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Nos traditions - Page 17

  • "Liberum donum" : la revue de l'association de sauvegarde de la chapelle de Libdeau

    Nous avons le plaisir de saluer la publication du premier numéro de Liberum donum, la revue éditée par le Comité pour l'étude et la restauration de la chapelle templière de Libdeau, dont les membres se consacrent au sauvetage d'un édifice gothique emblématique porteur de la mémoire de la spiritualité de l'Occident.

    Cette revue, qui a vocation a paraître annuellement, propose un regard sur les activités de l'association et surtout sur l'histoire de ce site patrimonial qui a failli disparaître à tout jamais. Elle nous fera également découvrir des documents d'archives inédits sur l'histoire de cette chapelle templière du XIIIe siècle.

    Ces belles pages illustrées nous invitent à nous imprégner du lieu, du travail déjà accompli et des projets à venir. Et pourquoi pas partager l'enthousiasme des adhérents en rejoignant cette structure ?

    Au sommaire de ce n° 1 :

    - présentation du CERCTL, par Bertrand Siffert

    - "Sauver c'est célébrer" par Michel Vicq

    - la visite de la chapelle, par Alain Villes

    - les travaux de sauvegarde

    - les fermiers de la commanderie de Libdeau dans la société de leur époque, par Yolande Guerber

    - l'origine du nom de Libdeau, par le chanoine André Vaillant (†)

    - la vie de l'association

     

    Liberum donum, revue annuelle du CERCTL, n° 1, 2015, 36 p., ill. (8 €). Disponible auprès du CERCTL, 22 rue de Liverdun, 54380 Saizerais.

     

  • Soulosse-sous-Saint-Elophe (88) : vers une restauration de la chapelle Saint-Epéotte

  • La vache Vosgienne devient une marque

    [VM]

  • Les 30 ans de l'association du Pays des Trois Provinces

    [Vosges Matin]

  • "La Sainte Couronne d'épines, une passion française", une conférence de Jacques Charles-Gaffiot

  • 33ème pèlerinage de Pentecôte les 23-24-25 mai 2015

  • La Nouvelle revue lorraine n° 31 : la porterie du palais ducal de Nancy à l'honneur

     

    Pour son numéro de printemps, La Nouvelle revue lorraine donne un coup de projecteur sur la porterie du palais des ducs de Lorraine à Nancy. Cette magnifique porte monumentale - remarquablement restaurée - nous est décrite par le menu détail et illustrée avec des clichés qui nous font redécouvrir des éléments sculptés quasiment invisibles à l'œil nu.

    Le riche sommaire nous invite, comme à son habitude, à une agréable promenade à travers l'histoire de notre Lorraine. Le lecteur lira avec grand intérêt des études sur l'eau et la faïence, les menuisiers Marchal de Raville-sur-Sanon, Jules Crevaux, l'explorateur lorrain de l'Amazonie, les optants de l'annexion de 1871, les communes frontalières après la guerre de 70, le blanchiment sur pré dans les Hautes-Vosges, la réclame et la pub' en Lorraine, la ferme hélicicole de Mussot, les crécelles, des anecdotes tirées des archives de la presse régionale, le calendrier des célébrations lorraines, le chant messin...

     

    La Nouvelle revue lorraine est en vente dans toutes les bonnes librairies et sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros) par chèque à l'ordre de "SEP Helenus - La Nouvelle revue lorraine" à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Les crécelles vosgiennes de la Semaine Sainte

    Semaine pascale, temps des crécelles... Sauf que cette tradition tend à se perdre dans nos paroisses rurales.

    Il est de tradition liturgique qu'au chant du Gloria de la messe du Jeudi saint les cloches se taisent jusqu'à la nuit de la vigile pascale, nuit de la résurrection du Christ. Pendant ce temps court, les enfants de choeur remplaçaient les sonneries par le bruit des crécelles (ou bruants, dans nos Vosges) en annonçant angélus et offices religieux.

    Désormais, plus de servants de messe, plus de crécelles, plus de tradition.

    Saluons les "villages gaulois" qui résistent à cette disparition et, notamment la paroisse de Lignéville, dans le sud-ouest vosgien, qui continue vaille que vaille à maintenir vivante cette tradition pascale !

