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Notre histoire - Page 61

  • Le Pays des Trois Provinces : une association toujours aussi dynamique

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    [Vosges Matin]

  • La saison 2014 en Saône Lorraine

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  • Le général de Castelnau (1851-1944) : le soldat, l'homme, le chrétien

    castelnau.gifLe général Edouard de Curières de Castelnau est l'un des plus grands chefs français de la Première Guerre mondiale. Cet Aveyronnais commença sa carrière comme sous-lieutenant durant la guerre franco-prussienne de 1870 et l'acheva comme général commandant de groupe d'armées.

    Surnommé le "Sauveur de Nancy", il a effectivement battu l'armée allemande en Lorraine lors des batailles du Grand Couronné et de la Trouée de Charmes. Il dirigea ensuite la bataille de Champagne avant de devenir chef d'Etat major général de Joffre et numéro 2 de l'armée française.

    Fervent catholique, au point d'être surnommé par Clemenceau le "capucin botté", le général de Castelnau sera après la guerre député de l'Aveyron, membre de l'Institut et président de la Fédération nationale catholique, puissant et influent rassemblement de centaines de milliers d'hommes pendant l'entre-deux-guerres.

    Cet album biographique exceptionnel présente plus de 600 documents photographiques, iconographiques et d'archives commentés avec compétence par Patrick de Gmeline, historien militaire reconnu.

     

    ‡ Le général de Castelnau (1851-1944). Le soldat, l'homme, le chrétien, Patrick de Gmeline, 2014, éditions Charles Hérissey, 245 p., ill. (45 €).

  • Quand Darney accueillait une garnison en 1914

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    [Vosges Matin]

  • La guerre à coups d'hommes

    renaud.jpgAprès avoir éprouvé la joie et la fierté de libérer quelques villages de la Lorraine annexée depuis 44 ans, la IIe armée avait cru prendre l'ascendant sur un adversaire qui feignait de battre en retraite pour mieux l'attirer vers un terrain qu'il avait choisi, repéré et diaboliquement fortifié...

    A l'occasion du Centenaire de la Première Guerre mondiale, Patrick-Charles Renaud nous fait revivre, grâce aux écrits souvent inédits laissés par des soldats français ayant combattu en Lorraine à cette époque, les premières semaines d'affrontement où, après avoir subi d'entrée une défaite, nos hommes se sont ressaisis pour engager une lutte âpre et coûteuse en vies humaines remportant à la clé une précieuse victoire. Leur plume, tour à tour trempée dans les larmes, le sang et l'acide de la colère, est chargée d'une émotion sans égale.

    Replaçant les batailles de Morhange, du Grand Couronné et de la trouée de Charmes dans leur contexte historique, l'auteur passe en revue tous les aspects de ces premiers combats, des charges à la baïonnettes parfois insensées et souvent meurtrières aux hésitations et à l'incompétence de certains chefs, et nous livre sans censure les réflexions pertinentes des participants, comme celle du caporal Lercher, originaire de Vittel, qui résume bien ce début de guerre : "Nous sommes dans une bataille. Dieu quelle boucherie !"

     

    ‡ La guerre à coups d'hommes. La bataille des frontières de l'Est - Lorraine, août-septembre 1914, Patrick-Charles Renaud, éditions Grancher, 2014, 427 p., ill. (25,90 €).

  • Nancy : une profession religieuse chez les Soeurs de Saint-Charles

    lorraine,nancy,soeurs de saint charles,profession religieuse,sénégalCréés le 18 juin 1652 par le noble seigneur lorrain de Xoudailles, Emmanuel Chauvenel, pour se consacrer au service des pauvres, les sœurs de la Charité de Saint-Charles ont connu un événement devenu rare, dimanche 9 mars 2014, avec la profession des vœux perpétuels de sœur Marie Isabelle Flora, originaire du Sénégal, qui a fait son noviciat à la Maison-Mère de Nancy.

