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  • Non, l’Islam n’est pas une chance pour la France

    Si rien n'est fait, Notre-Dame de Paris deviendra mosquée avant le XXIIe siècle.

    Anti-Islam.jpgManuel Valls, notre cher Premier Ministre, vient de prononcer un discours proprement hallucinant pour peu que l’on veuille défendre la culture française. C’était le Jeudi 26 Juin, à l’institut du Monde Arabe à l’issue de sa visite de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à la Mecque ».

    Sans aucune prospective de ce qui attend la France dans 20 ou 30 ans, c’est à dire rien moins que le grand changement de civilisation, le Premier Ministre a conclu ce long discours à la gloire de l’Islam et de l’amitié franco-arabe par cette belle envolée : « Lors du repas de rupture du jeûne du mois sacré de ramadan, j’adresserai aux musulmans de France un message de confiance. Un message qui souligne combien la France est une terre de liberté qui respecte les croyances de chacun et qui considère que le fait que l’Islam est la deuxième religion de France est une chance pour la France ».

    Mais le pire c’est que Manuel Valls avait osé montrer la grande attirance et assurément la préférence qu’il a pour cette religion : « Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam. C’est toute une nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message ».

    Que l’Islam ait sa place en France, en dix ans, il est évident qu’elle a envahi l’espace avec ses presque 3000 mosquées, les femmes voilées voir « niqabées » qui avant 2001 étaient si discrètes qu’on ne les voyait pas, et les drapeaux étrangers qui envahissent les manifestations y compris lors de l’élection d’un président comme ce fut le cas pour Chirac et Hollande.

    Que l’Islam soit une religion de tolérance est une méconnaissance totale de la réalité : le musulman, cher Monsieur Valls, n’a pas le droit de se convertir à une autre religion sous peine de mort dans la plupart des pays où la charia est appliquée, ou sous peine de rejet familial chez nous. Si vous êtes musulman, pendant le ramadan, essayez de boire ou de manger avant le coucher de soleil. L’œil du prophète vous surveille en la personne des délateurs que chaque musulman est appelé à devenir contre la violation des règles islamiques.

    Que l’Islam soit une religion de lumière et d’avenir, là vous êtes clairvoyant, mon cher Manuel! Religion de lumière ? Quelle est la lumière évoquée celle des Lumières dont le mouvement au XVIIIe siècle voulait lutter contre l’obscurantisme ? Franchement, vous croyez que l’Islam qui se réfère à des textes du VIIe siècle n’est pas restée dans les ténèbres les plus sombres ? Vous en avez, tous les jours, des exemples multiples à travers le monde. Quant à l’avenir, là vous êtes dans le vrai : avec des gouvernants tels que ceux que nous avons depuis Giscard et son fameux regroupement familial, l’avenir de l’Islam est si radieux qu’il aboutira à islamiser la France en moins de 30 ans. Nul ne peut nier que les prévisions démographiques amèneront les Français dits de souche à être minoritaires dans leur pays. Si rien n’est fait, Notre-Dame deviendra mosquée avant le XXIIe siècle. Et vous le savez.

    [source : site internet « Boulevard Voltaire »]

  • Laneuvelotte (54) : Premier jour pour le timbre de la mobilisation générale

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  • Metz-Queuleu (57) : l'église de l'Immaculée-Conception achevée... 100 ans après

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    [Vosges Matin]

  • Fête du Sacré-Coeur de Jésus

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    Seigneur Jésus,
    Toi qui es venu allumer un feu sur la terre, je m’abandonne aujourd’hui à la volonté du Père dans le souffle de l’Esprit Saint.
    Purifie mon coeur, embrase-le d’amour et de charité.
    Fais grandir en moi le désir de la sainteté.
    Par le Coeur Immaculé de Marie,
    je me consacre tout entier à Ton Coeur pour T’aimer et Te servir.
    Amen
    .

