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  • Bientôt en librairie : "Le roman de Jeanne d'Arc" par Philippe de Villiers

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    Après Charette et Saint Louis, Philippe de Villiers nous donne rendez-vous avec Jeanne d'Arc, à la première personne. Jeanne, symbole d'une nation, symbole chrétien, symbole du don. 

    « Jeanne d'Arc fut et demeure le plus pur chef-d’œuvre que le génie allégorique ait jamais déposé en notre littérature. Là où se côtoient dans leur impossible et monstrueux dialogue, l'infinie lâcheté et l'absolue candeur d'un ange qui parlait avec les anges. Mais peut-être y a-t-il un danger à la regarder depuis trop longtemps comme une sainte de vitrail, si haute, si parfaite et si lointaine ? J'ai voulu un instant déposer le vitrail pour lui rendre un peu de son humanité, de ses fragilités, de ses vraisemblances... » Philippe de Villiers.

     

    A découvrir en librairie à partir du 5 novembre prochain.

  • Messe à la mémoire de Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine, reine de France

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    Marie-Antoinette de Lorraine-Habsbourg, épouse du roi Louis XVI, par Elisabeth Vigier-Lebrun.

     

    Monsieur le duc de Bauffremont, président et les membres du Comité du Mémorial de France à Saint-Denys, informe les lecteurs que

    la messe de Requiem à la mémoire de Marie-Antoinette, Reine de France et de Navarre,

    sera célébrée par Monsieur l'abbé Thierry Laurent,

    Jeudi 16 octobre 2014 à 12h00 précises en la basilique royale de Saint-Denis (93)

  • Une passion française : la Couronne d'épines

    couronne épine.jpgSur fond de Croisades, de monarchie, de piété, la Sainte-Chapelle incarne au plus haut point cette passion de la France pour l'Evangile qui a défini son histoire. C'est l'épopée d'un culte en plein renouveau que raconte ce livre, qui est aussi un guide. L'odyssée également d'une relique, de Jérusalem à Paris, de l'Antiquité et du Moyen Âge à nos jours.

    En recevant le 10 août 1239 la Couronne d'épines, le roi Louis IX pense d'ailleurs que le royaume tout entier en est le vrai reliquaire. En alliant la couronne des lys à l'instrument de torture du Christ, le jeune souverain ne cherche pas seulement à faire son salut, il inscrit dans la symbolique même du pouvoir que gouverner est servir. La vénération de la Sainte Couronne devient ainsi un acte fondateur engageant tous ceux qui auront la charge du peuple. Elle marque que toute autorité vraie est d'abord sacrificielle.

    Aujourd'hui exposée dans le Trésor de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la relique connaît une vénération grandissante, faisant de ce diadème de dérision l'un des symboles les plus forts de l'administration idéale. En relisant son histoire, on découvre son actualité.

    Un ouvrage bienvenu en cette année du 8ème centenaire de la naissance de Saint Louis.

    L'auteur, Jacques Charles-Gaffiot, est l'animateur du Centre d'études et de recherches sur les collections de la Maison de Lorraine et organisateur d'expositions d'envergure internationale.

     

    ‡ Une passion française : la Couronne d'épines, Jacques Charles-Gaffiot, éditions du Cerf, 2014, 157 p., ill. (12 €).

  • Bleurville (88) : activité à la bibliothèque municipale

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  • A la découverte du temple Saint-Jean de Nancy

    lorraine,nancy,protestant,temple,prémontrésA l'origine du temple protestant de Nancy, on trouve l'église des prémontrés construite à proximité de la porte Saint-Jean à partir de 1713. Les travaux seront interrompus faute de ressources financières. Ce n'est qu'en 1758 que l'architecte Claude Mique, dit "la Douceur", architecte du roi Stanislas, reprit les travaux ; l'église fut achevée par Louis Joseph Mique, fils de Claude, en 1780. Elle sera également utilisée comme annexe paroissiale de l'église Saint-Sébastien.

