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La vie en Lorraine - Page 17

  • Un nouvel album de "Sylvain et Sylvette" par le Lorrain Claude Dubois

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  • 539e anniversaire de la Bataille de Nancy

    Mémoire des Lorrains invite les Lorrains à célébrer le 539e anniversaire de la Bataille de Nancy remportée par le duc de Lorraine René II sur le Bourguignon Charles le Téméraire le 5 janvier 1477,

    Mardi 5 janvier 2016 à 18h30

    Place de la Croix-de-Bourgogne à Nancy

    Harangue de Jean-Marie Cuny,

    animateur de La Nouvelle revue lorraine

    Vin chaud partagé avec les participants

  • Rosières-aux-Salines (54) : la chapelle de l'ancien hospice en sursis

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  • Messe de minuit à l'église Marie-Immaculée de Nancy

    La Messe de minuit a été célébrée dans la ferveur en l'église Marie-Immaculée de Nancy.

    L'humble crèche est installée dans les échafaudages du transept actuellement en travaux, à l'image de l'Eglise universelle qui est perpétuellement en chantier...

  • Disparition du RP Serge Bonnet, dominicain, historien du monde ouvrier lorrain et sociologue

    Il était un homme de foi et un grand intellectuel. Le RP Serge Bonnet fut aussi un écrivain, il a fondé avec Daniel Mengotti et François Guillaume le Village du Livre de Fontenoy-la-Joûte et est à l’origine de la création des Éditions Serpenoise, la société d’édition du Républicain Lorrain. Le Père Serge Bonnet, une des figures marquantes de la Lorraine industrielle et ouvrière, celle des usines et des mines du Pays Haut et de Moselle, celle du monde rural des années soixante à 1990, s’est éteint vendredi à l’âge de 91 ans. Serge Bonnet était né en 1924 dans une modeste famille d’agriculteurs de la Marne.

    Personnage riche et chaleureux, aimant les humbles, animé par une foi rayonnante, avec une stature imposante et une voix qui savait être forte ou douce. Il était d’abord un religieux, bien que rien à l’origine n’eût prédestiné le gamin, qui n’aimait pas l’école et était réfractaire au catéchisme, à emprunter les chemins de la religion.

    Vêtu de l'habit blanc des Dominicains, il était « un frère prêcheur ». Dans son couvent de Nancy, dans sa paroisse, lors de cérémonies familiales ou amicales, « il était toujours là pour baptiser, marier, enterrer », disait de lui son ami l’écrivain Daniel Rondeau. « Le catholicisme de Serge Bonnet fonde sa vie. Il est sa vie même. C’est un pèlerin magnifique de la vie humaine » écrivait-il encore à l’occasion du 800e anniversaire de la fondation de l’ordre des Dominicains.

    Mais c’est surtout par son travail d’universitaire mené au sein du groupe de sociologie des religions qui œuvrait au sein du CNRS qu’il s’est fait connaître du plus grand nombre. Directeur de recherche en 1977 au CNRS, il explore inlassablement les trois axes qui guideront sa quête : la religion, la politique et la vie ouvrière. « L’homme du fer » est son chef-d’œuvre, que des générations d’enseignants et d’étudiants ont lu et relu. Cette série de quatre volumes, publiée aux Presses Universitaires de Nancy rassemble les textes, les témoignages et les souvenirs commentés par le Père Bonnet des mineurs et sidérurgistes lorrains de 1889 à la fin de l’épopée industrielle.

    Dans cette somme, qui reste aujourd’hui encore, un travail de référence, il témoigne de son attachement profond à la classe ouvrière. En 1981, il publiera « la « Ligne rouge des hauts fourneaux », consacré aux grandes grèves qui agitèrent le Bassin de Longwy en 1905. Il était la voix, la conscience et la mémoire d’une société disparue, avant que la maladie d’Alzheimer ne l’engloutisse. Mais ses travaux servent toujours de matériau de base aux recherches des historiens, anthropologues, qui étudient cette période de l’histoire de la Lorraine.

    Ses obsèques religieuses seront célébrées ce mercredi 23 décembre à 10h00 en l'église de Sainte-Menehould, berceau de sa famille.