  • Charles Cartier-Bresson à la scierie de La Hallière

    L'association Guerre en Vosges s'associe avec celle des Amis de La Hallière pour vous présenter la conférence :

    Charles Cartier-Bresson et la commune de Paris

    par Jean-Paul Kruch,

    vendredi 4 juillet 2014 à la scierie de la Hallière

     

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    Charles Cartier-Bresson (1852 - 1921).

     

    En 1872, un jeune homme de 20 ans débarque dans la vallée de Celles, dans les Vosges. Comment est-il arrivé là, et que vient-il y faire ?

    Dans cette conférence seront évoqués en premier lieu l'histoire et la situation de la famille Cartier au XIXe siècle à Paris et Pantin. Puis, en rappelant les évènements de la Commune de Paris après la défaite militaire de 1870, nous suivrons Charles Cartier, âgé alors de 18 ans, dans cette sanglante guerre civile ; il nous en donnera la vision et l'opinion d'un fils de la bourgeoisie industrielle du Second Empire.

    Enfin, nous essaierons de comprendre, à partir de cette tragédie nationale, les raisons qui ont incité son père, Claude Cartier, à vouloir créer un nouveau lieu de production en province et les circonstances qui ont abouti à l'implantation de la Maison Cartier-Bresson dans la vallée de Celles.

  • Ville-sur-Illon (88) : le relais-mémoire de la 2ème DB s'enrichit

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    [Vosges Matin]

  • Val-et-Châtillon (54) : cérémonie du souvenir au "Trou Marmot"

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    [ER]

  • Les Thons (88) : un oratoire dédié à la Vierge restauré en forêt

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    [Vosges Matin]

  • Trains oubliés des Vosges

    trains.jpgDans ce sympathique petit ouvrage copieusement illustré, l'auteur propose un voyage dans le temps, une plongée partagée entre le présent les vestiges d'une époque révolue : celle du boom ferroviaire entre Second Empire et IIIe République.

    Pascal Lambérieux - dont la famille possède des attaches à Bleurville, dans le sud-ouest des Vosges, à proximité de l'ancienne voie ferrée stratégique Darnieulles-Jussey - a mené un travail de recherche sur le patrimoine ferroviaire vosgien pour lequel il nourrit une curiosité insatiable. Pour le plus grand plaisir du lecteur et du nostalgique des locomotives à vapeur, il nous déroule la voie de près d'une cinquantaine de gares et des lignes aujourd'hui désaffectées. Grâce à de nombreuses cartes postales d'époque, l'auteur confronte le visage des édifices d'antan à leurs formes d'aujourd'hui. Un court texte explicatif accompagne l'ensemble et donne à lire des anecdotes glanées au fil des recherches et des voyages...

    Images des Vosges d'hier, ce sont aussi des étapes d'un patrimoine dont le faste habite encore le paysage d'aujourd'hui.

     

    ‡ Trains oubliés des Vosges d'hier à aujourd'hui, Pascal Lambérieux, éditions Sutton, 2014, 128 p., ill. (21 €).

  • La Fête-Dieu célébrée en l'église Marie-Immaculée de Nancy

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    Messe du 2ème dimanche après la Pentecôte, solennité de la Fête-Dieu, église Marie-Immaculée, Nancy.

     

    Cibavit eos ex adipe frumenti, alleluia : et de petra, melle saturavit eos, alleluia, alleluia, alleluia.

    [introït de la messe de la Fête-Dieu]

    Il les a nourris de la fleur du froment, et il les a rassasiés du miel sorti du rocher, alléluia, alléluia, alléluia !

     

    Dimanche 22 juin, les catholiques célébraient Jésus-Hostie, fête du Saint-Sacrement ou Fête-Dieu.

    Après la messe en l'église Marie-Immaculée, la communauté latine du diocèse de Nancy et de Toul s'est retrouvée au château de Ville-au-Val, à proximité de Dieulouard, pour partager en toute convivialité un repas préparé par l'association Saint-Brunon, soutien opérationnel de la chapellenie Bienheureux Charles de Habsbourg-Lorraine.