    Cette église conventuelle s'inscrit dans la tradition baroque du XVIIIe siècle. Sa façade s'inspire de celle de l'église de Sainte-Marie-Majeure de Pont-à-Mousson, maison-mère de l'ordre prémontré en Lorraine. Elle est composée de deux ordres décorés de pilastres corinthiens et composites. Deux niches, actuellement vides, recevaient les statues de la Vierge et de Saint Joseph. Le porche d'entrée est surmonté d'un fronton circulaire où l'artiste a sculpté Saint Joseph portant l'Enfant-Jésus et sur le phylactère on peut lire Dabo tibi corona vitae (je te donnerai la couronne de vie). La façade est surmontée d'un fronton triangulaire où est représenté en son centre l'œil de la Providence environné de rayons et de nuages au milieu desquels apparaissent chérubins et séraphins. Une croix et deux vases couronnent le tout. Deux tours ovales flanquent le chœur : celle situé à sa droite abrite deux cloches.

    lorraine,nancy,protestant,temple,prémontrésAttribuée en 1807 à la communauté protestante de Nancy - qui comptait environ 500 fidèles -, l'église connaît d'importants travaux d'aménagement intérieur (l'orgue de 1807 est reconstruit en 1856 par Cuvillier). Les objets du culte catholique seront transférés à l'église Saint-Sébastien (maître-autel, statue de saint Joseph...). Avec la loi de Séparation des Eglises et de l'Etat, le temple devient propriété de la ville.

    [source : conférence donnée le 11 octobre 2014 au temple Saint-Jean par Bénédicte Bouvet, directrice de l'Inventaire général de Lorraine]

  • Le suicide français : les 40 années qui ont défait la France

    zemmour.jpg"La France se couche, la France se meurt."

    La France avait pris l'habitude depuis le XVIIe siècle et, plus encore, depuis 1789, d'imposer ses idées, ses foucades mêmes, sa vision du monde et sa langue, à un univers pâmé devant tant de merveilles. Non seulement elle n'y parvient plus, mais elle se voit contrainte d'ingurgiter des valeurs et des mœurs aux antipodes de ce qu'elle a édifié au fil des siècles.

    Nos élites politiques, économiques, administratives, médiatiques, intellectuelles, artistiques, héritières de mai 68n, s'en félicitent. Elles somment la France de s'adapter aux nouvelles valeurs.

    Elles crachent sur sa tombe et piétinent son cadavre fumant. Elles en tirent gratification sociale et financière. Elles ont désintégré le peuple en le privant de sa mémoire nationale par la déculturation, tout en brisant son unité par l'immigration. Toutes observent, goguenardes et faussement affectées, la France qu'on abat ; et écrivent, d'un air las et dédaigneux, "les dernières pages de l'Histoire de France".

    Ce vaste projet subversif connaît aujourd'hui ses limites. Le voile se déchire. Il est temps de déconstruire les déconstructeurs ! Année après année, événement après événement, président après président, chanson après chanson, film après film... L'histoire totale d'une déconstruction joyeuse, savante et obstinée des moindres rouages qui avaient édifié la France.

    Le livre commence avec la mort du général de Gaulle parce que c'était la fin d'un monde, celui de la France du XIXe siècle, de la France éternelle, de la France des principes, de la France chrétienne. Le dernier homme à crier "Vive le Québec libre" parce qu'il voulait réparer l'erreur de Louis XV. Et puis, le dernier père aussi, car la même année, on supprimait la puissance paternelle... Autant dire la famille patriarcale, autant dire la famille.

    Depuis, nos gouvernants, nos "élites", se payent de mots : on appelle famille, Etat, nation, ceux qu'en sont plus.

    Un essai décapant par le journaliste français le plus redouté, le plus clairvoyant, le plus lucide. Le "parler vrai" n'est pas un vain mot pour cet homme. Merci Eric Zemmour pour cette leçon de bon sens.

