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  • Veillée pour la Vie : samedi 27 novembre en l'église Saint-Pierre de Nancy

    L'église Saint-Pierre de Nancy, avenue de Strasbourg, accueille

    samedi 27 novembre à partir de 18h00

    une veillée pour la Vie demandée à l'Eglise universelle par le pape Benoît XVI

     

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    - procession mariale
    - exposition du Saint Sacrement et chapelet médité

     

    >> Pour en savoir plus : http://www.eglise-st-pierre-nancy.fr

  • Nancy : Veillée pour la Vie à la chapelle du Sacré-Coeur

    Veillée de prières pour la vie naissante

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    >> Samedi 27 novembre 2010

    >> Chapelle du Sacré-Coeur de Nancy - 65 rue maréchal Oudinot

    >> Messe à 18h30 suivie de la veillée de prières


  • Nancy il y a 100 ans

    Nancy.jpgL'album, sympathiquement nostalgique, présente quelque 330 cartes postales d'avant 1930.

    Les images de la cité ducale sont nombreuses : elles ont gravé pour la postérité les mille et un visages de la ville, de ses habitants et des activités urbaines du début du XXe siècle.

    Ces modestes "bouts de carton" offrent aujourd'hui un regard sensible de la ville et un irremplaçable témoignage de la vie d'autrefois.

    Toutes les cartes postales anciennes publiées dans cet attrayant album sont issues du fonds conservé aux archives municipales de Nancy.

    Cet album saura conquérir les nancéiens et tous les Lorrains qui se passionnent pour leur ville-capitale. Et comme le précise André Rossinot, le maire de Nancy, dans sa préface, "ces images concilient l'humain, l'urbain et la mémoire dans une vision vivante et attachante d'un passé récent qui [permettra] de comprendre le présent et d'apprécier l'avenir et les ambitions qui animent Nancy et son agglomération." 

     

    >> Nancy il y a 100 ans en cartes postales anciennes, Fabienne Texier, éditions Patrimoines et Médias, 2010, 164 p. (35 €).

  • Nancy : la résurrection de "L'Annonciation" du Caravage

    Ce Caravage est un illustre inconnu, dans tous les sens du terme. « Plus de 95 % de nos visiteurs ignorent tout de son existence dans nos murs ». Un anonymat inexplicable lorsqu’on connaît la réputation aussi brillante que sulfureuse de ce génie de la peinture italienne. Le retour de « L’Annonciation » dans les murs du musée des Beaux-Arts à Nancy servira peut-être, enfin, à sa révélation.

    annonciation.jpg« En tout cas, qu’on ne me dise pas que c’est un Caravage vite fait », tempête le conservateur Claire Stoulig. Et de désigner cette lumière posée sur l’ange, la liberté des drapés, de la nuée, la grande audace qu’il y avait à l’époque à ne pas montrer le visage de Gabriel...

    « La France ne possède que cinq tableaux de ce grand maître du clair-obscur, dont trois se trouvent au Louvre. Or celui de Nancy est le seul à avoir été réclamé par Rome pour la grande exposition du printemps dernier pour les 400 ans de la mort du peintre ».

    Le désir de Rome était si pressant qu’elle a consenti à se charger de la restauration intégrale de la toile. Une superbe opération pour le musée lorrain. Car l’œuvre a souffert plus souvent qu’à son tour. D’ailleurs les dégradations ont beaucoup joué contre sa réputation, « comme si on avait des scrupules à la montrer dans cet état...». Alors qu’elle est là depuis plus de 400 ans déjà.

    En fait, « L’Annonciation » est passée directement du pinceau du peintre aux cimaises nancéiennes. Sur une commande du duc Henri II. Saisi à la Révolution, il est entré au musée des Beaux-Arts tout juste naissant. Dans la discrétion la plus complète.

    « D’emblée un mystère », remarque Claire Stoulig. « On ignore la date exacte de sa réalisation, probablement autour de 1608, on n’a de témoignage de sa présence que cinquante ans plus tard. Et dans un premier temps, on l’a attribué... à Michel-Ange ». Puis à Guido Reni ! Ce n’est qu’en 1952 qu’il a été authentifié comme étant du pinceau du Caravage.

    Presque 60 ans plus tard, on fait de son retour, après restauration, enfin un événement à la mesure du chef-d'œuvre. La restauration s’est essentiellement concentrée sur un nettoyage d’une extrême minutie. Pour faire toute la lumière sur ce cas d’espèce.

    La révélation 2010, c’est la flagrance du vert des rideaux, du rouge de l’édredon quand on ne voyait autrefois qu’obscurité. La main de l’ange apparaît qui tient le lys, la nuée sous ses pieds révèle toute sa complexité. Autant de détails mis en valeur dans un accrochage théâtralisé avec abondance d’informations, sur l’œuvre et les diverses techniques de restauration. Une pièce entière lui est consacrée. L’Annonciation trône, enfin. Plus claire qu’obscure !

