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Histoire & Patrimoine Bleurvillois - Page 141

  • Manuel d'histoire de France

    histoire,france,oeuvre scolaire saint nicolas,cours moyen,école,éducation nationaleBon, autant le dire tout de suite, ce n'est pas un énième ouvrage sur l'histoire de la Lorraine que nous vous proposons. C'est beaucoup mieux que cela ! Voici un manuel d'histoire que tout parent devrait détenir pour instruire "nos chères têtes blondes" de l'Histoire (avec un grand H) de notre France. Et cela devient urgent lorsque l'on sait que le ministère de l'Education nationale réalise des coupes sombres (on devrait plutôt parler de "coupes claires" !) dans les programmes d'histoire du primaire au lycée.

    Bref, elle est bien lointaine l'époque où les enfants de France apprenaient par coeur la liste des préfectures et des sous-préfectures de tous les départements français ainsi que les dates-clés de notre histoire nationale : 496 baptême de Clovis, 1214 victoire de Bouvines, 1515 François Ier armé chevalier par Bayard à Marignan, 14 juillet 1789 prise de la Bastille...

    Au-delà des images d'Epinal, les auteurs de ce Manuel d'Histoire de France ont voulu renouer avec l'Histoire chronologique qui, seule, permet à l'enfant de situer les événements dans le temps et de comprendre l'enchaînement des faits.

    Découvrir ce passé qui nous a faits ce que nous sommes, apparaît d'autant plus nécessaire que notre époque aspire à renouer le fil du temps, ce dont témoigne le succès des reconstitutions historiques et des publications consacrées à l'Histoire.

    C'est dans ce cadre qui lui est proche et familier que l'enfant doit d'abord étudier le passé, son passé, avant de s'ouvrir aux autres cultures et civilisations.

    Les auteurs de ce manuel ont eu à coeur de fournir aux élèves du cours moyen un texte clair, agrémenté de très nombreuses illustrations et de cartes explicites afin d'aider à situer géographiquement les événements. Ils ont souhaité, dans le respect de la réalité des faits, faire connaître et mettre en valeur tous ceux qui ont forgé la France au destin et au rayonnement si particuliers.

    A mettre de toute urgence entre les mains des parents de jeunes enfants scolarisés dans le primaire !

     

    ‡ Manuel d'Histoire de France. Cours moyen, Anne de Mézeray, éditions Oeuvre scolaire Saint-Nicolas, 2011, 330 p., ill. (24 €).

  • Meurthe-et-Moselle : un Centre des mémoires en projet

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    [Est Républicain]

  • Bleurville : la Société d'Histoire de Nancy en visite à l'abbaye Saint-Maur

    La Société d’Histoire de Nancy organisait ce week-end un circuit des églises romanes vosgiennes. Un passage par Bleurville s’imposait.

     

    lorraine,vosges,bleurville,nancy,société d'histoire de nancy,abbaye saint maur,jacques bonnechoseC’est un groupe d’une quarantaine de membres de la Société d’Histoire de Nancy qui a participé à ce circuit de découverte de l’art roman dans l’Ouest vosgien. Le programme, concocté par l’abbé Jacques Bonnechose, responsable des activités culturelles de l’association nancéienne, les a conduit à Autreville, Pompierre, Rozières-sur-Mouzon, Bleurville, Relanges et Vomécourt-sur-Madon.

     

    « Les Vosges possèdent de nombreuses églises romanes dignes d’intérêt et l’abbatiale de Bleurville fait partie des sites que je souhaitais faire découvrir à nos adhérents » précise l’abbé Bonnechose.

     

    C’est sous la conduite d'Alain Beaugrand, président des Amis de Saint-Maur, que nos Nancéiens ont pris connaissance de l’histoire du monastère bénédictin et, surtout, des particularités architecturales de l’ancienne abbatiale. Les amateurs d’art ont été émerveillés en découvrant la beauté d’une simplicité toute primitive de la crypte, dont la symbolique des colonnes rondes, carrées et octogonales a été expliquée avec érudition par l’abbé Bonnechose.

     

    Le président Beaugrand a rappelé la proximité architecturale de l’abbatiale de Bleurville avec l’église prieurale de Froville, en Meurthe-et-Moselle, et l’abbatiale de Faverney, en Haute-Saône, toutes trois construites dans le deuxième quart du IXe siècle et dont la particularité de la nef est de posséder des piliers alternativement ronds et carrés.

     

    Le musée de la piété populaire installé dans l’ancien logis prieural a également réussi à capter toute l’attention de nos visiteurs et la splendide collection de bénitiers de chevet a suscité de nombreuses questions.

