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Loisirs et animations - Page 38

  • Nancy : des fleurs, des légumes... et une messe pour la Saint Fiacre

    Cette année encore, la confrérie de Saint-Fiacre de Nancy avait fait les choses en grand... et en beauté !

    Ncy_St-Fiacre_07.09.13 006.jpgCe samedi 7 septembre, la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation était décorée avec une profusion de compositions florales et une débauche de légumes et de fruits produits par les jardiniers, maraîchers et serres municipales de l'agglomération nancéienne. C'était la fête de saint Fiacre traditionnellement célébrée par la confrérie éponyme le samedi qui suit le 30 août.

    La messe de Saint Fiacre a été concélébrée par Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul, l'abbé Munier, vicaire général, et l'abbé Lescanne, curé de la cathédrale. Les confrères ont conduit en grande procession la statue de patron des jardiniers de sa chapelle latérale jusque devant le maître-autel. A l'issue de la messe, Mgr l'évêque a béni les brioches offertes par la confrérie qui ont été distribuées aux nombreux fidèles.

    Rappelons que la confrérie de Saint-Fiacre, dont le siège est à la cathédrale de Nancy, fonctionnait déjà en 1644 dans l'ancienne église Notre-Dame, en Ville-Vieille. La confrérie a conservé l'usage, apparu au XVIIIe siècle, "de faire bénir et offrir du pain à la messe le jour de saint Fiacre", de confier chaque année la statue du saint à un confrère différent, le trésorier se tient à l'intérieur de la chapelle pour recueillir les cotisations avant et après la messe et, enfin, la messe du dimanche soir est dite à l'intention des confrères défunts.

    Quelques images de la messe de Saint Fiacre...

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    La statue sortie de sa chapelle portée en procession vers le choeur.

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    La statue de saint Fiacre portée par quatre confrères.

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    Le clergé derrière la statue.

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    Les offrandes et les brioches offertes par les confrères.

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    Lors de l'homélie de Mgr l'évêque.

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    Retour de la statue de Saint-Fiacre dans sa chapelle.

    [clichés H&PB]

  • Le baron Charles-Philippe de Croÿ [1549-1613] célébré à Fénétrange (57)

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  • Journées du Patrimoine 2013 à Contrexéville

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    Contrexéville. Vue aérienne du pavillon des sources et de la galerie thermale [cliché G. Salvini]

  • Les Journées du Patrimoine à Val-et-Châtillon (54)

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  • Claudon (88) : « 100 ans de protection dans les Vosges : quelques exemples », une conférence de Jean-François Michel

     

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    Puits de Poussay.

    Le week-end des 14 et 15 septembre prochain, auront lieu les journées du patrimoine dont le thème retenu pour cette 30ème édition « 1913-2013 : 100 ans de protection ».

    Dans ce cadre, l'association Droiteval-Ourche-Patrimoine organise une conférence, gratuite, parfaitement conforme au thème national, mais recentré sur notre patrimoine vosgien.

    Le titre de la conférence est clair : « Cent ans de protection dans les Vosges : quelques exemples ». Il ne s'agit pas de balayer d'une façon exhaustive les quelques 324 monuments classés ou inscrits de notre département, mais bien, à partir d'exemples choisis, de voir la différence entre monuments inscrits ou classés, de voir les modalités d'inscription dans cette liste, les avantages et les contraintes, le tout ciblé sur les Vosges.

    Dans cette même conférence, le sujet du projet d'une nouvelle loi devant remplacer à terme celle de 1913, sera abordé.

    Le conférencier, Jean-François Michel, est délégué régional Lorraine des Vielles Maisons Françaises et Président de l'association Saône lorraine.

    Vendredi 13 septembre 2013

    Salle des Fêtes de Claudon - 21 rue de l’église

    à 20h30

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    Abbaye bénédictine Saint-Maur de Bleurville.

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    Château de Saint-Baslemont.


     

  • Sur le chemin de Saint Nicolas avec les Europa Scouts nancéiens

    Les premiers pèlerins sur le futur chemin conduisant au tombeau de saint Nicolas de Bari sont partis dernièrement de Saint-Nicolas-de-Port à la suite d'une bénédiction de départ dans le sanctuaire lorrain placé sous le vocable du saint patron des voyageurs.