    Etablies historiquement sur la paroisse Saint-Sébastien, rue Saint-Thiébaut, les sœurs de Saint-Charles ont ensuite fondé l’hôpital Saint-Julien de Nancy en 1702. Leur Maison-Mère fut établie rue Saint-Jean. Ses religieuses étaient presque uniquement dédiées aux soins des malades tant dans leur hôpital qu’à l’extérieur. Dépourvues de règle et de vœux, les premières sœurs ont peu à peu formé une congrégation en tant que telle avec une règle, celle des filles de Saint-François de Sales (1662-1663), et à partir de 1679, la première formule de vœux est établie où les professes promettent fidélité à la Congrégation, tout en servant les pauvres malades. Les premiers vœux sont officiellement émis le 22 juillet 1679 par quatre jeunes filles. Au cours du XVIIIe siècle, la Congrégation reçoit ses propres constitutions établies par le prémontré d'Etival, le Père Epiphane Louys, et officiellement publiées en 1713. Ainsi, après le vœu de charité (1679), puis le vœu d’obéissance (1704) et de pauvreté (1708), viennent le vœu de chasteté (1711) et enfin, le vœu de stabilité (1714).

    Bénéficiant d’un recrutement exceptionnel s’appuyant sur les nombreuses fondations dans toute la Lorraine durant le XVIIIe siècle, les sœurs de Saint-Charles ont continué leurs actions hors de France durant tout le XIXe siècle, notamment dans les provinces rhénanes conquises par Napoléon, puis à Prague, à Rome et en Belgique.

    Au XXe siècle, les sœurs de Saint-Charles s’établissent au Sénégal à partir de 1957 tout en adaptant leurs locaux nancéiens à l’accueil de personnes âgées dès 1995.

    Aujourd’hui, la Congrégation est présente sur quatre continents avec des maisons au Mexique, en Tanzanie, au Sénégal, en Zambie, en Egypte, en Israël, en Sibérie, Roumanie, Pologne, République tchèque…

    Si la Maison-Mère n’accueille plus de personnes âgées depuis quelques années, elle accueille toujours des novices surtout d’origine sénégalaise.

    Après avoir reçu la formation du juniorat et servi le Seigneur dans les mouvements et les œuvres paroissiales au Sénégal, la jeune fille est entrée au noviciat de Nancy. Le dimanche 9 mars, en la chapelle de la congrégation des Soeurs de Saint-Charles de Nancy,la novice a fait sa profession perpétuelle au sein de la Congrégation au cours d’une émouvante cérémonie de deux heures, oscillant entre moments solennels et chants traditionnels.

    La cérémonie de la profession religieuse a été rythmée par cinq grands moments à forte symbolique chrétienne.

    Après l’homélie de l'abbé Munier, vicaire général du diocèse de Nancy & de Toul,

    >  la novice est reçue au chœur par le célébrant qui lui demande si elle est prête à se consacrer à Dieu par les vœux et à rechercher la charité parfaite en suivant la Règle et les Constitutions de sa famille religieuse.

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    > La novice est alors recouverte d’un pagne offert par sa mère figurant son linceul et signifiant sa mort pour le monde et sa naissance à une vie nouvelle, encadrée par sa famille, devant l’autel et le célébrant, pendant que l’assemblée entame la longue prière des litanies des saints.

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    > Enfin, la novice fait sa profession devant la Supérieure générale et c’est avec beaucoup d’émotion qu’elle parvient à lire la formule :

    Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen.

    En présence de la Très Sainte Trinité pour son honneur et sa gloire, sous le regard de la Très Sainte Vierge Marie, Moi sœur Marie-Isabelle Flora Diédhiou, mue par le désir de vivre et travailler en communauté fraternelle, je me donne à la Congrégation de la Sainte Famille de Jésus, Marie, Joseph, établie sous le nom des sœurs de Charité de Saint-Charles.

    Je promets à Dieu d’y servir par charité, toute ma vie, les pauvres, les abandonnés et les malades et je fais à perpétuité, entre les mains de ma Supérieure Générale, les vœux de chasteté, pauvreté, obéissance, selon les Constitutions de la même Congrégation.

