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Notre patrimoine - Page 77

  • Lignéville (Vosges) : une association pour la chapelle Saint-Basle

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  • Vers la renaissance du château d’Hombourg-Budange (Moselle) ?

    C'est l'un des plus surprenants châteaux de Lorraine, un incontournable dans l'histoire de l'architecture de notre région. Hombourg-Budange agite les esprits depuis plusieurs années mais surtout depuis 2010...

    château hombourg.jpgCe château, laissé à l'abandon depuis des décennies, a atteint un état de dégradation très inquiétant. A la suite d’une campagne médiatique et, surtout, d’une pétition pour sauver le château d'Hombourg-Budange qui a recueilli plus de 800 signatures, il semblerait que ce site sorte enfin de l’oubli dans lequel il était tombé.

    Arthur de Mortemart, de la famille du propriétaire, reprend en main l'intégralité du château avec, à la clé, une restauration totale de l'édifice. Des travaux d'urgence vont démarrer et s'accélérer d'ici le printemps 2011 pour stopper la dégradation de l'édifice. Ensuite, il conviendra de songer à la restauration à proprement parlé. Si le sauvetage immédiat a pu trouver des aides auprès des collectivités locales, nul doute que ce projet d'envergure de restauration totale à long terme devra faire appel au mécénat.

    Rappelons que le château d’Hombourg-Budange est un ancien château-fort du 13ème siècle. Il sera reconstruit à la Renaissance comme en témoignent encore trois de ses quatre ailes ou encore les fenêtres à meneaux présentes sur les parties communes et sur le château. Une magnifique aile classique est venue compléter l'ensemble au 18ème siècle avec un beau fronton qui la surplombe pour en devenir la façade principale. On constate aussi quelques modifications au XIXème siècle. L'édifice est classé Monument Historique en grande partie.

    En espérant que ce site patrimonial compte dans le patrimoine lorrain dans les années à venir.

     

    [source et cliché : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com]

  • Bilan 2010 et projets 2011 avec l'association Saône Lorraine

    choeur et clocher de l'église.JPG

    Eglise Notre-Dame des Anges du couvent des Cordeliers des Thons (Vosges), propriété de Saône Lorraine.

     

    Vous voulez en savoir plus sur le bilan et les projets de Saône Lorraine ? Lisez la lettre aux adhérents ci-après :

    lettre_nov-10.pdf

  • "L'Annonciation" du Caravage

    annonciation.jpgUn ange descend du ciel en un éclair, le visage caché. Dans son mouvement tendu, il domine une Vierge Marie plus soumise que surprise. La lumière, fondée sur des contrastes violents, se substitue à l'anatomie pour rendre compte du volume et de la densité du corps. Le bras de l'ange Gabriel dirigé vers la Vierge, la main qui se relève, l'index tendu vers le mobilier modeste de la chambre : voici le moment capital où Marie accepte le mystère divin qui s'accomplit en elle. Cet art du raccourci, conforme aux prescriptions d'une époque qui préfère le réalisme des images sacrées aux allégories obscures, est prodigué par le plus révolutionnaire des créateurs artistiques en ce tout début du XVIIe siècle : Michelangelo Merisi da Caravaggio.

    Commandé du vivant du Caravage par Henri II, duc de Lorraine, le chef-d'oeuvre n'a jamais quitté Nancy depuis sa réalisation, en 1608. Transposé au XIXe siècle sur une nouvelle toile, ce tableau fragile, de 2,05 m sur 1,85 m, a bénéficié de plusieurs campagnes de restauration, dont la dernière en date, en 1910, menée conjointement par les équipes de l'Instituto Superiore per la Conservazione ed il Restauro de Rome et du Centre de recherche et de restauration des musées de France.

    Le catalogue, édité à l'occasion de l'exposition de l'Annonciation du Caravage au Musée des Beaux-Arts de Nancy, croise les investigations de la nouvelle imagerie scientifique menées par les restaurateurs et le regard des historiens. Il met à l'honneur une oeuvre picturale restaurée et permet d'approfondir la connaissance de l'extraordinaire maître lombard et son empreinte laissée en Lorraine.

     

    >> L'Annonciation du Caravage. La restauration d'un chef-d'oeuvre du musée des beaux-arts de Nancy, Claire Stoullig (sous la dir.), éditions Kubik, 2010, 95 p., ill. (19,90 €).

