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Loisirs et animations - Page 21

  • Voyage à Rome avec les Amis de Saint-Nicolas-des-Lorrains en décembre

    [ER]

  • Saint-Dié-des-Vosges (88) : Journées d'études vosgiennes les 23, 24 et 25 octobre 2015

  • Colloque "5ème centenaire de la naissance de Marie de Guise" à Bar-le-Duc le 9 octobre

    Un colloque organisé à l’occasion du 500e anniversaire de la naissance de Marie de Guise aura lieu vendredi 9 octobre 2015 au Musée barrois à Bar-le-Duc.

    Programme

     

    9 h 30 Ouverture

    Bertrand PANCHER, Député-maire de Bar-le-Duc

    Juliette BOUCHOT, Adjointe au maire à la culture et au patrimoine

    10 h – Première séance

    Présidence : Christine SUKIC (Université de Reims Champagne-Ardenne, CIRLEP)

    Stefano SIMIZ (Université de Lorraine, CRULH) : Le Barrois et la Lorraine au XVIe siècle. État de l’art et interrogations historiographiques

    Bruno MAES (Université de Lorraine, CRULH) : Éduquer une princesse lorraine. Les idées politiques et religieuses des Guise

    Marjorie MEISS-EVEN (Université Lille 3, IRHiS) : Un mois dans la vie de Marie de Guise (juin 1532)

    Éric DUROT (Docteur en histoire moderne, Paris) : La fratrie des Guises. Un réseau en action

    12 h 30 Pause-déjeuner

    14 h 30 – Seconde séance

    Présidence : Etienne GUIBERT
    (Responsable du Musée barrois, Bar-le-Duc)

    Annette BÄCHSTÄDT (Doctorante, Université de Reims Champagne-Ardenne, CIRLEP ) : Marie de Lorraine-Guise dans l’historiographie européenne. Une princesse entre la France et les Iles britanniques

    Alain MORGAT (Directeur des AD Haute-Marne, Chaumont) : Le douaire de Marie Stuart, Reine d’Écosse, dans l’actuelle Haute-Marne

    16 h 15 – Mots de clôture provisoire

    Thomas NICKLAS (Université de Reims Champagne-Ardenne, CIRLEP) : La naissance, à Bar-le-Duc, d’un projet de recherche interdisciplinaire et international

    16 h 30 – Visite guidée du Musée barrois par Etienne GUIBERT

     

    Les personnes intéressées doivent s’inscrire préalablement auprès du musée au 03 2976 14 67 ou par mail : musee@meusegrandsud.fr 

    Un concert de musique ancienne qui sera donné à cette occasion par l’ensemble Les musiciens de Mademoiselle de Guise  à 20h00 au musée.

    Rappelons que Marie de Lorraine-Guise est née le 22 novembre 1515 à Bar-le-Duc et décédée le 11 juin 1560 à Edimbourg. Fille de Claude de Lorraine et d'Antoinette de Bourbon, elle appartient à la branche des Guise de la Maison de Lorraine et est la nièce du duc Antoine. Elle passa sa jeunesse au château de Frouard et fut éduquée au couvent des Clarisses de Pont-à-Mousson. Elle épouse en 1538 le roi Jacques V d'Écosse dont elle eut plusieurs enfant dont une fille, Marie Stuart (1542-1587), souveraine d'Ecosse et reine de France par son mariage avec François II.

  • Le 'Conseil' de Jehanne d'Arc convoqué à Notre-Dame de Bermont

    Les deux nouvelles statues bénies lors des IIèmes Journées johanniques de Bermont : sainte Thérèse de Lisieux et sainte Clotilde [cl. ©H&PB].

    Les IIèmes Journées johanniques se sont tenues les 26 et 27 septembre à l'ermitage de Bermont (Vosges, commune de Greux) autour du thème du "Conseil de Jehanne". Rappelons que Jehanne aimait fréquenter ce saint lieu où elle se rendait presque chaque samedi afin d'y prier Marie et d'y déposer des cierges.

