Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La vie en Lorraine - Page 26

  • Ordination de deux Vosgiens à l'abbaye Saint-Joseph de Clairval

    clairval.jpgSamedi 22 novembre 2014, Frère Elie Marie a été ordonné prêtre et Frère David, diacre, à l’abbaye Saint-Joseph de Clairval de Flavigny-sur-Ozerain (Côte d'Or), par Mgr Roland Minnerath, archevêque de Dijon.

    Ces deux religieux bénédictins sont des anciens scouts de la troupe 1ère Epinal – Scouts et Guides Notre-Dame.

    Mgr Paul-Marie Guillaume, évêque émérite de Saint-Dié, était présent lors de cette ordination.

  • Saint-Mihiel (55) : 7ème université d'hiver "Les bruits et les rumeurs"

    st-mihiel1.jpg

    st-mihiel2.jpg

  • Le collège de Monthureux-sur-Saône veut rester en zone prioritaire

    collège.jpgEnseignants en grève, parents et élus du territoire se sont retrouvés ce jeudi 20 novembre devant le collège du Pervis de Monthureux-sur-Saône (sud-ouest vosgien) pour s’opposer à la sortie de l’établissement du réseau de réussite scolaire. Ils estiment que les indicateurs pris en compte par l’Éducation nationale aggravent les inégalités territoriales.

    Le collège du Pervis de Monthureux-sur-Saône – Darney est donné sortant de la nouvelle carte de l’éducation prioritaire (REP) présentée ce jour par le rectorat.

    L’établissement perdrait ainsi son classement en réseau de réussite scolaire (RRS). Une majorité d’enseignants – 13 sur 20 – se sont mis en grève pour protester contre ce qu’ils considèrent être « un abandon d’un territoire rural isolé », territoire déserté par les acteurs économiques et qui connaît une déprise démographique sans précédent…

    [info Vosges Matin]

  • Veillées pour la Vie le 29 novembre

    vie.png

    Rendez-vous à Nancy, place d'Alliance, le samedi 29 novembre 2014 à 14h30 !

  • Padoux (88) : le peintre des commémorations patriotiques

    peintre.jpg

    [Vosges Matin]

  • Nancy : Rosaire pour la Vie samedi 29 novembre 2014

    rosaire.jpg

    Le 29 novembre 2014, l’association nationale « SOS Tout Petits » fêtera son 28ème anniversaire. Le Rosaire pour la Vie a été instauré il y a quatre ans, un 27 novembre, jour choisi en raison de l’apparition de la Sainte Vierge à Catherine Labouré, rue du Bac à Paris, qui est à l’origine de la Médaille miraculeuse. 

    L'association vous invite à participer au rassemblement du Rosaire pour la Vie à

    Nancy

    samedi 29 novembre 2014 à 14h30

    place d’Alliance

     

  • Nancy (54) : les familles manifestent le 23 novembre 2014 sur la place Stanislas

    manif.jpg

  • Les conférences diocésaines d'hiver à Epinal

    aumonier.png

     

    Le diocèse de Saint-Dié reprend cette année un cycle de conférences sur l'histoire du christianisme dans les Vosges.

    Ces conférences sont ouvertes à tous et données par des historiens et universitaires spécialistes de l'histoire religieuse.

    Elle offre un éclairage sur des éléments ou moments-clés du passé chrétien du diocèse vosgien.

    Elle ont lieu à la Maison diocésaine, 29 rue François-de-Neufchâteau à Epinal.

