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Nos traditions - Page 46

  • La Nouvelle revue lorraine n° 11 : Saint Nicolas à l'honneur

    Si Jean-Marie Cuny dresse un bilan plutôt noir de la lecture en général et en Lorraine en particulier, vous devez vous précipitez chez votre libraire préféré - ou vous abonnez toute affaire cessante ! - pour y acquérir la dernière livraison de La Nouvelle revue lorraine. Numéro d'hiver où chacun y trouvera ce qu'il lui plait !

    la nouvelle revue lorraine,lorraine,jean marie cunyJean-François Thull nous propose un reportage sur les funérailles de l'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine. Olivier Petit conclut son article sur la bataille de Bulgnéville et Manuel Bazaille nous livre les recettes du père Boucher extraites des archives de Meurthe-et-Moselle. Pierre Labrude ouvre la bibliothèque des ouvrages médicaux de charité au XVIIIe siècle en Lorraine.

    Christian Lapointe nous conte avec humour des histoires de moustaches... et de Poilus. La guerre encore, avec Jean-Gérard Théobald qui aborde les tourments endurés par Lorrains et Alsaciens durant la Grande Guerre.

    Décembre est le mois des grands saints lorrains. Et tout spécialement saint Nicolas. La Nouvelle revue lorraine lui offre une belle tribune avec deux articles : "Le miracle de saint Nicolas" par Jeanne Livet et "Le saint Nicolas" par le dessinateur Philippe Bajolet.

    Nos artistes lorrains ne sont pas oubliés. Vous découvrirez la vie étonnante du graveur vosgien André Jacquemin ainsi que les magnifiques clichés du photographe de la Lorraine, Patrice Greff.

    Le sommaire n'est pas encore épuisé : le lecteur y lira encore bien d'autres histoires et anecdotes lorraines. Avec les chroniques habituelles : la recension des livres, la vie en Lorraine... De quoi patienter deux mois en attendant le numéro 12 de février-mars 2012 !

    ‡ La Nouvelle revue lorraine, n° 11, décembre 2011-janvier 2012 (7 €). En vente en librairie ou sur abonnement en envoyant vos coordonnées postales accompagnées de votre règlement (38 € / 6 numéros) à : La Nouvelle revue lorraine, Jean-Marie Cuny, Le Tremblois, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Les santons lorrains de Saint Nicolas

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    [Est Républicain]

    ‡ On peut se procurer les santons de Saint Nicolas et du Père Fouettard à la boutique d'art religieux A Jeanne d'Arc, 118 rue Saint-Dizier, 54000 NANCY.

  • Vous aimez la Lorraine, abonnez-vous à La Nouvelle revue lorraine !

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  • Denis Bergerot dédicace "Les Sapeurs-Pompiers de Lorraine"

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    Denis Bergerot dédicace son livre 

    Les Sapeurs-Pompiers de Lorraine 

    > Samedi 26 novembre de 14 h à 18 h

    Hall du Livre à Nancy (54) 

     

    > Samedi 3 décembre 2011 de 14 h à 18 h

    Librairie Papiers Cadeaux - Place Duroc à Pont-à-Mousson (54)

     

    > Samedi 10 décembre 2011 de 14 h à 18 h

    Cultura à Terville (57)

     

    > Samedi 17 décembre 2011 de 9 h à 12 h

    Librairie des lacs à Gérardmer (88)

     

    > Samedi 17 décembre de 14 h à 18 h

    Cultura à Epinal (88)

     

    Plus d'info's sur : www.librairielorraine.com

  • Domremy : la messe télévisée à la basilique du Bois-Chenu le 4 décembre

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    [L'Abeille |18.11.2011]

  • Croqueurs de pommes des Trois Provinces : un nouveau président

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : autour de l'événement "Renaissance 2012-2013"

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    [Nancy Mag | nov.-déc. 2011]

  • Châtillon-sur-Saône : le musée au coeur de la Cité Renaissance

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    [Vosges Matin]

  • Les petits pâtés de la Sainte-Cécile

    ste cécile.jpg22 novembre, fête de sainte Cécile, la patronne des musiciens... Pour accompagner un beau morceau de musique, rien de mieux qu'une petite gourmandise lorraine.

