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  • Lunéville : exposition « Charles-Alexandre de Lorraine, prince de l’Europe des Lumières »

    charles alexandre de lorraine.jpgDernier fils du duc Léopold et de son épouse Elisabeth-Charlotte d’Orléans, Charles-Alexandre de Lorraine connut une jeunesse heureuse à Lunéville, avant de voir son destin échapper aux frontières de sa Lorraine natale, pour atteindre une dimension internationale. C’est bien le rôle de prince de l’Europe des Lumières que l’exposition entend retracer.

     

    L’année 2012 sera marquée au château de Lunéville par la célébration du tricentenaire de la naissance, en ses murs, de Charles-Alexandre de Lorraine, prince à la destinée hors du commun. Cette exposition est réalisée en partenariat avec l’association des Amis du château de Lunéville et de son musée et bénéficie du soutien des musées de Tervuren et de Bruxelles (Belgique).

     

    Douzième enfant du duc Léopold de Lorraine et de son épouse Elisabeth-Charlotte d’Orléans, il passa des années heureuses au château de Lunéville, loin de l’exercice du pouvoir dont la perspective revenait à ses frères aînés. Ce temps d’insouciance fut marqué toutefois par une éducation soignée, qui devait faire du jeune prince une figure marquante de l’Europe des Lumières.

     

    En 1736, sa vie bascule, lorsque son aîné, le duc François III, renonce à la Lorraine pour accéder au trône impérial en épousant Marie-Thérèse de Habsbourg. Charles-Alexandre quitte alors Lunéville et rejoint la cour de Vienne. Il se met au service d’un pouvoir nouveau, qu’il sert tout d’abord par les armes, avant d’endosser un rôle qui lui convient mieux, celui d’administrateur efficace et généreux. En tant que gouverneur des Pays-Bas autrichiens, l’actuelle Belgique, Charles-Alexandre de Lorraine révèle en effet son tempérament de véritable prince éclairé, à la fois ami des arts, propagateur des évolutions techniques et, avant tout, garant du bien-être de ses peuples.

     

    Peut-on imaginer plus bel hommage que celui rendu par son ancien adversaire sur les champs de bataille, le roi Frédéric II de Prusse, qui déclara à la mort de Charles-Alexandre de Lorraine : « (…) il honorait l’humanité (…) peu de princes le remplaceront par la beauté de son âme ».

     

    ‡ Exposition internationale organisée par Alain Philippot (château de Lunéville), Thierry Franz (château de Lunéville, doctorant à l’Université de Lorraine, CRULH) et Catherine Guyon (présidente des Amis du Château de Lunéville et de son musée, MCF en histoire à l’Université de Lorraine, CRULH).

     

    ‡ Un catalogue illustré en couleur accompagne l’exposition.

     

    ‡ Du 9 juin au 16 septembre 2012 – Musée du Château de Lunéville.

  • Val-et-Châtillon (54) : conférence "La faïencerie de Lunéville Keller & Guérin : entre industrie et atelier d'art"

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  • La Lorraine philatélique

    Le programme philatélique de La Poste pour 2012 prévoit l'émission de trois timbres rendant hommage, à un titre ou à un autre, à la Lorraine. Présentation.

    jeanne d'arc.jpgEn mai, à l'occasion du 6ème centenaire de la naissance de Jeanne d'Arc à Domremy (Vosges), La Poste française et la Cité du Vatican émettent un timbre magnifique où, sur fond d'or craquelé, est reproduite une miniature  issue d'un manuscrit du XVe siècle représentant Jehanne la Bonne Lorraine en armure.

    En juillet, un timbre commémorant le centenaire de la première liaison postale entre Nancy et Lunéville sera émis. En 1911 est créée à Nancy une association des Amis de l'Aviation à l'initiative de trois officiers aviateurs, les lieutenants Cheutin, Nicaud et Varcin, du conseiller municipal Antoine, et avec le soutien du Directeur des Postes de la cité ducale et du sous-secrétaire d'Etat aux Postes. Il s'agissit de réaliser le premier service postal aérien en France métropolitaine, entre Nancy et Lunéville. Le vol, prévu le 29 juillet 1912, fut reporté au 31 à cause du mauvais temps. A 7 heures du matin, le biplan Farman du lieutenant Nicaud sortit du hangar. Il décolla à 7h16, en emportant environ 10 000 plis, pour atterrir sur le Champ-de-Mars de Lunéville à 7h33 après un vol de 27 km.

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    orgue luneville.jpgEnfin, en novembre, l'orgue de l'église Saint-Jacques de Lunéville sera à l'honneur avec l'émission d'un splendide timbre. Ce chef-d'oeuvre baroque est le seul orgue à tuyaux cachés actuellement connu en Europe. L'instrument se dissimule derrière les balustrades et les colonnes formées d'un réseau de lattes verticales qui laissent passer le son. La tribune et le buffet ont été dessinés par Emmanuel Héré, à la demande du roi et duc de Lorraine et de Bar Stanislas Leszczynski. Mais l'originalité de la disposition de l'instrument est l'oeuvre du facteur d'orgue Nicolas Dupont, de Maxéville.