  • Randonnée entre Saône et Vôge

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    [Est Républicain | 21.11.10]

  • Au musée Lorrain de Nancy : "De l'arbre à l'armoire lorraine"

    Le travail du bois est un domaine dans lequel la Lorraine s'est illustrée durant toute son histoire. Aussi le Musée Lorrain et les Musées de Metz Métropole - La Cour d'Or se sont-ils associés pour organiser l'exposition "De l'arbre à l'armoire, l'âge d'or du mobilier lorrain" qui ouvre au public à partir d'aujourd'hui 27 novembre.

    coffre lorrain.jpgL'événement met à l'honneur le mobilier traditionnel lorrain sous tous ses aspects : matériaux, techniques, formes et décors, héritages et traductions contemporaines. Conçue sur une base commune, l'exposition "De l'arbre à l'armoire lorraine" fait l'objet de déclinaisons propres à chacun des musées. A Nancy est d'abord présenté le mobilier de l'ensemble du territoire lorrain, puis, en 2011, s'ajoutera à Metz un volet mettant plus particulièrement l'accent sur les meubles mosellans.

    A Nancy, l'exposition vise à replacer le mobilier dans son contexte historique et humain. Elle s'y organise en deux parties. Au couvent des Cordeliers sont exposés les aspects techniques de la filière bois régionale : l'exploitation de la forêt, les caractéristiques des différentes essences d'arbres utilisées, la fabrication des meubles via la reconstitution d'un atelier de menuisier, et les procédés d'assemblages en bois.

    armoire lorraine.jpgLa galerie des Cerfs du palais ducal abordera le thème de la grande diversité des meubles lorrains du milieu du 18ème siècle au milieu du 19ème siècle. Le visiteur peut y admirer des meubles "précurseurs" de la fin du 17ème siècle, puis le mobilier régional à proprement dit au travers des exemples de la chaise lorraine et du vaisselier, tous deux emblématiques de la production locale. Suivent une séquence sur la variété des coffres produits, dont ceux en sapin peint, caractéristiques de la montagne vosgienne, ainsi que la présentation de lits et berceaux d'enfants. Enfin, plusieurs exemples d'armoires montrent les différences de styles existants selon le lieu de fabrication : meubles marquetés, sculptés et moulurés.

    Comme l'histoire du mobilier lorrain ne s'arrête pas au 19ème siècle, l'exposition débouche finalement sur le 20ème par l'évocation de l'Ecole de Nancy et les arts décoratifs.

     

    >> Exposition "De l'arbre à l'armoire lorraine, l'âge d'or du mobilier lorrain", Musée Lorrain, palais ducal, 64 en Grande Rue à Nancy, du 27 novembre 2010 au 27 mars 2011.

  • Neufchâteau (Vosges) : le patrimoine sous le regard de Vieilles Maisons Françaises

    neufchâteau.jpg

    [Vosges Matin]

  • Bilan positif à l'ancienne fonderie de cloches de Robécourt

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    [L'Abeille | 29.10.2010]

  • Une souscription pour la restauration du couvent des Cordeliers des Thons (Vosges)

    couvent thons.jpgUne convention a été signée entre l’association Saône Lorraine et Vieilles Maisons Françaises pour la restauration de l’église Notre-Dame des Anges du couvent des Cordeliers des Thons ainsi que la partie de l’ancienne maison franciscaine propriété de l’association patrimoniale.

    La première tranche des travaux commencera début 2011.

    Rappelons que cette maison religieuse a été fondée en 1451 par Guillaume de Saint-Loup et Jeanne de Choiseul, aux confins du diocèse de Besançon. L’église a été classée Monument Historique en 1980 grâce à l’action de Jean-François et Marie-Françoise Michel, fondateurs de Saône Lorraine.

    La Fondation du Patrimoine lancera également dans les mois prochains une souscription en faveur du couvent des Thons.

    [cliché http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com]

    cordeliers thons.jpg

     [Vosges Matin | 12.10.2010]

     

    >> Les dons, déductibles fiscalement, sont à adresser à la Fondation VMF, 93 rue de l'Université, 75007 PARIS. Merci de préciser « Don fléché pour le couvent des Thons ».

  • Nancy : la résurrection de "L'Annonciation" du Caravage

    Ce Caravage est un illustre inconnu, dans tous les sens du terme. « Plus de 95 % de nos visiteurs ignorent tout de son existence dans nos murs ». Un anonymat inexplicable lorsqu’on connaît la réputation aussi brillante que sulfureuse de ce génie de la peinture italienne. Le retour de « L’Annonciation » dans les murs du musée des Beaux-Arts à Nancy servira peut-être, enfin, à sa révélation.

    annonciation.jpg« En tout cas, qu’on ne me dise pas que c’est un Caravage vite fait », tempête le conservateur Claire Stoulig. Et de désigner cette lumière posée sur l’ange, la liberté des drapés, de la nuée, la grande audace qu’il y avait à l’époque à ne pas montrer le visage de Gabriel...

