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Bleurville - Page 15

  • Bleurville : concert de l'ensemble Molto Vivo le 3 juillet

    Les Amis de Saint-Maur ouvrent la saison à l’ancienne abbaye bénédictine dimanche 3 juillet avec un concert d’une formation musicale de Remiremont : le trio Molto Vivo.

    lorraine,vosges,bleurville,moto vivo,concert,abbaye saint maurL’ensemble Molto Vivo a été créé en 2009 et se produit régulièrement dans les Vosges bien sûr, mais aussi dans les autres départements lorrains. Le trio est composé de Nelly Matchabeli, violoniste, premier prix du Conservatoire supérieur de Tbilisi (Géorgie). Co-soliste à l’opéra de Géorgie et soliste à l’orchestre symphonique de Saint-Dié-des-Vosges, elle se produit régulièrement comme artiste d’ensembles de musique baroque et de musique de chambre et a participé à ce titre à de nombreux festivals (Château de la Loire, Epinal, Neuf-Brisach, Haute-Savoie, Italie…). Elle enseigne la musique dans les Vosges.

     

    Natalia Hurava, pianiste, est premier prix du Conservatoire de Minsk (Biélorussie). Elle enseigne également la musique dans les Vosges et participe comme soliste dans plusieurs formations de musique de chambre (membre du groupe vosgien Alliance, accompagnatrice du chœur Marc-Boegner d’Epinal).

     

    Enfin, Pilip Hurau, basson, a été formé au Conservatoire municipal et régional de musique de Brest (Biélorussie) et au Conservatoire d’Epinal.

     

    L’exceptionnel trio Molto Vivo saura séduire les mélomanes avec un programme éclectique proposant des œuvres du XVIIe au XXe siècle. La formation, composé d’un piano, d’un violon et d’un basson, interprétera des œuvres baroques de Lully et Haendel, et de la période romantique avec Mendelson ou Brahms. Des œuvres contemporaines de Piazzola ou Villoldo enchanteront également l’auditoire.

     

    Une belle fin d’après-midi musicale en perspective sous les voûtes millénaires de l’abbatiale romane.

     

    ‡ Dimanche 3 juillet à 16h00, abbatiale Saint-Maur de Bleurville.

    Entrée libre au profit de la restauration de l’édifice.

     

  • Bleurville : préparation de la marche populaire du 26 juin

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : "Faïence et faïenceries en Lorraine" s'exposent à l'abbaye Saint-Maur

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  • Monthureux-sur-Saône : Lundi de Pentecôte autour du ballon rond

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  • Bleurville : marche populaire internationale le 26 juin 2011

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  • Bleurville : les Amis de Saint-Maur toujours actifs

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    [Vosges Matin]

  • Saône Lorraine prépare la saison estivale

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : commémoration de la capitulation allemande du 8 mai 1945

    A 9h15 au cimetière du village, le conseil municipal et les habitants précédés des porte-drapeaux et de la batterie-fanfare du canton de Monthureux ont rendu hommage aux soldats tombés lors du second conflit mondial.

     

    Bleurville_08 mai 2011 005.jpgAprès les sonneries réglementaires, la montée des couleurs, le dépôt de gerbe et l’appel des Morts pour la France, André Granget, maire de Bleurville, a lu le message de Gérard Longuet, Ministre de la Défense et des Anciens Combattants, pour les commémorations du 8 mai 1945 :

     

    « En ce 8 mai 2011, nous commémorons le 66ème anniversaire de la capitulation sans conditions de l'Allemagne nazie face aux Alliés.

     

    Il y a 66 ans, le 8 mai 1945, les armes se taisaient enfin en Europe, mettant un terme à cinq années de cauchemar et de barbarie, cinq années parmi les plus cruelles de l'histoire de l'humanité.

     

    Encaissant sur son territoire, avec les seuls soutiens de la Grande-Bretagne, de la Belgique et des Pays-Bas, le choc de l'offensive de l'Allemagne nazie, au printemps 1940, la France a payé un lourd tribut. Défaits militairement par les armes du IIIe Reich, les Français ont, durant plus de quatre ans, subi le poids de l'occupation : l'angoisse pour leur million et demi de prisonniers, les privations de toute nature, l'annexion dans le système nazi pour les uns, l'oppression politique, le pillage économique, les persécutions raciales, la répression pour tous. Dès le 18 juin 1940, pourtant, en visionnaire autant qu'en homme d'honneur, le Général de Gaulle traçait les conditions d'une victoire qu'il estimait certaine.

