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Notre patrimoine - Page 35

  • Saône vosgienne : vers le retour du vignoble ?

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    [Vosges Matin]

  • Une passion française : la Couronne d'épines

    couronne épine.jpgSur fond de Croisades, de monarchie, de piété, la Sainte-Chapelle incarne au plus haut point cette passion de la France pour l'Evangile qui a défini son histoire. C'est l'épopée d'un culte en plein renouveau que raconte ce livre, qui est aussi un guide. L'odyssée également d'une relique, de Jérusalem à Paris, de l'Antiquité et du Moyen Âge à nos jours.

    En recevant le 10 août 1239 la Couronne d'épines, le roi Louis IX pense d'ailleurs que le royaume tout entier en est le vrai reliquaire. En alliant la couronne des lys à l'instrument de torture du Christ, le jeune souverain ne cherche pas seulement à faire son salut, il inscrit dans la symbolique même du pouvoir que gouverner est servir. La vénération de la Sainte Couronne devient ainsi un acte fondateur engageant tous ceux qui auront la charge du peuple. Elle marque que toute autorité vraie est d'abord sacrificielle.

    Aujourd'hui exposée dans le Trésor de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la relique connaît une vénération grandissante, faisant de ce diadème de dérision l'un des symboles les plus forts de l'administration idéale. En relisant son histoire, on découvre son actualité.

    Un ouvrage bienvenu en cette année du 8ème centenaire de la naissance de Saint Louis.

    L'auteur, Jacques Charles-Gaffiot, est l'animateur du Centre d'études et de recherches sur les collections de la Maison de Lorraine et organisateur d'expositions d'envergure internationale.

     

    ‡ Une passion française : la Couronne d'épines, Jacques Charles-Gaffiot, éditions du Cerf, 2014, 157 p., ill. (12 €).

  • A la découverte du temple Saint-Jean de Nancy

    lorraine,nancy,protestant,temple,prémontrésA l'origine du temple protestant de Nancy, on trouve l'église des prémontrés construite à proximité de la porte Saint-Jean à partir de 1713. Les travaux seront interrompus faute de ressources financières. Ce n'est qu'en 1758 que l'architecte Claude Mique, dit "la Douceur", architecte du roi Stanislas, reprit les travaux ; l'église fut achevée par Louis Joseph Mique, fils de Claude, en 1780. Elle sera également utilisée comme annexe paroissiale de l'église Saint-Sébastien.

    Cette église conventuelle s'inscrit dans la tradition baroque du XVIIIe siècle. Sa façade s'inspire de celle de l'église de Sainte-Marie-Majeure de Pont-à-Mousson, maison-mère de l'ordre prémontré en Lorraine. Elle est composée de deux ordres décorés de pilastres corinthiens et composites. Deux niches, actuellement vides, recevaient les statues de la Vierge et de Saint Joseph. Le porche d'entrée est surmonté d'un fronton circulaire où l'artiste a sculpté Saint Joseph portant l'Enfant-Jésus et sur le phylactère on peut lire Dabo tibi corona vitae (je te donnerai la couronne de vie). La façade est surmontée d'un fronton triangulaire où est représenté en son centre l'œil de la Providence environné de rayons et de nuages au milieu desquels apparaissent chérubins et séraphins. Une croix et deux vases couronnent le tout. Deux tours ovales flanquent le chœur : celle situé à sa droite abrite deux cloches.

    lorraine,nancy,protestant,temple,prémontrésAttribuée en 1807 à la communauté protestante de Nancy - qui comptait environ 500 fidèles -, l'église connaît d'importants travaux d'aménagement intérieur (l'orgue de 1807 est reconstruit en 1856 par Cuvillier). Les objets du culte catholique seront transférés à l'église Saint-Sébastien (maître-autel, statue de saint Joseph...). Avec la loi de Séparation des Eglises et de l'Etat, le temple devient propriété de la ville.

    [source : conférence donnée le 11 octobre 2014 au temple Saint-Jean par Bénédicte Bouvet, directrice de l'Inventaire général de Lorraine]

  • Nomeny (54) : une Vierge à l'Enfant due à Léonard de Vinci ?

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    [ER]

  • La Nouvelle revue lorraine : les lecteurs ont élu les Lorrains illustres

    nrl28.jpgLes lecteurs de La Nouvelle revue lorraine ont répondu au sondage lancé par Jean-Marie Cuny. Ils ont élus les quatre Lorrains illustres qui méritent d'entrer au Panthéon lorrain ! Et les élus sont...