    A lire et à méditer absolument !

     

    ‡ Le suicide français, Eric Zemmour, éditions Albin Michel, 2014, 534 p. (22,90 €).

     

  • Clergés en contacts à l'ère des divisions confessionnelles (16e-17e s.)

     

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    Le Colloque de Poissy (1561), de Robert Fleury (1840).

     

    Du 16 au 18 octobre 2014 à Nancy 

    Colloque « Clergés en contacts à l’ère des divisions confessionnelles (XVIe-XVIIe siècle) »

    Le Centre de Recherche Universitaire Lorrain d'Histoire, Julien Léonard, Maître de conférences en histoire moderne, la Communauté Urbaine du Grand Nancy, la région Lorraine et l'Université de Lorraine, ont le plaisir de vous inviter au colloque « Clergés en contacts à l’ère des divisions confessionnelles (XVIe-XVIIe siècle) » du 16 au 18 octobre 2014 à Nancy.

    ‡ Consultez le programme du colloque ici programme_colloque CRULH.pdf

  • Anne-Charlotte de Lorraine, une princesse abbesse européenne (1714-1773)

    anne charlotte.jpgDe toutes les abbesses qui gouvernèrent le chapitre de Remiremont, Anne-Charlotte de Lorraine (1714-1773) fut une des plus prestigieuses. Petite-nièce du Roi Soleil, belle-soeur de l'impératrice Marie-Thérèse de Habsbourg-Lorraine, tante de Marie-Antoinette, sa vie se partagea entre Lunéville où elle naquit dans le château construit par son père Léopold, duc de Lorraine et de Bar, Commercy, Vienne au côté de son frère François-Etienne devenu empereur et enfin Mons, en Belgique (Pays-Bas autrichiens à l'époque) où elle dirigea le chapitre Sainte-Waudru.

    Malgré son éloignement, elle fit reconstruire avec faste le palais abbatial de Remiremont qui subsiste toujours et resta jusqu'à son décès abbesse du chapitre noble de la cité vosgienne.

    Cette publication se veut être à la fois le catalogue de l'exposition consacrée essentiellement aux portraits d'Anne-Charlotte de Lorraine et les actes d'une journée d'études organisée par la Société d'histoire de Remiremont et de sa région à l'occasion du tricentenaire de sa naissance. Il regroupe les travaux inédits de plusieurs historiens, universitaires et conservateurs. Les auteurs se sont intéressés à l'iconographie d'Anne-Charlotte de Lorraine, à son enfance lunévilloise, à ses séjours à Vienne, sans oublier les Lorrains qui entourent la princesse, la construction du palais abbatial de Remiremont, son activités d'épistolière, ses sceaux, ses liens avec Madame de Graffigny, son administration capitulaire et sa pompe funèbre.

     

    ‡ Anne-Charlotte de Lorraine, une princesse-abbesse européenne (1714-1773), collectif, catalogue de l'exposition et actes de la journée d'études, Musée Charles de Bruyères et Archives municipales de Remiremont, 2014, 99 p., ill. (18 €). Disponible auprès du Musée Charles de Bruyères, 70 rue Charles de Gaulle, 88200 Remiremont ou par mail : aurelien.vacheret@remiremont.fr

  • Nomeny (54) : une Vierge à l'Enfant due à Léonard de Vinci ?

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  • La Nouvelle revue lorraine : les lecteurs ont élu les Lorrains illustres

    nrl28.jpgLes lecteurs de La Nouvelle revue lorraine ont répondu au sondage lancé par Jean-Marie Cuny. Ils ont élus les quatre Lorrains illustres qui méritent d'entrer au Panthéon lorrain ! Et les élus sont...

