Loisirs et animations - Page 25
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Nancy : place nette pour les travaux du nouveau Musée lorrain
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La vache Vosgienne devient une marque
[VM]
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Chaumousey (88) : des cartes postales pour restaurer l'église
[Vosges Matin]
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Les 30 ans de l'association du Pays des Trois Provinces
[Vosges Matin]
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"La Sainte Couronne d'épines, une passion française", une conférence de Jacques Charles-Gaffiot
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Présentation des "Cahiers haut-marnais" à Joinville (52)
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Lignéville (88) : inauguration de la chapelle Saint-Basle restaurée
La restauration de la Chapelle Saint-Basle de Lignéville (canton de Vittel) est à présent quasiment achevée.
Sans attendre la fin complète des travaux, municipalité, association de sauvegarde et paroisse ont inauguré officiellement la restauration de la chapelle ce lundi de Pâques 2015 en présence des autorités locales et de tous les partenaires qui ont contribué à cette opération patrimoniale.
Monseigneur Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié, a béni la chapelle restaurée et a célébré la messe avec le clergé local en présence d'une nombreuse foule de fidèles.
‡ Plus de photos de la cérémonie ici https://plus.google.com/photos/102015595613545362744/albums/6134876356963945745?banner=pwa&authkey=CLbVifywsdSKcA
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Des américaines à Bleurville : à la recherche de l'ancêtre vosgien
Trois générations de descendants américains de Jules Grandclair ont découvert le village vosgien de leur ancêtre [cl. Rita Jackson Shirley].
Grâce aux « réseaux sociaux » et Internet, des descendants américains d'un immigrant Bleurvillois de la fin du XIXe siècle ont découvert le village de leur ancêtre.
« Madame Rita Jackson Shirley, qui réside à Mentone dans l'Alabama, m'a contacté en février par l'intermédiaire de la page Facebook de l'abbaye Saint-Maur. A l'occasion de son voyage en France, elle voulait découvrir Bleurville et l'ancienne abbaye du village, lieux qu'avait fréquenté son bisaïeul dans la deuxième moitié du XIXe siècle » rappelle Alain Beaugrand, président des Amis de Saint-Maur et historien du village.
Malgré la barrière de la langue, nos hôtes d'Outre-Atlantique ont pu découvrir l'ancienne abbaye Saint-Maur et son musée de la piété populaire, grâce à l'accueil assuré par Evelyne Barjolle, guide bénévole membre de l'association des Amis de Saint-Maur. Les descendants de l'ancêtre bleurvillois, Rita, la mère, Angela Young, la fille, et Odessa, la petite-fille – trois générations réunie ! – étaient très heureuses de retrouver leurs racines vosgiennes et l’environnement dans lequel a vécu l'arrière-grand-père de Madame Jackson Shirley. Jules Grandclair a en effet quitté Bleurville pour les Etats-Unis d'Amérique après la guerre franco-prussienne de 1870 qui accéléra l'exode rural des manouvriers et petits paysans vers l'Algérie et, en l'occurrence, en Amérique du Nord.
Jules Nicolas Grandclair est né à Bleurville en 1854 dans une famille de modestes paysans et d'artisans installée au village depuis la fin du XVIIIe siècle : son père, Isidore Grandclair était manœuvre, et sa mère, Marguerite Mélanie Levieux, tenait le foyer. Son grand-père paternel, Joseph Grandclair, décédé en 1833 était cultivateur et un de ses oncles maternels, André Clément Levieux, était charron au village. Jeune veuf, Isidore Grandclair fut semble-t-il du voyage avec son fils, car l'état civil de Bleurville ne conserve pas trace de son décès...
Rappelons que l'ancienne abbaye bénédictine – transformée en remise agricole à partir de 1794 – fut la propriété de la famille Grandclair au cours du XXe siècle jusqu’à son rachat en 1973 par l’abbé Paul Pierrat. D’ailleurs, elle a toujours pour voisine, Solange Richard, née Grandclair, une lointaine cousine de Rita Jackson Shirley !
