[Vosges Matin]
La vie à Bleurville - Page 11
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Bleurville : le "patrimoine rond" à l'honneur
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Bleurville (88) : l'ancien moulin à huile ouvert les 15-16 juin pour les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins
Tous les ans en juin, la Fédération nationale Patrimoine-Environnement, qui regroupe plusieurs centaines d'associations qui aiment et défendent le patrimoine de pays, organisent avec d'autres partenaires comme Maisons paysannes de France, la CAPEB, les Architectes du patrimoine ou la Fédération françaises des associations de sauvegarde des moulins, les Journées du Patrimoine de Pays et des Moulins les 15 et 16 juin prochains.
Cette année, l'association des Amis de Saint-Maur est partenaire de ces Journées nationales qui ont pour thème "le patrimoine rond". En collaboration avec Jérôme Toussaint, le propriétaire d'un des deux anciens moulins à huile du village, les Amis de Saint-Maur ouvrent exceptionnellement et gratuitement le site au public.
Notre moulin à huile est tout indiqué pour figurer parmi ce "patrimoine rond" mis à l'honneur cette année. Aménagé dans une ferme de l'extrême fin du XVIIe siècle (1697) reconstruite en 1822, ce moulin rustique est constitué de deux meules en calcaire massives ; la meule tournante est mue par un système mécanique entraîné par un manège à cheval situé dans la grange adjacente. Remarquablement bien conservé, ce moulin servit à produire de l'huile par pression à froid au temps où les villageois vivaient en quasi autarcie.
Ce patrimoine de pays mis sur le devant de la scène durant ces Journées permet de de retrouver le chemin du travail et du goût de bien-faire de ceux qui nous ont précédés. Que ce soit les paysages ou le patrimoine bâti, ils ont reçu la marque de la vie des hommes et de leur industrie : on ne les aime et les apprécie qu'à condition de les connaître et de les comprendre.
Alors, les 15 et 16 juin, venez à la rencontre de notre patrimoine de pays afin de partager ce goût et cette connaissance !
‡ Le moulin à huile de Bleurville est ouvert samedi 15 et dimanche 16 juin de 9h à 18h. Rendez-vous 17 rue de Monthureux, à l'entrée de Bleurville en venant de Darney (la ferme est située juste en face d'un lavoir monumental à arcades).
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Le "patrimoine rond" en vedette les 15-16 juin : le moulin à huile de Bleurville
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Bleurville : Saint-Maur à la croisée des chemins
Depuis près de 40 ans, l’association des Amis de Saint-Maur animent le village chaque été autour d’un patrimoine que bon nombre de communes nous envient : l’ancienne abbaye bénédictine Saint-Maur. Aujourd’hui, pourtant, l’association peine à renouveler ses adhérents et ses forces vives : ce n’est pas faute d’appels répétés et de manifestation organisées par dizaine depuis 1974…
Lors de la réunion de lancement de la nouvelle saison, le président Alain Beaugrand a fait part de ses interrogations auprès des membres du bureau : « Saint-Maur est à la croisée des chemins, à l’image de nos villages qui éprouvent beaucoup de difficultés pour faire émerger des éléments dynamiques indispensables pour réveiller nos communautés. Trop souvent, beaucoup de nos contemporains se contentent au mieux d’être passifs et attentistes ou, au pire, de gémir face à l’ankylose qui menace la vie de nos villages ». Et de poursuivre : « Face à ce climat de repli sur soi, notre association a l’obligation morale de poursuivre son travail autour du patrimoine bâti et historique de Bleurville, transmis par nos ancêtres et dont nous devons aussi garantir sa transmission à notre tour. »
Malgré les difficultés du moment, Saint-Maur connaîtra encore une 39ème saison à la hauteur de ce qu’a voulu son sauveteur, l’abbé Pierrat, dès 1974. L’exposition estivale, présentée avec l’aide de l’association Saône Lorraine, sera consacrée au peintre vosgien Xavier Alphonse Monchablon (1835-1907). Le 20 juillet, Isabelle Frizac donnera un concert de pièces anglaises et espagnoles des XVIe-XVIIe siècles jouées sur des instruments à cordes anciens, et le 15 septembre pour les Journées du Patrimoine, la chorale Les Combelles de Neufchâteau – Bazoilles-sur-Meuse réveillera les vieux murs de l’abbatiale avec un programme éclectique.
Par ailleurs, l’accueil des visiteurs sera assuré par Evelyne Barjolle, secondée par Roger Persin et Denis Bisval, du 1er juillet au 31 août, du jeudi au dimanche de 14h à 18h.
Enfin, dans le cadre des Journées nationales du Patrimoine de Pays et des Moulins, les Amis de Saint-Maur sont partenaires de l’ouverture au public de l’ancien moulin à huile du XIXe siècle, propriété de Jérôme Toussaint. Le site sera ouvert gratuitement les 15 et 16 juin de 9h à 18h.