    En préambule du repas, l'abbé Husson, chapelain de la chapellenie nancéienne, s'est vu remettre un cadeau offert par les fidèles à l'occasion du 20ème anniversaire de son ordination.

    Les agapes achevées, les fidèles se sont rassemblés dans la chapelle castrale, mise aimablement à disposition par les propriétaires des lieux, pour assister aux vêpres de la Fête-Dieu chantées par la chorale de la chapellenie, puis participer à la procession du Saint-Sacrement dans le parc du château.

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    [clichés ©H&PB]

  • Le Brésilien, un Allemand au Bois-le-Prêtre

    bresilien.jpg"c'est donc vous le Brésilien ?", "Je suis Allemand, mon capitaine !". S'en suit une réponse ponctuée d'éclats de rire : "Et apparemment un très bon, qui n'a pas eu peur de faire un long voyage pour servir sa patrie... !". A eux seuls, ces quelques mots échangés au fond d'un abri dans le secteur du Bois-le-Prêtre résument l'histoire de ce sous-officier allemand qui vient d'arriver quelques jours plus tôt à Thiaucourt.

    Ses notes retrouvées par hasard constituent un témoignage émouvant exceptionnel. Un récit truffé d'anecdotes tantôt drôles et émouvantes, mais aussi parfois tragiques. La vie de tous les jours au front et à l'arrière, les séjours à Vilcey-sur-Trey, Thiaucourt, Pagny-sur-Moselle, Prény..., la peur au ventre sous les bombardements devant Regnéville, la résignation dans les tranchées du Bois-le-Prêtre.

    Mais l'histoire de ce germano-américain né à New-York ne va pas s'arrêter là. A partir de 1917, son régiment va faire un long périple qui passe par les Vosges, l'Artois, la Lettonie, l'Estonie et la Lituanie pour finalement revenir, à la fin de la guerre, à une vingtaine de kilomètres de son point de départ. Le 11 novembre 1918, le lieutenant Georges Boysen est dans les tranchées devant Marchéville-en-Woëvre, il fait face aux troupes américaines... Deux jours plus tard, sa compagnie prend à pied la direction de l'Allemagne.

     

    ‡ Le Brésilien. Un Allemand au Bois-le-Prêtre, Joël Huret, éditions du Quotidien, 2014, 213 p., ill., cartes (20 €).

  • Les "Sentinelles" de Nancy ont un an !

    On nous prie de communiquer :

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    Les "Veilleurs debout" sur la Place Stanislas à Nancy.

     

    Un an de "Sentinelles" pour la défense de la famille...

    Rendez-vous mardi 24 juin 2014 à 21h00

    Place Stanislas à Nancy


    24-25 juin 2013 - 24-25 juin 2014 : il y a 12 mois, les "Veilleurs Debout" passaient leur première nuit de veille face au ministère de l'(in)justice à Paris...

    Parce qu'un long silence vaut parfois mieux qu'un grand discours, nous nous relayons, debout face à des lieux de pouvoirs tels le Ministère de la Justice, place Vendôme à Paris, depuis UN AN sans interruption.

    "Sentinelles", nommées "Veilleurs Debout" à l'origine, nous nous indignons contre l'injustice et les mensonges du gouvernement sur la famille.

    Non à la dénaturation du mariage et à la destruction programmée de la famille !

     

  • Lina Blanc à l'abbaye Saint-Maur cet été

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  • En souscription : "Les monnaies lorraines du musée de Charleville-Mézières (Xe-XVIIIe s.)"