  • Nancy (54) : Noël à la chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine

    Noël à la chapellenie Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine à Nancy (54) - église Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc : 

    >> 24 décembre : Veillée à partir de 23h30 puis Messe de minuit à minuit
    >>  25 décembre : Messe de l’Aurore à 9h15 (messe basse) puis Messe du jour (chantée) à 10h30

    Les messes sont célébrées selon le rite extraordinaire de l'Eglise catholique.

  • Jame's Prunier expose à Nancy

    Ce que ne dit pas l'article, c'est que notre Jame's Prunier débuta sa carrière en illustrant plusieurs numéros de La Revue lorraine populaire dans les années '80.

    Bravo à Jean-Marie Cuny, le fondateur de la célébrissime revue, qui a su dénicher d'excellents artistes lorrains !

  • Domremy (88) : l'indispensable restauration de la basilique du Bois Chenu

    On parle de dix ans de travaux de réfection et d’une enveloppe de 5 M€ qu’il reste à financer. Il faut croire au miracle pour la basilique Sainte-Jeanne-d’Arc à Domremy !

    Propriété du diocèse de Saint-Dié, elle se dresse toujours là, fièrement, sur un coteau boisé de Domremy, non loin du lieu où Jeanne aurait entendu ses voix. Mais les pèlerins qui passent par là n’en croient parfois pas leurs yeux : la basilique du Bois Chênu, dont la première pierre a été posée il y a tout juste 134 ans, ne se présente pas revêtue de ses meilleurs atours. L’édifice a mal vieilli et laisse apparaître à l’extérieur des herbes folles et autres mousses sur les ardoises trahissant le mal dont est frappée la basilique : l’usure du temps... et l'abandon des hommes.

    En son sein, l’on sait les escaliers de la crypte bien endommagés tandis que des eaux de pluies la frappent systématiquement en plein « chœur ». A la hâte, l’abbé Michel Lambert, recteur de la basilique, dispose çà et là des seaux pour parer au plus pressé : un pis-aller qui dissimule bien mal, là encore, une certaine « misère ». « Un processus est engagé avec l’architecte et à la suite du diagnostic qu’il a établi, nous effectuerons ces réparations de fuites d’eau en priorité dès le début de l’année 2016 », précisait il y a peu l’économe diocésain Michel Petitdemange. Une première enveloppe de quelque 15 000 € pourrait être engagée.

    Cela écrit et pour reprendre les termes de l’économe, d’autres « désordres » sont apparus au fil des ans sur l’édifice classé monument historique il y a deux ans. La toiture apparaît désordonnée en effet, surtout à hauteur du dôme et de la nef. La flèche, également, semble donner quelques signes de lassitude et le montant des travaux pour réhabiliter cette seule partie du clocher sur lequel on pensait sérieusement un temps que les anges accrochés là ne tenaient plus que par un grand mystère et quelques morceaux de ferraille, s’élèverait à un million d’euros.

    Un million d’euros, c’est justement le montant de l’enveloppe qui fait actuellement défaut au diocèse de Saint-Dié pour boucler le budget des personnels : prêtres et laïcs !

    « Cela fait deux ans qu’un travail est engagé avec l’architecte. Des travaux d’urgence ont été réalisés et l’orgue, notamment, a en partie été restauré ainsi que certains endroits au niveau du plafond au-dessus de cet orgue, justement », souligne encore Michel Petitdemange.

    C’est le cabinet Bortolussi, « architecte de référence dans la région » qui a planché sur le dossier. Dans les Vosges, on lui doit notamment la rénovation de la cathédrale de Saint-Dié-des-Vosges, l’abbaye d’Autrey, ainsi que d’autres monuments historiques (Châtillon-sur-Saône, couvent des Thons, abbaye de Bleurville...). Outre un diagnostic technique important, il est également question d’obtenir le plus rapidement possible l’accord indispensable de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) et, plus délicat encore, trouver les financements idoines. On parle là au bas mot d’une dizaine d’années de travaux de réfection pour un coût estimé à près de 5 millions d’euros. 4,7 millions d’euros très exactement. « Mais quand on ouvre, on ne sait jamais ce que l’on va découvrir », dit encore en substance Michel Petitdemange. De nombreuses pierres se trouvent en très mauvais état en effet et la basilique chère à Jeanne d’Arc se trouve plus que jamais soumise à de fortes contraintes administratives.

