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lorraine - Page 7

  • Des balais de sorcières dans nos maisons lorraines

  • Affiche et cartes postales pour le 40e pèlerinage Domremy-Vaucouleurs

    Pour le 40e anniversaire du pèlerinage Domremy-Vaucouleurs, l'association "Pèlerins de Lorraine-Mémoire des Lorrains" propose cartes postales et affiches : 5 € l’affiche / 10 € les 10 cartes postales (+2 euros pour envoi postal).

    Commande et règlement (à l'ordre de "Pèlerins de Lorraine") à adresser à :

    M. JEAN-MARIE CUNY
    LE TREMBLOIS
    54280 LANEUVELOTTE

  • Passé inaperçu

    Fahd devait faire des repérages en Lorraine pour un film consacré aux chibanis, les retraités maghrébins venus travailler en France dans les années 1960.

    Or il s'est soudainement volatilisé. Disparu sans laisser d'adresse. Tout en préparant le tournage, la narratrice se lance à sa recherche dans cette Lorraine désindustrialisée, en se saisissant des quelques traces disponibles : des photos, des films de famille, des témoignages de proches. Ce faisant, elle réveille l'histoire de ses propres grands-parents Malgré-nous, ces Alsaciens-Mosellans incorporés de force dans l'armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Qu’est-ce qui nous définit ? Quelle place pour ceux qui apparaissent comme des doubles perdants ? Et qui était réellement Fahd ?

    Gabrielle Schaff est née en 1982 à Nancy. Passé inaperçu est son premier roman.

     

    ‡ Passé inaperçu, Gabrielle Schaff, éditions du Seuil, 2018, 256 p., 18 €.

  • "Jeunesse aux coeurs ardents" : un film de Cheyenne-Marie Carron en avant-première à Golbey

  • L'association Saône lorraine recrute un jeune volontaire en service civique

  • Beaux villages lorrains

    L'association Beaux villages lorrains fédère une dizaine de communes rurales des quatre départements lorrains qui oeuvrent en faveur de la valorisation de leur patrimoine vernaculaire, architectural et historique. Elle ne demande qu'à accueillir de nouveaux villages...

    L'ouvrage présente chacune des localités concernées avec de belles images qui donnent envie d'y vivre. Et qui révèle l'âme du bâti qui a su être conservé et valorisé.

    Valoriser un village n'est pas chose insurmontable : il suffit d'insuffler un esprit, celui de l'amour de sa "petite patrie" et le reste suivra... Un bel exemple à suivre, car nos villages lorrains le méritent bien. Et la ruralité aussi.

     

    ‡ Beaux villages lorrains, collectif, Association Beaux villages lorrains, 2017, 101 p., ill., 15 €.

  • Une tendre et constante amitié : les lettres d'Anne Charlotte de Lorraine à Gabrielle de Bouzey

    « Je vous réitère ma tendre et constante amitié », « je vous assure d’une amitié éternelle », « je vous aime de tout mon cœur, passionnément ». C’est par ces tendres aveux qu’Anne Charlotte, abbesse de Remiremont et de Mons, princesse lorraine, fille du duc Léopold, conclut ses lettres à Gabrielle de Bouzey, son ancienne demoiselle d’honneur.

    Au fil de cette correspondance rédigée de 1761 à 1773, Anne Charlotte nous invite au cœur de la société aristocratique lorraine et impériale. Elle nous associe à ses plaisirs futiles, à la chasse, aux jeux de cartes, aux jours heureux. Mais il n’est pas que du bon temps dans ce siècle de fer... La peste et la petite vérole frappent jeunes et vieux, pauvres et riches, jusque dans les familles princières. Anne Charlotte en souffre directement. Elle n’en est pas moins attentive à la misère du petit peuple, à « ces pauvres qui sont de chair et d’os comme nous ». Elle s’inquiète de ce monde ébranlé par les guerres et les révoltes, et dont elle pressent la fin : « Nous vivons dans un temps où l’on fait des choses sans exemples et je ne suis pas étonnée que l’on devienne fou. Je crois que le monde finira bientôt, car j’y vois bien des phénomènes ».

    Abbesse, Anne Charlotte s’acquitte sincèrement de ses dévotions dans son abbaye de Mons pendant les temps de l’Avent et de Pâques, mais elle avoue sortir « extrêmement fatiguée de la Semaine sainte », et nous assure qu’elle « n’est pas dévote ». Princesse, elle vit davantage à la cour de son frère, gouverneur des Pays-Bas, que dans son abbaye. Elle n’en garde pas moins assez d’indépendance pour regretter ouvertement l’expulsion des Pères de la Compagnie de Jésus.

