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sarkozy

  • La cause du peuple

    En 2007, Nicolas Sarkozy avait beaucoup misé sur Patrick Buisson pour accéder à l'Elysée. Le conseiller, aujourd'hui répudié pour avoir dit quelques vérités bien placées, après être longtemps resté silencieux, publie, en pleine campagne de la primaire de la droite, un livre volumineux pour raconter et réfléchir. Un titre provocateur : La Cause du peuple. En réalité, une bombe. Pour assainir le marigot politico-médiatico-bien pensant.

    Pour ceux qui avait encore des doutes sur nos politiciens républicains, Patrick Buisson les dissipe. Il nous décrit un Sarkozy manipulateur, sans culture, individualiste et se complaisant dans l'argent. Ces constats valent malheureusement pour bon nombre d'autres politiciens, de tous bords idéologiques d'ailleurs.

    Sarkozy est l'homme sans paroles : ou plutôt celui qui parle à tort et à travers, dit une chose un jour et son contraire le lendemain.

    A vous dégoûter de la politique et de son support, la république, désormais confisquée par une poignée d'individus sans scrupules, sans principes, sans morale, prêts à toutes les compromissions.

    Un livre à lire absolument. Pour vous éclairez dans votre choix pour les prochaines élections présidentielles. Ce sera facile. Pour en finir aussi avec le "politiquement correct" et le "prêt-à-penser" servi par des médias à la solde d'un "quarteron" de politiciens liberto-libertaires.

     

    ‡ La cause du peuple, Patrick Buisson, éditions Perrin, 2016, 456 p. (21,90 €).

  • Bleurville : résultats du 2ème tour des élections présidentielles

    BLEURVILLE

    Résultats du 2ème tour – Election présidentielle

    6 mai 2012

     

     

    Nombre

    % Inscrits

    % Votants

    Inscrits

    282

     

     

    Abstentions

    46

    16,31

     

    Votants

    236

    83,69

     

    Blancs ou nuls

    24

    8,51

    10,17

    Exprimés

    212

    75,18

    89,83

     

    Liste des candidats

    Nbre de voix

    % Exprimés

    François HOLLANDE

    93

    43,87

    Nicolas SARKOZY

    119

    56,13

     

    En raison des arrondis à la deuxième décimale, la somme des % exprimés peut ne pas être égale à 100,00 %.

  • Le patrimoine national à l'encan

    monument historique à vendre.jpg

     

    « Au détour de l’article 52 de la loi de finances 2010 se profile clairement la destruction par l’Etat sarkozyste de plus de deux siècles de protection du patrimoine national (...).

     

    « Or, l’article 52 de la loi de finances élargit le périmètre des monuments et sites transférables, qui ne sera plus limité à une liste fixée par décret et couvrira, dès 2010, la totalité des monuments appartenant à l’Etat et à l’ensemble de ses établissements publics ; en outre, l’Etat pourra maintenant se défaire aussi des objets mobiliers classés.

     

    « On peut, à première lecture, se dire que, si l’Etat cède son patrimoine aux collectivités territoriales, il n’ y a que moindre mal ; sauf que, la loi étant muette, rien n’interdira aux dites collectivités de pratiquer un nouveau transfert au profit d’une entreprise culturelle à visée commerciale, ou même d’un particulier.

     

    « Enfin, il est essentiel de signaler que seul le préfet aura à se prononcer sur les cessions, le ministère de la Culture, pourtant concerné au premier chef, n’ayant pas à être consulté.

     

    « Une partie de la majorité présidentielle s’en réjouit ouvertement et le rapporteur spécial de la commission des finances du Sénat, Yann Gaillard, a ces mots qui dévoilent la logique à l’œuvre : ce processus « s’inscrit dans la droite ligne de la « désétatisation » du patrimoine monumental …préconisée dans [un] rapport de 2002 sur le patrimoine monumental. De fait, c’est à la société toute entière qu’il appartient de conserver et d’entretenir le patrimoine, l’Etat ne pouvant se prévaloir d’aucun monopole en la matière. »

     

    « Cette distinction entre Etat et société toute entière, signe tout simplement l’arrêt de mort de la politique patrimoniale nationale ».

