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  • L'architecture du XXe siècle dans le Grand Est

    Ce beau livre illustré regroupe une sélection de bâtiments qui, en région Grand Est - dont de nombreux en Lorraine (églises, bâtiments publics, civils et industriels), ont obtenu le label « Patrimoine du XXe siècle », devenu depuis le 7 juillet 2016 le label « Architecture contemporaine remarquable ».

    Dus à des architectes de renom international (Renzo Piano, Jean Nouvel), à des maîtres d’œuvre plus modestes ou à des ingénieurs, les exemples proposés sont soit exceptionnels dans leur programme (l’attraction « Anaconda » du parc Walygator, près de Metz) soit parfaitement représentatifs d’une typologie singulière à certains moments du siècle (comme la Reconstruction post-conflits, la construction de grands sièges sociaux d’entreprises dans les années 1970 ou les piscines Tournesol) et font appel à des matériaux et des techniques de mise en œuvre variés.

    Chacun des 11 chapitres correspond à un thème : apprendre/reconstruire/prier/travailler/se divertir/produire… Chaque création architecturale est replacée dans son contexte et commentée par un spécialiste, tandis que les photographies parfois spectaculaires dévoilent des angles de vue moins connus du grand public. L’ensemble met en exergue la richesse du XXe siècle en matière d’architecture et la vitesse avec laquelle elle prend forme et se transforme sous le coup des conflits qui ont traversé ce territoire, des booms et crises économiques, de la démocratisation de la cité notamment en matière d’instruction et de culture, mais aussi de production et consommation.

     

    ‡ L'architecture du XXe siècle Grand Est, collectif, éditions Lieux-Dits, 2018, 288 p., ill., 40 €.

  • Monthureux-sur-Saône (88) : 37ème AG de Saône lorraine le 15 avril 2018

  • La Tour Eiffel célébrée au Musée du Fer de Jarville-la-Malgrange (54)

  • Nancy a commémoré le 102e anniversaire de la mort du colonel Driant

    Les porte-drapeaux rendent les honneurs au colonel Driant devant la plaque commémorative, place Driant à Nancy [cl. ©H&PB].

    102 ans plus tard, la Ville de Nancy s'est souvenue de son député, le colonel Emile Driant, tombé au champ d'honneur le 22 février 1916 au Bois des Caures, près de Verdun, au côté de ses valeureux chasseurs.

    La cérémonie patriotique était présidée par Eric Freysselinard, préfet de Meurthe-et-Moselle et arrière-petit-fils du président de la République lorrain Albert Lebrun.

  • Nancy rend hommage au colonel Emile Driant

    Il y a 102 ans, le 22 février 1916, le colonel Emile Driant était tué au Bois des Caures à Verdun

    A l’occasion du début de la bataille de Verdun, les bataillons de chasseurs de Driant ont été quasiment anéantis par le pilonnage d'artillerie et l'assaut de l'infanterie allemande. Ayant largement ralenti la progression du général Falkenhayn, Driant ordonne à ses chasseurs survivants de se replier. Il tombe vers 15h00 frappé d'une balle à la tempe. Il avait 60 ans.

    Officier saint-cyrien brillant, il est à plusieurs reprises sanctionné pour des articles publiés sans autorisation dans lesquels il défend la mémoire de son beau-père, le général Boulanger, ou bien dénonce trop vigoureusement « l'affaire des fiches » du ministre de la guerre franc-maçon, le général André.

    En 1905, sa carrière étant définitivement compromise, il se lance en politique avec l'appui de Déroulède et Barrès et est élu député à Nancy. Il poursuit parallèlement son activité d'écrivain, sous le nom de « Capitaine Danrit », nom d’emprunt adopté alors qu'il était encore militaire. Talentueux, il écrit une vingtaine de romans d'anticipation ayant pour thème la guerre prochaine et remporte un vif succès à chaque parution. Il devient ce que l'on appellerait aujourd'hui un "best-seller" du thriller technologique.

    Lorsqu’éclate la guerre, il est toujours député et a 59 ans. Il demande malgré tout son incorporation.

     

    ‡ La Ville de Nancy lui rendra hommage samedi 24 février en après-midi lors d'une cérémonie place Driant, proche de la porte Saint-Georges.