Après 1870, nombre de nos compatriotes de la Vôge et de la plaine vosgienne s'expatrièrent en Amérique : Jules Grandclair partit semble-t-il en 1874 à l'âge de 20 ans. Il épousa en 1876 Frances Desbœufs, fille de Joseph Adamas Desboeuf - vieille famille installée à Bleurville dès avant la guerre de Trente Ans - marié à une certaine Geneviève Elisabeth, jeune femme probablement issue de la communauté vosgienne immigrée (le prénom donné à leur fille rappelle la nostalgie de la mère patrie !). Il était issue d'une famille d'artisans maçons, profession exercée par son père, André François Desbœuf (1805-1848) et sa mère, Élisabeth Rousselot (1797- ?), était également issue d'une vieille famille bleurvilloise.
Le couple de pionniers s'installa à Saint-Francisville, dans l'Illinois, où Jules fut tout d'abord fermier avant d'entrer dans une compagnie de chemin de fer, activité qui connaissait alors un formidable développement.
Jules Grandclair connaît toujours une certaine célébrité dans cette petite cité du centre-est américain : une stèle, érigée lors de l’installation d’une réplique de sa cabane de pionnier, en rappelle le souvenir. Cette réplique de bâtisse d'immigrants français a été construite en 1984-1985 à Saint-Francisville à l’initiative d’un petit-fils de Jules Grandclair, Steve Cunningham.
[sources : informations transmises par Mme Rita Jackson Shirley, Archives départementales des Vosges, généalogie Bisval sur www.genealogie-bisval.net]
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Les crécelles vosgiennes de la Semaine Sainte
Semaine pascale, temps des crécelles... Sauf que cette tradition tend à se perdre dans nos paroisses rurales.
Il est de tradition liturgique qu'au chant du Gloria de la messe du Jeudi saint les cloches se taisent jusqu'à la nuit de la vigile pascale, nuit de la résurrection du Christ. Pendant ce temps court, les enfants de choeur remplaçaient les sonneries par le bruit des crécelles (ou bruants, dans nos Vosges) en annonçant angélus et offices religieux.
Désormais, plus de servants de messe, plus de crécelles, plus de tradition.
Saluons les "villages gaulois" qui résistent à cette disparition et, notamment la paroisse de Lignéville, dans le sud-ouest vosgien, qui continue vaille que vaille à maintenir vivante cette tradition pascale !
Et après l'effort, le réconfort avec la tournée (ou "roulée") des enfants de choeur qui se voient offrir friandises, menues piécettes... et des oeufs !
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Saône vosgienne : la Compagnie L'Odyssée prépare son 20ème anniversaire
[Vosges Matin]
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Le Génie aux Eparges (1914-1918)
Vendredi 3 avril 2015 à 20h00 au C.I.D. de la Menelle, commune de Pierre-Percée (54) :
Le génie aux Eparges (1914-1918), sapeurs et pioniere face à face dans les entrailles de la butte
par Nicolas Czubak
Nicolas Czubak évoquera le combat mené par les différentes unités du Génie français et allemand pendant ces quatre années de guerre pour tenter de conquérir le petit éperon des Hauts de Meuse. Il aborde la fixation du front et présente les différentes compagnies du Génie participant aux grands assauts menés de février à avril 1915. En s’appuyant sur des témoignages et de nombreuses photographies, il développe les différentes phases de la féroce guerre des mines qui opposa les sapeurs aux Pioniere jusqu’en août 1918. Il décrit les formidables aménagements allemands (et notamment ceux du « Combrestunnel »), transformant la crête des Éparges en une véritable forteresse.
Suivra un état des lieux du patrimoine encore bien visible sur la crête, des énormes entonnoirs de mines jusqu’au monument du Génie.
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Hennezel (88) : succès du 8ème marché de Pâques de Saône Lorraine
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Darney (88) : "Le déjeuner préhistorique" le 3 avril avec le Centre d'animation de la préhistoire
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Les Journées européennes des métiers d'art à Domremy
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Hennezel (88) : marché de Pâques au Musée
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Mirecourt (88) : un riche patrimoine architectural à sauvegarder et à valoriser
Une cour intérieure à Mirecourt.
Jean-Paul Rothiot, président des Amis du Vieux-Mirecourt Regain, souhaite que le patrimoine architectural de la ville soit davantage mis en valeur. Avec l’aide de la collectivité et des particuliers également.