     

    ‡ Plus d'info au 03 29 29 10 31 ou sdas@catholique-vosges.fr

     

    ‡ Le programme est à découvrir ici L'Eglise des Vosges dans l'histoire_ programme des conférences.pdf

     

  • Le label "Mission Centenaire" pour l'association Fortiff'Séré

    forts.jpg

    [Vosges Matin]

  • Madonne-et-Lamerey (88) : réhabilitation du calvaire de 1676

    calvaire.jpg

    [Vosges Matin]

  • La Neuveville sous Montfort (88) : une représentation de la légende de Saint Hubert

    Gilou Salvini, membre éminent du Cercle d'études locales de Contrexéville, nous fait partager ses découvertes archéologiques et historiques, glanées au fil de ses pérégrinations vosgiennes...

    lorraine,vosges,meuse,la neuveville sous monfort,les marats,les hauts de chée,saint hubert,gilou salvini,cercle d'études locales de contrexéville,renaissanceAujourd'hui, il nous fait découvrir une sculpture découverte par hasard, à La Neuveville-sous-Montfort, village de la plaine des Vosges, situé entre Vittel et Mirecourt.

    Cette sculpture utilisée en remploi dans le mur d'une maison, bien que mutilée, reste parfaitement lisible. Elle représente la chasse de Saint Hubert. Elle peut être datée de la fin du XVe siècle et met en scène la légende dans un tableau de pierre (55 cm x 55 cm) où deux piliers soutiennent un arc ornée de feuillage. Le saint est vêtu à la mode Renaissance et le cerf forcé est assailli par la meute. La croix lumineuse qui surmontait la tête du cervidé est détruite ainsi qu'une partie de l'ange annonciateur qui domine la scène. Contrairement à la sculpture conservée dans l'église des Marats (Meuse, commune regroupée des Hauts-de-Chée ) il n'y a pas d'arrière-plan arboré.

    lorraine,vosges,meuse,la neuveville sous monfort,les marats,les hauts de chée,saint hubert,gilou salvini,cercle d'études locales de contrexéville,renaissanceSi la similitude de ces deux représentations sculptées est frappante, c'est parce qu'il s'agit d’œuvres réalisées à partir d'un "carton", ou dessin modèle, circulant d'atelier en atelier afin d'inspirer les artistes, tout en imposant un thème qui soit conforme au style liturgique de l'époque, comme en témoigne, dans un autre genre, les nombreux et splendides retables de la chasse de Saint Hubert, appelée aussi "miracle de Saint Hubert".

    Cette sculpture pourrait provenir de l'ancienne église du village ou d'une chapelle.

    [texte et clichés : courtoisie de Gilou Salvini]

  • Le juge Pierre Michel vu par son frère

    juge Michel.png

    [Vosges Matin]

  • Mattaincourt (88) : la résurrection du presbytère de saint Pierre Fourier

    fourier1.jpg

    fourier2.jpg

    [Vosges Matin]

  • Les couronnes de l'Avent des Europa Scouts lorrains

    couronne.jpg

      

    Les traditionnelles couronnes de l’Avent fabriquées par les guides Europa Scouts de Nancy seront livrées le 1er dimanche de l’Avent 30 novembre 2014 sur le parvis de l'église Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc à Nancy.

    Les commandes peuvent être passées jusqu’au 19 novembre auprès de la cheftaine de groupe, Mme Géraldine Kimenau au 07.86.15.28.55 ou geraldine.kimenau@free.fr

     

    Pour commander, utilisez le bon de commande ici Bon de commande couronnes 2014.pdf

     

  • Les métiers d'hier et d'aujourd'hui à Monthureux-le-Sec (Vosges)

    monthureux.jpg

  • Une esplanade pour l'architecte de la reconstruction d'Epinal

    epinal.jpg

  • Commémoraison des Fidèles défunts

     

    défunts.jpg

    La messe de la commémoraison de tous les fidèles défunts est célébrée normalement le 2 novembre ; cependant si ce jour tombe un dimanche, elle se célèbre le 3.

     

    Requiem ætérnam dona eis, Dómine : et lux perpetua lúceat eis.

    [Introït de la messe de la commémoraison des fidèles défunts]

    Donnez-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière sans fin brille pour eux.