    Par "Conseil", nous devons entendre l'intervention divine qui s'est manifestée auprès de Jehanne par l'entremise de l'archange saint Michel et des saintes Catherine et Marguerite. L'abbé Patrick du Fäy, de la Fraternité Saint-Pierre, a abordé ce thème en tentant une approche de ce phénomène surnaturel qui est signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut d'ailleurs à l'époque de Jehanne. Marie-Paule Renaud, historienne de Jehanne d'Arc, a expliqué la grande variété des représentations des "voix" à travers l'art (peinture, sculpture, vitrail). Enfin, Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, a resitué les travaux de recherches sur Jehanne menés par l'historienne, et les difficultés qu'elle a rencontré au sein même de l'université pour faire accepter certaines vérités sur Jehanne d'Arc.

    Dimanche, lors de la messe célébrée dans la chapelle Notre-Dame de Bermont, le RP Jean Bosco, bénédictin à l'abbaye Saint-Joseph de Clairval à Flavigny-sur-Ozerain (21), a béni les deux nouvelles statues sculptées par ses soins : sainte Clotilde et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, deux saintes liées à la spiritualité johannique.

    Lors de ces Journées, Alain Olivier, président de l'association Notre-Dame de Bermont-Sainte Jehanne d'Arc, a présenté aux participants le projet auquel collabore l'association avec deux autres structures johanniques nationales : l'installation en Russie d'une reproduction de la statue du sculpteur Boris Lejeune dédiée à Jehanne d'Arc, installée à proximité de la chapelle de Bermont. Il s'agit, pour les johannistes français, de remercier la Russie pour son action en faveur de la protection des chrétiens d'Orient.

  • Nancy commémore le bicentenaire du Congrès de Vienne (1815-2015) le 30 septembre

    >> Le colloque sur le bicentenaire du Congrès de Vienne a lieu mercredi 30 septembre 2015 dans le Grand Salon de l'Hôtel de Ville de Nancy.

  • Nancy : 150e anniversaire du Couronnement de Notre-Dame de Bonsecours

  • Rentrée des Europa-Scouts nancéiens à Laneuvelotte le 2 octobre 2015

  • IIèmes Journées johanniques à Notre-Dame de Bermont les 26-27 septembre 2015

    Samedi 26 et dimanche 27 septembre 2015

    IIèmes journées johanniques de Bermont (Greux – Domremy)

    Le thème de ces IIèmes journées est celui du « Conseil » de Jehanne. Ce phénomène surnaturel est un signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut à son époque et aux siècles suivants.

    Un hommage spécial sera réservé à Régine Pernoud dont l’œuvre et les recherches sur Jehanne d’Arc restent une référence.

     

    Samedi 26 septembre

    13h30 : accueil des participants, à l’ermitage de Bermont

    14h00 : conférence sur « Jehanne en ses conseils : l’aide de la clarté angélique », par Monsieur l’abbé Patrick du Fäy, recteur du séminaire de la Fraternité Saint-Pierre à Wigratzbad

    16h00 : conférence sur « Les voix au travers de l’art : peinture, sculpture, vitrail » par Marie-Paule Renaud, historienne, rédactrice de la « Lettre d’informations Présence de Jehanne d’Arc ».

    18h00 : conférence sur « Régine Pernoud, sa vie et son œuvre » par Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, historienne, conservatrice du Musée d’histoire de la Médecine à Paris

    Dimanche 27 septembre

    10h00 : solennité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, patronne secondaire de la France. Messe selon le rite extraordinaire de l’Église, à l’intention des chrétiens persécutés

    Le RP Jean Bosco, bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph de Clairval, bénira les deux statues qu’il a sculptées pour la chapelle (sainte Clotilde et sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus).

  • Nancy : en hommage aux hommes du 26e RI

    Une cérémonie commémorative et une conférence organisées à l’initiative des membres de la Légion d’honneur.

    En hommage au sacrifice des combattants du 26e régiment d’infanterie et de la 11e division qui livrèrent les combats héroïques (dits du « Grand Couronné ») les 25 et 26 août 1914, la section 54 de la société des membres de la Légion d’honneur, présidée par le colonel Daniel Bitsch, organise une cérémonie commémorative d’envergure le vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati – Mouton Noir à Vitrimont.