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  • Anne-Charlotte de Lorraine, une princesse abbesse européenne (1714-1773)

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  • Abbaye Saint-Maur de Bleurville (88) : Hommage aux Poilus avec le Choeur d'hommes de Nancy le 29 juin

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  • Puzieux (88) : pèlerinage sur les pas de sainte Menne

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    [L'Abeille]

  • Bleurville : Le Choeur d'hommes de Nancy à l’abbaye Saint-Maur le 29 juin

    Pour l’ouverture de la nouvelle saison durant laquelle les Amis de Saint-Maur célèbrent les 40 ans du sauvetage de l'ancienne abbaye bénédictine, l’abbaye Saint-Maur accueille dimanche 29 juin à 16h00 le Chœur d’hommes de Nancy pour un grand concert dans le cadre du Centenaire de la Grande Guerre.

    choeur.jpgCréé en 1993, le Chœur d’hommes de Nancy est composé d'une trentaine d'adultes, dont la plupart a fait partie de la manécanterie des Petits Chanteurs de Nancy. Animés par la passion du chant choral, ils ont parcouru la Lorraine, la France et voyagé dans le monde en donnant de nombreux concerts. Ils ont ainsi participé au renom de cette manécanterie et au rayonnement de la ville de Nancy et de la Lorraine.

    Depuis vingt ans maintenant, animés par le même plaisir de chanter ensemble, ils se retrouvent pour communiquer leur enthousiasme à tous les publics.Une dizaine de concerts sont ainsi donnés chaque année.

    Il présente un répertoire éclectique allant des chants de grands compositeurs de musique sacrée de la liturgie catholique romaine  et orthodoxe russe, de chants du monde profanes ou traditionnels, musiques de film, négro spiritual, chansons françaises. A l’occasion du Centenaire du début de la Première Guerre mondiale, le Chœur interprétera un programme de chants qui ont marqué la vie de nos Poilus dans les tranchées ou à l’arrière, entre 1914 et 1918.

    La direction musicale est assurée par Claude Clément, ancien petit chanteur de la manécanterie nancéienne, musicien et auteur d'harmonisations et d'arrangements musicaux pour le Chœur d'hommes.

     

     Concert du Chœur d’hommes de Nancy à l’abbaye Saint-Maur de Bleurville dimanche 29 juin à 16h00. Libre participation aux frais.

  • La mérule envahit les Vosges

    Depuis quelques années, la mérule, champignon dévastateur qui s’attaque au bâti, se développe dans les Vosges. Des dizaines de nouveaux cas sont identifiés chaque mois. Dernier exemple en date : celui de l’église Sainte-Libaire de Lépanges-sur-Vologne où les travaux d’éradication sont en cours.

    merule.jpgTout partait d’une bonne intention. Rénover la belle église de Lépanges-sur-Vologne grâce à plusieurs dizaines de milliers d’euros de dons. Des travaux réalisés sur trois ans, entre 2007 et 2010. « On était fiers. Notre église venait d’être refaite et pour un petit village, ce n’est pas rien », estime Christian Claudon, premier adjoint à la mairie de Lépanges.

    Pourtant, deux ans plus tard, l’église ferme ses portes. « A l’intérieur, le bois avait complètement pourri. Les gens passaient à travers les estrades » se souvient l’élu. Depuis, l’église a été vidée, les parquets brûlés… La mérule est passée par là. Et a fait des dégâts. Les boiseries, les murs et les sols sont atteints. Et attendent aujourd’hui d’être traités.

    Car à Lépanges, pendant plusieurs années, la mérule a tissé sa toile, développant ces cordons mycéliens blancs typiques au champignon. Se développant dans les sols, les murs, sous les estrades, sous les meubles et aujourd’hui encore, à même la terre. « Dans nos petits villages, où les gens sont assez croyants, c’est dramatique de ne plus avoir d’église. Aujourd’hui, on marie les gens à la mairie et ils partent ailleurs à l’église. Cela fait deux ans que ça dure et on espère vraiment en voir le bout prochainement. »

    Depuis plusieurs semaines, les réunions de chantier se succèdent. En attendant le traitement qui, tous l’espèrent, éradiquera complètement le champignon. « Cela chagrine les villageois et c‘est un souci dont on se serait bien passé. Une fois que le traitement aura été fait, que les parquets seront refaits et que le mobilier aura été remis en place, on va surveiller, c’est sûr. Et on sera très attentifs », poursuit Christian Claudon.