    Et après l'effort, le réconfort avec la tournée (ou "roulée") des enfants de choeur qui se voient offrir friandises, menues piécettes... et des oeufs !

  • Monde rural, ton patrimoine fout le camp !

    Ancienne ferme lorraine, XVIe-XVIIe-XVIIIe-XIXe s., Bleurville [cliché H&PB].

    Malgré quelques initiatives louables de la part des collectivités locales et de quelques associations, le patrimoine historique et traditionnel de nos campagnes a du souci à se faire. Quelques réflexions sur un patrimoine en péril.

    Crises à répétition, exode rural, industrialisation de l'économie agricole, vieillissement de la population, désertification... Nos villages et bourgs du Pays des Trois Provinces sont confrontés à une foule de défis à relever. L'avenir de son patrimoine traditionnel en fait partie.

    Une des conséquences des multiples causes de ce déclin, c'est bien celui de la disparition de son patrimoine de pays. On pourra nous objecter que des efforts ont été engagés ces dernières années afin de sauver de la ruine maisons de caractère, chapelles, calvaires, lavoirs et autres éléments du bâti vernaculaire, mais ne sommes nous pas rattrapés par le temps ? Nos villages sont également confrontés à un volume important d'habitations abandonnées et délaissées par des propriétaires qui ne savent qu'en faire face à la mévente de ces biens.

    Nos villages sont les héritiers de générations de paysans qui nous ont transmis un patrimoine bâti qui constitue l'identité de notre pays : pour les Vosges notamment, usoirs, village-rue, fermes à portes charretières cintrées, toits à auvent, vaste cheminée avec cendrier sont autant d'éléments symboliques qui distinguent nos villages lorrains des villages francs-comtois ou champenois. Or, en acceptant que nos fermes traditionnelles disparaissent, c'est accepter que nos terroirs se fondent dans un « grand tout » sans identité, sans caractère, sans personnalité ! Lors de nos déplacements en France ou à l'étranger, nous sommes tous en admirations devant les efforts réalisés pour mettre en valeur le bâti typique local – observez par exemple ce que nos voisins Alsaciens sont capables de réaliser pour conserver leur habitat traditionnel ! -, alors que nous acceptons sans broncher l'éradication des plus anciennes maisons paysannes de nos villages.

    Et nos édiles continuent à marcher sur la tête en investissant dans l'aménagement de lotissements sans âme alors que nos bourgs et villages saturent d'immeubles à vendre... Ne vaudrait-il pas mieux réfléchir à un soutien financier volontariste afin d'inciter les jeunes accédants à la propriété à investir dans l'achat de maisons anciennes, permettant ainsi à la fois de revitaliser des quartiers à l'agonie et de contribuer également au « vivre ensemble », antienne dont on ne cesse de ressasser telle une pieuse incantation ?

    Autre piste à explorer : pourquoi ne pas envisager de pénaliser fiscalement les propriétaires indélicats et sans scrupules qui, après avoir pillé leurs propriétés des éléments architecturaux les plus remarquables, les laissent scandaleusement tomber en ruine, comme c'est le cas avec cette ferme des XVIe-XVIIe-XVIIIe-XIXe siècles à Bleurville qui est entrée en agonie depuis déjà de longues années. Sans parler de ceux qui, tout simplement, n'assurent même plus l'entretien courant en garantissant le clos et le couvert !

    Nos villages s'appauvrissent, c'est une réalité évidente (population âgée à revenus modestes et personnes sans travail de plus en plus nombreuses). Cependant, il faut savoir que le salut ne viendra que des populations locales qui sauront se prendre en charge et engager des actions concrètes en faveur de la sauvegarde et de la valorisation de leur patrimoine traditionnel et vernaculaire ; cela peut se faire sans engager pour autant des moyens financiers considérables. C'est une tâche exaltante qui nous attend... Encore faut-il vouloir s'y atteler.

  • Joyeuse et sainte fête de Pâques !

     

     

    Bénédiction et partage des œufs et chocolats de Pâques à l'issue de la messe, église Marie-Immaculée, Nancy [cl. ©H&PB].

  • Samedi Saint : vigile pascale

    Vigile pascale en l'église Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville [cl. archives ©H&PB].

     

    Voici la nuit, l’immense nuit où tout culmine, voici la nuit, l’immense nuit où tout devient possible.