     

    [source : La Poste, service philatélique]

  • Le livre d'orgue du Toulois Jean-Baptiste Nôtre (1732-1807)

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    [Est Républican]

  • Année Jeanne d'Arc : les rendez-vous de Catherine Guyon

    eglise ste jeanne d'arc lunéville 007.jpgCatherine Guyon, auteur d'un récent ouvrage sur Jeanne d'Arc en son église, est maître de conférence en Histoire médiévale à l'Université Nancy 2. Ses recherches et publications portent sur l'histoire religieuse, culturelle et sociale de la fin du Moyen Âge ainsi que l'histoire de l'art et l'histoire de la Lorraine.

    Au cours de cette année consacrée au 600e anniversaire de la naissance de Jehanne, elle propose à tous les amateurs d'histoire un certain nombre de rendez-vous autour de notre héroïne lorraine... et nationale :

    5 février : conférence dans le cadre de l'ISR (Institut des sciences religieuses) de Nancy sur Jeanne d'Arc : point historique et historiographique

    ‡ 10 mai : communication sur Un cercle johannique méconnu : les vitraux de l'église Sainte-Jeanne d'Arc de Lunéville dans le cadre du colloque Jeanne d'Arc, histoire et mythes qui se déroulera à l'Université d'Orléans les 9 et 10 mai 2012

    ‡ 24, 25 et 26 mai : participation au colloque international à Domremy et Vaucouleurs Jeanne d'Arc et la Lorraine

    [cliché : Catherine Guyon et Jean-Marie Cuny lors d'une visite de l'église Sainte-Jeanne d'Arc de Lunéville]

  • Des auteurs lorrains à succès

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    Catherine Guyon, auteur de Jeanne d'Arc en son église paru aux éditions Gérard Louis, dédicacera son ouvrage samedi 28 janvier 2012 à partir de 14h30 à la librairie Siloë, 26 rue Saint-Léon à Nancy (à côté de l'église Saint-Léon, derrière la gare).

     

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    [L'Est Républicain]

  • Jeanne d'Arc en son église

    eglise jeanne d'arc.jpgVoilà un ouvrage bienvenu en cette année du 6ème centenaire de la naissance de Jeanne d'Arc. Catherine Guyon, en fine connaisseuse de l'histoire de Lunéville et de l'Eglise en Lorraine propose pour la première fois l'histoire de cette église du début du XXe siècle et une présentation de la magnifique série de vitraux dédiés à l'épopée johannique.

    Construite en 1911-1912, l'église Sainte-Jeanne d'Arc de Lunéville tient une place majeure dans le culte de la sainte : elle est la première église paroissiale à lui avoir été consacrée, après sa béatification et avant sa canonisation, par dispense spéciale du pape Pie X. Elément notable : elle renferme le plus important ensemble de vitraux Art nouveau retraçant l'épopée de Jehanne devançant les cycles d'Orléans, Domrémy, Vaucouleurs et Compiègne, tandis que son architecture et son décor sont entièrement orientés vers l'évocation du Moyen Âge.

    Catherine Guyon replace la fondation de cette église dans le contexte de développement économique et démographique qui marqua la cité de Lunéville après la défaite de 1870 et l'annexion de l'Alsace-Moselle.

    Un ouvrage témoin d'une Eglise catholique dynamique en ce début du XXe siècle autour du culte d'une héroïne lorraine et d'une sainte nationale qui rayonne également sur l'Eglise universelle.

    L'auteur, Catherine Guyon, est agrégée d'histoire et maître de conférences en histoire médiévale à l'Université Nancy-2. Ses recherches portent sur l'histoire religieuse, culturelle et sociale de la fin du Moyen Âge, ainsi que l'histoire de l'art, l'histoire de la Lorraine et de Jeanne d'Arc.

     

    ‡ Jeanne d'Arc en son église, Catherine Guyon, éditions Gérard Louis, 2011, 109 p., ill. (22€).

  • Lunéville : le château de Charles-Alexandre de Lorraine classé

    chateau.jpgTout près du château de Lunéville, posé dans une ancienne partie de son parc, se dresse le petit château du prince Charles-Alexandre de Lorraine. Douzième fils du duc de Lorraine Léopold Ier qui fit construire le grand château, Charles-Alexandre eu le droit au même architecte, Boffrand, pour réaliser ce petit havre de paix. De style classique à l'origine, il fut construit entre 1730 et 1735 puis remanié probablement au cours du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

     

    Si son histoire n'est pas aussi fastueuse que celle du château de Léopold, sa présence et son élégance contribuent à la cohérence du domaine du château et à l'histoire de Lunéville. Il était donc fort regrettable qu'il soit laissé dans un état de dégradation avancé tant au niveau des toitures que de ses murs.