     

    >> L'exposition-dossier autour du tableau L'Annonciation est visible au Musée des Beaux-Arts de Nancy jusqu'au 3 janvier 2011.

  • Bibliothèque diocésaine de Nancy : vente de livres les 30 et 31 octobre

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  • Obsèques de Mgr Jacques Masson : samedi 23 octobre à 14h30 en l'église Saint-Pierre de Nancy

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    Mgr Jacques Masson

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    >> Les obsèques de Mgr Jacques Masson seront célébrées samedi 23 octobre à 14h30 en l'église Saint-Pierre de Nancy suivies de l'inhumation au cimetière de Bouxières-aux-Dames.

    > Le texte de l'homélie prononcée par M. l'abbé Husson lors des obsèques de Mgr Masson est consultable sur  http://www.hermas.info/article-homelie-de-m-l-abbe-husson-aux-funerailles-de-mgr-masson-59745133.html

  • Décès de Mgr Jacques Masson

    mgr jacques masson.jpgMonseigneur Jacques Masson est décédé à Rome le 16 octobre.

    Originaire du diocèse de Nancy & Toul, Mgr Masson avait célébré les messes dominicales à l'église Saint-Pierre de Nancy au mois d’août dernier.

    Né en 1937, ordonné en 1964 pour le diocèse de Meaux, Mgr Masson a été le premier directeur du séminaire d’Ecône fondé par Mgr Marcel Lefebvre, avant de travailler pour le Saint-Siège comme official à la Congrégation pour la Propagation de la Foi.

    Il menait une retraite active en travaillant notamment pour le site http://www.hermas.info où l’on peut trouver ses nombreux articles sur la liturgie ou la spiritualité.

    Mgr Masson, fidèle à sa Lorraine natale, avait eu l'occasion d'écrire quelques articles pour La Revue Lorraine Populaire.

    RIP.

    [cliché : rencontre de l'abbé Masson avec SS. Jean-Paul II au tout début de son pontificat]

    Source : http://www.eglise-st-pierre-nancy.fr

  • En mémoire de Marie-Antoinette

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    Dernière communion de Marie-Antoinette à la prison du Temple avant son exécution

     

    Samedi 16 octobre 2010 à 18h30

    Une messe sera célébrée en la chapelle du Sacré-Coeur,

    65 rue Maréchal Oudinot à Nancy,

    à la mémoire de Marie-Antoinette, reine de France, épouse de Louis XVI

     

    Marie-Antoinette de Lorraine-Habsbourg était la fille du dernier duc héréditaire de Lorraine, François II et de Marie-Thérèse d'Autriche.

    Elle fut guillotinée à Paris le 16 octobre 1793.

  • Messe des Ducs : le 23 octobre en la chapelle des Cordeliers de Nancy

    La messe des Ducs de Lorraine sera célébrée samedi 23 octobre 2010 à 15h00 en la chapelle des Cordeliers de Nancy, par un prêtre de l'Oratoire Saint-Philippe-Néri, desservant la paroisse Saint-Epvre.

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    Messe des ducs, octobre 2008 (archives H&PB)

     

    Cette messe, instituée par le Maréchal Lyautey, est célébrée chaque année en octobre à la mémoire des ducs et duchesses de Lorraine ainsi qu'à celle de tous leurs descendants et, tout particulièrement, les Habsbourg-Lorraine.

     

  • Nancy fête la Sainte-Fleur

    Ce  week-end des 9 et 10 octobre, Nancy fêtait la Sainte-Fleur. Plusieurs manifestations florales et défilés ont animé différents endroits de la cité ducale.

    Sainte Fleur est née à Maurs, dans le Cantal, vers 1300. Elle a consacré sa vie à la prière. L'amour du Christ et l'amour de l'Autre ont été sa ligne spirituelle. Les membres des professions des fleuristes et horticulteurs veulent célébrer à leur manière la fête de sainte Fleur comme témoignage de la beauté, de la fragilité et de la transmission des petites et grandes émotions de la vie humaine autour du don afin d'honorer la mémoire de sainte Fleur.

    Outre l'aspect religieux, la Sainte-Fleur est aussi une fête culturelle et corporative. Belle manière de promouvoir les savoir-faire des métiers traditionnels de la fleur et de l'horticulture.

    Quelques images de la fête nancéienne de Sainte-Fleur...