    St-Nicolas_routiers ES_07.08.13.JPGPour les concepteurs du projet chemin de saint Nicolas, qui travaillent d'arrache-pied pour réaliser un itinéraire de pèlerinage vers le tombeau de saint Nicolas à Bari via le sanctuaire de Saint-Nicolas-de-Port, ce fut un moment émouvant. Un groupe de six routiers (plus de 17 ans) des Europa Scouts de Nancy vient d'entamer un long pèlerinage vers Bari au départ du sanctuaire lorrain : ils sont ainsi les tous premiers courageux a emprunter l'itinéraire retenu par l'association des Pèlerins de Saint Nicolas, mais non encore balisé. Et les premiers pèlerins modernes à renouer avec les pèlerinages ancestraux vers Bari à pied en l'effectuant sur un itinéraire spécialement dédié au saint patron des voyageurs, des jeunes gens, des prisonniers et des Lorrains. Un chemin qui mène aussi vers Jérusalem.

    Le jour du départ à Saint-Nicolas-de-Port, au cours d'une cérémonie impeccablement conduite par le recteur de la basilique, l'abbé Jean-Louis Jacquot, les pèlerins nicolaïens ont reçu la bénédiction de départ, après la Prière du pèlerin, le « Notre Père » et un « Je vous salue Marie ». En signe de protection patronale pour le voyage, ils reçurent, en application sur le front, la manne de saint Nicolas, laquelle suinte depuis l'origine du tombeau de saint Nicolas. Le recteur, après avoir échangé quelques mots conviviaux, a donné l'accolade aux pèlerins, leur souhaitant bon voyage. Les scouts se sont ensuite mis en route en s'éloignant de la basilique par la ruelle Brudchoux, la rue historique par laquelle arrivaient et repartaient autrefois les pèlerins des Vosges.

    St-Nicolas_routiers ES_départ_07.08.13.JPGLe sanctuaire de Saint-Nicolas de Bari dans la région des Pouilles au sud-est de la péninsule italienne est aussi éloigné que celui de Saint-Jacques de Compostelle. Les scouts routiers de Nancy, qui ont coutume de marcher chaque été durant une semaine, en dormant à la belle étoile, avait déjà fait l'expérience du Saint Jacques et entendu parler du projet de chemin de saint Nicolas grâce à Jean-Marie Cuny, fidèle soutien des scouts lorrains,  historien de la Lorraine et membre de l'association Les Pèlerins de Saint Nicolas, structure qui a élaboré le concept de cet itinéraire.

    Désireux de l'entreprendre sitôt que le parcours serait fixé, il n'ont pas perdu de temps, puisque c'est au mois de juillet que le tronçon de Saint-Nicolas-de-Port à Chamagne a pu être fixée grâce à la collaboration d'un couple de Haussonville, M. et Mme Blanchard, ce qui ouvrait la route jusqu'à Dietwiller en Alsace. Même si le balisage, précédé d'un long et fastidieux travail administratif, se fait encore attendre. Le groupe scouts envisage d'effectuer le pèlerinage sur plusieurs années, petit bout par petit bout. Parti de Saint-Nicolas dans l'après-midi tardive du 7 août, ils ont parcouru 175 km jusqu'au soir du 13 août, effectuant entre 25 et 30 km par jour, pour arriver près du col de Bussang. L'année prochaine, ils envisagent la traversée du Sundgau via le lieu de pèlerinage médiéval de Thann vers Bâle et le Jura suisse. Ils sont déjà attendus par des bénévoles suisses de l'association internationale Via francigena, la voie des 'Romieux' (ainsi sont surnommés les pèlerins vers Rome). Pour la troisième année, ils devraient franchir le fameux col du Grand Saint Bernard sur cette même voie des Romieux.