En 2013, ce sera encore Saint-Maur pour tous !
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Bleurville : Les Amis de Saint-Maur préparent la saison estivale
Maison prieurale Saint-Maur, XVIIIe s., propriété de l'association [cliché ©H&PB]
Le bureau de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville se réunira
samedi 18 mai 2013 à 16h30
à la maison prieurale Saint-Maur
4 rue des écoles à Bleurville
Ordre du jour :
- programme de la saison 2013
- réorganisation du bureau
- accueil du public durant l'été
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Notre-Dame de la Saône : une nouvelle équipe paroissiale au service de l'Eglise
[Vosges Matin]
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Décès de l’abbé Pierre Brice, ancien curé de Bleurville
Nous apprenons la disparition de l’abbé Pierre Brice, survenue à la maison de retraite Saint-Pierre Fourier de Saint-Dié, au cours de la semaine dernière.
L’abbé Brice fut curé de la paroisse de Bleurville en 1966-1967, au départ de l’abbé Baderot. Ce fut l’époque où Mgr Vilnet, évêque de Saint-Dié, faisait l’expérience des regroupements de prêtres. La cure de Bleurville accueillit alors jusqu’à trois prêtres : les abbés Brice, Daval et Pétin qui exerçaient leur ministère sur le secteur, entre Viviers-le-Gras et Claudon, l’abbé Brice étant particulièrement chargé de Bleurville. Expérience de courte durée, puisque dès 1967, l’équipe est remplacée par l’abbé Raymond Demarche au presbytère de Bleurville.
Très proche de ses paroissiens et d’un caractère jovial, il participait volontiers aux repas familiaux dont nous conservons le souvenir ému.
Nous associerons à notre souvenir et à notre prière, le frère aîné de Pierre Brice, l’abbé André Brice, qui fut professeur de mathématiques à l’Institution Saint-Clément de Martigny-les-Bains au début des années 1970.
RIP †
[cliché : abbé Pierre Brice, 2003]
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L'Echo des Trois Provinces : autour de l'évènement "Natur'images"
Un numéro annonciateur du printemps. L'Echo des Trois Provinces d'avril-mai 2013 s'ouvre sur une première de couverture très nature ! Les lecteurs y découvriront un sommaire toujours aussi représentatif des activités et de la vie des habitants de ces confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.
A lire dans ce numéro 163 :
- la roche basse du Mulot, un site néolithique à Bleurville
- le travail des femmes en Haute-Saône : la dentelle à Montureux-lès-Baulay
- les prisonniers de guerres Bretons à Isches
- poèmes et poésies
- Natura 2000 : la Vôge s'engage pour la protection des chiroptères
- Passavant-la-Rochère : l'histoire d'Olivier
- Les Voivres : la gastronomie jointe au culturel
- histoire de la cuisine
- Le chasseur de La Mothe
- Saint Vincent fêté à Coiffy
- trois sculpteurs au service des Trois Provinces
- Natur'images à Tignécourt
Et la rubrique des associations et des animations programmées au cours d'avril-mai.
‡ L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement (24 €) en adressant vos coordonnées postales et votre règlement à : ADP3P, Luce Mouthon, 3 bis route du Void d'Escles, 88260 ESCLES.
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Bleurville (88) : un don exceptionnel pour restaurer l'abbaye Saint-Maur !
Voici quelques jours, le président de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville, association propriétaire de l'ancienne abbaye bénédictine du village, a reçu un courrier des Etats-Unis. Une extraordinaire bonne nouvelle pour la vénérable abbaye vosgienne !
En effet, un couple de riches américains souhaitent faire un don de 800 000 $ pour la restauration de l'abbaye et du prieuré adjacent. Ces américains, dont les ancêtres bleurvillois de monsieur sont partis faire fortune en Amérique au XIXe siècle, ont découvert sur Internet l'existence et l'histoire de notre antique abbaye du XIe siècle, et en sont tombés immédiatement amoureux au point de vouloir faire une donation exceptionnelle en faveur de sa restauration. Une véritable bénédiction du ciel pour les membres de l'association qui, depuis près de 40 ans, font preuve de ténacité et de courage pour sauver ce patrimoine du premier âge roman en Lorraine !
Le printemps devrait accueillir ces providentiels donateurs à Bleurville afin de finaliser l'opération. Nous tiendrons bien entendu informé nos lecteurs de la suite de ce dossier.
L'avenir est désormais assuré pour l'abbaye Saint-Maur de Bleurville !
Il s'agissait - malheureusement ! - d'un poisson d'avril...