    Pour les découvrir, il vous faudra lire le n° 28 de La Nouvelle revue lorraine qui propose, comme à son habitude, un sommaire riche et varié :

    - le musée Gilles Fabre

    - lieux historiques en Lorraine au fil du temps

    - réflexions autour des sièges de La Mothe

    - la chapelle Sainte-Anne d'Albeschaux

    - le château d'En-Haut de Germiny

    - un chevalier de la Légion d'honneur

    - Péguy et Moselly

    - les deux guerres de Pierre Dac

    - la chapelle Saint-Etienne de Lamarche

    - le congrès eucharistique de Nancy en 1949

    - le grenier

    - le jeu de la fourche

    - le chagrin du Paulin

    - Gaston

    - la Joséphine et sa "p'tite charrette"

    - le quarté gagnant des Lorrains illustres : le choix des lecteurs

    ... Et les rubriques habituelles...

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine est vendue sur abonnement : envoyez vos coordonnées postales et votre règlement (38 €, 6 numéros) à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Destin' à Sion

    sion.jpgQui, en Lorraine, ne connaît pas la colline de Sion, au cœur du pays du Saintois ? Irène Génin-Moine entraîne le lecteur dans ses pas d'adolescent lorsqu'elle grimpait naguère vers le sanctuaire marial avec ses camarades. La foi les portait. Notre-Dame de Sion les protégeait. Pas à pas, année après année, Sion a pris une place grandissante dans son cœur.

    Avec poésie, elle nous fait partager la découverte des lieux à travers sa vision de la colline, et sa poésie apaisante. Pour nous donner envie d'y monter ou d'y revenir... Pour un temps de ressourcement et d'échange spirituel avec Marie... Ou avec les paysages... Ou avec les horizons et les saisons...

    Un petit ouvrage rempli de belles images de cette "colline inspirée". Avec plein de ces fameuses petites étoiles dans les poches... et dans les yeux !

     

    ‡ Destin' à Sion, Irène Génin-Moine, éditions Bialec, 2013, 135 p., ill. (19 €).

  • Le Pays Lorrain : blessures de guerre en Lorraine 1914-1918

    pl.jpgRiche sommaire du Pays Lorrain d'automne.

    La publication du Musée Lorrain et de la Société d'histoire de la Lorraine consacre le numéro 4 de 2014 à la Grande Guerre et ses conséquences en Lorraine :

    - Blâmont, août 1914 : l'histoire méconnue des premiers jours de guerre

    - La Grande Guerre vécue par un adolescent lorrain

    - Villages martyrs de Lorraine : Rouvres et la Meuse dans la tourmente d'août-septembre 1914

    - les débuts de la Grande Guerre à Nancy

    - Douëra-Calan : un quartier-général pour le Grand Couronné (septembre-décembre 1914)

    - les catholiques et le clergé meusien en 1914

    - la continuité du service scolaire dans le département des Vosges pendant la Grande Guerre

    - la presse militaire allemande du front de Lorraine

    - l'art en guerre : figurer le conflit armé, un défit et un devoir pour les artistes lorrains

    - l'archéologie de la Grande Guerre en France : une discipline récente pour quels enjeux ?

     

    ‡ Le Pays Lorrain est disponible à l'accueil du Musée Lorrain à Nancy ou sur abonnement (39 €, 4 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : LE PAYS LORRAIN, MUSEE LORRAIN, 64 GRANDE RUE, 54000 NANCY.

  • "L'Echo des Trois Provinces" d'automne est paru

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    Le magazine des Trois Provinces - sud-ouest vosgien, nord-ouest franc-comtois et est champenois - est paru ! Le numéro d'automne de L'Echo des Trois Provinces propose un riche sommaire qui ravira tous les lecteurs des Trois Provinces ainsi que tous ceux qui apprécient ce secteur rural aux confins des trois régions administratives :

    - Darney (88) : les autorités civiles et religieuses doivent se mettre d'accord... à la fin de l'Ancien Régime !

