La vie en Lorraine - Page 15
-
Nancy : 18ème festival international de chant choral
-
Le retour de la croix reliquaire d'Antoine de Sarrazin à La Mothe
Présentation d'une relique d’une forteresse lorraine le 30 avril 2016 à 15h00 en l'église d'Outremécourt (Haute-Marne, entre Neufchâteau et Lamarche) : le retour à La Mothe de la croix reliquaire d’Antoine de Sarrazin de Germainvilliers.
Le Comité d’Histoire Régionale, le Musée lorrain et l’Association pour La Mothe vous proposent de découvrir une croix reliquaire ayant appartenu à Antoine de Sarrazin, un des défenseurs de La Mothe lors des sièges de la forteresse menés par l’armée du roi de France en 1634 et 1645.
Des interventions de Pierre-Hippolyte Pénet, Conservateur au Palais des ducs de Lorraine - Musée lorrain, et de Jean Charles, Secrétaire de l’Association pour La Mothe, permettront d’évoquer la chute de cette place forte emblématique de la Lorraine ducale.
-
Nancy : la campagne à la ville...
Au bas de la rue Saint-Jean-Saint-Georges, c’est un véritable champ de colza qui s’étire sur la place de la Division de Fer. Une image aussi inattendue que superbement jaune. Cet environnement agricole n’était pas vraiment prévue par le service des Parcs et Jardins de Nancy.
En fait, il n’y a pas vraiment eu d'ensemencement. L’espace vert, qui a été prévu dans les plans de réaménagement du quartier de l’Île-de-Corse, a tout simplement été alimenté en terre végétale provenant de terrains agricoles ; il y restait assurément des reliquats de la dernière moisson...
-
Le Pays Lorrain : Charles Cournault, premier conservateur du Musée Lorrain
Dans son premier numéro pour 2016, Le Pays Lorrain, la revue de la Société d'histoire de la Lorraine et du Musée Lorrain de Nancy, propose un intéressant et riche dossier sur Charles Cournault (1815-1904) premier conservateur du Musée Lorrain. Ces textes sont les bienvenus alors que le Musée des Beaux-Arts de Nancy présente actuellement une rétrospective sur le fils de Charles Cournault, Etienne Cournault (1891-1948), peintre et décorateur de l'entre-deux-guerres.
Au sommaire de ce numéro printanier, outre le dossier sur Charles Cournault, on lira avec intérêt :
- Les rites autrefois observés pour changer de seigneurie : Martigny-les-Bains et ses "tourneux", par Jean Coudert
- Le collège Saint-Louis de Metz, un prestigieux établissement scolaire d'Ancien Régime, par Cédric Andriot
- Les industries meusiennes de l'ameublement : de leur apparition à leur déclin, par Jean-Charles Vogley
- L'impact de la crise de Hongrie en 1956 et l'afflux des réfugiés en Meurthe-et-Moselle, par Jean-Louis Etienne... Et les rubriques habituelles : la vie de la Société, la vie du Musée, la chronique régionale, les publications récentes...
‡ Le Pays Lorrain est disponible sur abonnement (39 €). Coordonnées postales et règlement à envoyer à : Le Pays Lorrain, Palais des Ducs de Lorraine, 64 Grande-Rue, 54000 Nancy.
-
Nancy : l'église Marie-Immaculée embellie après les travaux
L'église Marie-Immaculée de Nancy (33 avenue Général Leclerc) a retrouvé sa splendeur après plus d'un an de travaux réalisés sur les voûtes ; elle est désormais dégagée de sa gangue d'échafaudages.
Les bénévoles de la chapellenie Bienheureux Charles de Lorraine-Habsbourg ont aussitôt nettoyé l'édifice et installé de nouveaux bancs dans la nef ; ceux-ci proviennent d'une chapelle nancéienne propriété de la congrégation de la Doctrine chrétienne.
Les fidèles sont accueillis dans d'excellentes conditions pour les messes dominicales.