    « Les hommes du 26e RI ont contribué à mettre les forces allemandes en échec. Celles-ci voulaient s’emparer de Nancy », explique le colonel Bitsch. « Elles avaient même projeté de défiler en septembre dans les rues de la cité et de remettre les clés de la ville à l’épouse de Guillaume II sur la place Stanislas. Les combattants français ont sauvé la ville, mais ont payé un lourd tribut. La bataille du Couronné a fait 40.000 morts ».

    Cette cérémonie d’envergure qui aura lieu en présence de nombreuses autorités civiles et militaires se déroulera en plusieurs étapes. Tout d’abord une évocation historique du président du comité d’entraide des membres de la Légion d’Honneur des combats du Grand Léomont, un dépôt de gerbes, la sonnerie aux morts, la minute de silence, le refrain de la Marseillaise et le traditionnel vin d’honneur.

    Le lendemain, samedi 26, une autre évocation des soldats du 26e RI donnera lieu à une conférence à partir de 10h00 dans les grands salons de l’Hôtel de Ville de Nancy. Président du Groupe Blandan et de l’amicale des anciens du 26e RI, le colonel Pierre Geoffroy évoquera le souvenir de ce régiment aujourd’hui dissous, installé au cœur de la ville depuis 1873, et plus particulièrement son action héroïque au cours de la Grande Guerre.

    Rappelons que le colonel Pierre Geoffroy est l’auteur d’un livre historique sur le 26e RI, « Qui s’y frotte s’y pique », lequel lui a valu, au moment de sa sortie, d’être distingué par l’Académie Stanislas.

     

    ‡ Cérémonie commémorative vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati. Conférence du colonel Pierre Geoffroy samedi 26 septembre à partir de 10h00 dans les grands salons de l’hôtel de ville de Nancy.

  • A Epinal, la fraternité est une image, et bien plus encore

    Quatre édifices, quatre religions, des femmes et des hommes de bonne volonté qui militent pour la tolérance et le dialogue en réponse à la folie des fondamentalistes musulmans : ce n’est pas une image d’Epinal. Et c’en est une quand même.

    Le dévoilement d’une nouvelle image dans les locaux de la « Vieille Dame du quai de Dogneville » n’aura donné lieu à autant d’émotion. C’est en présence de nombreuses personnalités et de représentants des communautés musulmane, juive, catholique et protestante qu’a été présentée lors des Journées du Patrimoine la dernière création du talentueux imagier spinalien Jean-Paul Marchal qui marque là son grand retour à l’imagerie. Une image dans la tradition des graveurs et illustrateurs qui est un cri contre l’intolérance, soulignée par cette phrase : « Mieux vaut allumer une bougie que de maudire l’obscurité ».

    Sur cette image, on reconnaît la mosquée d’Epinal, la basilique Saint-Maurice, la synagogue et le temple protestant. Quatre lieux de culte que les représentants et membres des quatre religions ont visités avant de rejoindre l’imagerie. Il y a quelques mois, des hommes mouraient pour des dessins, aujourd’hui d’autres se rapprochent par une image qui est bien plus que symbolique.

    « Au départ, nous devions éditer une image à l’occasion de la création de la nouvelle mosquée d’Epinal. Cela pour banaliser ce lieu de culte que l’on veut ouvert à tous. Mais notre initiative a été rattrapée par l’actualité. Alors est né le projet d’une image prouvant la volonté d’une coexistence harmonieuse entre tous les humains, sans distinction de race ou de religion. Car la meilleure façon de se connaître est de construire ensemble » explique Othmane Amri, président de l’association culturelle des musulmans des Vosges.

    Une main tendue qui a donc été saisie par les communautés catholique, protestante et juive. Une évidence pour Léon Siméoni, représentant de la communauté israélite : « Cette idée est originale, peut-être unique en France… Au lieu de se replier en se sentant stigmatisée, la communauté musulmane s’ouvre ici aux autres et ravive l’espoir d’une communauté fraternelle. »

    Rapprochement, connaissance de l’autre, respect sont autant de notions dont l’évocation a éclairé l’image dévoilée. « Un moment de communion », comme l’a désigné le député-maire Michel Heinrich.