  • Exposition "Naissance et patrimoine de Pont-à-Mousson" du 21 au 27 avril 2018

  • Les animations 2018 des Amis d'Alfred Renaudin

     Les Amis d'Alfred Renaudin vous invitent à participer à leurs prochaines animations 2018 :

    - mardi 6 mars à 20h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Adjugé, vendu" de Maître Teitgen

    - samedi 14 avril à 15h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Marguerite Delorme" d'Astrid Mallick
     
    - samedi 28 avril à 15h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Art en ciel lorrain" de Robert Florentin (voir en PJ) suivie à 17h de l'Assemblée Générale de l'association
     
    - Week-end des 5/6 mai : participation aux Journées d'histoire régionale à Saint-Dié
     
    - samedi 9 juin, sortie "sur les traces d'Alfred Renaudin" à Varennes-en-Argonne
  • Vioménil (88) : conférence sur les recherches archéologiques à Vioménil

  • La république en chaire protestante (XVIIIe-XIXe siècles)

    Loin d’être un discours seulement religieux, le sermon permet aux orateurs protestants de délivrer un message sur la res publica, c’est-à-dire l’intérêt général, les fondements et principes de l’organisation de l’État, la souveraineté et enfin le bien public.

    Cet ouvrage examine la place de la prédication dans les protestantismes et cerne les moyens dont disposent les pasteurs pour acquérir l’éloquence nécessaire à cette prise de parole, dans la clandestinité comme dans la légitimité acquise avec la Révolution française, jusqu’à la décennie 1840-1850.

     

    ‡ La république en chaire protestante XVIIIe-XIXe siècles, Céline Borello, PUR, 2018, 336 p., ill., 25 €.

  • Les prisonniers de guerre (XVe-XIXe siècle)

    La thématique des prisonniers de guerre reste peu connue pour l’époque moderne, au moment où les armées connaissent massification et nationalisation de leurs effectifs.

    Fruit du colloque organisé à Nancy par l'Université de Lorraine, le présent livre aborde divers aspects de cette question et le cheminement jusqu’au moment où se développent et s’institutionnalisent droits et statuts des prisonniers de guerre, du XVe au XIXe siècle. L'ouvrage aborde les thèmes de la capture et les conditions de la captivité au cours de différents conflits qui marquèrent la période.

     

    ‡ Les prisonniers de guerre (XVe-XIXe siècle). Entre marginalisation et reconnaissance, Laurent Jalabert (dir.), PUR, 2018, 296 p., 29 €.

  • Domremy (88) : Une souscription pour sauvegarder la basilique Sainte-Jeanne d’Arc

    727 655,82 €. Tel est le montant de la première tranche des travaux qui débuteront courant mars en la basilique Sainte-Jeanne d’Arc à Domrémy-la-Pucelle.

    Des travaux dits d’urgence qui concernent le dôme, le chœur, la nef, les versants Est et Ouest du transept de l’édifice, ainsi que la réfection de l’installation électrique intérieure et le joug des cloches. « Le bâtiment est malade. Nous avons notamment constaté des fuites d’eau au niveau du dôme », souligne Jackie Frémont, délégué départemental de la Fondation du patrimoine Vosges.

    Le projet est soutenu à hauteur de 30 % par la Région Grand Est et 40 % par la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). Pour boucler le budget, le diocèse de Saint-Dié, propriétaire de l’édifice, compte sur le soutien des particuliers. Un appel au mécénat populaire vient en effet officiellement de démarrer, initié par la Fondation du patrimoine. « Cette basilique est un lieu unique. Pour l’Église, mais aussi pour la France car elle est chargée d’Histoire », note Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, qui a fait le déplacement pour le lancement de la souscription.

    Cette première tranche de travaux est prévue pour durer plusieurs mois. D’autres suivront au cours des années à venir, avec un montant total estimé entre 5 à 6 millions d’euros. « Nous démarrons par le plus urgent car la basilique est en danger si des travaux ne sont pas effectués », ajoute Jackie Frémont, qui ne doute pas que les donateurs seront au rendez-vous : « Les particuliers - et les croyants - sont attachés à leurs églises. » D’autant que le lieu est chargé de symboles, spirituels - Jeanne n'est-elle pas la plus grande sainte chrétienne ? -, mais aussi culturels avec, par exemple, le festival Jeanne d’Arc.

    À noter qu’une souscription avait déjà été lancée il y a trois ans pour la restauration d’une toile de Montchablon, qui se trouvait à l’origine dans la crypte de la basilique. Très dégradée, elle est en cours de rénovation dans un atelier alsacien. Elle devrait faire son retour en avril.