« Mirecourt doit devenir une grande ville touristique grâce à son patrimoine architectural… ». Infatigable et intarissable à l’heure de parler patrimoine et vieilles pierres, Jean-Paul Rothiot, président des Amis du Vieux-Mirecourt Regain, ne lance pas ces paroles en l’air. « Mirecourt, ville médiévale qui s’est développée à la Renaissance, ville qui a souffert de la guerre de Trente Ans, redevenue belle et grande au XVIIIe siècle, avec un développement en direction de la gare à la fin du XIXe. Sans oublier toutes les transformations après la Seconde Guerre mondiale… D’où une richesse architecturale exceptionnelle ».
L’historien connaît son sujet sur le bout des doigts. Des toitures aux caves en passant par les cours intérieures, le Vieux Mirecourt n’a plus de secret pour lui et ses Amis. Ou presque. Preuves à l’appui avec une foule de publications et de bulletins, fruits des Journées d’études vosgiennes, mais aussi de nombreuses heures passées sur le terrain ou dans les archives. Alors l’idée de développer davantage encore un tourisme basé sur le patrimoine architectural n’est peut-être pas si utopique que cela.
« On en a les moyens », assure Jean-Paul Rothiot. « Grâce à l’Avap (aire de mise en valeur de l’architecture et du patrimoine) qui va protéger notre patrimoine et qui a permis un recensement et une analyse de tout un ensemble de constructions au centre-ville ; grâce à quatre grands panneaux, un par période (médiévale, Renaissance, XVIIIe et XIXe siècles), réalisés avec le concours de François-Xavier Rose et financés par la Communauté de communes, en passe d’être installés sous les halles ».
Mais pas seulement. « Des caves à deux niveaux en raison de la déclivité du terrain, des cours intérieures exceptionnelles, des ensembles de belles maisons… Mirecourt regorge de bâtisses pittoresques que nous avons l’intention de signaler par des panonceaux ».
Mais pour aller au bout des choses, le concours des uns et des autres doit encore être acquis. « Par les propriétaires qui n’ont pas encore tous accepté qu’un panonceau soit apposé sur leur bien, par ceux concernés par de belles cours intérieures invités à les ouvrir ; et pour qu’on les aide aussi à les réhabiliter, les seules subventions du moment s’attachant aux façades ». « Mais comme Paris, Mirecourt ne s’est pas fait en un jour », conclut Jean-Paul Rothiot avec le sourire, devant un stock de bulletins de son association, destinés à être distribués en petits lots aux futurs touristes et aux Mirecurtiens.
[d'après Vosges Matin]
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Contrexéville (88) : "Des Francs aux Mérovingiens : l'histoire de Gunderic"
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Les Amis d'Alfred Renaudin acquièrent une des ses oeuvres
[ER]
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Essey-lès-Nancy (54) : une clinique au secours de l'église paroissiale
Clocher de l'église d'Essey-les-Nancy.
Acteur local déjà engagé depuis près de 10 ans dans des démarches de mécénat, la Clinique Louis Pasteur d'Essey franchit une nouvelle étape en s’impliquant dans la sauvegarde de l’église Saint-Georges d’Essey-lès-Nancy.
Une convention de mécénat sera signée ce mardi 17 mars 2015 entre la clinique, l’association ‘’Atelier Mémoire d’Essey’’ et la Fondation du Patrimoine. La clinique s’engage ainsi à hauteur de 5 000 euros qui contribueront à la remise en état de la tour du clocher de cet édifice inestimable pour le patrimoine de la commune.
Classée monument historique depuis 1990, riche d’un mobilier également classé dont un orgue Verschneider de 1861 et ornementée de tableaux du XXe siècle, l’église Saint-Georges, deuxième édifice le plus ancien du Grand Nancy, dressée au cœur du vieux village d’Essey-lès-Nancy, est victime des atteintes du temps. Fissures, dégradations, le monument est aujourd’hui menacé de disparition tant sa structure est fragilisée.
Panser les plaies d’un édifice malade, une démarche quasi naturelle pour la clinique Louis Pasteur habituée à prodiguer assistance et soins. Ce patient pas comme les autres lui a été adressé par le Docteur Jean-Claude Laroche, Médecin à l’origine de la création de l’association « Atelier Mémoire d’Essey », passionné d’histoire et d’art. Si grâce à son action, les premières mesures de protection ont pu être prises par la municipalité, il est maintenant temps d’opérer ensemble pour un rétablissement pérenne du lieu de culte.
