Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Nos traditions - Page 5

  • Joyeuse et sainte Nativité !

    Nativité, XVe s., Musée d'art sacré, Saint-Mihiel, Meuse.

    Voici que je viens vous annoncer une bonne nouvelle, une grande joie pour tout le peuple : " Aujourd’hui vous est né un Sauveur ! "

    Et soudain la nuit resplendit de lumière. Les bergers réveillés par l’ange entendent le message de paix et de joie…

  • Les parlers du pays de Neufchâteau

  • L'ameublement en Lorraine : 150 ans d'aventure industrielle

    Terre de sidérurgie, de textile et de mines, la Lorraine a également été et continue d’être un foyer industriel d’ameu­blement significatif. Des Vosges à la Meuse en passant par la Meurthe-et-Moselle et la Moselle, de multiples fabriques de meubles s’y sont développées à partir de la mi-XIXe siècle. Près de 11 000 Lorrains ont travaillé dans cette industrie régionale de l’ameublement à son apogée.

    Pourquoi ces usines se sont-elles installées en Lorraine ? Par qui ont-elles été créées ? Comment se sont-elles développées ? Quelles étaient leurs productions ? Qui y travaillaient ? Autant de questions auxquelles cet ouvrage richement illustré se propose de répondre afin de permettre aux amateurs d’histoire de la Lorraine de mieux connaître ce secteur industriel qui n’avait jusqu’à présent jamais fait l’objet d’une étude d’ensemble.

    Chacun y trouvera également une multitude de souvenirs de jeunesse, mais aussi familiaux. Enfin, on y découvre les fabriques lorraines de sièges et de meubles actuelles qui continuent, aujourd’hui encore, de jouir d’une notoriété internationale. Et qui dynamise l'emploi en Lorraine.

     

    ‡ L'ameublement en Lorraine. 150 ans d'aventure industrielle, Jean-Charles Vogley, éditions Vent d'Est - Vademecum, 2017, 120 p., ill. (20 €).

  • 772e procession en l'honneur de saint Nicolas à Saint-Nicolas-de-Port

    Trois mille fidèles pour la 772ème procession ancestrale en l'honneur de saint Nicolas, patron de la Lorraine, en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port, présidée par Mgr Gusching, évêque de Verdun.
     
    Avec une prière toute particulière pour l'abbé Jean-Louis Jacquot, recteur de la basilique portoise et fervent de saint Nicolas, qui nous a quitté le 30 septembre 2017.

  • La Nouvelle revue lorraine n° 47 : restauration du grand orgue de l'abbatiale de Saint-Mihiel

    Notre revue régionaliste bimestrielle propose dans son numéro 47 un dossier sur le projet de restauration du grand orgue de Saint-Mihiel.

    Par ailleurs, on lira avec plaisir plusieurs évocations et articles sur des anecdotes historiques lorraines, comme les tentatives de paix de 1917 lancées par SAIR Charles Ier de Habsbourg-Lorraine, la naissance de la lignée des Habsbourg-Lorraine, la navigation sur la Seille, un médecin meusien inventeur d'appareils orthopédiques, les cantonnements à Ludres durant la Première Guerre mondiale, l'aide américaine en 1917-1918, des pilotes de rallye lorrains ou Jean de Joinville, un pèlerin champenois à Saint-Nicolas-de-Port...

    Et encore bien d'autres nouvelles et anecdotes qui occuperont vos longues soirées d'hiver !

     

    ‡ On peut acquérir des numéros de La Nouvelle revue lorraine ou s'y abonner, en consultant le site de la revue : www.nouvelle-revue-lorraine.fr/

     
  • Jean-Baptiste Picard : "Le patois du pays de Neufchâteau est une langue comme les autres"

  • La légende de saint Nicolas

    La bonne figure rassurante de saint Nicolas demeure dans tous les esprits et évoque irrésistiblement l'enfance et ses enchantements.

    L'ouvrage revisite les origines historiques puis légendaires de notre bon saint, internationalement célébré. L'auteur rappelle l'importance qu'il a pour la Lorraine qui en a fait son saint patron.

    Célébré surtout dans le Nord-Est de la France et dans le monde germanique, il est aussi le protecteur de la Sainte Russie, il a inspiré des œuvres littéraires et musicales et participe aux vivantes traditions de chaque fin d'année. Le très laïc Père Noël s'est même inspiré de lui afin de lui ravir la vedette...

