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  • Postes, télégraphes, téléphones en France : une chronologie illustrée du XIXe siècle

    ptt.jpgAprès la Chronique du XXe siècle, la Fédération nationale des associations de personnel de La Poste et de France Télécom pour la recherche historique (FNARH), dont le siège est à Laxou (Meurthe-et-Moselle), propose une Chronique du XIXe siècle des Postes, télégraphes et téléphones en France.

    Chaque chronique comprend une rubrique "Repères" dans laquelle sont rappelés les événements politico-économiques importants qui se sont déroulés en France et dans le monde, en faisant état de ceux afférents aux postes et télégraphes dans les autres pays ainsi que les inventions les plus remarquables dans le domaine concerné.

    L'ouvrage fait un focus sur les points particuliers qui ont marqué l'évolution en France des services postaux (Poste aux chevaux, Poste rurale, bureaux ambulants...), du télégraphe (télégraphe aérien Chappe, câbles sous-marins...), du téléphone et de la télégraphie sans fil.

    Enfin, cette Chronique du XIXe siècle comporte une synthèse en forme de bilan du siècle écoulé dans les domaines des Postes et Télégraphes ; siècle qui connut un développement extraordinaire de ces moyens de communication.

    Le recueil est enrichi de nombreuses illustrations d'époque.

     

    ‡ Postes, Télégraphes, Téléphones en France : une chronique illustrée du XIXe siècle, Claude Pérardel (dir.), éditions FNARH, 2013, 414 p., ill. (40 €).

    Tarif promotionnel jusqu'au 31 décembre 2013 : 35 € + 10 € de port. Après cette date, 40 € + 10 € de port.

    A commander à FNARH, 22 rue de la Sapinière, 54520 LAXOU

    Plus d'info sur www.fnarh.com 

  • Les Alsaciens-Lorrains dans la Grande Guerre

    lorraine,alsace,grande guerre,allemagne,france,jean noel grandhomme,francis grandhommeUn siècle après le début de la Première Guerre mondiale, Jean-Noël et Francis Grandhomme, en historiens de la Grande Guerre dans l'Est de la France, analysent le destin particulier de l'Alsace et de la Lorraine mosellane annexées.

    Dénicheurs d'archives rares et de témoignages précieux, ils nous restituent avec une grande clarté quatre longues années de deuils, de privations, de désarroi. Ils évoquent l'Alsace et la Lorraine champs de batailles ; le destin souvent tragique, parfois romanesque, des jeunes gens combattant dans les armées du IIe Reich ou dans les rangs des régiments de la République ; la vie quotidienne des civils sous un régime de dictature militaire ; le retour festif des "provinces perdues" à la France en 1918 ; les désillusions de l'entre-deux-guerres ; enfin le lent travail de mémoire et de réappropriation de la parole alors que les derniers survivants de cette guerre ont désormais disparu.

    Comme le souligne le président du Conseil régional d'Alsace dans sa préface, "Pour la première fois un ouvrage présente l'état complet des connaissances sur la Première Guerre mondiale dans notre région, tout en accordant une place de choix aux témoignages et à la mémoire des Alsaciens-Mosellans qui la vécurent."

    Ce fort ouvrage est enrichi de plus de 250 photographies inédites extraites des albums de famille de ces soldats alsaciens et lorrains incorporés dans les armées françaises et allemandes.

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    ‡ Les Alsaciens-Lorrains dans la Grande Guerre, Jean-Noël et Francis Grandhomme, éditions La Nuée Bleue, 2013, 509 p., ill. (22 €).

  • Lettre à un ami français

    laicisme.jpgD'après Vincent Peillon. « On ne pourra jamais construire un pays de libertés avec la religion catholique... il faut inventer une religion républicaine... », dit-il. Quel homme ! Vraiment, vous avez de la chance d'avoir des gens comme lui, Hollande et toute son équipe ! Depuis que le p'tit Sarko est parti, quel progrès ! Exemple ? Le Mariage. Avant (au temps de la préhistoire), un homme, une femme. Aujourd'hui ? Un homme, un homme. Et demain ? Un homme, une vache ? Une femme, une girafe ?... Tant pis pour le « Petit Larousse » et ses définitions archaïques ! Cela dit, il reste pas mal de boulot. Eh oui, pour en finir complètement avec l'infâme civilisation judéo-chrétienne, il y a encore du pain sur la planche ! Entre nous : trouvez-vous normal de continuer à compter les années après Jésus-Christ ? Quand on a la chance d'avoir Zidane, Hallyday, ou Depardieu, qu'est-ce qu'on attend pour changer ? De même, les noms de lieux. « Saint-Emilion », « Sainte-Maxime », « Saint-Jean-Pied-de-Port ... » Non ! « Emilion », « Maxime », « Jean Pied-de-Port (ou Pied-de-Port) » tout simplement ! Et les croix dans les cimetières ou au bord des chemins ? Combien de temps resteront-elles plantées comme des insultes à la laïcité ? Pire : vous connaissez Peuvillers ? Dans ce petit village meusien ; cimetière Allemand. Là, c'est par centaines qu'il y a des croix à arracher. Et puis surtout, surtout, une énorme statue de sainte Gertrude ! Défi à l'athéisme dans toute sa splendeur. Ne vous en faites pas, je vais contacter la mairie pour qu'on  enlève cette entrave à la liberté, afin de la remplacer par un édifice à la gloire de Vincent Peillon. Financièrement parlant, cadeau. Ne reculant devant aucun sacrifice quand il s'agit d'une bonne action, ma famille s'est cotisée. C'est nous qui « peillon ».

