Le collège-lycée privé hors contrat "Bienheureux Frassati" est un internat pour garçons de la 6ème à la seconde incluse avec possibilité de rester le week-end.
Il vient d'ouvrir pour la rentrée 2007-2008 à Mandres-sur-Vair (à 5 mn de Vittel-Contrexéville).
L'établissement propose un enseignement de qualité et un travail personnel individualisé dans un idéal de vie catholique. Le cadre naturel de l'établissement permet une activité physique intense (randonnées, VTT, courses d'orientation, ski, etc.).
L'établissement dispense un enseignement de qualité, exigeant en terme de travail personnel. Il est accessible, tant aux enfants doués intellectuellement qu'à ceux qui ont moins de facilités. Pour atteindre cet objectif, l'enseignement et le travail personnel sont individualisés et adaptés à chacun. L'échec scolaire est combattu, la réussite n'ayant de sens que proportionnée aux talents de chacun, selon la parabole évangélique. Chacun est simplement invité à donner le meilleur de lui-même.
Contact et renseignement :
Patrick GIRARD, Directeur
Collège & Lycée Bienheureux Frassati
Château de Mandres-sur-Vair
50, Rue Monseigneur Rodhain
88 800 MANDRES-SUR-VAIR
Tél. : 03 29 09 86 18
collegefrassati@hotmail.com
www.collegefrassati.com
L'association des Amis de Saint-Maur accueille le public dans l'ancienne abbaye bénédictine le dimanche 16 septembre à l'occasion des Journées du Patrimoine.
A l’occasion de la sortie de son dernier livre « Nos derniers abbés », Jean-François Michel, président de Saône Lorraine a présenté devant un auditoire captivé, le moteur de son action en Saône Lorraine. « Nos derniers abbés », déclare-t-il, est le moyen de « faire partager l’amour de notre région ». C’est ainsi que durant sa passionnante conférence, il a transmis toute la passion qu’il éprouve pour l’histoire et le patrimoine monastique de la Lorraine du Sud.
Jean-François MICHEL, professeur agrégé d'histoire à Metz et président de Saône Lorraine, présentera dimanche 19 août à 15h00 en l'abbaye Saint-Maur de Bleurville une conférence-diaporama autour de son dernier ouvrage : "Nos derniers abbés".
La chapelle Notre-Dame de l'ermitage de Bermont se situe dans le Bois de Greux, à peu de distance au nord de Domrémy-la-Pucelle (Vosges, canton de Coussey). Cette chapelle est intimement liée à la vie de Jeanne d'Arc. Accompagnée de sa sœur, elle y venait en pèlerinage tous les samedis et y portait des chandelles qu'elle allumait devant l'image de la Sainte Vierge.
Bleurville vient de vivre cinq soirées historiques ! La Place du Prince, transformée en scène de lumière, a accueilli plusieurs milliers de spectateurs venus applaudir la remarquable prestation de près de 200 acteurs bénévoles. Tous les spectateurs ont vibré à l'unisson du scénario interprété avec brio par les premiers rôles (la famille Martin, François Busenet, l'abbé Ricard, l'abbé Gollier, le régent d'école, les malheureuses "victimes" de Busenet, la maréchaussée, les juges, Voltaire, etc.) secondés par une foule de figurants. Tous nous ont fait revivre une période, malheureusement dramatique, de l'histoire de Bleurville : l'affaire Busenet qui a marqué la vie du bourg durant la seconde moitié du XVIIIème siècle.
Avant le XVIIe siècle, la place de Bleurville s'appelait "place des halles" puisque des halles s'élevaient à proximité de la place actuelle. Après la disparition du duc de Lorraine Henri II, une nouvelle appellation se fit jour.
Sur la place du Prince, centre historique du village, une grande agitation règne plusieurs soirs par semaine depuis début juillet. En effet, bénévoles, membre de la Compagnie de l'Odyssée, habitants de Bleurville travaillent activement à la préparation du grand spectacle son et lumière qui va éclairer la nuit bleurvillois à la mi-août.
L'église Saint-Pierre-aux-Liens de Bleurville possède une statue en pierre polychrome du XVIe siècle représentant saint Eloi revêtu des ornements sacerdotaux d'un évêque de l'époque. Il est assis tenant un livre ouvert d'une main, l'autre bénissant. Mais pourquoi une statue de saint Eloi à Bleurville, si loin de ses lieux traditionnels de vénération (Soisonnais et Limousin) ? Retour sur l'histoire de ce célèbre saint.
