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Notre patrimoine - Page 78

  • Malbrouk, forteresse lorraine

    Manderen (Moselle) possède un superbe château du XVe siècle, édifié par le chevalier Arnold VI de Sierck. Classé monument historique en 1930, il a été entièrement rénové en 1998 et offre un site d'exception à visiter.

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    [Vosges Matin]
  • Contrexéville : une nouvelle jeunesse pour le tableau de l'église

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    [Vosges Matin]

  • Bassigny lorrain : les archéologues au chevet de l'abbaye de Morimond

    Pour la troisième année consécutive, les responsables des fouilles archéologiques du site de l'ancienne abbaye cistercienne de Morimond (Haute-Marne), organisaient un après-midi 'portes ouvertes'. Belle occasion de découvrir les travaux menés par ces archéologues dans le cadre d'une fouille programmée.

    Morimond fouilles 08.08.10 040.jpgBenoît Rouzeau, docteur et archéologue attaché à l'université de Paris-1, est le responsable de ce chantier de fouilles. Il a guidé les visiteurs sur le vaste périmètre actuellement traité par ses collaborateurs, aidés également par les archéologues bénévoles du Cercles d'études locales de Contrexéville.

    Cette année, les fouilleurs ont travaillé sur ce qui devait être la maison des hôtes ou hôtellerie, vaste bâtiment du XIIe siècle proche de la porterie (aménagé, selon les méthodes de datation, entre 1160 et 1180), qui accueillaient dès l'entrée de l'abbaye, les visiteurs, pèlerins et autres mendiants qui venaient chercher réconfort et prières auprès des moines blancs. Cette construction est particulièrement vaste : 35 mètres de long sur 11 mètres de large.

    Morimond fouilles 08.08.10 036.jpgAu milieu du XIIIe siècle, les religieux installent une cuisine, puis entre la fin du XVe et le début du XVIe siècle, le bâtiment accueille de nouvelles activités : une forge tout d'abord puis une zone de stockage avec une écurie.

    Au XVIIIe siècle, cet ensemble bâti est démantelé ; les substructions furent recouvertes et les cisterciens y aménagèrent un vaste parterre cultivé.

    Hubert Flammarion, Benoît Rouzeau et Georges Viard, sous l'égide de l'association des Amis de l'abbaye de Morimond, viennent de publier une intéressante brochure qui fait le point sur l'histoire de l'abbaye à la lumière des dernières découvertes archéologiques.

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    >> La brochure peut être commandée (12 €) à l'Association des Amis de Morimond - BP 32 - 52202 LANGRES CEDEX
  • Beaufremont (Vosges) : du côté de la distillerie du château

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    [Vosges Matin]

  • Dimanche 5 août, ouverture du chantier des fouilles de Morimond

    Une campagne de fouilles archéologiques est actuellement menée sur le site de l'ancienne abbaye cistercienne de Morimond (Haute Marne), aux confins de la Lorraine et de la Champagne, entre Lamarche et Damblain.

    Morimond fouilles02 2010.JPGLe site des fouilles sera accessible au public dimanche 8 août en après-midi. Les visiteurs bénéficieront des explications de Benoît Rouzeau, archéologue responsable des fouilles de Morimond.

    Rappelons que l'abbaye de Morimond, située sur le territoire de la commune de Fresnoy-en-Bassigny, a été fondée en 1115. Morimond se développa rapidement, et essaima largement en France, Allemagne, Pologne, Bohême, Espagne, et Chypre. Aux confins de la Champagne et de la Lorraine, la situation de l’abbaye en faisait un avant-poste de l’ordre cistercien pour rayonner sur l’Allemagne et l’Europe orientale.

    Morimond fouilles01 2010.JPGParmi les moines célèbres de l'abbaye, on compte Othon de Freising, fils du margrave Léopold II d'Autriche : il étudia à Paris puis entra à l'abbaye, de laquelle il devint l'abbé. Le pape Benoît XII, troisième des papes d'Avignon, commença sa carrière à Morimond.

    L'abbaye fut dévastée à la Révolution et vendue comme bien national puis démantelée.

    [clichés : Cercle d'études locales de Contrexéville]

     

    >> Le chantier des fouilles de l'abbaye de Morimond est ouvert au public dimanche 5 août après-midi.