    Bon, il est l'heure que je vous quitte. Prenez bien soin de vos élus, mais gardez-les pour vous. Pas la peine de partager, en Belgique on est déjà copieusement servi.

    Jean-Pierre Snyers

    4141 Louveigné

    (Belgique)

    jpsnyers.blogspot.com 

  • Choisissez votre bonnet pour les prochaines manifestations !

    Après le sweet de La Manif' pour Tous,

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    Choisissez votre bonnet pour les prochaines manifestations !

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  • "La Nef" de novembre

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    Le mensuel La Nef propose ce mois-ci un dossier complet sur la discrimination antichrétienne en Europe.

    Les rapports, comme celui publié chaque année par l'Aide à l'Eglise en Détresse, montrent une augmentation de la persécution des chrétiens dans le monde. On pense bien sûr d'abord à l'Asie, l'Afrique... Mais l'Europe est également touchée, mais d'une autre manière. Plus insidieuse. Comme c'est le cas actuellement en France avec la lutte du pouvoir socialo-bobo-écolo et de ses affidés contre tout mouvement de contestation contre le "mariage homo" et ses dérives.

    Il est important de comprendre ce qui se passe et comment on y est arrivé.

     

    ‡ Plus d'info' sur le mensuel La Nef et son blog ici http://blog.lanef.net

  • Les 10 commandements du "bon" citoyen

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  • Eglises : chefs-d'oeuvre en péril ?

    arts sacrés 25.jpgLe patrimoine religieux français fait régulièrement les gros titres des médias : certains le trouvent trop coûteux à entretenir et demandent même qu’on désaffecte, voire qu’on détruise, certaines églises. La presse étrangère nous fait remarquer que nos églises sont souvent crasseuses et mal entretenues…

    Qui est responsable ? Lorsque les Églises (essentiellement l’Eglise catholique, mais pas seulement) et l’État se sont séparés en 1905, la question s’est posée du devenir des lieux de culte. L’« affectation légale » en est résultée, notion juridique qui demeure en Europe une exception cultuelle aux nombreuses conséquences, parfois paradoxales, qu’il faut connaître avant d’interroger l’état du patrimoine cultuel en France.

    Pour la première fois, la revue Arts sacrés propose un dossier complet et accessible, avec de nombreux exemples pratiques, fait le point de la question. Une comparaison avec l’Allemagne et l’Italie permet de mieux cerner la spécificité française et de corriger certains préjugés. Un rapide tour de France de communes de tailles et de conditions diverses permet d’évoquer les nombreuses situations que rencontrent les maires faces à « leurs » églises, parfois charges écrasantes, souvent potentiel ignoré. Des rencontres avec des acteurs et médiateurs du patrimoine cultuel nous font découvrir les réalités du terrain.

    L’Etat et l’Eglise sont embarqués ensemble pour faire vivre les églises et les entretenir. Une responsabilité partagée aussi avec les Français, et les croyants baptisés en particulier : pour qu’un édifice cultuel continue à vivre et, par conséquent, à être entretenu, il faut le fréquenter (sous entendu, venir y prier et assister aux offices). A bon entendeur…

     

    ‡ On peut se procurer le numéro 25 de la revue Arts sacrés ici http://www.arts-sacres.fr/numero-25/eglises-chefs-d-oeuvre-peril.3860.php

  • Et la France se réveilla

    france.jpgCe devait être une loi festive et consensuelle... Une formalité. Elle a, et pour longtemps, fracturé la France en deux. En l'espace de trois grandes manifestations, la contestation de la loi sur le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels a mobilisé des millions de Français. Même votée, promulguée, cette loi continue de diviser le pays et ils sont nombreux, aujourd'hui encore, à la combattre.

    Voici le premier livre qui retrace l'histoire secrète de la Manif pour Tous, la met en perspective avec le quinquennat de Nicolas Sarkozy, évalue les conséquences profondes qu'elle peut avoir sur la vie politique, l'Eglise et toute la société.

    Dès l'origine, les auteurs ont suivi, jour après jour, ce mouvement. Ils ont rencontré les organisateurs, les manifestants, les hommes et les femmes politiques qui y ont pris part ou l'ont combattue. Ils ont assisté à l'émergence du phénomène Frigide Barjot, à l'apparition d'une nouvelle génération militante, à la naissance des Veilleurs. Ils ont analysé le rôle de l'Eglise et l'influence des réseaux sociaux militants. Ils ont relevé, en détail, les brimades policières aux ordres du pouvoir socialiste, les mensonges politiques et les condamnations judiciaires iniques.

    De la ligne Buisson au succès de la Droite forte, des hésitations de François Hollande aux provocations de l'homosexualiste Pierre Bergé, des joutes homériques à l'Assemblée nationale au harcèlement des membres du gouvernement, des silences de Marine Le Pen à l'engagement de sa nièce la députée Marion Le Pen-Maréchal, ils racontent aussi les coulisses d'une année politique où la loi Taubira a tracé, au-delà des partis, de nouveaux clivages. Où s'est esquissée, dans la rue, une recomposition de la droite.