    Fidèles, amoureux du patrimoine et de l'histoire et collectivités publiques doivent s'efforcer de réunir les subsides nécessaires pour restaurer un pan de notre Histoire commune.

    [d'après Vosges Matin]

  • Bathelémont (54) : "Les Cuisines", de l'Antiquité à la Grande Guerre

  • Ouverture du Jubilé de la Miséricorde divine

    Ouverture de l'année de la Miséricorde divine par Mgr Jean-Louis Papin, primat de Lorraine et évêque de Nancy & de Toul, en l'église Saint-Sébastien de Nancy, ce mardi 8 décembre 2015 en la fête de l'Immaculée-Conception.

    [cl. ©Diocèse de Nancy & de Toul]

  • Les Europa Scouts de Nancy au marché de Noël de Dieuze les 12-13 décembre 2015

  • Fête de saint Pierre Fourier, patron des curés vosgiens

    Pierre Fourier en prière, tableau conservé au musée de Mattaincourt [cl. H&PB].

    Deus, qui beáto Petro ardentíssima caritáte tibi conjúncto, ut némini obésset, et ómnibus prodésset, inspiráre dignátus es : concéde propítius ; ut ejúsdem précibus et exémplis, quæ tibi placent, et nobis ac áliis vere prosunt, constánter operémur.

    [Collecte de la messe de Saint Pierre Fourier, diocèse de Saint-Dié, missel de 1962]

    Seigneur Dieu, vous avez inspiré à saint Pierre Fourier, qui vous était uni en une ardente charité, le désir de ne nuire à personne et d’être utile à tous. Accordez-nous par le secours de ses prières et de ses exemples, de faire constamment ce qui vous plaît et ce qui peut être vraiment utile à nous-mêmes et aux autres.

  • Notre patrimoine lorrain : les portes anciennes du pays du Sânon

  • Epinal - Châtel-sur-Moselle (88) : colloque "Fortifications et artillerie en Europe autour de 1500"

  • Fête de l'Immaculée-Conception

    Eglise Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc à Nancy,

    mardi 8 décembre 2014, fête de l’Immaculée-Conception, patronne de l'église,

    messe chantée à 18h30 (rite extraordinaire de l'Eglise catholique) suivie du salut et d’un temps de prière pour la vie

  • Jubilé de la Miséricorde

    Sa Sainteté le pape François souhaite que ce Jubilé de la Miséricorde se déroule à Rome autant que dans les Églises locales.

    Pour la première fois, dans l’histoire des Jubilés, il y a possibilité d’ouvrir une Porte sainte, la Porte de la miséricorde, dans chacun des diocèses, dans la cathédrale ou dans une église de signification particulière, ou un sanctuaire important pour les pèlerins :

    > Pour le diocèse de Nancy & de Toul, l'église Saint-Sébastien à Nancy est retenue comme église jubilaire.

    > Pour le diocèse de Saint-Dié, la basilique Sainte-Jeanne d'Arc à Domremy est retenue comme église jubilaire.

    Tout au long de l'année, et chaque jour, le pèlerin sera accueilli dans cette église et invité à :

    • devenir plus solidaires de ceux qui ont besoin de réconfort
    • et/ou rencontrer un prêtre et recevoir le sacrement du pardon
  • Nancy : le Théâtre de la Passion embauche !

  • Le devenir de la Fondation du Patrimoine dans les Vosges

  • La notoriété du cousin de Charles de Foucauld

  • Sur les lieux de la bataille du Grand Couronné

  • Chaumousey (88) : l'église paroissiale restaurée et inaugurée

  • Autigny-la-Tour (88) : une pierre antique découverte dans la cave du château

    Un fragment d’inscription antique inédite vient d’être découvert fortuitement lors de travaux dans la cave du château d’Autigny-la-Tour. Un ex-voto plutôt rare.

