bleurvillois de Frédéric Chopin, Bourbonne-les-Bains : notre terroir mérite le voyage, l'exposition Alphonse-Xavier Monchablon au musée de Hennezel-Clairey, l'eau à Selle (Haute-Saône), le Journal de Pierre Légaré, un grand sculpteur à Chauvirey-le-Châtel, histoire de la cuisine... Et les info's des associations locales.

     

    ‡ Les numéros de L'Echo des Trois Provinces peuvent être commandés à : evelyne.relion@orange.fr

  • Bleurville : "Faïence et faïenceries en Lorraine" s'exposent à l'abbaye Saint-Maur

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  • Poussay (Vosges) : découverte d'un tronçon de voie romaine

    voie romaine poussay.jpgDébut juin, à l'occasion de l'aménagement d'un supermarché sur la commune de Poussay (Vosges, commune limitrophe de Mirecourt), un sondage de l'INRAP a mis au jour un tronçon de voie romaine proche le ruisseau du Val d'Aro qui se jette dans le Madon tout proche.

    L'équipe d'archéologues bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville a été mise à contribution sur ce chantier. Ces fouilles contribuent à préciser la carte des voies romaines relevées dans l'actuel département des Vosges.

    Tous nos remerciements à Gilbert Salvini, du Cercles d'études locales de Contrexéville, pour la communication des informations sur cette découverte.

    ‡ Pour en savoir plus, consulter le document ici : voie romaine_poussay.pdf

  • Saône Lorraine : mise en valeur de la vallée de l'Ourche

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    [Vosges Matin]

  • Cornimont : la Vierge à l'Enfant fête ses 300 ans

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    [Vosges Matin]

  • La route des "chalots" est ouverte

    Après plusieurs années de travaux, la route des "chalots" a été inaugurée mi-mai à Fougerolles (70), son point de départ. Un beau circuit de 120 km dans les Vosges saônoises sur les traces des "coffres-forts" de nos ancêtres.

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    [Vosges Matin]

  • Le sarcophage de l'abbesse de Remiremont

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    [Vosges Matin]

  • Les chantiers REMPART en Lorraine

    L'Union régionale REMPART oeuvre pour la sauvegarde du patrimoine lorrain à travers des chantiers jeunes internationaux. Ou comment vivre des vacances utiles et riches en rencontres.

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    [L'Est Républicain]

  • La statuaire johannique

    statuaire johannique.jpgAprès avoir abordé dans un premier tome l'histoire de la statuaire johannique du XVIe au XXe siècle, Bernard Mugnier se propose, dans le second tome, de dresser un inventaire le plus complet possible des sculpteurs et fondeurs français qui réalisèrent, surtout au XIXe et XXe siècles, la multitude de représentations de Jeanne d'Arc qui ornent encore aujourd'hui églises, chapelles ou autres édifices publics.

    Si chaque village et bourg de France possède sa statue de Jehanne, il n'en reste pas moins que ces réalisations correspondent à des modèles issus de créations originales dues à de nombreux artistes. L'auteur a ainsi recensé cinquante-deux sculpteurs dûment identifiés et plusieurs modèles dont les créateurs ne sont pas officiellement connus mais sortis d'ateliers industriels.

    Bernard Mugnier évoque l'histoire de plusieurs fabriques industrielles, dont une grande fonderie lorraine qui fabriqua une quantité impressionnante de statues de Jeanne : la Maison Pierson (ou "Institut catholique") de Vaucouleurs.

    Son imposant ouvrage se clôt par un chapitre consacré à la restauration des statues johanniques avec un exemple lorrain : celui de la redécouverte récente des statues de Jeanne d'Arc et de Jean de Dieulouard, dont la restauration a été initiée par l'association des Amis du Vieux-Pays de Dieulouard.

    Le livre est complété par l'inventaire (non exhaustif) des oeuvres traditionnelles et des fabrications industrielles d'oeuvres johanniques.

    Un excellent ouvrage que tous les amoureux de notre Jeannette, "la Bonne Lorraine", se doivent de posséder !

     

    ‡ La statuaire johannique, tome II, Bernard Mugnier, chez l'auteur, 2011, 500 p., ill., préface de Marcel Cordier (50 €).

  • Château de Lunéville : les travaux continuent

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    [Vivre la Meurthe-et-Moselle, n° 51]

  • Claude Gellée dit "le Lorrain", le dessinateur face à la nature

    claude gellée.jpgLa vision sereine et intensément poétique qu'avait le Lorrain Claude Gellée (Chamagne 1604 - Rome 1682) du paysage classique a fixé une norme pour les générations à venir de peintres et de dessinateurs.

    Mieux que tout autre artiste, le Lorrain savait allier la grandeur idéale d'un monde antique, rêvé, avec les impressions d'une nature réelle et expérimentée. On connaît aussi Claude Gellée pour ses savants effets de lumière, précurseur des toiles de Turner et des impressionnistes.

    De son vivant, l'artiste jouissait d'une immense reconnaissance qui lui a valu les commandes de personnages les plus influents de son temps : le pape Urbain VIII (le Lorrain vivait alors à Rome), Philippe IV d'Espagne, ainsi que de nombreux cardinaux et riches collectionneurs.

    L'ouvrage, avec une iconographie magnifiquement mise en valeur, examine Claude le Lorrain en tant que paysagiste et rassemble plusieurs collections prestigieuse dont celles du Louvre et du musée Teyler de Harleem.