     

    Le dialogue entre le propriétaire et la DRAC semble avoir été longtemps très compliqué, source de mésentente qui a failli être fatale au château. Le propriétaire avait acheté « la Favorite » (c’est ainsi qu’était aussi dénommé ce château) en 1999 à la municipalité, afin empêcher la création d’un lotissement, et restaurer un monument déjà en très mauvais état. Après avoir consacré plus de 200.000 € pour débuter la restauration, tout avait été bloqué en raison de divergences sur les travaux à mener avec l’Architecte en chef des Monuments historiques.

     

    Aujourd’hui, la situation s’est enfin arrangée et le petit château de Lunéville semble sauvé. Le ministère de la Culture avait pris en février 2011 la décision d’une instance de classement. L’arrêté de classement au titre des Monuments Historiques de l'ensemble du château  a enfin été pris le 21 septembre dernier. il ne reste plus qu’à engager les travaux de sauvetage puis de restauration.

     

     

    Sources :

     

    http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com

     

    http://www.latribunedelart.com/la-chateau-du-prince-charles-a-luneville-classe-monument-historique-article003287.html

     

  • Lunéville : rencontres équestres autour du château

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    [Vosges Matin]

  • Château de Lunéville : les travaux continuent

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    [Vivre la Meurthe-et-Moselle, n° 51]

  • En souscription : "Mon histoire avec le Roi de Pologne, Stanislas Leszczynski"

    la ferté imbault.jpgEn étudiant le château de Lunéville, Jacques Charles-Gaffiot a renouvelé un grand nombre des sources ordinairement employées jusqu'alors pour évoquer les charmes du Versailles lorrain.

    Le fonds Estampes, conservé dans celui des archives privées aux Archives nationales, mérite à son tour d'être ouvert pour y découvrir le récit inédit et presque totalement inconnu, de deux séjours effectués à Lunéville en 1747 par son rédacteur, la propre fille de l'éminente Madame Geoffrin qui règne à Paris sur l'univers des Arts et des Lettres, la marquise de La Ferté-Imbault (1715-1791). Celle-ci avait été conviée à accompagner Louise-Adélaïde de Bourbon-Conti sur le chemin de Plombières, avec la dame d'honneur de cette dernière, la comtesse de Tournemine.

    A deux reprises nos voyageuses séjournent auprès de Stanislas devenu veuf quelques mois plus tôt. Demeuré toujours volage, le monarque succombe à l'attrait de ses visiteuses et déploie le jeu de la séduction pour retenir auprès de lui de si gracieuses personnes... Un projet de mariage est même envisagé à Versailles.

    L'iconographie inédite de l'ouvrage illustre de manière originale une part du caractère du duc de Lorraine et de Bar alors âgé de 70 ans, tiraillé entre toutes ces "dames de volupté", devenues bien vite rivales de la marquise de Boufflers !

    Marquise de La Ferté-Imbault, Mon histoire avec le Roi de Pologne, Stanislas Leszczynski, Jacques Charles-Gaffiot et Maurice Hamon (présentation par) : ouvrage de 60 pages, 20 illustrations et documents en couleur, couverture cartonnée et brochée, 22,5 x 19 cm, en souscription jusqu'au 31 mai 2011.

    ‡ Commande à envoyer avec le règlement (32 € + 3 € de port) à : Jacques Charles-Gaffiot, 51 rue des Archives, 75003 PARIS.

  • Les frères Muller, magie des vases

    muller.jpgRichesses des couleurs, élégance des formes, originalité des techniques, diversité des motifs et décors, chaque vase est imaginé, conçu, réalisé comme une oeuvre d'art. Le génie d'Henri, Désiré et Eugène Muller réside bien dans une recherche permanente quasi obsessionnelle d'esthétique et de perfection.

    Cet ouvrage est destiné à tous les passionnés de la production Art Nouveau et Art Déco de ces maîtres verriers qui oeuvrèrent à Lunéville de 1895 à 1952.

    Chacun y trouvera, à travers de multiples photographies, planches de catalogues, détails de signatures et descriptions techniques, un précieux compagnon pour apprécier la magie des vases créés par les frères Muller.

     

    >> Les frères Muller. Magie des vases, Benoît Tallot, éditions Serpenoise, 2010, 151 p., ill. (32 €).

     

  • Colloque "De la gloire de Dieu à la gloire du prince" à Lunéville

    À l’occasion de la fin des travaux de reconstruction de la chapelle du château de Lunéville et de sa réouverture au public en septembre 2010, les archives départementales de Meurthe-et-Moselle, le château de Lunéville et le Service régional de l’Inventaire organisent des journées d’étude sur le thème des chapelles princières.

    Luneville2010.jpgL’histoire de ces chapelles, dans une acceptation large incluant les chapelles palatiales, les saintes chapelles, les chapelles privées ou encore les chapelles patronales du XIXe siècle, a fourni matière à de nombreux travaux de recherche en France et dans le reste de l’Europe. Les journées d’étude de Lunéville offrent aux chercheurs l’opportunité d’échanger dans ce domaine pluriel qui associe à l’histoire de l’art et de l’architecture des approches d’histoire politique, religieuse et sociale.