    La Mère Supérieure reçoit alors ces vœux en lui remettant un cierge symbole de foi, de générosité, de don et de vigilance et la nouvelle professe va ensuite signer l’acte de sa profession, sous les applaudissements de l’assistance et les félicitations de sa famille et de l’ensemble du clergé présent.

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    > Enfin, elle reçoit l’anneau bénit qui concrétise son union avec le Christ et qui fait d’elle une sponsa Christi puis elle est accueillie par la Supérieure générale qui lui dit : « Désormais, vous faites partie définitivement de notre Congrégation. Vous avez tout en commun avec nous ».

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    La messe s'est poursuivie avec la célébration de l’Eucharistie. Avant l’envoi, la professe devait remercier les fidèles présents ainsi que les sœurs et les prêtres qui l’ont accompagnés durant sa formation.

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    La célébration s’est conclue autour du verre de l’amitié où toute l’assistance était conviée.

    [texte et clichés : courtoisie de J.-M. Lejuste]

  • Grand (88) : restauration du tableau de sainte Libaire

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    [L'Abeille]

  • Des Français israélites - Une saga familiale du XVIIIe au XXIe siècle

    israelites.jpgQue reste-t-il de la saga familiale des Cerfberr, des Léon, des Worms de Romilly ou des Dreyfus, autant de familles juives originaires de l'Est de la France et, tout particulièrement de Lorraine, pour lesquels les descendants ignoraient quasiment tout jusqu'à fort peu...

    Jusqu'à ce que l'auteur explore des cartons anonymes qui s'entassaient dans un grenier familial. La documentation découverte lui permit d'établir son ascendance. Une véritable histoire du judaïsme français. L'arbre généalogique s'est transformé au gré des recherches en une série de destins qui donnait à voir la naissance et l'épanouissement d'une élite israélite, à qui il est progressivement devenu possible d'être à la fois tout à fait française et tout à fait juive.

    L'histoire des Cerfberr, des Léon, des Worms de Romilly et des Dreyfus, installés en Lorraine, enjambe quatre siècles et puise sa trame dans les bassins historiques du judaïsme français (Alsace, Lorraine, Bordelais).

    A travers l'histoire de cette saga familiale surgit sous nos yeux l'histoire de France : la fin de l'Ancien Régime dans les provinces, la Révolution, les campagnes napoléoniennes, la conquête de l'Algérie, la IIIe République, la Première Guerre mondiale, la Résistance et Vichy, les Trente Glorieuses.

    Du XVIIIe au XXIe siècle, partez à la découverte du parcours de Français israélites qui ont connu l'émancipation, l'assimilation et enfin l'intégration à la nation.

     

    ‡ Des Français israélites. Une saga familiale du XVIIIe au XXIe siècle, Adrien Cipel et Samuel Ghiles-Meilhac, éditions Michel de Maule, 2013, 270 p., ill. (20 €).

  • Les Guise et leur paraître

    guise.jpgCette monographie d'une ampleur exceptionnelle mène l'enquête sur la famille de Guise et son paraître. Branche cadette de la maison souveraine de Lorraine, fondée par Claude (1496-1550), fils du duc de Lorraine René II, comte puis duc de Guise, la maison de Guise  connut au XVIe siècle une ascension fulgurante. La conquête de la faveur royale, entreprise par Claude de Lorraine sous le règne de François Ier, permit à la famille de mener un rôle politique de première importance pendant des décennies, en particulier lors du court règne de François II (1559-1560), jeune roi entièrement dominé par ses oncles par alliance, François (1519-1563), deuxième duc de Guise, et Charles (1524-1574), cardinal de Lorraine, puis lorsqu'Henri (1549-1588), troisième duc de Guise, prit la tête de la Ligue. La richesse de la famille favorisera ce paraître ostentatoire...