     

    Nos Nancéiens ont finalement quitté Saint-Maur enchantés d’avoir découvert un véritable joyau de l’art roman primitif en Lorraine.

  • Balade en Ville-Vieille de Nancy autour de la basilique Saint-Epvre

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    [Est Républicain]

  • Vandoeuvre-lès-Nancy : une pétition pour le classement de l'église Saint-François d'Assise

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    [Est Républicain]

    ‡ Pour signer la pétition : http://www.petitions24.net/sauvons_leglise_saint_francois_dassise

  • L'église Saint-Mansuy de Fontenoy-le-Château

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    [Vosges Matin]

  • Le saint lorrain de septembre : Notre-Dame de Benoîte-Vaux

    ND benoite vaux.jpgA peu près au centre du diocèse actuel de Verdun, à la limite de l’ancien diocèse de Toul, se situe le village de Benoîte-Vaux.

    Le nom de Benoîte-Vaux (la "vallée bénie") apparaît pour la première fois sur une bulle pontificale datée de 1180 et signée par le pape Alexandre III. C’est le début de Benoîte-Vaux.

    Ce lieu s’appelait autrefois Martin-Han ("la demeure de Martin"). Un jour, attirés par les chants de l’Ave Maria, des bûcherons découvrirent, au pied d’un chêne déraciné, une statue de la Vierge Mère. Ils décidèrent de lui construire un oratoire. Un ermite nommé Martin en eut d’abord la garde, puis des prêtres, puis des Prémontrés, des Oblats, et le clergé diocésain.

    La Madone actuelle, exposée dans l’église, date du XVIIe siècle. De nos jours, les pèlerinages ont toujours lieu annuellement ; ils manifestent l’attachement des Meusiens et des Lorrains à la Vierge Marie. La Neuvaine se déroule tous les ans début septembre, à l’occasion de la fête de Notre Dame.

    Notre-Dame de Benoîte-Vaux est fêtée le 9 septembre par l'Eglise diocésaine de Nancy & de Toul.

    [source : http://www.introibo.fr]

  • Décès de l’archiduc Felix de Habsbourg-Lorraine

    Deux mois après le décès de son frère aîné, l'archiduc Otto, chef de la Maison de Habsbourg-Lorraine et européen de légende, le dernier survivant des enfants du dernier empereur d'Autriche, l'archiduc Felix d'Autriche, est mort mardi 6 septembre 2011.

     

    archiduc-felix-d-autriche.jpgTroisième fils et quatrième des huit enfants de l'empereur Charles Ier et de l'impératrice Zita de Bourbon-Parme, l'archiduc Felix d'Autriche, dernier survivant de la fratrie, s'est éteint à l'âge de 95 ans à San Angel, colonia de Mexico, où il avait établi sa carrière de banquier et de consultant marketing, qu'il exerça également à Bruxelles.

     

    Tout comme son frère Otto, Felix d'Autriche, né en 1916 à Vienne, avait vécu l'exil familial consécutif à la défaite dans la Première Guerre mondiale et à la chute de l'empire austro-hongrois, puis la mort prématurée de son père l'empereur Charles Ier en 1922 à Madère.

     

    L'archiduc Felix avait pu rentrer en Autriche en 1937, intégrant l'académie militaire de Wiener Neustadt et devenant le premier membre des Habsbourg à embrasser une carrière d'officier dans l'armée autrichienne. L'Anschluss le poussa toutefois à fuir du côté de la Tchécoslovaquie, puis à se réfugier aux Etats-Unis lors de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle il servit, avec son frère Karl Ludwig, au sein du 101ème Bataillon d'infanterie de l'armée américaine, connu comme le Free Austria Battalion, finalement dissout.

     

    C'est toutefois en France, à Beaulieu, qu'il avait épousé en 1952 la princesse Anna-Eugenie, duchesse d'Arenberg (décédée en 1997), mariage dont seront issus sept enfants, qui vécurent ou vivent encore au Mexique : l'archiduchesse Maria del Pilar of Austria (née en 1953, mariée à Vollrad-Joachim Edler von Poschinger), l'archiduc Karl Philipp (né en 1954, marié en secondes noces à Annie-Claire Christine Lacrambe), l'archiduchesse Kinga (née en 1955, mariée au baron Wolfgang von Erffa), l'archiduc Raimund (né en 1958, décédé en 2008), l'archiduchesse Myriam (née en 1959, mariée à Jaime Corcuera Acheson), l'archiduc Istvan (né en 1961, marié à Paola de Temesváry, et l'archiduchesse Viridis (née en 1962, mariée à Karl Dunning-Gribble.

