La vie en Lorraine - Page 37
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15ème Journées d'études vosgiennes à La Bresse du 24 au 27 octobre 2013
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Mgr Lagleize, nouvel évêque de Metz
Monseigneur Jean-Christophe Lagleize, jusqu'alors évêque de Valence (Drôme), a été nommé le 25 septembre évêque de Metz par décret du Président de la République, l'évêché de Metz étant sous régime concordataire.
Il remplace Mgr Pierre Raffin, démissionnaire.
La bulle de Sa Sainteté le Pape François conférant l'institution canonique à Mgr Jean-Christophe Lagleize en qualité d'évêque de Metz date du 24 juin 2013.
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Des apparitions mariales en Lorraine
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Val-et-Châtillon : succès du concert grégorien
[ER]
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Remiremont (88) : "Jeux d'orgue ad libitum" à l'abbatiale Saint-Pierre le 29 septembre 2013
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Expo' "Le duché de Bar sous René II" à Bar-le-Duc
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Les Vosges préparent le centenaire de 14-18
Particulièrement touchés dès le début de la Première Guerre mondiale, les Vosges préparent les commémorations du centenaire en misant sur les particularités historiques.
Dans le paysage des commémorations de la Grande guerre qui va défiler à compter de l’année prochaine, les Vosges essayent de se frayer une place dans les premiers rangs. Loin derrière la Meuse, la Marne ou la Somme, le département a pourtant des arguments historiques à mettre en avant. Au premier rang desquelles la nécropole de la Fontenelle, où étaient présentées mercredi matin les premières manifestations départementales pour la commémoration. « C’est le seul site de combat en montagne sur le territoire français », précise Yann Trouillet, historien, responsable d’un bureau d’études en charge de l’aménagement des territoires de mémoire. Comblé dès 1919 et construite sur le site même des combats, le site a ensuite été laissé en l’état. Les terrains autour du monument, appartenant au ministère de la Défense, n’ont été dégagés que dernièrement : 300 à 400 m³ de bois ont été débardés pour laisser le passage vers les croix.
Cette préservation en fait « un lieu avec un des taux de muséalité à ciel ouvert les plus importants de France », souligne Yann Trouillet. Guerre de positions, guerre des mines, avec des galeries creusées à plus de 120 m sous terre, guerre des frontières ou épigraphies internationales (rares !) gravées dans la roche près du sentier de la Roche Mère Henry. Ce sont toutes ces spécificités que les élus, les associations et les communautés de communes (entre autres celle de la vallée de la Plaine et celle du Rabodeau) veulent mettre en avant à l’occasion de la kyrielle de cérémonies qui jalonneront les quatre prochaines années à compter de 2014. « Nous étions souvent oubliés des livres d’histoire », constate William Mathis, vice-président du Conseil général des Vosges. « Désormais grâce au travail des historiens locaux, les combats de 1914-1915 sont mieux connus. Nous voulons montrer que les Poilus morts ici ont la même valeur que ceux qui sont dans les sites nationaux. »
Un PER (pôle d’excellence régionale) baptisé « Tourisme de mémoire 14-18 » a été créé en 2008 en interdépendance entre le Conseil général des Vosges et son homologue du Haut-Rhin, pour permettre le financement, à hauteur de 2,5 millions d’euros, de projets mettant en valeur 11 sites remarquables de la Grande guerre sur la ligne de front. La mission centenaire nationale a des ramifications départementales, gérées par Christophe Salin, le sous-préfet de Saint-Dié. Et les Vosges préparent un dossier pour entrer au GIP (groupement d’intérêt public) qui rassemblera à terme 15 départements et mettra en place des actions complémentaires pour « valoriser des sites connus et reconnus. » Plusieurs projets sont en cours, notamment la création d’un sentier « de 1,2 km, à fond de tranchée », sur le site de la nécropole de la Fontenelle. D’autres pourraient aussi voir le jour, notamment un sur la route des crêtes, de l’Hartmannswillerkopf au col de la Chapelotte, et l’autre qui irait de la Roche Mère-Henry au monument Sartorio.