    Le livre, richement illustré, nous fait redécouvrir le saint Nicolas de notre enfance et l'inspirateur de belles traditions chrétiennes et familiales.

     

    ‡ La légende de saint Nicolas, Marie-Joséphine Strich, éditions Ouest-France, 2017, 123 p., ill. (19,90 €).

  • Ô grand Saint Nicolas patron de la Lorraine !

    Il était trois petits enfants
    Qui s'en allaient glaner aux champs...

    Bonne fête aux Nicolas !

    Et vive saint Nicolas, patron des Lorrains et des enfants sages !

  • Les allées arborées : un patrimoine paysager à protéger

  • La France catholique

    Jean Sévillia nous brosse le panorama du catholicisme français actuel dans la diversité de ses engagements.

    « La République est laïque, mais la France est chrétienne », disait le général de Gaulle. Or, depuis la fin des années 1960, la société française a connu des mutations sans précédent qui ont bouleversé « la fille aînée de l'Église », certains prédisant même sa disparition en mettant en avant le recul de la pratique ou le déclin du mariage.

    Pour en avoir le cœur net, Jean Sévillia est parti à la rencontre de cette France catholique, beaucoup plus jeune, ouverte et diverse qu'on ne le pense communément. Il a enquêté sur ses structures et interrogé ses acteurs, analysé son engagement croissant dans la cité tout en soulignant son enracinement dans notre histoire. Une enquête indispensable portée par la plume exemplaire d'un spectateur engagé.

    Un souffle d'espérance nécessaire pour cette France en quête de repères.

     

    ‡ La France catholique, Jean Sévillia, éditions Perrin, coll. Tempus, 2017, 192 p., 7 €.

  • Les rendez-vous des Pèlerins de Lorraine - Mémoire des Lorrains

    Les rendez-vous des prochains moins avec les Pèlerins de Lorraine - Mémoire des Lorrains :

    Samedi 9 décembre 2017, fête de Saint Nicolas en sa basilique de Saint-Nicolas-de-Port à 20h30 avec la traditionnelle procession aux flambeaux, dite du Sire de Réchicourt

    Dimanche 10 décembre 2017 de 15h à 18h café littéraire (et vin chaud) à la salle communale de Laneuvelotte avec la participation de plusieurs auteurs lorrains

    Vendredi 5 janvier 2018, rendez-vous à 18h30 sur la place de la Croix de Bourgogne à Nancy pour la commémoration annuelle de la Bataille de Nancy et victoire des Lorrains sur les Bourguignons (5 janvier 1477)

    Pèlerinage annuel de Domremy-Vaucouleurs pour la 40ème année. Bivouac le samedi 12 mai 2018. Départ le dimanche 13 mai à 8h30 de l'église de Domremy. Messe à midi en l'église de Champougny. Repas tirés des sacs. Nouveau départ à 14h30 vers Vaucouleurs

    Pèlerinage annuel de Pentecôte de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres les 19, 20 et 21 mai 2018. Pour ceux qui restent en Lorraine, pèlerinage de la Saint Nicolas d’été le 21 mai, lundi de Pentecôte, du Tremblois à Saint-Nicolas-de-Port (départ au Tremblois à 9h00)

  • Passavant-la-Rochère (70 ) : expo' "Un monde de créches, crèches du monde"

    Depuis plus de 2000 ans… La crèche toujours d’actualité

    Parler de la crèche, c’est évoquer une histoire qui remonte à plus de 2000 ans et qui s’appuie sur la croyance en un Dieu incarné. Indépendamment de toutes références religieuses, il faut bien reconnaitre que la naissance du Christ a joué et joue encore de nos jours, un rôle déterminant dans notre société, ne serait-ce que pour nous repérer dans le temps. Mais pourquoi fête-t-on la Nativité le 25 décembre ?

    Et comment expliquer que cette tradition vieille de plus de 2000 ans demeure dans le monde entier ? Tradition de représenter Marie et Joseph veillant sur un petit Enfant couché sur de la paille et réchauffé par le souffle d’animaux et autour d’eux, bergers, anges, villageois, mages représentants les trois âges de la vie et les trois couleurs de peau connues. Vers le IIème siècle, on ajoute les animaux auprès de la Sainte Famille à la lecture d’un verset d’Isaie 1.3 : « Le boeuf connait son propriétaire, et un âne la mangeoire chez son maître ».