    Célébrons notre Pâque, célébrons notre Christ !

    L’espérance est plus forte que le désespoir. La vie est plus forte que la mort. L’amour a le dernier mot. Tout ce que nous pensions perdu dans les ténèbres renaît en vie nouvelle : nous sommes fils et filles de Dieu ! Nous sommes les disciples du Ressuscité.

    Célébrons notre Pâque, célébrons notre Christ !

  • Vendredi saint : office de la Croix et de la Passion

    Office de la Passion, église Marie-Immaculée, Nancy [cliché : archives 2014 - ©H&PB]

     

    Ecce lignum Crucis, in quo salus mundi pependit.

    Veníte, adoremus.

     

    Voici le bois de la Croix sur lequel le salut du monde a été suspendu.

    Venez, adorons-le.

  • Jeudi Saint : la Cène de Notre-Seigneur Jésus-Christ

    Le dernier repas de Notre-Seigneur Jésus-Christ, XVIe s., Florent Drouin, chapelle des Cordeliers, Nancy [cliché ©H&PB].

     

    Christus factus est pro nobis obœdiens usque ad mortem, mortem autem crucis.

    Propter quod et Deus exaltávit illum : et dedit illi nomen, quod est super omne nomen.

    [graduel de la messe du Jeudi Saint]

    Le Christ, pour nous, s’est fait obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix.

    C’est pourquoi Dieu l’a exalté et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom.

  • Hennezel (88) : succès du 8ème marché de Pâques de Saône Lorraine

  • Saône vosgienne : quel territoire pour demain ?

  • Fête des Rameaux

    Bénédiction et procession des Rameaux, paroisse Notre-Dame de la Saône [cliché : archives ©H&PB].

     

    Hosánna fílio David : benedíctus, qui venit in nómine Dómini. O Rex Israël : Hosánna in excélsis.

    [bénédiction et procession des Rameaux]

    Hosanna au fils de David ! Béni celui qui vient au nom du Seigneur. Ô Roi d’Israël ! Hosanna au plus haut des cieux.

  • Les Journées européennes des métiers d'art à Domremy

  • Hennezel (88) : marché de Pâques au Musée

  • Fête de Saint Joseph

    Saint Joseph, statue XIXe s., église Marie-Immaculée, Nancy [cliché ©H&PB].

     

    Saint Joseph, ô vous qui,
    content d'une vie obscure,
    avez mis votre joie à aimer
    de toute la tendresse
    de votre cœur Jésus et Marie,
    priez pour nous, s'il vous plaît,
    afin que nous aussi,
    nous trouvions nos délices dans l'ombre
    et le silence de la vie cachée,
    et que ne regardant que Jésus,
    n'écoutant que Jésus,
    ne suivant que Lui,
    et brûlant d'un tendre amour
    pour sa divine Mère,
    il nous soit donné de vivre
    et de mourir dans la douce union
    de la charité fraternelle
    et dans la perfection
    de l'esprit religieux.

     Amen.

  • De l'antichristianisme français : vieux "sport" national

     

    Femen, profanations de cimetières et de lieux de cultes catholiques, massacre des chrétiens d’Orient… Les chrétiens sont-ils méprisés et ignorés en France contrairement aux autres religions ?

    "Les chrétiens sont indéniablement en France les victimes d’une profonde tradition anticléricale qui fait partie de l’ADN de la gauche et a fini par contaminer la droite. Les élites se pressent pour aller inaugurer des mosquées, se targuent de violer la loi de 1905 au nom du droit « de rattrapage » de l’islam, organisent des réceptions pour fêter le ramadan aux frais du contribuable (à la mairie de Paris)… Tout le monde y va de son tweet ou de sa déclaration publique pour souhaiter un bon ramadan aux musulmans quand il n’y a jamais un mot pour Pâques… Ce comportement est typique de l’amour de l’autre et de la haine de soi qui caractérisent aujourd’hui la classe politique française. La lutte contre l’islamophobie (216 actes de toute nature en un an) est sur toutes les lèvres, tandis que la christianophobie est passée sous silence alors même qu’aujourd’hui les chrétiens sont les croyants les plus massacrés dans le monde à cause de leur religion et que les catholiques sont les premières victimes des profanations en France."

