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L'enseignement mutuel dans les Vosges au XIXe siècle
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Les parlers du pays de Neufchâteau
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Jean-Baptiste Picard : "Le patois du pays de Neufchâteau est une langue comme les autres"
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Neufchâteau (88) : conférences autour des statues des époux Sallet, bourgeois lorrains du XVIIe siècle
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Neufchâteau (88) : autour de Simon Sallet, commerçant proche du duc Charles IV
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Simon Sallet revient à Neufchâteau ! Autour du monument funéraire d'un officier ducal
Le Comité d'Histoire Régionale, le Palais des ducs de Lorraine - Musée lorrain et les Amis du livre et du patrimoine de Neufchâteau vous proposent de venir découvrir les statues du monument funéraire de Simon Sallet, commerçant originaire de Neufchâteau puis soutien fidèle du duc Charles IV, récompensé de son service par son anoblissement en 1659 et la charge de trésorier général... Habituellement conservés dans les réserves du musée, ces deux statues seront présentées exceptionnellement à Neufchâteau.
Conférences et intermèdes musicaux sur les grandes orgues :
15H15 – Accueil à l'église Saint-Nicolas de Neufchâteau (88), place Saint-Nicolas
15H30 – Pratiques funéraires à l'époque de Simon Sallet, par Pierre-Hippolyte Pénet, conservateur du patrimoine au palais des ducs de Lorraine - Musée Lorrain
16H00 – Les dernières années et la succession de Simon Sallet, par Marie-Françoise Michel, agrégée d'histoire, association Saône lorraine
16h30 – Le couvent des Capucins de Neufchâteau, par Pascal Joudrier, membre de l'Académie de Stanislas, président des Amis du livre et du patrimoine de Neufchâteau
16h45 – Visite de l'église Saint-Nicolas et présentation des fragments du monument funéraire
Jean Corroy ponctuera ces interventions par des intermèdes musicaux sur les grandes orgues offertes par Simon Sallet.
> Entrée libre.
> Inscription recommandée auprès du Comité d'Histoire Régionale : 03 87 31 81 45 | chr@grandest.fr -
Neufchâteau (88) : le retour des anges en l'église Saint-Nicolas
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Portrait d'un jeune Lorrain
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Les monnaies lorraines du musée de Charleville-Mézières (Xe-XVIIIe siècle)
La numismatique est une science auxiliaire de l'histoire malheureusement souvent méconnue ou ignorée dans les milieux de la science historique et du grand public. Pourtant, celle-ci se révèle très utile dans l'analyse historique : elle permet de suivre les évolutions artistiques, économiques, linguistiques et surtout les évolutions politiques et religieuses. "Battre monnaie, cela peut être à la fois améliorer ses ressources budgétaires, affirmer son autorité et son message politique, transmettre sa foi et sa culture" écrivait Jean Belaubre dans son ouvrage Les monnaies de France. Histoire d'un peuple.
Malgré l'intérêt évident de l'étude des monnaies, publier une collection numismatique est toujours un événement car rares sont les institutions publiques ou privées qui osent ouvrir leurs portes aux numismates.
Les musées municipaux de Charleville-Mézières font partie de ces rares institutions qui souhaitent valoriser leurs collections de monnaies. Ils possèdent l'une des plus importantes collections numismatiques des musées de province, riche d'environ 29 000 exemplaires allant du Ve siècle avant notre ère au début du XXe siècle. L'étude des monnaies de Lorraine (duché de Lorraine, comté puis duché de Bar, évêché de Metz et de Toul, cité de Metz, seigneurie de Neufchâteau et de Phalsbourg-Lixheim) est apparue comme une évidence.
Composée de 186 monnaies et d'un jeton, cet ensemble lorrain présente un état de conservation remarquable, parfois exceptionnel, et comporte quelques pièces non connues des ouvrages de référence. Cette collection "lorraine" comprend des monnaies d'argent, de billon et de bronze qui méritaient bien une publication soulignant leur beauté et leur diversité.
‡ Les monnaies lorraines du musée de Charleville-Mézières (Xe-XVIIIe siècle), Etienne Dostert, PUN-Editions universitaires de Lorraine, 2014, 91 p., ill. (15 €).
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Neufchâteau (88) : l’église Saint-Nicolas profanée et pillée
L’église Saint-Nicolas de Neufchâteau a été victime d’un pillage en règle dans la nuit du 2 au 3 décembre 2014.
Un vitrail a été brisé dans la partie basse de l'édifice. C'est par là que le ou les cambrioleurs sont entrés. Neuf des 23 statues présentes dans l'églises ont été dérobées, 8 d'entres elle étaient classées au titre des Monuments historiques ; il s'agit d'œuvres en bois polychrome des XVIe et XVIIIe siècles, des pièces uniques et irremplaçables, véritables trésors de beauté.
