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Fontenay (88) : la mémoire du village
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Plaine d'églises. La suite...
[Vosges Matin]
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Infos lorraines
[Vosges Matin]
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Les mystères du Vallon Saint-Martin d'Escles
[Vosges Matin]
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Lironcourt (88) : la vigne au pays de la Saône vosgienne
La Communauté de communes du pays de la Saône vosgienne
et
Denis Schneider
présentent une conférence sur le thème
« Le Charmont, un patrimoine tremplin pour l'avenir »
ou la viticulture au pays de la Saône vosgienne
Vendredi 19 septembre 2014 à 20h30
Salle des fêtes de Lironcourt
Entrée gratuite
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La Grande Guerre du docteur Jean Thiéry de Contrexéville
[Vosges Matin]
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Il y a 70 ans, le maquis de Grandrupt
[Vosges Matin]
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Eglise des Cordeliers des Thons (88) : chorale d'homme "Wilhelmina" le 12 septembre
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Bleurville (88) : Vosgiens et Icaunais fêtent leur jumelage
[Vosges Matin]
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Bleurville (88) : Isabelle Frizac clôt en beauté la saison à l'abbaye Saint-Maur
[Vosges Matin]
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Robert Degrange, le déodation de la Libération
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Les Journées européennes du Patrimoine 2014 à Bleurville (Vosges)
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Saint-Laurent (88) : l'architecture paysanne révélée par Maisons paysannes des Vosges
[Vosges Matin]
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6ème Salon du livre Vosges-Lorraine à La Bresse le 7 septembre
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Les XVIe Journées d'études vosgiennes à Charmes les 24-25 et 26 octobre 2014
‡ Consultez le programme des 16èmes JEV ici http://www.histoire-patrimoine-vosges.org
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La Saône, de Vioménil à Lyon
En plein milieu de Vioménil, dans les Vosges, surgit la source de la Saône. Un faible débit d’eau s’engage alors vers un long périple de quelque 480 km avant de se jeter dans le Rhône. Une naissance bucolique et en toute discrétion.
Le calme et la sérénité prédominent dans la petite commune de Vioménil, bien loin du tapage urbain. Sur la petite place de la mairie apparaît une plaque qui rappelle le passage durant deux ans à l’école du village du célèbre écrivain Hervé Bazin. A 50 m en aval, surgit la ruisselante célébrité locale au pied des Monts Faucilles. Quelques touristes, français et étrangers, visitent ainsi la source de la Saône et le village, par la même occasion. Des gîtes sont là pour permettre à ceux qui veulent approfondir leur visite de séjourner une ou deux nuits supplémentaires.
Car l’émergence de la Saône à Vioménil s’associe à un ensemble géologique et patrimonial sur une zone de partage des eaux spécifique à l’endroit. Un kilomètre plus loin, au beau milieu de la forêt de la Vôge, une seconde source apporte son obole à la curiosité géographique. Le Madon prend donc son départ en direction de la Meurthe, qui se jettera plus tard dans le Rhin. La ligne de partage des eaux entre Méditerranée et Mer du Nord apparaît en plein jour avec deux sources presque côte à côte. Un constat stupéfiant en pleine nature qui mérite bien un petit détour. Durant son périple vosgien de 40 km, elle est grossie de ses premiers affluents, l'Ourche et le Gras, traverse les bourgs de Darney et Monthureux, passe sous le charmant pont en dos d'âne d'Attigny, salue de loin Bleurville campé devant ses forêts, fait un clin d'œil au monastère de Godoncourt et au couvent des Cordeliers des Thons, puis, avant de répondre à l'appel du sud, prend congés de la Lorraine à Châtillon... sur Saône !
Des roulottes en location à Fontenoy-le-Château, des vaillants marcheurs, des cyclistes n’hésitent pas à faire le déplacement en s’oxygénant à plein poumon. Les petits ruisseaux font les grandes rivières, le dicton s’adapte parfaitement à l’histoire de la Saône. La richesse géographique et historique qu’inspire cette rivière est immense. « Les trois mousquetaires de la famille Du Houx, de Vioménil, ont connu bien des heures de gloire à la fin du XVIIIe siècle dans le corps expéditionnaire français envoyé de l’autre côté de l’Atlantique pour aider les Américains à conquérir leur liberté » , racontait récemment l’historien local André Poirot, démontrant ainsi que des personnages célèbres ont habité près de la source. Navigable à partir de Corre, la rivière devient ensuite la « grande Saône » après l’apport du confluent du Doubs dont le débit est légèrement supérieur. La Saône termine ainsi son périple dans le Rhône, à la Mulatière, commune limitrophe de Lyon.