    Lundi 3 novembre 2014 à 18h30

    Messe chantée suivie de l'absoute

    en l'église Marie-Immaculée de Nancy

    (33 avenue Général Leclerc)

     

    messe,défunts,église catholique

    messe,défunts,église catholique

    Messe des défunts suivie de l'absoute célébrée en l'église Marie-Immaculée de Nancy le 3 novembre 2014 selon le rite extraordinaire de l'Eglise catholique.

     

  • Les Sœurs de la Doctrine chrétienne déménagent

    Vente aux enchères le 5 novembre dans les murs de la congrégation de la Doctrine chrétienne, rue Saint-Dizier à Nancy.

    une-huile-sur-toile-representant-sainte-anne-et-marie-d-apres-rubens-est-estimee-entre-1-000-et-3-000-photos-pierre-mathis.jpgC’est une page de l’histoire de Nancy qui se tourne. Les Sœurs de la Doctrine chrétienne déménagent et vendent une partie du mobilier de la congrégation. Non sans un pincement au cœur, car si la Congrégation des Sœurs de la Doctrine chrétienne a été fondée en 1717 à Toul, c’est en 1804 que les religieuses sont venues s’installer à Nancy, dans l’ancien couvent des Capucins. Leur mission première était l’éducation des filles pauvres. Leur fonction d’enseignement, elles l’ont assurée, sans discontinuer, jusqu’il y a deux ans. Malheureusement, si l’on comptait jusqu’à 3000 sœurs en Europe et en Algérie à la fin du XIXe siècle, elles ne sont plus que 430 aujourd’hui, et le centre de gravité s’est déplacé, puisque les communautés les plus nombreuses se trouvent désormais en Asie. À Nancy, elles sont environ 70, si l’on comptabilise celles qui dépendent de l’Institution Saint-Joseph. Dans les milliers de m² de l'ex-couvent des Capucins, elles n’étaient plus que cinq : sœurs Véronique, Viviane, Marie-Ghislaine, Malsook et Fabiola.

    lorraine,nancy,congrégation,doctrine chrétienne,soeurs,vatelottes,toulLes charges de chauffage et d’entretien devenaient disproportionnées. C’est donc, à regret, qu’elles ont été contraintes de vendre à la société Acapace, qui va réhabiliter les bâtiments pour en faire un foyer-résidence pour seniors de 100 logements. Les 5 sœurs ont, provisoirement, emménagé dans des appartements au-dessus de la pharmacie Saint-Nicolas, 147 bis rue Saint-Dizier, en attendant la fin des travaux de rénovation de leur nouveau lieu de vie, 40 bis rue Charles-III. Elles ont fait appel à Me Antoine Audhuy, commissaire-priseur de l’Hôtel Blandan, pour procéder à la vente aux enchères du mobilier du couvent. La vente aura lieu, sur place, le mercredi 5 novembre, à partir de 11h00. La visite s’effectuera une heure avant. Des professionnels pourraient être intéressés par le mobilier de la cuisine en inox datant de 2002. Quant aux particuliers, ils pourront acquérir des chaises, secrétaires, armoires lorraines des XVIIIe et XIXe siècles, et même un confessional qui a été estimé entre 400 et 600 €. Deux importants buffets à aubes, dont l’un contient un coffre-fort, pourraient trouver preneur autour de 100 €. Les armoires lorraines se négocieront entre 150 et 300 €. Deux œuvres d’art devraient intéresser les amateurs : un Christ en ivoire du XVIIIe dans un encadrement en bois doré (500 à 800 €) et une huile sur toile, dans son cadre d’origine, représentant sainte Anne et Marie d’après Rubens, que le commissaire-priseur a estimée entre 1 000 et 3 000 €.

    Mais le souvenir n’a pas de prix et il est certain que de nombreux Nancéiens auront à cœur d’acquérir un meuble de la congrégation, en tant que part du patrimoine de la cité et les générations de jeunes filles qui se sont succédé sur les bancs de l’institution voudront sûrement emporter une chaise ou un bureau. Sont à vendre également des objets en faïence et de la verrerie.