    Cet ouvrage plonge le lecteur dans la culture matérielle de la noblesse du XVIe siècle et tout particulièrement celle de la puissante maison de Guise. Que possédait une grande famille française de la Renaissance ? Quels enjeux sociaux, politiques, économiques sous-tendaient la consommation d'une maison ducale ? Comment les Guise se procuraient-ils les biens nécessaires pour tenir leur rang ? Qui définissait ce qui était digne d'appartenir à un duc et pair de France, descendant d'une illustre maison qui prétendait régner sur la France ? Derrière la splendeur des velours de Lucques et la finesse des tapisseries flamandes se laissent alors deviner les mécanismes de la domination sociale et les affres de sa reproduction dans la France de la Renaissance.

     

    ‡ Les Guise et leur paraître, Marjorie Meiss-Even, Presses universitaires de Rennes-Presses universitaires François-Rabelais, 2013, 346 p., ill. (35 €).

  • A l'Est, du nouveau !

    archéologie guerre.jpgLa situation géographique de l'Alsace et de la Lorraine, zone frontière, confère à ces deux régions une place particulière pour la commémoration du premier conflit mondial. Provinces rattachées depuis 1871 au Reichsland Elsass-Lothringen sous administration allemande, avant leur retour à la France en 1918, l'Alsace et la Moselle ont constitué l'un des enjeux du conflit. Ces territoires présentent ainsi une relation directe avec cette période tragique de l'histoire et la mémoire des combats reste un élément fort de l'identité régionale.

    L'archéologie des conflits contemporains, et tout spécialement de la Première Guerre mondiale, est une branche très novatrice de la recherche, qui a ouvert récemment de nombreuses perspectives pour les études historiques et qui renouvelle la compréhension de la vie quotidienne des combattants sur les lignes de front. Des résultats importants ont été obtenus  en Alsace et en Lorraine - et tout particulièrement dans le massif vosgien - au cours de la dernière décennie, notamment à l'occasion d'opérations d'archéologie préventive menées sur des positions militaires.

    Cet ouvrage en dresse un premier bilan et aborde également de nombreuses problématiques historiques et archéologiques à travers une démarche largement pluridisciplinaire, illustrée par plus d'une soixantaine de sites documentés à ce jour dans les deux régions explorées.

     

    ‡ A l'Est, du nouveau ! Archéologie de la Grande Guerre en Alsace et en Lorraine, Bernadette Schnitzler et Michaël Landolt (dir.), éditions Musées de la Ville de Strasbourg, 367 p., ill. (35 €).

  • Bouxière-aux-Dames (54) : l'expulsion de l'abbé Cézard en 1948

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    [ER]

  • Villotte-devant-Louppy (55) : un blason pour la commune

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  • Mercredi des Cendres : entrée en Carême

    mercredi des cendres,carême,église,catholique,messe

    Bénédiction des cendres

     

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    Imposition des cendres

     

    Immutémur hábitu, in cínere et cilício : ieiunémus, et plorémus ante Dóminum : quia multum miséricors est dimíttere peccáta nostra Deus noster.

    [antienne de la messe du Mercredi des Cendres]

     

    Changeons de vêtements, couvrons-nous de cendre et du cilice, jeûnons et pleurons devant le Seigneur ; car notre Dieu tout miséricordieux est prêt à nous remettre nos péchés.

     

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    Imposition des cendres, messe des cendres 2014, 
    église Marie-Immaculée, Nancy [©H&PB].

     

    * * * 

     

    Messe des Cendres à la paroisse Notre-Dame de la Saône en l'église de Monthureux-sur-Saône, mercredi 5 mars 2014 à 10h00 (rite ordinaire)

    Messe des Cendres en l'église Marie-Immaculée, 33 avenue général Leclerc à Nancy, mercredi 5 mars 2014 à 18h30 (rite extraordinaire)

     

    [pour en savoir plus : http://www.introibo.fr/Mercredi-des-Cendres]

  • L'Echo des Trois Provinces n° 168

    echo168.jpgL'Echo des Trois Provinces de fin d'hiver est paru. Encore beaucoup d'info's sur la vie au Pays des Trois Provinces - aux confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.