[d'après Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (88) : peintres d'un jour dans la rue
Ce samedi 23 août, dès 9h00, les peintres sont venus valider leur participation au concours de peinture. Une idée originale lancée par Gérard Monchablon, un des lointains descendants du peintre Alphonse Monchablon, l'autre artiste vosgien du deuxième XIXe siècle.
Organisé avec l’association du Musée de Châtillon et l’association Saône Lorraine, ce concours intitulé « Dans l’esprit de Jan Monchablon » a attiré onze artistes du Pays des Trois Provinces, aux confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté. Il s’est déroulé de 10 h à 18 h dans un bon esprit, malgré l'ambiance automnale de cette fin août.
Châtillon-sur-Saône, pays du peintre Jean Ferdinand Monchablon (1854-1904), - plus connu sous son nom d'artiste Jan Monchablon - se devait d’honorer ce paysagiste qui a sublimé par son coup de pinceau les paysages locaux. Ce dernier a su marquer de son empreinte la vie de son époque. De belles scènes paysannes aux paysages bucoliques du secteur, ses tableaux ont gardé toute leur fraîcheur. Ils ont voyagé pour la plupart outre-Atlantique. Mais au musée de la maison du berger et du cordonnier, la plupart a repris place à l’espace Monchablon. Copies ou originaux, ils ne laissent pas indifférents les nombreux visiteurs qui viennent tout au long de l’été. On ne peut qu’être admiratifs du souci du détail et de la finesse du trait.
C’est pour fêter les 160 ans de sa naissance et les 110 ans de sa disparition, que l’idée du concours est née. Le vieux village Renaissance s’est donc laissé caresser du regard certes, mais aussi du pinceau. Chaque peintre s’est installé à sa guise et a choisi le support de son choix. Certains préfèrent l’huile, d’autres la gouache ou l’aquarelle. La plupart connaissent le vieux village. Les artistes sont venus de Luxeuil, d’Aillecourt (Haute-Saône), de Monthureux-sur-Saône, de région parisienne… Ils ont peint volontiers les vieilles bâtisses ou des rues. La grosse tour, l’hôtel de Sandrecourt, les remparts et murailles sous le regard des curieux. Bref, Châtillon fut, l'espace d'une journée, à l’honneur... sur les chevalets !
[d'après Vosges Matin]
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Remiremont (88) : la maison natale de Mgr Rodhain rénovée par un particulier
Le fondateur du Secours catholique, Mgr Jean Rodhain, est né à Remiremont en 1900, rue de la Courtine. La maison est actuellement en cours de rénovation et le nouveau propriétaire a décidé de respecter les lieux.
Le souvenir de Mgr Jean Rodhain a longtemps habité la maison qui l’a vu naître le 27 janvier 1900. Depuis juin dernier, un nouveau propriétaire, Michel Stouvenel, a rompu ce silence. Il a débuté de gros travaux de rénovation avec l’ambition d’y poser ses valises l’été prochain. Un an pour relever ce défi et vu l’ampleur de la tâche, ce n’est une mince affaire. Mais l’homme a l’habitude d’enfiler les gants, les chaussures de sécurité et ses rêves. C’est la septième maison qu’il retape. Mais cette demeure de la rue de la Courtine a la particularité d’avoir entendu les premiers cris de celui qui allait fonder, quarante-six ans plus tard, en 1946, le Secours catholique et devenir dans les années 1960 le prélat de Sa Sainteté et participer comme expert aux travaux du Concile Vatican II.
Une célébrité vosgienne connue de la France entière qu’est bien décidé à respecter Michel Stouvenel. La plaque apposée à la façade côté rue, qui fait état de la naissance du prêtre derrière ces murs, sera conservée. Tout comme des espaces à l’intérieur de la maison qui vont être détruits pour être reproduits à l’identique. « Je vais enlever tout le carrelage qui date de fin XIXe siècle et le remettre comme il faut. Je vais aussi garder les vitraux, les volets en bois, que je vais bien nettoyer, en plus des roulants que j’installerai ; et refaire les escaliers, à l’entrée de la maison, à l’identique », annonce le propriétaire.
À 66 ans, l’audacieux acquéreur s’est trouvé un nouveau moyen d’expression au milieu de tous ces grands volumes, 300 m² sur trois étages, qu’il se plaît à réinventer. « Je cherchais une maison de ville, typée, jolie, proche du centre, sans mitoyenneté, avec du terrain où tout était à refaire », raconte Michel Stouvenel. Il est servi. La propriété correspond en tout point à son cahier des charges. Le petit coup de cœur en moins. Il va apprendre à l’aimer au fil du temps. Il n’est pas pressé. Il est en retraite. Il sait déjà comment l’aborder et la sublimer. Cet ancien entrepreneur dans l’informatique a aussi œuvré un peu dans les métiers du bâtiment. Du coup, il a un bon carnet d’adresses. « Je travaille dans cette maison en partenariat avec des artisans locaux », glisse le sexagénaire, qui profite à fond du retour du soleil pour avancer dans son planning. Il espère ouvrir la porte de son nouveau petit nid d’amour à sa femme en juin 2015. « Je tiens à la finir avant de venir habiter dedans », se motive celui qui se méfie des travaux remis au lendemain.