     

    Au courage des étudiants parisiens du 11 novembre 1940 répondait l'engagement des Français libres qui multiplièrent leur présence sur tous les fronts, au fur et à mesure de la mondialisation du conflit : des terres africaines, à Koufra, en Libye, avec l'épopée de la colonne Leclerc au front de l'Est, en Russie, avec le groupe de chasse « Normandie-Niemen ». Du Pacifique à l'Afrique du Nord, sur terre comme sur mer et dans les airs, les combattants de la liberté furent sans cesse plus nombreux.

     

    Depuis les déserts d'Afrique jusqu'en Italie et en Provence, des Vosges jusqu'à Berchtesgaden, ils prirent ainsi une part décisive aux combats libérateurs.

     

    Bleurville_08 mai 2011 004.jpgEn France même, des hommes et des femmes qui n'acceptaient pas la soumission s'étaient levés, dans l'ombre, pour intégrer la Résistance. Organisés et fédérés par l'ancien préfet Jean Moulin, ils allaient, au péril de leur vie, malgré la traque, la répression et la torture, consacrer leur quotidien à harceler et à combattre l'ennemi.

     

    Pendant toutes ces années, l'honneur de la France a été porté par une minorité toujours plus nombreuse. Si notre pays avait perdu une bataille, ceux qui ont cru construire sur la défaite, plus qu'une erreur, ont commis une faute contre la patrie.

     

    Notre pays n'a pas perdu son honneur. Seule nation, avec l'Angleterre à déclarer la guerre à l'Allemagne à la suite de l'agression de la Pologne, quand d'autres se taisaient ou pactisaient, elle a eu le courage d'aller au conflit pour faire valoir ses valeurs, au rendez-vous de sa parole donnée.

     

    A l'engagement militaire s'est doublé l'héroïsme des résistants et la générosité des Justes qui ont, par leur bravoure personnelle, et au nom d'une France qu'ils estimaient éternelle, sauvé l'image de notre pays. Ce sont ces Français, résistants sur le territoire national ou Français libres engagés hors de nos frontières, qui ont permis à la France d'être présente lors de la reddition allemande à Reims. Ce sont ces Français qui donnent aujourd'hui tout son sens à la commémoration de ce 8 mai 1945, jour de la capitulation définitive de l'Allemagne nazie, au terme de près de cinq années de conflit.

     

    Ces événements se sont passés il y a 66 ans. Chaque année, nous commémorons ce souvenir. Chaque année, l'émotion est intacte. A tous ceux qui ne se sont jamais résignés, qui n'ont jamais abdiqué, qui espéraient la liberté ; aux hommes qui se sont battus, à ceux qui sont tombés, aux autres qui ont enduré tant d'épreuves, combattu avec tant d'abnégation, nourri tant d'espoir; à toutes celles et ceux grâce auxquels l'humanité a pu de nouveau croire en son destin, nous rendons, aujourd'hui, l'hommage qu'ils méritent. »

     

    A l'issue de la cérémonie, la messe à la mémoire des victimes des guerres a été célébrée par l'abbé Ayéméné en l'église de Monthureux.

  • Saône touristique : le SI valorise le patrimoine local

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  • Visitez un jardin en Lorraine

    Entre mai et octobre, les Lorrains (et tous les autres aussi, bien sûr !) ont la possibilité de visiter une centaine de jardins dans les quatre départements de la région.

    jardin,lorraine,bleurville,hennezel,martigny les bains,monthureux sur saone,morizécourtDepuis 25 ans, la Lorraine offre ses jardins à la visite lors de la campagne "Visitez un jardin en Lorraine". Ainsi, une centaine de jardins symbolisant différentes expressions artistiques, sont proposés aux visiteurs. Spécialistes ou simples amateurs, vous saurez déceler en ces lieux les merveilles de Lorraine.

    Et pour commencer votre visite, pourquoi ne pas passer par la Saône Lorraine ? Ce pays, coincé entre Lorraine, Champagne et Franche-Comté, dans le sud-ouest vosgien, vous offre un éventail de jardins à découvrir. Visite guidée.

    > Bleurville, Jardin du prieuré, 4 rue des Ecoles : posé entre logis prieural et ancienne abbatiale romane, le jardin de poche du prieuré accueille le visiteur entre ses carrés de vivaces et de buis. Sérénité et méditation à l'ombre des vieux murs millénaires où l'on peut chuchoter en se fondant dans un cadre bucolique apaisant.

    jardin,lorraine,bleurville,hennezel,martigny les bains,monthureux sur saone,morizécourt> Hennezel, Jardin d'Ecolonie, hameau de Thiétry : ce jardin vivrier, cultivé selon les principes écologiques reconnus par le label Ecocert associe un ancien potager clos de murs dévolu aux plantes condimentaires ou officinales et un nouveau potager dominé par une pyramide symbolique.