Il convient de remercier la congrégation des Sœurs de Saint-Charles de Nancy, propriétaire des lieux, qui a fait réaliser ces importants travaux.
-
Le volcan d'Essey-la-Côte (54)
-
"L'enquête Jeanne d'Arc" à Domremy en juillet
-
Philippe Bajolet, l'instituteur devenu auteur
-
Les Amis du peintre Alfred Renaudin célèbrent le 150e anniversaire de sa naissance
[RL]
-
Journée des familles sur la colline de Sion
-
La Nouvelle revue lorraine n° 37 : Gaël Lesure, artiste photographe, à l'honneur
Jean-Marie Cuny rappelle dans son édito' le "symbole fort" que constitue le retour de l'anneau de Jehanne, notre Bonne Lorraine, en terre de France et salue ce geste de la famille de Villiers, famille de vieille souche lorraine.
Comme à son habitude, la revue régionaliste propose un sommaire qui ravira tous les lecteurs et amoureux de la Lorraine :
- Le dernier duc François III
- De la Lorraine ducale à la Ve République
- Sous le roi Stanislas
- Le siège de Montmédy (1657)
- A propos du théâtre démoli de Remiremont
- A Nancy, la place de la gare
- Jean Daum : de la gueule des fours à la bouche des canons
- Février 1916 : Revigny à la une des journaux
- Un poilu de la classe 1916 : Camille Laurent
- Le tableau magique
- Les dix travailleurs de la mère Vert-d'Eau
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Epvre de Thélod
- Floriane Bogard, meilleure sportive vosgienne de l'année
- Gaël Lesure, l'artiste photographe
... Et les rubriques habituelles : l'édito' de JMC, les infos lorraines, les livres, Entre-nous...> La Nouvelle revue lorraine est disponible sur abonnement : coordonnées postales et règlement (38 € par chèque à l'ordre de SEP HELENUS NRL) à envoyer à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.
> Vente au numéro : 9 € franco (chèque à l'ordre de SEP HELENUS NRL).
-
Thuillières (88) : 150ème anniversaire de la naissance d'Eve Lavallière
-
Les "champs golot", une tradition vosgienne bien vivante
-
Pèlerinage à Dabo le 28 mai avec la chapellenie Bhx Charles de Lorraine de Nancy
Statue du pape saint Léon IX, ancien évêque de Toul, à Dabo (57).
Pèlerinage à Dabo (Moselle) sur les pas du pape saint Léon IX, ancien évêque de Toul (...et qui confirma la fondation de l'abbaye bénédictine de Bleurville le 6 décembre 1050 lors de son voyage en Lorraine !) avec l'association Saint-Brunon et la chapellenie Bienheureux Charles de Lorraine-Hasbourg de Nancy le 28 mai 2016 :
- départ en bus de Nancy à 9h00 le 28 mai en direction de Niederhaslach (67) : le lieu du départ sera précisé ultérieurement
- messe à la collégiale Saint-Florent de Niederhaslach célébrée par l'abbé Husson
- repas tiré du sac
- départ pour Dabo et pèlerinage l'après-midi
- retour à Nancy en fin d'après-midi>> Ce pélerinage est ouvert à tous : il est conseillé de se préinscrire au plus tôt car le nombre de places dans le bus est limité.
>> Participation aux frais de transport : 15 € / adulte et participation libre pour enfant.
>> Le règlement est à effectuer à l'ordre de "Association Saint-Brunon" et a adresser à : ASSOCIATION SAINT-BRUNON, 167 AVENUE DE STRASBOURG, 54000 NANCY ou à remettre à l'église Marie-Immaculée de Nancy (33 avenue Général Leclerc).
-
Retour de la croix-reliquaire d'Antoine Sarazin de Germainvilliers à La Mothe
-
Bouxières-aux-Dames (54) : des fresques à restaurer à l'église Saint-Martin
-
Christ est vraiment ressuscité !
La Résurrection, huile sur toile, détail, fin XVIIIe s., église de Bleurville [cliché ©H&PB].
