vosges - Page 3
-
Pargny-sous-Mureau (88) : les habitants au chevet de l'ancienne abbaye cistercienne
-
Bleurville (88) : à la recherche de photos pour le 45e anniversaire du sauvetage de l'abbaye Saint-Maur
Fouilles archéologiques effectuées dans la crypte par les scouts dans les années 1970 [cl. ©H&PB].
Afin de préparer le 45ème anniversaire des débuts du sauvetage de l'ancienne abbatiale bénédictine de Bleurville (1974-2019), un appel est lancé à tous les scouts et guides (Scouts de France, Scouts d'Europe et autres) qui sont passés par l'ancienne abbaye Saint-Maur de Bleurville (Vosges, entre Darney et Monthureux-sur-Saône) entre 1974 et 1990, et qui ont apporté leur aide à l'abbé Pierrat dans le sauvetage de l'abbaye : nous sommes à la recherche de photographies qui auraient été prises sur le site lors des travaux ou lors des animations scoutes dans le village.
Merci d'adresser vos cliché numérisés (indication du propriétaire et année de la prise de vue) à : abbayesaintmaur.bleurville@gmail.com
ou par courrier à :
MONSIEUR LE PRESIDENT
ASSOCIATION DES AMIS DE SAINT-MAUR
4 RUE DES ECOLES
88410 BLEURVILLEMerci d'avance pour votre collaboration !
-
Bleurville (88) : concert du Duo fleuri à l'abbatiale Saint-Maur le 19 août
-
Autour du dernier ouvrage de Jean-François Michel
-
Fontenoy-le-Château (88) : capitale de l'écrit
-
Robécourt (88) : la nostalgie des cloches
-
Châtenois (88) : les animations des Amis du prieuré et du patrimoine pour les Journées européennes du patrimoine
-
Châtillon-sur-Saône (88) : le four à pain nettoyé par Maisons paysannes des Vosges
-
Monthureux-sur-Saône (88) : le spectacle de l'été Don Camillo se prépare
-
Bulgnéville (88) : les substructions de la villa gallo-romaine protégées
-
Martigny-les-Bains (88) : quel avenir pour l'Hôtel international ?
-
Bleurville (88) : "Des énergies positives à Saint-Maur au compteur Linky : les ondes en question"
-
Bleurville (88) : balade-découverte du village le 11 août
-
Châtillon-sur-Saône (88) : les gravures de Chantal Roumy au Grenier à sel
-
Bleurville (88) : le préfet à la ferme du Bignovre
-
Bulgnéville (88) : les vestiges de la villa gallo-romaine protégés
-
Bleurville (88) : Joëlle Pulcini, "Ma peinture est le reflet de mes émotions"
-
Châtillon-sur-Saône (88) : les gravures de Chantal Roumy au Grenier à sel
Lors du vernissage de l'exposition des gravures de Chantal Roumy [cl. ©H&PB]
Le Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône accueille jusqu'au 5 août les gravures de Chantal Roumy, une passionnée qui a mis ses talents au service d'un art particulièrement difficile : la gravure. Nous l'avons rencontré lors du vernissage de son exposition « Sortie d'atelier », en présence de Jean-François Michel, président de Saône lorraine, et de quelques amis et membres de l'association.
Pourquoi la technique de la gravure ?
Ma profession d'enseignante d'arts plastiques m'a …conduit à m'intéresser tout particulièrement à la gravure que je pratique depuis 15 ans au sein de l’atelier « Art Gravure » d’Elancourt, dans les Yvelines. J’ai participé à des expositions collectives de façon régulière en région parisienne et à Paris même, mais aussi dans la Drôme, et cet été à Châtillon où j'apprécie grandement le Grenier à sel dans lequel je me sens comme chez moi !La gravure, un art difficile ?
La gravure est un champ expérimental d’une richesse inépuisable, je suis loin d’en avoir exploré toutes les techniques. Je suis un peu « touche-à-tout », allant du support cuivre au plexi, de la pointe sèche au burin, de l’eau forte à l’aquatinte… sans oublier la collagraphie que j’affectionne. Cette technique de gravure contemporaine utilise des matériaux récupérés et offre une grande liberté d’exécution. Elle permet d’obtenir, à l’impression sur le papier, des transparences, des effets de texture, de lumière surprenants et permet une grande expressivité. J’apprécie la part de jeu, de mystère que m’offre cette technique. Écrire une gravure demande beaucoup de temps : il faut un à deux mois pour achever une gravure et obtenir le « bon à tirer » ! C'est beaucoup de temps, des déceptions parfois mais aussi de grandes satisfactions face au résultat obtenu.La gravure, un moyen d'expression ?
