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Nos traditions - Page 14

  • Mirecourt : Un nouveau chemin de croix pour l’église Notre-Dame

    Un nouveau chemin de croix apparaîtra sur les murs intérieurs de l’église Notre-Dame en mai prochain, coïncidant avec le Couvige. L’artiste Marie Dreux y réalisera une rencontre entre la sculpture et la dentelle.

    L’abbé Beligné s’est enthousiasmé du succès de la souscription pour un nouveau chemin de croix.

    Difficile d’évaluer l’époque exacte à laquelle lechemin de croix actuellement en place a été installé à l’intérieur de l’église Notre-Dame, à gauche du maître autel. On pourrait situer la création du chemin aux alentours des années 1950, mais rien n’est moins sûr. Toujours est-il que la dizaine de petites croix en bois restant encore accrochée au murméritait une sérieuse réhabilitation. Les exemplaires absents résultant sans doute d’une action humaine mal intentionnée.

    Au milieu de ses paroissiens, l’abbé Beligné s’était alors penché sur la question afin de rétablir cette tradition catholique. L’idée d’une rénovation du chemin de croix est née en 2013. Une rencontre avec Marie Dreux,du Couvige international, sculpteur-céramiste installée dans la région du Puy-en-Velay, révèle Denis Beligné, prêtre modérateur de la paroisse Saint-Pierre-Fourier.

    Le membres de la paroisse se sont réunis afinde déterminer la faisabilité du projet. « J’ai été ravi de enthousiasme collectif. En moins de trois semaines, nous avons recueilli des promesses de don équivalent à 6 000 euros, somme nécessaire pour la fabrication des quatorze plaques en bas-relief de 45 cm. Avec l’accord du conseil économique de la paroisse, la commande des 14 œuvres a été confirmée. L’installation devra être terminée avant le prochain couvige international, les samedi 7 et dimanche 8 mai prochain », détaille l’abbé Beligné, littéralement aux anges avec ce succès populaire.

    Alors que Marie Dreux a déjà réalisé quelques stations, la particularité de ces sculptures réside dans l’intégration de motifs en terre cuite. « Cela traduit une rencontre de ladentelle, tradition ancestrale de Mirecourt, et de la sculpture ».

  • L'Echo des Trois Provinces d'octobre-novembre 2015

    Fidèle au rendez-vous, tous les deux mois, L'Echo des Trois Provinces , apporte son lot d'informations et d'anecdotes historiques aux habitants des confins de la Lorraine, de la Franche-Comté et de la Champagne.

    Au sommaire de ce numéro automnal :

    - Châtillon-sur-Saône : nobles et notables à travers les registres de catholicité

    - les trente glorieuses

    - Villars-Saint-Marcelin, prémonitoire

    - les Cahiers de Melle Marchal de Lamarche

    - la chapelle Saint-Basle de Lignéville

    - pensée du jardinier

    - histoire de la cuisine

    - l'énigme des 3 Provinces

    - les visites de l'été

    - la fontaine de Monthureux-sur-Saône

    - le tour des 3 Provinces à vélo

    - les Thons : bénédiction de l'oratoire en forêt

    - le projet PNR des Sources de Saône & Meuse

    - H comme houblon

    - la vie des associations

    - les animations au Pays des Trois Provinces

     

    L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement. Renseignements : tresorerie.adp3p@Yahoo.fr

  • Le numéro automnal du Pays lorrain est paru

    La revue trimestrielle du Musée Lorrain et de la Société d'histoire de la Lorraine, Le Pays lorrain, propose à ses lecteurs un riche sommaire dans sa livraison d'automne :
    - le monnayage des grandes abbayes vosgiennes, par Dominique Flon
    - petites histoires d'Avioth révélées par un réchaud de la Renaissance, par Richard Dagorne et Nolween Maroteaux
    - l'hôtel de Soubise, dernière empreinte parisienne d'une famille de sculpteurs lorrains : les Jacquin, par Jean-François Michel
    - l'abbaye de Belchamp au XVIIIe siècle décrite par le prieur Antoine du Moulin, par Cédric Andriot
    - Richard Mique, architecte de Stanislas : un imitateur de Blondel ?, par Aurélien Davrius
    - l'industrie lorraine de l'ameublement : des heures de gloire au déclin, par Jean-Charles Vogley
    - la chapelle Simon : l'art funéraire et l'Art déco à Nancy, par Soonok Ryu
    - un petit garçon dans la Grande Guerre, par Colette Méchin
    - Albert France-Lanord et la restauration du vase de Vix, par Félicie Fougère