    Pour les découvrir, il vous faudra lire le n° 28 de La Nouvelle revue lorraine qui propose, comme à son habitude, un sommaire riche et varié :

    - le musée Gilles Fabre

    - lieux historiques en Lorraine au fil du temps

    - réflexions autour des sièges de La Mothe

    - la chapelle Sainte-Anne d'Albeschaux

    - le château d'En-Haut de Germiny

    - un chevalier de la Légion d'honneur

    - Péguy et Moselly

    - les deux guerres de Pierre Dac

    - la chapelle Saint-Etienne de Lamarche

    - le congrès eucharistique de Nancy en 1949

    - le grenier

    - le jeu de la fourche

    - le chagrin du Paulin

    - Gaston

    - la Joséphine et sa "p'tite charrette"

    - le quarté gagnant des Lorrains illustres : le choix des lecteurs

    ... Et les rubriques habituelles...

     

    ‡ La Nouvelle revue lorraine est vendue sur abonnement : envoyez vos coordonnées postales et votre règlement (38 €, 6 numéros) à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBOIS, 54280 LANEUVELOTTE.

  • Le journal d'Henri Martin : Moussey sous l'occupation allemande en 1917

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    Henri Martin, né à Senones en 1880, patron d'une entreprise de peinture, subit l'occupation allemande depuis plus de deux années à Moussey, cette petite commune frontière de l'immédiat arrière-front des Vosges, au fond de la vallée du Rabodeau. Il a 32 ans, est marié et père de deux enfants. Un accident survenu deux ans avant la guerre l'a rendu non mobilisable.

    Son journal, couvrant toute l'année 1917, entame une véritable étude historique sur sa commune. Il s'érige ainsi en témoin d'une  guerre en zone envahie et ouvre une fenêtre sur le parcours d'une famille et d'un village vosgien dans la Grande Guerre.

    En transposant cette partie d'une histoire familiale et en l'enrichissant de nombreux documents et illustrations inédits, Danielle Fauth et Lucien Martin versent au patrimoine commun l'une des pièces maîtresse de l'histoire testimoniale de la Première Guerre mondiale dans les Vosges.

    Le journal d'Henri Martin trouve une place de référence dans l'historiographie de ce conflit dans les Hautes-Vosges et apporte un éclairage instructif sur les réalités d'une guerre en perpétuelle redécouverte.

     

    ‡ Le journal d'Henri Martin 1917. Moussey sous l'occupation allemande, Danielle Fauth et Lucien Martin (prés.), Edhisto, 2014, 129 p., ill. (15 €).

  • Le Pays Lorrain : blessures de guerre en Lorraine 1914-1918

    pl.jpgRiche sommaire du Pays Lorrain d'automne.

    La publication du Musée Lorrain et de la Société d'histoire de la Lorraine consacre le numéro 4 de 2014 à la Grande Guerre et ses conséquences en Lorraine :

    - Blâmont, août 1914 : l'histoire méconnue des premiers jours de guerre

    - La Grande Guerre vécue par un adolescent lorrain

    - Villages martyrs de Lorraine : Rouvres et la Meuse dans la tourmente d'août-septembre 1914

    - les débuts de la Grande Guerre à Nancy

    - Douëra-Calan : un quartier-général pour le Grand Couronné (septembre-décembre 1914)

    - les catholiques et le clergé meusien en 1914

    - la continuité du service scolaire dans le département des Vosges pendant la Grande Guerre

    - la presse militaire allemande du front de Lorraine

    - l'art en guerre : figurer le conflit armé, un défit et un devoir pour les artistes lorrains

    - l'archéologie de la Grande Guerre en France : une discipline récente pour quels enjeux ?

     

    ‡ Le Pays Lorrain est disponible à l'accueil du Musée Lorrain à Nancy ou sur abonnement (39 €, 4 numéros) en envoyant ses coordonnées postales et le règlement à : LE PAYS LORRAIN, MUSEE LORRAIN, 64 GRANDE RUE, 54000 NANCY.