    D’après Saint Luc, seul évangéliste à évoquer la Nativité, c’est bien une « crèche » qui servit de berceau à l’Enfant Jésus et, d’après le Petit Robert, une crèche est une mangeoire pour les animaux, par extension « la crèche » est devenue le petit édifice représentant l’étable de Bethléem. Saint Luc ne donne aucune date de naissance pour le Christ. Les rares éléments permettent d'estimer que la Nativité a probablement eu lieu vers l'an 5 ou 6 avant notre ère, mais sans qu'un jour précis soit connu. D'ailleurs, pour les premiers chrétiens, la fête de Noël n'existait pas : seule comptait Pâques, fête de la Résurrection.

    C'est vers 330 que Noël commence à être fêté à Rome le 25 décembre. Une date qui correspond à une fête païenne, la fête de « Sol Invictus », le Soleil invincible, fêté au moment où les jours commençaient à rallonger et au cours de laquelle on allumait de grands feux.

    Les chrétiens ont vite associé le Christ au soleil, et aujourd'hui la tradition chrétienne résonne de ces symboles du Sauveur des nations , désigné comme un « Soleil levant », comme le rappelle la liturgie de la nuit de Noël avec le texte d'Isaïe : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu se lever une grande lumière » (Is 9, 1).

    Noël n'est cependant pas fêté le 21 décembre, jour du solstice d'hiver. Une différence due au calendrier julien, institué en 46 av. J.-C. par Jules César, qui avait fixé le solstice au 25 décembre. C'est cette date officielle du solstice que le concile de Nicée (325) reprendra pour Noël. Le 25 décembre, au départ est donc une fête d’origine païenne.

    En 354 après Jésus-Christ, le pape Libère souhaite mettre un terme aux débats sur la date de la Nativité : il décide de la situer au 25 décembre. En 525, un moine, Denys le Petit, se charge lui aussi de calculer la date exacte et arrive à la même conclusion, mais ses calculs sont erronés. La postérité retiendra quand même la date du 25 décembre. Cette date ne correspond pas à la chronologie historique car Jésus naquit durant le règne de César Auguste et le gouvernorat de Quirinius en Syrie (Lc 2.1, 2). L'estimation généralement retenue par les historiens actuels va de 7 à 5 avant notre ère.

    Autour de la date du solstice d’hiver, les romains avaient l’habitude de célébrer deux périodes de réjouissance : les Saturnales (du nom du dieu de l’agriculture) puis les Sigillaires, où des petits cadeaux étaient échangés (et oui, la tradition vient de là !). Depuis le IIème siècle avant Jésus-Christ, dans toute la partie orientale de la Méditerranée, les adeptes du culte de Mithra fêtaient également à la fin décembre l’arrivée du dieu soleil et le retour de la lumière. A l’époque de Libère et de Denys Le Petit, le christianisme, qui commence à se développer, est en concurrence avec ces traditions païennes. La date hautement symbolique du 25 décembre est donc parfaite !

    D’autant plus que le message des fêtes romaines et de Mithra peut être repris par l’Église à son compte. Jésus incarne le soleil sacré : après sa naissance, les nuits reculent et les jours s’allongent. Grâce à lui, la lumière l’emporte sur les ténèbres. Un message qui a fait date dans l’histoire du monde.

    Grâce à l’histoire de l’art, la sculpture, la peinture, on sait que la représentation de la crèche remonte aux premiers siècles de notre ère. Les premiers chrétiens suivent la tradition juive qui n’accepte pas de représentation de Dieu. La seule représentation qu’ils acceptent est celle de symboles tels que le poisson, l’ancre, la croix… Peu à peu apparaissent les images sculptées choisies dans le répertoire biblique comme l’agneau. Les premières images de la naissance du Christ se trouvent à Rome dans les catacombes de Priscille. Une fresque représente la Vierge assise avec l’Enfant sur les genoux, un prophète à côté d’elle désigne l’étoile. Un peu plus loin trois mages apportent leurs offrandes. Dès le IVème siècle, des images de la Nativité sont sculptées dans la pierre des sarcophages. En 692, le concile de Constantinople encourage les artistes à représenter le visage du Christ. Pendant plusieurs siècles, l’art chrétien sera dominé par le modèle oriental de l’icône : ce n’est pas une description de la réalité mais « un mystère à contempler ».