    - Lerrain (88) : une nécropole mérovingienne mise au jour au "Haut de chaume"

    - Bains-les-Bains (88) : la Balnéenne a 150 ans

    - Melay (52) : un fait divers forestier

    - Fayl-Billot (52) : l'ermitage de Saint-Pérégrin

    - Histoire de la cuisine : les abats

    - Villars-Saint-Marcellin (52) : souvenirs des réfugiés de La Bresse en novembre 1944

    - Lamarche (88) : les Cahiers de Melle Marchal et le poste optique du mont Saint-Etienne

    - Saint-Baslemont (88) : l'incendie du château en 1676

    - Visites en Haute-Saône : Saint-Marcel, Cemboing, Magny-les-Jussey, Preigney

    - Bleurville (88) : une 40ème saison riche en animations à l'abbaye Saint-Maur

    - les animations au Pays des Trois Provinces

     

    L'Echo des Trois Provinces est distribué gratuitement dans la zone concernée. Abonnement possible. Renseignement : evelyne.relion@orange.fr

  • Damblain (88) : "Elle était là, sous vos pieds.. : la villa gallo-romaine de Damblain"

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  • Nancy : consécration du nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes

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    Consécration rituelle de l'autel par Monseigneur l'évêque de Nancy et de Toul.

     

    En ce dimanche 5 octobre 2014,  Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, a consacré le nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes à Nancy.

    Une nombreuse assemblée, où se côtoyaient paroissiens, élus - dont le maire de Nancy - et habitants du quartier, a assisté avec ferveur à cette cérémonie célébrée selon le rite de l'Eglise catholique.

     

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    Célébration du Saint Sacrifice sur le nouvel autel.

    [clichés : Diocèse de Nancy et de Toul]

     

  • Grand (88) : animation sur le site archéologique gallo-romain

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  • Nancy : le nouvel autel de Notre-Dame de Lourdes est installé

    La basilique Notre-Dame-de-Lourdes vient d’accueillir son autel en marbre. Une opération délicate et millimétrée. Consécration dimanche 5 octobre par Monseigneur l’évêque de Nancy & de Toul.

    nancy-la-piece-manquante-photo-frederic-mercenier.jpg« Cet autel achève l’œuvre ! ». L’abbé Dominique Doidy suivait de près les opérations. En octobre 2013, la paroisse lançait le projet de construction d’un autel en marbre. La pièce manquante de cette basilique datant de 1908. Après réflexion, l’annonce était faite aux paroissiens en février dernier. L’autel en bois « modèle face au peuple » vivait ses derniers instants.

    Devant l’édifice, le camion livrant le marbre prenait minutieusement place. Les ouvriers se mettaient à la manœuvre pour décharger notamment la table pesant près d’une tonne. Et si, dans un premier temps, il a été envisagé d’effectuer cette opération à bras d’hommes, au final, poulie et chariot ont pris le relais. Chaque étape était répétée avant de lancer le mouvement pour la mise en place. La table repose sur douze colonnes, représentant les douze tribus d'Israël ou, plus symboliquement pour la table où est célébré le Saint Sacrifice, les douze apôtres présents lors de la dernière Cène du Christ.

    Financé par la paroisse grâce aux dons de ses fidèles, ce projet de 30.000 € se veut à la fois sobre et moderne. Un socle en marbre gris de Badiglio, douze colonnes en marbre rose de Bourgogne, pesant 80 kg chacune, une table en marbre blanc de Carrare et des leds au sol… L’autel s’intègre sans difficulté dans la basilique.

    lorraine,nancy,autel,église,notre dame de lourde,consécration,diocèse de nancy et toul« On a voulu conserver l’esprit de l’édifice qui possède déjà soixante-quatre marbres différents. Il n’était pas nécessaire d’en rajouter. On est resté dans la symbolique », explique l’abbé Dominique Doidy qui devra attendre que l’évêque consacre l’autel avant de pouvoir l’utiliser pour les célébrations. « Le 5 octobre, à 15 h 30, l’autel sera consacré solennellement selon le rite de l’Eglise catholique. La basilique reste un acteur de la vie spirituelle de ce quartier », conclut l’abbé Doidy.

    [d’après ER]

  • Neufchâteau (88) : l'escalier de l'hôtel de Houdreville restauré

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    [L'Abeille]

  • Dictionnaire historique et ludique de la Lorraine

    jmc.jpgD'"Académies" à "Vin gris" en passant par "Chepfer", "Ligne Bleue" ou "Prény", ce "dictionnaire amoureux" de la Lorraine égrène au fil de ses pages, tel un abécédaire, l'histoire de notre province et celle de l'ancien duché.

    Une foule d'anecdotes historiques, insolites et surprenantes, fait découvrir au lecteur les lorrains d'hier mais également ceux d'aujourd'hui. Jean-Marie Cuny nous livre sa "vision" de cette lorraine qu'il connaît et aime tant. Il fait partager au curieux "sa" Lorraine, ses hommes et ses femmes qui lui ont donné une consistance, une âme, une identité.