    Parmi les traditions culinaires lorraines, Jean-Marie Cuny, spécialiste ès cuisine lorraine, nous propose la recette des petits pâtés de la Sainte-Cécile. Et une bonne histoire en prime !

    Bonne appétit avec sainte Cécile... et bonne fête à tous les musiciens !

     

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    [courtoisie de Ph. M.]

    Cliché : Carlo Saraceni, Le martyre de sainte Cécile.

  • Saint-Nicolas-de-Port le 3 décembre : 766ème procession de la Saint-Nicolas

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    Basilique Saint-Nicolas-de-Port (Meurthe-et-Moselle)

    Samedi 3 décembre 2012

    à 20h30

    766ème procession ancestrale de Saint-Nicolas

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  • Bleurville : 11-Novembre... et marché de Noël

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    [L'Abeille | 18.11.2011]

  • Sainte-Ruffine (Moselle) : un grincheux veut faire taire les cloches

    sainte-ruffine-son-clocher-et-ses-cloches-photo-er.jpgSaint-Ruffine, coquet village situé sur les hauteurs de Moulins-lès-Metz (Moselle), s’était forgé une réputation envieuse avec ses rues étroites et ses façades de vieilles et grandes maisons aux devantures claires fraîchement retapées.

    La mairie est la cible d’une inhabituelle procédure judiciaire, depuis que les propriétaires de l’ancien presbytère, installé juste à proximité de l’église, réclament que cessent les cloches, qui perturbent leur tranquillité, en particulier nocturne. Ils réclament des tribunaux administratifs qu’ils fassent droit à leur demande. Le TA de Strasbourg a, dans un premier temps, rejeté leur dossier, lequel a rebondi devant la cour administrative d’appel qui a récemment étudié les arguments des uns et des autres. L’avocat du couple plaignant avait à l’audience argué d’une nuisance devenue plus forte ces dernières années, notamment après des travaux de mécanisation.

    Le maire, Jean-Claude Wannenmacher, l’a mauvaise face à pareils arguments. Car si nuisance sonore il y a, elles ne sont jamais ou presque exprimées par la population, sinon par les propriétaires du logement voisin. Lesquels, en achetant le presbytère, ne pouvaient ignorer le bruit des cloches, défend-il en substance.

    « Si on achète près d’une voie ferrée, va-t-on demander aux trains d’arrêter de passer ? » s’emporte une retraitée. Une voisine, située dans la rue de l’église, hausse les épaules : « Les cloches, on ne les entend pas. C’est une question d’habitude ». Une autre, qui avance fièrement sa longue filiation familiale à Sainte-Ruffine : « Pour les personnes âgées, c’est important d’entendre sonner leur clocher. Déjà, il fait partie de leur environnement et des traditions du village. Ensuite, c’est comme une présence pour les personnes seules. C’est rassurant ». Geneviève Ferrero : « Les voitures, pourquoi pas… On peut toujours considérer ça comme une nuisance. Mais un clocher… ». Ici et là, on invite même le maire à « faire un référendum ». D’ici là, la justice aura tranché. Décision début décembre.

    [d'après L'Est Républicain]

  • Bleurville : marché de Noël et Téléthon le 3 décembre 2011

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    De nombreuses animations... pour petits et grand !

     

    Marché bio

     

    Artisanat d'art, idées de cadeaux

     

    Promenade en calèche avec Saint Nicolas

    Animations avec un groupe de cors des Alpes

    Lâcher de ballons

    Gaufres, crêpes, vin chaud, café, chocolat et marrons chauds...