     

    ‡ Rappelons que Le Pays lorrain est disponible sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (39 €, à l'ordre de "Le Pays lorrain") à : LE PAYS LORRAIN, 64 GRANDE RUE, 54000 NANCY, ou achat au numéro à l'accueil du Musée Lorrain.

  • Benoît Taveneaux, brasseur d’histoires

    Belle actualité pour le président du Musée français de la brasserie, qui sort une 4e monographie consacrée précisément à l’épopée des Grandes brasseries de Saint-Nicolas. Rencontre.

    Le format de son livre lui ressemble : carré, mais amical et souple, rigoureux mais ouvert sur une culture qui trempe toujours sa plume dans l’histoire des hommes et femmes qui ont fait la brasserie lorraine.

    Benoît Taveneaux, dont toute la vie professionnelle a tourné autour de l’éducation populaire et de la vie de quartier, est devenu historien – et il a de qui tenir avec son père René qui fut le grand historien du jansénisme en Lorraine ! -, mais est resté un éternel directeur de MJC. Il a vieilli, comme tout le monde, mais il a su rester jeune, comme le confirme son dernier bébé, consacré aux « Grandes brasseries de Saint-Nicolas-de-Port ». La première question qui vient à l’esprit, c’est : « Pourquoi si tard ? » Alors même qu’il préside l’association du musée et qu’il a déjà traité des brasseries de Tantonville, Maxéville ou Champigneulles.

    « Je sais on me pose parfois la question. Le hic à Saint-Nicolas, c’est que les témoins de la fermeture de la brasserie sont encore là. Les plaies se referment doucement. Les 103 salariés licenciés en 1985 sont encore un peu amers et on peut les comprendre », explique l’auteur, qui a travaillé sur des archives, de nombreux témoignages de première main et a puisé dans ses propres souvenirs. Saint-Nicolas-de-Port et son musée ont fait passer l’incroyable aventure de la brasserie Moreau, dans le domaine de l’histoire brassicole autour d’un lieu unique. Une sorte de cathédrale Art déco, appelée affectueusement « le minaret » par les anciens brasseurs et signée Fernand César. C’est son père, Félicien, architecte d’origine belge, qui est l’auteur du Crédit Lyonnais rue Saint-Georges, dont la façade classique cache une splendide verrière École de Nancy.

    Parce que les plaies sont encore vives, même trente ans après, Benoît Taveneaux a su donner du temps au temps et a été récompensé : « des salariés qui avaient juré ne plus jamais remettre les pieds à la brasserie sont venus quand j’ai sorti l’ouvrage. J’étais heureux, car c’est le signe qu’on peut en parler ». Si la défection de Stella Artois, qui rachète le site en 1972, puis la fermeture en 1985, ont été si douloureuses, c’est que la Brasserie de Saint-Nicolas-de-Port était un lieu atypique. Une brasserie familiale différente de l’épopée de Tantonville, véritable saga brassicole et loin également du destin de la brasserie de Maxéville, fit faire un bond scientifique au brassage, tandis que Champigneulles inaugurait la brasserie-industrie et l’arrivée dans le monde de la bière des requins de la finance et du CAC 40. Tout Benoît Taveneaux est contenu dans ce livre si intime, fait de vapeurs, d’odeurs de malt, au pied de cette chaudière cuivrée et brillante et de sa chambre à houblon, dont les effluves, trente ans après la fermeture, sont toujours aussi persistants.

    [source : ER]

  • Chanson d'automne

    Les sanglots longs
    Des violons
    De l’automne
    Blessent mon cœur
    D’une langueur
    Monotone.