    > Martigny-les-Bains, Parc thermal : florissant au début du siècle, l'établissement thermal est aujourd'hui en cours de réhabilitation. De son époque de gloire, le parc conserve un remarquable pavillon des sources entièrement vitré récemment restauré et plusieurs fabriques pour lesquelles le ciment armé se moule en branchages rustiques.

    > Monthureux-sur-Saône, Jardin d'artiste de Jean-Paul Mougeot, 151 rue des Halles : en bord de Saône, un parcours insolite d'espaces sculptés de matières multiples, plantes, fleurs, arbustes, légumes, vigne à découvrir tout au long des différentes saisons pour ses formes, ses couleurs, ses matières.

    > Morizécourt, Prieuré : précédé d'une porte monumentale et d'un escalier ponctué de pots à feu, le prieuré a conservé son verger et un ensemble hydraulique avec gayoir, lavoir et vivier. La façade arrière s'ouvre sur les charmilles d'un petit jardin régulier.

  • Monthureux-Bleurville : les anciens footballeurs préparent leur fête

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : vandalisme à l'abbaye Saint-Maur

    Pour la deuxième fois en quelques mois, l’association des Amis de Saint-Maur déplore des dégradations commises sur le site de l’abbaye Saint-Maur.

    St-Maur dégradations bas-coté nord 2011.jpgLe président des Amis de Saint-Maur Alain Beaugrand, accompagné du vice-président Roger Persin, se sont rendus sur les lieux afin de constater les dégradations commises récemment : une colonne de la crypte située sur les fouilles archéologiques de l’ancien bas-côté nord a été renversée et brisée en plusieurs morceaux. Par ailleurs, une partie du mur extérieur nord de l’ancienne abbatiale a été démontée et les pierres éparpillées.

    « Ces actes de vandalisme gratuits sont inadmissibles et intolérables » s’insurge le président Beaugrand. « Plutôt que de dépenser de l’énergie pour casser, ces individus feraient mieux de la mettre au service d’une œuvre pérenne et constructive, ou de venir tout simplement faire du bénévolat dans nos associations patrimoniales » insiste-t-il.

    St-Maur dégradations mur abbaye 2011.jpgCes actes "d’incivilités" - comme l'on dit aujourd'hui pudiquement -  font écho à de nombreux autres commis ces temps derniers dans le village : vitres de la fenêtre de la sacristie de l’église paroissiale cassées à coups de cailloux, canettes brisées et détritus divers abandonnés dans le grand escalier qui mène à l’église, vandalisme sur les jeunes arbres plantés à l’occasion des naissances, dégradations sur l’aire de jeux…

    Les responsables de l’association des Amis de Saint-Maur rappellent aux parents que leur responsabilité est engagée pour les actes de malveillance commis par leurs enfants et les invitent à une plus grande vigilance. L’association décline toute responsabilité en cas d’accident survenu dans le périmètre de l’ancienne abbaye. Le président rappelle que, s’agissant d’une propriété privée, il est formellement interdit de pénétrer sur le site de l’abbaye sans y avoir été préalablement autorisé par un membre du bureau.

    L’association envisage de déposer plainte pour dégradations sur objets archéologiques protégés au titre de la loi sur les Monuments Historiques.

  • Pâques à Bleurville

    Pâques, renouveau, résurrection ! Sous un soleil éclatant, la solennité de Pâques a été fêté dans les jardins tout d'abord, avec la traditionnelle chasse aux oeufs, puis en l'église paroissiale.

    La messe du jour de Pâques a été célébrée en l'église Saint-Pierre-aux-Liens par l'abbé Claude Durupt, vicaire général du diocèse de Saint-Dié, devant une nef comble.

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    Après la procession d'entrée, le célébrant a aspergé les fidèles de l'eau lustrale bénie durant la veillée pascale en l'église de Monthureux, en signe de renouvellement du baptême. La Sainte Messe était animée par la chorale de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône.

    Ce dimanche était aussi la journée du souvenir des déportés. Plusieurs porte-drapeaux du canton étaient présents dans le choeur de l'église durant la messe.

    [cliché ©H&PB]

  • Abbaye Saint-Maur de Bleurville : à la recherche du guide de l'été...

    L'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville recherche pour cet été une personne motivée (habitant dans le secteur de préférence) pour assurer les activités de visite et de gardiennage du site de l'ancienne abbaye bénédictine locale.

    La période concernée : du 1er juillet au 28 août 2011, du jeudi au dimanche inclus, de 14h00 à 18h00.

