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  • Les Templiers et le Suaire du Christ

    templiers.jpgPour Barbara Frale, historienne des archives secrètes du Vatican, les Templiers, ces moines-soldats du Moyen Âge, ont très probablement conservé pendant un certain temps le Suaire de Turin. La célèbre relique fut adorée dans le secret par une poignée de religieux de cette ordre militaire.

    Dans une époque de confusion doctrinale, le linceul aurait représenté pour les Templiers un puissant antidote contre la propagation de l'hérésie.

    En retraçant et étudiant les faibles indices concernant les mouvements du linceul de Turin durant toute l'époque médiévale, l'auteur explore dans une enquête historique exceptionnelle les hypothèses complexes sur les origines du Suaire. Pour offrir un point de vue nouveau sur cette relique controversée.

    L'auteur, Barabara Frale, historienne italienne, médiéviste et paléographe, est une spécialiste de l'ordre des Templiers et du Suaire de Turin qu'elle identifie comme étant "la mystérieuse idole" qu'adoraient les Templiers.

     

    ‡ Les Templiers et le Suaire du Christ, Barabara Frale, Bayard éditions, 2011, 345 p. (24 €).

  • Contrexéville : l'héritière du tsar de Russie dans les pas de ses ancêtres

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    [Vosges Matin]

  • "Sous les ailes du temps", nouveau livre animalier de Fabrice Cahez

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    [Vosges Matin]

  • Annales de L'Est : la prise en charge des malades du Moyen Âge à nos jours

    annales est.jpgLe numéro 1 des Annales de l'Est de 2011 propose des études sur le thème de la prise en charge des malades du Moyen Âge à nos jours.

    Au sommaire :

    - La prise en charge des malades du Moyen Âge à nos jours, M.-C. Dinet-Lecomte

    - A propos de la politique hispitalière des comtes et ducs de Bar, M. Pauly

    - La tentative hospitalière des chanoines réguliers lorrains au XVIIIe siècle, C. Andriot

    - Savoirs et savoir-faire pharmaceutiques au collège des jésuites de Pont-à-Mousson au XVIIIe siècle, A.-H. et F. Henryot

    - La transmission de la déontologie chez les médecins, les chirurgiens, les accoucheuses et les apothicaires en Lorraine sous l'Ancien Régime, P. Labrude

    - Charles François Saint-Mihiel, un médecin de Saint-Nicolas-de-Port confronté à l'éruption volcanique de 1783, J.-M. Lejuste

    - Le choléra à la Belle Epoque en Lorraine, T. Weitzel

    - Les ouvriers de l'industrie textile vosgienne face à une maladie inconnue : la byssinose, A. Munsch

    Et bien d'autres articles sur la révolution sidérurgique en Lorraine au XIVe siècle, les appartements ducaux au château de Lunéville, la résistance régionaliste au temps de Stanislas...

     

    ‡ La prise en charge des malades du Moyen Âge à nos jours, Les Annales de l'Est, 2011, n° 1 (23 €).

    ‡ A commander à : Association d'Historiens de l'Est, UFR des Sciences Historiques, 3 place Godefroy-de-Bouillon, 54000 NANCY

  • Foire au boudin de Monthureux : toujours le succès populaire

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    [Vosges Matin]

  • Nos écoles de Nancy

    ecoles nancy.jpgRédigé grâce aux archives municipales, l'ouvrage retrace l'histoire de l'éducation primaire à Nancy du Moyen Âge à nos jours. L'évolution des pratiques éducatives, l'implantation des établissements, la naissance des crèches et des colonies de plein-air, l'introduction de l'hygiène scolaire, la création des écoles normales ou encore les luttes entre enseignement public et enseignement confessionnel et la politique municipale sont abordés avec précision.

    Dès l'origine, la scolarisation des enfants a été une préoccupation des ducs de Lorraine mais aussi de l'Eglise catholique. Des écolâtres, des régents puis des maîtres sont formés pour éduquer les élèves. A Nancy se développent les écoles mutuelles et celles des Soeurs de Saint-Charles, des Visitandines, des Frères des écoles chrétiennes ou encore des congrégations Notre-Dame et des "Vatelottes" de la Doctrine chrétienne..

    Sous Stanislas, des asiles (écoles maternelles) accueillent les enfants des familles modestes. La Révolution bouleverse le paysage scolaire et il faut attendre la Restauration pour que les écoles retrouvent un peu de moyens.