    Tout suffocant
    Et blême, quand
    Sonne l’heure,
    Je me souviens
    Des jours anciens
    Et je pleure

    Et je m’en vais
    Au vent mauvais
    Qui m’emporte
    Deçà, delà,
    Pareil à la
    Feuille morte.

    Paul Verlaine

  • Nancy : messe des ducs de Lorraine et de Bar le 17 octobre 2015

    La messe à la mémoire de la famille des ducs de Lorraine et de Bar sera célébrée par le RP Bruno Houplon, de l'Oratoire Saint-Philippe Néri, en l'église des Cordeliers de Nancy, samedi 17 octobre 2015 à 11h00.

  • Vittel (88) : la Croix Blanche restaurée

  • Bruyères (88) : une Vierge installée dans l’oratoire restauré

    L'oratoire de la Ferme des Anges restauré [cl. Ass. nationale des oratoires de France et d'Europe].

     

    Grâce à la persévérance de bénévoles et d’adhérents de l’association nationale pour la sauvegarde des oratoires de France et d’Europe, les travaux de restauration de l’oratoire de bord de route dit de « la Ferme des Anges », à proximité de Bruyères, sont achevés ; la niche en grès rose des Vosges a été peinte en bleu et une très belle grille en fer forgé ouvragé a été posée.

    L’association nationale a offert la statue de Notre-Dame de la Médaille Miraculeuse, qui donne sens à ce bel édifice et qui occupe la niche laissée vide depuis la dégradation de la précédente statue.

    Statue et oratoire rénové seront prochainement solennellement bénis.

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  • La Nouvelle revue lorraine n° 34 : grande histoire et petits soldats...

    Clin d'œil à nos valeureux soldats de toutes les époques dans cette dernière livraison de La Nouvelle revue lorraine. Petits soldats de bois de Michel Kieffer, grands soldats du 516e régiment du train d'Ecrouves et méchante soldatesque de la guerre de Trente Ans qui apporta la peste à Vaxoncourt...

    Ce numéro ne parle bien sûr pas que de militaires : le lecteur visitera les couloirs du temps et de l'histoire de notre Lorraine à travers un sommaire varié :

    - Berce branc-ursine et "herbe du diable"

    - grande histoire et petits soldats

    - la lorraine thermale : Amnéville, Bains-les-Bains, Martigny-les-Bains, Contrexéville, Bourbonne-les-Bains

    - Alfred Mézières (1826-1915)

    - les églises de Vigneul-sous-Montmédy

    - la peste à Vaxoncourt au XVIIe siècle

    - le culte de la déesse Raison et de l'Etre suprême à Saint-Jacques de Lunéville

    - la Meuse en cartes postales

    - Adolphe Demange, un portraitiste lorrain

    - le garde-manger

    - le munster et les vacances dans les années 1950

    - une tempête dans un verre d'eau

    - le 516e régiment du train d'Ecrouves

    - les mirabelles

    - mirabelles de Lorraine, évidemment !

    ... Et les rubriques habituelles : l'édito' de Jean-Marie Cuny, les infos lorraines, les livres.

    Le rédacteur en chef nous annonce que La Nouvelle revue lorraine ouvre prochainement son site Internet afin de mieux se faire connaître auprès des Lorrains et de tous les amoureux de l'histoire, des traditions et des terroirs où qu'ils se trouvent dans le monde. Nous vous en reparlerons prochainement.

     

    La Nouvelle revue lorraine est disponible sur abonnement en envoyant ses coordonnées postales et le règlement (38 €, 6 numéros, ou achat au numéro : 10 € port inclus) à l'ordre de "SEP Helenus - La Nouvelle revue lorraine" à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

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  • Saint-Dié-des Vosges : Restauration du reliquaire de saint Dié

    La paroisse cathédrale de Saint-Dié-des-Vosges a confié à la manufacture d'émaux Saint Jean l'Aigle de Longwy la restauration du reliquaire et la création de la châsse de saint Dié, le patron de la cathédrale du diocèse vosgien.

    Scellées dans le reliquaire originel restauré, les reliques du saint reposent désormais dans une nouvelle châsse créée en acier inoxydable, chêne et émaux par l'artiste Jacques G. Peiffer.

