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1er avril 2012 : Marché de Pâques au musée de Hennezel-Clairey (88)
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Papa, prisonnier de guerre 1939-1945
Partez à la découverte de lʼhistoire dʼune famille dans la tourmente de la deuxième guerre mondiale. L'épisode des prisonniers de guerre du conflit 39-45 nʼa pas lʼintensité dramatique des mémoires de poilus dans les tranchées ou des survivants des camps de la mort, mais il témoigne pourtant dʼun passé commun à nombre de foyers français. Et vosgiens !
Daniel Maurice publie un ouvrage inédit sur la correspondance échangée entre Henri, son père détenu en stalag durant la Seconde Guerre mondiale, et son épouse Madeleine, habitant Saulxures-sur-Moselotte avec ses deux enfants. L'ouvrage s'appuie sur les lettres que se sont envoyées les époux entre la France et l'Allemagne et les diaires intimes, exhumés récemment, qu'ils ont tenus chacun de leur côté pour témoigner de leur vécu en l'absence de l'autre.
Le livre est complété par des clichés, des anecdotes et des souvenirs qui viennent renforcer la qualité et la profondeur de cette chronique quotidienne. Ces documents familiaux permettent de pénétrer dans le secret de la vie du prisonnier et le quotidien de la vie de sa femme et de ses enfants dans les Vosges occupées. C'est la guerre vue autrement qu'avec l'oeil de l'historien ou du militaire. Les difficultés matérielles de la vie au stalag ou dans la France occupée côtoient le travail incroyable de la jeune mère de famille et les souffrances morales de la séparation...
L'ouvrage a valeur d'exemple pour les enfants d'anciens PG mais aussi pour toute la jeune génération qui découvrira avec intérêt - et sûrement étonnement - la vie de Français séparés par la guerre.
‡ Papa, prisonnier de guerre. Une famille dans la tourmente 1939-1945, Daniel Maurice, éditions Edhisto, 2011, 352 p., ill. (21 €).
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A Bleurville, au coin de la cheminée vosgienne...
Les équipes du 13 Heures de Jean-Pierre Pernaut ont posé récemment leurs caméras et leurs micros à Bleurville. Le temps de se caler au coin du feu d'une cheminée vosgienne... et de faire la visite de la dernière exploitation de carrières de grès des Vosges : la société Sebeler à Bleurville.
Bon, il y a les inévitables "clichés" sur les Vosges (c'est normal, les Vosges vues de Paris c'est le bout du monde !), le froid, la forêt omniprésente... mais vous découvrirez surtout, dans ce mini reportage, le savoir-faire de cette entreprise innovante, installée en milieu rural. Et qui fait la réputation de nos Vosges... et de Bleurville !
[cliché : ©Musée Lorrain, Nancy]
‡ Découvrez le reportage de TF1 ici : http://videos.tf1.fr/jt-13h/au-coin-de-la-cheminee-en-gres-dans-les-vosges-6967007.html
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Poursuivre le développement du Pays des Trois Provinces
[Vosges Matin]
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Bleurville (Vosges) : concours de belote le 11 mars avec le Comité des fêtes
[Vosges Matin]
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La foire aux andouilles du Val d'Ajol : une tradition à préserver
« Je fais toujours l’andouille devant le public. C’est mon métier. Mais le faire avec une andouille entre les mains et surtout devant cette salle des fêtes où je me suis produit à plusieurs reprises, c’est bien la première fois. » Intronisé, hier midi lors de la 47 e édition de la célèbre fête ajolaise, troubadour enchanteur-dépendeur honoris causa, Claude Vanony n’a pas perdu une once de son célèbre humour. Il était chez lui au Val d’Ajol comme dans toutes les communes vosgiennes où il s’est un jour arrêté. « Je suis un amuseur. J’ai quand même un métier fantastique : celui de faire rire les gens. »
Au moment de la prestation de serment, ses fans applaudissent, puis veulent poser pour une petite photo souvenir ou dédicacer un billet de l’Olympia où l’homme s’est produit il y a quelques semaines. Les visiteurs de cette foire ajolaise apprécient. Comme une vieille habitude.
Claude Vanony savoure. A l’image de ces petits toasts proposés par trois jeunes ajolaises Lorine, Marie et Cloé. « Je l'ai dégusté souvent en casse-croûte. Il n’y a pas de moment particulier. Mais ce que je préfère, c’est la manger chaud avec des pommes de terre. C’est vraiment excellent ! ». Le comique vosgien ne compte plus les intronisations auxquelles il a participé. « L’une des premières, c’était à Rambervillers lors de la foire à la tête de veau », se souvient-il.
Ce mets ou plutôt ces spécialités lui ressemblent, lui l’homme attaché au terroir vosgien, à ces terres qui l’ont vu naître voici 76 ans. « Cette fête comme les autres organisées partout dans les Vosges fait partie de notre identité et de nos traditions. On doit tout faire pour la préserver. C’est un folklore à préserver. »
Heureux tout simplement d’être ce représentant vosgien dans la vie de tous les jours et sur scène. « Ce type de manifestation permet d’expliquer aux Parisiens que l’on sait bien vivre dans les Vosges et faire la fête comme il se doit », évoque-t-il encore sur le ton de l’humour.