    [d'après ER]

  • Le Denier de l'Eglise en Lorraine

    denier eglise.gif

    Croyants et chrétiens, vous voulez que l'Eglise continue à annoncer l'Evangile dans notre monde sans repères et sans foi...

    Alors, n'oubliez pas que l'Eglise a besoin de moyens financiers pour continuer son œuvre d'évangélisation : alors, donnez au Denier de l'Eglise !

    Et pour cela rien de plus facile : déposez votre obole au presbytère de votre paroisse ou lors d'une messe.

    Il n'y a pas de petite contribution : tout don est le bienvenu. Souvenons-nous que ce furent les plus humbles de nos ancêtres qui construisirent les églises et les cathédrales que les siècles nous ont légué. Ils avaient peu d'argent, mais ils avaient une foi immense en Dieu...

     

    ‡ Pour nos lecteurs qui demeurent en Meurthe-et-Moselle, Monseigneur l'évêque de Nancy & de Toul s'adresse à ses diocésains à propos du Denier de l'Eglise : Lettres ouverte aux catholiques.pdf

  • Il y a 30 ans disparaissait le Père Aimé Duval

    duval.jpg

    [Vosges Matin]
  • Epinal : le cimetière médiéval surgit de terre

    Et que deviennent les restes humains exhumés lors de ces travaux ? Au-delà de l'aspect purement archéologique, ces ossements appartiennent à des chrétiens qui ont cru en la Résurrection ; il serait donc normal qu'ils soient déposés dans un cimetière... dans l'attente du Jugement dernier.

    epinal.jpg

    [Vosges Matin]

  • Nancy : le dernier miracle de Saint Nicolas pour son fidèle ami...

    Jacques Muller, le "saint Nicolas" des commerçants de la Vieille Ville de Nancy, est décédé dans le dénuement. Le quartier s’est mobilisé pour lui offrir des obsèques décentes. Dernier miracle de Saint Nicolas, le patron des Lorrains !

    sous-la-mitre-et-la-barbe-se-cachait-un-personnage-sympathique-unanimement-apprecie-dans-son-quartier-photo-dr.jpgIl aurait dû être inhumé dans le carré des indigents, alors même qu’il avait souscrit une convention d’obsèques. Mais Jacques Muller est décédé durant le délai de carence. L’assurance ne pouvait donc pas prendre en charge les prestations prévues dans le contrat. Il avait 74 ans. Les commerçants de la Vieille Ville se sont mobilisés pour collecter les fonds nécessaires. C’était un personnage sympathique, apprécié de son entourage, mais c’était un homme seul.

    Il a été retrouvé à son domicile, plusieurs jours après son décès. C’est sa voisine, inquiète de ne pas le voir depuis quelques jours, qui a alerté la police. Il n’avait plus de famille, seulement de lointains cousins. Chacune des personnes qu’il côtoyait détient une partie de l’histoire de ce personnage né en Alsace où son père était, semble-t-il, officier. Lui, avait travaillé dans le milieu artistique. D’abord à Paris, où il était costumier pour le théâtre et pour le cinéma, travaillant notamment pour la Paramount. Appelé durant la Guerre d’Algérie, il en était revenu avec le paludisme et des cheveux tout blancs. Il s’était alors installé à Nancy où il avait trouvé du travail chez les frères Mauchaussée, antiquaires-décorateurs, rue de Serre. Il était devenu leur intime et, à la mort de Paul Mauchaussée, il avait hérité, avec deux autres personnes, du Domaine des Eaux-Bleues à Liverdun ; un cadeau empoisonné, puisqu’avec les dettes et les droits de succession très élevés en l’absence de tout lien de parenté, Jacques Muller s’était retrouvé dans une situation financière délicate. Mais c’était un homme d’honneur et il avait tenu à régler tout ce qu’il devait. Sur sa petite retraite, il payait, rubis sur l’ongle, son loyer. C’est pourquoi, son propriétaire, lorsqu’il a appris le décès et le mouvement de solidarité, a tenu à apporter son écot.