    >> Contactez les responsables de l'association des amis de Saint-Maur à cette adresse courriel en laissant vos coordonnées téléphoniques afin que l'on puisse vous rappeler : abbaye.saint-maur@laposte.net

  • Les rendez-vous 2011 de Saône Lorraine

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  • Relanges (Vosges) : 6ème édition de Relanges Bio les 16 et 17 avril

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    [Vosges Matin]

  • Pont-à-Mousson : Journées d'histoire régionale "La Lorraine religieuse"

    Journées histoire PAM 09.04.11 078.jpgL'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson accueillait les 9 et 10 avril les 6èmes Journées d'histoire régionales sur le thème de "La Lorraine religieuse".

    Organisées par le Comité d'histoire régionale, ces Journées rassemblaient une soixantaine d'acteurs associatifs qui contribuent tout au long de l'année à populariser l'histoire de la Lorraine auprès du grand public.

    Durant ce week-end, les associations lorraines ont dévoilé les multiples facettes des rites religieux qui ont marqué - ou qui marquent encore de nos jours - l'espace public lorrain, notamment par l'édification de nombreux sanctuaires comme les cathédrales, églises, chapelles, temples ou synagogues jusqu'aux monuments plus modestes comme l'art funéraire, la statuaire...

    Accueillie amicalement sur le stand des associations Mémoire des Lorrains - Pèlerins de Lorraine animées par Jean-Marie Cuny, l'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville a présenté le site de l'ancienne abbatiale bénédictine du village ainsi que le musée de la piété populaire et ses activités aux nombreux visiteurs de ces deux journées.

    Journées histoire PAM 09.04.11 072.jpgCes Journées furent inaugurées par Thibaut Villemin, vice-président du Conseil régional de Lorraine chargé de la culture, Henri Lemoine, maire de Pont-à-Mousson, et Jean-Luc Demandre, animateur du Comité d'histoire régionale.

    Rappelons que l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson a été édifiée dès 1705. D'inspiration classique, c'est l'architecte Thomas Mordillac qui en posa la première pierre et elle fut achevée par Nicolas Pierson. Elle laisse un bel exemple de style baroque d'une sobriété très marquée. L'abbaye présente des éléments architecturaux remarquables : trois escaliers rond, carré et ovale, un cloître ceint de trois galeries sur lesquelles s'ouvrent les salles historiques dont l'intéressante salle du Chauffoir avec ses voûtes en anse de panier.

     

    Journées histoire PAM 09.04.11 083.jpg

    L'abbaye Saint-Maur de Bleurville... entre drapeau lorrain et bannière de Sainte Jeanne d'Arc.

    [clichés H&PB]

  • Monthureux-sur-Saône (Vosges) : Tréfil'art au pôle d'activité

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  • Bleurville : nouvelle splendeur pour la statue de saint Michel

    La statue de saint Michel vient de retrouver son piédestal à l'église paroissiale après une cure de rajeunissement.

    st michel4.jpgL’an dernier, le conseil municipal avait pris la décision de faire procéder à la restauration de la statue de saint Michel installée dans la chapelle des fonts baptismaux de l’église paroissiale Saint-Pierre-aux-Liens. Ces travaux ont été réalisés par Delphine Masson, spécialisée dans la restauration de sculptures à Paris. Le financement de l’opération a été pris en charge par la DRAC de Lorraine, le Conseil général des Vosges et la commune.

    Cette statue originale de saint Michel est en bois polychrome du XVIIe siècle. Avec le temps, elle avait perdu ses couleurs et, surtout, était attaquée par des insectes xylophages qui risquaient, à terme, de la faire tomber en poussière. La restauration lui a redonné une nouvelle jeunesse : avec ses bonnes joues roses et sa cuirasse à la romaine rutilante, notre archange a désormais fière allure !

    Chef de la milice céleste, saint Michel est représenté terrassant le dragon, symbole du Mal. Malheureusement, notre saint militaire a perdu son glaive depuis bien longtemps… La restauratrice ne l’a pas rétabli dans la mesure où aucune archive connue n’était en mesure d’en donner une description précise.

    Le culte de saint Michel est bien présent dans le Nord-Est de la France. Rien que dans le diocèse de Saint-Dié, douze églises et chapelles sont dédiées à Saint Michel : Circourt-sur-Mouzon, Epinal, Etival, Domjulien, Jainvillotte, Moncel-sur-Vair, Monthureux-sur-Saône, Pont-lès-Bonfays, Remiremont, Saint-Michel-sur-Meurthe, Les Vallois et Vexaincourt. Sans compter les dizaines de statues conservées dans les églises ! Le culte de l’archange a été popularisé par les moines à partir du VIIIe siècle. Le culte de saint Michel a probablement été propagé en Lorraine par l’abbaye de Gorze et son abbé Jean de Vandières qui s’était rendu en 930 en pèlerinage au Mont Gargano, en Italie, où apparu l’archange Michel.

    st michel6.jpgLe Saint Michel terrassant le dragon de Bleurville est une belle œuvre populaire qui fait honneur à l’église paroissiale, aux croyants qui en firent don, ainsi qu’à son créateur, artiste de village qui dût donner les traits de personnes de son entourage à saint Michel… et au démon – somme toute à la figure sympathique – écrasé par le pied de l’archange !