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    Messe de Sainte Fleur en la cathédrale N.-D. de l'Annonciation décorée pour l'occasion

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    Sortie des porte-drapeaux à l'issue de la messe de Sainte-Fleur dite aussi à la mémoire du Général de Gaulle et des maréchaux de France

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    La place Stanislas transformée en jardin éphémère

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    Place Stanislas, hommage floral à la Croix de Lorraine

    [clichés H&PB]

  • Les vins de Lorraine

    vins de lorraine.jpgL'époque est à un renouveau certain du vignoble lorrain. Ici ou là, de la Meuse aux Vosges en passant par la Moselle et la Meurthe-et-Moselle, des amoureux du terroir et du vin replantent quelques arpents de vigne. Et c'est tant mieux.

    La qualité des vins de Lorraine est reconnue par les amateurs tout comme par les professionnels exigeants. Mais c'est surtout aux Lorrains qu'il incombe de faire connaître et apprécier la production viticole variée de nos pays. Chacun aura à coeur de posséder une cave contenant un choix de vins lorrains et avoir sa petite réserve de vin gris, de Pinot noir, d'Auxerrois, de blanc de Moselle ou de pétillant pour accompagner la cuisine régionale riche et variée.

    Jean-Marie Cuny, dans son dernier ouvrage, ne livre pas au lecteur une thèse universitaire et rébarbative sur les vins lorrains. Non, tout simplement, en fin connaisseur de l'histoire de notre terre lorraine, il retrace ce qui fut le vin pour les Lorrains de jadis et d'hier. Et surtout, il nous fait découvrir le monde secret du vigneron et des techniques de vinification. Il nous fait partager la joie des vendanges qui ont animé longtemps nos villages à l'automne naissant.

    Bref, un livre, abondamment illustré, qui vous fera découvrir avec simplicité et justesse les vins de nos contrées lorraines.

    Et comme l'écrit Jacques Cuny, restaurateur à Nancy, dans sa préface, voici un ouvrage à déguster sans modération !

     

    >> Les vins de Lorraine, Jean-Marie Cuny, éditions Gens de Lorraine, 2010, 145 p., ill., préface de Jacques Cuny, propriétaire du restaurant L'Arsenal, en Ville-Vieille de Nancy (29,90 €).

  • Nancy : « La Lorraine au fil de l'onde » sur la place Stanislas

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    La place Stanislas accueille pour un mois un jardin éphémère sur le thème de "la Lorraine au fil de l'onde". En hommage à ses cours d'eau.

    Une région, un terroir, des rivières. En Lorraine, elles ont patiemment serpenté, creusé leur sillon. Elles ont déposé leurs alluvions, fertilisé les sols. Des hommes ont rêvé leur vie sur ces rives. Des cités sont nées de l'énergie vitale, de l'eau qui s'écoule, qui relie. La nature a donné aux Lorrains de tous les temps la force de croire, d'espérer une récolte. Elle a donné l'exemple, dévoilé la beauté des cornouillers, des saules, des prêles, des joncs et de toutes ces plantes qui s'épanouissent au fil de l'onde.

    Une terre riche, généreuse, une terre à jardiner, un Eden à préserver. Un jardin éphémère à visiter sur la place Stanislas jusqu’à la Toussaint.

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    En passant par la Lorraine... au fil de l'onde (clichés : H&PB)

  • Les croix de chapitre à Nancy et à Toul

    croix chapitre toul nancy.jpgL'ouvrage est suffisamment original pour qu'on le remarque sur les rayons des libraires. Ce n'est pas souvent, en effet, qu'un universitaire se penche sur ces décorations "officielles" de l'Eglise catholique que sont les croix portées par les chanoines des cathédrales.

    Le diocèse de Nancy & de Toul a cette chance-là d'avoir trouvé et un jeune universitaire de talent, et un évêque soucieux de mieux faire connaître la riche histoire du chapitre de sa cathédrale.

    Cette intéressante et originale monographie s'attache à faire découvrir les évolutions du costume canonial des chanoines des chapitres de Nancy et de Toul, en s'intéressant plus particulièrement à leurs rares croix pectorales, créées dès le XVIIIe siècle et toujours portées par leurs titulaires. L'histoire du chapitre de Nancy et de Toul est également évoquée afin de replacer dans son contexte l'évolution de ces signes de distinction.

    L'auteur nous livre ses recherches menées tant dans les archives religieuses que civiles, et présente dans le détail ces insignes de fonction, entre décoration et marque de dignité, issues de collections publiques et particulières.

    Outre la riche et inédite iconographie, l'ouvrage est accompagné de nombreuses annexes qui, n'en doutons pas, seront d'un précieux recours pour tous les chercheurs et amateurs d'histoire religieuse.

    Le livre est publié grâce au soutien personnel de Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul, primat de Lorraine, et avec le concours du Centre lorrain d'histoire du droit de l'université de Nancy 2.

     

    >> Les croix de chapitre à Nancy et à Toul. Evolution du costume canonial nancéien, Etienne Martin, Histoire & Curiosités - Editions phaléristiques, 2010, 127 p., ill., préface de Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul (38 €).