    Il y a de très nombreuses années, Jacques Muller avait accepté d’être le saint Nicolas des commerçants de la Vieille Ville, distribuant les papillotes, avec douceur et bonhomie, début décembre. Lorsque Nathalie a contacté l’association, il n’y a pas eu un instant d’hésitation pour signer un chèque et chaque commerçant a, en plus, apporté son obole, à titre personnel. Jusqu’à l’atelier de vie de quartier, en sommeil depuis les dernières élections municipales, qui a prélevé quelques euros sur son compte. La Ville de Nancy a usé de son poids auprès des pompes funèbres pour obtenir un tarif spécial.

    Le clergé nancéien s’est également mobilisé pour offrir des obsèques catholiques à un homme de foi qui assistait aux offices à la cathédrale, mais s’occupait de l’animation paroissiale à Notre-Dame-de- Lourdes. C’est en la basilique Saint-Epvre, l’église de sa paroisse, que se dérouleront ses obsèques ce mardi 21 octobre à 10h00.

    [d'après ER]

     

     
     
  • Haréville-sous-Montfort se souvient 50 ans après...

    Il est aux alentours de minuit et quart en cette nuit du 27 juillet 1964. Un car, à bord duquel voyagent les membres d’un groupe folklorique de Perpignan, retourne dans le Sud après une longue tournée qui s’est terminée dans les Vosges.

    a-l-epoque-l-accident-avait-fait-la-une-la-liberte-de-l-est.jpgLe bus arrive aux abords du village d’Haréville-sous-Montfort, à quelques kilomètres de Vittel. A l’entrée de cette commune, la route décrit un virage dangereux qui enjambe la voie ferrée. Pour des raisons inexpliquées, le bus manque ce virage et heurte le garde-corps métallique du pont avant de l’arracher sur une quinzaine de mètres. Le véhicule fait un demi-tour sur lui-même et s’écrase, roues en l’air, d’une hauteur de 11 mètres sur la voie ferrée.

    Sur les 27 occupants du bus, seuls 7 vont survivre. Cette nuit-là, 20 personnes ont perdu la vie en contrebas de ce pont. Le plan ORSEC a immédiatement été déclenché. Les secours, médecins généralistes du secteur, les forces de l’ordre de toute la Plaine, ainsi que les militaires de la base de Contrexéville ont été mis à contribution pour sortir toutes les victimes prisonnières de l’amas de tôle. Une opération qui a duré toute la nuit. Et au petit matin, c’est la stupeur pour tous les habitants d’Haréville qui, au cours des deux jours qui vont suivre, accueilleront et épauleront les familles des victimes. Une cérémonie, on ne peut plus émouvante, est même organisée pour le départ des corps. L’émotion était immense en cette fin de mois de juillet 1964 et cet accident de la route est resté figé dans toutes les mémoires. Il reste même le plus meurtrier de ce demi-siècle dans les Vosges.

    Haréville-s-Montfort_stèle_50 ans 02.JPGLa commune d’Haréville-sous-Montfort n’a pas oublié ce drame, pas plus que le groupe folklorique, « El Foment de la Sardana ». Car le groupe existe toujours, alors que ses dirigeants s’étaient posé la question de poursuivre l’aventure après ce drame sans commune mesure. Mais ils ont décidé de ne pas quitter la scène et étaient présents, ce week-end des 18 et 19 octobre 2014, aux commémorations qui se sont déroulées en hommage aux victimes de l’accident, à Haréville-sous-Montfort.