    Rappelons que saint Dié - ou Déodat -, né vers 600, était évêque de Nevers lorsqu'il prit part au Concile de Sens en 656. Il se fit ensuite ermite et bâtit un monastère dans les Vosges ; c'est autour de cette fondation érémitique que s'est construite l'actuelle ville de Saint-Dié-des-Vosges dont la cathédrale de grès rouge conserve les insignes reliques du saint homme, mort en 679.

  • L'Ardenne, des frontières en l'an Mil

    L'étude des formations territoriales et des frontières a souvent été utilisée comme prétexte à toutes formes de revendications spatiales et/ou culturelles. Longtemps liée à la seule analyse historique, elle peut être aujourd’hui renouvelée par des apports d’ordre archéologique, en matière d’espace, de comportements sociétaux, d’économie.

    C’est dans cet esprit qu’intervient au sein de la Maison des Sciences de l’Homme Lorraine le projet LAFAM (L’Ardenne. Des frontières en l’an Mil) sur les boucles mosanes et l’Ardenne méridionale, prolongement naturel de la Lorraine. Le principal objectif est d’y cerner les conditions d’apparition des diverses limites et frontières – tant politiques que sociales, culturelles, religieuses et économiques – qui divisent ce territoire et d’en comprendre l’organisation dans un contexte de morcellement féodal alors à son maximum autour de l’an Mil.

    Pour parvenir à ces résultats, il a fallu entreprendre une démarche historique inédite pour ce secteur. Au final, l'étude permet d'y entrevoir l’implantation humaine et de mieux cerner les frontières et influences de tous ordres qui le composèrent voici mille ans. Ce travail permet à la population actuelle de se réapproprier une histoire, une culture et un passé que les vicissitudes du temps ont fini par transformer ou effacer.

     

    ‡ L'ardenne. Des frontières en l'an Mil, Cédric Moulis (dir.), PUN-EUL, 279 p., ill. (15 €).

  • Les Vallois (88) : inauguration d’une statue de saint Michel archange

    A l’issue de la messe dominicale célébrée en l'église Saint-Michel des Vallois, une statue du saint archange a été dévoilée et bénie.

    La statue est installée dans la niche située au-dessus du grand portail d’entrée de l'édifice. La bénédiction a été donnée par l’abbé Jean-Marie Lallemand, en présence du diacre Alain Gérard et de Henri Côme, responsable laïc de la grande paroisse Saint-Martin de la Forêt, devant plus d’une centaine de fidèles rassemblés pour l’événement.

  • Voyage à Rome avec les Amis de Saint-Nicolas-des-Lorrains en décembre

    [ER]

  • Le 'Conseil' de Jehanne d'Arc convoqué à Notre-Dame de Bermont

    Les deux nouvelles statues bénies lors des IIèmes Journées johanniques de Bermont : sainte Thérèse de Lisieux et sainte Clotilde [cl. ©H&PB].

    Les IIèmes Journées johanniques se sont tenues les 26 et 27 septembre à l'ermitage de Bermont (Vosges, commune de Greux) autour du thème du "Conseil de Jehanne". Rappelons que Jehanne aimait fréquenter ce saint lieu où elle se rendait presque chaque samedi afin d'y prier Marie et d'y déposer des cierges.

    Par "Conseil", nous devons entendre l'intervention divine qui s'est manifestée auprès de Jehanne par l'entremise de l'archange saint Michel et des saintes Catherine et Marguerite. L'abbé Patrick du Fäy, de la Fraternité Saint-Pierre, a abordé ce thème en tentant une approche de ce phénomène surnaturel qui est signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut d'ailleurs à l'époque de Jehanne. Marie-Paule Renaud, historienne de Jehanne d'Arc, a expliqué la grande variété des représentations des "voix" à travers l'art (peinture, sculpture, vitrail). Enfin, Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, a resitué les travaux de recherches sur Jehanne menés par l'historienne, et les difficultés qu'elle a rencontré au sein même de l'université pour faire accepter certaines vérités sur Jehanne d'Arc.