    lorraine,saint nicolas,chemin de saint nicolas,saint nicolas de port,europa scouts,suisse,italie,bariLes scouts ont marché au plus près de la route des pèlerins ancestraux qui, venant de Suisse et des Vosges se rendaient à Saint-Nicolas-de-Port, ou de ceux qui, venant de Lorraine se rendaient vers la Suisse et l'Italie. Ils ont notamment traversé Haussonville, en découvrant son château Renaissance dont le seigneur avait fondé un hospice pour les pèlerins de passage au XVe siècle, Bayon, Chamagne, Charmes avec sa très belle église gothique Saint-Nicolas bâtie à la même époque que la basilique de Port, Epinal et Remiremont avec sa crypte consacrée à l'évêque de Myre par le pape Léon IX vers le milieu du XIe siècle. « C'est un très bel itinéraire, toujours sur des petits chemins tranquilles » rapporte Aymeric Tonnerieux, chef du groupe. « Seul regret, les églises et chapelles sur notre chemin étaient toutes fermées, contrairement à celles situées sur le Saint Jacques », remarque Aymeric. Avec l'établissement du chemin de saint Nicolas, cette mesure de précaution ne sera bientôt pas plus nécessaire que sur le chemin de Saint Jacques : l'évêque de Myre est aussi le saint protecteur invoqué contre les voleurs !   

    [d'après L'Ami Hebdo | texte et clichés Olivier Hein et Françoise Orsini]

  • "L'art et le modèle": conférence de Paulette Choné au Musée barrois

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  • Découvrez Harmonville et Autreville avec Maisons paysannes des Vosges

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  • Les musées de l'été : 3 musées pour vivre l'histoire et l'âme de la Saône vosgienne

    Une journée, trois musées !

    Jusqu'au 15 septembre, le pays de la Saône vosgienne vous invite à partir à la découvert du territoire à travers trois visions du pays, de son histoire et de son âme.

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    A Martinvelle, visitez la collection d'un passionné de matériels et d'outils ayant marqué les activités rurales de jadis dans la plaine des Vosges.

    Contact : daniel.aubertin@wanadoo.fr 

     

    Musée Mthx_02.07.11 02.jpg

    Dans la maison du patrimoine local installé dans l'ancien presbytère du XVIIIe siècle de Monthureux-sur-Saône, en face de l'église paroissiale, vous vous replongerez dans la vie quotidienne de nos ancêtres lorrains du sud, entre l'atelier, la cuisine et la chambre à coucher.

    Contact : m-mad.boulian@orange.fr 

     

    Musée St-Maur août 2010.jpg

    Enfin, à l'ancienne abbaye bénédictine Saint-Maur de Bleurville au conservatoire de la piété populaire installé dans le prieuré du XVIIIe siècle, vous vous imprégnerez des pratiques religieuses et des rites chrétiens de nos ancêtres vosgiens tout en découvrant une ancienne fondation monastique du XIe siècle.

    Contact : abbayesaintmaur.bleurville@gmail.com

     

    ‡ Les 3 musées sont ouverts du jeudi au dimanche, de 14h à 18h jusqu'au 15 septembre 2013.

  • A la découverte de Norroy-sur-Vair (88)

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    [Vosges Matin]

  • Darney (88) : conférence sur les Récollets de Darney le 13 septembre

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    L’association « Les Amis du Patrimoine » de Darney organise :

    vendredi 13 septembre à 20h30

    à la salle des fêtes de Darney

    une conférence animée par Jean Marc Lejuste sur les Récollets de Darney

     

    Jean Marc Lejuste, doctorant en histoire moderne à l’université de Lyon-2 et responsable du Centre d’animation de la préhistoire de Darney, propose de découvrir ou de redécouvrir l’histoire du couvent des Récollets qui a marqué l’histoire religieuse et industrielle de Darney depuis presque 300 ans.

  • Le grès flammé, une spécialité de Rambervillers

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    [L'Abeille]

  • Remiremont (88) : une « star » internationale se cache au musée Charles-de-Bruyères

    Ajoutée peu avant son ouverture au public, la salle de peinture française du musée Charles-de-Bruyères de Remiremont abrite une œuvre d’Alexandre Antiga, exposée jusqu’aux États-Unis.

    vosges,remiremont,musée,charles de bruyères,alexandre antigna,la veuveLa plus grande salle du musée Charles-de-Bruyères, situé rue Charles-de-Gaulle à Remiremont, abrite une œuvre éloquente, « une des plus importante du catalogue », selon Aurélien Vacheret, conservateur du musée.

    Sur un des murs est effectivement accroché le tableau « La Veuve », aussi nommé « La mort du pauvre », peint par Alexandre Antigna, datant de 1849. « Ce tableau est un don qui a été fait au musée en 1934 », explique le conservateur.