     

    En raison de son refus de renoncer au trône d'Autriche suite à l'abolition de la monarchie (contrairement à son frère Otto), il lui était interdit de fouler le sol autrichien. Une exception fut faite à l'occasion des funérailles de sa mère l'impératrice Zita, en 1989. Il outrepassa quelques années après l'interdiction en pénétrant illégalement sur le territoire, en 1996, profitant de l'abrogation des frontières par le processus européen, et révéla le lendemain sa présence en tenant une conférence de presse.

     

    RIP.

  • Domremy prépare le 600e anniversaire de Jeanne d'Arc

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : exit la statue équestre de Charles III ?

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    [Est Républicain]

  • Darney : le domaine de "Guillevic" vingt ans après

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : concert de chant choral à l'abbaye dimanche 11 septembre

    Dimanche 11 septembre à 15h00 en l'abbatiale Saint-Maur de Bleurville, la chorale L'Echo de la Forêt donnera un concert sous la direction de Jean-Michel Géhin, pianiste, organiste, compositeur et chef de choeur.

     

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    L'Echo de la Forêt lors d'un concert en la basilique de Mattaincourt, 2011 (cliché M. Bisval).

     

    Un programme varié sera proposé au public : des oeuvres classiques ou sacrées de Haendel, Gounod, Mozart et Vangelis, mais aussi des compositions contemporaines de Jean Ferrat, Barbara, Charles Aznavour, Tri Yann ou Dany Brian.

    Entrée libre. Une quête sera faite au profit de la restauration de l'ancienne abbaye bénédictine.

  • Bleurville : Recupfer, histoire d'une réussite

    Qui aurait parié sur l'activité créée par Julien Longeron il y a plus de 40 ans ? Sûrement peu de monde. Ses enfants ont repris l'affaire de récupération de métaux et, discrètement, l'ont développé. Histoire d'une réussite. Et un bel hommage posthume à Julien Longeron, un homme dont les valeurs du travail et de la famille ont été transmises et fructifient.

    longeron.jpgLa première page de l’histoire de l’entreprise s’est écrite en 1970. «  Papa a démarré avec un tracteur pour aller récupérer les objets à recycler », se souvient Pascal Longeron. Désormais, la « casse » s’est professionnalisée et s’appelle « Récupfer ». Les deux fils du créateur ont pris la relève en 1989. Et aujourd’hui, ils travaillent avec leurs deux fils.

    A la Corvée Marinvelle, sur les hauteurs de Bleurville, on récupère, trie et broie toutes sortes d’objets. Du véhicule hors d’usage, de la ferraille, des métaux, des chutes d’usine en passant par les chars. En effet, l’entreprise a la particularité d’être agréée et de répondre aux exigences d’une procédure très encadrée de l’armée. «  Pour les métaux, tout est trié, coupé en morceaux et ça repart en fonderie », explique Pascal Longeron, le gérant de cette entreprise.

    Autre singularité de cette petite entreprise : la norme Iso 14 001, décrochée il y a un peu plus d’un an, grâce à l’aide d’un cabinet de consultants. «  On avait déjà une bonne base de départ avec divers agréments et autorisations mais ça apporte de nouveaux marchés et une crédibilité vis-à-vis des administrations », justifie le chef d’entreprise. Dès l’entrée de l’entreprise, le détecteur de radioactivité scanne chaque chargement avant la pesée. Vient ensuite le moment du contrôle et du déchargement avant le premier tri. Les métaux ferreux longs passent alors dans la presse, puis sont stockés avant de partir dans des fonderies et aciéries. A l’entrée, un bâtiment sert également de lieu de dépollution pour les véhicules hors d’usage.

    ferraille.jpgLes deux frères s’occupent donc des opérations de recyclage sur le site bleurvillois tandis que leurs fils sont sur la route avec les deux camions pour aller chercher la marchandise. Mais même si Pascal Longeron officie à l’entrée avec une balance manuelle pour peser les matériaux, impossible d’avoir la quantité précise de matière traitée. Tout juste livrera-t-il, du bout des lèvres, un chiffre d’affaires d’environ un million d’euros. Et une saisonnalité de l’activité. «  Ça marche plus au printemps, pendant les vacances d’été. » Tout dépend également de la conjoncture : «  Si tout va bien, il y a de la production et donc des rebuts. »

    Pascal Longeron préfère assurer ses arrières. «  Pour l’instant, on essaie de rentabiliser l’entreprise et continuer à investir dans du matériel », confirme le gérant. L’investissement de cette année, à savoir une grue équipée d’un électro-aimant, lui a coûté environ 300 000 euros. Récupfer fait de son mieux pour redorer l’image d’un métier souvent mal connu et trop souvent décrié.