    Dimanche, lors de la messe célébrée dans la chapelle Notre-Dame de Bermont, le RP Jean Bosco, bénédictin à l'abbaye Saint-Joseph de Clairval à Flavigny-sur-Ozerain (21), a béni les deux nouvelles statues sculptées par ses soins : sainte Clotilde et sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, deux saintes liées à la spiritualité johannique.

    Lors de ces Journées, Alain Olivier, président de l'association Notre-Dame de Bermont-Sainte Jehanne d'Arc, a présenté aux participants le projet auquel collabore l'association avec deux autres structures johanniques nationales : l'installation en Russie d'une reproduction de la statue du sculpteur Boris Lejeune dédiée à Jehanne d'Arc, installée à proximité de la chapelle de Bermont. Il s'agit, pour les johannistes français, de remercier la Russie pour son action en faveur de la protection des chrétiens d'Orient.

  • Nancy : 150e anniversaire du Couronnement de Notre-Dame de Bonsecours

  • Rentrée des Europa-Scouts nancéiens à Laneuvelotte le 2 octobre 2015

  • IIèmes Journées johanniques à Notre-Dame de Bermont les 26-27 septembre 2015

    Samedi 26 et dimanche 27 septembre 2015

    IIèmes journées johanniques de Bermont (Greux – Domremy)

    Le thème de ces IIèmes journées est celui du « Conseil » de Jehanne. Ce phénomène surnaturel est un signe de contradiction pour nos contemporains, comme il le fut à son époque et aux siècles suivants.

    Un hommage spécial sera réservé à Régine Pernoud dont l’œuvre et les recherches sur Jehanne d’Arc restent une référence.

     

    Samedi 26 septembre

    13h30 : accueil des participants, à l’ermitage de Bermont

    14h00 : conférence sur « Jehanne en ses conseils : l’aide de la clarté angélique », par Monsieur l’abbé Patrick du Fäy, recteur du séminaire de la Fraternité Saint-Pierre à Wigratzbad

    16h00 : conférence sur « Les voix au travers de l’art : peinture, sculpture, vitrail » par Marie-Paule Renaud, historienne, rédactrice de la « Lettre d’informations Présence de Jehanne d’Arc ».

    18h00 : conférence sur « Régine Pernoud, sa vie et son œuvre » par Marie-Véronique Clin, ancienne collaboratrice de Régine Pernoud, historienne, conservatrice du Musée d’histoire de la Médecine à Paris

    Dimanche 27 septembre

    10h00 : solennité de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, patronne secondaire de la France. Messe selon le rite extraordinaire de l’Église, à l’intention des chrétiens persécutés

    Le RP Jean Bosco, bénédictin de l’abbaye Saint-Joseph de Clairval, bénira les deux statues qu’il a sculptées pour la chapelle (sainte Clotilde et sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus).

  • Nancy : en hommage aux hommes du 26e RI

    Une cérémonie commémorative et une conférence organisées à l’initiative des membres de la Légion d’honneur.

    En hommage au sacrifice des combattants du 26e régiment d’infanterie et de la 11e division qui livrèrent les combats héroïques (dits du « Grand Couronné ») les 25 et 26 août 1914, la section 54 de la société des membres de la Légion d’honneur, présidée par le colonel Daniel Bitsch, organise une cérémonie commémorative d’envergure le vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati – Mouton Noir à Vitrimont.

    « Les hommes du 26e RI ont contribué à mettre les forces allemandes en échec. Celles-ci voulaient s’emparer de Nancy », explique le colonel Bitsch. « Elles avaient même projeté de défiler en septembre dans les rues de la cité et de remettre les clés de la ville à l’épouse de Guillaume II sur la place Stanislas. Les combattants français ont sauvé la ville, mais ont payé un lourd tribut. La bataille du Couronné a fait 40.000 morts ».

    Cette cérémonie d’envergure qui aura lieu en présence de nombreuses autorités civiles et militaires se déroulera en plusieurs étapes. Tout d’abord une évocation historique du président du comité d’entraide des membres de la Légion d’Honneur des combats du Grand Léomont, un dépôt de gerbes, la sonnerie aux morts, la minute de silence, le refrain de la Marseillaise et le traditionnel vin d’honneur.