[d’après Vosges Matin]
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Commémoration de la bataille du Grand-Couronné
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Nancy : la chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine érigée pour la forme extraordinaire
Tympan de la chapelle Marie-Immaculée de Nancy [cliché ©H&PB].
Le bulletin officiel de L'Eglise catholique en Meurthe-et-Moselle du 11 septembre 2013 a publié le décret de Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul, qui érige canoniquement la chapellenie diocésaine Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine "pour la célébration des actes du culte sous la forme extraordinaire du rite romain" :
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Rentrée des unités Europa Scouts de Nancy
Les unités Europa Scouts nancéiennes lors de la rentrée 2012-2013 [cliché ©H&PB]
‡ Rentrée des troupes Europa Scouts de Nancy samedi 28 septembre à 14h30 au Tremblois (commune de Laneuvelotte, 11 km est de Nancy direction Sarreguemines).
Parents et jeunes, n'hésitez pas à venir découvrir les activités des scouts, guides, louveteaux et louvettes Europa Scouts auprès desquels est développée une pédagogie construite sur les valeurs éprouvées du scoutisme traditionnel et catholique.
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Ouest vosgien : zone équipée cherche investisseurs
Une grande opération séduction en guise d’inauguration. Tel était l’objectif du Conseil général des Vosges qui a réuni récemment sur le site des élus et quelques industriels pour présenter la zone.
« Moins on en dit, mieux c’est. » À en croire Damien Parmentier, directeur de Vosges développement, pour connaître le nom d’éventuels industriels prêts à investir sur la zone Cap Vosges Damblain, il faudra encore patienter. Ce n’était visiblement pas le moment des révélations. Mais celui de la présentation.
Une vaste opération de séduction devant les élus et quelques entrepreneurs (la plupart venant du secteur, hormis deux membres de l’ambassade de Chine à Paris), menée tambour battant par le président du Conseil général, Christian Poncelet qui a certes évoqué quelques pistes : « Deux grands ports maritimes en recherche de bases arrière logistiques, des logisticiens spécialisés cherchant une plateforme de stockage performante, des investisseurs immobiliers étrangers cherchant à réaliser une opération foncière ». Sans toutefois en dire plus mais en assurant que le Département voulait avoir le choix et que celui-ci serait très vigilant « à ce que le projet développe l’économie locale et créé des emplois. »
Bref, rien de concret donc. Si ce n’est « une zone terminée, qui fonctionne et qui est prête désormais à accueillir des entreprises. » « Aujourd’hui comme hier, je crois fermement au potentiel de Damblain, mais le chemin de la reprise économique est long… Personne n’y croyait, maintenant, c’est fait. Nous avons été audacieux, volontaires et nous sommes fiers de cette réalisation », a expliqué l’élu.
Avant de couper le ruban de rigueur et faire une petite démonstration des possibilités offertes par le réseau ferroviaire sur le site, c’est le « monsieur Damblain » du département, Olivier Ramond qui a pris le relais pour lister un à un les atouts de cette zone toute équipée « qui offre de multiples possibilités ». A un coût défiant toute concurrence : 5 euros le m². Avis aux investisseurs !
[d'après Vosges Matin]
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Le maquis de la Délivrance 1943-2013
Exposition visible aux Archives départementales des Vosges
4 avenue Pierre-Blanck à Epinal
du lundi au vendredi de 8h30 à 17h00
samedi de 8h30 à 12h30
Entrée libre
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Le magazine Pèlerin soutient la restauration de la chapelle de Libdeau
[Pèlerin | 12 septembre 2013]
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30 ans de protection à Châtillon-sur-Saône (88)
L’association Saône Lorraine a souhaité s’associer aux récentes Journées du Patrimoine en proposant une rétrospective sur trente années qui ont changé le visage du patrimoine bâti du village.