    Ils montrent enfin comment la Manif pour Tous a amorcé un véritable retournement culturel : une révolution des valeurs. Un combat contre le nihilisme soixante-huitard.

     

    ‡ Et la France se réveilla. Enquête sur la révolution des valeurs, Vincent Trémolet de Villers et Raphaël Stainville, Editions du Toucan, 2013, 280 p. (18 €).

  • Morts pour Vichy

    vichy.jpgQuatre hommes figurent au sommaire de ce livre. Tous, dans le cadre du régime de l'Etat Français, ont exercé le pouvoir, au plus haut niveau. Tous ont connu un sort tragique : l'amiral François Darlan assassiné ; Pierre Pucheu, l'un des esprits les plus brillants de sa génération, ministre de l'Intérieur dans le gouvernement de Vichy, fusillé à Alger ; le maréchal Philippe Pétain, Chef de l'Etat Français, condamné à la peine capitale mais réservé à une longue agonie ; Pierre Laval, vice-président du Conseil, exécuté à Paris dans des conditions qui ont desservi l'image de la justice de l'époque.

    Si Alain Decaux a choisi d'évoquer l'ultime étape de leur destin, ce n'est pas pour rechercher les raisons politiques qui les y ont conduites. Il ne veut raconter que ce qui précéda leur mort. C'est dans de tels instants qu'un être se révèle tout entier et quelquefois recompose la dernière image que l'on gardera de lui.

    Le souhait de rassembler ces quatre destins recouvre aussi des raisons personnelles. L'auteur a réuni pendant 20 ans une masse d'informations dont il n'a pu utiliser qu'une part dans ses célèbres émissions Alain Decaux raconte. Il parvient à l'âge où l'on s'interroge quant au sort qui sera réservé, après son départ, à des témoignages inédits que l'on peut juger utiles pour la connaissance d'une période de l'histoire contemporaine de la France particulièrement difficile à déchiffrer.

     

    ‡ Morts pour Vichy, Alain Decaux, éditions Perrin, coll. Tempus, 2013, 475 p. (11 €).

  • La Légion d’honneur traînée dans la boue

    legion-dhonneur.jpgParmi les 681 personnes « distinguées » cette année par la Légion d’honneur lors de la promotion du 14 juillet, on a pu lire avec surprise dans le Journal officiel le nom de Tareq Oubrou, promu au grade de chevalier, au titre du ministère de l’Intérieur. Pour quel "haut-fait", au fait ? Le JO ne le dit pas...

    Membre d'une des organisations les plus radicales de l'islam en France (UOIF : union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », Tareq Oubrou est également l'ancien président de l'association « Imams de France ».

    Né au Maroc, il est un grand admirateur du fondateur des Frères musulmans, Hassan Al Banna. Il y a quelques années, lors d'une conférence publique, Tareq Oubrou déclarait : « L'Islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C'est un Etat, c'est un pays, dans le sens géographique, c'est à dire qu'il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n'y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l'Islam… La politique des musulmans ce n'est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge ».

    Le gouvernement français, grand pourfendeur des religions (surtout le catholicisme...) et adepte du laïcisme pur et dur (et imbécile surtout) du temps d’Emile Combes et de Léon Bourgeois, a osé décerner la suprême décoration nationale à un promoteur de l’islam radical, recteur de mosquée, fervent soutien des poseurs de bombes et égorgeurs des coptes chrétiens… Napoléon doit se retourner dans sa tombe ! Et les Légionnaires et descendants de Légionnaires apprécieront.

    La décadence de la France s'accélère à grands pas...

  • Schuman - Adenauer, deux artisans de la réconciliation franco-allemande

    schuman.jpg"C'est vous qui avez commencé. Et nous avons poursuivi votre oeuvre". C'est sans ambiguïté que le Général de Gaulle reconnaissait, d'une phrase aujourd'hui quelque peu oubliée, le rôle précurseur de Robert Schuman dans la réconciliation franco-allemande scellée il y a un demi-siècle par le traité de l'Elysée (22 janvier 1963).

    Cette voie nouvelle dans les relations internationales tracée par l'homme d'Etat mosellan est tout à la fois le fruit des circonstances, l'expression du lien singulier entretenu par un Lorrain des frontières avec une nation qui a contribué de manière significative à sa formation culturelle, intellectuelle et spirituelle et enfin le témoignage de la confiance accordée au chancelier Konrad Adenauer au nom d'une communauté d'idée et d'intérêts convergents.

    Le catalogue, support de l'exposition Schuman-Adenauer, deux artisans de la réconciliation franco-allemande présentée jusqu'au 15 septembre dans la maison de Robert Schuman à Scy-Chazelles, insiste particulièrement sur les engagements partagés entre Schuman et Adenauer et, notamment, leur foi comme moteur de leur engagement associatif puis politique au service de la construction européenne. Konrad Adenauer, né à Cologne, adhère aux cercles et associations catholiques qui développent une sociabilité nourrie par les valeurs chrétiennes d'entraide et de charité. Quant à Robert Schuman, né à Luxembourg d'une mère luxembourgeoise et d'un père lorrain, ses attaches culturelles et religieuses s'enracinent profondemment dans l'espace lotharingien.

    Un ouvrage à lire pour mieux connaître ces hommes "de bonne volonté" qui sont à l'origine de la réconciliation de deux peuples jadis ennemis, ainsi que de la construction européenne... Même si cette dernière renie désormais les fondements chrétiens de ses "pères fondateurs".