    En cherchant le réalisme, le Moyen Âge insiste davantage sur la part humaine. A partir du XIIème siècle la sensibilité prend une part plus importante dans la dévotion. En 1211, le pape Innocent II avait condamné les abus auxquels donnaient lieu certaines représentations des mystères dans les églises. Sous l’influence de François d’Assise qui en 1223 organise à Greccio avec les habitants des villages, un âne et un bœuf « la première crèche vivante », de saint Bernard et saint Dominique, on exalte l’Incarnation du Christ ; ainsi les artistes tentent de montrer la double nature divine et humaine de cet Enfant Jésus. Au XIVème siècle, c’est dans la vie quotidienne que l’on puise des images : la Vierge est assise ou à genoux et non plus couchée, les commanditaires osent se faire représenter sur les tableaux. La Vierge joint les mains ou écarte les langes de l’Enfant couché dans une grande corbeille. Le thème de l’adoration se substitue au thème byzantin de l’accouchement.

    Durant la Renaissance, en Italie, on peut admirer les plus belles toiles de tous les temps dans lesquelles les personnages portent les vêtements de l’époque. Dans les Flandres, à Bruxelles, à Bruges et plus tard à Anvers sont créés de très nombreux retables en bois sculpté consacrés à la Nativité. La Réforme déclenchée par Luther est à l’origine de profonds bouleversements dans l’Eglise catholique. Le protestantisme ne veut plus de représentation du mystère chrétien .L'art perd sa source principale d’inspiration, beaucoup d’œuvres sont détruites, il n’est plus question d’images de la Nativité dans beaucoup de régions.

    Rome réagit et convoque le Concile de Trente (1545-1563). La Contre-Réforme obtient des résultats rapides dans l’art ; l’Eglise met de l’ordre dans les figurations religieuses souvent exagérées et superstitieuses, elle ne les condamne pas, elle les encourage pour instruire le peuple et le porter à la prière. Elle favorise le goût de la réalité dans la représentation du sacré. Elle abandonne beaucoup de références à « la légende dorée » de J. de Voragine, jugée suspecte pour son goût du merveilleux. Du XIIIème au XVIIème siècle, les spectacles liturgiques étant interdits dans les églises, c’est sur le parvis des cathédrales que sont mis en scène non seulement la Nativité mais aussi l’Ancien Testament et la vie des saints. En 1548, certains mystères furent interdits et c’est Louis XIV qui supprima les « confréries de la Passion » qui les organisaient.

    De nouveaux ordres religieux se créent et jouent un rôle déterminant dans la Contre-Réforme. Les jésuites, surtout mêlent leurs efforts aux artistes et aux théologiens et aboutissent à un nouveau style largement inspiré par la foi : le Baroque. Le Baroque s’affranchit des règles de la Renaissance et se caractérise par une liberté de mouvements et une profusion d’ornements. Il finira dépassé largement par le Rococo. L’autorité ecclésiastique cherchera à contrôler ses excès et c’est très lentement qu’elle acceptera pour la crèche de voir des scènes locales l’emporter sur le sacré.

    La Contre-Réforme aboutit à un renouveau de la dévotion à l’enfance de Jésus et à la Nativité. La première crèche citée se trouve dans l’église des jésuites à Prague en 1560 (antériorité qui peut-être disputée par deux crèches : celle de l’abbaye de Pebrac, en Auvergne, fin du XVème et celle de l’Abbaye de Montbenoît, dans le Doubs, début XVIème). L’archevêque de Berlaymont (jésuite, 1576-1637) justifie ainsi l’utilité de la crèche : « elle doit donner l’impression de participer au Mystère de la Rédemption ». Les crèches se développent lentement.