  • Destin' à Sion

    sion.jpgQui, en Lorraine, ne connaît pas la colline de Sion, au cœur du pays du Saintois ? Irène Génin-Moine entraîne le lecteur dans ses pas d'adolescent lorsqu'elle grimpait naguère vers le sanctuaire marial avec ses camarades. La foi les portait. Notre-Dame de Sion les protégeait. Pas à pas, année après année, Sion a pris une place grandissante dans son cœur.

    Avec poésie, elle nous fait partager la découverte des lieux à travers sa vision de la colline, et sa poésie apaisante. Pour nous donner envie d'y monter ou d'y revenir... Pour un temps de ressourcement et d'échange spirituel avec Marie... Ou avec les paysages... Ou avec les horizons et les saisons...

    Un petit ouvrage rempli de belles images de cette "colline inspirée". Avec plein de ces fameuses petites étoiles dans les poches... et dans les yeux !

     

    ‡ Destin' à Sion, Irène Génin-Moine, éditions Bialec, 2013, 135 p., ill. (19 €).

  • "L'Echo des Trois Provinces" d'automne est paru

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    Le magazine des Trois Provinces - sud-ouest vosgien, nord-ouest franc-comtois et est champenois - est paru ! Le numéro d'automne de L'Echo des Trois Provinces propose un riche sommaire qui ravira tous les lecteurs des Trois Provinces ainsi que tous ceux qui apprécient ce secteur rural aux confins des trois régions administratives :

    - Darney (88) : les autorités civiles et religieuses doivent se mettre d'accord... à la fin de l'Ancien Régime !

    - Lerrain (88) : une nécropole mérovingienne mise au jour au "Haut de chaume"

    - Bains-les-Bains (88) : la Balnéenne a 150 ans

    - Melay (52) : un fait divers forestier

    - Fayl-Billot (52) : l'ermitage de Saint-Pérégrin

    - Histoire de la cuisine : les abats

    - Villars-Saint-Marcellin (52) : souvenirs des réfugiés de La Bresse en novembre 1944

    - Lamarche (88) : les Cahiers de Melle Marchal et le poste optique du mont Saint-Etienne

    - Saint-Baslemont (88) : l'incendie du château en 1676

    - Visites en Haute-Saône : Saint-Marcel, Cemboing, Magny-les-Jussey, Preigney

    - Bleurville (88) : une 40ème saison riche en animations à l'abbaye Saint-Maur

    - les animations au Pays des Trois Provinces

     

    L'Echo des Trois Provinces est distribué gratuitement dans la zone concernée. Abonnement possible. Renseignement : evelyne.relion@orange.fr

  • Les Cahiers du Poilu : 14-18 vu du Grand Couronné

    lorraine,nancy,grande guerre,grand couronné,christian lapointe,laneuvelotteVoici une formule originale pour découvrir le long temps du premier conflit mondial. Christian Lapointe propose un cahier constitué de "fiches anecdotes" qui est, en quelque sorte, le complément pratique de son ouvrage paru fin 2013 sur Le Grand Couronné : les combats, la victoire.

    Ces fiches, organisées sous la forme d'un quotidien avec ses multiples rubriques, présentent, par petites touches, une vision globale du conflit entre le 3 août 1914 et le 11 novembre 1918. Il s'attache en particulier sur les événements qui ont marqué la Lorraine après la deuxième quinzaine de septembre 1914, tels que les attaques du Xon, du Bois le Prêtre, de Flirey et Limey, la Woëvre et Verdun, sans oublier les escarmouches et bombardements qui affectèrent la frontière d'alors, de la Seille à Blâmont jusqu'aux cols vosgiens. En parallèle, l'auteur s'attarde sur les conditions de vie des populations dans les environs de Nancy durant la Grande Guerre.

     

    ‡ Les Cahiers du Poilu : 14-18 vu du Grand Couronné, Christian Lapointe, éditions du Cercle d'histoire du Foyer rural de Laneuvelotte, 2014, 41 p., ill. (15 €).

