Loisirs et animations - Page 10
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Saint-Mihiel (55) : une expo' sur l'artiste meusien Lucien Jacques, ami de Giono
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Epinal (88) : "Le jardin potager" au musée de l'Image
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Bleurville (88) : le monde en couleurs de Marie-Claude Papkoff à l'abbaye Saint-Maur
Marie-Claude Papkoff, artiste peintre vosgienne, a accroché ses toiles aux cimaises de l'abbatiale bénédictine de Bleurville pour cet été.
Portraits et paysages vous accueillent dans le choeur de l'abbatiale pour le plus grand plaisir des yeux et des sens. Notre artiste vous invite à un beau voyage en 'aquarellie' !
‡ Portraits & paysages, aquarelles de Marie-Claude Papkoff, abbaye Saint-Maur de Bleurville, du jeudi au dimanche, de 14h à 18h. A voir jusqu'au 2 septembre 2017.
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Dompaire (88) : 9ème Salon du livre régional le 3 septembre
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Le Tour de France est en Lorraine !
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Festival d'orgue en juillet à la cathédrale de Nancy
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Darney (88) : Le musée Damia s’installe au château
Le château de Darney va connaître d’importants travaux durant ces prochains mois. Dans l’ancienne salle du juge de paix, la rénovation a déjà commencé pour accueillir un musée Damia.
Un pinceau dans une main, du papier à poncer dans l’autre. Du vernis dans une pièce, de la peinture dans l’autre. Depuis plusieurs semaines, les bénévoles de l’association « Les amis du patrimoine de Darney » s’activent pour redonner une seconde jeunesse au château.
Si d’importants travaux sur les huisseries, la toiture et les peintures seront bientôt programmés, l’actualité du moment, c’est la réfection de la salle du juge de paix dans laquelle sera bientôt installé un musée dédié à la chanteuse Damia (1889-1978), originaire de Darney, unique en son genre. « Il y aura du mobilier, des tableaux, des photos, mais aussi sa robe de scène, son kimono, une trousse de toilette métallique ou encore un ancien phonographe qu’on nous a donné », explique Jean-Marc Bouschbacher, président de l’association « Les Amis du patrimoine de Darney ».
Après le musée tchèque et slovaque, c’est donc une nouvelle page de l’histoire culturelle de Darney que le château va permettre d’ouvrir. Avec un objectif : attirer plus de touristes bien sûr.
La scénographie du musée sera conçue par une équipe spécialisée. Quant à l’ouverture du musée Damia, elle est prévue pour cet été.
Pour en savoir plus sur Damia (de son vrai nom Marie-Louise Damien) :
> Francesco Rapazzini, Damia. Une diva française, éditions Perrin, 2010. -
Bleurville (88) l'heure spirituelle grégorienne a enchanté le public
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Sion (54) : les Petits Chanteurs à la Croix de Bois en concert le 8 juillet 2017
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Haraucourt (54) : expo' "Les cités ouvrières du sel"
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Nancy : festival d'orgue été 2017 à la cathédrale
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Sionne (88) : l'âge du Fer au pays de Jehanne d'Arc
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Bleurville (88) : heure spirituelle à Saint-Maur avec le Choeur grégorien de Nancy & Toul
Ce dimanche 25 juin, l'abbatiale bénédictine Saint-Maur de Bleurville ouvrait sa 43ème saison culturelle avec le Choeur grégorien de Nancy & Toul.
Cette chorale, dirigée par Gérard Charrier, a offert une heure spirituelle autour de la figure paternelle de saint Joseph devant un public qui a, semble-t-il, apprécié cette séquence grégorienne dans un lieu propice au recueillement et à la méditation.
Réminiscences des sonorités des chants des bénédictines puis des bénédictins qui prièrent et chantèrent en ces lieux durant des siècles...
>> Prochain concert à Saint-Maur : dimanche 16 juillet à 16h00 avec le Quatuor de saxophones Artex.