  • Saint Vincent de Paul et la Lorraine

    jubilé st vincent.jpgL'Eglise de Lorraine célébre cette année le 350ème anniversaire de la mort de saint Vincent de Paul, apôtre de la charité au XVIIe siècle. La cathédrale de Nancy accueille une exposition qui présente l'histoire et l'actualité de l'oeuvre de charité des Equipes Saint-Vincent.

    Vincent de Paul est née dans les Landes en 1581. Après ses études à Dax, il devient précepteur dans la famille de Gondi puis établit en 1617 à Châtillon-sur-Chalaronne, près de Lyon, la première confrérie de la Charité rassemblant des laïcs qui se mettent au service des familles en difficulté ainsi que des malades. En 1633, il fonde avec Louise de Marillac la compagnie des Filles de la Charité pour le service des pauvres.

    équipes st vincent.jpgFace aux malheurs qui frappent la Lorraine depuis le milieu des années 1630, Vincent de Paul organise des secours à partir de 1639 en direction des populations des duchés ravagés par la guerre de Trente Ans. S'il ne vient pas personnellement en Lorraine, il enverra des missionnaires afin d'organiser les secours.

    Il décède le 27 septembre 1660 à Paris. Vincent de Paul sera canonisé en 1737.

    Présentes à Nancy depuis 1690, les Equipes Saint-Vincent poursuivent la lutte contre la précarité et assurent l'accueil des personnes isolées, organisent des cours de français et un atelier d'insertion, oeuvrent dans des maisons de retraite et animent un club de personnes âgées.

     

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    Exposition Saint Vincent de Paul, cathédrale de Nancy (cliché H&PB).

      

    >> Contact : nancy54@equipes-saint-vincent.com

     

  • En pèlerinage à Domrémy

    Les prêtres du prieuré Saint-Nicolas de Nancy organisaient ce dimanche 19 septembre un grand pèlerinage à Domrémy dans les pas de sainte Jeanne d’Arc.

    dom03.jpgC’est avec un temps de toute beauté que s'est déroulée la marche de quinze kilomètres autour de Domrémy. Sous le ciel azuréen de l'Ouest vosgien, les pèlerins ont parcouru ces terres familières à notre sainte lorraine. Après une bonne matinée de marche, les pèlerins ont pu se reposer et se revigorer lors d’un pique-nique champêtre des plus agréables.

    Après les derniers kilomètres, les cinq cents pèlerins remplirent la nef de la basilique du Bois-Chenu pour assister à la cérémonie religieuse. Le recteur Lambert avait généreusement laissé les clés de la sacristie, et les sacristains purent exhumer ses trésors pour préparer la messe solennelle : le maître-autel de la basilique fut décoré de tous ses reliquaires d’origine et de ses canons, et dans l’abside, côté évangile, trônait l’étendard de sainte Jeanne d’Arc tout brodé d’or. L’ensemble complet des ornements était celui qui fut utilisé pour la dédicace de la basilique en 1926.

    dom10.jpgL’abbé Claude Boivin, nouveau premier assistant du District de France de la Fraternité sacerdotale Saint Pie X, a célébré la messe de sainte Jeanne d’Arc.

    En 2012, La France fêtera le sixième centenaire de la naissance de Jeanne d’Arc. Des manifestations, organisées à Domrémy par la Fraternité et le prieuré de Nancy, marqueront cet anniversaire historique.

     

    [source et clichés : http://www.laportelatine.org/district/ecoles/activitesecoles/etoiledumatin/domremy2010/report10/report10.php ]

  • Nancy : la porte Stanislas restaurée

    Après un an de travaux, la porte Stanislas, située dans le prolongement de la place éponyme et faisant pendant à la porte Sainte-Catherine, est complètement restaurée. Outre le remplacement de parements et la réfection des statues et décors, des travaux d'étanchéité et de mise en lumière ont été réalisés.

    Son histoire :

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    Le résultat des travaux de restauration :

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    Porte Stanislas, côté 'campagne' (cliché H&PB)

  • La Mothe a fait la fête

    Dimanche 22 août, beaucoup de lorrains et de champenois se sont déplacés pour célébrer la cité fortifiée située aux confins de la Haute-Marne et des Vosges.

     

    la-mothe-22_08_2010-281929.jpgLes visites guidées des lieux historiques de la ville fortifiée organisées par Jean Charles, l’historien de La Mothe, et de Fabrice Fontaine ont eu un réel succès. L'association Pour La Mothe avait au préalable balisé les circuits et identifié les lieux mothois à visiter.

     

    A midi, plus de deux cents repas traditionnels lorrains ont été servis à des ventres affamés.