  • A la découverte du musée d'Eloyes (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • 11-Novembre à Bleurville : hommage appuyé aux combattants de toutes les guerres

    9h00 au cimetière communal. Au son des cloches lancées à toute volée, rappelant celles qui annoncèrent l’Armistice du 11 novembre 1918, population et municipalité se sont recueillies devant le monument aux morts.

     

    Bleurville_11.11.11 008.jpgAprès la montée des couleurs par Denis Bisval, adjoint au maire, et le dépôt de gerbe par André Granget, maire de Bleurville, l’appel des soldats morts pour la France a retenti dans la quiétude du champ du repos nimbé de brouillard. Le souvenir des déportés du village, Jean Michel, Robert Denizot et Jean Brunet récemment disparu, ainsi que les PG 1939-1945, dont André Bocard décédé cette année, a été évoqué lors de l’appel. La présence des deux porte-drapeaux bleurvillois 14-18 et ACPG 39-45 rappelait le sacrifice de ces hommes durant les deux derniers conflits mondiaux.

     

    A la suite du message du Président de la République, le maire a insisté sur la volonté de la Nation d’associer désormais tous les combattants de toutes les guerres lors de la commémoration du 11-Novembre afin d’honorer ceux qui, en France ou sur les théâtres d’opérations extérieures, ont donné leur vie pour la défense et l’honneur du drapeau tricolore.

     

    Bleurville_11.11.11 006.jpgAprès les sonneries réglementaires interprétées par la fanfare cantonale, les enfants des écoles sous la conduite de leur institutrice, Michèle Schoen, ont chanté a capella la Marseillaise.

     

    On notait parmi l’assistance de nombreux parents ainsi que des militaires d’active en uniforme venus s’associer à cet hommage.

     

    Un vin d’honneur a été servi à la mairie à l’issue de la cérémonie patriotique. L’office religieux à la mémoire des victimes des guerres a été célébré par l’abbé Ayéméné en l’église de Monthureux-sur-Saône.

  • 11-Novembre : hommage aux Poilus de 1914-1918

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    Bleurville, cérémonie devant le Monument aux Morts (Archives H&PB).

     

    Chaque commune française, ville ou village, honore en ce 11 novembre 2011 les combattants tombés au champ d'honneur durant la Première Guerre mondiale.

    A Bleurville, la municipalité honorera les soldats de 1914-1918 originaires du village vendredi 11 novembre à 9 h 00 au cimetière communal en présence de la fanfare cantonale.

    Montée des couleurs, dépôt de gerbe, discours du maire et du représentant des associations patriotiques locales.

    A l'issue de la cérémonie, vin d'honneur servi en mairie.

  • Le 16 novembre à Nancy : conférence sur Baden Powell, fondateur du scoutisme

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    Baden Powell.

    L’Institut des Sciences Religieuses de Nancy a le plaisir de vous convier à la conférence de Philippe Maxence, journaliste et écrivain, auteur de Baden Powell (Perrin, 2003) et de Maximilien Kolbe, prêtre, journaliste et martyr (1894-1941) (Perrin, 2011) sur :

    Baden Powell (1857-1941),

    éclaireur de légende et fondateur du scoutisme
     
    mercredi 16 novembre 2011 à 18h00

    Lycée Saint-Sigisbert à Nancy - salle AL.001

    (entrée par derrière rue Hermite - possibilité de parking sur la cour)

  • A Nancy le 19 novembre : défendons la Vie !

    On nous prie de communiquer le message suivant :

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  • Bleurville : l'imagerie populaire s'exposera à l'abbaye Saint-Maur en 2012

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    [L'Abeille | 04.11.2011]

  • Pierre Cortellezzi, titulaire des orgues de la cathédrale de Nancy, fait Commandeur dans l’ordre de Saint Grégoire-Le-Grand

    En la cathédrale de Nancy, le 1er novembre, à l'issue de la messe de la fête de Tous les Saints, Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et de Toul, a prononcé l'allocution suivante avant de remettre officiellement à Me Pierre Cortellezzi, au nom de Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, la Grand-Croix de Commandeur dans l'ordre équestre de Saint Grégoire-le-Grand.