Les animateurs de l'abbaye Saint-Maur de Bleurville aimeraient que ce doux espoir devienne une réalité... comme pour tant d'autres sites patrimoniaux lorrains.
Peut-être, un jour...
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Bleurville (88) : retrouvailles pour les conscrits de 1969
[Vosges Matin]
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Monthureux-sur-Saône (88) : le père Guy Gilbert en vedette
Certains invitent des vedettes du show business. A la paroisse Notre-Dame de la Saône, à Monthureux-sur-Saône, c’est une toute autre « star » qui est venue à la rencontre des ruraux : le père Guy Gilbert, prêtre éducateur célèbre depuis 40 ans pour son look de loubard avec son perfecto bardé de badges qui tous peuvent raconter une histoire et son langage des bas-fonds parisiens…
L’abbé était fébrilement attendu vendredi par une salle pleine à craquer, composée de tous publics, éducateurs, enseignants, parents et grands-parents. Le conférencier, invité par une poignée de paroissiens de Notre-Dame de la Saône et de Jean-Baptiste Ménestrel (Lamarche), a salué la foule comme à son habitude, dans une langue qui ne choque plus grand’ monde : ‘’ Eh bien, je pensais qu’il y aurait deux vieilles et trois vaches dans un petit bled comme ici, je suis heureux de voir cette salle pleine ! ’’
Bien sûr, dans nos campagnes, on n’est pas encore trop confronté (mais pour combien de temps encore ?) à cette population de jeunes paumés dont le prêtre a entrepris le sauvetage par le respect, l’amour et le travail, et aussi la discipline. Le message délivré tout au long de l’entretien comme un fil rouge est celui de l’amour, l’amour des parents pour leurs enfants, l’amour des parents entre eux, la première pierre qui s’écroule et met en danger la personnalité de l’enfant est la séparation des parents, quand ils sont là tous les deux. Les loubards, souvent laissés à eux-mêmes dès leur plus jeune âge, il les a fréquentés dès son arrivée à Paris. Il raconte volontiers son premier ‘’ coup de poing ‘’, comment il s’est fait accepter et respecter par ces loubards qu’il essayait d’approcher pour les aider. Il déroule son histoire, et celle de la « Bergerie de Faucon », une ruine loin de Paris, comme il aime à le répéter, un lieu retiré des Hautes-Alpes où, avec une équipe d'éducateurs, il tente de réinsérer des jeunes en difficulté par le travail, le respect et la foi. Près de 250 jeunes en difficulté y ont travaillé avec des professionnels et des éducateurs : « L’idée dès le départ de recréer une structure proche de la famille, au maximum 7 jeunes, avec autant d'adultes, a été novatrice ; l’expérience de 30 ans et l’actualité récente confirment que cela était un bon choix pour accompagner des jeunes dits " difficiles ", leur proposer un travail, les encadrer, les encourager, les responsabiliser, les accompagner et puis les laisser s’envoler tout en restant disponible ».
Le lendemain, le public, presque aussi dense, où les jeunes avaient une bonne place, a questionné le prêtre sur cette vie au service du Christ à travers les frères en difficulté, et le conférencier, bien qu’encore fatigué par de récents ennuis de santé, a répété que, pour lui, réussir sa vie, ce n’est pas réussir dans la vie ; c’est se donner les moyens de réaliser ses rêves, vivre son idéal, respecter les autres, la nature, vivre en harmonie avec soi et le monde, avoir de l’amour, l’amour venant de Dieu, l’amour des autres. « La souffrance de la délinquance ne tarira jamais tant que les couples se sépareront et si on ne laisse pas du travail aux enfants. L’amour est la plus grande richesse que l’on peut rendre aux autres ». Et ce conseil qu’il donne aux parents : « Parlez au cœur de votre enfant, prenez du temps pour eux, pour les écouter, n’oubliez pas la tendresse ». Et encore celui-ci : « le respect n’est pas à sens unique, adultes et enfants doivent avoir du respect les uns pour les autres ».
Le séjour du prêtre éducateur s’est achevé avec la messe concélébrée dimanche matin à Monthureux-sur-Saône avec les abbés Houot et Ayéméné, où se pressaient pas loin de 500 fidèles. Dans son homélie il redisait cette formule choc que « L’amour vainc tout. Si tu sais ça, tu sais tout. Et tu fonces. L’amour est la seule chose qui te rend radieux, pétant feu et flamme ». C’est son cas.