    [Vosges Matin]

  • Dommartin-sur-Vraine : des jeunes au chevet du château

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    [Vosges Matin]

  • Grand (Vosges) : disparition de Jean-Luc Remy, initiateur des fouilles archéologiques et directeur du musée du Fer de Jarville

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    [L'Abeille]

  • Julie Victoire Daubié, 150 ans de baccalauréat au féminin

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    [Vosges Matin]

  • Abbaye de Bleurville : concert de l'Echo de la Forêt le 11 septembre

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  • Christianophobie : un « sport » bien français…

    Attaquer ou salir le christianisme, ses symboles, ou ses représentants est devenue chose courante en France depuis quelques années.

     

    martyre_etienne.jpg"On le constate par la montée en flèche des profanations ou dégradations de sépultures comme de lieux de culte chrétiens. Ainsi, en 2007, 92,1 % des lieux de culte profanés étaient des lieux de culte chrétiens ; en 2008, 94,4 % et 95,6 % en 2009... Et, ceci, dans l'indifférence à peu près totale des pouvoirs publics. En revanche, on peut observer que dans les cas, infiniment plus rares, d'actes de malveillance dirigés contre les communautés juives ou musulmanes, les plus hautes personnalités de l'Etat n'hésitent pas à se déplacer sur les lieux et à faire solennellement part de leur émotion ainsi que des mesures énergiques qui suivront.

     

    Il y a donc inégalité manifeste de traitement dont est victime la religion catholique, qui demeure encore la religion dont se réclament le plus grand nombre de Français et qui - il faut le souligner - a façonné l'identité de notre pays, comme l'on rappelé récemment tant le Chef de l'Etat que le Premier ministre (...)".

     

    ‡ Pour lire la suite de cette Lettre adressée aux élus, cliquez ici Christianophobie_lettre aux élus.pdf

     

    ‡ Plus d’infos sur http://www.civitas-institut.com 

  • Des Vosgiens sur le site archéologique haut-marnais d'Andilly

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    [Vosges Matin]

  • Jules Cayette (1882-1953), créateur d'art à Nancy

    nancy,jules cayette,ecole de nancy,art nouveau,arts décoratifs,etienne martinJules Cayette naît en 1882 à Paris d'un père lorrain. Arrivé à Nancy en 1888, il est élève puis membre de l'Ecole de Nancy aux côtés des grands noms qui participèrent à ce courant artistique : Prouvé, Vallin, Grüber, Daum, Walter...

    Cayette s'installe à son compte en 1910 et commence immédiatement une carrière riche, auréolée de gloire. Il explore tous les domaines : bois, bronze, cuir, ferronnerie, luminaire, ameublement, etc. Loin d'être figé dans un style, il chemine dès les années 1920 vers l'Art Décoratif et poursuit ses créations en perpétuelle évolution jusqu'à sa mort en 1953.

    Sa production, de grande qualité, est diversifiée. Cayette crée du mobilier : sièges, lits, armoires, vitrines, lustres, tapis ou de nombreux éléments décoratifs pour des immeubles, le tout destiné à de riches particuliers, des commerces, des édifices publics ou religieux. Contrairement à celle d'autres artistes de cette époque, sa production ne fut jamais industrialisée.

    De nombreux témoignages sont toujours visibles en Lorraine, et surtout à Nancy.

    L'auteur, Etienne Martin, docteur en géographie historique, est l'auteur de plusieurs publications sur la Lorraine des XIXe et XXe siècles. Son dernier livre, Les croix de chapitre à Nancy et à Toul, est considéré comme un ouvrage de référence sur le sujet. Il collabore régulièrement au Pays Lorrain, la revue du Musée Lorrain.

     

    ‡ Jules Cayette (1882-1953) créateur d'art à Nancy, Etienne Martin, éditions Serpenoise, 2011, 143 p., ill. (30 €).

    ‡ En marge de cet ouvrage sur Jules Cayette, on peut découvrir la production de Jules Boiteux, chef d'atelier chez Cayette à Nancy originaire de Saint-Ouen-les-Parey (Vosges)  qui demeura un temps à Monthureux-sur-Saône, sur http://www.monthureux.fr/celebrites.htm

     

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    Pendule créée dans les ateliers Cayette, par Jules Boiteux (coll. part.), cliché © Ch. Thiébaut.