    C’est un bloc gravé dans une maçonnerie, pour être intégré dans un monument. « C’est mon cousin, Jean-Jacques Gaffiot, qui est archéologue, qui en a fait la traduction. » Jacques-Charles Gaffiot est historien de l’art. Commissaire d’exposition (on lui en doit une cinquantaine au total, dont deux au château de Versailles), il est également collectionneur : « Ma grand-mère m’a donné le goût de tout cela. C’est un héritage que j’essaie de transmettre », sourit-il depuis le château d’Autigny-la-Tour, dont il est copropriétaire avec ses cousins et neveux, eux, les Gaffiot originaires d’Arc-et-Senans en Franche-Comté, et la famille Milvaux qui a un berceau de famille en Picardie.

    C’est là qu’a été retrouvée cette pierre antique, datée du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C. « Elle obstruait un accès à un puits. On l’a retrouvée dans la cave du château et, en la transportant, avons découvert ces inscriptions en lettre capitales, belles lettres classiques sur trois lignes. » Sur la première ligne, on peut y lire « OSM » puis « ANUS » sur la seconde et enfin, « VSLM » sur la troisième ligne.

    Les spécialistes que sont les deux cousins Jean-Jacques et Jacques-Charles Gaffiot ont traduit : Osm pour « Rosmerta », du nom de cette déesse de la religion celtique gauloise dont le culte est parfois associé à Mercure – et qui était vénérée à Soulosse, village tout proche – ; « Anus » pour la fin d’un patronyme extrêmement répandu à l’époque et « VSLM » pour « Votum Soluit Libens Merito ». Autrement écrit : « acquittement du mérite librement d’un vœu exaucé. »

    C’est donc pour rendre hommage à la divinité que cette pierre appartenant à un bloc plus conséquent, vraisemblablement un monument, a été gravée. Il est vraisemblable que le reste de la construction se trouve non loin de là, quelque part, soit dans un musée du département, soit à Soulosse-sous-Saint-Elophe, d’où cette pierre de réemploi au moment de la construction du château, pourrait avoir été extraite. « A moins que la cave du château d’Autigny n’ait été construite sur les ruines d’un temple dédié à Rosmerta ! » et l’abondance qu’elle symbolisait autrefois, imagine sans trop y croire Jacques-Charles Gaffiot. Si tel devait être le cas, il y aurait fort à parier que soient ordonnées des fouilles sur les fondements mêmes de ce monument classé.

    Dans tous les cas, la découverte d’une inscription romaine dans une cave construite au XVIIIe siècle n’est pas si fréquente. Une « petite découverte » qui pourrait trouver toute sa place dans le musée archéologique de Soulosse-sous-Saint-Elophe, installé là, à un jet de pierre d’Autigny-la-Tour.

    Parmi les curiosités sur ces 3 ha classés à l’inventaire des Monuments historiques de ce château qui fut d’abord une dépendance de la maison du châtelet de Harchéchamp : ce vaste parc et surtout ce bassin alimenté par un canal souterrain, dérivation du Vair qui arrose ce village de 180 habitants. Un droit d’eau existe au château depuis sa construction, au XIIe siècle quand il s’agissait de protéger le fruit du travail de ces deux moulins accrochés au Vair. Mais il semble que ce « privilège » se tarisse… « Tout le parc est en train de se dégrader », regrette Jacques-Charles Gaffiot qui montre ce bassin qui, avec celui du château de Lunéville, constitue les deux uniques canopes de ce type en Lorraine. Ancienne propriété du comte de Mauléon-la-Bastide, le château qui allait tomber dans le giron du comte de Gondrecourt-le-Château, fut également aux mains du comte hongrois Kinigl, qui séjourna là du temps du duc Léopold. « L’idée était de reconstituer le canope de la Villa Hadriana », cette villa antique bâtie au IIe siècle par l’empereur Hadrien, sur 120 ha, à une trentaine de kilomètres de Rome. « Il s’agissait de recréer le bassin tel qu’il en existe un autre à Lunéville et l’alimenter grâce au Vair. » L’appel sera-t-il entendu ?

    [Vosges Matin]

  • Remoncourt (88) : le calvaire rétabli après avoir été vandalisé

    Voici une bonne nouvelle parmi le lot quotidien d'informations déprimantes : le 21 juillet dernier, la croix de mission érigée au centre de Remoncourt avait subi un acte de vandalisme inqualifiable. La municipalité de cette commune de 600 habitants, a fait remettre en place ce calvaire auquel tenaient tant ses habitants. Il convient de remercier le maire de Remoncourt, Bernard Tacquard, de cette noble et pieuse initiative.