Resurréxi, et adhuc tecum sum, allelúia : posuísti super me manum tuam, allelúia : mirábilis facta est sciéntia tua, allelúia, allelúia.
Dómine, probásti me et cognovísti me : tu cognovísti sessiónem meam et resurrectiónem meam.
[introït de la messe de Pâques]
Je suis ressuscité, et je suis encore avec Vous, Alléluia ! Vous avez posé votre main sur moi, alléluia ! Votre sagesse a fait des merveilles, alléluia, alléluia !
Seigneur, Vous m’avez éprouvé et vous me connaissez : vous avez été témoin de ma mort et de ma résurrection.
-
Vigile pascale du Samedi saint
Veillée pascale à Bleurville, paroisse Saint-Pierre-aux-Liens, avec l'abbé Villaume
[cliché : archives ©H&PB].
La Vigile (ou Veillée) pascale est la plus haute et la plus noble des solennités de l’année liturgique de l'Eglise catholique.
Depuis les temps les plus reculés, cette nuit est « une veille en l’honneur du Seigneur », et la veillée célébrée au cours de cette nuit, en commémorant la nuit sainte où le Seigneur est ressuscité, est tenue pour « la mère de toutes les saintes veillées ». Car, en cette nuit, l’Église veille dans l’attente de la Résurrection du Seigneur, et la célèbre par les sacrements de l’initiation chrétienne.
-
Beau bilan au Cercle d'études locales de Contrexéville
-
Le temps des crécelles...
Nostalgie... Il y a encore fort peu, à l'heure de l'angélus matinal du Vendredi Saint on voyait des bandes de jeunes garçons - la plupart du temps les enfants de choeur de la paroisse - dans les rues de nos villages lorrains. Ceux-ci agitaient des crécelles (appelées "bruants" dans les Vosges, ou "brouants") afin de remplacer les sonneries des cloches devenues muettes du Gloria de la messe du Jeudi Saint jusqu'à celui de la messe de la Vigile pascale. Nos jeunes servants d'autel étaient chargés d'annoncer l'angélus du matin, du midi et du soir ainsi que les offices de la Semaine Sainte.
Nostalgie, en effet, car désormais rares sont les villages lorrains qui connaissent encore ce genre d'animation et de tradition pascale...
Dommage. Cette tradition contribuait à resserrer les liens au sein de la communauté villageoise ainsi qu'à la visibilité du christianisme dans la cité.
-
La Semaine Sainte à l'église Marie-Immaculée de Nancy
Horaires des offices de la Semaine Sainte à l'église Marie-Immaculée à Nancy (33 avenue Général Leclerc) :
JEUDI SAINT (24 mars) : Messe de la Cène du Seigneur à 18h30
VENDREDI SAINT (25 mars) : Chemin de Croix à 17h30 puis office de la Passion à 18h30
SAMEDI SAINT (26 mars) : Vigile Pascale à 21h30
DIMANCHE DE PÂQUES (27 mars) : messe basse à 9h15 et messe chantée à 10h30
-
Nancy : prochaines messes en l'honneur de SAIR Otto de Lorraine-Habsbourg
Deux messes seront prochainement célébrées en la chapelle des Cordeliers de Nancy à la mémoire de SAIR Otto de Lorraine-Habsbourg et de son épouse :
> Samedi 16 avril à 11h00 : Messe du bienheureux Charles de Lorraine-Habsbourg
> Samedi 2 juillet à 11h00 : Messe pour Otto de Lorraine-Habsbourg à l'occasion de l'anniversaire de son retour à Dieu (4 juillet 2011) -
Décès de l'abbé Lambert, curé de Domremy
Nous apprenons le rappel à Dieu de l'abbé Michel Lambert, curé de Domremy et recteur de la basilique Sainte-Jeanne d'Arc du Bois-Chenu.
