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animaux

  • Tignécourt (88) : 10e Rencontres Natur'images les 9-10 avril 2016

  • Petites bêtes des forêts de Lorraine et d'Alsace

    Les éditions du Quotidien nous invitent à poursuivre la découverte de la faune dans le Grand Est. Et si aujourd'hui on allait se balader en forêt ? Voilà une proposition qui séduit de plus en plus. Mais savez-vous que vous n'êtes pas seuls à profiter de la protection des frondaisons lorraines et alsaciennes, et à côté des hordes de moustiques tant redoutées, se cachent des milliers de petites bêtes méconnues, certaines inquiétantes, d'autres fascinantes.

    Oui, mais comment les découvrir et les observer ?

    C'est pour répondre à ces légitimes interrogations que ce guide a été conçu. Facile à glisser dans un sac à dos, il est d'utilisation simple grâce à son classement par milieu. Ses 484 photographies inédites et ses fiches descriptives permettent d'identifier rapidement le groupe auquel appartient l'animal rencontré.

    Ses anecdotes et ses encarts renseignent sur les mœurs de plus de 250 espèces de nos forêts et plus généralement sur l'organisation complexe de l'écosystème forestier.

    Alors partez en exploration... muni de ce sympathique guide !

     

    ‡ A la découverte des petites bêtes des forêts de Lorraine et d'Alsace, Jean-Yves Nogret et Stéphane Vitzthum, éditions du Quotidien, 2015, 253 p., ill. (24 €).

  • Saône Lorraine : 6ème Rencontre "Natur'images"

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  • "Sous les ailes du temps", nouveau livre animalier de Fabrice Cahez

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    [Vosges Matin]

  • Tignécourt (Vosges) : 4ème rencontres Natur'images

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  • Vers la disparition des haies vosgiennes ?

    L'indifférence quasi-générale qui entoure la disparition des haies de paysages jadis bocagers, risque à terme d'avoir des conséquences irréversibles sur l'environnement.

     

    haie vosgienne.jpgSous son apparence passe-partout et derrière ce petit air de déjà-vu qui, au fil du temps, l'a rendue presque invisible, la haie est un élément déterminant de l'environnement bocager. Ainsi, au-delà de sa fonction paysagère évidente, elle participe de la protection microclimatique, de la protection des sols, de la production de bois de chauffage ainsi que de la conservation de la flore et de la faune locales. Or malgré toutes ces qualités qui lui ont jusqu'à présent permis de traverser les siècles, la haie, cette "clôture" végétale délimitant un champ ou un jardin, est menacée.

    Une espèce en voie d'extinction, voilà ce que cette "forêt linéaire" est vouée à devenir si le processus n'est pas rapidement inversé. Or l'ennemi est de taille puisqu'il s'agit de la pression économique, un ennemi multiforme qui peut tantôt prendre l'aspect administratif d'un remembrement, aujourd'hui rebaptisé AFAF (aménagement foncier forestier et agricole), tantôt celui du "pragmatisme" agricole.

    Convention de secours

    En la matière, même la convention sur les haies et arbres d'alignement signée entre le conseil général, la DDEA, le CAUE, la chambre d'agriculture et la fédération de chasse, reste impuissante face à la mauvaise volonté de certains propriétaires qui ont décidé de rayer les haies de leurs parcelles. La convention n'a en effet pour seules armes que la sensibilisation sur l'intérêt des haies et la promotion de leur plantation. Pour tous ces projets, le Conseil général et la Fédération de chasse se sont engagés à financer - ou trouver le financement - à une hauteur maximale de 80 % d'aides publiques (50 % Département, 30 % FDCV), la part d'autofinancement restant à la charge du porteur de projet se montant à 20 % minimum.

    "Nous sommes attachés à maintenir le paysage tel qu'on le connaît chez nous, explique Gérard Mathieu, président de la fédération départementale de chasse. Or aujourd'hui ce qui était ordinaire est devenu extraordinaire."