    Après la rénovation de la statue de saint Eloi et celle de saint Michel, c’est un des deux grands tableaux du XVIIIe, consacré à La résurrection et attribué au curé François Ricard, qui devrait faire l’objet d’une prochaine restauration programmée par la municipalité. Peut-on espérer un jour voir l’intérieur de l’église complètement rénovée… Elle le mériterait ; les derniers travaux ayant eu lieu en 1962.

    * * * *

    Prière à Saint Michel

    Seigneur, daignez vous souvenir que dans les circonstances douloureuses de notre histoire, vous avez fait de l’archange Saint Michel l’instrument de votre miséricorde à notre égard, nous ne saurions l’oublier.

    C’est pourquoi, nous vous supplions de conserver à notre patrie la protection dont vous l’avez jadis entourée par le ministère de cet archange vainqueur.

    Et vous, ô Saint Michel, prince de la milice céleste, venez à nous, nous vous appelons de touts nos vœux. Vous êtes l’ange gardien de l’Eglise et de la France. C’est vous qui avez inspirer et soutenu Jeanne d’Arc dans sa mission libératrice.

    Nous mettons nos personnes, nos familles, nos paroisses, la France entière sous votre protection toute spéciale. Nous en avons la ferme espérance : vous ne laisserez pas mourir le peuple qui vous a été confié. Que Dieu suscite parmi nous des saints.

    Par eux, ô saint archange, faites triompher l’Eglise dans la lutte qu’elle soutient contre l’enfer déchaîné et, par la vertu du Saint-Esprit, établissez le règne du Christ sur la France et dans le monde afin que la paix du ciel y demeure à jamais.

    * * * *

  • Pont-à-Mousson : Journées d'histoire régionale "La Lorraine religieuse" les 9 et 10 avril 2011

    pont-a-mousson-abbaye-premontres.jpgPour la 6ème année le Comité d’Histoire Régionale organise les Journées d’Histoire Régionale consacrées à « La Lorraine religieuse ».

    Seule manifestation de ce type en France, elles rassembleront à Pont-à-Mousson 60 associations et organismes, venant de toute la région, qui œuvrent dans les domaines de l’histoire et du patrimoine. Le thème de cette édition, la Lorraine religieuse, sera décliné grâce à 45 expositions, des concerts et des conférences de vulgarisation.

    Les Journées d'Histoire Régionale se dérouleront les samedi 9 et dimanche 10 avril de 14h à 18h à l'abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson.

    L'association des Amis de Saint-Maur de Bleurville y présentera l'histoire de l'abbaye bénédictine Saint-Maur.

    Journées ouvertes à tous les publics. Entrée gratuite.

     

    >> Plus d'infos en cliquant sur ce lien : JER PAM 2011.pdf

  • Cantonales 2011 à Monthureux : Alain Roussel (divers droite) réélu

    ELECTIONS CANTONALES 2011 - CANTON DE MONTHUREUX-SUR-SAÔNE

    Résultats 1er tour – 20 mars 2011

     

     

    Nombre

    % Inscrits

    % Votants

    Inscrits

    2 034

     

     

    Abstentions

    668

    32,84

     

    Votants

    1 366

    67,16

     

    Blancs ou nuls

    35

    1,72 

    2,56

    Exprimés

    1 331

    65,44 

    97,44

    Liste des candidats

     Voix 

    % Inscrits 

     % Exprimés 

    Elu 

    M. Georges FAIVRE (FN)

     114

    5,60

     8,56

     

    M. Raynald MAGNIEN (MODEM)

     312

    15,33

     23,44

     

    M. Jean-Claude LACOUR (PCF)

     27

    1,32

     2,03

     

    M. Alain ROUSSEL (DVD)

     878

    43,16

     65,97

    REELU

     

     

     

    Résultats 1er tour cantonales 2011 - BLEURVILLE

     

     

    Nombre

     % Inscrits

     % Votants

    Inscrits

    305

     

     

    Abstentions

    120

     39,34

     

    Votants

    185

     60,66

     