  • Les Thons (Vosges) : l'empreinte des siècles

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    [Vosges Matin]

  • Les profanations de lieux de culte chrétiens en forte hausse

    profanations cimetière.jpg"L’immense majorité des profanations perpétrées en France visent des lieux de culte ou des cimetières chrétiens. En 2007, elles représentaient 151 cas sur un total de 164 lieux de culte profanés, soit 92,1%. Le pourcentage s’élève à 94,4% un an après, en 2008, pour un total de 285 profanations constatées. En 2009, si le nombre total de profanations a baissé (226), la part des lieux de culte chrétiens a encore augmenté, pour s’établir à 95,6%." selon une enquête du quotidien Métro. Dans la plupart des cas, il s’agit de jeunes adeptes du satanisme en perte de repères, fruit des modèles décadents d’éducation (ou plutôt de ‘non éducation’) post-soixante-huitards.

     

    La Lorraine n’est pas à l’abri de ce genre de phénomène (de nombreux cimetières et des églises ont été la cible ces derniers mois des profanateurs anti-chrétiens). Désormais, on ne peut plus dire qu’on ne savait pas. Les médias en parlent, il reste aux politiques et aux représentants de l’Eglise à se manifester et à agir face à ces profanations qui portent atteinte à un droit de l’homme essentiel : celui de croire et pratiquer sa foi publiquement et librement.

     

    Au final, c'est bien notre patrimoine historique et spirituel chrétien que certains veulent détruire. A cela, autorités publiques, responsables religieux et associations doivent s'y opposer fermement.

     

    [source : Métro du 09.07.10]

  • Dommartin-sur-Vraine (Vosges) : un chantier de jeunes pour la tour du château

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    [Vosges Matin | 15.06.10]

  • Une prestigieuse collection pour le Musée de l’Image d’Epinal

    Le moment est solennel. Rare et solennel. En accueillant en ses murs Henri George et son épouse, le Musée de l’Image faisait plus qu’une simple visite. Le plus grand collectionneur français d’images populaires venait en effet tout juste de signer, devant notaire, la vente de sa collection privée au profit de la ville d’Epinal. Montant de la transaction : 360.000 €.

    musée image épinal.jpgUne vente de 85.000 documents cédés au Musée de l’Image. Des images populaires, des vues d’optiques, des chromos publicitaires mais aussi des canivets particulièrement rares, des images religieuses, de littérature de colportage… Autant de pièces, pour certaines très rares, qui viennent de rejoindre les réserves du musée. « Ce que je souhaite aujourd’hui, c’est que ces collections puissent faire l’objet de recherches par des étudiants. Se séparer de ces images, c’est un regret, certainement mais en même temps une sécurité de voir que mes collections ne seront pas dilapidées et dispersées dans la nature. »

    A 86 ans, Henri George est serein. Et rassuré. Sa collection sera bien traitée. Et c’est non sans une certaine émotion que le député maire spinalien Michel Heinrich est revenu sur les circonstances de cette acquisition : « La collection d’Henri George est ici par la volonté d’Henri George. C’est son choix de nous laisser sa collection comme un ensemble indissociable. »

    Lors des prochaines Journées européennes du patrimoine, les 18 et 19 septembre prochains, le Musée de l’Image, qui peut désormais s’enorgueillir de disposer du plus grand fonds d’imagerie européen, exposera une partie de la collection d’Henri George. « Ce jour est un très grand jour pour la ville d’Epinal mais aussi pour notre département et notre région » n’a pas manqué de rappeler Michel Heinrich, offrant ensuite la médaille d’or de la Ville à ce précieux bienfaiteur.

    Car pour Henri George, l’image est plus qu’un bout de papier. Chacune d’elle a son histoire. « Vous voyez, ces calendriers publicitaires, ils étaient les ancêtres des images Panini » […] « Là, vous avez quelques exemples de ‘messagers boiteux’, j’ai la plus grosse collection de ‘messagers boiteux’. Le colporteur les distribuait à la fin de l’année et celui de l’année écoulée, on le jetait au feu, voilà pourquoi il est aujourd’hui très difficile d’en trouver. » Et Henri George de poursuivre, intarissable.

    « Cet homme fait véritablement partie de l’histoire du musée » rappelle Martine Sadion, la conservatrice du musée. « Qu’il nous confie aujourd’hui l’ensemble de sa collection prouve que le travail qu’on fait correspond à ce que lui pense de l’imagerie. Ce qui nous semble intéressant, c’est de pouvoir garder la mémoire d’un collectionneur. »

    Une belle reconnaissance aussi du travail effectué par l’équipe du musée de l’Image, depuis 2003.