Il ne verra pas le début des travaux de démolition de « L’Accueil du Pèlerin » et n’assistera pas aux opérations de restauration de la basilique Sainte Jeanne-d’Arc de Domremy-la-Pucelle dont il était le recteur depuis la fin de l’été 2008 : Michel Lambert s’est éteint ce lundi 21 mars à l’âge de 77 ans.
Originaire du Haut-du-Tôt où il avait vu le jour le 12 février 1939, Michel Lambert était le fils aîné de Lucien et Rose Lambert, frère de Paul, Jacques et Marie-Agathe. Elevé longtemps par sa mère en raison de la captivité d’un père fait prisonnier de guerre, Michel Lambert fut touché par la foi lorsqu'il accompagnait son institutrice à la messe. Après avoir effectué son séminaire à Saint-Dié, il est ordonné prêtre le 27 mars 1967 à la cathédrale. Cependant, il poursuit des études de théologie jusqu’en 1969. Cette année-là, le 1er août, il intègre l’équipe sacerdotale du plateau de la Justice à Epinal, puis la paroisse de Jeuxey le 1er juin 1976.
Le 18 novembre 1983, il rejoint la paroisse de Bruyères avant de devenir vicaire épiscopal de la zone plaine dont il est le doyen, à Domremy, le 27 avril 1990. Il se retrouve le 2 décembre 1999 au sein de la nouvelle paroisse Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel à Lamarche avant d’être nommé exorciste du diocèse de Saint-Dié le 13 septembre 2007. Nommé recteur de la basilique Sainte-Jeanne-d’Arc de Domremy-la-Pucelle le 5 juin 2008, il est également curé de la paroisse Sainte-Jeanne-d’Arc-Saint-Elophe à cette date.
Fervent admirateur de Jeanne d’Arc et ardent johanniste, Michel Lambert avait tout lu et étudié de l’héroïne, en passionné. Délégué diocésain à l’œcuménisme et responsable local des nouveaux mouvements religieux et sectes, Michel Lambert était également membre du conseil presbytéral. Jusqu’à il y a peu, il assurait encore le catéchisme et célébrait des obsèques.
Sous des traits qui pouvaient apparaître austères, se cachait un homme profondément bon et humain. Il y a trois ans, il avait accompagné la relance de l’association des Amis de la basilique dont il était le président. On lui doit également, entre autre, la restauration récente de l’orgue de l’édifice religieux et la nouvelle brochure qui lui est consacrée. Il avait également vivement encouragé le programme de travaux à intervenir sur la basilique.
Ses obsèques seront célébrées ce mercredi à 10h30 en la basilique du Bois Chenu de Domremy. L’inhumation au cimetière du Haut-du-Tôt se déroulera à 16h00.
RIP+
-
Nancy : le Musée Lorrain entre dans le XXIe siècle
-
Quand les gallo-romains étaient à Bulgnéville...
[L'Abeille]
-
Commémoration de l'annexion de la Lorraine et du Barrois par la France
La Lorraine et tout particulièrement l'ancienne capitale ducale, Nancy, s'apprêtent à commémorer ces prochains mois le 250e anniversaire de l'annexion des duchés de Lorraine et de Bar par la France.
Rappelons que, même si le processus de rattachement était entamé depuis bien longtemps par le jeu des alliances matrimoniales de nos ducs, les Lorrains de 1766 ne s'enthousiasmèrent pas à l'idée d'une telle réunion qui mettait un point final à l'indépendance de cet état "d'entre-deux".
Stanislas fut le dernier "cheval de Troie" du roi de France qui permit la mainmise sur cette vieille Lotharingie tant convoitée par le royaume des lys...
-
Void-Vacon (55) : Nouvel An lorrain les 19-20 mars 2016
-
Nancy : Frère Patrick, aumônier atypique de la prison de Maxéville
En poussant la lourde porte en bois du 4 rue Lacordaire, on entre dans un endroit serein, magnifique avec un jardin intérieur en plein cœur de Nancy : le couvent des Dominicains. C’est là que vivent onze frères. Dont Patrick-Dominique Linck. « Bonjour », lance-t-il tout sourire, dans sa longue robe beige de frère prêcheur serrée par une ceinture en cuir brun où est accroché un rosaire.