    Ces journées souligneront l’importance de la réouverture de la chapelle du château de Lunéville en proposant aux participants de découvrir ou de redécouvrir son intérêt historique, artistique et esthétique. Elles mettront également en exergue la tradition et le savoir-faire des artisans mobilisés sur ce chantier exceptionnel qui a su redonner à la chapelle du château son éclat d’origine tout en préservant son identité.

    L’accès aux séances et aux manifestations proposées en marge des journées d’études se fera exclusivement sur inscription.

     

    >> Colloque « De la gloire de Dieu à la gloire du prince »

    >> Du jeudi 18 novembre à 13h00 au samedi 20 novembre à 17h00 à la chapelle du château de Lunéville

    >> Contact : colloque-luneville@cg54.fr ou 03.83.30.90.91

    >> Inscription à envoyer avant le 29 octobre 2010

  • Les Cahiers du Château de Lunéville 2010 sont parus

    Publiés à l'occasion de la réception des travaux de la chapelle du château de Lunéville, le numéro 6 des Cahiers du Château est consacré principalement à son histoire, son origine et sa postérité.

    cahiers château lunéville.jpgLe lecteur découvrira également l'histoire de l'église Saint-Jacques de Lunéville, lieu de culte de la cour de Stanislas, la politique religieuse et les dévotions du duc Léopold, la religion du roi Stanislas, la musique à la cour de Lunéville au XVIIIe siècle.

    Le point sur les travaux de restauration du château est consacré à la renaissance des décors en gypserie de la chapelle. Un bilan provisoire de l'archéologie des châteaux qui se sont succédés sur le site de Lunéville est présenté par les archéologues de l'Inrap.

    Un peu décalé avec le thème de ce numéro, incursion dans l'histoire de mode féminine au Siècle des Lumières avec la garde-robe de la duchesse Elisabeth-Charlotte, épouse de Léopold.

    L'art religieux à Lunéville est observé à travers la synagogue à la fin du XVIIIe siècle et le trésor liturgique de la chapelle du château.

    Enfin, une demeure champêtre des environs de Nancy nous ouvre ses portes : le château de Bouzey à Laneuveville-devant-Nancy.

     

    >> Les Cahiers du Château, n° 6, 2010, collectif, Conseil général de Meurthe-et-Moselle, 67 p., ill. (9 €).

     

  • Lunéville : hommage aux restaurateurs de la chapelle du château

    Réception officielle ce jeudi 16 septembre à Lunéville de la chapelle restaurée du château, ravagé par un incendie il y a sept ans. Ce joyau architectural est désormais rouvert au public.  La réception a mis à l'honneur les compagnons de cette restauration en tressant de vibrants hommages à la Lorraine.

    CHAPELLE LUNEVILLE.JPGL’un des premiers à pénétrer dans la chapelle du château, hier, était un Meusien, Michel Marchand, venu en famille admirer l’œuvre de son petit-fils Julien, charpentier pour les établissements Le Bras. Du magnifique ouvrage en chêne des compagnons, ce fier grand-père ne verra malheureusement rien, puisque la charpente a depuis été recouverte de plâtre. « J’aurais quand même bien envie d’y monter, tant pis, ce n’est pas possible, mais aujourd’hui, je pense surtout à tous ceux, qui ont construit cette chapelle il y a 300 ans. »

    Durant tout l’après-midi, les compagnons et ouvriers ayant œuvré sur le chantier étaient les invités privilégiés du château. Certains venaient juste de quitter leur bleu de travail pour passer une tenue de ville davantage en adéquation avec la cérémonie, qui allait commencer quelques heures plus tard.

    Tous étaient visiblement fiers et heureux de faire partager leur travail à leur famille, et c’est très logiquement, que Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques, les a accueillis sous les voûtes toutes blanches de la chapelle. Pour leur rappeler notamment, que le parti pris de restauration fut de conserver les techniques et savoir-faire d’autrefois, « dont vous êtes les détenteurs ».

    En fin de soirée, ils étaient des centaines de Lunévillois à affluer vers la cour d’honneur tendue d’un tapis rouge, la bonne idée du jour étant l’installation d’écrans géants qui permirent à tous, même les plus éloignés de la chapelle, de participer à une cérémonie se voulant avant tout un hommage aux hommes et entreprises.

    Très symboliquement, et dans un silence presque oppressant ponctué des applaudissements de la foule, se déployaient bientôt quatre banderoles sur la façade du château. Quatre kakémonos descendus en varappe tandis qu’un funambule cheminait lentement sur son fil reliant l’aile nord à l’aile sud.

    Tous les compagnons et ouvriers ayant travaillé sur le chantier de la chapelle ont désormais leurs noms inscrits sur cette longue bande de tissu. Un cylindre gravé contenant les mêmes noms a aussi été remis au président du Conseil général.