     

    ‡ Schuman - Adenauer, deux artisans de la réconciliation franco-allemande, collectif, éditions Silvana Editoriale, 2013, 80 p., ill. (14 €).

  • Un timbre « Marianne » offensant pour la République

    Le 14 juillet, le président de la République a présenté le nouveau timbre « Marianne » mis en vente le 17 juillet 2013.

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    La presse révèle que ce timbre a été dessiné par David Kawena et Olivier Ciappa. Ce dernier s’est surtout fait connaître pour ses positions militantes en faveur du mariage et de l’adoption par les couples homosexuels. Le « peintre » a reconnu s’être inspiré pour cette nouvelle « Marianne » d’Inna Schevchenko, la fondatrice ukrainienne des "FEMEN" : ce mouvement féministe extrêmement radical s’est fait connaître pour ses multiples provocations menées seins nus.

    Il justifie son choix en affirmant : « J’ai choisi Inna Shevchenko parce que ça me semblait évident que la Marianne de la Révolution, outre le fait qu’elle était sein nu, aurait été une Femen. La liberté, l’égalité, la fraternité, ce sont les valeurs des Femen. »

    Mais où a-t-il vu ces valeurs dans les actions scandaleuses et violentes menées par les Femen en France ?

    Est-ce le 12 février dernier, quand les Femen montent une opération coup de poing au sein de la cathédrale Notre-Dame de Paris pour fêter la démission du pape Benoît XVI ; et que des militantes seins nus bousculent les fidèles ?

    Ou, est-ce quand, quelques jours plus tôt, ces extrémistes grimées en religieuses, poitrine à l’air, ont gazé des manifestants contre la loi Taubira ?

    Ou, enfin, est-ce le jour où des militantes hystériques ont agressé l’archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Léonard ?

    En réalité, les valeurs qu’incarnent les Femen ne sont en rien celles de la France. Marianne mérite mieux que ça ! Elle ne doit pas devenir le symbole de la vulgarité, de la violence et du sectarisme incarnés par les Femen.

    Si nous devions encore porter une preuve de cette vulgarité, il suffit de donner la parole à Inna Schevchenko, la principale intéressée, responsable des Femen en France. Elle a réagi au choix du président de la République, avec toute l’obscénité que l’on pouvait attendre d’elle, en écrivant : « Femen est sur le timbre français. Maintenant les homophobes, les extrémistes et les fascistes devront lécher mon cul quand ils voudront envoyer une lettre. »

    Nous ne pouvons accepter une telle provocation. Marianne doit continuer à incarner les valeurs de la France et être un symbole d’unité nationale. 

     

    ‡ Boycottez ce nouveau timbre « Marianne » et signez la pétition au président de la République pour exiger le retrait immédiat du nouveau timbre Marianne inspiré d’une Femen en cliquant sur ce lien http://www.nonaumariagehomo.fr/spip.php?article134

  • La répression pour tous ?

    repression_0001.jpgLes Français attendaient la réindustrialisation du pays et la fin du chômage. On leur a offert le "mariage" homosexuel. Contre toute prudence, le gouvernement prétend imposer un bouleversement sociétal et moral sans précédent à un peuple que les observateurs considéraient découragé, résigné, anesthésié.

    A la stupeur générale, cet attentat contre l'intelligence, la morale et - surtout - le bons sens soulève depuis des mois une vague d'indignation et de refus d'une ampleur incroyable, que le mépris, les mensonges d'état et médiatiques grossiers et, pour finir, la violence policière ne découragent pas, au contraire.

    En effet, l'espoir vient de changer de camp. Contre la vérité, la répression aveugle et disproportionnée de la police politique socialiste révèle le désarroi. Elle signe leur impuissance. Elle annonce une défaite inéluctable.

    Le sursaut des consciences, pacifique, inattendu, massif, joyeux, déterminé, inclassable, est le signe avant-coureur d'un surgissement de la jeunesse - pas celle qui fait la une des journaux télévisées dans la rubrique "faits divers" ! - qui, en dépit de la répression policière, est plus que jamais habitée par l'espérance.

    La France a besoin d'espérance. Cet ouvrage nous en démontre l'impérieuse nécessité et, surtout, démonte le système policier aux ordres du pouvoir socialiste allié aux médias serviles, qui sévit durant les actions menées contre la funeste loi Taubira. Il faut que chaque Français sache que nous vivons aujourd'hui dans un système policier digne des heures les plus sombres de la police politique soviétique.

     

    ‡ La répression pour tous ?, François Billot de Lochner, éditions Lethielleux - François-Xavier de Guibert, 2013, 157 p. (10 €).

  • La Lorraine et la France du Moyen Âge à nos jours

    lorraine-france moyen âge.jpgLes relations entre la Lorraine et la France ont été complexes au cours de l'Histoire. Les contributions des participants au colloque organisé en 2011 à Metz avec le concours du Comité d'histoire régionale de Lorraine rendent abordent la spécificité de la situation géographico-économique de la Lorraine, particularité qui fut source d'enjeux politiques majeurs au cours des siècles.