     

    ‡ Don défiscalisé possible sur le site internet www.fondation-patrimoine.org

  • "Tour Eiffel made in Lorraine", une exposition au Musée du Fer de Jarville

  • Mirecourt et son histoire par les Amis du Vieux Mirecourt-Regain

  • Hommage à Drouot et à l'initiateur de la restauration de sa statue nancéienne

  • Un livre pour les "Beaux villages lorrains"

  • 22ème Salon de peinture et sculpture de Dombasle-sur-Meurthe du 17 au 25 février 2018

  • Entrée en Carême : messe du mercredi des Cendres

    Imposition des cendres, enluminure, XIVe s., missel romain, Avignon.

    Mercredi des Cendres, entrée en Carême.

    Bénédiction et imposition des cendres puis messe

    en l'église Marie-Immaculée

    33 avenue Général Leclerc à Nancy

    Mercredi 14 février 2018 à 18h30

    (messe selon la forme extraordinaire)

  • Hiver 1917-1918 - Les coups de main de Flirey et de Moncel-sur-Seille

  • Nancy : les 140 ans de l'association général des étudiants

    Le 2 février dernier, une plaque commémorative rappelant la création, il y a 140 ans, de l’Association générale des étudiants de Nancy a été dévoilée rue Gustave-Simon, sur la façade du Musée des Beaux-Arts de Nancy par les élus et des étudiants.

    C’est là, derrière cette façade, reconstruite en 1999 lors de l’extension du Musée, que s’est développée l’Association générale des étudiants de Nancy (AGEN), avec une bibliothèque et un restaurant universitaire bon marché. L’AGEN fut la première association générale des étudiants de France ; son modèle fut d’ailleurs repris dans la plupart des villes universitaires. Fondée en 1877 sous le nom d’Union des étudiants, elle reste, 140 ans après, la doyenne des associations d’étudiants – mais en sommeil car jamais dissoute.

    A l’occasion de l’inauguration de cette plaque, l’association Cité des Mémoires Étudiantes proposait une rétrospective sur les associations d’étudiants dans les murs du Groupe des étudiants catholiques (GEC), cours Léopold, autre site emblématique de la vie étudiante nancéienne.

  • "Le Roum", le spahi du général de Gaulle

    Le XXe siècle recèle encore des personnages extraordinaires à découvrir, des héros au sens propre auxquels l’Histoire n’a pas rendu justice.

    Le « Roum », illustre spahi et spécialiste de la reconnaissance militaire, fait assurément partie des plus étonnants.

    Compagnon de guerre du général de Gaulle, officier hors pair et personnalité hors norme, le général-comte Nicolas Alexandre Roumiantzoff, a vécu tous les embrasements du XXe siècle, avec une fougue, une liberté d’esprit et un humour peu communs, qui sont sa signature. Ce fils d’un général du tsar Nicolas II tué au champ d’honneur durant la deuxième guerre des Balkans et immigré en France lors de la révolution russe de 1917, a joué un rôle de premier plan dans la victoire des Alliés et a toujours été présent aux rendez-vous de l’Histoire. Ce guerrier, que le général de Gaulle appelait amicalement « le Roum », a connu les fastes du Paris des années 30, la Légion étrangère, les geôles espagnoles de Ceuta, dont il s’évade spectaculairement pour rallier la France Libre, la bataille d’El-Alamein, pour arriver le premier en août 1944 au pied de l’Arc de triomphe, avec le 1er régiment de marche de spahis marocains de la 2e DB. Il contribua également, à la tête de ses spahis, à la libération du sud-ouest des Vosges lors de la bataille de Dompaire les 13 et 14 septembre 1944 ; Darney, Contrexéville et Vittel lui doivent leur libération.

    Son fils, Nicolas Pierre Roumiantzoff, rend toute sa grandeur à ce héros méconnu de la Libération, personnage inouï d’un siècle tourmenté, dans lequel il n’a cherché, au-delà de la gloire et des honneurs, qu’à accomplir en soldat ce que l’Histoire attendait de lui.

     

    ‡ "Le Roum". Le spahi du général de Gaulle, Nicolas Pierre Roumiantzoff, Le Cherche Midi éditeur, 2018, 271 p., ill., cartes, 19,50 €.

     

  • Georges Chenet, itinéraire d'un archéologue lorrain

    Un ouvrage de Colette Méchin en souscription consacré à la biographie de "Georges Chenet, de l'Argonne à la Syrie, itinéraire d'un archéologue"...