    Petite devinette : qui a fait cette déclaration ? Manuel Valls ? Jean-Luc Mélanchon ? Christian Poncelet ? Mgr André Vingt-Trois ? Le grand rabbin de France ? Le président du Conseil français du culte musulman ?...

  • Lignéville (88) : la chapelle Saint-Basle bénite le lundi de Pâques

     

    [Vosges Matin]

  • Pèlerinage du Saint Clou de Toul le 28 mars 2015

    toul.jpgLa chapelle du Sacré-Coeur de Nancy organise samedi 28 mars 2015 le pèlerinage du Saint Clou à Toul selon le programme suivant :

    - messe à la chapelle du Sacré-Coeur à 7h45 suivi du petit déjeuner

    - départ en bus à 9h35

    - marche de 10h00 à 17h00 (arrivée à Toul)

    - vénération de la relique du Saint Clou puis retour en bus à Nancy

     

    ‡ Plus d'info au 06.35.32.33.47.

     

  • Monde rural, ton patrimoine fout le camp !

    Ancienne ferme lorraine, XVIe-XVIIe-XVIIIe-XIXe s., Bleurville [cliché H&PB].

    Malgré quelques initiatives louables de la part des collectivités locales et de quelques associations, le patrimoine historique et traditionnel de nos campagnes a du souci à se faire. Quelques réflexions sur un patrimoine en péril.

    Crises à répétition, exode rural, industrialisation de l'économie agricole, vieillissement de la population, désertification... Nos villages et bourgs du Pays des Trois Provinces sont confrontés à une foule de défis à relever. L'avenir de son patrimoine traditionnel en fait partie.

    Une des conséquences des multiples causes de ce déclin, c'est bien celui de la disparition de son patrimoine de pays. On pourra nous objecter que des efforts ont été engagés ces dernières années afin de sauver de la ruine maisons de caractère, chapelles, calvaires, lavoirs et autres éléments du bâti vernaculaire, mais ne sommes nous pas rattrapés par le temps ? Nos villages sont également confrontés à un volume d'habitations abandonnées et délaissées par des propriétaires qui ne savent qu'en faire face à la mévente de ces biens.

    Nos villages sont les héritiers de générations de paysans qui nous ont transmis un patrimoine bâti qui constitue l'identité de notre pays : pour les Vosges notamment, usoirs, village-rue, fermes à portes charretières cintrées, toits à auvent, vaste cheminée avec cendrier sont autant d'éléments symboliques qui distinguent nos villages lorrains des villages francs-comtois ou champenois. Or, en acceptant que nos fermes traditionnelles disparaissent, c'est accepter que nos terroirs se fondent dans un « grand tout » sans identité, sans caractère, sans personnalité ! Lors de nos déplacements en France ou à l'étranger, nous sommes tous en admirations devant les efforts réalisés pour mettre en valeur le bâti typique local – observez par exemple ce que nos voisins Alsaciens sont capables de réaliser pour conserver leur habitat tranditionnel ! -, alors que nous acceptons sans broncher l'éradication des plus anciennes maisons paysannes de nos villages.

    Et nos édiles continuent à marcher sur la tête en investissant dans l'aménagement de lotissements sans âme alors que nos bourgs et villages saturent d'immeubles à vendre... Ne vaudrait-il pas mieux réfléchir à un soutien financier volontariste afin d'inciter les jeunes accédants à la propriété à investir dans l'achat de maisons anciennes, permettant ainsi à la fois de revitaliser des quartiers à l'agonie et de contribuer également au « vivre ensemble », antienne dont on ne cesse de ressasser telle une pieuse incantation ?

    Autre piste à explorer : pourquoi ne pas envisager de pénaliser fiscalement les propriétaires indélicats et sans scrupules qui, après avoir pillé leurs propriétés des éléments architecturaux les plus remarquables, les laissent honteusement tomber en ruine, comme c'est le cas avec cette ferme des XVIe-XVIIe-XVIIIe-XIXe siècles à Bleurville qui est entrée en agonie depuis déjà de longues années. Sans parler de ceux qui, tout simplement, n'assurent même plus l'entretien courant en garantissant le clos et le couvert !