Les animateurs de l'association La Trace de Robécourt feront découvrir aux visiteurs de l'abbatiale Saint-Maur les techniques ancestrales de la fabrication d'une cloche. Cette association fait revivre les traditions des fondeurs de cloches du Bassigny en effectuant des démonstrations de coulées de cloches.

Invitée par les Amis de Saint-Maur, Marie-Madeleine Boulian a partagé devant une nef archi-comble ses souvenirs d’un récent voyage à Saint-Pétersbourg organisé par l’université de la culture permanente de Nancy.
Mariinsky (ex-Kirov) où enseigne Sylvie Boulian, chanteuse soprano. Pour le plus grand plaisir du public, Sylvie, qui avait revêtu pour l’occasion la sarafane (habit féminin traditionnel slave), assura les intermèdes vocaux en interprétant des chants russes longuement applaudis par un parterre d’admirateurs. Une présentation d’objets typiques russes apportait une touche insolite à la conférence. L’abbatiale Saint-Maur n’avait pas connu depuis longtemps une animation culturelle aussi intense et animée.
struire une ancienne ferme des XVIIIe-XIXe siècles au lieu de la démolir purement et simplement sous prétexte de sécuriser un carrefour du village.
le saint patron de l'église paroissiale : saint Pierre-aux-Liens. L'église possède une belle statue de Saint-Pierre en bois polychrome du XVIe siècle installée au choeur ainsi qu'une sculpture en pierre de notre saint patron (du XVIe siècle également), possédant encore quelques traces de polychromie, fichée dans une niche située à droite du grand portail. Saint Pierre est, en fait, le second patron de la paroisse : saint Maur - saint patron de l'abbatiale bénédictine locale - fut fêté à Bleurville dès le XIème siècle. Saint Pierre-aux-Liens était invoqué par les voleurs et autres bandits de grand chemin... Est-ce à dire que Bleurville fut, en des temps reculés, un repaire de voyous pour que l'on attribue le patronnage de Pierre à l'église locale ?...
Samedi 30 juin, l'abbatiale bénédictine accueillait les Amis de Saint-Maur et les membres de l'association La Trace de Robécourt pour le vernissage de l'exposition consacré à la fabrication des cloches et à l'histoire des saintiers du Bassigny. Le président des Amis de Saint-Maur souhaita la bienvenue à tous et se réjouit de voir présenter dans les murs de l'ancienne église une exposition qui rend hommage au travail des fondeurs de cloches.
La troupe des acteurs et figurants du spectacle "la lune écarlate" commence ses répétitions à Bleurville, sur la place du Prince, à compte du 6 juillet. Les séquences filmées ont été tournées dans le village Renaissance de Châtillon-sur-Saône.
suite "spirituelle" à son livre "temporel" "Nos derniers seigneurs" paru voici quelques années. Il nous présente une réflexion sur la contradiction et le combat entre la soif d'absolu habitant tout homme et la chape de relativité apportée par le temps. Elle porte aussi le regret que le duel entre le beau et l'utile se soit toujours terminé par la victoire du second... Elle nourrit enfin le souhait que, pour ce qui subsiste de nos jours (du couvent des Thons à la porterie de Flabémont, du palais abbatiale de Senones à la maison des Trinitaires de Lamarche... et l'abbatiale bénédictine de Bleurville, la grande oubliée de cette étude...), le beau soit désormais pleinement reconnu et respecté. Cet ouvrage complète utilement les recherches et synthèses déjà parues sur la Lorraine monastique. A lire sans modération.


L'abbé Paul Idoux, qui fut curé de Bleurville de 1927 à 1941, a consigné par écrit les événements qui ont marqué le village au cours des mois de 1940 qui ont vu l'invasion de la France par l'armée allemande. Jour après jour, il nous livre ses remarques sur l'exode de ses compatriotes, la débacle de l'armée française, l'arrivée des régiments allemands et l'occupation de Bleurville.
Ce samedi 16 juin, le comité des fêtes du village organisait pour la 30ème édition, les feux de la Saint-Jean. Ces feux commémorent le solstice d'été (un peu en avance, certes, puisqu'il est fêté officiellement le jour de la Saint-Jean-Baptiste, le 24 juin...).