    "Très cher Maître,

    Le 28 novembre dernier, un concert spirituel remplissait notre cathédrale d’une foule de fidèles et d’amis venus vous manifester leur reconnaissance, leur estime et leur affection pour 60 années de service en tant que titulaire des grandes orgues. Ce fut une manifestation à la fois grandiose et familiale. Nous en gardons tous un souvenir ému.

    JUBILE_PC_072.jpgFaut-il rappeler qu’originaire d’une famille de musiciens, vous rendiez service, très jeune, à votre paroisse en tenant l’orgue de l’église de Pont-Saint-Vincent que votre grand-père avait lui-même tenu. Après de brillantes études musicales et l’obtention de plusieurs prix dès l’âge de 15 ans, vous êtes appelé en décembre 1950 par le chanoine Mansuy, doyen du chapitre, au clavier du grand orgue de la cathédrale dont vous deviendrez presque aussitôt le titulaire. Titulaire d’un instrument prestigieux de 65 jeux, construit en 1757 alors que cette église n’était pas encore une cathédrale mais une primatiale, remanié en 1886 par le célèbre Aristide CAVAILLE-COLL. Que pouvait espérer de mieux un jeune organiste de 24 ans ? Depuis, vous n’avez jamais cessé de prendre soin de cet instrument comme des parents prennent soin de leur enfant. Vous y avez mis beaucoup de vous-mêmes. Et c’est peu dire !

    On a maintes fois évoqué votre carrière d’enseignant d’orgue et de clavecin au conservatoire de musique de Nancy, vos fonctions comme directeur adjoint de cette grande maison qu’est le Conservatoire National de Région ainsi que votre engagement pour la restauration des orgues non-classées Mais aussi votre carrière de compositeur, d’interprète et de concertiste de renommée nationale et internationale. En tant qu’évêque, je soulignerai votre remarquable fidélité et votre disponibilité non moins remarquable dans le service liturgique tant pour les célébrations diocésaines que pour le service ordinaire de la paroisse. Vous savez vous adapter et soutenir la prière de l’assemblée. Nous vous en sommes tous infiniment reconnaissants et nous souhaitons pouvoir bénéficier de votre art le plus longtemps possible maintenant que vous êtes secondé par Johann VEXO, jeune organiste titulaire de l’orgue de chœur de Notre-Dame de Paris et professeur d’orgue au Conservatoire National de Région d’Angers. C’est lui qui se trouve en ce moment-même au clavier, vous permettant ainsi de nous rejoindre.

    jubile_pc_071.jpgDe très nombreuses distinctions vous ont déjà été décernées. Depuis les médailles d’Argent, de Vermeil et d’Or de la ville de Nancy, la médaille d’or du district, le titre de citoyen d’honneur de la ville de Wörstadt en Rhénanie, l’élévation par Madame TRAUTMANN, ministre de la Culture, au rang de chevalier des Arts et des Lettres… et j’en passe. Au plan ecclésial, ce furent la médaille du Mérite diocésain, puis celle de la Reconnaissance diocésaine et enfin, en 1998, l’élévation par le pape Jean-Paul II au rang de chevalier dans l’Ordre équestre de Saint Grégoire le Grand.