Les malfaiteurs s'en sont également pris aux tabernacles de la partie haute de l'église et celui qui contenait les saintes hosties consacrées a été complètement détruit. Ces actes de profanation inadmissibles, portant atteinte aux convictions religieuses des catholiques, n’ont été condamnés par aucune autorité publique, ni religieuse d’ailleurs… Une messe de réparation n'est semble-t-il même pas prévue.
La mairie, propriétaire des lieux de culte, a porté plainte et l'enquête a été confiée à la gendarmerie de Neufchâteau.
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Neufchâteau (88) : l'escalier de l'hôtel de Houdreville restauré
[L'Abeille]
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Vosges : Plaine d'églises
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Bleurville (88) : la sous-préfète a la rencontre des forces vives
[Vosges Matin]
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Bleurville (88) : la sous-préfète aux champs
Madame Marie-Claude Lambert, sous-préfète de Neufchâteau, était en visite à Bleurville le 14 février dernier.
Elle en a profité pour découvrir l’ancienne abbaye Saint-Maur, sous la conduite de Denis Bisval, adjoint au maire et membre de l'association des Amis de Saint-Maur.
Elle a particulièrement apprécié la crypte pré-romane ainsi que le musée de la Piété populaire qui conserve une magnifique collection de bénitiers de chevet.
Rappelons que l'abbaye bénédictine de Bleurville fut fondée par un comte de Toul dans le deuxième quart du XIe siècle. L'abbatiale fut consacrée en 1050 par le pape Léon IX, ancien évêque de Toul. Transformé en simple prieuré au début du XIIe siècle, le monastère fut rattaché au prieuré bénédictin de Varangéville-Saint-Nicolas-de-Port en 1627. Le prieuré fut fermé en 1790 et vendu comme bien national. Son sauvetage intervint à partir de 1974 grâce à l'action de l'abbé Paul Pierrat, prêtre du diocèse de Saint-Dié.
[cliché ©M. Bisval]
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Pays de Neufchâteau (88) : le plus vieux distillateur vosgien
[Vosges Matin]
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Neufchâteau (88) : pour soutenir la restauration de l’hôtel d’Houdreville
L'Hôtel de Ville de Neufchâteau occupe, depuis 1803, un hôtel particulier construit de 1578 à 1594 par un riche marchand de grains Jean Mengin anobli en 1576 et devenu Jean Mengin d'Houdreville. Propriété de la commune depuis plus de deux siècles, l'hôtel particulier a été revendu à la commune de Neufchâteau dont l'ancienne mairie avait brûlé en 1799. Fleuron du patrimoine architectural de la ville, l'édifice est classé Monument Historique depuis 1908.
Il abrite un escalier remarquable spécimen de la Renaissance en Lorraine. L'escalier de pierre compte cinq paliers et mène jusqu'au grenier de l'hôtel particulier. Les plafonds de pierre, entièrement sculptés, présentent, à chaque volée, des sculptures en bas reliefs aux motifs différents : rubans entrelacés, figures géométriques, boutons ou bouquet de fleurs et inscriptions religieuses. La deuxième volée de marche permet d'accéder au premier étage de l'édifice qui abrite notamment le bureau du maire et le salon des mariages.
Sur ce palier, la porte d'origine, en noyer, est pourvue de 4 panneaux richement sculptés aux motifs Renaissance. Depuis plusieurs années, l'état général de ce splendide escalier ne cesse de se dégrader : effritement de la pierre, affaissement de la maçonnerie, fracture de la dalle.
Les travaux porteront sur la maçonnerie et les pierres de taille, la charpente, la couverture et les menuiseries. Soucieuse de conserver et valoriser son patrimoine, la Ville de Neufchâteau lance une opération de réhabilitation d'un montant de 521 966 €.
Soutenue par la DRAC, le Conseil régional de Lorraine, le Conseil général des Vosges, la commune fait appel aux dons afin de réunir les fonds nécessaires pour redonner une seconde jeunesse à ce joyau de la Renaissance tardive symbole de notre secteur sauvegardé.
‡ On peut souscrire en envoyant un don défiscalisé à La Fondation du Patrimoine Lorraine, 62 rue de Metz, 54000 Nancy.
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Neufchâteau (88) : quel avenir pour l'ancien hôpital ?