    La lecture de ces 183 lettres inédites nous plonge dans l’univers de cette personnalité complexe, entre profondeur et futilité, entre espoir et inquiétude, entre violence et douceur de vivre, à l’image de ce XVIIIe siècle à la fois si proche et si différent du nôtre.

     

    ‡ Lettres d'Anne Charlotte de Lorraine à Gabrielle de Bouzey. Une tendre et constante amitié, Pierre Heili et Alain Petiot (prés.), FSSV, collection Mémoires et documents sur l'histoire des Vosges, 2017, 272 p., ill., 20 €.

  • Architecture du XXe siècle dans le Grand Est

    Ce beau livre illustré regroupe une sélection de bâtiments qui, en région Grand Est, ont obtenu le label « Patrimoine du XXe siècle », devenu depuis le 7 juillet 2016 le label « architecture contemporaine remarquable ». 

    Dus à des architectes de renom international (Renzo Piano, Jean Nouvel), à des maîtres d’œuvre plus modestes ou à des ingénieurs, les exemples proposés - dont de nombreux en Lorraine (églises, bâtiments publics civils et industriels) sont soit exceptionnels dans leur programme (l’attraction « Anaconda » du parc Walygator, près de Metz) soit parfaitement représentatifs d’une typologie singulière à certains moments du siècle (comme la Reconstruction post-conflits, la construction de grands sièges sociaux d’entreprises dans les années 1970 ou les piscines Tournesol) et font appel à des matériaux et des techniques de mise en œuvre variés.

    Chacun des 11 chapitres correspond à un thème : apprendre/reconstruire/prier/travailler/se divertir/produire… Chaque création architecturale est replacée dans son contexte et commentée par un spécialiste, tandis que les photographies parfois spectaculaires dévoilent des angles de vue moins connus du grand public. L’ensemble met en exergue la richesse du XXe siècle en matière d’architecture et la vitesse avec laquelle elle prend forme et se transforme sous le coup des conflits qui ont traversé ce territoire, des booms et crises économiques, de la démocratisation de la cité notamment en matière d’instruction et de culture, mais aussi de production et consommation.

     

    ‡ L'architecture du XXe siècle Grand Est, collectif, éditions Lieux-Dits, 2018, 288 p., ill., 40 €.

  • Soutenez le projet de restauration du choeur de l'église des Cordeliers des Thons (88)

    La Fondation du patrimoine Lorraine soutient le projet de restauration du choeur de l'ancienne église conventuelle des Cordeliers des Thons.

    L’association Saône Lorraine (Découverte et Sauvegarde du patrimoine du Sud-Ouest des Vosges) a été créée en 1980 pour alerter sur l’état critique de l’église de l’ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons qui, bien qu’inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1945, menaçait ruine.

    Fondés en 1453, le couvent et son église ont été vendus à la Révolution puis divisés en trois lots convertis pour un usage agricole. Malgré des mutations, des altérations et le peu d’entretien, le couvent est parvenu jusqu’en ce début du XXIe siècle comme l’ensemble monastique se réclamant de Saint François le mieux conservé de tout l’Est de la France.

    Grâce à une campagne de mobilisation sans précédent en 1983-84, la Région Lorraine et le Département des Vosges ont contribué pour 98 % à la réfection totale de la toiture assurant le sauvetage de l’église.

    En 2006, 20 ans après, l’association peut enfin se rendre acquéreur de l’église et du tiers oriental (aile Est) du bâtiment conventuel la jouxtant avec pour but de les restaurer. En 2013, une première campagne de travaux a permis la reprise totale de la charpente et de la toiture de l’aile Est du bâtiment conventuel ainsi que l’enduit de façade Est.

    En 2018, la poursuite de la restauration vise désormais l’église, chef d’oeuvre du gothique flamboyant, voûtée de 6 travées à nef unique dont un collatéral est flanqué de deux anciennes chapelles funéraires des seigneurs du lieu et dont les armoiries figurent sur toutes les clés de voûte.

    La deuxième campagne de travaux envisagés doit permettre la restauration complète, intérieure et extérieure, du choeur avec reprise des maçonneries, des enduits, des contreforts et des remplages des 6 baies gothiques avec pose de vitraux.

    Les travaux prévus s’inscrivent dans la continuité de l’action de l’association dans l’optique d’une utilisation à des fins culturelles (concerts, expositions, visites, colloques…).