    Au cours de la messe dominicale du dimanche 28 novembre 2010 qui marquait vos 60 années au grand orgue, André BAUCHE vous disait : « Nous nous sommes posés la question de savoir quelle distinction et quel honneur pouvaient encore vous êtes attribués. Nous n’avons pas trouvé de réponse officielle ». Le regretté Père BOICHOT à qui je demandais ce que nous pouvions faire pour vous manifester notre reconnaissance me fit cette réponse : « Je ne sais pas. Il a tout eu ! ». En cherchant bien, je me suis rendu compte que vous n’aviez pas tout eu. Une idée m’est venue, un peu audacieuse, tellement sa réalisation est exceptionnelle. L’audace a payé, mais surtout les raisons avancées qui ont convaincu le Saint-Père de vous élever au rang de commandeur dans l’Ordre de Saint Grégoire le Grand.

    jubile_pc_070.jpgCher Maître, c’est une distinction exceptionnelle, rarement accordée. Et c’est pour moi un grand honneur et une grande joie de vous la remettre au nom du pape. La nouvelle m’a été transmise par la Nonciature Apostolique le 20 février dernier. Avec le Père BOICHOT, nous avions envisagé de laisser passer le Carême et de vous la remettre aux alentours de Pâques. Hélas, la dégradation de la santé de votre curé nous a conduits à attendre des jours meilleurs en espérant une amélioration. Ce ne fut pas le cas. Je suis certain qu’il est de tout cœur avec nous et qu’il partage notre joie, tout particulièrement en ce jour où nous célébrons la communion des saints."

    + Jean-Louis Papin, évêque


     

    [source : http://paroissenotredamedebonnenouvelle.cef.fr/spip.php?article262]

  • 10 novembre : Veillée de prière à Notre-Dame de Bermont (Vosges)

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    Notre-Dame de Bermont (cliché © Wikimédia)

     

    L'Association Notre-Dame de Bermont vous invite cordialement à vous joindre à la veillée de prières


    jeudi 10 novembre 2011

    en la chapelle Notre-Dame de Bermont (Vosges, commune de Greux)


    > Exposition du Très Saint Sacrement dès 21 heures
    et adoration jusque minuit 

    > A minuit, messe en l'honneur de Saint Martin

  • Bleurville : les enfants des écoles au régime... jus de pommes

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    [Vosges Matin]

  • 2 novembre : Commémoraison de tous les fidèles défunts

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    Chrétien défunt, enluminure, manuscrit BM Marseille, XVe s.

     

    Réquiem ætérnam dona eis, Dómine : et lux perpetua lúceat eis.

    [Introït de la messe de la Commémoraison de tous les fidèles défunts]

     

    Donnez-leur le repos éternel, Seigneur, et que la lumière sans fin brille pour eux.

  • Bleurville : "marché bio" samedi 5 novembre

    vosges,bleurville,marché bioLes artisans et producteurs de l'association du Marché bio de bleurville déploieront leurs étals samedi 5 novembre de 14 h à 18 h, place du Prince à Bleurville.

    Les habitués pourront faire connaissance avec un nouvel exposant : un boulanger qui présentera ses différents pains bio, à l'enseigne Aux pains des saisons, installé à Uxegney.

    Par ailleurs, Véronique Muller, de Couleurs écolo de Neufchâteau, proposera un atelier de fabrication maison de produits d'entretien écologiques à base d'ingredients naturels.

  • Fête de Tous les Saints

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    La Toussaint, Fra Angelico.

     

    Gaudeámus omnes in Dómino, diem festum celebrántes sub honóre Sanctórum ómnium, de quorum solemnitáte gaudent Angeli et colláudant Fílium Dei.

    [Introït de la messe de la fête de Tous les Saints]

    Réjouissons-nous ensemble dans le Seigneur, car la fête que nous célébrons aujourd’hui est celle de tous les Saints. Cette solennité réjouit les Anges et tous en chœur louent le Fils de Dieu.

  • 5-6 novembre 2011 à Saint-Nicolas-de-Port : célébration du 150ème anniversaire de la naissance d'Emile Badel, le barde lorrain

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  • A propos des réactions face au spectacle "Sur le concept du visage du Fils de Dieu"

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    La vérité quant à la riposte des jeunes chrétiens face aux provocations blasphématoires.