  • Damblain (88) : "Elle était là, sous vos pieds.. : la villa gallo-romaine de Damblain"

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  • Belgique : la statue lumineuse installée dans l'église de Sart

    vierge.jpg17 septembre 2014. C'est  en présence des bourgmestre et  échevins, du curé de la paroisse et de nombreux journalistes, tels ceux de RTL, de la RTBF, de Télé-Vesdre, de L'Avenir, de La Meuse ou encore du Républicain Lorrain qu'ont eu lieu l'inauguration de la restauration de la tour de l'église du XIIe siècle et surtout l'installation de la statue lumineuse de la Vierge de Banneux qui a tant défrayé la chronique ces derniers temps.

    Rappel

    Qui ne se souvient d'avoir vu à la télévision et dans les journaux les foules considérables qui se rendaient dans le petit hameau de Sart-Station, pour contempler dans le garage de Nadia et Daniel Lefloch (propriétaires de la statue) l'illumination dès na nuit tombée de cette Vierge en plâtre qui n'a cessé d'interpeller les pèlerins ou les simples curieux ? On le sait, par la suite, une expertise a été faite à l'université de Liège. Conclusion des experts : la statue, comme la peinture qui la recouvre date de plus de 50 ans. Pourquoi s'illumine t-elle ? Selon eux, parce que cette peinture contient des particules composées de sulfure de zinc. Telle est leur explication. Pour eux donc, rien de surnaturel, juste un simple phénomène chimique.

    Questions

    Je dois vous avouer que je reste sur ma faim. Pourquoi ce mystérieux produit n'a t-il commencé à fonctionner qu'après plus de 50 ans, le 17 janvier 2014 ; jour anniversaire de l'apparition de la Vierge à Pontmain ? Toute expérience scientifique devant être reproductible pour être valable, pourrait-on aujourd'hui enduire une statue de cette même peinture en faisant en sorte que celle-ci ne commence à s'illuminer qu'après l'an 2064 ? Permettez-moi d'en douter. De plus, par quel prodige cette Vierge en plâtre ne s'éclaire-t-elle que lorsqu'il y a une présence humaine et pourquoi faut-il parfois attendre dix longues minutes avant qu'elle ne s'éclaire ? De tels éléments ne correspondent pas du tout avec la manière dont se comportent les statues phosphorescentes que l'on peut acheter dans les magasins d'articles religieux. Puis-je également ajouter que des guérisons spectaculaires (notamment de cancers) se sont produites parmi les pèlerins ?...

    L'avenir

    Depuis qu'elle se trouve dans la tour de l'église, de très nombreux pèlerins viennent se recueillir. Même des cars sont déjà venus et d'autres sont programmés. Quant à la timide protection en verre qui existe pour l'instant, elle sera dans les tout prochains jours remplacée par une autre fabriquée au Val Saint Lambert qui sécurisera comme il se doit cette statue qui, je le crois, n'a pas fini de faire couler de l'encre. Ajoutons que l'installation de cette statue dans la tour de l'église ne s'est pas faite sans l'accord de l'évêché, des autorités communales et du conseil de fabrique et que, s'il s'était agi d'une supercherie, jamais celle-ci n'aurait trouvé place dans un lieu de culte.

    Libre à chacun bien sûr de croire qu'il s'agit d'un miracle ou d'un phénomène naturel. Reste que beaucoup trouve en ce lieu, auprès de la Vierge Marie, un réconfort qu'ils attendaient.

    Jean-Pierre Snyers

  • Nancy : consécration du nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes

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    Consécration rituelle de l'autel par Monseigneur l'évêque de Nancy et de Toul.

     

    En ce dimanche 5 octobre 2014,  Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, a consacré le nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes à Nancy.

    Une nombreuse assemblée, où se côtoyaient paroissiens, élus - dont le maire de Nancy - et habitants du quartier, a assisté avec ferveur à cette cérémonie célébrée selon le rite de l'Eglise catholique.

     

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    Célébration du Saint Sacrifice sur le nouvel autel.