Guy Gilbert, né en 1935 au sein d’une famille de 15 enfants, entre au petit séminaire à l'âge de 13 ans, sa vocation sacerdotale s'éveille réellement en Algérie, où il part en 1957. Revenu à Paris en 1970 il exerce son ministère dans la rue et devient éducateur spécialisé pour les jeunes délinquants dans le 19e arrondissement où il essaye de leur apporter l'écoute et les repères qui leur manquent, en allant vers eux, il a lancé et dirigé une équipe d’éducateurs de rue durant près de 10 ans dans le quartier de La Villette. Il est souvent invité à l'émission radiophonique Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard, et intervient sur les ondes de Radio Notre-Dame dans l'émission Écoute dans la Nuit. Il témoigne de son expérience d’un autre monde dans les 35 livres qu’il a écrits, ainsi qu'en conférence partout en France et même à l'étranger, dans les pays de l’Est et jusqu’en Amérique du Nord.
[texte et clichés : Michèle Bisval]
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Monthureux-sur-Saône (88) : conférence du père Guy Gilbert
Rencontre du père Guy Gilbert avec le pape Benoît XVI.
Le père Guy Gilbert, prêtre éducateur, donnera une conférence
sur le thème "Réussis ta vie !"
le vendredi 15 mars à 20h30
et le samedi 16 mars à 15h30
à la Maison pour Tous de Monthureux-sur-Saône
Entrée libre.
L'abbé Guy Gilbert célébrera la messe dominicale
dimanche 17 mars à 10h30
en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône
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L'Echo des Trois Provinces - Février/mars 2013
Tous les deux mois, l'association pour le Développement du Pays aux Trois Provinces (qui sont, rappelons-le, la Lorraine, la Champagne et la Franche-Comté), nous donne rendez-vous avec son magazine L'Echo des Trois Provinces.
Histoire locale, traditions, anecdotes, vie des associations et programme des animations rythment encore en cette fin d'hiver le sommaire du n° 162. A découvrir :
- Histoire de la guerre 1938-1945 à Regnévelle (88)
- Bourbonne-les-Bains (52) : un héros de la France libre dans le Pacifique
- Bains-les-Bains - Le Clerjus (88) : la gare a 150 ans
- De belles avancées pour le futur parc naturel régional
- Preigney (70) : un bel hommage à Michel-Ange à la Cure des Arts
- Villars-Saint-Marcellin (52) sous le règne de Louis XV
- Histoire de la cuisine
- Le chasseur de La Mothe
- la vie des associations : Coiffy-le-Haut (70), Martigny-les-Bains (88), Bleurville (88), Bourbonne-les-Bains (52), Serécourt (88), Hennezel-Clairey (88), Les Thons (88), Tignécourt (88)
- les animations autour de Bourbonne-les-Bains, Voisey, Fayl-Billot, Lamarche, Monthureux-sur-Saône, Darney
‡ L'Echo des Trois Provinces, n° 162, février-mars 2013. Abonnement possible (24 € pour 1 an) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : L'ECHO DES TROIS PROVINCES, Luce Mouton, 3bis route du Void-d'Escles, 88260 ESCLES.
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Saône vosgienne : les territoires ruraux menacés
[Vosges Matin]
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Bleurville (88) : présentation du plan local d'urbanisme
[Vosges Matin]
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Bleurville : le bulletin municipal 2012 est paru
Le bulletin municipal 2012 de Bleurville est paru début janvier. Dans son éditorial, le maire André Granget présente les réalisations de l'année écoulée et décline les projets pour 2013 et les années à venir. L'état civil de la commune laisse apparaître deux naissances et six décès - dont deux conseillers municipaux -, aucun mariage (ni civil, ni religieux) n'a été célébré. Peu de mouvement dans la population... Mais, les nouveaux habitants sont attendus et accueillis les bras grands ouverts !
Au fil des pages agréablement illustrées, les Bleurvillois peuvent découvrir les activités qui ont marquées la vie de l'école ainsi que la vie communale (travaux notamment). Les associations locales présentent le bilan de leurs manifestations (la société de chasse, les Amis de Saint-Maur, le comité des fêtes, le comité du jumelage, l'association sportive).
Un article fait le point sur l'installation d'un dépôt de pain par un particulier et répond à la question de savoir pourquoi la municipalité ne s'est pas portée acquéreur de la boulangerie Brocard.
Enfin, une sympathique notice illustrée nous présente un élément incontournable du patrimoine villageois : les fontaines et lavoirs (treize !). S'ils sont aujourd'hui délaissés par les lavandières, ces édicules ruraux du XIXe siècle égayent encore les rues du villages tout au long de l'année.
On peut se procurer le bulletin municipal 2012 en s'adressant au secrétariat de la mairie.
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Bleurville : "La Lettre des Amis de Saint-Maur" de 2012
Ancienne abbatiale Saint-Maur de Bleurville, XIe-XVIe s. [cliché © H&PB]
L'Association des Amis de Saint-Maur vous propose ci-dessous sa Lettre annuelle dans laquelle elle fait le bilan de la saison 2012 à l'ancienne abbaye bénédictine de Bleurville.