J’aime exprimer surtout le mouvement et les matières. Je trouve mes sources d’inspiration dans le quotidien, le hasard, les lieux, les rencontres, la nature… C’est à dire tout ce qui m’entoure ou croise mon chemin. Je suis aussi une amoureuse de la ligne et de la matière qui viennent nourrir mes travaux de gravure. Je suis en recherche permanente de nouveaux thèmes.‡ Les gravures de Chantal Roumy accueillent le visiteur au Grenier à sel jusqu'au 5 août tous les après-midi. Jean-Luc Volatier prendra le relais avec une rétrospective sur les maisons à tourelles du XVe au XVIIe siècle à Châtillon et dans les villages des environs, de Jussey à Bleurville en passant par Saint-Julien.
-
Mattaincourt (88) : 165e anniversaire de la consécration de la basilique Saint-Pierre Fourier
-
La forêt des Vosges : construction d'une filière industrielle au XIXe siècle
A partir des années 1850-1860, le département des Vosges, l’un des plus boisés de France, connaît d’importantes mutations pour ses activités de transformation du bois. Progressivement, un réseau dense d’entreprises se constitue pour former une véritable filière industrielle : scieries, menuiseries, charpentiers, luthiers et papeteries. En tout, 800 entreprises mettent en valeur les ressources en sapin, épicéa de la montagne, hêtre ou encore chêne dans la plaine vosgienne.
Dans quel contexte la filière bois s’est-elle développée ? Quels entraves, quelles mutations a-t-elle connu ?
Mobilisant 10 000 Vosgiens, cette filière marque de son empreinte le département, et constitue un bel exemple du rôle moteur de la petite industrie dans l’essor économique de certains territoires. A la veille de la Grande Guerre, les forêts vosgiennes sont entrées dans l'ère industrielle.
‡ La forêt des Vosges. Construction d'une filière industrielle XIXe siècle, Eric Tisserand, PUFR-PUR, 2018, 486 p., ill., cartes, 24 €.
-
Autigny-la-Tour (88) : lorsque le futur roi George VI d'Angleterre fréquentait le château en 1918
-
Vosges 1918 : la fin d'une guerre
-
Mattaincourt (88) : fête des prêtres jubilaires du diocèse de Saint-Dié
-
Bleurville (88) : expo' de Joëlle Pulcini à l'abbaye Saint-Maur, "ma peinture traduit mes émotions"
Joëlle Pulcini expose ses œuvres picturales tout cet été à l'abbatiale bénédictine de Bleurville. Entretien avec cette Bourguignonne passionnée et aux talents reconnus.
> Pourquoi la peinture ?
Mes parents, tout simplement. Une mère ancienne élève des Beaux-Arts, au chevalet comme d’autres sont aux fourneaux, un père italien qui chantait « Bambino » en s’accompagnant à la guitare ; voilà la genèse de ma passion ! Et puis est venu le temps des apprentissages puis de l'enseignement durant ma vie professionnelle et, désormais, la retraite s'écoule au service du dessin et de la peinture dans un cadre associatif à Selongey. Et un intérêt tout particulier pour la peinture au couteau qui donne du relief au sujet, et l'aquarelle pour son côté tendre et vaporeux. Contradictoire me direz-vous ? Tout dépend du thème traité...
> Une peinture inspirée ?
Tous mes tableaux traduisent en effet ou des souvenirs – c'est le cas pour ceux de Venise – ou des sensations ou des émotions : la peinture est le vecteur de mes sentiments. Toutes mes peintures restituent une histoire : un jardin, un lieu, mes enfants, mes chats. J'aime aussi reproduire des tableaux anciens, comme ceux du musée de Langres notamment. Cela me vaut de participer à de nombreuses expositions en France et à l’étranger – au Québec, en Allemagne, au Japon – et aussi de recevoir des prix ! Mais ce n'est pas cela le plus important : ce qui compte c'est que le visiteur ou l'amateur ressente les émotions qui passent dans chaque toile.