    Au sommaire :

    - Les livres au Pays des Trois Provinces

    - Les monuments aux morts 

    - L'ermitage de Valrose à Rozières-sur-Mouzon (88)

    - La croix de Mathieux à Montigny-les-Cherlieu (70)

    - Bleurville (88) : un crucifix contre-révolutionnaire

    - Escles (88) : découverte d'une cave gallo-romaine du Ier siècle

    - Votre feuilleton : "Le chasseur de La Mothe"

    - L'AG des Croqueurs de pommes à Bleurville

    - Poèmes

    - Histoire de la cuisine : le veau

    - Marcel Arburger et Addi Bâ : cérémonie du souvenir à Epinal et en Guinée

    - Isches (88) : Saint Brice à l'honneur

    - La vie des associations au Pays des Trois Provinces

    - les animations

     

    L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement. Contact : ADP3P, 10 rue Jules-Ferry, 88320 MARTIGNY-LES-BAINS - Mail : tresorerie.adp3p@yahoo.fr 

  • Bleurville (88) : la commune appartient désormais au nouveau canton de Darney

    Le décret n° 2014-268 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département des Vosges rattache désormais Bleurville au nouveau canton de Darney.

    Bleurville aérienne 5 2005.jpgCe nouveau canton élargi regroupe les communes qui appartenaient jusque-là aux cantons de Darney, Dompaire, Lamarche et Monthureux-sur-Saône qui, eux, sont supprimés.

    Le nouveau canton de Darney comprend les communes suivantes : Les Ableuvenettes, Ahéville, Ainvelle, Ameuvelle, Attigny, Bainville-aux-Saules, Bazegney, Begnécourt, Belmont-lès-Darney, Belrupt, Bleurville, Blevaincourt, Bocquegney, Bonvillet, Bouzemont, Châtillon-sur-Saône, Circourt, Claudon, Damas-et-Bettegney, Damblain, Darney, Dombasle-devant-Darney, Dommartin-aux-Bois, Dommartin-lès-Vallois, Dompaire, Escles, Esley, Fignévelle, Fouchécourt, Frain, Frénois, Gelvécourt-et-Adompt, Gignéville, Girancourt, Godoncourt, Gorhey, Grignoncourt, Hagécourt, Harol, Hennecourt, Hennezel, Isches, Jésonville, Lamarche, Légéville-et-Bonfays, Lerrain, Lironcourt, Madonne-et-Lamerey, Marey, Maroncourt, Martigny-les-Bains, Martinvelle, Mont-lès-Lamarche, Monthureux-sur-Saône, Morizécourt, Nonville, Pierrefitte, Pont-lès-Bonfays, Provenchères-lès-Darney, Racécourt, Regnévelle, Relanges, Robécourt, Rocourt, Romain-aux-Bois, Rozières-sur-Mouzon, Saint-Baslemont, Saint-Julien, Sans-Vallois, Senaide, Senonges, Serécourt, Serocourt, Les Thons, Tignécourt, Tollaincourt, Les Vallois, Vaubexy, Velotte-et-Tatignécourt, Ville-sur-Illon, Villotte, Viviers-le-Gras.

    vosges,bleurville,darney,cantonLe bureau centralisateur de ce canton est le bureau centralisateur de la commune de Darney.

    Bleurville renoue avec une situation administrative qui prévalue sous la Révolution, époque durant laquelle la commune fut temporairement rattachée au district puis canton de Darney.

    [cliché : Bleurville, vue aérienne]

  • In memoriam colonel Bastien-Thiry

     

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    Jean-Marie Bastien-Thiry, 1948.