    L’édifice est un pôle patrimonial majeur dans une région rurale où le tourisme est devenu un enjeu primordial (abbaye bénédictine de Bleurville, cité Renaissance de Châtillon, église romane de Relanges, église gothique de Saint-Julien...). Des événements sont d’ores et déjà organisés sur le site participant ainsi à la dynamisation du territoire pour lequel l’association continue d’oeuvrer, notamment à la restauration du village Renaissance de Châtillon-sur-Saône.

    ‡ Soutenez le projet en effectuant un don défiscalisé sur https://www.fondation-patrimoine.org

  • L'architecture du XXe siècle dans le Grand Est

    Ce beau livre illustré regroupe une sélection de bâtiments qui, en région Grand Est - dont de nombreux en Lorraine (églises, bâtiments publics, civils et industriels), ont obtenu le label « Patrimoine du XXe siècle », devenu depuis le 7 juillet 2016 le label « Architecture contemporaine remarquable ».

    Dus à des architectes de renom international (Renzo Piano, Jean Nouvel), à des maîtres d’œuvre plus modestes ou à des ingénieurs, les exemples proposés sont soit exceptionnels dans leur programme (l’attraction « Anaconda » du parc Walygator, près de Metz) soit parfaitement représentatifs d’une typologie singulière à certains moments du siècle (comme la Reconstruction post-conflits, la construction de grands sièges sociaux d’entreprises dans les années 1970 ou les piscines Tournesol) et font appel à des matériaux et des techniques de mise en œuvre variés.

    Chacun des 11 chapitres correspond à un thème : apprendre/reconstruire/prier/travailler/se divertir/produire… Chaque création architecturale est replacée dans son contexte et commentée par un spécialiste, tandis que les photographies parfois spectaculaires dévoilent des angles de vue moins connus du grand public. L’ensemble met en exergue la richesse du XXe siècle en matière d’architecture et la vitesse avec laquelle elle prend forme et se transforme sous le coup des conflits qui ont traversé ce territoire, des booms et crises économiques, de la démocratisation de la cité notamment en matière d’instruction et de culture, mais aussi de production et consommation.

     

    ‡ L'architecture du XXe siècle Grand Est, collectif, éditions Lieux-Dits, 2018, 288 p., ill., 40 €.

  • La Tour Eiffel célébrée au Musée du Fer de Jarville-la-Malgrange (54)

  • Nancy a commémoré le 102e anniversaire de la mort du colonel Driant

    Les porte-drapeaux rendent les honneurs au colonel Driant devant la plaque commémorative, place Driant à Nancy [cl. ©H&PB].

    102 ans plus tard, la Ville de Nancy s'est souvenue de son député, le colonel Emile Driant, tombé au champ d'honneur le 22 février 1916 au Bois des Caures, près de Verdun, au côté de ses valeureux chasseurs.

    La cérémonie patriotique était présidée par Eric Freysselinard, préfet de Meurthe-et-Moselle et arrière-petit-fils du président de la République lorrain Albert Lebrun.

  • Nancy rend hommage au colonel Emile Driant

    Il y a 102 ans, le 22 février 1916, le colonel Emile Driant était tué au Bois des Caures à Verdun

    A l’occasion du début de la bataille de Verdun, les bataillons de chasseurs de Driant ont été quasiment anéantis par le pilonnage d'artillerie et l'assaut de l'infanterie allemande. Ayant largement ralenti la progression du général Falkenhayn, Driant ordonne à ses chasseurs survivants de se replier. Il tombe vers 15h00 frappé d'une balle à la tempe. Il avait 60 ans.

    Officier saint-cyrien brillant, il est à plusieurs reprises sanctionné pour des articles publiés sans autorisation dans lesquels il défend la mémoire de son beau-père, le général Boulanger, ou bien dénonce trop vigoureusement « l'affaire des fiches » du ministre de la guerre franc-maçon, le général André.

    En 1905, sa carrière étant définitivement compromise, il se lance en politique avec l'appui de Déroulède et Barrès et est élu député à Nancy. Il poursuit parallèlement son activité d'écrivain, sous le nom de « Capitaine Danrit », nom d’emprunt adopté alors qu'il était encore militaire. Talentueux, il écrit une vingtaine de romans d'anticipation ayant pour thème la guerre prochaine et remporte un vif succès à chaque parution. Il devient ce que l'on appellerait aujourd'hui un "best-seller" du thriller technologique.