    Avant que les Lunévillois ne s’engouffrent dans l’espace désormais rouvert au public, la délégation officielle pénétrait dans la salle des Gardes, poursuivant son chemin vers la salle de la Livrée et la chapelle, où l’accueillaient trois chanteurs du Gradus ad Musicam. Clin d’œil à la future destination d’un lieu.

    Dommage que l'esprit laïciste préside à ces manifestations occultant ainsi les origines cultuelles de cet édifice construit pour la plus grande gloire de Dieu… et du prince.

  • Lunéville : le château de Charles-Alexandre de Lorraine en péril

    Toujours en Lorraine, autre château en péril avec celui de Hombourg-Budange. A proximité du château du duc Léopold de Lunéville, au sein d'une ancienne partie de son parc, le petit château du prince Charles-Alexandre de Lorraine émerge. Mais pour combien de temps encore ?

    chateau charles-alexandre lunéville.jpgDouzième fils du duc de Lorraine Léopold, mécène qui fit construire le château désormais en voie de restauration, Charles-Alexandre eu droit au même architecte, Boffrand, pour réaliser ce petit havre de paix.

    De style classique à l'origine, il fut construit entre 1730 et 1735 puis remanié probablement au cours du XIXème et au début du XXème siècle.

    Si son histoire n'est pas aussi fastueuse que celle de son illustre voisin, sa présence et son élégance contribuent à la cohérence du domaine du château et à l'histoire de Lunéville.

    Il est donc fort regrettable qu’il soit dans un état de dégradation alarmant tant au niveau des toitures que de certains murs porteurs. Si l'on ne veut pas perdre ce petit trésor d’architecture et d’histoire, il est impératif de le remettre en état ; il pourrait alors bénéficier de la proximité du château lunévillois de Léopold, phare de la culture dans l’est meurthe-et-mosellan.

    Il reste à espérer… Mais pas trop longtemps, car le château risque de disparaître corps et bien si rien n’est entrepris rapidement.

    [cliché du château du prince Charles-Alexandre de Lorraine, Anthony Koenig]

     

     

    >> Plus d’infos sur l'incontournable site dédié à la défense et à la promotion du patrimoine architectural lorrain : http://la-lorraine-se-devoile.blogspot.com/2009/01/chteau-classique-du-prince-charles.html

  • Lunéville : le 16 septembre réception de la chapelle restaurée

    Le 16 septembre, le Conseil général de Meurthe-et-Moselle réceptionnera les travaux de restauration de la chapelle du château de Lunéville, détruite par l'incendie du 2 janvier 2003.

    chapelle lunéville.jpgLa cérémonie sera placée sous le haut patronage du Ministre de la Culture et de SAIR Otto de Habsbourg-Lorraine. Un hommage sera rendu tout particulièrement aux compagnons et aux ouvriers ayant oeuvré sur le site.

    Au programme : concert du Gradus Ad Musicam, déroulé de calicots sur les colonnes du corps central du château, spectacles et concert proposés par Michtô l'châtô, bal animé par Prematia Orchestra, mise en lumière du jardin et du château.

    On peut regretter qu'aucun office religieux ne soit célébré dans cette chapelle restaurée à l'occasion de cette réception. Cet édifice catholique, voulu par nos ducs de Lorraine, aurait bien mérité une messe... pour célébrer sa resurrection.

  • 27 mars 2010, la Marche des Rameaux des jeunes Lorrains

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  • Turqueries, chinoiseries... et douceur angevine à Lunéville

    Retour sur les deux dernières expositions qui ont animé le château de Lunéville actuellement en cours de restauration.

    turqueries et chinoiseries.jpgTurqueries et autres chinoiseries au XVIIIe siècle. Durant le siècle dit "des Lumières", l'Europe n'en finit pas de tourner ses regards vers des horizons aussi lointains que fascinants. L'Orient mythique exerce une profonde influence sur l'art de cour parrainé par les derniers ducs de Lorraine. Avec Léopold, les références à l'Empire ottoman rappellent les victoires de son père Charles V sur les turcs en 1682 et servent à conforter le prestige dynastique.

    L'exotisme accompagne l'épanouissement du rococo sous le règne de Stanislas qui se rêve en souverain oriental lorsqu'il agrémente ses châteaux lorrains de pavillons aux allures de pagodes. Les chinois facétieux s'échappent bientôt des palais ducaux. Ils viennent aussi égayer la production des faïenceries et contribuent à établir une tradition lorraine.

    Le catalogue édité à cette occasion invite à un voyage imaginaire où se laissent découvrir portraits d'apparat ou de fantaisie, meubles précieux, délicates porcelaines de Chine, faïences lorraines inédites...

     

    douceur angevine.jpgLa douceur angevine à Lunéville (XVe-XVIe siècles). Une exposition à la gloire de René d'Anjou, duc de Lorraine et de Bar, et de sa bonne ville de Lunéville.

    Les ducs de la Maison d'Anjou furent à l'origine d'un premier développement de Lunéville qui sortit de l'ombre pour accueillir membres de la cour, marchands et artistes mêlant les dernières traces du Moyen Âge finissant aux apports de la Renaissance.