     

    On nous communique :

    Messe pour le repos de l'âme

    du colonel Jean-Marie Bastien-Thiry

    lundi 11 mars à 18h30

    à la chapelle du Sacré-Coeur

    65 rue maréchal Oudinot à Nancy

    * * * 

    Messe à la mémoire du colonel Jean-Marie Bastien-Thiry

    lundi 11 mars à 18h30

    en l'église Marie-Immaculée

    33 avenue général Leclerc à Nancy

  • Bleurville (88) : Les Amis de l'abbaye Saint-Maur préparent le 40ème anniversaire

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    Crypte pré-romane, abbatiale bénédictine Saint-Maur, Bleurville [cliché ©H&PB].

     

    Le bureau de l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville se réunira

    samedi 12 avril 2014 à 16h30

    mairie de Bleurville

    afin d'examiner l'ordre du jour suivant :

    - bilan 2013

    - programme été 2014 (recrutement guide, manifestations, Journées du Patrimoine)

    - élection du vice-président

    - convocation d'une AG

     

    >> Les personnes intéressées par la fonction de guide touristique saisonnier (assure les visites à l'abbaye Saint-Maur de bleurville entre le 1er juillet et le 31 août 2014 + entretien courant ; privilégier les personnes habitant le secteur) peuvent prendre contact avec le président à l'adresse courriel suivante : abbayesaintmaur.bleurville@gmail.com

  • La bière de mars de Ville-sur-Illon (88)

    Depuis presque vingt ans, les amateurs ont rendez-vous à l’écomusée de Ville-sur-Illon, conservatoire de la mémoire de l’histoire brassicole du département des Vosges.

    ville sur illon.jpgOn peut y déguster le cru 2014 de la fameuse bière de mars élaborée dans le courant de janvier par l’expérimentée équipe de brasseurs de la localité des bords de l’Illon. Celle qu’on appelle aussi la « rousse de printemps » est issue de malt et de houblons soigneusement sélectionnés qui, après une lente fermentation, réjouissent les papilles des connaisseurs.

    L’événement marque également la réouverture partielle de l’Ecomusée qui offrira chaque week-end des visites guidées ainsi que l’accès libre à l’espace de convivialité ou l’on peut admirer une exposition consacrée aux anciennes brasseries vosgiennes telles que Charmes ou Xertigny.

     

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    Plaque émaillée, réclame "Bière de Ville-sur-Illon", XXe s.

     

     

    ‡ Ouverture de l’Ecomusée de la bière de Ville-sur-Illon tous les dimanches jusqu’au 1er mai, de 14h30 à 18h00. Visites guidées à 15h00 et 16h30.

     

    [d’après Vosges Matin]

  • Vers la réhabilitation de la Maison des Chapelains à Domremy-la-Pucelle (88)

    lorraine,vosges,domremy,maison des chapelains,basilique,bois chenu,fondation du patrimoineL'édification de la Maison des Chapelains a débuté en 1891, pour accueillir les pères eudistes qui venaient d'arriver au village. Trois ans plus tard, la cause de Jeanne d'Arc est introduite, première étape vers sa béatification puis sa canonisation.

    Lieu d'accueil pour les pèlerins, lieux de résidence des chapelains qui s'y succèdent et promeuvent la cause de Jeanne en faisant vivre et développer le sanctuaire, la maison est reliée à la basilique Sainte-Jeanne dArc du Bois-Chenu par une galerie. Solide construction de la fin du XIXe siècle, son style s'intègre parfaitement à celui de la basilique. À l'allure typique des grandes constructions de ce temps, elle reste un témoin de l'adaptation des formes aux besoins d'une maison de ce type.

    Le bâtiment est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

    Aujourd'hui, cet élément incontournable du sanctuaire du Bois-Chenu a besoin de tous pour renaître, alors que les pères eudistes ont quitté le sanctuaire. Le diocèse de Saint-Dié va lui redonner vie mais des travaux sur les couvertures et façades, avant un aménagement intérieur sont nécessaires.

    Les travaux consistent en la réfection du clos et du couvert ; le montant retenu pour la souscription s'élève à 169 291 € TTC. Le coût global de la restauration est de 178 648 €.