    « La France ne possède que cinq tableaux de ce grand maître du clair-obscur, dont trois se trouvent au Louvre. Or celui de Nancy est le seul à avoir été réclamé par Rome pour la grande exposition du printemps dernier pour les 400 ans de la mort du peintre ».

    Le désir de Rome était si pressant qu’elle a consenti à se charger de la restauration intégrale de la toile. Une superbe opération pour le musée lorrain. Car l’œuvre a souffert plus souvent qu’à son tour. D’ailleurs les dégradations ont beaucoup joué contre sa réputation, « comme si on avait des scrupules à la montrer dans cet état...». Alors qu’elle est là depuis plus de 400 ans déjà.

    En fait, « L’Annonciation » est passée directement du pinceau du peintre aux cimaises nancéiennes. Sur une commande du duc Henri II. Saisi à la Révolution, il est entré au musée des Beaux-Arts tout juste naissant. Dans la discrétion la plus complète.

    « D’emblée un mystère », remarque Claire Stoulig. « On ignore la date exacte de sa réalisation, probablement autour de 1608, on n’a de témoignage de sa présence que cinquante ans plus tard. Et dans un premier temps, on l’a attribué... à Michel-Ange ». Puis à Guido Reni ! Ce n’est qu’en 1952 qu’il a été authentifié comme étant du pinceau du Caravage.

    Presque 60 ans plus tard, on fait de son retour, après restauration, enfin un événement à la mesure du chef-d'œuvre. La restauration s’est essentiellement concentrée sur un nettoyage d’une extrême minutie. Pour faire toute la lumière sur ce cas d’espèce.

    La révélation 2010, c’est la flagrance du vert des rideaux, du rouge de l’édredon quand on ne voyait autrefois qu’obscurité. La main de l’ange apparaît qui tient le lys, la nuée sous ses pieds révèle toute sa complexité. Autant de détails mis en valeur dans un accrochage théâtralisé avec abondance d’informations, sur l’œuvre et les diverses techniques de restauration. Une pièce entière lui est consacrée. L’Annonciation trône, enfin. Plus claire qu’obscure !

     

    >> L'exposition-dossier autour du tableau L'Annonciation est visible au Musée des Beaux-Arts de Nancy jusqu'au 3 janvier 2011.

  • Neufchâteau (Vosges) : découvertes archéologiques au couvent des Cordeliers

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    [Vosges Matin]

  • Des médiévistes au chevet de la commanderie de Xugney (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • La fonderie de cloches de Robécourt (Vosges)

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    [L'Abeille de Neufchâteau, sept. 2010]

  • Lunéville : le château de Charles-Alexandre de Lorraine en péril

    Toujours en Lorraine, autre château en péril avec celui de Hombourg-Budange. A proximité du château du duc Léopold de Lunéville, au sein d'une ancienne partie de son parc, le petit château du prince Charles-Alexandre de Lorraine émerge. Mais pour combien de temps encore ?

    chateau charles-alexandre lunéville.jpgDouzième fils du duc de Lorraine Léopold, mécène qui fit construire le château désormais en voie de restauration, Charles-Alexandre eu droit au même architecte, Boffrand, pour réaliser ce petit havre de paix.

    De style classique à l'origine, il fut construit entre 1730 et 1735 puis remanié probablement au cours du XIXème et au début du XXème siècle.

    Si son histoire n'est pas aussi fastueuse que celle de son illustre voisin, sa présence et son élégance contribuent à la cohérence du domaine du château et à l'histoire de Lunéville.

    Il est donc fort regrettable qu’il soit dans un état de dégradation alarmant tant au niveau des toitures que de certains murs porteurs. Si l'on ne veut pas perdre ce petit trésor d’architecture et d’histoire, il est impératif de le remettre en état ; il pourrait alors bénéficier de la proximité du château lunévillois de Léopold, phare de la culture dans l’est meurthe-et-mosellan.

    Il reste à espérer… Mais pas trop longtemps, car le château risque de disparaître corps et bien si rien n’est entrepris rapidement.

    [cliché du château du prince Charles-Alexandre de Lorraine, Anthony Koenig]

     

     

    >> Plus d’infos sur l'incontournable site dédié à la défense et à la promotion du patrimoine architectural lorrain : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com/2009/01/chteau-classique-du-prince-charles.html

  • Le Haut-de-Salin, carrefour de voies romaines

    Nos "Indiana Jones" de l'Ouest vosgien sont repartis à la recherche des traces de voies romaines au Haut-de-Salins, entre Marey et Dombrot-le-Sec.

    En réalité, il s'agit des archéologues bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville qui ont relevé les indices d'un pavage mis au jour par le passage du bétail dans une pâture.