    Blancs ou nuls

    3

     0,98 

    1,62

    Exprimés

    182

     59,67 

    98,38

    Liste des candidats

    Voix 

    % Exprimésésés 

    M. Georges FAIVRE (FN)

    21

    11,54

    M. Raynald MAGNIEN (MODEM)

    48

    26,37

    M. Jean-Claude LACOUR (PCF)

    4

    2,20

    M. Alain ROUSSEL (DVD)

    109

    59,89

    [Source : Préfecture des Vosges]
  • De Bleurville à Contrexéville, la menuiserie Levieux sur-mesure

    Son secret : le sur-mesure. La menuiserie Levieux en a fait une affaire de famille depuis quatre générations à Bleurville. Véritable spécificité sur un marché où la standardisation fait rage.

    levieux.jpgTandis que son frère Claude a choisi la branche charpente, à Damas-et-Bettegney, Philippe Levieux a opté pour la menuiserie, à Bleurville tout d’abord, lorsqu’il a repris en 1987 l’activité paternelle, puis à Contrexéville d’où LMA (Levieux Menuiserie Agencement) distille le savoir-faire de ses 22 salariés auprès des professionnels de la France entière, et tout particulièrement de la région parisienne (80 % de ses débouchés). Quant à LMP (Levieux Menuiserie Pose), qui emploie deux personnes et répond aux commandes, moins nombreuses, des particuliers (5 % de l’activité). Effectifs totaux : 24 salariés.

    Lorsqu’il a recréé son entreprise voilà dix ans, après avoir été contraint de la vendre l’année précédente, jamais Philippe Levieux n’aurait imaginé en reconstituer les effectifs en une décennie. Or depuis 2000, date à laquelle Levieux Menuiserie ne comptait plus qu’un salarié, l’entreprise n’a cessé de croître en effectifs. Et de moderniser son parc machines, à raison d’environ 300 000 euros d’investissements chaque année. « En cinq ans, nous avons changé 70 % du parc machines », souligne Philippe Levieux. Après la défonceuse à commande numérique 4 axes et 5 axes, l’atelier de 1 870 m 2 s’apprête à accueillir une cabine de peinture de 136 m 2 équipée d’un robot 6 axes. Une acquisition de taille qui n’est pas étrangère à l’extension du bâtiment de 643 m 2 prévue pour la fin de l’année 2011.

    En attendant, l’équipe, polyvalente et plutôt jeune puisque sa moyenne d’âge avoisine les 35 ans, veille à respecter un délai de livraison de quatre à cinq semaines maximum. « Il est important d’investir mais aussi d’être réactif », précise Philippe Levieux. Et ce quel que soit le volume de la commande, qu’elle concerne des fenêtres mixtes (bois-alu), une porte bombée ou cintrée en plan, des fenêtres à châssis-guillotine… « Avec le sur-mesure, nous travaillons beaucoup pour des bâtiments classés », précise le gérant de la SARL qui a ainsi honoré de prestigieux marchés parisiens pour la Sorbonne, la Banque de France ou encore l’ambassade de Suisse. Sans oublier les 1 200 fenêtres du collège de Savigny-sur-Orge ! Au total, la menuiserie consomme environ 500 m 3 de bois par an, du bois exotique d’Afrique ou d’Asie, mais aussi, certifications obligent, de plus en plus de bois de pays (chêne, pin, mélèse, etc).

    C.B.

    [Vosges Matin | 14.03.11]

  • Cantonales 2011 à Monthureux : quatre prétendants pour un canton désertifié

    Excentrées, confrontées à une population vieillissante, les onze communes du canton de Monthureux-sur-Saône (2600 habitants) enregistrent depuis 150 ans une chute démographique qui s'est accélérée en 1960.

    lorraine,vosges,cantonales,monthureux sur saône,bleurvilleAujourd’hui un jeune sur trois déserte avant l’âge adulte ce secteur géographique à dominante agricole et forestière, ayant su néanmoins conserver un tissu commercial et associatif étoffé. Dans un tel contexte, la feuille de route des quatre candidats (soit deux de moins par rapport au scrutin de 2004) se présentant aux suffrages des électeurs s’inscrit dans une dynamique rurale destinée à valoriser les atouts de ce territoire d’une superficie de 139 km².

    Dans la course aux voix, sur le papier Alain Roussel (sans étiquette) semble avoir l’avantage du terrain. Le conseiller général sortant, par ailleurs maire de Claudon, vise un quatrième mandat. Pour mémoire, en 2004, fort d’un score de 62,43 %, il avait raflé la mise face à son principal rival Henri Didier, qui avait perdu son siège face à Raymond Recouvreur, le maire de Bleurville, décédé avant la fin de son mandat. Roulant pour la majorité départementale, Alain Roussel fait preuve néanmoins d’une indépendance d’esprit. A l’instar d’un Jackie Pierre sur le canton de Xertigny, il se positionne en premier défenseur de la ruralité et du développement local.