    [Vosges Matin | 29.06.2010]

  • Harsault (vosges) : le moulin à fécule Gentrey reprend du service

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    [Vosges Matin]

  • Dommartin-les-Remiremont : la Vierge de Mai réinstallée

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    [Vosges Matin]

  • Lignéville (Vosges) : la chapelle Saint-Basle bientôt restaurée

    La municipalité de Lignéville, dans le canton de Vittel, a décidé de restaurer la chapelle Saint-Basle située sur le territoire de la commune.

    chapelle st basle lignéville.jpgCédée par l'évêché de Saint-Dié à la commune de Lignéville, la chapelle va faire l'objet d'une réhabilitation engagée par la municipalité. Cette chapelle des XVe-XVIe siècles possède une pièta en pierre du XVe siècle ainsi qu'une statue de saint Basle du XVIIe siècle.

    Bravo à ces élus qui ont à coeur de protéger et de valoriser le patrimoine historique et religieux transmis par les générations passées. Pour mieux les transmettre aux générations futures.

     

    [cliché : site internet sur Lignéville]

     

     

    >> Plus d'infos sur l'histoire de Lignéville sur http://www.ligneville.fr/histoire%20du%20village.html

  • La Lorraine se dévoile...

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    La Lorraine se dévoile sur... http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com

    Un blogue passionnant qui vous fera voyager dans l'univers du patrimoine historique, architectural et naturel de notre belle Lorraine. Vous y découvrirez la Lorraine sous un jour méconnu, parce que sa richesse patrimoniale est encore trop ignorée des Lorrains eux-mêmes et pas suffisamment mise en valeur.

    Allez vite découvrir le blogue La Lorraine se dévoile... Et surtout allez le visiter aussi souvent que celui de Histoire & Patrimoine Bleurvillois !

  • A la découverte de l'archéologie en Lorraine

    Samedi 5 juin 2010, l'INRAP va à la rencontre des Français. De nombreux sites archéologiques seront ouverts au public. Partez à la découverte des sites lorrains !

    archéologie.jpg> Bar-le-Duc (55) : présentation de la collection gallo-romaine du musée municipal

    > Bassing (57) : porte ouverte sur la fouille d'une ferme gauloise et d'une villa gallo-romaine sur la LGV est-européenne

    > Etival-Clairefontaine (88) : visite commentée du castellum de la Pierre d'Appel

    > Grand (88) : animations autour de l'exposition "Sur les traces d'Apollon. Grand, cinquante ans de découvertes"

    > Hennezel (88) : au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey, visite commentée de l'exposition "Les Gallo-romains en Saône Lorraine"

    > La Salle (88) : visite commentée du site d'extraction de meules des Fossottes

    > Metz (57) : au Musée de la Cour d'Or, visites guidées de la nouvelle scénographie des salles sur les divinités orientales et la période paléochrétienne

    > Nancy (54) : portes ouvertes sur la fouille du cimetière des Trois-Maisons, boulevard Charles-V

    > Saint-Dié-des-Vosges (88) : visite commentée de la salle d'archéologie du musée Pierre-Noël et visite du site de La Bure

    > Soulosse-sous-Saint-Elophe (88) : parcours guidé dans le village sur les pas de saint Elophe, premier martyr vosgien

    >> Plus d'infos sur www.inrap.fr

  • Fontenoy-le-Château (Vosges) : la statuaire de l'église mise en valeur

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    [Vosges Matin]

  • Vrécourt (Vosges) : conférence de Jean-Marc Lejuste sur le patrimoine funéraire dans le Bassigny lorrain

    Ce vendredi 28 mai à 20h30 à la salle des fêtes de Vrécourt, l’association Vrécourt Culture Patrimoine propose de partir à la découverte de l’histoire et du patrimoine funéraire autour de Vrécourt, à travers une vidéoconférence animée par Jean-Marc Lejuste.

     

    Cet historien, auteur de plusieurs brochures historiques et enquêteur pour l’Inventaire régional de Lorraine, présentera un essai de typologie funéraire dans le cadre du riche secteur délimité par les communes de Vrécourt, Sauville, Médonville, Saint-Ouen-lès-Parey, Urville, Aingeville.

     

    Entrée libre.