     

    Un groupe de fidèles Lorrains, venu de la cité ducale avec bannières et bonne humeur, avait investi pacifiquement la cité martyre afin de maintenir le souvenir de la résistance des Lorrains lors des sièges successifs menés par les Français au XVIIe siècle.

     

    la-mothe-22_08_2010-281529.jpgL’exposition historique et généalogique sur les familles de La Mothe a attiré beaucoup de curieux. Du côté de la librairie, le numéro 2 des Cahiers de La Mothe, tout juste sorti des presses des éditions Guéniot, a connu également un beau succès.

     

    Pour les animations, trois groupes de troubadours et magiciens médiévaux ont ravis petits et grands. Et les promenades en poneys ont attiré également les petits cavaliers. Bal champêtre, buvette et gaufres puis, en soirée, barbecue, et à la nuit tombée cracheurs de feux ont animé la colline historique. Un magnifique feu d'artifice a clos cette journée festive mothoise.

     

    Rendez-vous est pris pour 2011, le troisième dimanche d'août, pour fêter la cité symbole de la résistance lorraine !

     

    [clichés : courtoisie de l'association Pour La Mothe]

     

    >> Les Cahiers de La Mothe (n° 1 et 2) sont en vente dans 3 librairies de Nancy, en Haute-Marne à Bourbonne-les-Bains, Chaumont, Bourmont, Soulaucourt et Graffigny-Chemin, et dans les Vosges à Vittel, Epinal et Neufchâteau.

     

    >> Il est possible de les acquérir par correspondance (13 € le numéro franco de port) par courriel auprès de M. Jean Charles : gestion@la-mothe.eu 

  • Domrémy : pèlerinage johannique le 19 septembre

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    >> Pèlerinage organisé par la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X et les prêtres du prieuré Saint-Nicolas de Nancy.

  • Camille Martin, artiste de l'Ecole de Nancy

    camille martin.jpgCamille Martin (1861-1898) fut l'un des plus actifs représentants à Nancy de "l'art dans tout" cher à l'Art nouveau et à l'Ecole de Nancy. Il créa l'une des plus célèbres images du mouvement nancéien : l'affiche au paon annonçant l'exposition d'art décoratif de 1894, qui fut à l'origine de la création de l'Ecole de Nancy.

    Peintre familier de la nature, Martin se forgea une solide réputation de vues de sous-bois et de paysages forestiers qui lui apportèrent à la fois la notoriété et de nombreuses commandes privées. L'influence exotique, celle du Japon notamment, marque considérablement son dessin, mais c'est dans l'art décoratif, et plus particulièrement celui de la reliure, que le rôle de Martin fut déterminant. En 1893, en collaboration avec Victor Prouvé et René Wiener, il composa des reliures "choquantes, bruyantes et extravagantes" qui firent sensation à Paris et à Bruxelles, apportant à l'Ecole de Nancy sa première reconnaissance internationale.

    Par la diversité de ses créations, leur originalité et leur qualité, Camille Martin est l'un des artistes emblématiques de l'Ecole de Nancy. Avide de modernité, d'expérimentations techniques et artistiques, Martin n'en gardait que le meilleur. La nature sous toutes ses formes et au coeur d'un travail animé de passion et au perfectionnisme sans concession.

     

    >> Camille Martin, artiste de l'Ecole de Nancy. Le sentiment de la nature, Valérie Thomas et Jérôme Perrin (sous la dir.), Somogy éditions & Musée de l'Ecole de Nancy, 2010, 144 p., ill. (26 €).

  • Laxou (Meurthe-et-Moselle) : les prêtres de la paroisse harcelés pour une histoire de pigeons

    Des prêtres harcelés pour des histoires de pigeons... L'affaire se passe à Laxou, dans la banlieue de Nancy.

     

    saletés de pigeons !.jpgIci, comme ailleurs, les pigeons roucoulent et pullulent surtout. Fientes et plumes pleuvent. Un jour, parce qu'une habitante d'un quartier affirme souffrir d'une maladie respiratoire liée à la présence des volatiles, la commune décide d'installer des pièges à pigeons. Objectif : réguler leur population. « En tant que maire, je suis responsable pénalement des habitants alors j'ai décidé d'appliquer le principe de précaution et de tout mettre en œuvre pour assurer la salubrité publique », justifie l'élu, Laurent Garcia. Les cages vont être installées un peu partout, et notamment sur le toit de la paroisse du quartier. Et voilà comment les deux curés se font harcelés.

     

    En apprenant la nouvelle, les « amis » des oiseaux sortent leurs griffes. De leur meilleure plume, ils adressent moult lettres et passent maints coups de fils aux deux prêtres. « Au moment de mourir, vous devrez rendre compte de ces innocents (pigeons) tués pour rien et surtout de leur souffrance au moment du trépas », menacent les militants dans leurs missives ; des centaines, selon les ecclésiastiques. « Nos curés ne sont en rien dans la décision d'installer des cages à pigeons », martèle le maire de Laxou, rappelant que les églises sont des bâtiments communaux.