  • L'Echo des Trois Provinces n° 192 est paru

    Le 192ème numéro de L'Echo des Trois Provinces est paru !

    Vous y lirez avec intérêt de bons articles sur l'histoire de notre pays d'entre Lorraine, Franche-Comté et Champagne ainsi que des anecdotes et la chronique de la vie dans la région.

    Ainsi, vous découvrirez à Fontenoy-le-Château, Nicolas Gilbert le poète malheureux, l'histoire des Suédois lors de la guerre de Trente Ans au Pays des 3 Provinces, châtillon-sur-Saône labellisé "beau village lorrain", les Cahiers de Melle Marchal de Lamarche, Claude François Ducharnoy un médecin d'avant-garde à Vauvillers, le général Marcot de Vauvillers, l'histoire de la cuisine, petites histoires de nos amies les bêtes, le bilan des visites estivales, une taque de cheminée aux armes des ducs de Lorraine, Haute-Marne - Vosges : les résistants du train fantôme, etc.

  • Val-et-Châtillon (54) : les Amis d'Alfred Renaudin invitent Me Teitgen pour une conférence le 6 mars 2018

  • La Nouvelle revue lorraine n° 48 : les oeuvres statuaires à Pont-à-Mousson

    Nouveau numéro et nouvelle périodicité pour La Nouvelle revue lorraine à compter de ce début d'année : désormais, votre revue préférée paraîtra tous les trimestres (au lieu d'une périodicité bimestrielle), à chaque nouvelle saison : le 25 janvier, le 25 avril, le 25 juillet et le 25 octobre. Et avec plus de pages en couleurs !

    Dans le dernier opus, vous découvrirez un riche sommaire (la revue passe à 66 pages en couleurs !) : vous y lirez notamment des articles et anecdotes sur les œuvres statuaires à Pont-à-Mousson, quand le presbytère ferme ses volets, la commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître à la fin de l'Ancien Régime, le faubourg Saint-Pierre de Nancy, la canicule du Léon, mort d'un prêtre en déportation, le général Antoine Drouot, des contes pour la veillée, René II le duc qui défia le puissant duc de Bourgogne...

     

    ‡ Commande et abonnement sur www.nouvelle-revue-lorraine.fr

  • Souscription pour l'acquisition de la lance d'apparat de Cutry (54)

    Plus d'infos et souscription en ligne sur www.societe-histoire-lorraine.com

  • Le destin manqué de Charles-Alexandre de Lorraine

  • Présentation de Jésus au Temple ou fête de la Purification de la Vierge Marie

    La fête de la Présentation de Jésus au Temple ou fête de la Purification de la Vierge Marie est célébrée le 2 février, quarante jours après la Nativité de Notre Seigneur Jésus-Christ.

    Cette fête correspond à la présentation de Jésus au Temple (Luc 2, 22-38) : « Et lorsque furent accomplis les jours pour leur purification, selon la loi de Moïse, ils l'emmenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur ».

    On célèbre traditionnellement la Chandeleur ce jour-là.

  • Ce feu qui me dévore

    Bernard pourra-t-il un jour dire toute la vérité ? Sur l'incendie criminel qui a dévasté sa famille et sa vie en Lorraine. Sur le secret qu'il est le seul à connaître vraiment, qui mêle à la fois la folie, l'amour, la jalousie et, à l'origine, la souffrance muette d'un enfant malaimé.
     
    A tout juste dix-huit ans, Bernard Bertin est désigné coupable de l'incendie criminel qui a tué sa mère et laissé pour mort son père. Depuis toujours, un feu contenu brûle en lui : une sensibilité à fleur de peau, une posture solitaire et secrète ont fait de lui un enfant incompris. Après sa peine de prison, il revient vivre sur les lieux du drame, à Metz. Il est devenu écrivain et n'a jamais levé le voile sur son histoire. La vraie et insoupçonnée. Celle qui se tramait derrière la façade bourgeoise de la maison familiale. A la faveur de ses retrouvailles avec Alexandra, son amour de jeunesse, Bernard est poussé dans ses derniers retranchements.
     
    Parviendra-t-il, enfin, à panser les plaies du passé, à révéler les souvenirs douloureux d'une enfance qui n'en fut jamais une ?
     
    ‡ Ce feu qui me dévore, Paul Couturiau, éditions Presses de la Cité, 2018, 380 p., 20 €.