> Pourquoi exposer à Saint-Maur de Bleurville ?
Ce lieu est riche d'une histoire millénaire et il m'a tout de suite inspiré lors de ma première visite ce printemps. Ce fut un véritable coup de coeur et j'aimerais pouvoir y peindre : l'édifice, niché au cœur du village, offre maintes situations qui pourraient être reproduites sur la toile. Cette ancienne église romane avec sa merveilleuse crypte mérite sûrement d'être mieux connue. C'est aussi pour cela que j'ai répondu favorablement à l'invitation des animateurs qui se démènent pour faire vivre ce sanctuaire médiéval !
● Exposition de Joëlle Pulcini jusqu'au 26 août à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville (Vosges, entre Darney et Monthureux-sur-Saône). Ouverte du jeudi au dimanche, de 14h à 18h.
-
Quelques idées de lectures pour cet été avec un auteur vosgien...
Commande et règlement à envoyer à :
M. ROGER POINSOT
14 RUE DE LA JOIE
88320 MAREY
-
La forêt des Vosges : construction d'une filière industrielle au XIXe siècle
A partir des années 1850-1860, le département des Vosges, l’un des plus boisés de France, connaît d’importantes mutations pour ses activités de transformation du bois. Progressivement, un réseau dense d’entreprises se constitue pour former une véritable filière industrielle : scieries, menuiseries, charpentiers, luthiers et papeteries. En tout, 800 entreprises mettent en valeur les ressources en sapin, épicéa de la montagne, hêtre ou encore chêne dans la plaine vosgienne.
Dans quel contexte la filière bois s’est-elle développée ? Quels entraves, quelles mutations a-t-elle connu ? Mobilisant 10 000 Vosgiens, cette filière marque de son empreinte le département, et constitue un bel exemple du rôle moteur de la petite industrie dans l’essor économique de certains territoires.
Une étude qui couvre tout le grand XIXe siècle, de la Révolution à 1914.
‡ La forêt des Vosges. Construction d'une filière industrielle - XIXe siècle, Eric Tisserand, Presses universitaires François Rabelais - Presses universitaires de Rennes, 2018, 489 p., ill., cartes, 24 €.
-
Bleurville (88) : Joëlle Pulcini à l'abbaye Saint-Maur
-
Bleurville (88) : "le préfet aux champs" pour présenter l'opération interministérielle Vacances à la ferme du Bignovre
Jeudi 12 juillet, le Préfet des Vosges Pierre Ory s’est rendu à la ferme du Bignovre à Bleurville afin de présenter l’Opération Interministérielle Vacances en présence des élus, de la gérante du centre équestre du Bignovre et des différents services de l’État concernés.
L’Opération Interministérielle Vacances est mise en œuvre du 1er juin au 15 septembre 2018 partout en France et sur le réseau autoroutier où se développe une activité touristique. Elle concourt à prévenir les pratiques déloyales, abus et infractions à l’égard des estivants.
Il est primordial de permettre au consommateur de faire jouer pleinement la concurrence fondée sur une information transparente et loyale et de bénéficier d’une offre présentant toutes les garanties de qualité et de conformité.
Renforcer la confiance dans la consommation durant les vacances à travers notamment l’Opération Interministérielle Vacances contribue à valoriser cette ressource économique que constitue le tourisme en France.
L’Opération Interministérielle Vacances a pour vocation de répondre à ces enjeux par un dispositif coordonné par les préfets de département et mobilisant les compétences de chaque administration :
- Gendarmerie et police nationales.
- Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations.
- Délégation départementale de l’agence Régionale de Santé (ARS).
- Direction Régionale des Douanes et Droits Indirects ; afin d’assurer la bonne information du consommateur, la loyauté des transactions ainsi que la sécurité la plus rigoureuse des produits alimentaires ou non alimentaires et celle des prestations de services.
Les 3 thématiques prioritaires de prévention et de contrôles privilégiées en 2017 sont reconduites en 2018 :
- l’hébergement de plein air
- les activités et produits liés au bien-être, à la détente et aux loisirs
- les services de restauration dans les zones à forte densité touristiques
-
Les Hautes-Mynes du Thillot (88) : contes et légendes de la mine nuitantré...
-
Médonville (88) : la croix du pont restaurée et bénie