[Vosges Matin]
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Saône Lorraine : le sous-préfet au chevet du patrimoine
[Vosges Matin]
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Jeanne d'Arc s'affiche à Chinon
[Vosges Matin]
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Tous les chemins lorrains mènent à Saint-Jacques-de-Compostelle
Pour faciliter la tâche du pèlerin, l’association des Amis de Saint-Jacques-de-Compostelle Lorraine a balisé le chemin allant de Schengen à Langres, en passant par les Vosges.
Depuis les Journées mondiales de la jeunesse voulues par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II en 1989, le nombre de pèlerins n’a cessé de croître (plus de 180 000 personnes de toutes nationalités en 2011). Bâton et sac à dos orné de la fameuse coquille, ils s’élancent à pied jusqu’à Saint-Jacques-de-Compostelle, considérée comme l’une des trois villes saintes de la chrétienté (après Jérusalem et Rome).
Pour y parvenir, quatre voies antiques existent en France : celles du Puy-en-Velay (la plus connue et fréquentée), de Vézelay, d’Arles et de Tours qui se rejoignent à Puenta la Reina, en Espagne. Lorsqu’on décide de tenter l’aventure depuis son domicile, il faut emprunter des chemins secondaires avant de retrouver ces chemins dits historiques. Depuis le renouveau récent du pèlerinage, des associations balisent certains itinéraires. A l’image de l’association des Amis de Saint-Jacques-de-Compostelle Lorraine qui s’est chargée du chemin reliant Schengen à Langres, en passant par la Lorraine et les Vosges. Ce qui facilite la tâche des nombreux pèlerins du Nord, notamment Allemands, qui n’ont plus à établir, de A à Z, leur propre itinéraire jusqu’aux trajets antiques, véritables « autoroutes ». « Il y avait un vide, un manque de balisage et d’hébergements propices à accueillir le pèlerin », explique Jean Courivaud, membre de l’association depuis quelques mois. Un projet qui était aussi une manière « de canaliser les gens sur un trajet ».
314 km ont été balisés avec le logo officiel du Conseil de l’Europe (coquille stylisée jaune sur fond bleu). L’itinéraire passe durant plus de 75 km dans les communes des Vosges par le GR7 et le GR714. A partir de Greux, 12 dont Domremy-la-Pucelle, Rouvres-la-Chétive, Contrexéville ou encore Aureil-Maison. L’itinéraire passe également à proximité de Neufchâteau, Châtenois ou encore Martigny-les-Bains. Outre la carte, le guide précise les points remarquables mais pointe aussi les hôtels-restaurants et hébergements présents ainsi que les accueils jacquaires, des particuliers qui se proposent d’héberger durant une nuit le pèlerin. Sans toutefois donner des listes de noms. Charge au marcheur de contacter les offices de tourisme servant de relais ou l’association pour les obtenir. En sachant que les accueils jacquaires, très peu nombreux dans les Vosges, ne sont pas toujours disponibles.
« Après sa journée de marche, le principal souci du pèlerin est de savoir où il dormira le soir », note Jean Courivaud. Outre les particuliers, plusieurs possibilités existent : les gîtes associatifs tenus par des bénévoles issus d’associations jacquaires et les hébergements classiques comme les gîtes privés (à l’image de celui de Châtenois), les chambres d’hôtes, les hôtels… Certains effectuant un geste commercial. La tâche est facilitée à partir des grands carrefours (Puy-en-Velay, Vézelay…) où le pèlerin trouve sans la moindre difficulté de nombreux gîtes d’étape, hébergement peu cher privilégié par les marcheurs.
Lorsqu’il s’est lancé dans son périple, Jean Courivaud a pu compter sur l’aide de membres d’associations jacquaires. Ce qui l’a incité à devenir adhérent de l’association. « J’ai été marqué par l’accueil des bénévoles tout au long du chemin, des membres d’associations comme nous ou d’anciens pèlerins. Les aider aujourd’hui est devenu une motivation », note Jean Courivaud, de Jeanménil, qui s’est proposé d’assurer la maintenance des chemins balisés vosgiens jusqu’à Langres.