    [d'après Vosges Matin]

  • Nancy inaugure la porte Saint-Georges restaurée

    « Nous sommes réunis pour mettre à l’honneur une vieille dame dont le début de la construction a débuté en 1604 ». Françoise Hervé, adjointe nancéienne au patrimoine, dans la salle habituellement occupée par le Cercle du travail, lançait l’inauguration de la porte Saint-Georges restaurée.

    L’élue a rappelé l’histoire de ce monument qui, « sans un comité de soutien lancé par Emile Gallé rejoint par Victor Hugo, a bien failli être démolie pour laisser passer le tramway hippomobile ». Françoise Hervé a aussi souligné que ce « remarquable édifice » portait le nom du « patron de toute la chevalerie chrétienne occidentale vénéré tout particulièrement par les ducs de Lorraine ; Nancy possédant une ancienne collégiale – aujourd'hui disparue -, une rue, une église, une école dédiées au saint chevalier ».

    Puis, Armand Chapuis, président du Cercle du travail, a exprimé sa satisfaction avant de céder la parole au directeur territorial d’ErdF, à Mathieu Klein, président du Conseil départemental, à André Rossinot, président du Grand Nancy, et, pour clore le tout, à Laurent Hénart, maire de Nancy. Tous les partenaires de l’opération de restauration dont le coût s’élève à 1.489.882 € TTC, ont salué le travail accompli sous l’égide de Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques.

    Le chantier de restauration de la porte, inscrit dans le projet « Nancy Renaissance », a commencé en février 2013. Il a permis de mettre en valeur des remparts côté Est, avec le déplacement du transformateur électrique repositionné dans l’emprise de la porte Saint-Georges, avec le concours du concessionnaire ErDF. Cela a permis d’offrir une nouvelle visibilité des remparts de la ville au-devant de l’édifice et l’ouverture d’une ruelle entre l’avenue du XXe Corps et la rue Saint-Georges.

    Le chantier a également permis de restaurer les deux façades et la voûte en briques, d’aménager la cour d’accès au Cercle du travail au 1 rue Drouin, de mettre à jour les vestiges d’un mur ancien et de les intégrer au nouvel escalier d’accès aux locaux de l’association. Par ailleurs, un ascenseur a été installé pour les personnes à mobilité réduite et la terrasse intermédiaire du monument a été aménagée en un petit théâtre de plein air. Un aménagement réalisé avec l’intervention de personnes du chantier d’insertion du Grand Sauvoy.

    Le public est invité à découvrir ce week-end la porte Saint-Georges restaurée et ses aménagements, ainsi que deux expositions temporaires installées place du Colonel-Driant jusqu’au 31 décembre : « Le sauvetage de la Porte Saint-Georges » et « L’aventure du chantier ».

     

    > Samedi 19 septembre : portes ouvertes de 10 h à 19 h, et à 16 h, rétrospective 1900 avec une chorale par Gilles Provin.

    > Dimanche 20 septembre : portes ouvertes de 10 h à 19 h avec présentation des activités du Cercle du travail, visite commentée de la porte à 14 h 30, et conférence sur l’étude archéologique, l’histoire et la rénovation de la porte par Pierre-Yves Caillault et Rémy Jude.

    [source : d'après ER]

  • La chapelle de Moncourt à Clérey-la-Côte

  • Nancy : conférence de Eric Letty et Guillaume de Premare le 24 septembre

  • Lignéville (88) : un panneau pour guider le visiteur vers la chapelle Saint-Basle

    [Vosges Matin]

  • La fête annuelle de la cité de La Mothe

    [L'Abeille]

  • Bruyères (88) : l'oratoire de la Ferme des Anges mis en valeur

  • Les bâtons de procession à Trampot (88)

    > Conférence par Mireille-Bénédicte Bouvet, conservateur à l’Inventaire général de Lorraine, jeudi 17 septembre à 20h30 dans l’église de Trampot (ouest vosgien) sur le thème : « Un patrimoine méconnu : les bâtons de procession »

    > Exposition inédite d’une  série des statuettes ornant des  bâtons de procession samedi 19 septembre (10h00-12h30 et 14h00-18h30) et le dimanche 20 septembre (11h00-18h00)

    Entrée libre.