C’est au Grenier à sel, « quartier général » de l’association, que Jean-François Michel, le président de Saône Lorraine, a accueilli Aimé Bonneret, maire de la localité, Alain Roussel, conseil général de Monthureux-sur-Saône, André Granget, maire de Bleurville, et les adhérents et amis fidèles afin d’inaugurer l’exposition temporaire consacrée aux 30 ans de protection du patrimoine de Châtillon. Ce n’était pas tout à fait un hasard, puisque cette année les Journées du Patrimoine avaient pour thème le centenaire de la loi de 1913 sur la protection des monuments historiques.
Grâce à plusieurs panneaux conçus et réalisés par les époux Michel et Hubert Flammarion, et agréablement illustrés avec photos, textes et coupures de presse tirés des archives de l’association, les animateurs de Saône Lorraine valorisent l’immense travail réalisé afin de sauver de la ruine plusieurs immeubles Renaissance du vieux Châtillon. Dès 1983, Saône Lorraine a déclaré une véritable guerre contre l’indifférence, les tracasseries administratives, les inerties et les dégradations qui menaçaient les riches bâtisses des XVIe-XVIIe siècles. Il s’agissait surtout de lutter contre des démolisseurs sans scrupules qui abusèrent de la crédulité de propriétaires qui se laissèrent tenter par la vente de leurs vieilles demeures… Pour être mieux dépecer de leurs cheminées monumentales et de leurs poutres ancestrales…
Comme le rappelait le président Michel « Ces trente années ont certes été marquées par des échecs mais l’état général du vieux village reste une véritable satisfaction que Saône Lorraine partage avec la municipalité et toutes les collectivités partenaires ainsi que des mécènes privés. » Belle satisfaction en effet lorsque l’on flâne dans les ruelles du vieux Châtillon : on peut y admirer de splendides immeubles Renaissance restaurées grâce à l’impulsion donnée par Saône Lorraine : ainsi les maisons du cordonnier et du berger, l’hôtel de Sandrecourt, le Grenier à sel, la Grosse Tour… Sans compter les particuliers qui ont suivi la voie ouverte par l’association de sauvegarde !
Tout cet ensemble architectural rénové vit désormais durant la belle saison grâce aux musées vivants, au public toujours nombreux et à l’action de bénévoles qui ne comptent ni leur temps, ni leur sueur pour que ce patrimoine soit transmis aux générations futures.
‡ L’exposition « 30 ans de protection à Châtillon-sur-Saône » est visible tous les après-midi au Grenier à Sel jusqu’au 1er novembre 2013.
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Val-et-Châtillon (54) : le patrimoine religieux à l'honneur
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La commune de Val-et-Châtillon a édité à l'occasion des Journées du Patrimoine 2013 un magnifique bulletin couleur et noir et blanc de 76 pages avec de nombreuses photos.
N'hésitez pas à vous le procurer car il n'y en aura pas pour tout le monde ! Tout le patrimoine religieux de la commune est abordé. 5 € le numéro (si envoi par poste, port en sus).
Plus d'info en contactant bena_olivier@yahoo.fr
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Coussey (88) : l'église paroissiale Notre-Dame enfin restaurée
[Vosges Matin]
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"D'un pape à l'autre" : conférence à Nancy le 1er octobre 2013
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Les couronnes de Notre-Dame de Sion
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Nouvelle ruée vers l'or noir lorrain ?
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Le professeur Maubeuge sur le puits de Forcelles-Saint-Gorgon dans les années 1980 [cliché M. Maubeuge].
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Les Journées du Patrimoine dans le Pays de Montmédy (55)
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Notre-Dame d'Avioth, Meuse (Monnaie de Paris).
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Orgue et chants grégoriens à Val-et-Châtillon (54)
[ER]
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Les Journées du Patrimoine à Gérardmer (88)
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Centenaire 1914-1918 : l'ossuaire de Douaumont en travaux
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Nancy : des fleurs, des légumes... et une messe pour la Saint Fiacre
Cette année encore, la confrérie de Saint-Fiacre de Nancy avait fait les choses en grand... et en beauté !