    La scène se passe dans une petite pièce humide. Un homme mort est allongé sur un lit de paille. À côté de lui, sa femme en pleurs, ainsi que ses deux enfants. L’un pleure sur l’épaule de sa mère, l’autre regarde le contemplateur de l’œuvre. « Si on regarde bien, on aperçoit que le garçon porte des chaussures à clous, ce qui accentue la pauvreté de la famille. Son regard, même s’il ne pleure pas, interpelle, on sent les larmes prêtes à jaillir », explique le conservateur.

    « Veuve » représente la misère humaine. Les détails y sont importants, les veines de la femme qui ressortent de sa main, les habits troués que porte le corps et d’autres. « Alexandre Antiga est un des premiers peintres, au XIXe siècle, qui a attiré l’attention sur les gens qui souffrent », explique Aurélien Vacheret. Plus tard, d’autres représenteront également la souffrance humaine, à l’image de Jules Adler, dont le musée Charles-de-Bruyères possède une collection importante.

    L’œuvre attire la convoitise d’autres musées, nationaux et internationaux. Ainsi, « Veuve » s’est retrouvée exposée à Orléans en 1979, à Cleveland aux États-Unis en 1980, à Chartres en 1984 et plus récemment à la Nouvelle-Orléans aux États-Unis et à Paris en 2009. « Ces expositions ont permis de faire connaître l’œuvre internationalement », note Aurélien Vacheret.

    Né en 1821, Charles de Bruyères était avocat à Remiremont. Collectionneur d’œuvres d’arts, il était également artiste à ses heures perdues. Il a notamment peint son autoportrait et produit beaucoup de dessins. Le conservateur du musée informe par ailleurs qu’ « une dizaine de carnets de dessins sont aujourd’hui conservés ».

    Il s’installe dans la propriété familiale, un hôtel particulier aujourd’hui au 70 rue Charles-de-Gaulle, autour de l’année 1881. « Peut-être s’est-il installé à la mort de sa mère », explique Aurélien Vacheret. Durant plusieurs années, il rassemble un certain nombre d’œuvres historiques liées à la Lorraine. Charles de Bruyères, très attaché à l’histoire de ses ancêtres, a conservé diverses pièces importantes à ses yeux. Ainsi, dans « l’embryon du musée », comme le nomme Aurélien Vacheret, il est possible d’apercevoir un portrait de Jean-François-Luc de Bruyère, ainsi qu’une coupe en onyx offerte par la dernière abbesse de Remiremont. « Le père de Charles de Bruyères a été maire de Remiremont, ce qui pourrait expliquer son attachement à la ville », remarque Aurélien Vacheret.

    À sa mort en 1905, Charles de Bruyères lègue sa collection d’environ 277 pièces à la Ville de Remiremont, à condition qu’elle fasse de sa maison un musée. Aujourd’hui, la collection de Charles de Bruyères, tout comme les œuvres conservées par la mairie de Remiremont et données au moment de l’ouverture du musée en public, ont été enrichies par d’autres œuvres acquises par les différents conservateurs qui se sont succédé au musée. Ce dernier a récemment fêté ses cent ans, ses œuvres quant à elles n’ont pas pris une ride…

    L’hôtel particulier légué par Charles de Bruyères à la Ville de Remiremont abrite de nombreuses œuvres. Au fil des années, la collection des 277 œuvres appartenant à Charles de Bruyères s’est étoffée, toujours dans le but de rendre le musée de la rue Charles-de-Gaulle plus attractif.

    ‡ Pendant la période estivale, le musée Charles-de-Bruyères est ouvert tous les jours sauf le mardi, de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h.

    Tarifs : entrée : 2,30 € ; groupe de 20 personnes et plus, étudiants, titulaires du PassLorraine : 1,05 € ; gratuit pour les moins de 18 ans et les titulaires du PassMusées ; billet jumelé valable 48 h pour les deux musées romarimontains, Charles-Friry et Charles-de-Bruyères : 3,65 € ; tarif réduit : 1,60 €. Gratuit le dimanche.

    Renseignements : Musée Charles-de-Bruyères, 70 rue Charles-de-Gaulle à Remiremont, tél. : 03 29 62 59 14. Internet : www.remiremont.fr (rubrique culture).