    Nous avons là, à n'en pas douter, un remarquable catalogue de l'oeuvre dessinée de Claude Le Lorrain qui est présentée au musée du Louvre jusqu'au 18 juillet 2011.

     

    ‡ Claude Gellée, dit le Lorrain. Le dessinateur face à la nature, Carel van Tuyll van Serooskerken et Michiel C. Plomp, Somogy éditions d'art, 2011, 312 p., ill. (29 €).

  • La Nouvelle revue lorraine : il faut sauver la basilique de Domrémy

    Le numéro 8 de La Nouvelle revue lorraine est paru. Comme à l'accoutumée, le sommaire est riche de nombreux articles sur l'histoire de la Lorraine et la vie des Lorrains de tous les temps.

    nrl8.jpgDans ce numéro printanier, le lecteur lira un appel pour le sauvetage de la basilique du Bois-Chenu de Domrémy. En effet, l'édifice nécessite des travaux d'urgence : la toiture, en particulier, est en mauvais état et met en péril la structure du bâtiment.

    La visite dans les couloirs de l'histoire de la Lorraine se poursuit notamment avec les histoires méconnues de l'abbaye de Haute-Seille, la pêche au saumon à Metz, un atelier méconnu de menuisiers à Benney, le temps du paternalisme à Thaon-les-Vosges, la Vosgienne une vache qui revient de loin, le portrait d'un curé de paroisse, la tragédie de la vallée de Celles durant la Grande Guerre, des souvenirs de patronage, la découverte d'un artiste talentueux Edmond Kempf, une visite à Mousson haut lieu du duché de Bar... Et de nombreuses anecdotes et les rubriques habituelles (les info's lorraines, les livres).

     

    La Nouvelle revue lorraine est en vente en librairie (6,50 € le numéro) ou par abonnement (36 € pour 6 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny, le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Hennezel : Alphonse Monchablon aux cimaises du musée

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    [Vosges Matin]

  • Les frères Mougin, sorciers du grand feu

    frères mougin.jpgC'est une rencontre exceptionnelle que celle de ces Lorrains qui parlent au feu. L'auteur, Jacques G. Peiffer, qui a lui aussi construit ses fours à Longwy, décrit le chemin de la terrible aventure des frères Mougin qui, de Paris à Nancy et Lunéville, ont scellé l'une des plus grandes pages de la céramique française.

    Il situe la naissance de leur oeuvre entre l'atelier de sculpture de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris et la manufacture de Sèvres. Joseph et Pierre Mougin s'opposaient à l'intellectualisme dans l'art et considéraient l'émotion primitive telle une ascèse.

    L'auteur campe le portrait d'un Joseph Mougin ténébreux, rebelle à l'industrialisation et réfractaire à la scission entre art majeur et artisanat, s'opposant même à Victor Prouvé sur ce point. Mais surtout, il s'attache à évoquer la longue expérience qui guida les deux céramistes du naturalisme de l'Art Nouveau vers la beauté profonde de leurs dernières oeuvres abstraites, hymnes flamboyants au grès et à l'émail.

    L'aventure de l'atelier Mougin est une page épique de l'histoire de l'art en Lorraine.

     

    ‡ Les frères Mougin, sorciers du grand feu. Grès et porcelaine 1898 - 1950, Jacques G. Peiffer, éditions Faton, 2011, 240 p., ill. (75 €).

  • Nancy : les armes de France sur le bastion Saint-Thiébaut

    Le projet d'aménagement du futur centre des congrès de Nancy sur le périmètre de l'ancien centre de tri postal se positionne à l'emplacement d'éléments du front bastionné des XVIe-XVIIe siècles protégeant le sud-ouest de la Vieille-Ville de Nancy, de constructions du XVIIIe siècle et de l'étang Saint-Jean. Depuis septembre 2010, l'Inrap intervient dans le cadre d'un suivi des travaux.

    bastion st thiebaut.jpgL'étang Saint-Jean, vaste pièce d'eau, attesté dès le XIIe siècle, a marqué la topographie du secteur jusqu'à son comblement lors de la construction de la ligne de chemin de fer en 1856. Les travaux s'étendent aussi sur l'emprise du bastion Saint-Thiébaut, élément fortifié faisant avant-corps sur l'enceinte construite à partir de la fin du XVIe siècle et qui défend les Ville-Vieille et Ville-Neuve de Nancy au cours du XVIIe siècle. La démolition des fortifications, imposée en 1698 par le traité de Ryswick, met un terme à la vocation militaire de cette zone, mais le tracé du bastion reste inscrit dans le parcellaire jusqu'au XXe siècle.

    La démilitarisation de l'enceinte en 1698 implique le comblement du fossé défensif. Il semble que des pans entiers des élévations du bastion ont été renversés afin de constituer un mur de barrage afin de condamner l'alimentation en eau provenant de l'étang Saint-Jean. Parmi ces éléments de remblais, une imposante partie de la pointe a basculé dans l'étang.

    Fouilles bastion st-thiébaut nancy 2011 008.jpgLe parement en briques de la pointe du bastion comporte une chaîne d'angle maçonné en pierre de taille dans laquelle a été inséré un blason sculpté. Composé d'un assemblage de bloc, il figure un globe décoré de trois fleurs de lys surmonté d'une couronne et flanqué de fûts de canons, étendards, trompe et hausse-col. Ce blason aux armes du roi de France marque probablement la prise de la ville par les Français en 1633, au début de la guerre de Trente Ans.

     

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    [clichés © H&PB]