    A ce titre, ses interventions au sein de l’exécutif vosgien recueillent souvent l’adhésion dans les rangs de l’hémicycle départemental. Mais rien n’est joué pour Alain Roussel qui devra se méfier de Raynald Magnien, seul représentant du MoDem dans ces cantonales associé à sa suppléante Nathalie Rollin, conseillère municipale à Bleurville, considéré comme son challenger le plus sérieux. Aux municipales de 2008, le conseiller en gestion et management, à l’origine de la création théâtrale de L’Odyssée, avait effectué un retour réussi au pays, en remportant haut la main les dernières municipales à Monthureux-sur-Saône. « Fidèle à mes convictions, j’adhère au MoDem parce que je crois qu’une nouvelle gestion publique est possible, en particulier dans le département », se plaît à rappeler le vice-président de la communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne.

    Alors que les socialistes n’ont pu désigner de candidat sur le canton, tous les espoirs de l’opposition reposeront sur Jean-Claude Lacour. Sous l’étiquette « Les Vosges à gauche », lui aussi chantre de la ruralité tentera de faire barrage à ses adversaires en replaçant le débat sur un plan antigouvernemental. Reste la grande inconnue constituée par la présence de Georges Faivre. Bénéficiant de la montée en puissance dans les sondages de Marine Le Pen, le représentant du FN risque de bouleverser un scénario que beaucoup pensaient écrit d’avance.

    Les priorités pour le canton

    En tête de liste des dossiers scellant l’avenir du canton, s’inscrit en priorité la création de la nouvelle maison de retraite de Monthureux-sur-Saône, portée par la communauté de communes. Le projet, en gestation depuis trois ans, se traduira par l’ouverture d’une maison médicalisée destinée à 40 résidants, d’une unité de vie protégée et d’un foyer pour handicapés accueillant 50 personnes. Le montant de cet investissement est chiffré à 7,5 millions d’euros et la fin du chantier prévue au cours du dernier trimestre 2012.

    Dans le même temps verront le jour sur un terrain de 5 hectares des bâtiments regroupant un lotissement et des pavillons locatifs. Après la fermeture d’une station-service à Monthureux, l’ouverture d’un distributeur de carburant 24 heures sur 24 devrait également contribuer au désenclavement de ce secteur géographique dont 30 % des actifs travaillent à l’extérieur. Un coup de pouce sera par ailleurs donné à la zone d’activité économique de la gare de Monthureux abritant des entreprises comme la Coopérative agricole de Lorraine et Merrain International.

    Toujours d’actualité, le lancement d’un pôle culturel innovant mettant en avant la richesse du patrimoine local et du tissu associatif. Tout cela sera-il suffisant pour créer des emplois et maintenir une population active sur place et donner un avenir à ce canton hyper rural ?...

     

    [Vosges Matin | 14.03.11]

  • Bleurville : Carnaval au village

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    [Vosges Matin]

  • Bleurville : la fin d'une maison de manouvrier du XIXe siècle

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    [Vosges Matin]

    Commentaire du blogueur

    Encore une fois, c'est un aspect du patrimoine architectural du village qui disparaît. La rue de Frain - naguère "rue du Bon-Vin" - connu sa pleine période de développement au milieu du XIXe siècle, à une époque où le village connaissait une poussée démographique. Ce quartier populaire était habité par des manouvriers qui se louaient auprès des cultivateurs, ainsi que par des carriers et des bûcherons.

    On ne peut que déplorer la disparition de ces maisons typiques du XIXe siècle et surtout flétrir la négligence des propriétaires - et héritiers, en l'occurence - qui ont laissé ce bâtiments se dégrader. L'originalité d'un village réside avant tout dans la structure de son bâti et dans sa continuité ; le village de Bleurville étant un "village tas" constitué d'un ensemble d'immeubles mitoyens. Or, avec la disparition de ces "dents creuses", c'est un véritable mitage qui mine désormais le village. C'est aussi l'originalité des maisons traditionnelles qui disparaît au profit de pavillons sans caractère et standardisés.

    Quel intérêt présentera le village lorsque ses éléments les plus anciens et les plus caractéristiques auront disparu ? Si non celui de ressembler aux autres villages du secteur qui n'auront pas su réagir à temps pour éviter le pire...