En attendant, il continue à couler des jours heureux du côté de Thiéfosse où il possède une ferme qu’il a bien sûr rénovée à son goût. Le goût du béton frais.
Bio expresse de Mgr Rodhain
27 janvier 1900. – Naissance de Jean Rodhain à Remiremont, rue de la Courtine.
1918. – Il entre au séminaire à Bazoilles-et-Ménil, puis à Saint-Dié une fois la paix revenue.
1924. – Il est ordonné prêtre et nommé vicaire de la paroisse de Saint-Maurice à Épinal.
1929. – Il intervient sur les paroisses rurales de Mandres-sur-Vair et Norroy-sur-Vair.
1934. – Il quitte le diocèse de Saint-Dié pour devenir à Paris aumônier fédéral de la Jeunesse ouvrière chrétienne féminine (JOCF).
1937. – Il organise dans la capitale le grand rassemblement des Jeunesses ouvrières pour leur 10e congrès.
1939. – Il est mobilisé comme 2e classe à Épinal
1940. – Aumônier militaire d’un régiment blindé dans les environs de Sedan, il est fait prisonnier.
1942. – Il organise une aumônerie clandestine pour les jeunes du STO (service du travail obligatoire).
1944. – À la Libération, il est nommé aumônier général des armées françaises.
1945. – À la tête des « Missions vaticanes », il assiste à la libération des camps de la mort.
1946. – Il fonde le Secours catholique.
Années 1960. – Il devient prélat de Sa Sainteté. Et il est nommé par le pape Jean XXIII président de Caritas Internationalis.
1er février 1977. – Décès de Mgr Jean Rodhain.
[d'après Vosges Matin]
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L’Assomption de la chapelle de la Manufacture de Bains-les-Bains restaurée
La toile consacrée à l’Assomption de la Vierge Marie va prochainement retrouver sa place dans la chapelle de la Manufacture Royale de Bains-les-Bains, dans les Vosges.
Une présentation de l’œuvre restaurée par Igor Kozac a été proposée à la Fondation du patrimoine délégation vosgienne en avant première.
Depuis plus d'un an maintenant, l'imposant tableau de l'Assomption qui trônait sur le mur central du choeur de la chapelle de la Manufacture Royale, a laissé place à un grand cadre vide. Et pour cause. Cette toile datant du XVIIIe siècle, pour laquelle une souscription publique a été ouverte en partenariat avec la Fondation du patrimoine de Lorraine en avril 2013, est partie en restauration dans l'atelier d'Igor Kozac, spécialiste de la conservation et restauration de tableaux, à Lavincourt, en Meuse.
Il aura fallu à l'artiste plus de 200 heures de travail pour remettre en état le tableau et accomplir un tel miracle. En effet, les vicissitudes du temps avaient fini par estomper quasi intégralement l'oeuvre.
Sa restauration aujourd’hui terminée, la toile sera inaugurée officiellement lors des Journées européennes du Patrimoine, le dimanche 21 septembre, dans la chapelle de la Manufacture Royale.
[source et clichés : Fondation du Patrimoine]
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Jumelage Bleurville – Chichery : rencontre annuelle les 23-24 août
Discours des maires de Bleurville et Chichery de l'époque, MM. Recouvreur et Bouvier, lors de la première rencontre du jumelage en 1992.
Bleurville est jumelé avec Chichery-la-Ville, dans l’Yonne (à 15 km d'Auxerre), depuis 22 ans. Ce jumelage a été initié par le maire de Chichery, Daniel Bouvier, et son homologue vosgien, Raymond Recouvreur, à l'époque maire et conseiller général du canton de Monthureux-sur-Saône.
Les 23 et 24 août, les Bleurvillois auront le plaisir d’accueillir leurs amis Bourguignons en terre vosgienne, pour un week-end de réjouissances et d'amitié.
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Une journée au pays du peintre Jan Monchablon : samedi 23 août à Châtillon-sur-Saône
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Archettes (88) : le temple gallo-romain de Mercure
[Vosges Matin]
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Girouettier, une passion dans le vent
[Vosges Matin]
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Vosges : Plaine d'églises
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Bleurville (88) : clôture de la 40ème saison à Saint-Maur avec Isabelle Frizac
Isabelle Frizac était l'hôte des Amis de Saint-Maur pour la seconde année consécutive. Pour un concert Renaissance enchanteur !