    Le lendemain, samedi 26, une autre évocation des soldats du 26e RI donnera lieu à une conférence à partir de 10h00 dans les grands salons de l’Hôtel de Ville de Nancy. Président du Groupe Blandan et de l’amicale des anciens du 26e RI, le colonel Pierre Geoffroy évoquera le souvenir de ce régiment aujourd’hui dissous, installé au cœur de la ville depuis 1873, et plus particulièrement son action héroïque au cours de la Grande Guerre.

    Rappelons que le colonel Pierre Geoffroy est l’auteur d’un livre historique sur le 26e RI, « Qui s’y frotte s’y pique », lequel lui a valu, au moment de sa sortie, d’être distingué par l’Académie Stanislas.

     

    ‡ Cérémonie commémorative vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati. Conférence du colonel Pierre Geoffroy samedi 26 septembre à partir de 10h00 dans les grands salons de l’hôtel de ville de Nancy.

  • La faïence et l'enfant

    Né d'une remarquable exposition présentée au château de Lunéville durant l'été 2015, ce sympathique catalogue illustre parfaitement le développement de la faïence en Lorraine à partir du XVIIIe siècle qui a permis un renouvellement des arts de la table et la création de nouvelles pièces ornementales.

    Les jouets n'ont pas été oubliés avec les dînettes de poupée, les services à thé et à café ou les ensembles de toilette qui ont fait le bonheur des petites filles sages jusque dans les années cinquante du siècle dernier.

    Modeleurs et sculpteurs ont aussi laissé pour la postérité d'admirables groupes et figurines qui traduisent toute la grâce et la spontanéité de l'enfance.

    L'art au service de l'enfance pour exprimer l'innocence, rendre la douceur, magnifier l'amour, faire naître l'émotion, voire inspirer la spiritualité. A découvrir et à admirer dans ce beau catalogue magnifiquement illustré avec des clichés d'objets provenant de collections particulières.

     

    ‡ La faïence & l'enfant, catalogue de l'exposition présentée au château de Lunéville - Eté 2015, Guy Levieuge et Jeannine Guenot, Association des amis de la faïence ancienne de Lunéville - Saint-Clément, 2015, 83 p., ill. Disponible auprès de M. Guy Levieuge, 24 rue Boffrand, 54300 Lunéville.

  • La fête annuelle de la cité de La Mothe

    [L'Abeille]

  • Première messe du chanoine Pierre Dumain en la basilique de Domremy (88)

    Photo souvenir à l'issue de la messe célébrée par le chanoine Dumain à la basilique de Domremy [cl. ©H&PB].

    Ce samedi 12 septembre 2015, le chanoine Pierre Dumain a célébré sa première messe en la basilique Saint-Jeanne d'Arc du Bois Chenu à Domremy (88). La famille du jeune prêtre est installée à Liffol-le-Petit (52).
    Ordonné prêtre le 2 juillet dernier à Florence (Italie) par le cardinal Raymond Burke pour l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, il a célébré le Saint Sacrifice selon le rite extraordinaire de l'Eglise catholique en présence de sa famille, de ses amis et de nombreux fidèles. Plusieurs confrères chanoines assistaient à la messe ainsi que des prêtres issus de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X, de M. l'abbé Fourgerolle, du diocèse de Langres, et du recteur de la basilique M. l'abbé Lambert, curé de Domremy.
    L'homélie a été donnée par Mgr Gilles Wach, fondateur de l'Institut du Christ Roi Souverain Prêtre, société de vie apostolique canoniale de droit pontifical fondée en 1990.
    Le chanoine Dumain exercera son ministère comme aumônier dans une école de Bruxelles gérée par l'Institut.

  • Les bâtons de procession à Trampot (88)

    > Conférence par Mireille-Bénédicte Bouvet, conservateur à l’Inventaire général de Lorraine, jeudi 17 septembre à 20h30 dans l’église de Trampot (ouest vosgien) sur le thème : « Un patrimoine méconnu : les bâtons de procession »

    > Exposition inédite d’une  série des statuettes ornant des  bâtons de procession samedi 19 septembre (10h00-12h30 et 14h00-18h30) et le dimanche 20 septembre (11h00-18h00)

    Entrée libre.