  • Nancy célèbre le 71ème anniversaire de sa Libération

  • Saône Lorraine : L'enfance costumée aux XIXe-XXe siècles à Hennezel en 2016

    En 2016, l'association Saône Lorraine présentera une exposition temporaire au musée du verre, du fer et du bois de Hennezel-Clairey sur le thème de "L'enfance costumée aux XIXe-XXe siècles".

    Afin d'enrichir cette rétrospective, les animateurs recherchent des costumes d'enfants couvrant cette période mais également des photographies ou tout document représentant des enfants costumés ou déguisés à l'occasion d'événements familiaux, scolaires, religieux ou festifs, jusqu'aux années 1950 (et si possible localisés en Lorraine).

     

    Δ Pour tout renseignement, contactez Jean-François Michel, président de Saône Lorraine : jean-f.michel@wanadoo.fr  

  • Dans l'atelier du graveur et imagier vosgien Jean-Paul Marchal

    Rencontre récente avec le maître graveur et imagier, Jean-Paul Marchal, dans son atelier sur les hauteurs d'Epinal.

    Notre artiste vosgien a toujours un projet de création d'avance : il travaille actuellement à une gravure sur bois représentant les différents lieux de culte d'Epinal (basilique Saint-Maurice, temple protestant, synagogue et mosquée) qui symbolisera la fraternité entre les religions et les croyants. Cette gravure sera présentée officiellement lors des Journées du Patrimoine de septembre prochain au musée de l'Imagerie.

    Le bonhomme prépare aussi une exposition d'oeuvres gravées anciennes revues et aménagées par le maître à la façon du célèbre graveur japonais Hokusai, pour lequel Jean-Paul Marchal voue une grande admiration.

    Son actualité, c'est aussi le versement de ses bois gravées aux archives départementales des Vosges (1867 au total !) : ceux-ci seront répertoriés, dûment décrits et numérisés afin de pouvoir être consultés par les chercheurs et le grand public.

    Un artiste de grand talent assurément. Et tellement attachant !

  • Arielle Dombasle sur la terre de ses ancêtres

    De passage en Lorraine à l’occasion des deux représentations de la Traviata qu’elle a mise en scène au château d'Haroué, Arielle Dombasle a profité de quelques heures de liberté pour se rendre sur la terre de ses ancêtres.

    Averti de sa venue à Dombasle-sur-Meurthe, le maire David Fischer l’a accueillie près du buste de Mathieu de Dombasle qui trône sur la place de l’ancien château de la Mothe. Cette demeure féodale avait été acquise en 1769 par Joseph-Antoine Mathieu, Grand Maître des Eaux et Forêts du duché de Lorraine, dont le père Nicolas Mathieu avait été anobli en 1724. Le fils de Joseph Antoine, Christophe-Joseph-Alexandre Mathieu de Dombasle, s’est rendu célèbre par ses études et ses travaux d’agronome en inventant un modèle de charrue. Propriétaire du château et bien qu’habitant Nancy, il venait régulièrement à Dombasle pour faire des essais avec sa charrue. Il a beaucoup travaillé également à la fabrication de cette charrue dans son atelier de Roville.

    Arielle Dombasle était très émue de retrouver la place du château de ses ancêtres. Elle a également visité l’église dédiée à saint Basle. Le maire lui a remis un livre sur le château de la commune écrit par Gérard Bergé et Michel Caps. Les derniers murs de ce château qui avait subi les affres du temps ont été démolis en 1965. Une plaque commémorative située place de la Liberté rappelle l’histoire du château.

    [d'après ER]

  • Luxeuil-les-Bains (70) : De Colomban à Luxeuil, de Luxeuil à l'Europe, des manuscrits en héritage (VIIe-XVIIe s.)

  • Alfred Renaudin s'expose au château de Lunéville

    En préfiguration du 150ème anniversaire de la naissance d'Alfred Renaudin (1866-1940), qui sera célébrée en 2016, le château de Lunéville présente une remarquable exposition des œuvres de cet artiste peintre lorrain, témoignant de la variété de ses talents.