     

    Les amis des oiseaux reprochent de leur côté le mode d'euthanasie des bestioles qui, selon eux, périssent « dans d'atroces souffrances » ( !). «  Les oiseaux capturés par les piégeurs seront tués par des méthodes barbares et expéditives comme à coup de bâton, passés en chambre de décompression explosive, abattus au gaz carbonique pur (une mort douloureuse) ou étouffés dans des sacs en plastique... », affirme l'association belge Lapalomatriste. Reprise sur des sites des amoureux des bêtes, comme SOS Pigeons, la missive donne les adresses et téléphones des deux prêtres... L'opération de capture est gérée par une entreprise, dont les cages ont reçu l'agrément du ministère de l'Ecologie précise Laurent Garcia.

     

    Par contre personne – et surtout pas les journalistes et autres écolos ou « amis des bêtes » - ne trouve rien à redire quand des imams incitent leurs fidèles à la guerre sainte contre l’infidèle (entendez le chrétien ou le juif ou le non croyant tout simplement) ou quand l'on tue par milliers des foetus… Apparemment, en France, on préfère se soucier du devenir des pigeons que de sauver ou défendre les êtres humains…

     

    [source : TF1]

  • Nancy : la mémoire de la prison Charles-III

    Depuis la fermeture de la prison Charles-III de Nancy, un "groupe mémoire" s'est constitué avec le soutien de la mairie afin de réfléchir sur la conservation des éléments du passé de la prison. Composé d'habitants du quartier, d'associations d'anciens combattants, résistants et déportés, de représentants de la communauté juive, Jean-Marie Conraud fait partie de ce groupe.

    jean-parie conraud.jpgÂgé de 82 ans, ancien militant syndical, chrétien et historien de la prison Charles-III, Jean-Marie Conraud s'est intéressé de près à l'histoire de l'enfermement à Nancy. Il se définit lui-même comme un "curieux, sauveteur de mémoire régionale". Il est même "entré" à Charles-III en 2005 comme bénévole pour animer un atelier de menuiserie destiné aux détenus. Il est, par ailleurs, l'auteur d'un ouvrage sur l'histoire de la prison nancéienne paru en 2009.

    Lors de son "passage" par la prison, il a remarqué que celle-ci recelle quantité de témoignage du passé architectural et humain, comme cette belle fontaine située dans une cour intérieure souvenir de la manufacture de tabac construite par le duc Léopold, ou la chapelle de la prison, mais aussi des plaques commémoratives des résistants juifs, chrétiens ou laïcs déportés durant la Seconde Guerre mondiale.

    prison charles III ncy 2010 003.jpgComment préserver ces traces du passé et les présenter au public dans un quartier qui va connaître dans les années à venir de profondes mutations ? Le "groupe mémoire" explore plusieurs pistes dans ce sens.

    Le chantier de démolition de la prison Charles-III démarre cet été et se terminera à la fin de l'année. Le site sera ensuite livré aux archéologues pour des fouilles préventives : les bâtiments de la prison sont en effet construits sur le bastion de Saurupt, élément des fortifications de Nancy (XVIe-XVIIe siècles).

  • L'abbé Pierre et Jean Prouvé

    abbé pierre et prouvé.jpg"Prouvé a élevé sur le quai Alexandre III la plus belle maison que je connaisse, le plus parfait moyen d'habitation, la plus étincelante chose construite. Et tout cela est en vrai, bâti, réalisé, conclusion d'une vie de recherches." C'est Le Corbusier qui l'a écrit, dès son achèvement en février 1956. Elle fut l'oeuvre de deux hommes qui voulurent "élargir la réalité aux dimensions de leur rêve."

    De ces deux hommes, nous en connaissons au moins un qui fut le Français le plus aimé des Français durant de longues années : c'est l'abbé Pierre. L'autre, c'est le Lorrain Jean Prouvé. Durant la Seconde Guerre mondiale, Prouvé était à la tête d'une entreprise installée à Maxéville : il y fabriquait des meubles, des poêles fort utiles à la population et permettant de faire vivre le personnel. Rentré en résistance, il servira d'agent de liaison à Gilbert Grandval, qui deviendra gouverneur militaire de la Sarre après avoir dirigé le réseau lorrain de résistance. Jean Prouvé sera nommé maire de Nancy à la Libération. Son entreprise participa à la reconstruction en fournissant 800 maisons faciles à monter.

    Et puis vint l'hiver 1954. Et ce fut la rencontre entre les deux hommes. Prouvé mit son expérience de constructeur au service du prêtre des déshérités et des sans-logis qui, entre temps était devenu député MRP de Meurthe-et-Moselle.