    Lorsqu’éclate la guerre, il est toujours député et a 59 ans. Il demande malgré tout son incorporation.

     

    ‡ La Ville de Nancy lui rendra hommage samedi 24 février en après-midi lors d'une cérémonie place Driant, proche de la porte Saint-Georges.

  • Les animations 2018 des Amis d'Alfred Renaudin

     Les Amis d'Alfred Renaudin vous invitent à participer à leurs prochaines animations 2018 :

    - mardi 6 mars à 20h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Adjugé, vendu" de Maître Teitgen

    - samedi 14 avril à 15h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Marguerite Delorme" d'Astrid Mallick
     
    - samedi 28 avril à 15h, salle des fêtes de Val-et-Châtillon, conférence "Art en ciel lorrain" de Robert Florentin (voir en PJ) suivie à 17h de l'Assemblée Générale de l'association
     
    - Week-end des 5/6 mai : participation aux Journées d'histoire régionale à Saint-Dié
     
    - samedi 9 juin, sortie "sur les traces d'Alfred Renaudin" à Varennes-en-Argonne
  • Les prisonniers de guerre (XVe-XIXe siècle)

    La thématique des prisonniers de guerre reste peu connue pour l’époque moderne, au moment où les armées connaissent massification et nationalisation de leurs effectifs.

    Fruit du colloque organisé à Nancy par l'Université de Lorraine, le présent livre aborde divers aspects de cette question et le cheminement jusqu’au moment où se développent et s’institutionnalisent droits et statuts des prisonniers de guerre, du XVe au XIXe siècle. L'ouvrage aborde les thèmes de la capture et les conditions de la captivité au cours de différents conflits qui marquèrent la période.

     

    ‡ Les prisonniers de guerre (XVe-XIXe siècle). Entre marginalisation et reconnaissance, Laurent Jalabert (dir.), PUR, 2018, 296 p., 29 €.

  • Domremy (88) : Une souscription pour sauvegarder la basilique Sainte-Jeanne d’Arc

    727 655,82 €. Tel est le montant de la première tranche des travaux qui débuteront courant mars en la basilique Sainte-Jeanne d’Arc à Domrémy-la-Pucelle.

    Des travaux dits d’urgence qui concernent le dôme, le chœur, la nef, les versants Est et Ouest du transept de l’édifice, ainsi que la réfection de l’installation électrique intérieure et le joug des cloches. « Le bâtiment est malade. Nous avons notamment constaté des fuites d’eau au niveau du dôme », souligne Jackie Frémont, délégué départemental de la Fondation du patrimoine Vosges.

    Le projet est soutenu à hauteur de 30 % par la Région Grand Est et 40 % par la DRAC (Direction régionale des affaires culturelles). Pour boucler le budget, le diocèse de Saint-Dié, propriétaire de l’édifice, compte sur le soutien des particuliers. Un appel au mécénat populaire vient en effet officiellement de démarrer, initié par la Fondation du patrimoine. « Cette basilique est un lieu unique. Pour l’Église, mais aussi pour la France car elle est chargée d’Histoire », note Mgr Didier Berthet, évêque de Saint-Dié, qui a fait le déplacement pour le lancement de la souscription.

    Cette première tranche de travaux est prévue pour durer plusieurs mois. D’autres suivront au cours des années à venir, avec un montant total estimé entre 5 à 6 millions d’euros. « Nous démarrons par le plus urgent car la basilique est en danger si des travaux ne sont pas effectués », ajoute Jackie Frémont, qui ne doute pas que les donateurs seront au rendez-vous : « Les particuliers - et les croyants - sont attachés à leurs églises. » D’autant que le lieu est chargé de symboles, spirituels - Jeanne n'est-elle pas la plus grande sainte chrétienne ? -, mais aussi culturels avec, par exemple, le festival Jeanne d’Arc.

    À noter qu’une souscription avait déjà été lancée il y a trois ans pour la restauration d’une toile de Montchablon, qui se trouvait à l’origine dans la crypte de la basilique. Très dégradée, elle est en cours de rénovation dans un atelier alsacien. Elle devrait faire son retour en avril.