Elle fêtera en 2014 le quarantième anniversaire des débuts du sauvetage de l'ancienne abbaye devenue prieuré puis ferme agricole.
‡ Vous pouvez adhérer à l'association qui, rappelons-le, anime et entretien ce site classé MH, en envoyant votre règlement (10 € membre actif, 20 € et plus membre honoraire) à : Association des Amis de Saint-Maur, c/o Lucienne Thomas, 18 rue des Cailloux, 88410 BLEURVILLE.
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Bleurville (88) : Fête de saint Maur, patron secondaire de la paroisse
Reliquaires des SS. Bathaire & Attalein (17e-19e s.).
Reliques vénérées lors de la messe de la Saint-Maur jusqu'au début des années 1990.
Ce 15 janvier, l'Eglise fait mémoire de saint Maur. Notre saint est aussi le patron secondaire de la paroisse de Bleurville (saint Pierre-aux-Liens étant le patron de la paroisse). L'ancienne église abbatiale bénédictine du village, fondée au XIe siècle, était dédiée au disciple de saint Benoît.
Les Répons suivants sont extraits de l'Office monastique de saint Maur :
R/. Maur confié dès sa plus tendre enfance, par son père Eutychius, à saint Benoît, pour être élevé dans la solitude de Sublac, reproduisit, par une imitation fidèle, les vertus de son maître : * Et devint semblable à lui. V/. Il considéra et fit selon l’exemplaire qui lui fut montré sur la montagne ; * Et il devint semblable à lui.
R/. Placide étant tombé dans le lac, Maur vole à son secours, porté sur les eaux par l’Esprit du Seigneur : * Quand il obéit sans délai au commandement de son Père. V/. Les grandes eaux ne purent éteindre sa charité, ni les fleuves l’engloutir ; * Quand il obéit.
R/. Saint Benoît envoie dans les Gaules Maur, son disciple le plus chéri : * Et consent à être privé d’une grande consolation pour procurer le salut du prochain. V/. La charité est bénigne ; elle ne cherche point ce qui est pour elle, mais ce qui est pour Jésus-Christ ; * Et consent.
R/. Maur, ravi en Dieu, aperçut une voie étincelante de mille flambeaux, par laquelle Benoît montait dans la gloire : * Pour l’éternité, à jamais.V/. Le sentier des justes s’avance comme une lumière brillante, et va croissant jusqu’au jour parfait ; * Pour l’éternité, à jamais.
R/. Les fleuves de sagesse que Maur avait puisés au sein du bienheureux Benoît, il les répand sur les Gaules : * Et c’est au milieu des lis de France qu’il plante les rejetons de son Ordre sacré. V/. Semblable à un ruisseau sorti d’un fleuve, il a arrosé le jardin qu’il a planté ; * Et c’est au milieu.
R/. Le très chrétien Roi des Francs vint au monastère, pour écouter la sagesse du nouveau Salomon : * Et il mit à ses pieds la pourpre royale.V/. Comme il était humble à ses propres yeux, le Seigneur le glorifia en la présence des rois ; * Et il mit à ses pieds.
R/. Deux ans avant sa mort, il entra dans le silence, séparé des hommes, * Et seul, il habita avec lui-même sous les yeux du témoin céleste. V/.Il prépara son cœur, et, en présence du Seigneur, il sanctifia son âme ; * Et seul.
R/. La plus grande partie des frères qui militaient sous .Maur leur chef, avertie d’une mort prochaine par un Ange, soutint avec le démon son dernier combat : * Et succombant glorieusement dans la lutte, mérita les triomphes célestes. V/. Maur a combattu le bon combat, il a achevé sa course, il a gardé la foi ; * Et succombant.
R/. Ayant servi soixante ans dans la milice sacrée, sa mort étant proche, il voulut être porté au pied des autels, pour répandre, en présence du Seigneur, sa prière et son âme, disant : * Mon âme haletante défaille dans le sanctuaire du Seigneur V/. Vos autels , Seigneur des armées, mon Roi et mon Dieu ! * Mon âme haletante.
R/. Étendu dans l’Église sur un cilice, il passa, de la maison de prière, au lieu du tabernacle admirable, à la maison de Dieu : * Pour lequel il brûlait d’un ardent amour. V/. Car il était dans l’angoisse, désirant voir briser ses liens, et être avec Jésus-Christ ; * Pour lequel il brûlait.
[source : www.introibo.fr / cliché : saint Maur représenté sur une porte de la basilique Saint-Epvre de Nancy]
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Images de la Nativité en Lorraine
Nous vous proposons quelques clichés de crèches de nos églises lorraines. Bleurville pour commencer, puis d'autres viendront s'ajouter jusqu'à l'arrivée des Rois mages...