    Selon les époques, ces rapports de contestation ou d'insoumission, de fascination ou d'imitation, dans des domaines aussi divers que les échanges commerciaux, la vie quotidienne, les langues, la culture, les disciplines artistiques, la vie spirituelle, également par le jeu des influences réciproques, n'ont pas manqué d'enrichir considérablement nos patrimoines respectifs. Les liens tissés par les Lorrains avec leur voisin français - tantôt empreints de tensions, tantôt avides de pacification - ont largement contribué à façonner le caractère complexe certes, mais riche et original des anciens duchés.

    L'ouvrage présente de nombreuses facettes de la Lorraine indépendante face au royaume de France, puis intégrée au territoire national. Du rôle des princes de Bar et du duc Charles IV à Maurice Barrès en passant par Jeanne d'Arc, les analyses embrassent la longue période du XIVe siècle à la Lorraine des "Trente Glorieuses", sans oublier le sort des populations durant les derniers conflits et, au final, leur intégration dans le "grand tout" que constitue la nation française, désormais largement modelée par l'Union européenne.

     

    ‡ La Lorraine et la France du Moyen Âge à nos jours : relations, différences et convergences, François Roth (dir.), Edhisto, 2013, 175 p. (20 €).

  • Algérie 60. Mascara – Sétif, 1960-1961

    algérie 60.jpgOn n’attendait pas Michel Bur dans un ouvrage sur la guerre d’Algérie. Bien connu des étudiants et des historiens du Grand Est de la France, ce franc-comtois de naissance est en effet un spécialiste du Moyen Âge, historien des textes et archéologue. Fondateur du laboratoire d'archéologie médiévale de Nancy, Michel Bur est aujourd'hui membre de l'Institut, professeur émérite de l'Université de Lorraine et membre de l'Académie de Stanislas.

    Notre historien nous livre les notes écrites à chaud lors de son retour d’Algérie en février 1961. Il s’agit avant tout d’un témoigne pour se libérer des quatorze mois passés dans ce département français alors en guerre. Michel Bur, comme sous-lieutenant, nous livre abruptement les moments passés au milieu de ses hommes et des indigènes, des difficultés rencontrées et des expériences accumulées au cours de cette guerre subversive.

    Cinquante ans après ces événements, il nous transmet le témoignage d’un formateur d’hommes sur un moment douloureux de notre histoire contemporaine.


    ‡ Algérie. Mascara - Sétif, 1er janvier 1960-16 février 1961, Michel Bur, éditions L'Harmattan, 2012, 191 p., cartes (19 €).

     

  • La ville charitable au XIXe siècle

    ville charitable.jpgLe très populaire Abbé Pierre, fondateur du mouvement Emmaüs, est souvent présenté comme un franc-tireur, et l'organisation qu'il a créée comme tout autre chose qu'une oeuvre de charité. Vision de journalistes "christianophobe". Pourtant, ses origines et ses objectifs inscrivent bien Emmaüs dans la tradition chrétienne de la caritas. Ce livre revient opportunément sur ces oeuvres que le XIXe siècle ne craignait pas de nommer "de charité".

    Les oeuvres des villes françaises - et notamment Nancy qui fait l'objet de longs développements - et allemandes au XIXe siècle, examinées de manière inédite par l'auteur, encadrent alors étroitement la population catholique. Elles sont plus le produit de leur temps que des survivances de l'Ancien Régime. Leurs fondateurs sont issus d'un milieu d'élites laïques, de prêtres diocésains (ce fut le cas à Nancy avec l'abbé Jean-Sébastien Girard [1841-1907], fondateur d'une oeuvre ouvrière) et de religieux congréganistes où les femmes tiennent une place décisive. Leur grande plasticité répond aussi bien à l'héritage chrétien qu'aux besoins nés de la révolution industrielle. Émerge alors un véritable secteur "privé" face à l'affirmation de l'intervention publique.

    Au coeur de cet ouvrage est posé la question fondamentale du rapport des catholiques à la modernité. Les oeuvres reprennent-elles sans distanciation l'image catholique de la société moderne comme un "corps malade" ? Leurs pratiques témoignent-elles d'un refus persistant de cette modernité sociale à laquelle le discours dominant de l'Eglise invitait ses fidèles à tourner le dos ? Autant d'interrogations autour d'un continent qui n'est pas tout à fait englouti, mais qui survit aujourd'hui au sein des mouvements caritatifs et humanitaires confessionnels ou laïques.

    L'auteur, Catherine Maurer, est professeur d'histoire contemporaine à l'Université de Strasbourg et membre honoraire de l'Institut universitaire de France.

     

    ‡ La ville charitable. Les oeuvres sociales catholiques en France et en Allemagne au XIXe siècle, Catherine Maurer, éditions du Cerf, 2012, 411 p. (24 €).

  • Une stèle dédiée au général Bigeard vandalisée à Aix-en-Provence

    stèle bigeard aix.jpegEn juin 2010, le conseil municipal d’Aix-en-Provence décidait de donner à un rond-point le nom du général Marcel Bigeard, alors décédé quelques jours auparavant. D’autres villes prendront la même initiative, quitte à susciter des polémiques avec les détracteurs les plus acharnés de “Bruno” (indicatif radio du général Bigeard).

    Mais ceux d’Aix-en-Provence n’en démordent pas. Ainsi, en septembre 2010, une cinquantaine de personnes répondirent à l’appel de la section locale du PCF pour effacer sur ce rond-point le nom du “Général Marcel Bigeard” pour le remplacer par celui de Maurice Audin, militant communiste et anticolonialiste, disparu lors de la bataille d’Alger en 1957. Cela donna lieu, un mois plus tard, à une contre-manifestation organisée par l’Union nationale des parachutistes (UNP).