    [Vosges Matin]

  • Les Journées du Patrimoine 2013 en Saône vosgienne

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    vosge,saone vosgienne,journées du patrimoine 2013,bleurville,abbaye saint maur

  • Châtel-sur-Moselle (88) : poursuite des travaux à la forteresse

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    [L'Abeille]

  • La cité de La Mothe en fête

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    [clichés G. Salvini | Cercle d'études locales de Contrexéville]

  • Bulgnéville (88) : sur les traces des "gueules noires" de la plaine vosgienne

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    [Vosges Matin]

  • Autigny-la-Tour (88) : un village toujours aussi curieux

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    [Vosges Matin]

  • Parey-sous-Monfort (88) : autour du prieuré prémontré

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    [Vosges Matin]

  • Charmes (88) : 5ème Salon du livres Vosges-Lorraine le 1er septembre

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  • Une histoire de fer, de verre et de bois à Hennezel (88)

    Le village de Hennezel, entre Darney et Bains-les-Bains, abrite un musée qui retrace l’histoire de la région à partir des objets produits par les verreries, fleurons de son passé.

    verre2.jpgAu cœur de la forêt de Darney, à Hennezel, l’ancienne maison de maître du dernier patron de la verrerie de Clairey a retrouvé une deuxième jeunesse. Depuis 1986, une poignée de passionnés, membres de l’association Saône-Lorraine, s’efforcent de redonner vie au lieu transformé en musée du fer, du bois et du verre. Bernard et Arlette Delémontey sont de ceux-là. Chaque année, ils organisent des expositions temporaires qui viennent compléter les collections de leur petit musée de quatre salles.

    Jusqu’au 31 octobre, « Opalines et verres moulés » propose de se plonger dans le passé de la région et de découvrir les richesses artistiques créées par les verriers et autres créateurs. « La plupart des objets présentés ici proviennent de dons », relève Bernard Delémontey, qui sert de guide aux 3000 touristes qui franchissent la porte du musée chaque année. Verres, carafes, bouteilles, palets et chiques pour les enfants, vase de nuit, entonnoir, tous les objets du quotidien sortis des verreries proches sont exposés dans des vitrines. Verres soufflés (à la bouche), ou moulés à la main, transparents ou colorés. Les époux Delémontey savent tout sur ces pièces qui ont parfois nécessité de longues recherches pour en certifier l’origine.

    À côté des vitrines d’exposition, les bénévoles ont aussi reconstitué des maquettes des forges ou de l’atelier de menuiserie. Les travaux de broderie des femmes viennent compléter le musée, dont la visite se termine par une histoire plus récente celle-là, et beaucoup plus douloureuse : la salle de la résistance est consacrée au maquis de Grandrupt et à l’abbé Mathis. Tous les résistants qui avaient trouvé refuge dans ce coin de forêt entre 1943 et 1944 ont été déportés.

    Les premières traces d’une verrerie à Clairey remontent avant le milieu du XVIe siècle. On sait qu’en 1555, une verrerie, officielle celle-là, a vu le jour sur les fondations d’une autre, plus ancienne. Dans un temps assez imprécis, on sait qu’un duc de Lorraine a fait venir de Bohème des verriers qui trouvaient dans les forêts vosgiennes tout ce dont ils avaient besoin : du bois pour se chauffer et construire, du sable pour le verre et des espaces pour s’installer.

    verre1.jpgL’époque était alors au temps des cathédrales et la fabrication de verres à vitres et à vitraux était alors en pleine expansion. Le secteur comptait alors 23 verreries de type familial (Lichecourt, Bleurville, Planchotte, La Rochère, etc.). Mais même l’édification de structures religieuses ne ralentit pas les velléités de combat des hommes. Les guerres de religion, la guerre de Trente Ans et plus tard la Révolution ont eu raison de l’économie de la région et des implantations des verriers, également touchés par l’abolition des privilèges.

    Plus tard, les verriers ont tenté de s’implanter à nouveau mais les temps avaient changé. Fini les vitraux et les arts sacrés, il a fallu trouver des reconversions. Certains se sont alors lancés dans la fabrication de bouteilles pour l’eau-de-vie, notamment la cerise de Fougerolles. Au début du XVIIIe siècle, des artisans venus de Suisse et du nord de la Lorraine se sont lancés dans la gobeleterie et la production à grande échelle. La verrerie de Clairey a fermé définitivement ses portes le 28 juin 1952. Elle comptait, outre une scierie attenante, des logements pour les ouvriers, une école pour leurs enfants et une crèche, sur le modèle des entreprises paternalistes.