    C'est l'histoire de cette rencontre et de cette collaboration que raconte Bernard Marrey dans son sympathique opuscule paru chez un éditeur qui s'est donné pour objectif de publier des textes de constructeurs, architectes, ingénieurs ou entrepreneurs.

     

    >> L'abbé Pierre et Jean Prouvé, Bernard Marrey, éditions du Linteau, 2010, 80 p., ill. (18 €).

  • 14-juillet nancéien sous le signe du soleil

    Quelques images du 14-Juillet fêté à Nancy sous un chaud soleil... loin du défilé parisien pluvieux. Remarqué, le passage des cinq Mirage 2000 de la base aérienne de Nancy-Ochey tout droit de retour du défilé des Champs-Elysées.

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    [crédit photo : H&PB]
  • La Jordanie à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville

    DIMANCHE 18 JUILLET 2010

    ABBAYE SAINT-MAUR DE BLEURVILLE

    A 15H00

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    A la découverte de la Jordanie

     

    Causerie-diaporama présentée par Marie-Madeleine Boulian

    dans le cadre des voyages organisés par l'UCP de Nancy

     

  • Nancy : un prieuré catholique ouvre le 15 août prochain

    Les catholiques nancéiens attachés au rite extraordinaire de l’Eglise l’attendaient depuis des années. Le jour de l’Assomption, le 15 août prochain, le prieuré Saint-Nicolas ouvrira officiellement.

     

    Abbé Bruciani.jpgEn effet, les responsables de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X, dès avant Noël 2009, ont envisagé d’acquérir la maison adjacente à la chapelle du Sacré-Cœur de Nancy, rue Oudinot. L’immeuble a été estimé adapté pour la fondation envisagée. Une offre d’achat a donc été faite au propriétaire qui accepte la cession de son bien à la Fraternité.

     

    Le prieuré Saint-Nicolas ouvrira donc ses portes pour l’Assomption. C’est l’abbé John Brucciani, qui connaît déjà la région, qui est nommé prieur de ce nouveau prieuré. L’abbé Brucciani dirigeait jusque-là une école primaire privée à Toulouse.

     

    abbé rousseau.jpgJusqu’alors c’est un prêtre venu d’Eguelshardt, près de Bitche (Moselle), l’abbé Dominique Rousseau, qui assurait les messes à Metz, Nancy et Epinal.

     

    Outre cette extension des locaux nancéiens, le clergé souhaite ouvrir une école primaire hors contrat à la demande de nombreuses familles de la région. Ne disposant pas de lieu, ni de moyens financiers suffisants, l’abbé Rousseau fait appel au soutien des catholiques locaux. L’ouverture d’une nouvelle école devient urgente face à l’afflux d’enfants à l’école d’Eguelshardt prévu pour la rentrée de septembre. Ce seront donc les futurs prêtres du prieuré nancéien qui ouvriront cette école, dès qu’ils le pourront.

     

    La communauté d’Épinal attend aussi sa propre chapelle… Bref, beaucoup de projets pour les catholiques lorrains de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X qui se réjouissent de l’ouverture d’un prieuré au cœur de la cité ducale. L’abbé Rousseau gage que, depuis Nancy, les futurs pasteurs rayonneront sur toute la région et que, dans dix ans, un autre prieuré sera rendu nécessaire.

  • « La Gazette Lorraine » estivale est parue !

    gazette lorraine juinr.jpgAu sommaire du numéro d’été de La Gazette Lorraine, votre revue du patrimoine et de l’environnement en Lorraine :

     

    - La Gazette en balade : le chemin des traces (Chaligny-Val de fer)

    - Marc Namblar : le promeneur ‘écoutant’

    - Mille-feuille aux fraises : recette de Jean-Marie Cuny

    - La Lorraine aux cent jardins

    - Des papillons signés “Art Nouveau” - Les grilles en fer forgé

    - Jean-Claude Golvin : voyage imaginaire d'un notable de Bleisbrück-Reinheim à Rome

    - Sur les traces d'Apollon : cinquante ans de découvertes archéologiques à Grand (Vosges)

    - Thionville - Waldwisse : ligne 112 du réseau TIM, exploité par Veolia Transport

    - Camille Hilaire : du trait à la lumière

     

    >> En librairie ou sur abonnement sur http://www.gazette-lorraine.com/abonnement.php

  • Un Lorrain ordonné prêtre à Paris

    "La vocation sacerdotale ne m’a jamais vraiment quitté" confie Thierry Laurent, fils de restaurateurs lorrains. Il vient d’être ordonné ce 26 juin en la cathédrale Notre-Dame de Paris.

    abbé Thierry Laurent.JPGLa vie chrétienne vécue en famille, les amitiés dans le scoutisme et sa participation au pèlerinage Domremy-Vaucouleurs (et aussi celui de Chartres), sa contribution au service de la liturgie, la rencontre de prêtres ont nourri sa foi paisible et classique. De sa grand-mère, il garde une piété mariale inconditionnelle. Etudiant en droit à Nancy, il vit de façon plus intense sa foi : il ressent la nécessité de faire de l’apostolat et se lance dans la catéchèse auprès d’enfants ayant des handicaps mentaux, ainsi que dans l’animation de cercles d’étudiants.