Crèche de l'église Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville (88).
Crèche de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy.
Crèche de la basilique Saint-Epvre de Nancy.
Crèche de l'église Saint-Pierre de Nancy.
Un grand bravo à tous les bénévoles qui, Noël après Noël, font oeuvre de créativité... pour la plus grande gloire de Dieu !
[clichés ©H&PB]
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Le Pays de la Saône vosgienne sur Internet
La Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne vient d'ouvrir son site Internet à l'adresse :
www.cc-pays-saonevosgienne.fr
Vous y découvrirez ce pays situé aux confins des Vosges de l'Ouest, de la Haute-Saône et de la Haute-Marne. Secteur rural où la nature est reine et où l'histoire a laissé une empreinte forte, il vous attend pour vos escapades mais surtout pour y installer votre entreprise ! Car ce pays veut vivre. Et pour ce faire, il compte bien sûr sur ses propres ressources, ses habitants, ses initiatives... mais surtout il accueille à bras ouverts tous ceux qui souhaitent y créer et développer de nouvelles activités économiques.
Prenez un nouveau départ au Pays de la Saône vosgienne !
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Bleurville sous la neige...
Bleurville, notre village du sud-ouest vosgien, avait revêtu ses habits immaculés pour le 1er dimanche de l'Avent. Hiver précoce ? Non, hiver vosgien tout simplement. En attendant Noël...
[clichés ©H&PB]
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Bleurville (88) : le tableau de la Résurrection restauré
Le tableau dédié à la Résurrection vient de faire son retour à l’église paroissiale de Bleurville après plus d’un an de restauration. Un véritable travail d’artiste à admirer et une oeuvre spirituelle à méditer...
L’église Saint-Pierre-aux-Liens possède deux tableaux de grandes dimensions qui encadrent le grand portail d’accès à la nef. Ils sont attribués à l’abbé François Ricard qui fut curé de la paroisse de 1759 à 1811 ; originaire de Bar-le-Duc, notre curé avait probablement hérité des talents d’artiste de son père qui était… peintre.
Au printemps 2011, le tableau « la Résurrection » a pris la direction d’Auxerre afin de subir une véritable cure de jouvence. L’œuvre, qui a jadis subi une restauration avec un agrandissement de son format initial, a connu quelques accident dus à son âge vénérable : microécaillages, nombreuses usures, décolorations et craquelures irrégulières marquaient profondément son aspect général. Mais, surtout, un vernis épais ainsi que des champignons donnaient un ton jaunâtre et assombris à cette peinture du siècle des Lumières.
L’atelier icaunais a patiemment travaillé à la restauration de la « Résurrection » afin de lui redonner tout l’éclat de sa jeunesse. Et c’est littéralement une belle réussite ! Les spécialistes de l’atelier Art & Sciences, après décrassage, régénération et nettoyage du vernis, ont procédé à la suppression des repeints douteux et ont repris les parties abîmées.
Après de longs mois de travaux, l’œuvre enfin restaurée a retrouvé son emplacement dans l’église. Quelques bénévoles encadrés par Denis Bisval, adjoint chargé des bâtiments communaux, ont procédé à sa repose qui s’est avérée délicate en raison du poids et de la dimension de cette toile. Désormais, fidèles et visiteurs peuvent admirer une œuvre qui a retrouvé sa luminosité du XVIIIe siècle. C’est un Christ glorieux qui jaillit transfiguré du tombeau gardé par un ange, devant des soldats romains abasourdis par cet extraordinaire prodige. Grâce à cette restauration minutieuse, des détails apparaissent désormais plus nettement : ainsi un paysage où se dresse un petit temple se laisse apercevoir entre le groupe des soldats et le Christ. La peinture mériterait maintenant d’être mise en valeur par un éclairage approprié…
La municipalité doit être félicitée pour cette initiative qui contribue à valoriser notre patrimoine local et surtout à le transmettre aux futures générations. On peut y associer les instances qui ont participé aux financement des travaux : la DRAC et le Conseil général des Vosges.
Le tableau de la Crucifixion, qui fait pendant à celui de la Résurrection, attend aussi le miracle d’une nouvelle jeunesse : un voile dû au développement d’un champignon opacifie en effet toute surface de la peinture, la rendant illisible. Une étude est en cours afin d’envisager sa future restauration.
[cliché : © H&PB]
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In memoriam abbé René Baderot (1922-2012), ancien curé de Bleurville
Messe de Saint-Grégoire.
Nous venons d'apprendre - avec beaucoup de retard - le décès de Monsieur l'abbé René Baderot à l'âge de 90 ans. Il a rejoint la Maison du Père le 2 octobre 2012 à Saint-Dié-des-Vosges. Quasiment aveugle, il était pensionnaire de la maison de retraite des prêtres du diocèse depuis plusieurs années.