  • N'oubliez pas le catéchisme !

    Aussi indispensable que l'école à la formation intellectuelle et morale de votre enfant, n'oubliez pas d'inscrire votre enfant au catéchisme !

    A Nancy, vous pouvez appeler le 03.83.35.26.03 pour obtenir tout renseignement.

    Ailleurs, n'hésitez pas à contacter votre paroisse catholique !

  • Migrants, réfugiés... : la souffrance de l'Occident chrétien est pour demain

  • Saône Lorraine : L'enfance costumée aux XIXe-XXe siècles à Hennezel en 2016

    En 2016, l'association Saône Lorraine présentera une exposition temporaire au musée du verre, du fer et du bois de Hennezel-Clairey sur le thème de "L'enfance costumée aux XIXe-XXe siècles".

    Afin d'enrichir cette rétrospective, les animateurs recherchent des costumes d'enfants couvrant cette période mais également des photographies ou tout document représentant des enfants costumés ou déguisés à l'occasion d'événements familiaux, scolaires, religieux ou festifs, jusqu'aux années 1950 (et si possible localisés en Lorraine).

     

    Δ Pour tout renseignement, contactez Jean-François Michel, président de Saône Lorraine : jean-f.michel@wanadoo.fr  

  • Dans l'atelier du graveur et imagier vosgien Jean-Paul Marchal

    Rencontre récente avec le maître graveur et imagier, Jean-Paul Marchal, dans son atelier sur les hauteurs d'Epinal.

    Notre artiste vosgien a toujours un projet de création d'avance : il travaille actuellement à une gravure sur bois représentant les différents lieux de culte d'Epinal (basilique Saint-Maurice, temple protestant, synagogue et mosquée) qui symbolisera la fraternité entre les religions et les croyants. Cette gravure sera présentée officiellement lors des Journées du Patrimoine de septembre prochain au musée de l'Imagerie.

    Le bonhomme prépare aussi une exposition d'oeuvres gravées anciennes revues et aménagées par le maître à la façon du célèbre graveur japonais Hokusai, pour lequel Jean-Paul Marchal voue une grande admiration.

    Son actualité, c'est aussi le versement de ses bois gravées aux archives départementales des Vosges (1867 au total !) : ceux-ci seront répertoriés, dûment décrits et numérisés afin de pouvoir être consultés par les chercheurs et le grand public.

    Un artiste de grand talent assurément. Et tellement attachant !

  • Histoire de messes interdites dans le nord meusien

  • Prière à Saint Louis, roi de France

    Saint Louis, basilique Saint-Pierre Fourier & Saint-Epvre, Mattaincourt, Vosges [cl. ©H&PB].

    Regardez-nous du haut du Ciel, Ô Saint monarque ! Et dans cette félicité éternelle que vous possédez, soyez sensibles à nos misères : tout indignes que nous sommes de votre secours, ne nous le refusez pas.

    Regardez d’un œil favorable ce royaume que vous avez si sagement gouverné, et si tendrement aimé. Si, par la corruption des vices qui s’y sont introduits depuis votre règne, la face vous en paraît défigurée, que cela même soit un motif pour vous intéresser, comme son roi, à le renouveler : si vous y voyez des scandales, aidez-nous à les retrancher.

    Étendez surtout votre protection sur notre auguste monarque. C’est votre fils, c’est le chef de votre maison, c’est l’imitation de vos vertus, c’est la vive image de vos héroïques et royales qualités : car il est comme vous le zèle de Dieu, il est comme vous le protecteur de la vraie religion, le restaurateur des autels, l’exterminateur de l’hérésie.

    Obtenez-lui les grâces et les lumières dont il a besoin pour achever les grands desseins que Dieu lui inspire ; que cet esprit de Sainteté qui vous a dirigé dans toutes vos voies vienne reposer sur lui ; qu’il nous anime nous-mêmes, et qu’il nous conduise tous à l’éternité bienheureuse. Par Jésus, le Christ, notre Seigneur.

    Amen.