    En 1996, il devient avocat ; il enseigne aussi à l’université. Sa carrière démarre rapidement lui procurant un train de vie confortable. Réaliste et pratique, Thierry Laurent se dépense sans compter pour les autres, assure son métier comme ses nombreux engagements apostoliques, dont la charge d’avocat ecclésiastique à Nancy.

    Après plus de six ans d’un métier haletant, il veut aller jusqu’au bout de l’appel ressenti. "Malgré l’amour de mon métier, j’ai finalement accepté d’arrêter pour me consacrer de manière pleine et entière à Dieu dans le sacerdoce. La question de la confession de la foi et du pardon représente un point central de ma vocation. Je l’ai toujours vécue de manière assez heureuse et je me suis senti appelé à cette présence sacramentelle auprès de mes frères." A 34 ans, sa vocation est accueillie dans le diocèse de Paris.

    Moment phare et très marquant dans sa formation, un stage de quatorze mois au Bangladesh : " J’ai pris conscience de la pauvreté injuste et j’y ai trouvé matière pour annoncer l’Evangile en actes. Bavard et passionné de la vie, il ressent une grande amitié spirituelle pour saint Ignace de Loyola, saint Thomas d’Aquin et saint José Maria Escriva. Il se sent en adéquation avec le monde, celui du travail, mais aussi celui des jeunes familles, des étudiants, des souffrants en fin de vie, des personnes handicapées. Une fois prêtre, il espère bien garder cette appétence à ne laisser passer personne !

    (cliché : l’abbé Thierry Laurent est au premier plan, la tête baissée)

    [info de Ph. M. et http://www.mavocation.org/actualite/ordinations-paris-2010/1431-thierry-laurent.html]

  • Nancy : ordinations d’un prêtre et de deux diacres

    Ce dimanche 20 juin, les catholiques lorrains se sont rassemblés très nombreux autour de l’évêque du diocèse et de son clergé dans la cathédrale Notre-Dame de Bonne Nouvelle de Nancy pour l’ordination d’un prêtre et de deux diacres.

    ordinations cathédrale ncy 20.06.10 029.jpgAu cours de cette cérémonie solennelle, Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, a conféré le sacrement de l’ordre à Alexandre Thomassin, 30 ans, originaire de Favières dans le Saintois, et ordonné diacres en vue d’être prêtres Pierre Demenois, 35 ans, originaire d’Agincourt, commune de l’est nancéien, et Jean-Louis Coinsmann, 31 ans, originaire de Dolcourt, dans le sud toulois.

    L’Eglise locale a mis toute sa solennité pour ce moment qui compte dans la vie de ceux qui ont choisi de servir Dieu et l’Eglise, mais aussi pour l’institution ecclésiale et le peuple des fidèles. Car il ne peut y avoir d’Eglise sans prêtre comme l’a rappelé Mgr Papin lors de son homélie. On peut lire le sermon de Mgr Papin sur http://catholique-nancy.cef.fr/spip/Fete-diocesaine-des-ordinations.

    Le moment fort reste naturellement l’imposition des mains par l’évêque et son presbyterium sur la tête des diacres puis du futur prêtre, suivi dans son geste symbolique par l’assemblée des prêtres.

    L’abbé Alexandre Thomassin a exercé son service de diacre à l’église de la Vierge-des-Pauvres au Haut-du-Lièvre à Nancy. Durant une année, il s’est partagé entre sa formation au séminaire interdiocésain de Lorraine à Metz et la paroisse Saint-Mansuy du Toulois. Quant à Pierre Demenois, il reconnaît que l’appel à la prêtrise n’a rien de commun avec la fiction, la vocation reste fondamentalement un mystère.

    Tous restent intensément attachés à leur terre lorraine. Ils assureront donc leur service de prêtre et de diacre dans le diocèse de Nancy et de Toul.

    Lors de la cérémonie d’ordination, nous avons eu l’immense joie de revoir, parmi la multitude d’anciens et de jeunes prêtres de Meurthe-et-Moselle et d’autres diocèses et congrégations, l’abbé André Houot, qui fut curé de Bleurville de 1969 à 1993.

    Quelques clichés de la cérémonie d’ordination…

    [crédit photo : H&PB]

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