"L’immense majorité des profanations perpétrées en France visent des lieux de culte ou des cimetières chrétiens. En 2007, elles représentaient 151 cas sur un total de 164 lieux de culte profanés, soit 92,1%. Le pourcentage s’élève à 94,4% un an après, en 2008, pour un total de 285 profanations constatées. En 2009, si le nombre total de profanations a baissé (226), la part des lieux de culte chrétiens a encore augmenté, pour s’établir à 95,6%." selon une enquête du quotidien Métro. Dans la plupart des cas, il s’agit de jeunes adeptes du satanisme en perte de repères, fruit des modèles décadents d’éducation (ou plutôt de ‘non éducation’) post-soixante-huitards.
La Lorraine n’est pas à l’abri de ce genre de phénomène (de nombreux cimetières et des églises ont été la cible ces derniers mois des profanateurs anti-chrétiens). Désormais, on ne peut plus dire qu’on ne savait pas. Les médias en parlent, il reste aux politiques et aux représentants de l’Eglise à se manifester et à agir face à ces profanations qui portent atteinte à un droit de l’homme essentiel : celui de croire et pratiquer sa foi publiquement et librement.
Au final, c'est bien notre patrimoine historique et spirituel chrétien que certains veulent détruire. A cela, autorités publiques, responsables religieux et associations doivent s'y opposer fermement.
[source : Métro du 09.07.10]