    Vandalisée au début de l’été dernier, la croix de mission se dresse à nouveau fièrement au bord de rue principale du village. L’événement avait choqué les habitants lorsqu’ils avaient découvert, au petit matin du dimanche 6 juillet, leur calvaire gisant au sol, son Christ reposant face contre terre. Sa solide poutre centrale avait été sciée pendant la nuit. Simple et consternant acte de vandalisme, tentative de vol afin de monnayer le métal de la statue ou acte christianophobe ? L’enquête menée par la gendarmerie de Vittel n’a encore apporté aucun élément de réponse à ce jour.

    Réparé par une entreprise vitteloise, le Christ a été fixé sur une croix neuve réalisée par un menuisier de Rouvres-en-Xaintois. Aidé par les employés communaux, ce dernier a procédé à la remise en place du calvaire sur son socle initial.

    En l’absence de responsable identifié, la commune et son assurance supporteront le montant des réparations, soit 2 674 €. « L’ouvrage a été renforcé avec des fers plats pour éviter toute récidive », prévient le maire Bernard Tacquard, qui apporte une précision d’importance : « La statue n’est pas en bronze mais en fonte, elle ne vaut pas grand-chose au prix du métal ! Cependant, elle possède indéniablement une grande valeur spirituelle. »

    Pour mémoire, cette croix avait été érigée le 2 mars 1892, à l’occasion d’une mission catholique organisée dans la paroisse. Il s’agissait alors d’un rassemblement de fidèles sur plusieurs jours consacrés à la prière, à l'évangélisation et au partage des sacrements. En souvenir, une croix avait été érigée sur un terrain mis à disposition par la commune et réalisée aux seuls frais des habitants. Sa dernière restauration datait de 1996.

  • Les rendez-vous de Pèlerins de Lorraine et Mémoire des Lorrains

    Les associations Pèlerins de Lorraine et Mémoire des Lorrains vous proposent leur programme pour la fin de l'année 2015 et pour 2016 :

    > samedi 5 décembre 2015 : participez à la 770ème procession ancestrale de la Saint Nicolas à 20h30 en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port. Rendez-vous, pour les amis de l'association, à l'autel de saint Nicolas dès 20h00 (à droite en entrant)

    > 5 janvier 2016 : Mémoire des Lorrains vous invite à participer à la commémoration de la victoire de la Bataille de Nancy (1477), place de la Croix-de-Bourgogne à Nancy, à 18h30

    > 8 mai 2016 : pèlerinage de Domremy à Vaucouleurs. Départ à 8h30 devant l'église de Domremy. Bivouac pour les volontaires la veille, sur le plateau de Beauregard à Maxey-sur-Meuse

    > 13-14-15 mai 2016 : rejoignez le chapitre Saint-Sigisbert pour ses 32 ans de marche sur les routes du Pèlerinage de Chrétienté Paris-Chartres

    > 15 mai 2016 : petit pèlerinage de Laneuvelotte à Saint-Nicolas-de-Port (20 km) pour la Saint Nicolas d'été, en union avec les pèlerins de Paris-Chartres. Départ 9h30 au Tremblois

     

    ‡ Vous pouvez adhérer à l'association Pèlerins de lorraine (10 €) en adressant vos coordonnées postales et votre cotisation à : Pèlerins de Lorraine, Le Tremblois, 54280 Laneuvelotte

  • 770ème procession de la Saint Nicolas à Saint-Nicolas-de-Port

    La traditionnelle procession en l'honneur de Saint Nicolas, patron de la Lorraine, présidée cette année par Monseigneur Jean-Christophe Lagleize, évêque de Metz, se déroulera en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port samedi 5 décembre 2015 à 20h30.

  • Restauration de la salle de Etats du château de Fléville (54)

  • L'image des Vosges du XIXe au XXIe siècle

  • Villouxel (88) : redécouverte d'une sépulture néolithique

  • Bulgnéville (88) : une villa rurale du Ier siècle mise au jour

  • Tradition : Saint Elophe fêté à Soulosse-sous-Saint-Elophe (88)