    L'ouvrage est plaisant à lire et s'adresse à tout public avide de partir à la découverte des Lorrains, en dehors des chemins battus.

    Ce dictionnaire est enrichi de nombreuses illustrations inédites issues des cartons de notre auteur qui, rappelons-le, fut libraire régionaliste et collectionneur d'images !

     

    ‡ Dictionnaire historique et ludique de la Lorraine, Jean-Marie Cuny, éditions du Sapin d'Or, 2014, 220 p., ill. (29,80 €).

  • Robécourt (88) : l'église Notre-Dame de l'Assomption en restauration

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    [L'Abeille]

  • L'histoire de l'hôpital de Ravenel (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • Greux (88) : premières Journées johanniques à l'ermitage de Bermont

    L'ermitage de Bermont accueillait pour la première fois depuis le début de sa restauration, voici deux décennies, les Journées johanniques organisées par l'association Notre-Dame de Bermont – Sainte Jehanne d'Arc. Une première réussie.

    Journées johanniques_Bermont_28.09.14 004.JPGCes journées, organisées dans le cadre du 8ème centenaire de la naissance de saint Louis - le roi Louis IX -, était axées sur le thème « Saint Louis et sainte Jeanne d'Arc ». Elles furent un temps de réflexion et d'échanges autour de Jeanne d'Arc, de son époque, de ses épreuves et de sa spiritualité. Marie-Paule Renaud, historienne et animatrice de la Lettre d'information périodique Présence de Jeanne d'Arc, aborda les liens spirituels entre Jeanne et saint Louis. Isabelle Brancourt, chercheur au CNRS, expliqua la richesse du symbolisme du sacre du roi Charles VII, sommet de l'épopée johannique. Alain Olivier, président de l'association Notre-Dame de Bermont, prolongea ces réflexions en présentant le village de Domremy au moment de la naissance de Jeanne en 1412. Une visite du village a permis de révéler des lieux insolites hors des sentiers touristiques classiques.

     

    Journées johanniques_Bermont_28.09.14 008.JPGDimanche matin, en lien avec ces Journées d'études, deux nouvelles statues de Saint Louis et de Saint Martin ont été bénies par le sculpteur lui-même, le RP Jean Bosco, bénédictin de l'abbaye Saint-Joseph de Clairval à Flavigny (Côte d'Or). Il s'agit de deux splendides représentations de nos deux saints dans une attitude toute moyenâgeuse : Saint Martin est représenté en évêque, à ses pieds est déposé un casque rappelant son ancienne condition de militaire, et Saint Louis porte la Sainte Couronne d'épines ramenée de Terre Sainte.

     

    Journées johanniques_Bermont_28.09.14 027.JPGLors de son homélie, le RP Jean Bosco a rappelé que Jeanne d'Arc était venue à Tours prier sur le tombeau de saint Martin. En cette fête de Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, le prêtre, qui portait une chasuble peinte par Céline, la propre sœur de sainte Thérèse, a souligné également le lien spirituel fort qui unit Jeanne, Martin et le roi Louis IX : tous travaillaient au salut des âmes. Et de poser la question : « France de 2014, Terre de mission ? ». Il rappela encore que les poilus de la Grande Guerre avaient une grande dévotion pour Thérèse et Jeanne d'Arc et que de nombreuses grâces furent obtenues par les soldats qui les firent connaître au sanctuaire de Lisieux.

    Ces journées ont été clôturées par un buffet convivial qui a permis de prolonger les échanges et d'entendre notamment le témoignage d'une musulmane, présente parmi les participants, qui s'est convertie au christianisme en visitant le Sacré-Coeur de Montmartre. Et, de surcroît, admiratrice de Jeanne d'Arc !

  • La Nouvelle revue lorraine n° 28 : la rentrée des "stars" lorraines

    lorraine,la nouvelle revue lorraine,jean marie cunyParce que l'histoire est désormais le parent pauvre de l'enseignement actuel, Jean-Marie Cuny nous propose dans ce numéro de rentrée de La Nouvelle revue lorraine, une belle galerie de portraits des Lorrains illustres qui ont été plébiscités par les abonnés. Ces hommes et ces femmes ont fait la Lorraine. Ils ont façonné son identité. Ils ont fait sa notoriété. Belle occasion de renouer avec notre histoire en découvrant nos "grands" Lorrains qui ont fait - aussi - la France !