    Nos villages s'appauvrissent, c'est une réalité évidente (population âgée à revenus modestes et personnes sans travail de plus en plus nombreuses). Cependant, il faut savoir que le salut ne viendra que des populations locales qui sauront se prendre en charge et engager des actions concrètes en faveur de la sauvegarde et de la valorisation de leur patrimoine traditionnel et vernaculaire ; cela peut se faire sans engager pour autant des moyens financiers considérables. C'est une tâche exaltante qui nous attend... Encore faut-il vouloir s'y atteler.

  • De Piou-Piou à l’ami Bidasse, la conscription sous la IIIe République

    poilus.jpgA l’issue de la guerre de 1870-1871, la France est un pays démoralisé et mutilé. Son armée est désorganisée et sa frontière sans défense. En à peine 40 ans se reconstitue une armée puissante avec des réserves où se renforce le sentiment d’appartenance à la nation française.

    Le service militaire universel va être un facteur majeur de transformation personnelle et sociale ; il jouera un rôle plutôt néfaste dans la déchristianisation du monde paysan et ouvrier, favorisera l’exode rural mais aussi l’alphabétisation.

    L’égalité devant le service militaire s’est construite progressivement : suppression du tirage au sort, réduction des cas d’exemption... Rite de passage souvent douloureux de l’adolescence à l’âge adulte, le service est aussi le temps des découvertes. C’est un homme changé qui termine son service ; le certificat de bonne conduite prenant l’aspect d’un certificat de virilité.

    Du conseil de révision à « la quille », les différents moments du service sont illustrés par des images humoristiques qui en disent souvent bien plus que les images conventionnelles.

     

    ‡ Conférence animée par Jacques Bourquin, jeudi 5 mars 2015 à 20h00 à la mairie de Celle-sur-Plaine (88).

     

  • Nancy : hommage au colonel Driant pour le 99ème anniversaire de sa mort

    Ce samedi 21 février 2015, la cité ducale lorraine a rendu hommage au colonel Emile Driant à l'occasion du 99ème anniversaire de sa mort au Champ d'Honneur.

    lorraine,nancy,colonel driant,verdun,1916Le lieutenant-colonel Driant, écrivain et député de la 3ème circonscription de Nancy, mourut au combat à l’âge de 60 ans, le 22 février 1916, touché par un éclat d’obus lors de la bataille de Verdun, au Bois des Caures, alors qu’il défendait les positions françaises à la tête des 56ème et 59ème régiments de chasseurs à pied.

    À l’occasion du 99ème anniversaire de sa disparition, un hommage patriotique lui a été rendu sur la place éponyme à Nancy autour des porte-drapeaux de l'agglomération nancéienne et en présence de Laurent Hénart, maire de Nancy, André Rossinot, président du Grand Nancy, Mathieu Klein, président du Conseil général de Meurthe-et-Moselle, du sous-préfet de Toul, Daniel Eschenbrumer, président du Comité de Nancy du Souvenir Français, François Boccard, président de la Sidi Brahim de Nancy, du général Jean-Gabriel Blanc, président de l’ANOCR 54-55, et du général Daniel Seron.

     

    lorraine,nancy,colonel driant,verdun,1916

    lorraine,nancy,colonel driant,verdun,1916

    lorraine,nancy,colonel driant,verdun,1916

    [clichés ©H&PB]

     

  • Nancy : Journée d'étude "Le devenir des lieux de culte : un enjeu sociétal" - 9 avril 2015 à la Faculté de droit

     

    Jeudi 9 avril 2015

    Journée d'étude de la Faculté de Droit de Nancy et du Diocèse de Nancy & de Toul

    "Le devenir des lieux de culte : un enjeu sociétal. L’exemple typique des églises affectées au culte catholique"

    Faculté de Droit de Nancy – 13 place Carnot (amphi Gény)


    > Renseignement : R.P. Bruno Gonçalves au 03 83 17 26 29

    > Programme de la Journée d'étude ici Journée d'étude Faculté de droit Nancy-Diocèse de Nancy et Toul.pdf

  • Journées d'histoire régionale : "A table en Lorraine" - 7 & 8 mars 2015 à Pont-à-Mousson

    table.jpg

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  • Mercredi des Cendres : entrée en Carême

    imposition cendres.jpg

    Imposition des cendres, pontifical de Guillaume Durand, vers 1357.

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  • Vaucouleurs (55) : fête du départ de Jehanne d'Arc le 22 février 2015

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