Ce jour-là, frère Linck n’est pas à la prison. Il y passe une journée entière par semaine. Et dit deux messes le samedi. Car c’est lui l’aumônier du centre pénitentiaire de Maxéville depuis son ouverture en 2009. D’ailleurs, c’est pour cela qu’il est venu vivre à Nancy il y a 7 ans.
Né en 1961 près de Paris, il grandit avec ses deux frères dans une famille croyante mais non pratiquante. Après des études de biochimie, il entre au séminaire à 21 ans. « Dans mon enfance, j’avais rencontré un prêtre pendant mes vacances à la campagne. Un modèle pour moi. » Il choisit ensuite les Dominicains, un ordre intellectuel dit-il car il veut « étudier pour comprendre le monde ». En même temps, il correspond avec Gérald, un détenu de 19 ans en prison à Lille et lui rend souvent visite. Avant d’apprendre son suicide.
Après ses vœux définitifs comme dominicain, le frère Patrick-Dominique part en Suède s’occuper de jeunes et d’étudiants et au bout de 12 ans, l’ordre le nomme à Strasbourg où il reste 8 ans : « C’est là que j’ai lancé le cercle du silence avec une association de réfugiés politiques et j’ai commencé à être aumônier de prison, parce que mon cousin dominicain l’était. ». « Si je suis rentré chez les Dominicains, c’est parce que je voulais rencontrer les gens les plus éloignés, les plus faibles, les plus pauvres. Les rendre heureux. C’est ce qui me rend heureux. ». Aller aux ‘périphéries’ de l’Eglise, comme l’exprime le Pape François.
« Les détenus me parlent de leur détresse, de ce qu’ils ont fait et comment vivre avec ça. Parfois, le surveillant me dit d’aller en voir certains qui vont mal, ça peut éviter des suicides ».
La messe, ils sont nombreux à y assister. Et c’est toujours un moment assez drôle, avec des dialogues, des réactions à voix haute, sourit le frère prêcheur. « Une fois je prêchais sur l’amour du prochain et une détenue m’a dit en pleine homélie, et vous Monsieur, vous m’aimez ? J’ai répondu oui, je t’aime. L’amour peut tout sauver, même dans les situations extrêmes, rien n’est jamais perdu. En prison, les gens ont tellement soif d’amour… »
Il poursuit, raconte qu’un soir avant d’aller se coucher, il lit ses mails et apprend que rue Gilbert, des réfugiés passent la nuit dehors et ont besoin de couvertures. Il y fonce. Revient avec eux et les héberge au couvent. Il en accueillera d’autres. « Je ne peux pas dormir quand des gens sont à la rue. Je ne suis pas d’accord avec la politique d’immigration du gouvernement et ça ne s’améliore pas. »
Il cite le Jugement dernier de Matthieu 25 extrait du Nouveau Testament où il est question de solidarité, d’attention et d’amour des autres. Un texte d’actualité. « C’est ce que j’essaie d’appliquer. »
[d’après ER]
-
Nancy : vers une réhabilitation de la Place Carnot et du Cours Léopold ?
[ER]
-
Nancy : la chapelle cachée de la Doctrine chrétienne
Cette chapelle de la deuxième moitié du XIXe siècle est intégrée dans une maison de retraite avenue de Strasbourg, propriété des Soeurs de la Doctrine chrétienne.
Cet édifice religieux ne doit pas être confondu avec la chapelle de l'ancienne maison de la Doctrine chrétienne située rue Saint-Dizier à Nancy.
Cette chapelle est superbement entretenue par les religieuses et est toujours consacrée au culte ; une messe y est célébrée quotidiennement.
Elle possède un intéressant chemin de croix, une belle statuaire (saint Antoine de Padoue, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, saint Joseph, Notre-Dame de Lourdes, saint Pierre Fourier, Sacré-Coeur...) ainsi que de beaux vitraux de la maison nancéienne Janin.