    Le secteur a restitué de nombreux artéfacts confirmant la présence d'un établissement rural gallo-romain, repéré en 2009, situé à proximité du carrefour des voies Corre-Soulosse et Langres-Strasbourg.

    Le lieu-dit "Haut-de-Salin" conserve le souvenir d'un magasin à sel situé sur une voie "à grande circulation" à l'époque romaine et au Moyen-Âge.

    Ci-desous quelques objets découverts dans la zone prospectée :

    découvertes haut de salin.jpg

    [cliché : courtoisie du Cercle d'études locales de Contrexéville]

     

  • Contrexéville : les Journées du Patrimoine avec le Cercle d'études locales

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  • Lunéville : le 16 septembre réception de la chapelle restaurée

    Le 16 septembre, le Conseil général de Meurthe-et-Moselle réceptionnera les travaux de restauration de la chapelle du château de Lunéville, détruite par l'incendie du 2 janvier 2003.

    chapelle lunéville.jpgLa cérémonie sera placée sous le haut patronage du Ministre de la Culture et de SAIR Otto de Habsbourg-Lorraine. Un hommage sera rendu tout particulièrement aux compagnons et aux ouvriers ayant oeuvré sur le site.

    Au programme : concert du Gradus Ad Musicam, déroulé de calicots sur les colonnes du corps central du château, spectacles et concert proposés par Michtô l'châtô, bal animé par Prematia Orchestra, mise en lumière du jardin et du château.

    On peut regretter qu'aucun office religieux ne soit célébré dans cette chapelle restaurée à l'occasion de cette réception. Cet édifice catholique, voulu par nos ducs de Lorraine, aurait bien mérité une messe... pour célébrer sa resurrection.

  • Il faut sauver le château de Hombourg-Budange

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    [Le Républicain lorrain | 02.09.10]

  • Nancy : la porte Stanislas restaurée

    Après un an de travaux, la porte Stanislas, située dans le prolongement de la place éponyme et faisant pendant à la porte Sainte-Catherine, est complètement restaurée. Outre le remplacement de parements et la réfection des statues et décors, des travaux d'étanchéité et de mise en lumière ont été réalisés.

    Son histoire :

    nancy_porte_stanislas.jpg

    Le résultat des travaux de restauration :

    porte stanislas août 2010 002.jpg

    Porte Stanislas, côté 'campagne' (cliché H&PB)

  • La Meurthe-et-Moselle a sa délégation Maisons Paysannes de France

    porte lunévillois.jpgAssociation pilier de la défense du patrimoine en France depuis plus de 40 ans, Maisons Paysannes de France s'est donnée pour objectif de sauver et de valoriser le patrimoine rural français et notamment le bâti de nos villages, essentiellement composé d'anciennes fermes, de maisons paysannes.

    Patrimoine méconnu, rarement protégé et plus que jamais menacé, le patrimoine rural est pourtant le tissu de nos villages et valoriser une église ne prend son sens que lorsque l'ensemble du village est restauré dans le respect du bâti.

    En Meurthe-et-Moselle le bâti des villages est soumis aussi bien à la pression immobilière qu'à la rénovation souvent hasardeuse qui détruit peu à peu l'harmonie et le caractère particulier de nos villages. Il s'agit pourtant là d'un héritage culturel important qui doit aussi trouver sa destination dans la métamorphose de l'image de la Lorraine et dans la promotion touristique de la Meurthe-et-Moselle.

    Organisée en délégation départementale, Maisons Paysannes de France n'avait jusqu'alors pas de délégation en Meurthe-et-Moselle, cas unique en Lorraine et rare en France. Cela est désormais réparé puisque la délégation se met progressivement en place avec Anthony Koenig comme correspondant local.

    Que vous habitiez en Meurthe-et-Moselle ou ailleurs, Anthony Koenig vous invite à rejoindre Maisons Paysannes de France : il s'agit de faire davantage connaître l’association en élargissant le nombre d'adhérents en Meurthe-et-Moselle - mais aussi dans toute la Lorraine -, en faisant connaître et comprendre le bâti de nos villages, en donnant des conseils sur les restaurations à pratiquer, en communiquant dans la presse et auprès des élus ou en organisant des visites découverte de villages.

     

    >> Pour tout savoir sur Maisons Paysannes de France : http://www.maisons-paysannes.org

    >> Pour tout savoir sur Maisons Paysannes en Meurthe-et-Moselle :

    http://www.maisons-paysannes.org/delegations/delegation-54.-meurthe-et-moselle.html

    >> Pour contacter le correspondant Meurthe-et-Moselle : anthonykoenig2008@gmail.com ou anthonykoenig@hotmail.fr

  • "Vosges, terre de livres" aux Archives départementales à Epinal

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    >> Plus d'infos sur http://www.vosges-archives.com