L'abbé Baderot fut curé de Bleurville de 1951 à 1966. Il desservit également la paroisse de Claudon. Après avoir quitté Bleurville, il exerça son ministère à Plainfaing puis à Champ-le-Duc.
L'abbé René Baderot a laissé d'excellents souvenirs lors de son passage à la cure de Bleurville (où il vivait avec sa maman, d'heureuse mémoire) : il organisait notamment des séances de cinéma à la salle des fêtes et mit sur pied une troupe scoute qui occupait le "commando", bâtisse aujourd'hui disparue, jouxtant le presbytère.
De façon plus personnelle, nous conservons l'agréable souvenir de l'abbé Baderot, portant alors la soutane, participant à nos repas de famille...
† RIP.
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Bleurville (88) : une saison en pente douce à l'abbaye Saint-Maur
[Vosges Matin]
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Bleurville (88) : hommage à tous les soldats "Morts pour la France"
A l’invitation de la municipalité, les Bleurvillois ont commémoré le 94ème anniversaire de l’Armistice 1918. Moment de communion en mémoire des militaires de tous les conflits tombés pour la Patrie.
Dès 9 heures, à l’appel des cloches de l’église paroissiale, élus et population se sont rassemblés à l’entrée du cimetière communal sous la conduite du maître de cérémonie, Denis Bisval, adjoint au maire. Tous ont rejoint le monument aux morts derrière la fanfare cantonale qui rehaussa, par l'interprétation des sonneries réglementaires, cette cérémonie patriotique.
Désormais, le 11 novembre célèbre à la fois l'anniversaire de l'Armistice de 1918, la commémoration de la Victoire et de la Paix et l'hommage à tous les morts pour la France. Après l’appel des soldats « Morts pour la France » et le dépôt de gerbe par un jeune garçon du village, accompagné du maire André Granget, ce dernier rappela, en écho au message du secrétaire d’Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants, qu’ « il y a tout juste 90 ans, pour commémorer l'anniversaire de l'Armistice de 1918, la journée du 11 novembre fut instituée par la loi du 24 octobre 1922 ‘journée nationale pour la commémoration de la Victoire et de la paix’. La loi du 28 février 2012 élargit la portée à l'ensemble des morts pour la France. C'est donc la reconnaissance du pays tout entier à l'égard de l'ensemble des Morts pour la France tombés pendant et depuis la Grande Guerre qui s'exprime aujourd'hui, particulièrement envers les derniers d'entre eux, ceux qui ont laissé leur vie en Afghanistan. » Cette évolution s'inscrit dans une démarche commémorative qui vise à transmettre la mémoire, à favoriser la compréhension de notre histoire nationale commune et son appropriation par les jeunes générations.
A l’occasion de cette cérémonie, Albert Granget, ancien d’AFN et membre des « Diables Bleus », faisait ses premiers pas comme porte-drapeau AFN de Bleurville, aux côtés d’André Beaugrand, porte-drapeau des Anciens combattants 1914-1918 et 1939-1945.
Avant de clore la commémoration, la fanfare donna une aubade en l’honneur de toutes les victimes militaires des guerres du XXe siècle. Un vin d’honneur était ensuite servi à la salle des associations de la mairie. Une messe à la mémoire des victimes des conflits était célébrée par l’abbé Ayéméné en l’église de Monthureux-sur-Saône.
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11 Novembre : une messe pour la France à Paris
Cérémonie du 11 Novembre à Bleurville (archives 2010, © H&PB]
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Bleurville (88) : travaux de rénovation à l'église paroissiale
[l'Abeille de Neufchâteau]
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Bleurville (88) : la roche basse du Mulot redécouverte
Les initiés connaissent bien le site néolithique de la Roche du Mulot, bloc gréseux accroché au flanc de la vallée du Gras en forêt de Belle-Perche, entre Bleurville et Viviers-le-Gras. Mais peu savent qu'il existe une autre roche, dite "Roche basse du Mulot", située sur la rive droite du ruisseau.
L'archéologue et érudit vosgien du XIXe siècle, Félix Voulot, l'avait décrite en son temps. Mais, depuis, la nature a repris ses droits et a recouvert ce bloc de grès des Vosges portant des inscriptions sculptées... C'est à la faveur d'une prospection archéologique que cette roche basse fut redécouverte en 2003 par Yveline Montlevrant, membre du GERSAR, puis, plus récemment, par les archéologues bénévoles de l'association Escles-Archéologie.