    A la suite de la défaite de 1870, Nancy devient la capitale de l'Est de la France et double sa population. Cette mutation coïncide avec les lois Ferry instaurant la gratuité de l'école primaire. Des établissements sont construits afin de remplacer les édifices vétustes. Après la Seconde Guerre mondiale, les nouveaux quartiers de Nancy accueillent des écoles plus modernes.¨

    Peu d'études jusqu'à ce jour abordaient ces questions d'éducation en Lorraine et à Nancy en particulier. Un livre qui intéressera tous les anciens écoliers nancéiens mais aussi les parents, les enseignants... et élèves d'aujourd'hui !

     

    ‡ Nos écoles de Nancy, Jean Montacié et François Moulin, éditions Renaudot, 2011, 250 p., ill. (21 €).

  • Vandoeuvre-lès-Nancy : Saint-François-d'Assise inscrite à l'Inventaire

    L'église Saint-François-d'Assise, construite dans le quartier de Brichambeau à Vandoeuvre-lès-Nancy, dans la banlieue de Nancy, vient d'être inscrite à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques.

    st-francois-d-assise.jpgSes défenseurs et amoureux ont désormais la certitude que cette édifice cultuel du XXe siècle construite par Henri Prouvé ne sera pas dénaturé.

    La mairie de Vandoeuvre n'avait pas caché au printemps dernier que l'acquéreur de l'église, qui compte la transformer en centre commercial, devait se débarrasser des fresques et des vitraux.

    La protection s'applique bien sûr au bâtiment principal de l'église mais également à ses annexes : chapelles, fresques et presbytère.

    Cette décision satisfait totalement le créateur Henri Prouvé, aujourd'hui retiré en Allemagne, ainsi que l'association Pierres & Patrimoine, présidée par Christine Ardizio, qui a porté le projet de sauvegarde de l'église et a effectué les démarches auprès de la DRAC en vue de cette inscription à l'Inventaire.

    Désormais, se pose la question du devenir de cette église contemporaine "abandonnée" par le diocèse...

    [source : L'Est Républicain]

  • Musée de Hennezel (Vosges) : un documentaire sur les verriers en préparation

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    [Vosges Matin]

  • Jacques Gruber et l'Art nouveau

    gruber.jpgJacques Gruber (1870-1936) appartient à la seconde génération des artistes de l'Ecole de Nancy. Gallé, Majorelle, les frères Daum ou Prouvé sont déjà des acteurs connus de l'avant-garde artistique quand Jacques Gruber revient à Nancy en 1893, après ses études à l'Ecole des beaux-arts de Paris.

    Entre 1893 et 1897, il collabore avec la manufacture Daum et crée des modèles de vases dans un répertoire figuratif historique ou mythologique. Avant de se consacrer de plus en plus au vitrail à partir de 1900, Gruber s'exprime dans des domaines très variés : affiches, menus et imprimés, peintures et pastels. Les projets réalisés avec René Wiener témoignent de son intérêt pour la reliure d'art. Sa participation à la création de la table La Source avec Louis Majorelle inaugure un travail sur les objets d'art et les pièces de mobilier. Avec un décor puisé au coeur de la nature, il propose des meubles privilégiant un mouvement dynamique et ondulant. Dans les années 1904-1905, Gruber collabore avec la manufacture de Rambervillers pour des modèles de pièces de forme et de céramique architecturale en grès. Pieds de lampe, vases, cache-pots et porte-parapluies montrent la science des formes inspirées par les plantes.

    Mais c'est bien en tant que maître verrier, spécialisé dans le vitrail, que Jacques Gruber connaît une véritable reconnaissance critique. Ses vitraux illustrent sa prédilection pour le répertoire végétal, mais également la recherche de composition savante et la maîtrise de techniques sophistiquées, atteinte grâce à la superposition de verres d'une grande variété.

    De 1893 à 1914, Jacques Gruber s'attache à expérimenter divers domaines de création et met au point son propre vocabulaire artistique, marqué par "la science analytique du dessin, le sentiment de la composition décorative comme synthèse et l'appropriation des matériaux à leur exécution".

    Ce catalogue est publié à l'occasion de l'exposition Jacques Gruber et l'Art nouveau. Un parcours décoratif organisée par la Ville de Nancy et le musée de l'Ecole de Nancy aux galeries Poirel, à Nancy, du 16 septembre 2011 au 22 janvier 2012.

     

    ‡ Jacques Gruber et l'Art nouveau. Un parcours décoratif, collectif, éditions Gallimard - Musée de l'Ecole de Nancy, 2011, 239 p., ill. (35 €).

  • Concert du Choeur des Trois Abbayes à Chantraine le 14 octobre

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    Le choeur des Trois Abbayes en concert à Dole (Jura).