    Les premières crèches domestiques restent rares car elles coûtent cher et sont réservées aux privilégiés. C’est vers la fin du XVIème que se développent les crèches familiales. Au XVIIIème siècle, il y a peu de changements dans la représentation de la Nativité, on constate une raréfaction des thèmes religieux dans l’art. Le « Siècle des Lumières » assèche l’inspiration par son rationalisme, les élites s’en détournent mais le peuple continue : c’est la naissance de l’art populaire, les personnages sont petits et souvent en argile, peut-être est-ce la naissance de la crèche provençale…

    Les persécutions religieuses de la Révolution, les fermetures d’églises vont aboutir en ce qui concerne les crèches au résultat inverse, le peuple ne pouvant plus voir les crèches des églises, va s’en fabriquer des petites à usage domestique.

    Le XIXème siècle subit aussi la raréfaction des thèmes religieux, mais sous l’influence du romantisme puis des nazaréens (mouvement pictural de renouveau de la peinture germanique au début du XIXème siècle), il voit la naissance d’un style orientalisant soucieux de réalisme et d’authenticité. Il se développe alors une crèche populaire, localisée surtout en Provence, marquée par le choix des personnages, décors et costumes, imitée de la crèche napolitaine.

    Dans la seconde moitié du siècle, se développe l’art religieux industriel dit « sulpicien » (né dans le quartier Saint-Sulpice à Paris), tout caractère régional disparaît alors, favorisant une large diffusion géographique des modèles notamment dans les pays de mission.

    Le XXème siècle voit le rejet du style sulpicien et connaît ainsi la naissance de courants artistiques dans toutes les directions. Les crèches nouvelles retrouvent la tradition, une spiritualité et une beauté perdues. Elles remplacent les crèches dites de « Saint-Sulpice » mais fabriquées en petite série, souvent par des moniales, elles sont plus coûteuses. Il existe aussi de très nombreuses représentations de la Nativité influencées par l’identité culturelle de chaque peuple, par les traditions ancestrales et folkloriques du pays, le travail, les formes de l’habitat, les costumes, les coutumes, l’offrande d’un produit local, les matériaux disponibles sur place, les animaux (dans certains pays l’âne et le bœuf sont devenus chèvre et chien) et par l’Histoire Sainte et les Evangiles apocryphes, le contexte politique et humain font qu’une collection de crèches est une mine de symboles, d’expressions différentes de foi et de vie des hommes. Le XXIème ne fait que commencer et la tradition « de faire la crèche » est toujours vivante !

    Dominique et Claude Grandjean

     

    > Les collectionneurs de crèches n’ont pas de nom, nous en sommes et vous invitons à venir découvrir notre collection d’environ 380 pièces, à découvrir le monde de cette étoile qui a guidé les bergers et les hommes de bonne volonté, de ces savants qui ont suivi l’étoile , du coq et du bâton en fleur de Joseph et de tous ces petits personnages, tel le Ravi et bien d’autres encore…

    > Les samedis 9 et 23 décembre, les dimanches 26 novembre, 3 et 17 décembre, de 10h à 20h00, ou dans la semaine sur rendez-vous au 03.84.92.45.41. Nous vous accueillerons avec plaisir au 12, charrière de Vougécourt à Passavant-la-Rochère (Haute-Saône). Entrée gratuite.

    > Les auteurs recherchent à entrer en relation avec des collectionneurs d’objets en rapport avec Noël, crèches comprises.

  • Paroisse Notre-Dame de la Saône : partage avec les grandes paroisses voisines

    Cinquante ans "d'ouverture au monde" et aux "opprimés" ou aux "oubliés" n'ont pas suffit à évangéliser ou ré-évangéliser... mais ont plutôt contribuer à faire fuir les fidèles des églises. Il faudra bien un jour se poser la vraie question : l'Eglise catholique doit-elle être une "ONG humanitaire", dénoncé par Sa Sainteté le pape François, ou un lieu de prière où l'on rend gloire à Dieu à travers la liturgie de la messe et où l'on travaille au salut des hommes ?... Il y va de l'avenir de notre Eglise, notamment en milieu rural.

  • 99ème anniversaire de l'Armistice de 1918

    Hommage à tous les soldats morts au champs d'honneur durant la Première Guerre mondiale en ce 99ème anniversaire de l'Armistice du 11 Novembre 1918.

  • Notre-Dame de Bermont accueille deux nouvelles statues

    La chapelle Notre-Dame de Bermont a accueilli cet automne deux nouvelles statues : celle de l'archange Gabriel et celle de sainte Marguerite-Marie Alacoque.