    >> On pourra consulter avec profit le site de Maisons paysannes de France, association qui milite pour la sauvegarde du patrimoine traditionnel rural : http://www.maisons-paysannes.org

  • L'abbé Ayéméné, un prêtre africain dans le Sud-Ouest vosgien

    Issu d’une famille de sept enfants dont le père a servi l’armée française, l’abbé Yao-Clément Ayéméné est entré en France le 7 septembre 1999 pour poursuivre des études de théologie tout en servant dans les paroisses.

    abbé ayéméné.jpgAprès Paris et l’Alsace, il vient exercer son ministère dans les Vosges en octobre 2008. Nommé sur les deux paroisses Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel (Lamarche) et Notre-Dame de la Saône (Monthureux/Bleurville), il va mettre ses études entre parenthèses, pendant deux ans, pour former des laïques.

    Dans un premier temps, les dimanches, il prend son bâton de pèlerin pour aller trouver des référents pour ses trente églises. Les réticences se font jour. Les fidèles se font tirer l’oreille. « Mais ils sont venus, en curieux, pour voir ce qu’il y avait derrière l’enveloppe ». Dimanche après dimanche, il fait ressortir une équipe pastorale pour l’aider dans les prises de décision et le remplacer en cas d’absence ; organisation déjà initiée par l’abbé Charles Villaume, son prédécesseur à Notre-Dame de la Saône. Puis des relais par église paroissiale, par service, par mouvement… J’ai encaissé beaucoup. Mais en prenant cette méthode et en si tenant, je savais que ça allait faire du bien à tout le monde. »

    vosges,diocèse,saint dié,lamarche,monthureux,bleurville,abbé,clément ayéméné,charles villaume,paroisse,laïcs,catholiques,prêtres,évêqueMême si aujourd’hui encore, une minorité n’accepte pas que le prêtre ne célèbre pas les obsèques, les paroissiens sont devenus acteurs de leur paroisse. Et cette réorganisation a rapproché les clochers. « C’était un mal nécessaire. En Haute-Marne où il y a moins de prêtres, ça roule comme ça depuis plusieurs années… »

    Dans sa mission de représentant de Dieu, celui qu’on appelle communément l’abbé Clément, ne laisse pas de place à la nostalgie. « Que je sois en France, en Chine ou en Côte d’Ivoire, je suis prêtre avant tout. Je vis l’instant et l’instinct. Demain, je ne sais pas où je serai. Ce que je sais, c’est que je suis prêtre, que l’Eglise est universelle et que je peux me retrouver partout. »

    [Vosges Matin | 06.03.11]

     

    [Petit commentaire du blogueur

    Pourquoi vouloir transplanter à tout prix – et souvent pour un temps fort limité – des hommes qui pourraient labourer encore plus en profondeur la foi de leurs compatriotes en Afrique, alors que nous avons en France de jeunes prêtres formés par la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre – en complète communion avec Rome – qui ne demandent qu’à prendre en charge des paroisses ? Mais voilà, ces prêtres-là sont formés selon les « méthodes » traditionnelles de l’Eglise et célèbrent la Sainte Messe selon le rite extraordinaire (en latin, pour faire simple). Et, apparemment tous nos évêques diocésains ne sont pas encore « mûrs » pour les intégrer dans leur clergé vieillissant post-Vatican II… Mais, peut-être, un jour prochain… Les voies du Seigneur sont impénétrables !]

  • Cantonales 2011 à Monthureux : Raynald Magnien et Nathalie Rollin, une volonté d’entreprendre

    magnien-rollin.jpgEntreprendre et innover. Un credo pour Raynald Magnien et Nathalie Rollin soucieux d’offrir une nouvelle vision de la vie publique à leurs concitoyens du canton de Monthureux-sur-Saône.

    Natif du centre bourg de Monthureux dont il est devenu le maire aux dernières élections municipales, Raynald Magnien, Vosgien de souche issu d’une famille d’agriculteurs et de marchands de bestiaux, a pour le moins suivi un parcours atypique. Après des études de droit, il concrétise sa passion pour l’art et la culture en devenant tour à tour, auteur, acteur et metteur en scène durant quinze ans, avant de travailler dans le domaine de la production. Dans le canton, son nom est associé à la naissance en 1995 de la Compagnie de l’Odyssée. Titulaire d’un master 2 de gestion, il retourne au pays en créant un cabinet conseil et une association d’insertion dont il est aujourd’hui le directeur à temps partiel. «  Développer des projets a toujours été le moteur de ma vie professionnelle », insiste le vice-président de la communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne, se présentant sous l’étiquette du MoDem.

    Dans la continuité des projets engagés, Raynald Magnien soutiendra la création d’une nouvelle maison de retraite et d’un foyer pour adultes handicapés. Le lancement d’une coopérative d’investissement et d’un pôle culturel figurent également au programme de celui qui a choisi pour suppléante Nathalie Rollin, conseillère municipale à Bleurville et chargée des actions de santé publique à l’ARS de Lorraine.

    [Vosges Matin | 27.02.2011]