     

    Le Chœur des Trois Abbayes se produira en concert

    le vendredi  14 octobre à 20h30 en l’église de Chantraine.

    Au programme : chants a capella de divers répertoires populaires basques, corses, italiens, russes, bulgares ainsi que de la liturgie orthodoxe russe et bulgare.

     

    Pour tout renseignement :
    Centre Culturel
    4 rue Claude Gellée, 88000 Épinal
    Tél. : 03 29 64 21 84 / 06 85 95 89 32
    Locations à l’Office de tourisme d’Epinal au 03 29 82 53 32
     
  • Bilan estival satisfaisant pour Saône Lorraine

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    [Vosges Matin]

  • Abbaye Notre-Dame d'Autrey (Vosges) : concert avec le Trio Majorelle le 15 octobre

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  • La Nouvelle revue lorraine n° 10 : l'identité lorraine portée haut et fort

    jean marie cuny,la nouvelle revue lorraine,nrl,lorraineJean-Marie Cuny, dans son éditorial du numéro d'automne de La Nouvelle revue lorraine pose d'emblée la question de la double fidélité : fidélité à la Lorraine et fidélité à la France. Et le sommaire répond à cette question en proposant des thématiques qui glorifient l'identité de notre région.

    Un hommage est tout d'abord rendu à SAI et R Otto de Habsbourg-Lorraine disparu en juillet dernier. Daniel Bontemps nous offre une méditation identitaire avec la vision de "sa" Lorraine et Olivier Petit revient sur une bataille qui marqua la vie des duchés : la bataille de Bulgnéville. Des figures lorraines défilent encore au long des pages : le père Rollin, Alexandre Chatrian, le cardinal Tisserant... et même "l'Alice", une figure inconnue des Lorrains mais une figure attachante de Lorraine... sans oublier le prince Rainier de Monaco qui passa par les Vosges !

    Notre histoire lorraine est encore abordée avec une présentation de la commanderie de Xugney ou le trésor Renaissance de Pouilly-sur-Meuse. Et on ne saurait oublier nos artistes régionaux : Anne Kienlen, Marc Visentin, Léon Husson...

    Bref, un 10ème numéro qui fera date et qui ne déroge pas à l'hommage que rend la NRL tous les deux mois au terroir, à l'histoire et aux traditions, comme l'affirme haut et fort son sous-titre !

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 10, octobre-novembre 2011 (7 €). En vente dans toutes les bonnes librairies lorraines ou par abonnement en envoyant vos coordonnées postales et votre règlement (36 € pour 6 numéros) à : La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

     

  • Châtillon-sur-Saône : la cité Renaissance prend ses quartiers d'hiver

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    [Vosges Matin]

  • La sainte lorraine du mois : sainte Menne

    ste menne.jpgL’actuel village de Soulosse-sous-Saint-Eulophe (Vosges), en latin Solicia et Solimariaca, était une importante station de commerce bien implantée au bord de la grande voie romaine de Lyon à Trêves, quelques dizaines de kilomètres avant la ville de Toul, chef-lieu de cette grande division administrative romaine qui deviendra le plus grand et le plus riches des diocèses lorrains.

    Dans la première moitié du IVe siècle, un noble gallo-romain de Soulosse, Bacius, avait quatre enfants : deux frères, Élophe, Euchaire, et deux sœurs, Libaire et Menne.

    Menne fut envoyée à Châlons-en-Champagne (Catalaunus) par son père, elle y fut consacrée vierge, elle refusa le mariage préparé par ses parents, et à la mort de ceux-ci, revint s’établir dans sa patrie, elle y mourut saintement.

    Les trois autres enfants connurent un destin plus tragique, lors de la persécution des chrétiens par Julien l’Apostat et furent tous trois décapités en 362. Ces martyrs "toulois" et leur sœur étaient fêtés dans tout le diocèse. Lors de la partition de celui-ci, le nouveau diocèse de Nancy conserva la mémoire des quatre saints jusqu’en 1955 : seul saint Euchaire, dont les reliques sont conservée dans le diocèse à Liverdun, a échappé à la réforme du calendrier de Nancy en 1955. Tandis que le diocèse de Saint-Dié conserve les mémoires d’Élophe, et de ses sœurs Libaire et Menne.

    Une chapelle Sainte-Menne est toujours le centre d'un pèlerinage local à Puzieux, à proximité de Poussay, dans la plaine des Vosges.

    Sainte Menne fut solennellement canonisée par la translation de ses reliques par Brunon, évêque de Toul, le 15 mai 1036. Elle est fêté le 5 octobre au calendrier liturgique du diocèse de Saint-Dié.