    Lors ces cérémonies, la mairie harévilloise a souhaité saluer tous les habitants qui se sont mobilisés à l’époque. Une manière également de rappeler aux jeunes générations cette page dramatique vécue au sein du village.

    vosges,haréville sous montfort,perpignan,groupe folklorique,el foment de la sardana,catalan,sardaneSamedi a eu lieu à 18 h une cérémonie à la stèle du souvenir, sur le lieu de l’accident, en présence notamment d’un des survivants, Frédéric Turrau, et d’une trentaine de membres du groupe « El Foment de la Sardana ». En soirée, le groupe folklorique catalan a donné une représentation à l’école du village.

    Ce dimanche matin, une messe dite à la mémoire des victimes de l'accident et de leurs familles a été célébrée en l’église d’Haréville-sous-Montfort.

  • Un aumônier militaire sur les champs de bataille : l’abbé Charles Burbaud

    lorraine,sacré coeur,jean claude l'huillier,abbé charles burbaud,aumônier,brancardier,grande guerre

    A l’occasion de l’exposition

    « L’ambulance du Sacré-Cœur : de la fleur au fusil, à la grâce de Dieu »

    Jean-Claude L’Huillier,

    historien,

    animera une conférence

    « Un aumônier militaire sur les champs de bataille : l’abbé Charles Burbaud, aumônier d’un groupement des Brancardiers Divisionnaires au cours de la Première Guerre mondiale »

     

    Vendredi 24 octobre à 18h00

    Salle Henri Blaise

    Collège du Sacré-Cœur

    39 rue de Laxou

    54000 Nancy

  • Damblain (88): la villa gallo-romaine dévoilée

    damblain.png

    [Vosges Matin]

  • Le programme des Journées d'études vosgiennes de Charmes

    jev.jpg

    [Vosges Matin]

  • Epinal (88) : restructuration du 1er régiment de tirailleurs

    Le régiment spinalien devrait perdre environ 70 militaires dans le cadre de sa restructuration qui va le transformer en régiment d’infanterie de nouvelle génération.

    une-centaine-d-hommes-ont-quitte-epinal-il-y-a-quelques-semaines-pour-rejoindre-la-republique-centrafricaine-(photos-d-archive-vm).jpgDepuis le début de l’été, le 1er régiment de tirailleurs d’Epinal s’était réorganisé pour anticiper le nouveau schéma des armées présenté dans le cadre des restructurations des armées 2015.

    Avec un effectif stabilisé autour de 1 000 militaires, le 1er Rtir devrait pourtant perdre 70 hommes et être transformé en régiment d’infanterie de nouvelle génération, comme annoncé par le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. « Mais sans que cela ait un impact fort à notre niveau, assure le sous-lieutenant Masotta, en charge de la communication. Des sections ont d’ores et déjà été enlevées, passant de 4 à 3. Cette nouvelle appellation préfigure l’avenir afin de marquer les choses dans le temps. »

    En revanche, la dissolution de l’état-major de la première brigade mécanisée de Châlons-en-Champagne va directement impacter Epinal puisque c’est à cette brigade que les Vosgiens étaient rattachés. Le régiment vosgien sera, dès lors, rattaché à Besançon. Une réorganisation interne qui ancre néanmoins le 1er RTir dans le futur.

    Un régiment bien dans sa ville qui bénéficie d’installations très récentes sur les hauteurs du quartier Varaigne à Epinal. Son matériel figure parmi les plus modernes et les plus performants de l’armée de terre avec notamment le système combattant Felin (fantassin avec équipements et liaisons intégrées) et le VBCI (Véhicule Blindé de Combat d’Infanterie), qui équipe le régiment spinalien depuis 2010.

    Ce régiment de tradition figure aussi parmi les plus projetés de France avec, à son actif, de nombreuses opérations extérieures. Début octobre, une centaine d’hommes étaient partis en mission direction la République Centrafricaine.

    La Lorraine ne perd pas de régiment. Cependant, il y aura un impact sur la vie quotidienne des militaires lorrains.