    [clichés : Diocèse de Nancy et de Toul]

     

  • Grand (88) : animation sur le site archéologique gallo-romain

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  • Des nouvelles de Monseigneur Guillaume, évêque émérite de Saint-Dié

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    Mgr Guillaume au côté de frère Timothée à l'issue de sa profession religieuse.

     

    En mai dernier, à l'abbaye bénédictine Sainte-Madeleine du Barroux, en Provence, Monseigneur Paul-Marie Guillaume, évêque émérite de Saint-Dié, a assisté à la profession solennelle de frère Timothée.
     
    C'est toujours avec plaisir que ses anciens diocésains vosgiens reçoivent de ses nouvelles !
     
    Toutes nos prières l'accompagnent.

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    Mgr Guillaume lors de la profession de frère Timothée.

    [clichés : abbaye du Barroux]

     

  • La Manif pour Tous : près de 550 000 manifestants défendent la famille et le mariage

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    Bravo !

    500 000 manifestants à Paris et plus de 30 000 à Bordeaux pour défendre la famille et le mariage.

    Et les Lorrains étaient aussi à Paris !

  • Prière du pape François pour le synode sur la famille

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    La Sainte Famille, vitrail, détail.

     

    Prière de Sa Sainteté le pape François à la Sainte Famille

    pour le Synode des évêques

    Au Vatican, du 5 au 19 octobre 2014

    « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l'évangélisation »

    Jésus, Marie et Joseph
    en vous nous contemplons
    la splendeur de l’amour véritable,
    à vous nous nous adressons avec confiance.

    Sainte Famille de Nazareth,
    fais aussi de nos familles
    des lieux de communion et des cénacles de prière,
    des écoles authentiques de l’Évangile
    et des petites Églises domestiques.

    Sainte Famille de Nazareth,
    que jamais plus dans les familles on fasse l’expérience
    de la violence, de la fermeture et de la division :
    que quiconque a été blessé ou scandalisé
    connaisse rapidement consolation et guérison.

    Sainte Famille de Nazareth,
    que le prochain Synode des Évêques
    puisse réveiller en tous la conscience
    du caractère sacré et inviolable de la famille,
    sa beauté dans le projet de Dieu.

    Jésus, Marie et Joseph
    écoutez-nous, exaucez notre prière.

    Amen.

  • Eglise des Cordeliers de Nancy : messe à la mémoire des ducs de Lorraine le 18 octobre

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    Messe des ducs en octobre 2013, église des Cordeliers de Nancy [archives ©H&PB].

     

    Samedi 18 octobre 2014 à 11h00

    Messe à la mémoire de la famille des ducs de Lorraine et de Bar

    célébrée par le Père François Weber,

    prêtre de l’Oratoire Saint-Philippe Néri,

    en la chapelle des Cordeliers de Nancy

    (Grande-Rue, à côté du palais ducal-Musée Lorrain)

    avec la participation de la chorale Choralliance

  • Magnières (54) : le regard de Jean-Pierre Fringant sur la Grande Guerre

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    [ER]

  • Charles Péguy

    peguy.jpgPar la modestie de ses origines, ses brillantes études, sa rectitude morale, ses engagements intellectuels et politiques entre socialisme et catholicisme ardents, sa mort héroïque au combat le 5 septembre 1914 à 41 ans, Charles Péguy est l'une des figures les plus pures de ce que la France a de meilleur.

    Séduisant, irritant, poète inspiré et polémiste redoutable, il a laissé une empreinte ineffaçable chez ses contemporains et pour la postérité, à qui il rappelle avec vigueur certaines impuissances de la démocratie.

    Une remarquable et éclairante biographie écrite avec brio par l'historien Arnaud Teyssier, également biographe de Lyautey et de Louis-Philippe.

     

    ‡ Charles Péguy, Arnaud Teyssier, édition Perrin, coll. Tempus, 2014, 376 p. (9,50 €).