    Léon Logerot (1844-1924) était un des meilleurs graveurs, tailleurs et peintres de la verrerie de Clairey. Un artiste multifacette dont l’œuvre tient particulièrement à cœur à Bernard Delémontey. Pour lui, le clou du musée est ce petit serviteur de nuit à poser sur une table de chevet. Composé d’une carafe et d’un gobelet en verre vert, il a été fabriqué par Léon Logerot à la fin du XIXe siècle à Clairey. Une identification formelle rendue possible grâce aux catalogues édités par les verreries. En effet, peu d’œuvres étaient poinçonnées, la majorité d’entre elles ne comportaient qu’une petite étiquette en papier, perdue ou détériorée au fil du temps.

    [texte et clichés : Vosges Matin]

  • Rambervillers (88) : exposition "Les grès flammés de l'Art déco à nos jours"

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  • 15 août : Fête du Val à Val-et-Châtillon (54)

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    ‡ Chapelet médité et chanté à 18h00 à la grotte de Notre-Dame de Lourdes à Val-et-Châtillon.

  • Andilly (52) : des fouilles archéologique en Bassigny

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    [Vosges Matin]

  • Harsault (88) : une nouvelle roue pour le moulin Gentrey

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  • Nancy : visite de l'exposition "Alix Le Clerc, la révolution de l'instruction"

    Nous avons profité de cette période estivale pour visiter l'exposition Alix Le Clerc, la révolution de l'instruction, présentée dans la nef de l'église des Cordeliers de Nancy, à côté du Palais ducal et Musée lorrain.

    expo alix le clerc ncy 033.jpgCette rétrospective présente au public de façon remarquablement pédagogique la vie et l'oeuvre de la Bienheureuse Alix Le Clerc : n'hésitez pas à y amener vos enfants afin qu'ils découvrent un véritable précurseur en matière d'enseignement, faisant des duchés de Lorraine et de Bar un modèle en matière d'éducation pour tous, grâce à l'action de l'Eglise soutenue par des hommes et des femmes de tous horizons sociaux.

    L'exposition livre au visiteur les éléments de compréhension des contextes historiques, sociologiques et spirituels de la vie et de l'oeuvre de soeur Alix Le Clerc. Elle en restitue son parcours, le projet éducatif, la naissance et l'expansion de la congrégation Notre-Dame dans le monde.

    Un regret cependant : l'absence de catalogue reprenant les différents aspects de cette exposition... Alors que de gros moyens financiers ont été attribués aux autres expositions nancéiennes présentées dans le cadre de l'évènement Renaissance Nancy 2013, un petit effort aurait pu être fait afin d'éditer un livret pour cette exposition qui valorise l'oeuvre d'éducation d'une religieuse lorraine.

    A voir jusqu'au 15 septembre à l'église des Cordeliers, en Grande Rue, à Nancy.

    Quelques images de l'expo'...

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    La table de travail et quelques objets ayant appartenu à saint Pierre Fourier (origine : Musée Saint-Pierre Fourier, Mattaincourt, Vosges).

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    Bâton de procession représentant l'Education de la Vierge par sainte Anne (origine : Lorraine).

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    Portrait d'Alix Le Clerc.

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    Reliquaire contenant des morceaux d'étoffe de la robe d'Alix Le Clerc.

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    [clichés : ©H&PB]

  • Val-et-Châtillon (54) : exposition des oeuvres de Jean-Marie Tresse

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    [ER]

  • Châtillon-sur-Saône (88) : dimanche de fête entre Moyen Âge et Renaissance

    la-future-mariee-pas-ravie-d-epouser-un-homme-trois-fois-plus-age-qu-elle-se-soumet-toutefois-a-la-volonte-de-son-pere-et-defile-dans-le-village-pour-aller-devant-monsieur-le-cure.jpgQui dit épousailles dit fête au village. Même si le futur marié a trois fois l’âge de sa promise ! Tant qu’il y a des fabliaux, des « bonnes chairs » et de la piquette à volonté, le peuple festoie volontiers. Car le mariage entre une jeune fille du village et un vieux barbon était le fil rouge de la fête du Moyen Âge et de la Renaissance à Châtillon-sur-Saône.