    Au sommaire :

    - le musée Gilles Fabre,

    - au fil du temps en Lorraine

    - réflexions sur les sièges de La Mothe

    - la chapelle Sainte-Anne d'Albeschaux

    - Le château d'En-Haut de Germiny

    - un chevalier de la Légion d'honneur

    - Péguy et Moselly

    - les deux guerres de Pierre Dac

    - la chapelle Saint-Etienne de Lamarche

    - le congrès eucharistique de Nancy

    - le jeu de la fourche

    - les histoires lorraines : le grenier, le chagrin du Paulin, Gaston

    - la Joséphine et sa petite charrette

    - le quarté gagnant des Lorrains illustres

    ... Et les rubriques habituelles !

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine est en vente dans toutes les bonnes librairies ou sur abonnement (38 €, 6 numéros) en envoyant vos coordonnées postales et votre règlement (chèque à l'ordre de "SEP Helenus - La Nouvelle revue lorraine") à : JEAN-MARIE CUNY, LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Retour sur les Journées du Patrimoine en Saône vosgienne

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    [Vosges Matin]

  • Conflits et progrès scientifiques et techniques en Lorraine

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  • La Grande Guerre "en vrai" : 14-18 en Lorraine

    guerre3D.jpgLa Grande Guerre a donné lieu, pour la première fois, à une très large couverture photographique sur l'ensemble des fronts. Peu d'années après sa création, la photographie suit déjà les armées sur les théâtres d'opérations, avec les limites de la technique de l'époque.

    Les conflits du début du XXe siècle, l'existence d'appareils plus légers et plus maniables, ont laissé entendre l'explosion à venir de l'usage de la photographie dans un contexte guerrier. Dès 1914, les photographies se multiplient et la stéréoscopie - la photographie en relief - suit ce mouvement. Quantitativement, ces clichés ont certes été moins nombreux. Toutefois, le choix d'employer ce type d'image, censé accentuer le réalisme du sujet photographié, relève bien de la volonté de montrer le conflit et de raconter "sa" guerre.

    La popularité des clichés en relief explique également leur production. Le présent ouvrage, bâti autour de la collection du Centre Image Lorraine, s'attache à montrer quelles sont ces images stéréoscopiques, ce qu'elles nous disent de la Grande Guerre sur les différents fronts lorrains, tout en soulignant l'importance du choix du photographe et de sa construction de l'image où, en définitive, l'homme est au cœur avec toute la dramaturgie du contexte guerrier.

     

    ‡ La Grande Guerre "en vrai". 14-18 en Lorraine, Laurent Jalabert, éditions du Quotidien, 2014, 190 p., ill. (30 €).

  • Contrexéville (88) : l'ancienne voie romaine mise en valeur

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    Partie de la voie romaine mise au jour à proximité du lac de la Folie [cliché G. Salvini].

     

    En lien avec les archéologues bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville, les services techniques de la ville procèdent actuellement à l'aménagement de la portion de voie romaine mise au jour à proximité du lac de la Folie.

    Cet aménagement sera ouvert au public.

  • Metz, ville d'art et d'or

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    L'ouvrage est une agréable invitation à accompagner le photographe lorrain Patrick Greff dans son périple à travers les belles images des rues et des monuments remarquables de la cité messine.

    On la dit verte tant les espaces consacrés à la nature lui donnent des airs de campagne. On la dit d'or par la couleur des architectures qui fait de Metz une ville étonnante et attachante.

    Au fil des clichés mettant somptueusement en valeur le patrimoine de la ville, le lecteur parcourt le temps de Divodorum à Métis, des Romains au tramway futuriste ! De la cité gallo-romaine à la capitale du royaume mérovingien d'Austrasie et berceau de la dynastie carolingienne jusqu'à l'Annexion en passant par la République messine et la fastueuse Renaissance, Metz se laisse découvrir pour le bonheur des Messins et des visiteurs. Chaque quartier affiche un caractère insolite et des centres d'intérêts variés.

    Ce bel album convoque tous les Lorrains - et les autres aussi ! - à parcourir la cité afin d'en apprécier ses atouts historiques, culturels, artistiques mais aussi économiques.

     

    ‡ Metz, ville  d'Art et d'Or, Patrick Greff, éditions Gérard Louis, 2014, non paginé, ill. (15 €).

  • La Bresse et ses vallées : mémoire et histoire de la montagne vosgienne

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    La Fédération des sociétés savantes des Vosges publie les actes des Journées d'études vosgiennes qui se sont déroulées en octobre 2013 à La Bresse. L'ouvrage met en valeur les multiples mémoires de la petite cité  vosgienne et de ses deux vallées de Chajoux et de la Vologne.