Certes, la roche basse est moins "impressionnante" que la roche haute située à l'aplomb de la fontaine Saint-Thomas qui borde la route départementale n° 2. Elle est située sur la rive droite du Gras à proximité du chemin qui conduit aux anciennes fermes du Neufmont (volontairement, nous ne la situerons pas précisément afin de lui éviter des dégradations irrémédiables du genre de celles qui ont été infligées à la roche haute du Mulot...). Cependant, si sa situation au raz du sol la rend géographiquement moins intéressante, les empreintes gravées repérées sur sa surface font d'elle un élément remarquable sur le plan archéologique.
La roche basse du Mulot présente en effet un certain nombre de pétroglyphes. Il s'agit de dessins symboliques gravés sur la pierre : cercles, marelles, "fer à cheval" en pointillé et une foule de signes cruciformes. Les pétroglyphes sont généralement associés aux peuples préhistoriques néolithiques et furent la forme dominante des symboles de pré-écriture utilisés pour la communication de 10000 av. J.-C. jusqu'à 5000 av. J.-C. Les techniques de gravures sont principalement l'incision, le frottement ou la pulvérisation à l'aide de pierres.
Pendant de la roche haute, la roche basse du Mulot présente des signes à caractère religieux faisant référence au culte solaire.
Tout comme la roche haute, la roche de la rive droite du Gras portent de nombreuses croix de différentes formes et dimensions. Ces roches, haut lieu du culte païen pratiqués par les hommes du Néolithique, furent christianisées durant le haut Moyen Âge afin de détourner les populations qui devaient encore fréquenter avec assiduité ces anciens lieux de culte.
La tradition - qui s'est progressivement muée en folklore - eut malgré tout la vie dure puisqu'au XIXe siècle encore la tradition orale rapporte que les jeunes filles du pays qui voulaient se marier se rendaient nuitamment sur la Roche du Mulot et y pratiquaient un rite de fécondité en essayant de tourner trois fois dans les empreintes humaines gravées dans la pierre. Si elles y parvenaient, elles se marieraient dans l'année !
La forêt de Bleurville, et particulièrement la rive droite du Gras, est riche en sites archéologiques : on y a identifié un grotte, un abri sous roche avec des traces d'occupation humaine, une roche à gravures (des croix essentiellement) et une barre d'éperon. La recherche archéologique a encore de beaux jours devant elle pour nous révéler et expliquer ces traces du passage de nos ancêtres au cours des âges.
[clichés H&PB - Remerciements à Olivier Bertin pour les renseignements fournis]
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Bleurville : un village vosgien vous accueille à bras ouverts
Bleurville, charmant village du sud-ouest vosgien, planté à quelques encâblures de la Saône naissante, possède un environnement naturel que bon nombre de communes lui envie : un patrimoine et une histoire multiséculaires (déjà les gallo-romains y avaient installé une villa luxueuse aux Ier-IIIe siècles...), des courbes agréables, des forêts et des paysages préservés... et des possibilités de s'installer dans cette petite cité de 360 habitants.
Créez votre entreprise artisanale ou de services à Bleurville ! Des maisons traditionnelles lorraines ou contemporaines vous séduiront pour y installer votre famille. N'hésitez pas à contacter la mairie de Bleurville qui vous guidera dans votre choix.
Prenez votre départ (ou un nouveau départ !) dans la vie en vous installant dans un environnement naturel et respectueux de l'humain ! Misez sur les Vosges, installez-vous à Bleurville !
[clichés ©H&PB]
‡ Contact mairie de Bleurville : mairie.bleurville88@orange.fr
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Bleurville (88) : rénovation des huisseries de l'église paroissiale
La municipalité de Bleurville vient de faire rénover les huisseries de l'église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens. Pour garantir la pérénnité de ce lieu de culte transmis par nos ancêtres.
Le grand portail de la tour-porche ainsi que la petite porte latérale sud de l'église viennent de faire l'objet d'une réhabilitation. Elles en avaient bien besoin : la peinture était devenue plutôt terne et certaines parties étaient fortement abîmées par les intempéries et l'action du temps.
Par ailleurs, les abat-son du côté sud de la tour du clocher ont également été remplacés.
Ces rénovations sont à mettre au crédit de la municipalité qui a à coeur de protéger et d'entretenir le patrimoine bâti de la commune.
Il y a cinquante ans, en 1962, l'intérieur de l'église Saint-Pierre bénéficiait d'une restauration complète initiée par le curé de la paroisse de l'époque, l'abbé René Baderot, et le maire Henri Bellot, et réalisée par l'artisan peintre local André Lebrun.
Depuis, l'intérieur de l'édifice s'est dégradé : les voûtes ont été noircies par le chauffage au gaz et les peintures des bas-côtés s'écaillent sous l'effet de l'humidité... Notre vénérable église paroissiale mériterait bien un nouveau coup de pinceau de rafraîchissement... La suggestion est lancée à nos élus !
Petite porte latérale sud.
Grand portail de la tour-porche.
[clichés H&PB]