  • Nancy : le nouvel autel de Notre-Dame de Lourdes est installé

    La basilique Notre-Dame-de-Lourdes vient d’accueillir son autel en marbre. Une opération délicate et millimétrée. Consécration dimanche 5 octobre par Monseigneur l’évêque de Nancy & de Toul.

    nancy-la-piece-manquante-photo-frederic-mercenier.jpg« Cet autel achève l’œuvre ! ». L’abbé Dominique Doidy suivait de près les opérations. En octobre 2013, la paroisse lançait le projet de construction d’un autel en marbre. La pièce manquante de cette basilique datant de 1908. Après réflexion, l’annonce était faite aux paroissiens en février dernier. L’autel en bois « modèle face au peuple » vivait ses derniers instants.

    Devant l’édifice, le camion livrant le marbre prenait minutieusement place. Les ouvriers se mettaient à la manœuvre pour décharger notamment la table pesant près d’une tonne. Et si, dans un premier temps, il a été envisagé d’effectuer cette opération à bras d’hommes, au final, poulie et chariot ont pris le relais. Chaque étape était répétée avant de lancer le mouvement pour la mise en place. La table repose sur douze colonnes, représentant les douze tribus d'Israël ou, plus symboliquement pour la table où est célébré le Saint Sacrifice, les douze apôtres présents lors de la dernière Cène du Christ.

    Financé par la paroisse grâce aux dons de ses fidèles, ce projet de 30.000 € se veut à la fois sobre et moderne. Un socle en marbre gris de Badiglio, douze colonnes en marbre rose de Bourgogne, pesant 80 kg chacune, une table en marbre blanc de Carrare et des leds au sol… L’autel s’intègre sans difficulté dans la basilique.

    lorraine,nancy,autel,église,notre dame de lourde,consécration,diocèse de nancy et toul« On a voulu conserver l’esprit de l’édifice qui possède déjà soixante-quatre marbres différents. Il n’était pas nécessaire d’en rajouter. On est resté dans la symbolique », explique l’abbé Dominique Doidy qui devra attendre que l’évêque consacre l’autel avant de pouvoir l’utiliser pour les célébrations. « Le 5 octobre, à 15 h 30, l’autel sera consacré solennellement selon le rite de l’Eglise catholique. La basilique reste un acteur de la vie spirituelle de ce quartier », conclut l’abbé Doidy.

    [d’après ER]

  • Neufchâteau (88) : l'escalier de l'hôtel de Houdreville restauré

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    [L'Abeille]

  • Plantes obsidionales : l'étonnante histoire des espèces propagées par les armées

    plantes.jpgOuvrage étonnant pour ce Centenaire de la Grande Guerre. Pour la première fois, des chercheurs se sont penché sur des plantes apparus sur le sol lorrain après le passage des troupes armées. Des guerres napoléoniennes à la Deuxième Guerre mondiale en passant par le court conflit de 1870 et la Grande Guerre, ce livre dévoile l'étonnante histoire de vingt-et-une espèces propagées par les armées.

    Peu de travaux ont été menés jusqu'à maintenant sur les plantes obsidionales - qualificatif relatif aux sièges militaires. Cet ouvrage n'a pas la prétention d'être exhaustif sur le sujet, car il faut être prudent sur l'origine des plantes importées par les armées. Cependant, la démarche entreprise permet d'affirmer que les espèces décrites (la Roquette d'Orient, la Trientale d'Europe, l'Armérie, le Géranium des prés, le Crin végétal, la Potentille de Norvège, la Crépide de Nîmes, le Trèfle alpin...) dans l'ouvrage proviennent bien des troupes occupantes, lors des différents conflits qui ont affecté la Lorraine.

    La particularité de ce travail est de mêler la botanique aux conflits humains, en signe de paix.

     

    ‡ Plantes obsidionales. L'étonnante histoire des espèces propagées par les armées, François Vernier, éditions Vent d'Est, 2014, 191 p., ill. (28 €).