    [cliché : vitrail de Sainte-Menne]

    [source : http://www.introibo.fr/Sainte-Menne-vierge]

  • Charles de Foucauld. Lettres à son ami Henry de Castries

    lorraine,charles de foucauld,henry de castries,correspondanceLa correspondance de Charles de Foucauld avec Henry de Castries s'étend sur quinze ans, depuis l'ordination sacerdotale du Père de Foucauld (1901) jusqu'à la mort de celui-ci (1916) ; années sahariennes de Beni Abbès et de Tamanrasset, années spirituellement les plus épanouies et les plus créatrices du Bienheureux.

    Cette correspondance s'ouvre avec le plus précis, le plus beau récit que Charles de Foucauld a donné de sa conversion, récit qu'il confie à un ami très cher et très estimé. Elle révèle les conditions concrètes de la vie qu'il a menée au désert, non pas en ermite, mais en être relationnel ouvert à de multiples rencontres et en savant linguiste et ethnologue.

    Si nous n'avons pas les lettres d'Henry de Castries, la personnalité et la stature scientifique de celui-ci se découvrent à travers ces liens épistolaires : un explorateur, historien, spécialiste de l'islam. Charles de Foucauld a trouvé, dans son ami de Castries, un interlocuteur avec qui l'échange est d'emblée de haute volée.

    Cette correspondance s'achève par la publication d'une longue lettre écrite par Charles de Foucauld à René Bazin quatre mois avant sa mort, lettre où il est tout particulièrement question de son attitude envers l'islam et d'autre part de son désir intense de faire naître des vocations de "défricheurs évangéliques".

    Loin des images d'Epinal colportées sur la vie du Père de Foucauld, cette correspondance restituée donne de découvrir ce "lorrain du désert" dans son authenticité.

     

    ‡ Charles de Foucauld. Lettres à son ami Henry de Castries 1901-1916, Brigitte Cuisinier et Père Jean-François Six (présentation par), éditions Nouvelle Cité, 2011, 309 p. (21 €).

  • Europa-Scouts : rentrée sous le soleil à Bréménil

    Le premier week-end des Europa-Scouts nancéiens s'est déroulé sous le soleil dans une charmante localité de l'est meurthe-et-mosellan, Bréménil, à proximité de Badonviller.

    europa scouts,nancy,lorraine,guides,scouts,louvettes,louveteauxLe week-end des 1er-2 octobre a réuni la IIème Nancy Bienheureuse Alix Le Clerc et la IIIème Nancy Bienheureux Charles de Foucauld au village de Bréménil pour la première sortie de l'année 2011-2012.

    Les "petits" nouveaux et "petites" nouvelles ont été rapidement intégrés aux troupes plus aguerries à la vie en pleine nature !

    La journée de dimanche s'est achevée par une messe célébrée en l'église de Bréménil par l'abbé Bruno Stemler, aumônier des Europa-Scouts lorrains, prêtre de la Fraternité Saint-Pierre d'Epinal.

     

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    A l'issue de la messe, à la sortie de l'église de Bréménil (clichés ©H&PB).

     

     

    ‡ Vous pouvez encore inscrire vos enfants aux Europa-Scouts en contactant :

    > pour les filles : 06.75.34.69.14 (Sabine Rouquet)

    > pour les garçons : 06.19.19.10.69 (Philippe Schneider)

    ou par courriel : europascout_enf_nancy@yahoo.fr

  • Epinal : les militaires du 1er RT en Opex

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    [source : Préfecture des Vosges]

  • Les reconstructions des années 1920 et 1950 en Lorraine

    reconstructions.jpgLa Lorraine, par sa position frontalière, est l'une des régions qui fut la plus touchée par les destructions provoquées par les deux derniers conflits mondiaux.

    A la suite de la Première Guerre mondiale, les quatre départements lorrains font partie des treize départements touchés par les destructions. Après la Seconde Guerre mondiale, le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme dénombre en Lorraine plus de trois cents communes sinistrées : la région est celle qui a le plus souffert de l'occupation et de la libération.

    Les réalisations urbaines et architecturales des reconstructions successives vont ainsi fortement contribuer à dessiner le paysage lorrain tel qu'il se présente aujourd'hui. Elles restent cependant relativement méconnues.

    Les reconstructions ont pourtant créé un contexte qui voit l'émergence de pratiques totalement nouvelles. L'urgence, le recours à des matériaux nouveaux, la conscience que la situation offre une opportunité sans précédent de reconcevoir villes et villages, sont différents facteurs qui contribueront à transformer profondément l'urbanisme et l'architecture.