Si le guide ne prétend pas régler tous les soucis du marcheur, il lui facilite la vie. Et incitera peut-être des gens, qui craignaient de se lancer dans l’inconnu, à franchir le pas. Une fois le chemin matérialisé, « il faut le faire vivre et le faire évoluer », ajoute Jean Courivaud, notamment en étoffant les hébergements. L’association est ainsi en contact avec l’office de tourisme de Neufchâteau qui listera les chambres d’hôtes prêtes à recevoir les pèlerins. Jean Courivaud a le projet également de baliser d’autres chemins dans les Vosges, d’est en ouest cette fois, en partant de Saint-Dié ou Baccarat jusqu’à Bourbonne-les-Bains où le chemin est désormais tout tracé…
Bien que de nombreux pèlerins partent des villes connues comme Le Puy-en-Velay ou Vézelay, la version traditionnelle du pèlerinage se fait à pied depuis chez soi. Ce fut le choix de Jean Courivaud et Jean-Pierre Quirin, de Dommartin-lès-Remiremont. Mais chacun a opté pour une organisation différente. Le premier l’a effectué en trois étapes : les deux premières en 2011, d’Housseras (son village natal) à Vézelay, puis quelques mois plus tard, de Vézelay à Roncevaux. Et la dernière, en mars dernier, de Roncevaux à Compostelle. Soit 2 200 km en 88 jours. A cause d’une fracture au pied due à la fatigue, Jean-Pierre Quirin a été contraint de faire son pèlerinage en deux étapes : la première en 2009, de Dommartin à Cahors en passant par le Puy-en-Velay ; la deuxième en 2010, de Cahors à Saint-Jacques. Soit 2 055 km en 91 journées de marche et 100 jours de voyage.
Les hébergements étant difficiles à dénicher le temps de retrouver des voies historiques (après c’est « l’autoroute » comme ils disent), Jean Courivaud a établi un planning précis de ses étapes. 350 km d’Housseras à Vézelay bien préparés où les logements étaient réservés. Si Jean-Pierre Quirin a également établi précisément les chemins à emprunter jusqu’au Puy en évitant les routes trop fréquentées, il n’avait réservé aucun hébergement. Il cherchait le jour même où pouvoir poser le pied le soir. « Très rapidement, on se rend compte qu’on sort de toutes les situations. » Pour lui, « tant que les jambes et la tête suivaient, tout allait bien ». Il n’a pu compter que sur soi-même et la bonne volonté des gens en toquant chez des particuliers, en faisant appel aux mairies, aux paroisses, ou en allant dans des gîtes privés ou associatifs. Résultat : il a dormi dans des salles polyvalentes, dans un local technique, des monastères ou encore une salle de catéchisme. Sur les 22 étapes, il n’a eu qu’un refus et a dû dormir une fois sous sa tente. « Le fait d’avoir une coquille sur son sac, ça ouvre des portes », reconnaît Jean-Pierre Quirin, qui présentait toujours sa crédentiale (le carnet du pèlerin). Cette période reste son meilleur souvenir sur le plan relationnel.
Si on ne se lance pas dans un tel périple par hasard, chacun a aussi sa façon de vivre les choses. La démarche étant bien souvent spirituelle. A l’image de celle de Jean Courivaud, catholique pratiquant, qui ressentait le besoin de « se retrouver face à soi-même et d’être en contact avec la nature ». Pour Jean-Pierre Quirin, la démarche était d’abord culturelle avec l’objectif de découvrir le patrimoine architectural de l’art roman et gothique sur ce chemin particulièrement riche en la matière.
En vingt ans, Francis et Marguerite Jacquot ont accueilli chez eux une petite dizaine de pèlerins qu’ils retrouvaient bien souvent épuisés à Neufchâteau.
Alors lorsqu’ils ont créé leur gîte à Châtenois (ouvert depuis seulement un mois), c’est tout naturellement qu’ils ont décidé de leur offrir leur hospitalité. Leur nouveau gîte se situant à 15 km du nouveau chemin balisé, ils se proposent même d’aller les récupérer et de les remettre le lendemain sur la bonne route !
Si pour les touristes, le gîte est tarifé, « l’accueil du pèlerin est libre », explique Marguerite Jacquot. Rares sont ceux toutefois à repartir sans donner un « petit quelque chose », ajoute Marguerite Jacquot qui rêve comme son mari de pouvoir un jour faire le pèlerinage.
Très éloignée de l’itinéraire Schengen-Langres, la ferme de Bon Jacques, proche de Darney, a toujours aussi ouvert ses portes aux pèlerins. Elevant des chevaux depuis 1986, Brigitte Laurent offre le gîte et le couvert aux marcheurs et à leur équidé. Son credo ? « Les accueillir dans la simplicité et l’authenticité ». Un état d’esprit qui règne tout au long de l’année au sein de sa ferme.
[d'après Vosges Matin]
‡ Guide « Vers Saint-Jacques-de-Compostelle en passant par la Lorraine ». Tarif : 10 euros. L’association des Amis de Saint-Jacques-de-Compostelle Lorraine (www.st-jacques-lorraine.fr) tient une permanence le premier jeudi de chaque mois à la maison paroissiale de Custines. Renseignements au 06 79 68 89 49. Contact Jean-Pierre Courivaud : jean.courivaud88@orange.fr
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