    Quelque 40 tonnes de terre ont été enlevées, et l’église de Lépanges ressemble aujourd’hui à un vaste chantier. Des travaux qui ont débuté il y a un mois environ. Et que la municipalité espère terminés pour la mi-août. « On tend le dos, on a peur que ça reprenne ensuite. Le risque zéro n’existe pas. On le sait. »

    Au fond de l’église, les employés municipaux viennent de déplacer un meuble sous lequel, une fois encore, le champignon a pris ses quartiers. « Sur une estrade qui date d’il y a quelques années à peine. »

    Dans la vallée de la Vologne d’autres églises ont été touchées par la mérule, aussi appelée la lèpre des maisons. A Granges ou Laval. A Bruyères, six cas ont été décelés dans une même rue et la mérule s’étend un peu partout dans les Vosges. Aucun secteur ne semble épargné. Chaque année, l’entreprise d’Edouard Aubriat, spécialisée dans le traitement du champignon, enregistre 300 nouveaux cas dans le grand Est de la France mais aussi en Belgique et au Luxembourg. Quand, il y a trente ans, son père ne voyait que trois ou quatre cas de mérule par an.

    [d’après Vosges Matin]

  • Contrexéville au carrefour des voies romaines

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    Mise au jour d'une partie de la voie romaine à Contrexéville [cliché Cercle d'études locales de Contrex'].

  • Val-et-Châtillon (54) : reportage TV sur le Père Humbricht

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    [ER]

  • Requiem pour un empire défunt

    autriche.jpgDans un style éblouissant, François Fejtö raconte et dissèque les causes de la disparition des empires centraux, l'Autriche-Hongrie, en 1918 ; disparition qui a entraîné l'Europe centrale dans la longue nuit des totalitarismes national-socialiste et communiste. Pour ce faire, le grand historien dresse une histoire à rebours des idées reçues de la double monarchie jusqu'en 1914 avant de s'attacher aux causes directes de la Première Guerre mondiale et au déroulement du conflit jusqu'à son terme. Conglomérat de peuples disparates, l'Empire austro-hongrois avait su bâtir un modèle original et fédérateur, garant de l'équilibre européen à l'image de son empereur emblématique, François-Joseph, dont la figure tutélaire fut loué par des écrivains comme Joseph Roth ou Stefan Zweig.

    Sa désagrégation résulte de la volonté déterminée des Alliés - en particulier de l'anticlérical Clemenceau -, sous l'influence néfaste des exilés laïcs et francs-maçons Masaryk et benès. Elle ouvra la boîte de Pandore des rivalités nationalistes au coeur des nouveaux états (Tchécoslovaquie et Yougoslavie notamment) édifiés par les vainqueurs sans tenir compte des aspirations des peuples qui étaient, dans leur grande majorité, favorable au maintien de la monarchie habsbourgeoise. A l'empire pacifique et arbitre succédaient des pays factices, minés par la question des nationalités que Wilson et Clemenceau avaient prétendu résoudre en mettant à bas l'Empire séculaire des Habsbourg-Lorraine.

    "Livre d'érudit, mais aussi essai combatif, puisque à l'encontre de la thèse la plus courante, François Fejtö récuse le terme de désagrégation, qui implique que l'empire est mort de maladie, et lui préfère le mot de destruction, qui implique que l'empire a été assassiné.", insiste le philosophe Alain Finkielkraut dans son exergue.

     

    ‡ Requiem pour un empire défunt, François Fejtö, éditions Perrin, coll. Tempus, 2014, 638 p. (11 €).

  • Nancy : ordinations presbytérale et diaconale à la cathédrale

    En ce dimanche de la Trinité, Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, a ordonné prêtre pour les Missions Étrangères de Paris l'abbé Julien Boury et diacre en vue du presbytérat Sébastian Cano.

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    Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul.

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    Appel des ordinants par Mgr l'évêque.

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    Sébastien Cano.

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    Julien Boury.

     

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    Mgr Papin et les nouveaux ordonnés.