    Expo' à voir jusqu'au 27 septembre 2015.

  • Val-et-Châtillon (54) : Journées du patrimoine naturel les 19-20 septembre 2015

  • Etat des lieux des châteaux des Vosges à l'abbaye Saint-Maur

    Le conférencier, Jean-François Michel, a brossé un tableau plutôt positif de l'état des demeures historiques vosgiennes [cl. ©H&PB].

    La vie des châteaux vosgiens n'est pas un « long fleuve tranquille ». Jean-François Michel en a décrit les heurs et les malheurs lors d'une passionnante conférence-diaporama à l'abbaye Saint-Maur.

    Si la Lorraine méridionale recense une centaine de châteaux et demeures historiques, seulement une poignée a retenu l'attention du conférencier afin de dresser un état des lieux de ces édifices emblématiques du patrimoine départemental.

    Après une période de mépris et habillés de légendes fantaisistes, nos châteaux vosgiens connurent leurs « trente glorieuses » grâce aux Journées du Patrimoine, au développement de l'archéologie et aux travaux de recherches universitaires. Et à la ténacité de propriétaires audacieux !

    A la faveur d'une mutation, plusieurs édifices castraux connurent une valorisation comme à Epinal, Fontenoy-le-Château, Parey-sous-Montfort ou Bourlemont. L'ouverture au public a aussi permis de mieux faire connaître certains châteaux (Thuillières, Darney, Beaufremont). Grâce à la ténacité de leurs propriétaires, d'autres connaissent de belles résurrections comme à Failloux ou au Bouzillon.

    Grâce à l'action de la Fondation du Patrimoine, certaines bâtisses connaissent des restitutions encourageantes comme à Dombrot-le-Sec, ou des restaurations discrètes mais de bon goût comme à Lichecourt et Sandaucourt. Malheureusement, on déplore plusieurs châteaux amputés comme à Saint-Baslemont, dégradé par plusieurs incendies, ou Les Petits-Thons, déménagé en partie aux Etats-Unis au début du XXe siècle...

    Jean-François Michel s'est aussi inquiété de l'avenir de plusieurs châteaux en cours de mutation : Pompierre, Senones, Isches, Vaudeville, Saulxures-les-Bulgnéville, et a partagé son indignation face à l'abandon d'autres, et notamment celui de Saulxures-sur-Moselotte qui est désormais à l'état de ruines.

    Globalement, le conférencier, qui est aussi délégué régional des Vieilles Maisons Françaises, s'est dit plutôt optimiste sur l'état général des demeures historiques vosgiennes ; il travaille d'ailleurs à un ouvrage à paraître fin 2015 qui fera le point sur ces châteaux et belles demeures des Vosges qui méritent d'être mieux connus. Pour être mieux appréciés.

  • Serécourt (88) : bistrot insolite pour néerlandais de passage... et pour les autres aussi !

    Avant de créer son bar à tapas « Le Côtedazur » à Serécourt, dans l'extrême sud-ouest vosgien, Paul Vink a exercé le métier de designer graphique. Sa compagne, Christine Van Kleef, travaille toujours dans l’événementiel à Amsterdam.

    Après avoir retapé l’ancienne gare de Monthureux-sur-Saône, dont ils ont fait un gîte, ce couple de Hollandais amoureux du coin, a racheté, il y a quatre ans, une maison en ruine au 44 Grande-Rue à Serécourt.

    « C’était une ancienne forge abandonnée depuis 20 ans , raconte Paul. Pour les Hollandais, c’est à mi-chemin de la Côte d'Azur et le projet, c’est de faire des chambres d’hôtes à l’étage pour leur offrir une étape sur la route des vacances. »

    Après une formation à Epinal pour la licence III, il a ouvert son établissement en août 2014. Les premiers clients ont été tout de suite séduits par le charme de cette vieille bâtisse. Une réhabilitation soignée, valorisant la pierre et le bois, a permis de lui redonner tout son cachet.