  • Nancy : projet de restauration du choeur de l'église des dominicains

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    [Est Républicain]

  • Mirecourt : Ravenel transformé en Frontstalag en 1940-1941

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    [Vosges Matin]

  • Journées du Patrimoine 2011 en Saône Lorraine

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  • Rambervillers : la tradition des grès flammés a la vie dure

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    [Vosges Matin]

    [Vosges Matin]

  • A la découverte de la fonderie de cloches de Robécourt (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • La rentrée chez les Pèlerins de Lorraine

     

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    L’association Pèlerins de Lorraine communique ses actualités de rentrée :

     

    -        ce jeudi 1er septembre, chapelet mensuel de l'association à 19h00 à la basilique Saint-Epvre de Nancy. Le chapelet est ouvert à toutes et tous !

     

    -        l'année 2012 sera celle du 600ème anniversaire de la naissance de Jehanne d'Arc et de nombreuses initiatives vous seront proposées. Première de l'année, l'association Notre-Dame de Bermont signale que le dimanche 25 septembre 2011 aura lieu un pèlerinage de rentrée autour de Domremy en présence du RP Argouac'h, de l'Institut Sainte-Croix de Riaumont. Au programme : 9h00 - Eglise Saint-Remi de Domremy / 12h30 - Chapelle Notre-Dame de Bermont / 15h00 - Messe à la basilique Sainte-Jeanne-d'Arc

     

    -        le traditionnel pèlerinage Domremy-Vaucouleurs organisé par Pèlerins de Lorraine, qui a choisi le 13 mai comme date de référence la plus proche du départ de Jehanne de Domremy pour Vaucouleurs, tombe en 2012... le 13 mai ! Annotez d’ores et déjà vos agendas !

  • Au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône : la peinture comme thérapie

    Christine Janvre expose ses aquarelles au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône jusqu’au 18 septembre. De l’art pour guérir avant tout. Et pour le plaisir de ses admirateurs aussi.

     

    vosges,chatillon sur saone,christine janvre,aquarelles,grenier a sel,jean françois michel,gilbert janvreSans détour, Christine Janvre annonce la couleur : la peinture l’aide surtout à surmonter la maladie de Parkinson qui l’a touchée depuis bientôt cinq ans. Jean-François Michel, le président de Saône Lorraine qui accueillait le public pour le vernissage des œuvres de Christine, s’est dit ému d’offrir pour la première fois les cimaises du Grenier à sel aux aquarelles de cette artiste locale. Christine est en effet originaire de Tignécourt, et l’on sait les liens étroits qui unissent Saône Lorraine à Flabémont, le hameau de Tignécourt, siège d’une prestigieuse abbaye prémontrée aujourd’hui disparue. Les liens, ce sont aussi ces liens d’amitié et d’estime qui relient le président Michel au mari de Christine, Gilbert Janvre.

     

    Christine Janvre a commencé à peindre tardivement : l’envie était là, le talent aussi. Il a fallu la maladie pour que Christine ose se lancer dans cette sympathique aventure artistique. L’huile tout d’abord, puis très vite l’acrylique et depuis fin 2009 l’aquarelle ont ponctué le cursus de notre artiste, aujourd’hui installée à Martigny-les-Bains.

     

    vosges,chatillon sur saone,christine janvre,aquarelles,grenier a sel,jean françois michel,gilbert janvreAvant le succès des expositions, Christine a bénéficié des conseils techniques de Gisèle Seyller, aquarelliste de Damblain. Et puis ce fut la première exposition au Pavillon des Sources de Contrexéville.

     

    Aujourd’hui, Christine Janvre excelle dans l’aquarelle. Les murs du Grenier à sel en témoignent : bouquets de fleurs, marines, paysages, architectures, œuvres non figuratives mêlent leurs couleurs pastel pour le plus grand plaisir des yeux. Rien ne transparaît de sa maladie dans ses tableaux pleins de gaîté, de fraîcheur et d’éclatantes couleurs car, comme l’exprime l’artiste « mon art évolue avec ma maladie, elle le stimule aussi ». Courrez-vite jusqu’à Châtillon-sur-Saône, vous ne serez pas déçus par les œuvres pleines de poésie de Christine Janvre.

     

    [clichés © H&PB]

     

     

    §        Exposition Park’Aquarella de Christine Janvre, tous les après-midi jusqu’au 18 septembre au Grenier à Sel de Châtillon-sur-Saône.