     

    [clichés ©H&PB]

  • Vosges : "Vivre à la romaine"... à Epinal et à Grand

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  • Question de schisme

    Notre ami belge Jean-Pierre Snyers nous fait part de ses réflexions sur… un schisme qui pourrait menacer l’Eglise catholique.

    Odon Vallet, proclamé par les medias « spécialiste » des religions, a évoqué il y a quelques mois le risque d'un schisme dans l'Eglise. Il faisait notamment référence à la communion donnée aux divorcés-remariés et à l'ordination d'hommes mariés. Un schisme rien que pour cela ? Tout est possible mais personnellement, je ne le crois pas tellement.

    kardinal_kasper.jpgPar contre, ce qui pourrait à mon sens provoquer une rupture, c'est « ce qu'il y a derrière » ces deux éventuels changements. Un exemple : le cardinal Kasper (très apprécié par le pape François et très peu par Benoît XVI) est, on le sait, favorable à cette évolution voulue par les progressistes. Grave ? Pas vraiment. Ce qui est grave, très grave même, c'est ce qu'il y a au-delà de ses revendications. Voici donc quelques-uns de ses propos. Dans son livre Einführung in den Glauben, il déclare que « les dogmes peuvent être univoques, superficiels, ergoteurs, stupides et précipités. »

    Dans son ouvrage Jesus der Christus, il écrit : « Les récits de miracles s'expliquent par un transfert de motifs non-chrétiens sur la personne de Jésus pour souligner sa grandeur et sa puissance ». Vis-à-vis de la résurrection du Christ, il affirme « qu'il s'agit non pas d'un trait historique mais d'une figure de style destinée à éveiller l'attention et à créer un suspense ». Toujours dans le même livre, il écrit que « d'après les évangiles synoptiques, le Christ ne se désigne jamais comme Fils de Dieu, ni comme Messie, ni comme Fils de l'homme, ni comme serviteur de Dieu et que le dogme selon lequel Jésus est vrai homme et vrai Dieu est dépassable ».

    Voilà la face cachée ! Inutile de préciser que si un jour un pape tenait de tels propos, nous aurions le devoir de ne pas le suivre et de le considérer comme un faux prophète.

    Alors, schisme à l'horizon ? Oui, si de tels cardinaux prennent le dessus et arrivent à contaminer la doctrine et la liturgie (ce qui, hélas, se fait déjà sans la moindre remontrance). Quant aux coups de crosses, il y en a bien quelques-uns mais ceux-ci ne semblent réservés qu'à ceux qui préfèrent le Motu Proprio aux élucubrations de clercs qui, au nom de leurs interprétations personnelles de Vatican II, se permettent les pires dérives.

    Jean-Pierre Snyers

    jpsnyers.blogspot.com

  • Visites de villages avec Maisons paysannes des Vosges

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  • Activités archéologiques avec le Cercle d'études locales de Contrexéville

    Un mois de juin très actif pour les membres du Cercle d'études locales de Contrexéville :

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    - Inauguration au Musée départemental à Épinal de l'exposition « Vivre à la romaine » : pour l'occasion l’ensemble thermal de la villa gallo-romaine de Damblain est reconstitué, fouilles auxquelles ont participé les membres du Cercle d'études locales

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    - Forêt domaniale de Darney-Martinvelle : intervention du Cercle d'études auprès de l'équipe de Ludovic Trommenschlager, archéologue numismate, qui sonde un atelier de faux monnayage du IVe siècle de notre ère

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    - Darnieulles : intervention du Cercle d'études auprès de l'équipe de Cédric Moulis et Marie Nique, au pied du donjon médiéval en cours de sondage

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    - Contrexéville : le village gallo-romain sera établi le dimanche 22 juin toute la journée dans la presqu'île du lac de Contrexéville ; le Cercle d'études en profite pour dégager la voie romaine Corre-Soulosse qui y passe afin de la présenter au public.

     

    [texte et clichés : ©Gilou Salvini]