     

    ‡ Don défiscalisé possible sur le site internet www.fondation-patrimoine.org

  • "Tour Eiffel made in Lorraine", une exposition au Musée du Fer de Jarville

  • Mirecourt et son histoire par les Amis du Vieux Mirecourt-Regain

  • Hommage à Drouot et à l'initiateur de la restauration de sa statue nancéienne

  • Un livre pour les "Beaux villages lorrains"

  • 22ème Salon de peinture et sculpture de Dombasle-sur-Meurthe du 17 au 25 février 2018

  • Hiver 1917-1918 - Les coups de main de Flirey et de Moncel-sur-Seille

  • Nancy : les 140 ans de l'association général des étudiants

    Le 2 février dernier, une plaque commémorative rappelant la création, il y a 140 ans, de l’Association générale des étudiants de Nancy a été dévoilée rue Gustave-Simon, sur la façade du Musée des Beaux-Arts de Nancy par les élus et des étudiants.

    C’est là, derrière cette façade, reconstruite en 1999 lors de l’extension du Musée, que s’est développée l’Association générale des étudiants de Nancy (AGEN), avec une bibliothèque et un restaurant universitaire bon marché. L’AGEN fut la première association générale des étudiants de France ; son modèle fut d’ailleurs repris dans la plupart des villes universitaires. Fondée en 1877 sous le nom d’Union des étudiants, elle reste, 140 ans après, la doyenne des associations d’étudiants – mais en sommeil car jamais dissoute.

    A l’occasion de l’inauguration de cette plaque, l’association Cité des Mémoires Étudiantes proposait une rétrospective sur les associations d’étudiants dans les murs du Groupe des étudiants catholiques (GEC), cours Léopold, autre site emblématique de la vie étudiante nancéienne.

  • Georges Chenet, itinéraire d'un archéologue lorrain

    Un ouvrage de Colette Méchin en souscription consacré à la biographie de "Georges Chenet, de l'Argonne à la Syrie, itinéraire d'un archéologue"...

  • L'Echo des Trois Provinces n° 192 est paru

    Le 192ème numéro de L'Echo des Trois Provinces est paru !

    Vous y lirez avec intérêt de bons articles sur l'histoire de notre pays d'entre Lorraine, Franche-Comté et Champagne ainsi que des anecdotes et la chronique de la vie dans la région.

    Ainsi, vous découvrirez à Fontenoy-le-Château, Nicolas Gilbert le poète malheureux, l'histoire des Suédois lors de la guerre de Trente Ans au Pays des 3 Provinces, châtillon-sur-Saône labellisé "beau village lorrain", les Cahiers de Melle Marchal de Lamarche, Claude François Ducharnoy un médecin d'avant-garde à Vauvillers, le général Marcot de Vauvillers, l'histoire de la cuisine, petites histoires de nos amies les bêtes, le bilan des visites estivales, une taque de cheminée aux armes des ducs de Lorraine, Haute-Marne - Vosges : les résistants du train fantôme, etc.

  • Val-et-Châtillon (54) : les Amis d'Alfred Renaudin invitent Me Teitgen pour une conférence le 6 mars 2018

  • La Nouvelle revue lorraine n° 48 : les oeuvres statuaires à Pont-à-Mousson

    Nouveau numéro et nouvelle périodicité pour La Nouvelle revue lorraine à compter de ce début d'année : désormais, votre revue préférée paraîtra tous les trimestres (au lieu d'une périodicité bimestrielle), à chaque nouvelle saison : le 25 janvier, le 25 avril, le 25 juillet et le 25 octobre. Et avec plus de pages en couleurs !

    Dans le dernier opus, vous découvrirez un riche sommaire (la revue passe à 66 pages en couleurs !) : vous y lirez notamment des articles et anecdotes sur les œuvres statuaires à Pont-à-Mousson, quand le presbytère ferme ses volets, la commanderie Saint-Jean-du-Vieil-Aître à la fin de l'Ancien Régime, le faubourg Saint-Pierre de Nancy, la canicule du Léon, mort d'un prêtre en déportation, le général Antoine Drouot, des contes pour la veillée, René II le duc qui défia le puissant duc de Bourgogne...

     

    ‡ Commande et abonnement sur www.nouvelle-revue-lorraine.fr

  • Souscription pour l'acquisition de la lance d'apparat de Cutry (54)

    Plus d'infos et souscription en ligne sur www.societe-histoire-lorraine.com

  • Le destin manqué de Charles-Alexandre de Lorraine

  • Chandeleur et Purification de la Très Sainte Vierge Marie le 2 février

    A l'occasion de la fête liturgique de la Purification de la Très Sainte Vierge Marie le 2 février 2018, il y aura bénédiction des cierges et messe en l'église Marie-Immaculée à Nancy (33 avenue Général Leclerc) à 18h30 selon le rite extraordinaire de l'Eglise.