    Cet essor se poursuivit sous le règne brillant de Charles III, mais fut compromis par le passage des Reîtres (paysans protestants allemands), malgré le renouveau que tenta d'impulser au début du XVIIe siècle le duc Henri II qui aurait envisagé de faire du château de Lunéville sa principale demeure. Mais la guerre de Trente Ans acheva de la ruiner.

    Il fallut attendre l'arrivée du duc Léopold et son installation au château reconstruit une nouvelle fois au début du XVIIIe siècle pour que Lunéville connaisse des heures glorieuses.

    La brochure de l'exposition propose de revisiter le Lunéville de René Ier à travers l'architecture civile et religieuse, l'art pictural, le livre et les enluminures, la vie religieuse...

     

    >> Turqueries et autres chinoiseries. L'exotisme en Lorraine au XVIIIe siècle, collectif, Serge Domini éditeur, 2009, catalogue de l'exposition du château de Lunéville [6 juin - 21 septembre 2009], 72 p., ill. (15 €).

    >> Douceur angevine à Lunéville (XVe-XVIe siècles), Catherine Guyon, 2009, catalogue de l'exposition du château de Lunéville [21 novembre 2009 - 24 janvier 2010], 32 p., ill. (5 €).

  • Les Cahiers du Château de Lunéville 2009 sont parus

    Les Cahiers du Château accompagnent le plus grand chantier patrimonial de France depuis le début de la restauration du site lunévillois.

    cahiers château.jpgLe cinquième opus, loin d'épuiser le sujet, révèlera encore au lecteur de nombreuses pistes non encore explorées. L'histoire du château de Lunéville n'a pas fini de nous étonner. Les Cahiers consacrent un dossier à la petite cour européenne qui gravitait autour du château. Comme le déclarait Voltaire, "On ne croyait pas avoir changé de lieu quand on passait de Versailles à Lunéville". C'est dire si les jours y étaient heureux dans ce château qui séduisait les visiteurs qui le découvraient pour la première fois.

    Nous avons droit - encore - à un zoom sur le passage de Voltaire à la cour de Lunéville. Il tient une place particulière parmi les visiteurs du château. Grâce à l'entremise d'Emilie du Châtelet, notre philosophe fera quelques séjours à Lunéville. Catherine Guyon nous conte la vie stupéfiante de la marquise du Châtelet, la "belle Emilie". La diffusion de l'oeuvre écrite de Madame de Graffigny est abordée par Pierre Mouriaux de Meulenacker. Yves Ravailler fait le point sur les travaux qui transforment le site en un vaste échafaudage et qui , surtout, permet à de nombreux corps de métiers de révéler toutes les compétences développées par nos hommes de l'art.

    Un résumé de l'exposition "Turqueries et autres chinoiseries" présentée durant l'été 2009 démontre que la région s'ouvrit aux influences de l'Asie dès le XVIIIe siècle. Thierry Franz réveille la mémoire du château avec un trésor d'archives : le décor des fêtes du mariage du duc François III à Lunéville en 1736.

    Enfin, retour sur la restauration de la basilique Notre-Dame de Bonsecours à Nancy. Pierre-Yves Caillault, ACMH en charge de Lunéville, a menée à bien en même temps la restauration de Bonsecours. Grâce aussi à l'impulsion d'une association présidée par le professeur François Pupil. Avant de refermer la revue, passage par Gerbéviller et son château romantique dont l'histoire nous est contée par Charles d'Arenberg, son propriétaire.

    Et encore d'autres chroniques qui feront voyager le lecteur dans le petit monde du patrimoine lorrain et des métiers qui oeuvrent pour sa pérénnité. Et des Cahiers toujours remarquablement et richement illustrés !

    Les Cahiers sont vendus au profit de la restauration du château de Lunéville.

     

    >> Les Cahiers du Château, n° 5, année 2009, 67 p. (9 €).

  • Exposition « La douceur angevine à Lunéville au XVe-XVIe siècles »

    douceur angevine.jpgSi Lunéville est devenue au XVIIIème siècle la résidence des ducs de Lorraine, elle était déjà aux XVème et XVIème siècles un lieu de séjour apprécié de René Ier d'Anjou, titulaire du duché de Bar, devenu en 1431 duc de Lorraine.

     

    Cultivé et raffiné, aimant les fêtes et les tournois, il fit découvrir un nouvel art de vivre comme le révèle l'exemple de Lunéville qui, sous son impulsion, connut un premier essor.

     

    A travers cette exposition, vous pourrez découvrir une présentation de statues du XVème siècle, de parchemins, d'enluminures, de plans, de maquettes, de dessins, de gravures, de livres anciens...

     

    >> Exposition au Musée du Château de Lunéville dans les trois salles du premier étage de l'aile nord, jusqu'au 24 janvier 2010.

     

    >> Ouverture du mercredi au dimanche de 14 à 17h (et sur demande pour les scolaires).

     

    >> Commissaire de l’exposition : Catherine Guyon, universitaire.