    L'ouvrage, publié par La Gazette Lorraine, propose de porter un nouveau regard sur le patrimoine de ces périodes, afin de le reconsidérer comme un ensemble digne d'intérêt et caractéristique de la Lorraine du XXe siècle.

     

    ‡ Les reconstructions des années 1920 et 1950 en Lorraine, collectif, éditions La Gazette Lorraine, 2011, 111 p., ill. (12 €).

  • Traditions : foire au boudin de Monthureux-sur-Saône dimanche 9 octobre

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    >> Plus d'info's sur www.monthureux.fr

  • Chapelle templière de Libdeau : une association de sauvegarde est née

    Le Comité pour l'étude et la restauration de la chapelle templière de Libdeau, association Loi 1901 dont le but est d'engager toute action ou démarche en vue d'assurer la conservation, la restauration et le développement culturel de la chapelle de l'ancienne commanderie templière de Libdeau est né le 17 septembre dernier.
     
    lorraine,libdeau,chapelle,templiers,commanderieL'association est désormais une réalité. Les statuts du Comité pour l'étude et la restauration de la chapelle templière de Libdeau ont été symboliquement signés le 17 septembre 2011, lors des Journées du Patrimoine, et enregistrés en préfecture de Meurthe-et-Moselle le 19 septembre 2011.
     
    Les membres fondateurs sont Bertrand Siffert qui assure la présidence, Philippe Frigério, secrétaire général, et son épouse Pascale qui assure la fonction de trésorière.
     
    Il s'agit bien sûr que d'une étape dans le long et difficile processus de sauvegarde de la chapelle. Mais désormais existe juridiquement une personne morale dont le but principal est consacré à cette tâche.
     
    En ce qui concerne l'évaluation financière des travaux d'urgence, l'association est toujours dans l'attente du devis qui est un préalable incontournable à la présentation de dossiers de demandes de subventions et d'aides.
     
    Les animateurs de cette nouvelle structure sont conscients de la situation critique dans laquelle se trouve l'édifice et en appellent à nouveau à la mobilisation et l'aide de tous les Lorrains (et de tous les amoureux du patrimoine !) pour soutenir cette action de sauvegarde d'un élément phare du patrimoine religieux lorrain.
     
    [cliché : état de la chapelle de Libdeau en 2011, ©Olivier Petit]
     
     
    ‡ Plus d'info's sur : http:/chapellelibdeau.blogspot.com

  • Samedi 29 Octobre à Paris : manifestation nationale contre l'antichristianisme

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    ‡ Plus d'info sur http://francejeunessecivitas.hautetfort.com 

  • Bleurville : le mur de soutènement de l'ancien cimetière restauré

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    [Vosges Matin]

  • Jean de Pange, de Koufra au Normandie-Niemen (1940-1945)

    koufra.jpgIl s'agit de la réédition des souvenirs du Lorrain Jean de Pange qui s'engagea dans l'armée de l'air à 20 ans au début de la Seconde Guerre mondiale. Ces souvenirs, qui vont de la campagne de France en 1940 à celle de l'Afrique française libre, au Gabon, au Tchad, à Koufra, puis en URSS avec le glorieux régiment Normandie-Niemen, se lisent comme un roman d'aventures.

    C'est toute la France libre des aviateurs qui revit dans ces pages brûlantes et directes. Un livre rare où rigueur, force, courage et générosité emplissent ces pages qui honorent des combattants de la liberté, des français libres.

    En 1940, Jean de Pange prend part à la campagne de France comme sous-lieutenant navigateur bombardier et dès le 16 juin décide de partir pour l'Angleterre afin de poursuivre le combat contre les troupes d'Hitler. En arrivant sur le territoire britannique, il apprend qu'un certain général De Gaulle a lancé le 18 juin un appel pour demander aux Français de poursuivre la guerre.

    Engagé dans la France Libre, sa vie ne sera, de 1940 à 1942, qu'une suite ininterrompue de campagnes : Gabon, Koufra, Ethiopie, Erythrée, bataille de l'Atlantique.

    En 1942, il recrute les premiers volontaires de l'escadrille Normandie-Niemen avec laquelle il opère deux ans sur le front russe, de 1942 à 1944. Il rentre en France juste à temps pour participer au défilé de la Victoire, le 18 juin 1945.

     

    ‡ De Koufra au Normandie-Niemen, Jean de Pange, éditions Serpenoise, 2011, 345 p., ill. (29 €).