    Lunéville, Thionville, Sarrebourg ou Bitche en plus d’Epinal seront concernés par ces mesures de restructuration par petites touches qui s’étendent aux formations du génie, de l’artillerie et des transmissions, notamment celles travaillant avec des matériels en fin de vie.

    Si dans la logistique, le 516ème régiment du train de Toul est épargné, l’autre mesure principale en Lorraine est la suppression de l’escadron d’éclairage et d’investigation du 1er régiment de chasseurs de Verdun-Thierville. Cette unité spécialisée dans les missions de recherches et de renseignements tactiques et d’aide à l’engagement par la collecte de renseignement de zone, d’objectifs et de moyens comptait une centaine d’hommes. Programmée pour 2015, la réforme est déjà passée par la Meuse, le 24 avril dernier avec la création de l’escadron de reconnaissance et d’intervention. Au terme d’une réorganisation de la cavalerie, le 1er chasseur n’abandonne qu’une trentaine de postes.

    Les régiments d’hélicoptères de l’armée de terre, très impliqués dans les opérations en Afrique, ne sont pas ciblés. Du côté de l’armée de l’air, la BA 133 de Nancy élargit son périmètre, la base radar BA901 de Drakenbronn devient une de ses antennes. Les restructurations de la Marine ont un retentissement en Lorraine avec le désarmement du pétrolier-ravitailleur La Meuse, un des plus anciens navires de la Royale.

    Le format des Bases de défense qui regroupent et mutualisent les forces de soutien (RH, achats…) devrait évoluer avec des regroupements pour constituer des structures plus importantes pour économiser aussi des postes dans les unités. La Lorraine en compte cinq, Nancy, voire Verdun, pourrait être renforcée. Le service des essences des armées qui fermera en 2016 son centre de ravitaillement de Sarrebourg sera lui aussi rationalisé, le mot de cette première vague de la restructuration 2014-2019. Enfin pour la santé, si l’information majeure est la transformation du Val-de-Grâce, l’hôpital de Legouest à Metz mettra en sommeil certains services qu’il mutualisera avec le centre hospitalier de Mercy.

    En marge de ces restructurations, la Défense annonce des accompagnements pour le personnel et les territoires en valorisant l’accompagnement de Commercy après le départ du 8ème RA et l’arrivée du groupe Safran.

    [d'après Vosges Matin]

  • Mattaincourt (88) : il y a 70 ans, la 2e DB libérait la commune

    mattaincourt.jpg

    [L'Abeille]

  • Clergés en contacts à l'ère des divisions confessionnelles (16e-17e s.)

     

    lorraine,clergés,catholique,protestant,crulh

    Le Colloque de Poissy (1561), de Robert Fleury (1840).

     

    Du 16 au 18 octobre 2014 à Nancy 

    Colloque « Clergés en contacts à l’ère des divisions confessionnelles (XVIe-XVIIe siècle) »

    Le Centre de Recherche Universitaire Lorrain d'Histoire, Julien Léonard, Maître de conférences en histoire moderne, la Communauté Urbaine du Grand Nancy, la région Lorraine et l'Université de Lorraine, ont le plaisir de vous inviter au colloque « Clergés en contacts à l’ère des divisions confessionnelles (XVIe-XVIIe siècle) » du 16 au 18 octobre 2014 à Nancy.

    ‡ Consultez le programme du colloque ici programme_colloque CRULH.pdf

  • Nancy : consécration du nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes

    consécration1.jpg

    Consécration rituelle de l'autel par Monseigneur l'évêque de Nancy et de Toul.

     

    En ce dimanche 5 octobre 2014,  Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, a consacré le nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes à Nancy.

    Une nombreuse assemblée, où se côtoyaient paroissiens, élus - dont le maire de Nancy - et habitants du quartier, a assisté avec ferveur à cette cérémonie célébrée selon le rite de l'Eglise catholique.

     

    consécration2.jpg

    Célébration du Saint Sacrifice sur le nouvel autel.

    [clichés : Diocèse de Nancy et de Toul]