    L'Association Diocésaine de Saint-Dié est le maître d'ouvrage du projet ; elle est soutenue financièrement par la Région Lorraine, le Conseil général des Vosges et par la DRAC Lorraine.

     

    ‡ Don possible sur http://www.fondation-patrimoine.org/fr/lorraine-15/tous-les-projets-722/detail-maison-des-chapelains-a-domremy-la-pucelle-15176

  • La guerre à coups d'hommes : la bataille des frontières de l'Est - Lorraine 1914

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    ‡ Plus d'info sur l'ouvrage ici http://guerrelorraine1914.monsite-orange.fr/index.html

  • "Danrit" : Driant écrivain

    Nancy a célébré samedi 22 février le 98ème anniversaire de la mort du colonel Driant. A cette occasion, le Souvenir Français a proposé une rétrospective sur Driant écrivain qui, rappelons-le, prit comme pseudonyme "Danrit" pour écrire ses ouvrages.

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    [source : Bibliothèque-médiathèque de Nancy]

     

    ‡ Plus d'info : http://issuu.com/stanislasbmnancy/docs/driant_livret_2014

  • Expo' "La manufacture vosgienne de grandes orgues de Rambervillers"

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  • Conférence sur les fortifications Séré de Rivières en Lorraine le 7 mars

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    Le Centre d'Interprétation et de Documentation 1914-1918 propose une conférence sur le général Séré de Rivières le vendredi 7 mars à 20h00 (entrée libre).

    Luc Dumont, spécialiste de la fortification et ancien du génie, parlera du général Séré de Rivières à qui nous devons prés de 450 forts, batteries et ouvrages divers dont le forts du Parmont (Remiremont), d'Uxegney (Epinal), Viller-le-Sec (Toul) et Manonviller.

    La conférence suivante, le 4 avril à 20h00 et au même endroit, permettra de comparer ce système au système allemand.

    Le CID 14-18 se trouve à la Ménelle, commune de Pierre-Percée (54).

  • "Mémoire de Saône Lorraine sur la Grande Guerre" à Hennezel (88)

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    ‡ Exposition à découvrir du 13 avril au 31 octobre 2014

    au musée des activités anciennes et de la Résistance 

    de Hennezel-Clairey (Vosges)

    Renseignement au 03.29.07.00.80

  • La tante de Russie

    fischer.jpgUne journaliste lorraine exhume le passé fabuleux d'une lointaine tante, femme hors du commun, qui vécut à la cour du tsar Nicolas II, auprès de la princesse Anastasia, et côtoya Raspoutine...

    Septembre 1899. La jeune Lucie quitte sa terre lorraine pour accomplir son fabuleux destin. Ou comment une orpheline née à Saint-Dizier, à la frontière de la Champagne et de la Lorraine, devient, à Saint-Pétersbourg, l'intime de la plus haute aristocratie impériale, la gouvernante des filles du dernier tsar de Russie, les princesses Olga et Tatiana, et l'amante passionnée du chef des cosaques du Don.

    Autant d'années lumineuses juste avant le chaos, la révolte d'un peuple acculé dont elle comprend pourtant la détresse. Et ses propres drames...

    Un nouveau roman de la lorraine Elise Fischer, plein de charme et d'émotions, entre Lorraine et Sainte Russie avant la révolution bolchevique de 1917.

     

    ‡ La tante de Russie, Elise Fischer, éditions Presse de la Cité, 2014, 264 p. (20 €).

  • Vanniers Yéniches d'Alsace

    yéniches.jpgBon nombre de villageois alsaciens et lorrains se souviennent que, jusqu'au début des années 1980, ont rencontrait encore fréquemment vanniers, bohémiens, manouches et autres "camps volants", sillonner les villages ruraux proposant corbeilles, paniers et "charpagnes" de leur production, mais aussi aiguisant les couteaux ou encore récupérant les peaux de lapins, avec leur phrasé si caractéristique. Parmi ces gens du voyage, il y avait des Yéniches, des nomades blonds venus du Ried alsacien...