    vosges,chatillon sur saone,renaissance,moyen age,mariage,saône lorraineDepuis 11 ans, l’association Saône-Lorraine présidée par Jean-François Michel organise une journée pour mettre en valeur le patrimoine historique dans le vieux Châtillon. Cette année, le mariage était le fil rouge. Pourquoi le mariage ? « Parce qu’il permet de reproduire des scènes de la vie quotidienne : rencontre, cérémonie religieuse, repas et même la nuit de noces ! », répond Nathalie Bonneret, qui a écrit le scénario et mis en scène le déroulé du spectacle. Entre elle et le village, c’est « une histoire d’amour », qui dure depuis 20 ans.

    vosges,chatillon sur saone,renaissance,moyen age,mariage,saône lorraineChaque animation permet d’attirer l’attention sur la restauration du village dont bon nombre de maisons sont classées et surtout « de faire venir des gens qui, à la base, ne sont pas intéressés par les vieilles pierres. »

    Entre la maison du cordonnier, celle du berger ou du boucher, des compagnies de théâtre de rue ont présenté des démonstrations de combat à l’épée. Dans les rues, les bénévoles en costume d’époque, robes amples et multiples jupons pour les gentes dames et chaussettes montantes dans des chausses en cuir pour les sieurs, déambulaient au gré de leurs occupations, passant devant l’herboriste et ses plantes guérisseuses, s’arrêtant pour regarder le batteur de blé en plein effort, en attendant le repas de noce. « Nous nous efforçons de coller au plus près de la réalité historique, reprend Nathalie Bonneret. Ce qui compte aussi c’est l’interactivité avec le public », qui entonne, verre de vin en main, un refrain qui trouverait sa place encore aujourd’hui dans pas mal de fêtes : « L’eau ne fait que pourrir le poumon […] Vide-nous ce verre et nous le remplirons ! »

    vosges,chatillon sur saone,renaissance,moyen age,mariage,saône lorraineLe temps d’une journée, la petite cité de Châtillon, perdue aux confins des Vosges du sud-ouest, a participé au festoiement. Et à raviver la mémoire du pays. Les mariés, eux, ont convolé en justes noces. Que cela fut dit, que cela fut fait.

     

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    [texte d’après Vosges Matin | clichés VM]

  • "L'Echo des 3 Provinces" août - septembre 2013

    IMG.jpgToujours à l'heure de l'été, notre magazine préféré des Trois Provinces, L'Echo des 3 Provinces, propose de poursuivre les visites dans la région.

    Ce nouveau numéro estival invite le visiteur à découvrir les richesses cachées de ce pays rural situé aux confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté.

    Le sommaire est une invitation à venir au Pays des Trois Provinces, à en découvrir son histoire et ses habitants :

    - Orage meurtrier en 1746 à Frain (Vosges)

    - Le monument commémoratif de 1870-1871 de Darney a 100 ans

    - Les bienfaits de l'aubépine

    - La voie ferrée éphémère de la Vôge

    - Le petit théâtre de Villars-Saint-Marcellin (Haute-Marne)

    - La légende du Pont du diable

    - Histoire de la cuisine

    - Des livres au Pays des Trois Provinces

    - Le chasseur de La Mothe

    - La route des Choiseul dans le Bassigny

    - Une place pour le Docteur Germain à Lamarche

    Et les pages consacrées aux animations de l'été au Pays des Trois Provinces.

     

    ‡ L'Echo des 3 Provinces est disponible sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (24 €) à : ADP3P, Luce Mouthon, 3bis route du Void d'Escles, 88260 ESCLES.

  • Le projet "Poilus de Laneuvelotte" labellisé pour le Centenaire de la Première Guerre mondiale

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    Le Poilu du Grand Couronné.


    Le directeur général de la mission Centenaire de la Grande Guerre a informé les responsables du Cercle d'histoire de Laneuvelotte que leur projet Poilus à Laneuvelotte, déjà retenu par le Comité départemental du Centenaire en préfecture de Meurthe-et-Moselle, a été accepté pour la labellisation nationale par le comité de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale, après avis de son conseil scientifique.

    Le projet porté par le Cercle d'histoire de Laneuvelotte fait désormais partie du programme officiel du Centenaire qui sera officiellement dévoilé par le Président de la République, lors d’une conférence de lancement du cycle du Centenaire de la Grande Guerre, quelques jours avant le 11 novembre 2013.

    Félicitations aux chercheurs, historiens, érudits et amoureux de l'histoire de la Lorraine du Cercle d'histoire de Laneuvelotte !