    Ces sculptures ont été réalisées par le RP dom Jean-Bosco, bénédictin en l'abbaye bourguignonne Saint-Joseph de Clairval à Flavigny-sur-Ozerain. Elles ont été installées et bénites lors des IVe Journées johanniques organisées par l'association Notre-Dame de Bermont – Sainte Jehanne d'Arc qui anime les lieux depuis 25 ans.

    Une dernière statue sera réalisée en 2018 afin de clore le cycle des saints en lien avec la spiritualité de Jeanne d'Arc : celle de saint Maurice, patron de l'église paroissiale de Greux.

    [cl. ©A. Olivier]

  • La truffe de Lorraine par Jacques Cuny, patron de l'Arsenal à Nancy

  • Blénod-lès-Toul (54) : 5ème centenaire de la mort de l'évêque Hugues des Hazards

  • Le Pays lorrain 03/2017 : le palais ducal de Nancy dans la première moitié du XVIIIe siècle

    Le numéro automnal du Pays lorrain vous propose une balade dans l'histoire de notre Lorraine : vous revisiterez les siècles qui ont fait l'histoire de nos anciens duchés.

    Au sommaire :

    - le palais ducal de Nancy dans la première moitié du XVIIIe siècle : architecture et vie de cour

    - la Vierge de pitié de Fouchères-aux-Bois (Meuse) : contribution à l'étude des Piétà lorraines du XVIe siècle

    - 1867 : François-Joseph à Nancy - L'hommage et la fidélité

    - Lorrains sans frontières, deux expositions à découvrir à Nancy

    - le patrimoine lorrain après la Grande Guerre :  restaurer, reconstruire, créer, se souvenir, détruire : plusieurs études sont proposées sur ce thème

     

    ‡ Le Pays lorrain est disponible à l'accueil du Musée lorrain à Nancy ou sur abonnement. Plus d'info sur http://www.societe-histoire-lorraine.com/

  • La Nouvelle revue lorraine n° 46 : honneur au 1er régiment de chasseurs de Thierville

    Encore un riche sommaire pour ce 47ème numéro de La Nouvelle revue lorraine qui occupera vos soirées automnales...

    Jean-Marie Cuny nous propose dans ce numéro bimestriel :

    - un imagier de pierre

    - le 1er régiment de chasseurs de Thierville-sur-Meuse

    - une jeunesse dans la tourmente

    - une cultivatrice très courageuse

    - la grande aventure du train sur rails : 1852 - Nancy-Lunéville

    - Wala, l'évêque messin qui défia les Vikings

    - le prieuré de Parey-sous-Montfort

    - à propos de la maison "gothique" de Robécourt

    - nostalgie scolaire

    - des célébrités et des plaques dans les rues de Nancy

    - les recettes du chef de l'Arsenal

    - la bataille de Bar du 15 novembre 1037

     

    ‡ Le numéro 47 de La Nouvelle revue lorraine est disponible dans les bonnes librairies lorraines (elles sont peu nombreuses !) et sur le site Internet www.nouvelle-revue-lorraine.fr/  

  • Villers-lès-Nancy (54) : Conférence sur Marie-Antoinette, une mère face à la révolution

  • Décès de l'abbé Jean-Louis Jacquot, curé de Saint-Nicolas-de-Port et recteur de la basilique

    M. l'abbé Jacquot lors de la traditionnelle procession de Saint Nicolas, décembre 2016 [cl. ©H&PB].

    Monsieur l'abbé Jean-Louis Jacquot, curé de la paroisse Saint Nicolas en Lorraine et recteur de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port (54) a rejoint la Maison du Père ce samedi 30 septembre 2017 en la fête de Saint Jérôme.

    Il fut un grand promoteur de la dévotion à saint Nicolas, un grand Lorrain et un ardent artisan du rapprochement entre l'Eglise latine et l'Eglise byzantine, à l'image de son saint bien aimé, Nicolas de Myre.

    Ses obsèques religieuses seront célébrées jeudi 5 octobre à 14h30 en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port.

    RIP+

  • Nancy : hommage à Jean-Pierre Coffe au marché central

    La Ville de Nancy vient de baptiser récemment la halle principale du marché centrale de la cité ducale "Cour Jean-Pierre Coffe".