    Réparti sur deux étages, l’espace est étroit, feutré, aménagé avec goût. Accueillante, la petite terrasse en bois invite à profiter des longues soirées d’été pour partager un apéritif en famille ou entre amis. La bière est servie à la pression ou à la bouteille. Le vin a été sélectionné avec soin. Et le patron a revisité la culture culinaire espagnole, pour faire des tapas sa spécialité.

    De passage dans la localité, très curieux de pousser les portes d’une maison qu’ils ont connu dans un triste état, Josette Jacquin et ses enfants, ont applaudi cette belle restauration. En terrasse, on pouvait également discuter avec les propriétaires de l’ancien presbytère, accompagnés d’un jeune couple qui vit à Paris.

    « On est très heureux qu’il y ait ce petit bistrot avec des patrons sympas comme ça et d’y croiser des gens de tous horizons. Il faut leur permettre de vivre. Ça dynamise une commune de 120 habitants. Ça permet de faire connaissance. Nous sommes ravis. Pourvu que ça dure ! »

    Vosgien depuis 15 ans, le peintre et graveur Bob Tenge, est aussi un habitué des lieux. Ancien maître de conférence à l’académie des Beaux-Arts à Amsterdam, son œuvre est accrochée aux cimaises de quelques musées hollandais. Ses sources d’inspiration sont les relations humaines. « C’est merveilleux qu’il y ait un endroit comme ça, pour voir du monde et sortir du quotidien , atteste celle qui partage sa vie. Je recommande sa cuisine aussi. »

    [d'après Vosges Matin]

  • Bleurville (88) : les Amis de Saint-Maur en AG

    Les Amis de Saint-Maur ont tenu récemment leurs assises annuelles dans le cadre de l'ancienne abbatiale bénédictine du village.

    L'assemblée générale a rassemblé une quarantaine d'adhérents qui a entendu le président Alain Beaugrand rappeler les moments marquants de la saison 2014 à l'abbaye Saint-Maur et la trésorière Marie-Alix Baudry dresser le bilan financier de la doyenne des associations patrimoniales de la région.

    Un monument toujours animé. Le site a connu une fréquentation touristique stable avec cependant une tendance à la baisse depuis quelques années. L'absence de groupes de visiteurs explique en partie cette situation. Par ailleurs, les manifestations culturelles ont connu encore une bonne participation, notamment lors de la prestation du Choeur d'hommes de Nancy et du récital de musique Renaissance donné par Isabelle Frizac. L'exposition de peintures de Lina Blanc a permis à de nombreux visiteurs de découvrir le monument historique.

    Un bilan financier sain. L'association des Amis de Saint-Maur présente une situation financière saine mais plusieurs alertes ont été lancées par le président. « Nous devons faire face à une érosion du nombre de nos adhérents, les nouveaux ne compensant pas les départs. Par ailleurs, le désengagement financier massif des collectivités territoriales nous empêche d'envisager des projets de restauration voire de simples interventions de maintenance courante sur le bâti : cette situation obère gravement l'avenir de notre monument » a déclaré le responsable de la structure.

    Un appel est lancé auprès des adhérents afin qu'ils recrutent de nouveaux membres et qu'ils participent plus activement à la vie de l'association. Par ailleurs, Evelyne Barjolle ne souhaitant pas continuer à assurer le gardiennage de l'abbaye en 2016, l'association recherche d'ores et déjà un ou une guide pour la prochaine saison.

    Enfin, il a été décidé d'augmenter légèrement le montant de la cotisation de base, celle-ci n'ayant pas été révisée depuis plus de 20 ans.

     

    L'abbaye Saint-Maur est ouverte au public jusqu'au 30 août, du jeudi au dimanche de 14 h à 18 h.

  • Charmes rejoue la signature du traité de 1633

    Par ce désastreux traité signé le 20 septembre 1633, le duc de Lorraine Charles IV se voit contraint de signer à Charmes devant Richelieu, l'abandon du duché de Bar qui demeure occupé jusqu'à la prestation de l'hommage exigé, et le duc doit céder Nancy aux Français. Il s'engage de surcroît à livrer au roi sa soeur Marguerite, réfugiée à Bruxelles.

  • De jeunes pèlerins de la mémoire

    [Vosges Matin]