     

    Comme chacun le sait désormais, le spectacle de Castellucci intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu" provoque une réaction indignée chez de très nombreux chrétiens. Depuis jeudi dernier, jour de la première représentation de ce spectacle au théâtre de la Ville à Paris, chaque représentation est retardée et/ou interrompue par des jeunes gens fidèles au Christ. L'affaire fait grand bruit à la radio, dans la presse écrite ainsi que sur internet mais cela s'accompagne de beaucoup de désinformation et nécessite donc des clarifications et des corrections.

     

    Soulignons d'abord le caractère spontané des actions menées soir après soir par des jeunes filles et des jeunes garçons venus de différents horizons, certains revendiquant ouvertement leur adhésion à l'un ou l'autre mouvement catholique, d'autres intervenant à titre personnel, simplement révoltés par le contenu de ce spectacle.

     

    Le premier journal qui a réagi à l'action de ces jeunes, c'est le journal "Le Monde". Il l'a fait en des termes qui en disent long sur la manipulation des esprits à laquelle s'exercent certains journalistes. En effet, le titre de ce premier article parlait de "prise d'otages au théâtre de la ville", pas moins, tandis que le titre du second article parlait de "fatwa culturelle". Des titres à sensation destinés à un lectorat habitué à lire en diagonale. Des mots qui choquent, loin de la réalité qu'ils prétendent décrire. Or, il faut savoir que le journal Le Monde a pour président du directoire du conseil de surveillance un certain Pierre Bergé. Et la fondation Pierre Bergé-Yves Saint-Laurent est justement, quel hasard, "grand mécène" du Festival d'Automne de Paris qui a programmé Golgota Picnic, second spectacle blasphématoire qui suscite l'ire des chrétiens.

     

    Ces articles du Monde ont donné le ton. Bien d'autres journalistes ont suivi le mouvement et utilisé des mots sans en respecter le sens. L'objectif est bien sûr de disqualifier l'opposant à ces spectacles, de le présenter comme infréquentable puisque "violent" et "fascisant". De la sorte, quelques journalistes aux ordres ont pour mission d'éluder le vrai débat. "L'antichristianisme de notre société est-il fantasmé ? Est-il réel ? Peu importe", écrit avec cynisme Thomas Schlesser pour le média "Rue89".

     

    Images vidéos et photos sont pourtant disponibles sur internet. Elles montrent, le premier soir, des jeunes gens monter sur scène, déployer une banderole contre la christianophobie, puis, lorsqu'on leur arrache cette banderole, se mettre à genoux et prier le chapelet. Où est donc la violence dans cette action ? Ces jeunes gens n'ont opposé aucune résistance à la police lorsque celle-ci est intervenue. Ces jeunes gens n'ont pas non plus insulté qui que ce soit.

     

    Ce qui est par contre de la violence, à l'heure ou tant de chrétiens meurent à travers le monde par fidélité à leur foi, c'est, sous le couvert de l'art, de demander à des enfants de monter sur scène et de caillasser le portrait du Christ avec des grenades.

     

    Ce qui est réellement insultant, c'est, à l'issue d'un spectacle scatologique, de souiller le portrait du Christ en laissant penser que c'est de la matière fécale qui vient le salir et de blesser ainsi tant de croyants.

     

    Le jour suivant, quelques spectateurs ont reculé à l'entrée du théâtre, le manteau légèrement entâché par un oeuf ou un peu de liquide coloré. Un peu désagréable, certes, mais on reste au niveau de la simple blague de potaches. Ce n'était ni agressif ni bien méchant. Prétendre qu'un oeuf sur la façade du théâtre ou un peu d'huile sur les marches du théâtre constituent une dégradation, c'est grotesque.

     

    Si à chaque manifestation étudiante ou syndicale, l'Etat se mettait en tête d'arrêter et de poursuivre en justice tous ceux qui jettent un simple oeuf, cela ferait bien du monde dans les commissariats et dans les tribunaux !