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Des tailleurs de pierre vosgiens en Amérique
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Pargny-sous-Mureau (88) : il faut sauver l'abbaye Notre-Dame de Mureau
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Châtillon-sur-Saône (88) : le Grenier à sel accueille une expo' sur la population de la prévôté aux XVI-XVIIIe siècles
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Bleurville (88) : les travaux d'aménagement de l'accès à l'abbatiale Saint-Maur achevés
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Bleurville (88) : le Choeur grégorien de Nancy & Toul en concert à Saint-Maur le 25 juin
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Vittel (88) : expo' "Le chemin de fer autour de Vittel"
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Bleurville (88) : concert du Quatuor Artex à l'abbaye Saint-Maur le 16 juillet
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Les Amis du peintre Alfred Renaudin sur ses pas à Metz
La traditionnelle sortie annuelle « Sur les traces d’Alfred Renaudin » a conduit une dizaine de participants de l'association des Amis d'Alfred Renaudin à Metz pour une visite guidée pédestre à la découverte des sites incontournables de la ville lumière.
La cathédrale Saint Etienne, l’un des plus grands édifices gothiques d’Europe, regorge de nombreux vitraux qui lui valent bien son surnom de lanterne du bon Dieu. L’itinéraire s’est poursuivi par le marché couvert, la place de Chambre, puis par le quartier des « Isles » avec la place de la Comédie, où se trouvent l’Opéra-Théâtre et le temple Neuf, construit pendant l’annexion allemande.
En longeant les bords de la Moselle, les Amis d’Alfred Renaudin ont découvert le quartier Citadelle et ses nombreux monuments évocateurs de l’histoire messine comme le palais de Justice, l’Arsenal militaire, le palais du Gouverneur, Saint Pierre aux Nonnains, la chapelle des Templiers et le magasin aux vivres. Après un repas convivial en extérieur, l’après-midi a été consacré au quartier Outre-Seille avec les églises médiévales, les hôtels particuliers de la Renaissance, les vestiges du rempart érigé au temps de la République messine et les vitraux de Jean Cocteau. Ce faubourg a conservé une âme très particulière et sa vocation artisanale séculaire. La Porte des Allemands est un rare spécimen préservé de ce type d’architecture militaire en France. Il s’agit à la fois d’une porte-pont, enjambant la Seille, et d’un véritable château-fort.
Alfred Renaudin a représenté plusieurs vues de Metz comme celles de la cathédrale, du temple neuf ou encore de la porte des Allemands.
[texte et cliché Olivier Béna]
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Pour La Mothe en assemblée générale
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Châtillon-sur-Saône (88) : la vie quotidienne dans la prévôté de Châtillon (XVIe-XVIIIe s.)
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Coussey (88) : la carrière recèle de trésors de l’Âge du Fer
Tout le travail des petites mains qui explorent actuellement le terrain près de Neufchâteau, va consister à dater exactement les vestiges retrouvés sur ce vaste chantier de plusieurs hectares exploités par l’entreprise Calin.
Amandine Remigy vient de découvrir ce qui pourrait être un foyer assez imposant, de type four ou âtre. Les investigations vont se poursuivre durant quelques mois et le site s’est ouvert au public tout récemment.
Les archéologues de l’Inrap étaient déjà passés par là il y a quelque temps pour effectuer un premier diagnostic : leurs homologues de la société Eveha, spécialisée dans les études et les valorisations archéologiques, ont pris le relais le mois dernier. Qui fouillent un terrain de 4,5 ha jusqu’en 2019 !
Entre le village de Sionne et Coussey, le long de la RD 3, l’on a « décapé » le terrain sur quelque 70 cm d’épaisseur. Objectif : observer, marquer, recenser « tout ce qui s’est déposé après que la population a occupé le terrain », explique Audrey Jezuita, chargée de secteur pour le bureau Eveha. Son outil principal : ses yeux. Car il s’agit de repérer, sur ce sol que le béotien trouvera uniforme, le ou les anomalies, changements de couleurs ou de texture, fragments de pierres, os ou matériaux divers (bois, céramique), susceptibles d’attirer l’attention. Sur environ 40 cm, de possibles trésors se cachent là. Depuis environ 3000 ans.