    Quelque quarante auteurs, universitaires et érudits locaux, grands connaisseurs de l'histoire et de l'environnement de La Bresse, conjuguent leurs talents pour nous décrire les différentes mémoires de la ville : mémoire des hommes victimes des guerres, de la déportation et de la destruction de la cité en 1944 ; mémoire de l'essor du tourisme et du ski ; mémoire de l'aventure textile ; mémoire des racines, des coutumes et de la foi chrétienne des populations locales ; mémoire des paysages...

     

    ‡ La Bresse et ses vallées. Mémoires et histoire de la montagne, Jean-Paul Rothiot et Jean-Pierre Husson (dir.), FSSV et Racines bressaudes, 2014, 672 p., ill., cartes (39 €).

  • Tous à Paris le 5 octobre contre la GPA et pour le respect de l'être humain

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  • L'atelier d'art du baron Maurice de Ravinel

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  • Metz au fil des siècles

    metz.jpgPhilippe Martin convie le lecteur à une promenade-découverte à travers les siècles qui ont imprimé leurs marques dans la cité messine.

    A travers un parcours autour de quatre questions, il nous prend par la main pour nous expliquer la riche histoire de Metz. Comprendre Metz par ses titres : capitale des Médiomatriques, des rois d'Austrasie, berceau des Carolingiens, la plus puissance république indépendante du nord des Alpes, la plus grande forteresse européenne...

    Connaître Metz par quelques grandes dates qui la placent au cœur de l'Europe : rasée par Attila en 451, conquise par les Français en 1552, assiégé en 1870 et libéré dans la douleur en 1944...

    Voir Metz avec les yeux de ses propres enfants : saint Clément venu de Rome pour évangéliser la région au IIIe siècle, Fabert, le maréchal de France, Jean-François Pilâtre de Rozier, le premier aéronaute français, Jean-Victor Poncelet, le mathématicien, Paul Verlaine, le poète, Robert Schuman, le père de l'Europe...

    L'âge de Metz ? Elle est romaine dans le sous-sol du musée de la Cour d'Or, mérovingienne à Saint-Pierre-aux-Nonnains, moyenâgeuse et Renaissance dans ses églises et ses hôtels particuliers, germanique dans ses bâtiments publics et privés, futuriste dans le quartier de l'Amphithéâtre...

    Avec ce sympathique ouvrage, laissez-vous guider et charmer dans le dédale des rues de Metz qui racontent vingt siècles d'histoire.

     

    ‡ Metz au fil des siècles, Philippe Martin, éditions du Quotidien, 2014, 239 p., ill. (29€).

  • Les Journées du Patrimoine en Saône Lorraine : entre tradition rurale et vie spirituelle

     

    A Bleurville, le moulin à huile situé dans l'ancienne ferme Parisot (XVIIe-XVIIIe-XIXe s.), au 17 rue de Monthureux, était exceptionnellement ouvert par son propriétaire, Jérôme Toussaint.

    Cette année, en plus de la chambre à four qui contient la meule tournante et les divers équipements nécessaires au broyage et au pressage des fruits et autres plantes oléagineuses, le manège à chevaux était également ouvert au public. Ainsi, chacun a pu découvrir le système mécanique actionné par les chevaux qui entraînait la meule tournante située dans la pièce voisine.

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    A Darney, la chapelle Notre-Dame de Pitié était également ouverte exceptionnellement au public. Henri Côme, délégué de la paroisse de Darney et membre de l'association de sauvegarde du patrimoine local, contait volontiers aux visiteurs l'histoire de ce petit édifice religieux. Bâti au bord de la Saône, au faubourg de Bonvillet, la chapelle fut attachée à une maison de charité après les funestes guerres du XVIIe siècle. Elle accueillait les fidèles des hameaux de la forêt de Darney - verriers, ouvriers du fer et bûcherons - qui y faisaient leurs dévotions lors de leur venue au bourg. Démantelée à la Révolution, elle fut reconstruite au début du XIXe siècle à l'initiative de l'abbé Pierre Antoine Hamard, curé de Darney.

    Aujourd'hui propriété de la commune, la chapelle Notre-Dame de Pitié a été récemment restaurée grâce à une généreuse donatrice.

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    [clichés ©H&PB]

  • L'image des Vosges, des origines au début du XIXe siècle

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