Ce samedi 7 septembre, la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation était décorée avec une profusion de compositions florales et une débauche de légumes et de fruits produits par les jardiniers, maraîchers et serres municipales de l'agglomération nancéienne. C'était la fête de saint Fiacre traditionnellement célébrée par la confrérie éponyme le samedi qui suit le 30 août.
La messe de Saint Fiacre a été concélébrée par Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul, l'abbé Munier, vicaire général, et l'abbé Lescanne, curé de la cathédrale. Les confrères ont conduit en grande procession la statue de patron des jardiniers de sa chapelle latérale jusque devant le maître-autel. A l'issue de la messe, Mgr l'évêque a béni les brioches offertes par la confrérie qui ont été distribuées aux nombreux fidèles.
Rappelons que la confrérie de Saint-Fiacre, dont le siège est à la cathédrale de Nancy, fonctionnait déjà en 1644 dans l'ancienne église Notre-Dame, en Ville-Vieille. La confrérie a conservé l'usage, apparu au XVIIIe siècle, "de faire bénir et offrir du pain à la messe le jour de saint Fiacre", de confier chaque année la statue du saint à un confrère différent, le trésorier se tient à l'intérieur de la chapelle pour recueillir les cotisations avant et après la messe et, enfin, la messe du dimanche soir est dite à l'intention des confrères défunts.
Quelques images de la messe de Saint Fiacre...
La statue sortie de sa chapelle portée en procession vers le choeur.
La statue de saint Fiacre portée par quatre confrères.
Le clergé derrière la statue.
Les offrandes et les brioches offertes par les confrères.
Lors de l'homélie de Mgr l'évêque.
Retour de la statue de Saint-Fiacre dans sa chapelle.
[clichés H&PB]
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Val-et-Châtillon (54) : les objets du culte catholique à l'honneur pour les JDP 2013
[Est Républicain]
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Saint-Pierre de Nancy : "La Barrette" de septembre disponible
La communauté latine attachée à l'église Saint-Pierre de Nancy vous propose son bulletin mensuel de septembre 2013. A découvrir ci-dessous :
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Le baron Charles-Philippe de Croÿ [1549-1613] célébré à Fénétrange (57)
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Journées du Patrimoine 2013 à Contrexéville
Contrexéville. Vue aérienne du pavillon des sources et de la galerie thermale [cliché G. Salvini]
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Sur le chemin de Saint Nicolas avec les Europa Scouts nancéiens
Les premiers pèlerins sur le futur chemin conduisant au tombeau de saint Nicolas de Bari sont partis dernièrement de Saint-Nicolas-de-Port à la suite d'une bénédiction de départ dans le sanctuaire lorrain placé sous le vocable du saint patron des voyageurs.
Pour les concepteurs du projet chemin de saint Nicolas, qui travaillent d'arrache-pied pour réaliser un itinéraire de pèlerinage vers le tombeau de saint Nicolas à Bari via le sanctuaire de Saint-Nicolas-de-Port, ce fut un moment émouvant. Un groupe de six routiers (plus de 17 ans) des Europa Scouts de Nancy vient d'entamer un long pèlerinage vers Bari au départ du sanctuaire lorrain : ils sont ainsi les tous premiers courageux a emprunter l'itinéraire retenu par l'association des Pèlerins de Saint Nicolas, mais non encore balisé. Et les premiers pèlerins modernes à renouer avec les pèlerinages ancestraux vers Bari à pied en l'effectuant sur un itinéraire spécialement dédié au saint patron des voyageurs, des jeunes gens, des prisonniers et des Lorrains. Un chemin qui mène aussi vers Jérusalem.