     

    >> Catalogue d'exposition mis en vente.

     

    >> Renseignements au 03.83.76.04.75 | chateauluneville@cg54.fr | Entrée libre.

  • Un Lorrain ordonné prêtre en Australie

    L’abbé Rémi Picot est ordonné prêtre ce samedi 19 décembre à Goulburn, en Australie.

     

    abbé rémi picot.jpgRémi Picot, né le 20 juin 1982 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), quatrième enfant de la famille, fut baptisé à Bainville-aux-Miroirs par l’abbé Emmanuel Son, curé de Gripport, près d'Haroué, dans le Saintois. Ce prêtre, fidèle à la doctrine traditionnelle de l’Eglise catholique, eut le jour du baptême de Rémi ce jeu de mots que la famille n’a pas oublié : « Il sera peut-être un Dom Rémi ! »… Formule prémonitoire s’il en est, puisque notre jeune lorrain est appelé, quelques années plus tard, à recevoir le sacrement de l'ordination.

     

    De Lorraine, la famille Picot s'expatria en Anjou où elle demeura cinq ans, le temps de s’agrandir de trois enfants. L’aîné ayant atteint l’âge d’entrer en secondaire, le papa obtint en 1988 sa mutation à Bitche (Moselle). Rémi profita de deux ans d’école à la maison puis entra en classe de Cours Moyen dans une école privée de la région. C’était le début d’une dizaine d’années passées dans cet établissement où il fut un élève discret et appliqué.

     

    Après son baccalauréat, il obtint un DEUG en Histoire et rentra au séminaire. Pendant les vacances, il participa en tant que séminariste à quelques camps de la Croisade Eucharistique en Belgique.

     

    L’abbé Picot sera donc ordonné prêtre au séminaire de la Sainte-Croix à Goulburn, en Australie, ce samedi 19 décembre 2009.

  • L'église Saint-Jacques de Lunéville

    église st jacques.jpgAvec ses deux tours qui, telles des sentinelles, veillent sur la ville, Saint-Jacques de Lunéville est un joyau de l'art baroque, à une centaine de mètres du prestigieux château des ducs de Lorraine, inspiré de Versailles. Cette église, initialement celle de l'abbaye Saint-Remi, entretenait des relations privilégiées avec la cour ducale. Elle fut édifiée entre 1730 et 1749, grâce à l'aide financière de Stanislas, roi de Pologne et duc de Lorraine et de Bar. Il y fit travailler les plus grands artistes lorrains d'alors : l'architecte Héré, le sculpteur Guibal, les peintres Girardet et Joly, l'ébéniste Vallier, les stucateurs Mansiaux, le facteur d'orgues Dupont.

    L'église Saint-Jacques constitue un élément majeur du patrimoine de Lunéville et rappelle les grandes heures de son histoire. Elle est avant tout un haut lieu spirituel, témoin de la foi des générations de chrétiens qui s'y sont succédées et qui continuent à y venir prier.

    Catherine Guyon, historienne du Lunévillois et universitaire, présente ici une remarquable monographie sur une des rares églises baroques de Lorraine. L'ouvrage - qui se veut avant tout un guide historique - est un outil mis à la disposition du visiteur ou du croyant qui souhaite découvrir dans le détail l'édifice religieux. Agréablement illustré avec de nombreux clichés couleur, le livre est une merveille de mise en page.

     

    >> L'église Saint-Jacques de Lunéville. Un joyau de l'art baroque, Catherine Guyon, éditions du Signe, 2009, 103 p., ill. (15 €).

  • Henri Schmitt, maître faïencier vittelois

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    [Vosges Matin | 30.08.09]

  • Cyfflé, l’orfèvre lorrain de l’argile

    Cyfflé.jpgPaul-Louis Cyfflé, sculpteur, doit sa célébrité à ses créations en Terre de Lorraine, pâte patiemment mise au point, dont la finesse lui a permis de mouler des sculptures à l’aspect velouté. Les caractéristiques de son talent sont le réalisme des attitudes et les expressions des personnages représentés avec une extrême précision dans le détail.

     

    Il crée ses premiers biscuits auprès de maîtres faïenciers lorrains puis fonde sa propre manufacture à Lunéville en 1768. Avant de repartir aux Pays-Bas autrichiens, il vend ses nombreux modèles aux faïenceries de la région et ses créations sont éditées jusqu’à l’aube du XXe siècle.

     

    L’ouvrage évoque la carrière de l’artiste, la place de sa Terre de Lorraine dans la quête de la porcelaine au XVIIIe siècle et la fabrication complexe de ses statuettes ; un point est fait sur les productions des manufactures qui ont édité ses œuvres. Une étude de ses créations par thèmes les replace dans leur contexte, confrontant l’œuvre originale à ses multiples copies.