    Quoi qu’il en soit, la mairie ne changea pas de position. Bien au contraire puisque le 5 décembre dernier, une stèle à la mémoire du général Bigeard fut inaugurée sur le rond-point.

    lorraine,toul,général bigeard,aix en provence,stèle,communiste,algérie,guerre,france,patrieSeulement, le monument n’est malheureusement pas resté intact longtemps. Le 26 décembre 2012, “sans aucun respect pour cette période de trêve de fêtes, la plaque dévoilée le 05 décembre par les autorités de la Ville d’Aix en Provence et les responsables nationaux, régionaux et départementaux de l’Union Nationale des parachutistes, [a été] détruite”, explique Stanislas Opolczynski, le responsable local de l’UNP. Non seulement, il ne reste plus grand’chose de la plaque sur laquelle était gravé le visage du général Bigeard mais la stèle a aussi été recouverte de peinture rouge et de tags.

    C’est “un geste inqualifiable qui désigne des personnages qui refusent l’histoire mais qui n’hésitent pas à imposer leur idéologie”, poursuit encore M. Opolczynski, qui a une parfaite idée des auteurs de ces actes de vandalisme, qui, selon lui, “relèvent du délit de saccage d’édifice public et d’atteinte aux valeurs et symboles de la République.” Et de conclure : “Pour les parachutistes, et les combattants de tous les conflits, la guerre ce fut le danger, l’audace, l’isolement. Le but fut atteint, la victoire remportée. Maintenant que la bassesse déferle, eux regardent le ciel sans pâlir et la terre sans rougir. Tout le monde ne peut en dire autant !”.

    Une plainte a été déposée par la mairie d’Aix-en-Provence. “Nous allons (…) plastifier des photos de la plaque dédiée à Bigeard et en coller à chaque destruction. Lorsqu’ils seront lassés nous reposerons une plaque définitive”, a confié M. Opolczynski.

    [source : Zone Militaire]

  • Nancy : prochaines activités à la chapelle du Sacré-Cœur

    On nous prie d’annoncer :

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    >> Samedi 26 janvier à 15h00 : pour la fin du temps de Noël, les élèves de l'école Sainte-Philomène vous convient à un spectacle. Il aura lieu à la tribune de la chapelle et sera suivi d'un goûter.

    >> Dimanche 27 janvier à l'issue de la messe de 11h00 : adoration du Très Saint-Sacrement qui restera exposé jusqu'au Salut à 17h00 (prière pour la France et pour la Famille, face au projet de loi  instaurant le « mariage homosexuel »).

     

    Chapelle du Sacré-Cœur

    65 rue du Maréchal Oudinot

    54000 Nancy

  • Aux âmes Citoyens !

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    ‡ Plus d'info' sur www.tousenpriere.com 

     

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  • Nancy : prière pour la France et la Famille à la basilique Notre-Dame de Lourdes le 24 janvier

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  • Le Chasseur de La Mothe

    chasseur la mothe.jpgLe Chasseur de La Mothe, roman historique d'Alcide Marot, est enfin réédité ! Le Lorrain Alcide Marot publia cette chronique en 1892 s'inscrivant dans le courant du fort sentiment identitaire lorrain qui alimenta une riche vie intellectuelle entre la deuxième moitié du XIXe siècle et le premier quart du XXe. Une belle relation d'amitié  le liait à Georges Sadoul, le rédacteur en chef du Pays Lorrain, et à l'écrivain Maurice Barrès.

    Le Chasseur de La Mothe nous replonge dans un épisode historique qui n'est rien d'autre que les longues prémices du rattachement de la Lorraine à la France.

    L'action du livre se situe au milieu du XVIIe siècle, aux moments du dernier siège de la vieille cité du Bassigny lorrain, superbe ville fortifiée qui abritait en 1645 plus de 4000 habitants. Notre héros, Sébastien de Maillefert est capitaine et major d'infanterie à La Mothe et sert le duc Charles IV. Il est habile arquebusier et traverse avec hardiesse les lignes françaises durant le dernier siège qui se solda, sur ordre de Mazarin, par la destruction totale de La Mothe. Il est chasseur comme on ne l'imagine plus aujourd'hui et c'est au travers de ses sorties que l'on comprend mieux l'atmosphère d'une époque et les derniers instants d'une communauté de vie aux confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Comté de Bourgogne.

    Les faits historiques décrits sont avérés et parfaitement mis en scène par Alcide Marot. Les vertus du Chasseur de La Mothe sont à la lisière du réel et de l'imaginaire. L'écriture en est délicieuse.

    Aujourd'hui, et plus que jamais, il est utile de se réapproprier dans une ardente volonté, les contes de toujours, les lire et les dire à nouveau. Nos territoires regorgent de récits où les acteurs d'aventure n'étaient point semblables aux hommes de notre temps ; le destin leur accordait d'autres pouvoirs que les nôtres et les maintenait hors des limites de la naissance et de la mort.

    La réédition du Chasseur de La Mothe restaure la mémoire d'un territoire - aujourd'hui bien oublié - et le talent d'un écrivain, Alcide Marot.