Le jour du départ à Saint-Nicolas-de-Port, au cours d'une cérémonie impeccablement conduite par le recteur de la basilique, l'abbé Jean-Louis Jacquot, les pèlerins nicolaïens ont reçu la bénédiction de départ, après la Prière du pèlerin, le « Notre Père » et un « Je vous salue Marie ». En signe de protection patronale pour le voyage, ils reçurent, en application sur le front, la manne de saint Nicolas, laquelle suinte depuis l'origine du tombeau de saint Nicolas. Le recteur, après avoir échangé quelques mots conviviaux, a donné l'accolade aux pèlerins, leur souhaitant bon voyage. Les scouts se sont ensuite mis en route en s'éloignant de la basilique par la ruelle Brudchoux, la rue historique par laquelle arrivaient et repartaient autrefois les pèlerins des Vosges.
Le sanctuaire de Saint-Nicolas de Bari dans la région des Pouilles au sud-est de la péninsule italienne est aussi éloigné que celui de Saint-Jacques de Compostelle. Les scouts routiers de Nancy, qui ont coutume de marcher chaque été durant une semaine, en dormant à la belle étoile, avait déjà fait l'expérience du Saint Jacques et entendu parler du projet de chemin de saint Nicolas grâce à Jean-Marie Cuny, fidèle soutien des scouts lorrains, historien de la Lorraine et membre de l'association Les Pèlerins de Saint Nicolas, structure qui a élaboré le concept de cet itinéraire.
Désireux de l'entreprendre sitôt que le parcours serait fixé, il n'ont pas perdu de temps, puisque c'est au mois de juillet que le tronçon de Saint-Nicolas-de-Port à Chamagne a pu être fixée grâce à la collaboration d'un couple de Haussonville, M. et Mme Blanchard, ce qui ouvrait la route jusqu'à Dietwiller en Alsace. Même si le balisage, précédé d'un long et fastidieux travail administratif, se fait encore attendre. Le groupe scouts envisage d'effectuer le pèlerinage sur plusieurs années, petit bout par petit bout. Parti de Saint-Nicolas dans l'après-midi tardive du 7 août, ils ont parcouru 175 km jusqu'au soir du 13 août, effectuant entre 25 et 30 km par jour, pour arriver près du col de Bussang. L'année prochaine, ils envisagent la traversée du Sundgau via le lieu de pèlerinage médiéval de Thann vers Bâle et le Jura suisse. Ils sont déjà attendus par des bénévoles suisses de l'association internationale Via francigena, la voie des 'Romieux' (ainsi sont surnommés les pèlerins vers Rome). Pour la troisième année, ils devraient franchir le fameux col du Grand Saint Bernard sur cette même voie des Romieux.
Les scouts ont marché au plus près de la route des pèlerins ancestraux qui, venant de Suisse et des Vosges se rendaient à Saint-Nicolas-de-Port, ou de ceux qui, venant de Lorraine se rendaient vers la Suisse et l'Italie. Ils ont notamment traversé Haussonville, en découvrant son château Renaissance dont le seigneur avait fondé un hospice pour les pèlerins de passage au XVe siècle, Bayon, Chamagne, Charmes avec sa très belle église gothique Saint-Nicolas bâtie à la même époque que la basilique de Port, Epinal et Remiremont avec sa crypte consacrée à l'évêque de Myre par le pape Léon IX vers le milieu du XIe siècle. « C'est un très bel itinéraire, toujours sur des petits chemins tranquilles » rapporte Aymeric Tonnerieux, chef du groupe. « Seul regret, les églises et chapelles sur notre chemin étaient toutes fermées, contrairement à celles situées sur le Saint Jacques », remarque Aymeric. Avec l'établissement du chemin de saint Nicolas, cette mesure de précaution ne sera bientôt pas plus nécessaire que sur le chemin de Saint Jacques : l'évêque de Myre est aussi le saint protecteur invoqué contre les voleurs !
[d'après L'Ami Hebdo | texte et clichés Olivier Hein et Françoise Orsini]
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"L'art et le modèle": conférence de Paulette Choné au Musée barrois