    L'animateur de télévision et critique gastronomique Jean-Pierre Coffe (1938-2016) était originaire de Lunéville et sa mère d'origine vosgienne. Très jeune, il découvrit le monde du maraîchage et fut initié à la cuisine régionale par ses grands-parents lorrains.

    Attaché à Nancy et à son marché central, il fut le grand pourfendeur devant l'Eternel de la "malbouffe" et un authentique promoteur des produits de qualité. C'était aussi un amoureux du véritable cochon traditionnel !

    Désormais, l'allée principale du marché nancéien rappelera le souvenir de ce truculent défenseur de la gastronomie française.

  • Le Grand Almanach de la Lorraine 2018

    Daniel Bontemps, en amoureux de la Lorraine, de son histoire et de ses traditions, nous propose son Grand Almanach pour l'année 2018. Le lecteur retrouvera, jour après jour, le passé de notre région, ses trésors patrimoniaux, ses légendes, des anecdotes en nombre, mais aussi des recettes de notre Lorraine et des informations pratiques sur les marchés ou les musées à visiter dans nos départements lorrains, des conseils de jardinage, des pages jeux...

    Ce Grand Almanach sera votre compagnon au quotidien : il vous apportera culture et divertissement tout au long de l'année !

     

    ‡ Le Grand Almanach de la Lorraine 2018, Daniel Bontemps, La Geste éditions, 2017, ill. (9,90 €).

  • Domremy (88) : pèlerinage à Sainte Jeanne d'Arc

    Dimanche 1er octobre aura lieu le pèlerinage traditionnel à Domremy sous l'égide de la maison de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X de Nancy, en l'honneur de Sainte Jeanne d'Arc.

    Programme :

    9h30 : départ de la basilique du Bois-Chenu puis pique-nique
    15h50 : arrivée à la basilique Sainte-Jeanne d'Arc
    16h00 : messe solennelle (rite extraordinaire de l'Eglise catholique)

  • Francheville (54) : restauration de l'oratoire de la Vierge à l'Enfant

    L'oratoire de la Vierge à l'Enfant de la rue de la Terrière à Francheville (Mthe-et-Melle, canton du Nord-Toulois) a été restauré cet été par la commune et avec le soutien de l'association nationale Connaissance & sauvegarde des oratoires.

    Cet oratoire de bord de la route a été construit en 1958 à l'initiative de l'abbé Bougeois, curé de Francheville et Avrainville de 1953 à 1960. La construction fut réalisée par Alexandre Chrétien, de Tremblécourt. L'oratoire fut béni en 1959 par l'abbé Bougeois à l'issue d'une procession aux flambeaux.

    Félicitations à l'équipe municipale pour son engagement en faveur du patrimoine chrétien du village.

  • Recueil d'anecdotes historiques de Lorraine

    Jean-Marie Cuny annonce la couleur dès la première de couverture : "Je n'aime de l'histoire que les anecdotes". Reprenant la fameuse citation de Prosper Mérimée, notre lotharingiste fait partager à son lecteur l'histoire de la Lorraine à travers plus de 250 anecdotes authentiques glanées au fil de ses lectures et de découvertes dans les archives, ainsi que des bons mots historiques prononcés par d'illustres Lorrains.

    Notre auteur, en fin connaisseur de l'histoire de la Lorraine, revisite l'histoire des anciens duchés de Charlemagne au 250ème anniversaire de l'annexion de la Lorraine par la France.

    Un bon moment de détente tout en se cultivant... et en cultivant également notre amour pour la riche et originale histoire de la Lorraine !

     

    ‡ Recueil d'anecdotes historiques de Lorraine, Jean-Marie Cuny, éditions du Sapin d'Or, 2017, 161 p., ill. (29,50 €).

  • Jeunes Lorrains, rejoignez les Europa Scouts nancéiens !

  • Les Petits-Thons (88) : le calvaire restauré et béni

    Le calvaire situé à proximité de l'ancien couvent des Cordeliers des Petits-Thons, entre Monthureux-sur-Saône et Châtillon-sur-Saône, vient de faire l'objet d'une restauration de qualité.

    Edifié en 1546, il a fait l'objet d'une transformation au tournant des XVIIIe-XIXe siècles.

    Il a été béni récemment par le curé de la paroisse à l'issue de la messe dominicale.

  • Pour commander le "Recueil d'anecdotes historiques de Lorraine" de Jean-Marie Cuny