    L'auteur, Alcide Marot, est né à Sauville (Vosges) en 1862. Il reçut sa formation intellectuelle auprès du curé de Nijon (Haute-Marne) qui fut complétée au petit séminaire de Langres. Il fut maire de Nijon à la suite de son père. Alcide Marot est décédé en 1927. Il publia notamment Essai d'histoire des villages du canton de Bourmont (1925) et Dix poésies en patois du Bassigny lorrain et une servante d'autrefois.

     

    ‡ Le Chasseur de La Mothe. Chronique lorraine, Alcide Marot, éditions Imagine-Networks, 2012, 124 p. (18,50 €).

  • "Mariage pour tous" : réaction des évêque de l'Est de la France

    Communiqué des évêques de l'Est de la France

    à l'occasion du projet de loi sur « le mariage pour tous »


    eveques-groupe Lourdes.jpg


    Le 31 octobre prochain, le Conseil des ministres va se saisir du projet de loi visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe. L'adoption de ce projet transformerait une institution structurant la société depuis des siècles; ce qui ne peut laisser indifférent aucun citoyen. Des membres d'autres confessions chrétiennes, d'autres religions, mais aussi des groupes de réflexion et des personnalités compétentes s'interrogent.

    Est-il possible de prendre une telle décision sans qu'un débat n'ait lieu à l'échelon national ? Les arguments qui veulent légitimer le mariage des couples de même sexe reposent en général sur deux points : l'amour et la non-discrimination.

    Concernant la question de l'amour, nous comprenons que des personnes du même sexe puissent s'aimer. Mais alors faut-il institutionnaliser une forme particulière d’amour dans la société ? Si le mariage a été institué, c’est pour garantir la stabilité sociale et la filiation.

    Concernant le second point, celui de la non-discrimination, il faut rappeler que le mariage a toujours été compris comme l'union d'un homme et d'une femme (cf. article 12 de la Convention européenne des  droits de l'homme). Permettre le mariage de personnes du même sexe, c'est donc changer la définition du mariage lui-même.

    Une des conséquences concrètes, déjà prévue dans le projet de loi, que nous ne mesurons peut-être pas encore, c'est le remplacement de la notion de « père » et de « mère » dans l'état civil, au profit des notions artificielles et finalement discriminatoires de « parent 1 » et de « parent 2 ».

    Dans une société déjà déstabilisée, en quête de repères, avons-nous besoin de porter atteinte à la famille, cellule structurante de la société, et au rôle fondamental du père et de la mère ? Le grand oublié de ce projet n'est-il pas l'enfant ? En voulant donner le « droit à l'enfant » à certains, n'en vient-on pas à nier les droits de l'enfant lui-même ?

    Nous renouvelons notre appel aux responsables politiques du pays, afin qu'un large débat ouvert et serein puisse avoir lieu sur ce sujet fondamental. Nous encourageons toutes les initiatives constructives de nos concitoyens en ce sens. Nous appelons les membres de nos communautés à apporter leur contribution à ce débat.

     

    Besançon, le 17 octobre 2012

     

    Mgr André Lacrampe, archevêque de Besançon

    Mgr Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg

    Mgr Vincent Jordy, évêque de Saint-Claude

    Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié

    Mgr François Maupu, évêque de Verdun

    Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy

    Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz

    Mgr Claude Schockert, évêque de Belfort-Montbéliard

    Mgr Vincent Dollmann, évêque auxiliaire de Strasbourg

    Mgr Christian Kratz, évêque auxiliaire de Strasbourg

  • 11 Novembre : une messe pour la France à Paris

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    Cérémonie du 11 Novembre à Bleurville (archives 2010, © H&PB]

  • Nouvelle histoire de la Révolution française

    révolution.jpgLa Révolution n'a pas été la réalisation d'un seul projet, incarné par un seul groupe, mais la rencontre de projets réformateurs et utopiques concurrents, dans un pays fragmenté par de fortes identités régionales, religieuses et politiques. Ce livre, appuyé sur une vaste bibliographie tant française qu'étrangère et laissant la place aux apports anglo-saxons, invite à une nouvelle lecture des années 1770 à 1802 autour de quatre grands moments qui on donné à la France cette histoire à la fois chaotique et exceptionnelle.

    La Révolution par le haut, initiée par Louis XV et maladroitement reprise par Louis XVI, échoue sur le coup de force magistral de 1789. S'ouvre alors cette "révolution-régénération" attendue par la quasi-totalité des Français, dernière des révolutions du monde atlantique. La véritable révolution commence en 1792, conduite par des hommes qui inventent de nouvelles règles de vie. La violence, qui échappe au contrôle de l'Etat, permet la victoire nationale mais ruine l'unité du pays. Après l'élimination de Robespierre, la stabilisation recherchée par des groupes rivaux réussit à souder la nation mais bute sur des révolutions de palais jusqu'à confier l'Etat à un général charismatique.

    C'est en rendant compte de cette complexité que le présent ouvrage montre comment la France et au-delà le monde entre dans la modernité.

    L'auteur, Jean-Clément Martin, est professeur émérite de l'université Paris I-Panthéon-Sorbonne. Il a publié notamment le Dictionnaire de la Contre-Révolution.

     

    ‡ Nouvelle histoire de la Révolution française, Jean-Clément Martin, éditions Perrin, 2012, 636 p. (27 €).