Pour la clôture de la 40ème saison culturelle à l'ancienne abbaye bénédictine, les Amis de Saint-Maur avait convié Isabelle Frizac à se produire devant le public fidèle de Saint-Maur. Notre musicienne, professeur de musique spécialiste des pièces pour instruments à cordes des XVIe-XVIIe siècles, et diplômée du Conservatoire national d’Ile-de-France, a replongé la vénérable abbatiale dans le « beau XVIe siècle », celui de la renaissance des arts et de la musique.
Isabelle enseigne la guitare classique dans une école de musique du Val d’Oise et elle est membre de la Société française du luth ; elle donne régulièrement des concerts de musique ancienne en région parisienne. Très attachée au patrimoine historique de notre région, au point de posséder une demeure chargée d'histoire dans la charmante cité de caractère de Bourmont, elle a su captiver les mélomanes en interprétant un large programme de pièces musicales de la Renaissance hispanique et anglaise sur une vihuela, un instrument à cordes pincées popularisé en Espagne au XVIe siècle, et sur un luth Renaissance, instrument créé par les arabes mais modernisé par les espagnols après la Reconquête. Elle joua notamment des œuvres des compositeurs ibériques Enrique de Valderrabano (vers 1500-1557), Alfonso Mudarra (vers 1510-1580), Luys de Narvàez (vers 1500-1555), et anglais John Dowland (1563-1626), Robert Johnson (1583-1633) et Francis Cutting (1550-1596) ; des compositions éclectiques où l'amour, la mort et les chants en l'honneur de la Vierge Marie sont mis en musique pour le plus grand bonheur de nos contemporains, mais qui ravissaient déjà les grands des cours européennes de la Renaissance et, notamment, celle de l'empereur Charles Quint de Habsbourg qui appréciait particulièrement les œuvres de l'espagnol Luys de Narvàez.
Isabelle Frizac, en bonne pédagogue, a pris soin de décrire, avec un brin d'humour et par le détail, les instruments sur lesquels elle interpréta les pièces, créant ainsi une sympathique connivence avec le public qui a salué sa prestation par des applaudissements nourris.
‡ L'abbaye Saint-Maur est ouverte au public jusqu'au 31 août, du jeudi au dimanche, de 14h à 18h.
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Châtillon-sur-Saône (88) : "Une journée au pays de Jan Monchablon" le 23 août 2014
Châtillon-sur-Saône, par Jan Monchablon.
L'association du Musée de Châtillon et l'association Saône-Lorraine organisent une journée d'animations le 23 août prochain autour d'un concours de peinture "Dans l'esprit de Jan Monchablon", à l'occasion du 110e anniversaire de la disparition du peintre paysagiste local, Jean Ferdinand Monchablon (1854-1904).
‡ Pour s'inscrire, recopiez ou imprimez le bulletin joint et renvoyez-le à Association du Musée de Châtillon, Nathalie Bonneret, 20 rue de l'assaut, 88410 Châtillon-sur-Saône : Au pays de Jan Monchablon.pdf
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L'abjuration de Jehanne d'Arc : genèse d'une calomnie
Jehanne d'Arc a-t-elle abjuré ses apparitions ainsi que l'évêque Cauchon l'a prétendu dans le compte rendu du procès de condamnation de 1431 ?
En 1899, la procédure de béatification achoppa sur cette délicate question. Le cardinal Parocchi, promoteur de la cause, confia en effet à Mgr Touchet, évêque d'Orléans : "Il vous faut mettre la main sur un homme qui arrive à démontrer que, jusqu'à présent, les historiens ont été induits en erreur, en affirmant que votre héroïne française a réellement abjuré le 24 mai 1431, ou bien les Français et les catholiques doivent renoncer à l'espérance de voir jamais Jeanne d'Arc placée sur les autels."
Jehanne n'a pas abjuré ses apparitions le 24 mai 1431 au cimetière de Saint-Ouen.
Cette calomnie qui s'est propagée jusqu'à nos jours avait pour objectif de préserver des options ecclésiales et des enjeux politiques majeurs.
Confrontée à cette épreuve poignante des dérives des "gens d'Eglise" et des "gens d'Etat", Jehanne a su répondre par un témoignage de loyauté envers l'Eglise et envers sa patrie.
Cet enseignement d'une fidélité simple mais héroïque reste toujours d'actualité.
‡ L'abjuration de Jehanne d'Arc au cimetière de Saint-Ouen. Genèse d'une calomnie, Alain et Jacques Olivier, Association Notre-Dame de Bermont - Sainte Jehanne d'Arc, 2014 , 50 p., ill. (12 € + 4 € de port). A commander à : Association Notre-Dame de Bermont - Sainte Jehanne d'Arc, 100 rue de la Praye, 88000 DIGNONVILLE.
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Liffol-le-Grand (88) : souvenirs des troupes américaines en 1917-1919
[L'Abeille]
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Albert Aubry, le soldat mirecurtien de la Grande Guerre