« Nous allons affiner et mieux dater grâce aux prélèvements », complète la jeune femme. Du sable jaune qui succède au sable plus blanc, de l’argile sec et dur : différentes couches sont encore à explorer et il s’agit de trouver le bon niveau. Pour ce faire, des dizaines de marques ont été posées au sol. C’est là que les cinq archéologues vont creuser, armés de pelle, de pioche, de truelles, d’un appareil photo et de beaucoup de patience. Carbone 14 et autres eaux de « terre » vont s’avérer précieux pour analyser tout cela. « L’Inrap a détecté un site archéologique daté de l’Âge du Fer. Il existe plus haut une voie romaine qui mène à Grand. Nous trouvons notamment ici des forges pour le travail du fer et avons détecté de petits enclos. Nous ouvrons le terrain et tant que l’on n’a pas véritablement fouillé, on n’est sûr de rien », sourit Audrey Jezuita. Tous les 15 mètres environ, une tranchée sera opérée. Là où du bois a peut-être servi à ériger un grenier, un silo, un puits, un piège à gibier, une « glaciaire », un abri voire une maison.
Des os d’animaux consommés et des céramiques (vaisselle) ont déjà été retrouvés. Quelques éléments d’un puzzle à reconstituer. « C’est cela qui est motivant car rien n’est prédéfini et ce type de chantier daté de l’Âge de Fer est assez rare », estime encore Audrey. « Regardez, une vraie structure apparaît. Ici, on a renforcé avec de l’argile et là, ça a bien chauffé. Je ne m’attendais vraiment pas à cela », s’enorgueillit de sa trouvaille Amandine Remigy.
Les investigations ne font que commencer. Il va falloir remonter le temps jusqu’à - 800 av. J.-C. ! Quelle vocation précise avait ce vaste site « familial » ? Quels liens les occupants entretenaient-ils avec les sites repérés aux environs ? Quel rôle pour la Meuse et le chenal tout proches ? Les archéologues ont deux ans, pas davantage, pour tenter de répondre à toutes ces questions…
[d’après VM]
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Bleurville (88) : concert du Choeur grégorien de Nancy & Toul à l'abbaye Saint-Maur le 25 juin
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Saint-Nicolas-de-Port fête la Saint Nicolas d'été
Chaque lundi de Pentecôte, la paroisse de Saint-Nicolas-de-Port célèbre la fête de la translation des reliques de saint Nicolas de Myre à Bari, évènement survenu en 1087.
La sainte messe était concélébrée par l'abbé Munier, vicaire général du diocèse de Nancy et de Toul, l'abbé Jacquot, recteur de Saint-Nicolas, et l'abbé Coinsmann, prêtre diocésain, en présence du clergé orthodoxe toujours fidèle à cette cérémonie qui réunit l'Eglise latine et l'Eglise byzantine, les deux poumons de la chrétienté.
La traditionnelle procession a mené ensuite fidèles et clergé dans les rues de la cité portoise, autour de la basilique.
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Voyage en Limousin avec Saône lorraine en septembre 2017
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Lundi de Pentecôte et fête des clochers
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Bleurville (88) : concert du Choeur grégorien de Nancy & Toul à l'abbaye Saint-Maur le 25 juin
Dimanche 25 juin 2017
à 16h00
Concert du Chœur grégorien de Nancy & Toul
Abbatiale Saint-Maur de Bleurville
(Vosges, entre Darney et Monthureux-sur-Saône)
Au programme : pièces de la Messe de Saint Joseph
sous la direction de Gérard Charrier
Entrée libre.
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François Humbert (1776-1850), une aventure médicale meusienne
L'exposition présentée actuellement - et jusqu'au 24 septembre 2017 - au Musée barrois à Bar-le-Duc rend hommage à l'inventivité d'un meusien au service de l'humanité souffrante : François Humbert.
En 1817, notre homme ouvre le premier établissement orthopédique français dans le village meusien de Morley. Passionné d'anatomie et de mécanique, il y propose de nouveaux traitements de la scoliose et de la luxation congénitale de la hanche, alors très fréquente dans les populations rurales de l'époque.
Cette rétrospective remet ses actions dans le contexte de l'histoire de la médecine. Elle met aussi en valeur sa collection de matériels orthopédiques qui illustrent son savoir-faire médical. Cet ensemble unique a fait l'objet d'une restauration en vue de cette exposition.
Le catalogue édité pour l'occasion retrace à la fois la vie de cet étonnant inventeur lorrain, qui mit son talent au service des "accidentés" de la vie, et nous présente son cabinet de curiosités. Car Humbert était un esprit curieux de tout.
‡ Inventer pour guérir. François Humbert (1776-1850), une aventure médicale meusienne, collectif, éditions Communauté Bar-le-Duc Sud Meuse, 2017, 32 p., ill. (5 €).