Attachée à son territoire, la clinique Louis Pasteur souhaite au travers de cette donation transmettre et sauvegarder un monument qui porte la mémoire de grandes étapes et évènements de la vie des habitants. Aux côtés de nombreux autres donateurs, habitants, associations, touristes ou anonymes, la clinique, solidaire de sa commune, entend ainsi apporter sa pierre à l’édifice.
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Monthureux-sur-Saône (88) : un cercle de lectrices en formation
[Vosges Matin]
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Metz : colloque sur "Soigner les corps, les esprits et les âmes pendant la Grande Guerre"
Samedi 28 mars 2015 à partir de 8 h 45 à l'Institution Jean-Baptiste-de-la-Salle (amphithéâtre des BTS) 2 rue Saint-Maximin à Metz
12ème colloque de Renaissance du Vieux Metz et des Pays Lorrains, l’Office national des Anciens combattants, le Souvenir Français et l’Institution Jean-Baptiste de la Salle
sur le thème :
"Soigner les corps, les esprits et les âmes pendant le grand conflit de la Première guerre mondiale" -
Contrexéville (88) : Insurrection poétique avec "Le Printemps des Poètes"
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Lignéville (88) : la chapelle Saint-Basle prépare l'inauguration officielle
[cliché © G. Salvini]
Rappelons que la chapelle Saint-Basle de Lignéville vient de bénéficier d'une restauration complète grâce notamment à l'action volontariste de l'association de sauvegarde présidée par Gilbert Salvini, de la commune et de la Fondation du Patrimoine.
Par ailleurs, des fouilles archéologiques, pilotées par le Cercle d'études locales de Contrexéville et réalisées dans le périmètre de la chapelle, ont permis de mettre au jour une nécropole mérovingienne ainsi que des substructions gallo-romaines.
L'inauguration de la chapelle restaurée aura lieu lundi 6 avril prochain lors d'une messe célébrée par Mgr Mathieu, évêque de Saint-Dié.
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Lignéville (88) : la chapelle Saint-Basle bénite le lundi de Pâques
[Vosges Matin]
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Bleurville (88) : réouverture du marché bio après la trève hivernale
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Bleurville (88) : Les Dames de Choeur d'Epinal à l'abbaye Saint-Maur le 5 juillet
L'abbaye Saint-Maur de Bleurville devrait accueillir le dimanche 5 juillet prochain à 16h00 un concert des Dames de Choeur d'Épinal.
Ce choeur amateur composé de vingt femmes a été créé en 2006 et est dirigé par Françoise André. -
Jeanne d'Arc revient au combat en 2015 à Domremy
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De Piou-Piou à l’ami Bidasse, la conscription sous la IIIe République
A l’issue de la guerre de 1870-1871, la France est un pays démoralisé et mutilé. Son armée est désorganisée et sa frontière sans défense. En à peine 40 ans se reconstitue une armée puissante avec des réserves où se renforce le sentiment d’appartenance à la nation française.
Le service militaire universel va être un facteur majeur de transformation personnelle et sociale ; il jouera un rôle plutôt néfaste dans la déchristianisation du monde paysan et ouvrier, favorisera l’exode rural mais aussi l’alphabétisation.
L’égalité devant le service militaire s’est construite progressivement : suppression du tirage au sort, réduction des cas d’exemption... Rite de passage souvent douloureux de l’adolescence à l’âge adulte, le service est aussi le temps des découvertes. C’est un homme changé qui termine son service ; le certificat de bonne conduite prenant l’aspect d’un certificat de virilité.
Du conseil de révision à « la quille », les différents moments du service sont illustrés par des images humoristiques qui en disent souvent bien plus que les images conventionnelles.
‡ Conférence animée par Jacques Bourquin, jeudi 5 mars 2015 à 20h00 à la mairie de Celle-sur-Plaine (88).
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Abraham Bloch, un grand rabbin dans la Grande Guerre
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Expo' "Alfred Renaudin" à Lunéville : à la recherche des oeuvres du peintre lorrain
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