    En novembre dernier a été signée une seconde convention prorogeant la première et, à ce jour, une dizaine de milliers d'euros "publics" ont été dévolus à des projets de plantation de haies, qu'elles soient basses et peuplées de myrtilliers, framboisiers, noisetiers ou églantiers, ou bien qu'elles soient de "haut ou moyen jet" à partir d'arbres fruitiers ou d'essences plus forestières. " Normalement, tout le monde devrait y trouver son compte, note Gérard Mathieu. La haie est un corridor écologique entre la forêt et le monde agricole. Tout le monde s'émeut à voir une alouette des champs, des grives et tous les petits passereaux migrateurs, les escargots aussi… Or quand on sait qu'il faut quinze à vingt ans pour qu'une haie ait un véritable effet sur le territoire, que toutes ses essences s'y développent… !"

    Biodiversité

    vue bleurville 11.11.05.JPGPreuve que la haie est véritablement un corridor, il n'existe pas de faune typiquement bocagère. On y trouve à la fois des espèces de champs ouverts, des espèces de bois, de marais ou de landes, ce qui prouve aussi que la haie est en quelque sorte une zone neutre où toutes les espèces cohabitent sans qu'aucune d'elles (oiseaux, insectes, mammifères ou reptiles) ne domine véritablement

    Mais plus le paysage s'uniformise, plus les cultures se simplifient, plus les haies se raréfient, plus la faune s'appauvrit, sachant que sur une vingtaine de mètres de haie on compte en général une centaine d'espèces différentes. Tous ces petits ou gros habitants forment une chaîne alimentaire complète où les végétaux nourrissent les insectes, lapins, tourterelles, écureuils, mulots, escargots et autres campagnols à la merci des hérissons, merles, orvets, crapauds, lézards, mésanges ou bergeronnettes, lesquels alimentent eux-mêmes les hiboux, belettes, vipères ou couleuvres.

    Faut-il pour autant se réjouir lorsque l’on voit se développer sur certains territoires – celui de Bleurville, dans le canton de Monthureux-sur-Saône, en particulier – des haies qui deviennent de véritables buissons d’épines et qui « mangent » progressivement une partie des terres cultivables… On a un peu l’impression d’être revenu au Moyen-Âge !

     

    [d’après Vosges Matin | 27.07.09]

  • Rencontres Natur'Images à Tignécourt (Vosges) du 3 au 5 avril 2009

    natur'images 2009.jpgPhotographes et amoureux de la nature ont rendez-vous aux "Rencontres Natur'Images" à la Maison de la Nature et de la Forêt de Tignécourt (Vosges, entre Lamarche et Monthureux) du 3 au 5 avril 2009. Projections de films animaliers, expositions photos, dessins animaliers, stage photographie… seront proposés au public durant ces deux jours.

     

    >> Organisation et renseignements :

     

    CODECOM du Pays de la Saône Vosgienne

    108 rue du Général-Leclerc

    88410 Monthureux-sur-Saône

     

    >> Tél. : 03 29 07 57 84

    >> Courriel : pays.saonevosgienne@wanadoo.fr

     

    >> Programme des Rencontres Natur’Images sur http://naturimages.unblog.fr

     

     

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  • Photos nature en Saône vosgienne

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    RENCONTRES NATUR'IMAGES
    5 ET 6 AVRIL 2008
    MAISON DE LA NATURE ET DE LA FORÊT
     A TIGNECOURT (VOSGES, ENTRE LAMARCHE ET MONTHUREUX-SUR-SAÔNE)
    FORÊT GEREE PAR LE CONSEIL GENERAL DES VOSGES
    Rencontres photographiques, expositions et projections, stages photos et promenades photographiques avec des photographes animaliers (Fabrice Cahez, Frédéric Fève, François Nowicki...)
    Renseignement :
    Communauté de Communes du Pays de la Saône Vosgienne
    Tél. : 03.29.07.57.84