    Bien que faisant partie du "paysage local", ces personnages sont souvent assimilés à des Tsiganes alors que leurs origines sont toutes autres. Cette méconnaissance s'explique d'une part par l'absence d'écrits et de sources historiques - ces populations sont de tradition orale - et, d'autre part, par la disparition progressive des métiers traditionnels.

    Cet ouvrage, fruit de nombreuses années de recherches, est un voyage "au pays des Yéniches" auquel le lecteur est invité à la rencontre de personnes qui rappelleront forcément des portraits d'hommes et de femmes rencontrés à un moment de son existence, dont il pourra découvrir, au-delà de l'absence apparente de richesses culturelles, une communauté minoritaire réellement digne d'intérêt qui marqua la vie traditionnelle de nos villages de l'Est.

    Une étude sociologique solide et originale sur un groupe humain méconnu et mystérieux.

     

    ‡ Vanniers (Yéniches) d'Alsace, Rémy Welschinger, éditions L'Harmattan, 2013, 293 p., ill. (29 €).

  • Edouard de Castelnau, l'artisan de la victoire

    Castelnau.jpgSaint-cyrien et combattant de 1870, le général de Castelnau fut l'une des grandes figures de l'armée française de la Belle Epoque, autant par son implication dans les grands débats de son temps que pour son rôle dans l'élaboration du plan XVII et la préparation de l'armée à la guerre.

    En 1914, il conduisit l'offensive de sa IIe armée en Lorraine et sut rétablir la situation après la sévère défaite du 20 août devant Morhange. Dès lors, "le sauveur de Nancy" s'affirma comme l'un des généraux les plus capables, notamment lors de la bataille du Grand Couronné entre le 4 et le 13 septembre 1914.

    Lorsqu'il fut appelé au GQG auprès de Joffre, il joua encore un rôle prépondérant dans la réaction à l'attaque sur Verdun. Toutefois, la portée réelle de son action reste méconnue, voire minimisée. Bien qu'il ait été l'un des principaux artisans de la victoire, il fut écarté du maréchalat après guerre, avant de s'engager dans un nouveau combat, politique, social et confessionnel, avec la Fédération nationale catholique qu'il crée en 1924 en réponse à la politique jugée antireligieuse du Cartel des gauches.

     

     ‡ Edouard de Castelnau (1851-1944). L'artisan de la victoire, Jean-Paul Huet, éditions Anovi, 2013, 128 p., ill. (7,50 €).

  • Saône vosgienne : l'amicale des AFN a 50 ans

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    [Vosges Matin]

  • Joffre

    joffre.jpgNi hagiographie, ni critique systématique, cette biographie complète et contextualisée permet, à partir des archives et des écrits de l'époque, de retracer la carrière du maréchal Joseph Joffre (1852-1931). Ce catalan, réputé "mou", fut l'un des chefs militaires les plus contestés de la Première Guerre mondiale.

    Apprécié comme l'un des meilleurs connaisseurs de l'armée française, métropolitaine ou coloniale, sous toutes ses facettes, ce sapeur de formation - il fut ingénieur du génie -, fut critiqué par les conservateurs lors de sa nomination comme chef d'état-major général en 1911 (ses accointances avec la franc-maçonnerie lui furent reprochées, même s'il prit ses distances avec le Grand Orient à la suite de sa nomination outre-mer).

    Adulé après la bataille de la Marne, même si la paternité de la victoire lui est disputée par le général Gallieni, il est de plus en plus critiqué jusqu'à être remplacé par Nivelle en 1916. Peu à peu oublié puis calomnié à partir de l'entre-deux-guerres, Joffre n'est plus qu'une image d'Epinal. Or, contrairement à ce que répètent ceux qui se contentent de colporter les idées reçues, ses décisions ont souvent été particulièrement judicieuses.

    Une personnalité du premier conflit mondial à redécouvrir à l'occasion du Centenaire de l'entrée en guerre.

     

    ‡ Joffre, Rémy Porte, éditions Perrin, 2014, 427 p. (23 €).