  • Le Christ est tombé à Velaine-sous-Amance

    Le calvaire du Christ continue à Velaine-sous-Amance, village de l'est nancéien, dans le canton de Seichamps.

    croix velaine sous amance1.jpgVenant de Laneuvelotte, à l'entrée de la commune de Velaine, une croix de mission, érigée par les paroissiens au XIXe siècle, est enserrée dans une haute haie. Déjà, elle mériterait d'être mieux valorisée et aménagée dans son environnement... Mais l'indifférence ne s'arrête pas là. Depuis plusieurs mois, le fût de la croix gît à même le sol, au bord de la route.

    Et personne pour s'émouvoir de cette situation. Personne pour intervenir. Personne pour susciter une restauration de la croix. La municipalité ne semble pas concernée par la protection du patrimoine villageois. Etonnant. Alors que, partout en Lorraine, communes urbaines et rurales engagent des travaux de réhabilitation et de restauration du petit patrimoine villageois (lavoirs, fontaines, fours, chapelles, calvaires, croix...). Apparemment, à Velaine-sous-Amance, les édiles municipaux ne semblent pas être informés de toutes ces actions.

    Et pourtant, il suffirait de peu de chose pour remettre en place la colonne de la croix : un peu de volonté, quelques bonnes volontés... et un peu de ciment !

  • Saint-Dié-des-Vosges : la miniature s'expose

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    [L'Est Républicain]

  • Bleurville : la statue de saint Michel bientôt restaurée

    Le conseil municipal de Bleurville a décidé de faire restaurer la statue de saint Michel conservée en l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens.

    bleurville 06.12.08 005.jpgIl s'agit d'une sculpture polychrome en bois du XVIIe siècle. Elle a été classée au titre des Monuments Historiques en 2005. La statue a subi les assauts du temps et, en particulier, des insectes qui ont attaqué le bois.

    Le culte de saint Michel est très répandu en Lorraine : l'église paroissiale de Monthureux-sur-Saône, commune voisine de Bleurville, est d'ailleurs dédiée à l'archange. Il s'agit d'un culte fort ancien dans l'Eglise catholique qui s'est développé depuis le "fameux" Mont Saint-Michel où est apparu le chef de la milice angélique. Saint Michel est considéré comme le prince de tous les bons anges, le chef des forces du Ciel, des armées célestes, le Champion du Bien.

    A Bleurville, notre saint archange, revêtu d'une cuirasse de légionnaire romain, terrasse un dragon à tête de diable.

    L'opération de restauration est partiellement subventionnée par le Ministère de la Culture.

    Après la statue de saint Eloi et la cuve baptismale, saint Michel sera la troisième pièce du mobilier de la chapelle des Fonts baptismaux à bénéficier d'une restauration. Il ne reste plus que le grand crucifix du XIX siècle... qui attend son heure.

    [crédit photo : H&PB]

  • La Vacheresse-et-La-Rouillie (Vosges) : un nouveau toit pour le clocher de l’église

    Il y a trois ans, la municipalité inscrivait à son budget la rénovation du toit du clocher de l'église de La Rouillie.

     

    la Rouillie.jpgTout récemment, les habitants du village assistaient à la phase finale : la délicate opération de mise en place du nouveau toit. C'est l'entreprise Denis Barret, de Robécourt, qui avait été choisie pour cette rénovation attendue.

     

    L'ancien toit qui, semble-t-il était d'origine (1832), a été déposé, tout comme la croix et le coq. En le descendant, les ouvriers ont constaté avec surprise que la toiture avait été transpercée de plus de vingt impacts de balles...

     

    Le toit a été refait à l'identique en atelier avec une charpente en chêne. L'assemblage s'est fait de façon traditionnelle : mortaises, tenons et chevilles en bois. Cette restauration a été subventionnée par le Conseil général.

     

    Pour la pose du nouveau toit, une grue équipée d'une flèche de 34 m était nécessaire. Elle a soulevé délicatement cet élément de deux tonnes. Les ouvriers ont ensuite positionné définitivement ce toit au sommet du clocher. Les équilibristes ont réglé les derniers détails avec la remise en place de la croix sommitale qui a été rénovée et la pose du nouveau coq.

     

    Un bien beau travail pour cette église rurale, élément central de la vie du village vers lequel se tournent tous les regards lorsque l'on veut connaître le temps et... espérer.

     

     

    [d’après Vosges Matin | 16.05.2010]

  • Dolaincourt (Vosges) : une association pour sauver la source Sarmery

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    [Vosges Matin]