  • Fête de Saint Michel

     

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    Saint Michel archange veillant sur Jehanne, basilique du Bois Chenu de Domremy [cliché © H&PB].

     

     

    En ce 29 septembre, fête de Saint Michel, et en l'année du 600ème anniversaire de la naissance de Jeanne d'Arc, nous vous proposons une prière pour notre France actuellement bien tourmentée.

     

    « Seigneur, daigne te souvenir que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, tu as fait de l'Archange saint Michel l'instrument de ta miséricorde à notre égard.

     

    Nous ne saurions l'oublier, c'est pourquoi nous te conjurons de conserver à notre patrie la protection dont tu l'as jadis entourée par le ministère de cet Archange vainqueur.

     

    Et toi, Ô Saint Michel, Prince des Milices célestes, viens à nous, nous t'appelons.

     

    Tu es l'Ange gardien de l'Eglise et de la France, c'est toi qui a inspiré et soutenu Jeanne d'Arc dans sa mission libératrice. Viens encore à notre secours et sauve-nous !

     

    Nous mettons nos personnes, nos familles, nos paroisses, la France entière, sous ta protection toute spéciale. Nous en avons la ferme espérance, tu ne laisseras pas mourrir le peuple qui t'a été confié.

     

    Que Dieu sucite parmi nous des saints !

     

    Par eux, ô saint Archange, fais triompher l'Eglise dans la lutte qu'elle soutient contre l'enfer déchaîné et, par la Vertu du Saint-Esprit, établis le règne du Christ sur la France et dans le monde, afin que la paix du ciel y demeure à jamais.

     

    Saint Michel Archange, prie pour nous, pour l'Eglise et pour la France. 
    Saints et saintes de France, priez pour nous et pour le salut de l'univers entier. »

     

     

    * * *

     

     

     

    Domremy_basilique_08.09.12 05.jpgEt puisque « les hommes d'arme batailleront et Dieu donnera la victoire » (Jehanne d’Arc), que se lèvent les hommes dont la France a tant besoin en ce moment :

     

    Ô Michel, Ange des Routiers,

    Pare nos cœurs de hardiesse,

    Conduis-nous pour camper joyeux

    Sur les sommets rayonnants de Dieu !

    Guide-nous sur les durs sentiers

    Et défends-nous de nos détresses !

    Ô Michel, Ange des Routiers,

    Pare nos cœurs de hardiesse.

     

    Ô Michel, Ange chevalier,

    Lave nos cœurs de nos rotures,

    Fais-nous hommes loyaux et droits,

    Bons aux petits, à tous courtois.

    Pour servir fais-nous ‘être prêts’

    Et garde-nous de tout parjure.

    Ô, Michel, Ange chevalier,

    Lave nos cœurs de nos rotures.

     

    O Michel, Ange des guerriers,

    Arme nos cœurs de sainte audace !

    De ta main tu tranchas les cieux…

    Arrache-nous des camps peureux.

    Dresse-nous, résolus et fiers,

    Sangle nos corps dans les cuirasses.
    Ô Michel, Ange des guerriers,

    Arme nos cœurs de sainte audace.

     

  • "Rois & Reines | Des histoires de France" au musée de l'Image d'Epinal

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  • La grande pitié des églises de France

    france,lorraine,église,patrimoine,catholique,observatoire du patrimoine religieux5000 à 10.000 édifices religieux - essentiellement catholiques -  pourraient disparaître avant 2030 en France.

     

    C'est la conclusion d'une étude effectuée par l'Observatoire du Patrimoine religieux en France.

     

    Et la Lorraine n'est pas exempte de ce phénomène ; en témoigne le cas actuel de l'église Saint-François d'Assise de Vandoeuvre-lès-Nancy qui est susceptible d'être vendue à un ‘marchands de poulets’ américain.

     

    ‡ Prenez connaissance de cette étude, en cliquant sur le lien ici : Patrimoine religieux français en danger.pdf

  • La Croix de Lorraine

    CROIX LORRAINEjpg.jpgEmblème lorrain, devenu après le 18 juin 1940 et l'appel du général de Gaulle, le symbole national de la Résistance, la Croix de Lorraine nous raconte 2000 ans d'histoire. Mais elle garde tous ses mystères et secrets...

    Car son origine n'a jamais été complètement élucidée. Trouve-t-elle ses racines dans la filiation supposée des ducs de Lorraine avec Godefroy de Bouillon ? Dans la Croix de Hongrie ? Dans la Croix d'Anjou ?

    Dans cet ouvrage, François Le Tacon déroule fil d'Ariane et analyse ces trois hypothèses. Il nous explique aussi comment et pourquoi cette croix est synonyme de force et permet à ceux qui s'en réclament de soulever les montagnes, s'ils sont dans leur bon droit.

    Associée à Jeanne d'Arc, au retour à la France de l'Alsace-Lorraine, au général de Gaulle, la Croix de Lorraine a inspiré des artistes de l'Art nouveau comme Gallé ou les frères Daum.

    L'auteur, François Le Tacon est directeur de recherche émérite à l'INRA. Il a publié plusieurs ouvrages et articles sur Emile Gallé et l'Ecole de Nancy.

     

    ‡ La Croix de Lorraine. Du Golgotha à la France Libre, François Le Tacon, éditions Serpenoise, 2012, 167 p., ill. (20 €).