Comme un contre-pied à la caricature de la Déodatie proposée par l’humoriste parisien Laurent Gerra il y a quelques semaines sur l’antenne d’une radio nationale. D’où la proposition de Claude Vanony : « Je connais Laurent. Alors pourquoi ne pas l’introniser l’an prochain afin de lui montrer une partie de nos traditions. Ce serait une belle idée. » Celle-ci pourrait faire son bonhomme de chemin. « Mais attention, ici, les intronisés ne sont pas rémunérés. Ils viennent juste pour le plaisir. Il n’y a pas de star, juste les andouilles », prévient en souriant Jacques Racadot, grand dépendeur de la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux.
[d'après Vosges Matin]
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Le saint lorrain du mois : saint Gundelbert
Saint Gundelbert fut évêque de Sens (Yonne). Après la mort de Clovis II (+657), il quitta son siége, vint au diocèse de Toul et s’y retira en un lieu fort désert, situé vers la source de la rivière de Meurthe.
A cet endroit, secondé par les libéralités de Childéric II (+675), il bâtit une abbaye qu’il nomma Senones, du nom de la cité dont il avait été évêque et qui se dit en latin Senonœ (Sens).
La tradition veut que, dans la suite, il ait quitté cette abbaye pour se retirer à Moyenvic (Moselle), près du tombeau des saints Pient, Agent et Colombe, où il mourut et où l’on pense qu’il est inhumé.
L'Eglise le fête au calendrier liturgique en ce 21 février.
[source : www.introibo.fr]
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Les racines de la passion
[Vosges Matin]
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L'Echo des Trois Provinces bientôt en ligne
[Vosges Matin]
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Les activités de février du Cercle d'études de Contrexéville
Saint Basle, patron de la chapelle de Lignéville (Vosges), vitrail, XIXe s.
Découvrez les activités de février du Cercle d'études locales de Contrexéville en cliquant sur le fichier ci-dessous :
[courtoisie de Gilou Salvini, président du CELC]
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Pays de la Saône vosgienne : "De bals en balle"
La Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne nous prie d'insérer l'information suivante :
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Bleurville : 20ème anniversaire du jumelage avec Chichery-la-Ville
[Vosges Matin]
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Charmes (Vosges) : le Ruban du patrimoine pour la "Maison des Loups"
[Vosges Matin]
Précision historique : contrairement à ce qu'écrit notre journaliste, ce n'est pas en 1563 que fut signé le traité de Charmes entre Richelieu et le duc de Lorraine (et non le roi !) Charles IV, mais en 1633. Ce traité livrait Nancy aux Français. Charles IV, duc bagarreur, ne respecta pas les clauses et reprit Charmes. En représailles, la cité fut reprise par les Français et entièrement brûlée par le colonel de Gassion.
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Faites chauffer l'alambic !
Depuis fin octobre, la campagne de distillation est ouverte aux amateurs d'eaux-de-vie. Dans les Vosges, il existe encore des ateliers communaux comme à Xamontarupt où l'on peut perpétuer cette tradition.
[Vosges Matin]
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Grand (Vosges) : une villa gallo-romaine des Ier-IIIe siècles mise au jour
Vue aérienne de la zone fouillée à Grand (Vosges), 2011 (cliché ©Inrap)
Entre juin et octobre 2011, en amont de la création d’un lotissement, une fouille menée à Grand, dans l'Ouest vosgien, par les archéologues de l'Inrap, a permis la mise au jour d'une imposante villa des Ier-IIIe siècles au pied du rempart de l’agglomération gallo-romaine.
Vous pouvez prendre connaissance du compte rendu de fouilles en cliquant ici Grand_fouilles INRAP_2011.pdf
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Bleurville : marché bio d'hiver samedi 4 février
Après la « trêve des confiseurs », les artisans et producteurs de l’association du Marché bio de Bleurville (MBB) déploieront de nouveau leurs étals samedi 4 février de 14 h 00 à 18 h 00, place du Prince.
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Bleurville : première manoeuvre des pompiers
[Vosges Matin]
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Les "Zeppelins" dans les Vosges
[Vosges Matin]
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Bleurville : union et espoir pour les voeux communaux
[Vosges Matin]
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Bleurville : les aînés réunis pour la fête de Saint Maur
[Vosges Matin]
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L'église du Haut-du-Tôt (Vosges)
[Vosges Matin]
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La région de Neufchâteau au Moyen Âge
[Vosges Matin]
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Bleurville : le recensement s'organise
[Vosges Matin]
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6e Centenaire de Jeanne d'Arc : des cartes postales et des images d'Epinal
‡ Pour commander, utilisez le bon de commande ici : bon de commande_6e centenaire.pdf
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La Lettre 2012 des Amis de Saint-Maur de Bleurville
Abbatiale Saint-Maur de Bleurville, vue du nord-est (cliché © H&PB)
‡ Bilan de la saison passée et animations 2012 à l'ancienne l'abbaye bénédictine Saint-Maur de Bleurville ici Lettre Amis de St-Maur_2012.pdf
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Notre-Dame de Bermont (Vosges) : célébration de la naissance de Jehanne d'Arc
Ermitage Notre-Dame de Bermont (Vosges, commune de Greux), cliché ©Wikipédia.