     

    Encore une fois, la seule véritable souillure choquante dans cette histoire, c'est celle que M. Castellucci, metteur en scène, inflige au visage du Christ.

     

    Et, depuis, les actions menées par tant de jeunes gens se limitent à prier. A l'extérieur du théâtre pour certains. A l'intérieur pour d'autres. Il faut être bien manipulateur pour faire passer ces jeunes gens pour de sombres délinquants.

     

    Chahuter un spectacle serait devenu un crime ? L'histoire du théâtre ne manque pourtant pas d'exemples de chahuts d'une bien plus grande ampleur. Les professionnels de la culture semblent avoir la mémoire bien courte...

     

    Il est inadmissible de constater une fois de plus que la seule religion dont on peut se moquer impunément serait celle des chrétiens et que l'Etat veut même leur interdire le droit d'exprimer leur mécontentement.

     

    Faut-il encore rappeler avec quel enthousiasme les médias ont ces temps-ci relayé le mouvement des "indignés" ? Curieusement, les chrétiens n'auraient pas le droit, eux, de s'indigner ?

      

    ‡ L'association CIVITAS appelle à une grande manifestation nationale contre la christianophobie samedi 29 octobre à Paris à 18h00 place des Pyramides.

     

     

  • "Scènes paysannes", nouvel album de Joël Couchouron

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    [Vosges Matin]

  • Le Pays Lorrain : Autour de la rénovation du Musée Lorrain

    lorraine,nancy,metz,epinal,bar le duc,le pays lorrain,musée lorrainLa revue du Musée Lorrain, Le Pays Lorrain, dans sa livraison d'automne, propose un sommaire orienté autour du réaménagement du Musée Lorrain :

    - La rénovation du Musée Lorrain. Quels enjeux ?

    - La rénovation du Musée Lorrain : un musée, des palais, des chefs-d'oeuvre

    - Une nouvelle approche des collections récentes au Musée Lorrain

    - Une étape nécessaire de la rénovation du Musée Lorrain : le chantier des collections

    - La restauration des oeuvres, un passage parfois indispensable avant leur présentation dans le Musée Lorrain rénové

    - Le destin manqué du prince Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780)

    - Pont-à-Mousson : Sainte-Marie-Majeure dans les tourments révolutionnaires (1790-1792)

    - Marguerite Delorme, une artiste lorraine oubliée

    - Nancy menacé en août-septembre 1914

    - Chronique du patrimoine : les objets du culte de nos sacristies

    Et les habituelles rubriques régionales, les livres et les revues régionales.

     

    ‡ Le Pays Lorrain, n° 3, 2011, Revue de la Société d'Histoire de la Lorraine et du Musée Lorrain. En vente uniquement sur abonnement (36 €, 4 numéros) à : Le Pays Lorrain, palais ducal, 64 Grande-Rue, 54000 NANCY.

  • La Gazette Lorraine : portes ouvertes sur la ville

    gazette lorraine 83.jpgRetrouvez La Gazette Lorraine d'automne, la revue du patrimoine et de l'environnement en Lorraine, avec un sommaire riche d'une diversité d'articles :

    - Lo Couarail, ensemble vocal et instrumental

    - Athus (Belgique), aux marches de la Lorraine

    - Les obsidiales : les plantes de la guerre

    - Le label "Ville d'art et d'histoire"

    - Portes ouvertes : les portes monumentales dans les villes de Lorraine

    - L'aquatype à l'Imagerie d'Epinal

    - Toute une époque dans une église : Saint-François d'Assise à Vandoeuvre

    - Les usoirs

    - Vue du bus : de Fléville à Maxéville

     

    ‡ La Gazette Lorraine, n° 83, septembre 2011 (5,50 €). En vente en librairie ou par abonnement (15 € pour 4 numéros) à CHATEL, 44 avenue du Château, 54600 VILLERS-LES-NANCY.