     

    Le catalogue est édité à l'occasion de l’exposition « Cyfflé, Orfèvre de l’Argile » présentée à la salle des fêtes de Saint-Clément (54) jusqu’au 17 août 2009. C’est le premier ouvrage illustré entièrement consacré aux œuvres de ce sculpteur, les derniers travaux remontant à plus de 50 ans, et n’ayant pas été publiés pour le grand public. Cette étude a bénéficié de l’aide de musées français (Sèvres, Marseille, Limoges, Toul, Lunéville), mais aussi étrangers (Musée Royal de Bruxelles, musée d’Andenne).

     

     

    >> Cyfflé, orfèvre de l’argile. Ses statuettes en terre de Lorraine et les reprises par les manufactures régionales, Catherine Calame, édition des Amis de la Faïence ancienne de Lunéville, 188 p., plus de 400 clichés couleur.

     

    >> A commander à Catherine CALAME, 57 rue du Neuf Pays, 54950 SAINT-CLEMENT (32 € + 4 € de frais de port, chèque à l’ordre de « Association Saint-Clément, ses Fayences et son Passé »).

  • Lunéville capitale de l'orgue

    La cité cavalière accueillera, du 10 au 14 juillet, le congrès de la fédération francophone des Amis de l'orgue. Concerts et visites au programme.

     

    orgue lunéville.jpgLes sept instruments de la Route des orgues du Lunévillois ont emporté la décision de la FFAO, la fédération francophone des Amis de l'orgue, qui a jeté son dévolu sur Lunéville pour y tenir son 24ème congrès.

     

    Ces rencontres permettent aux organistes, facteurs d'orgues, musicologues, étudiants et plus généralement à tous les amateurs de musique de découvrir une région au travers de ses orgues à tuyaux et d'un répertoire très éclectique, plusieurs concerts et auditions étant programmés à cette occasion.

     

    C'est donc le dynamisme des associations, qui sont parvenues à faire revivre des orgues pour certains restés longtemps muets, qui a prévalu dans le choix de la FFAO, son congrès s'élargissant à l'ensemble de la Lorraine sud avec des étapes à Toul, Vézelise, Bayon, Nancy, Villacourt, Gerbéviller, Magnières, Deneuvre, Blâmont, Saint-Dié-des-Vosges, Taintrux et La Croix-aux-Mines.

     

    La beauté de l'orgue de l'église Saint-Jacques, qui accueillera le concert d'ouverture donné par Pascal Marsault, le 10 juillet, n'est pas étrangère non plus à la venue de la FFAO sur les terres lunévilloises. Son buffet conçu par Emmanuel Héré est un chef-d'œuvre architectural et pictural du XVIIIe siècle cachant derrière la tribune un instrument, dont la restauration s'est achevée en 2003 après un long chantier d'une douzaine d'années.

     

    Pour accueillir ce congrès, les Amis de l'orgue de Saint-Jacques ont joué la carte culturelle de la région, des visites étant prévues tout le long des routes menant d'un concert ou d'une présentation à l'autre. Plus d'une centaine de participants venant de toute la France, mais aussi d'Europe (Suisse, Belgique, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne, Pays-Bas), et des Etats-Unis et du Canada rallieront Lunéville avant une découverte du riche patrimoine organistique de la région.

     

    Le programme :

     

    • Vendredi 10 juillet : concert de Pascal Marsault (20h45, église Saint-Jacques à Lunéville).

    • Samedi 11 juillet : présentation de l'orgue de l'église de Domgermain (9 h) ; présentation de l'orgue de la cathédrale de Toul par Jean-Philippe Fetzer (10h30) ; concert d'Aude Schuhmacher à l'église de Vézelise (17 h) ; concert de Mathieu Freyburger à l'église de Bayon (20h30).

    • Dimanche 12 juillet : concert de Johann Vexo à la cathédrale de Nancy (10h15) ; concert de Jean Bizot à l'église réformée de Nancy (15 h) ; concert de Johann Vexo à l'église Saint-Sébastien de Nancy (17 h) ; concert et improvisation avec Marc Pinardel à l'église Saint-Jacques de Lunéville (21 h).

    • Lundi 13 juillet : concert de Dominique Dantand à l'église de Villacourt (9 h) ; concert de Dominique Breda à l'église de Gerbéviller (11 h) ; présentation de l'orgue de Magnières avec Firmin Decerf et improvisation (14 h) ; concert de Johann Vexo à l'église de Deneuvre (16 h 30) ; concert de Frédéric Mayeur à l'église de Blâmont (20h30).

    • Mardi 14 juillet : concert de Jean-Luc Etienne au foyer de l'église réformée de Saint-Dié (9 h) ; concert de Vincent Genvrin au temple de Saint-Dié (11 h) ; concert de Jérôme Mondésert à l'église Saint-Georges de Taintrux (15 h) ; concert de Pascale Rouet à l'église de La Croix-aux-Mines (17 h) ; concert de Jean-Pierre Leguay en la cathédrale de Saint-Dié (20h30).

     

    Loin d'être uniquement réservés aux congressistes, tous ces concerts et présentations sont accessibles à tous, et, rappelons-le, gratuits.

  • "Turqueries et chinoiseries" au château de Lunéville

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