Vendredi 6 janvier 2012, la messe de l'Epiphanie a été célébrée par M. l'abbé Olivier, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre. Lors de son sermon, le prêtre a rappelé l'événement de la naissance de Jehanne ainsi que sa mission voulue par Dieu.
Rappelons que, selon les témoins qui ont déposé lors des différents procès, notre Jeannette se rendait régulièrement à l'ermitage de Bermont les samedis afin d'y prier la Sainte Vierge.
L'après-midi a été consacré à une causerie sur l'enfance de Jehanne.
‡ Pour lire le sermon donné par l'abbé Olivier, cliquez sur le lien ici ND Bermont_sermon messe Epiphanie_14-01-2012.pdf
‡ Plus d'infos sur les manifestations organisées en 2012 à l'ermitage de Bermont sur http://www.nd-bermont.fr
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Bleurville : 15 janvier, fête de saint Maur, patron secondaire de la paroisse
Le 15 janvier est traditionnellement le jour de la fête du second patron de la paroisse de Bleurville.
L'église de l'abbaye bénédictine locale, fondée au XIe siècle, était en effet dédiée à saint Maur, disciple de saint Benoît (un autre saint Maur fut également évêque de Verdun au IVe siècle), le père du monachisme occidental. Maur fut supplanté comme patron de la paroisse par saint Pierre, patron de l'église paroissiale dépendant du monastère bénédictin au moins pour la nomination du desservant.
La fête religieuse n'est plus célébrée depuis le début des années 1990, clergé et paroissiens se désintéressant désormais des saints patrons et des cultes populaires... Rassurez-vous la fête populaire qui réjouissait les habitants est aussi bien oubliée : plus de repas de famille, plus de bal non plus...
Et pourtant, saint Maur était dignement et solennellement célébré lors d'une messe au cours de laquelle les reliques des martyrs Bathaire et Attalein (patrons du monastère bénédictin local avec saint Maur) étaient présentées à la vénération des fidèles par le prêtre. Après les dévotions, épisodes profanes : les familles réunissaient la parentèle autour d'un bon repas en ce mi-temps de l'hiver. Et la jeunesse du pays pouvait se divertir lors du "bal de la Saint-Maur"... même si Monsieur le curé tonnait en chaire contre cet amusement du diable !
Le souvenir de saint Maur perdure au moins actuellement dans le cadre de l'ancienne abbaye qui fait l'objet de soins attentifs depuis 1974 de la part de l'association des Amis de Saint-Maur.
Plus anecdotique, un dicton météorologique avait cours à Bleurville à l'occasion de la fête de saint Maur : les villageois avaient, en effet, coutume de dire qu'à la Saint-Maur l'hiver s'arrête ou reprend vigueur. Résultat d'une observation assidue du temps depuis des siècles... et d'un bon sens paysan en prise directe avec la nature.
Bonne fête à tous les Maur (c'est pas un prénom courant... et encore moins un prénom facile à porter !) ainsi qu'aux paroissiens de Bleurville !
[En souvenir des anciens curés de la paroisse qui eurent à coeur de transmettre le culte de saint Maur auprès des paroissiens : les abbés François-Xavier Jacquot, Charles Tresse, Paul Morlot, Paul Idoux, Paul Colin, René Baderot et André Houot]
(clichés : manuscrit, BM Cambrai, ms. 0829, Saint Benoît expliquant sa règle à saint Maur, XIIe s. / Reliquaires des Saints Bathaire et Attalein, XVIIe-XIXe s.)
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Bleurville : le bulletin municipal 2011 est paru
Le bulletin municipal 2011 est paru. Il relate une année de vie communale et municipale. Comme le rappelle l'adjoint au maire, ce bulletin est un lien entre les habitants et tous ceux qui animent le village ou qui y passent quelques moments agréables lors des vacances.
On y trouvera notamment la vie des associations locales, des informations sur les écoles, la forêt bleurvilloise et un coin d'histoire avec la relation de la création et l'activité de la coopérative fromagère locale qui marqua la vie agricole au XXe siècle.
Bref, pour les Bleurvillois "de Bleurville" et les Bleurvillois expatriés, il s'agit encore d'une page de l'histoire du village qu'il est toujours agréable de parcourir.
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Villotte (Vosges) : un nouveau vitrail pour l'église
[Vosges Matin]
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Domremy : le musée privé Jeanne d'Arc racheté par le Conseil général des Vosges
Ils y ont consacré une grande partie de leur vie. Les époux Nex, de Domremy, viennent de vendre leur collection consacrée à Jeanne d'Arc au Conseil général des Vosges. A la place, en projet, une galerie d'art... et un prix "Jeanne d'Arc".
[Vosges Matin]