     

    [source : http://www.lesalonbeige.blogs.com]

  • Metz : un régiment français stationné en Allemagne bientôt transféré dans la capitale régionale

    3e hussards.jpgLe ministre de la Défense Hervé Morin a confirmé auprès de sources autorisées (voir ci-dessous) que le régiment qui doit s'installer à Metz sera bien un régiment français de la brigade franco-allemande (BFA) actuellement stationné en Allemagne. Il n'y en a que deux : le 110ème régiment d’infanterie à Donaueschingen et le 3ème Hussards à Immendigen.

    Comme l'annonçait Les Dernières nouvelles d'Alsace, il est fort probable que ce soit le régiment de hussards qui sera transféré à Metz. Le ministre de la Défense devait parler de ce sujet ce vendredi 23 octobre avec son homologue allemand, en marge d'une réunion de l'Otan.

    [source : http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/10/metz-ce-sera-bien-un-r%C3%A9giment-fran%C3%A7ais-en-provenance-dallemagne.html]

  • Encore une fois : non au travail du dimanche !

    Le gouvernement ressort à nouveau la proposition de loi Maillé sur le travail du dimanche. Discussion devant l'Assemblée nationale dès le 7 juillet.

     

    travail dimanche.jpg

     

    Nous disons à nouveau non au travail du dimanche. Non au "tout consommation" et à la croissance à tout prix.

     

    Parce que la vie familiale, la vie spirituelle, la vie associative doivent avoir aussi toute leur place dans la semaine humaine et particulièrement le dimanche. Alors, oui au travail, mais pas le dimanche !

     

    >> Plus d'infos sur http://www.travail-dimanche.com/ et http://www.eglise.catholique.fr/actualites-et-evenements/actualites/le-travail-du-dimanche-en-debat.html

  • Musées gratuits pour les jeunes

    La mesure prendra effet le 4 avril. Les moins de 25 ans entreront gratuitement dans les musées.

     

    jeunes au musée.jpg

    Les moins de 25 ans et leurs professeurs pourront aller gratuitement dans les musées et les monuments nationaux à partir du 4 avril prochain, une mesure annoncée par Nicolas Sarkozy, qui prend la place d'une gratuité totale expérimentée et finalement abandonnée. Cette mesure de gratuité "ne tue pas les musées, au contraire, car les jeunes qui ont l'habitude d'aller au musée" iront également quand ils seront adultes, a déclaré le président.

     

    La mesure concerne la centaine de monuments nationaux, comme le Panthéon ou l'Arc de triomphe, le Mont Saint-Michel ou les remparts de Carcassonne, ainsi que les collections permanentes de la quarantaine de musées nationaux, le Louvre, le musée du quai Branly, Fontainebleau ou le château de Pau. Leurs expositions temporaires resteront payantes, précise le ministère de la Culture.

     

    En pratique, elle s'applique aux jeunes âgés de 18 à 25 ans, les jeunes âgés de moins de 18 ans bénéficiant déjà de la gratuité dans ces établissements. Le coût de la mesure, qui sera compensée financièrement aux établissements, est évalué à 25 millions d'euros par an. Pour 2009, la somme pourra être prélevée des 5% de budget que doit geler chaque année chaque ministère, a précisé le ministère de la Culture.

     

    [d’après Vosges Matin | 14.01.09]

  • Un vrai budget pour le patrimoine ?

    château lunéville.jpg
    Le château de Lunéville.

     

     

    Nicolas Sarkozy a annoncé ce mardi 13 janvier que le patrimoine bénéficierait de 100 millions d'euros de plus chaque année dans le budget de la Culture, pendant toute la durée de sa présidence.

     

    Il "est temps d'entretenir notre patrimoine", a ajouté le président de la République dans ses voeux au monde de la culture, en évoquant "trois priorités" à discuter avec le ministère de la Culture, "nos grands monuments emblématiques, nos cathédrales et nos abbayes, et le patrimoine des petites communes".

     

     

    cathédrale de toul.jpg
    La cathédrale Saint-Etienne de Toul.

     

     

    Le plan de relance de l'économie lancé en décembre avait déjà annoncé une rallonge de 100 millions d'euros pour la culture et notamment le patrimoine.

     

    On attend de voir…

     

     

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    L'abbaye Saint-Maur de Bleurville.

     

     

    [d’après La Croix | 13.01.09]

  • Un Président de la République pressé parle aux ruraux vosgiens

    Quand Nicolas Sarkozy choisit de parler aux « ruraux » comme à lui même. Avec la crise, « y a pas intérêt à se louper ».

     

    A Lerrain, il se contente de caresser un jeune veau du bout des doigts, mais il reprend deux fois de la tarte aux mirabelles. C'est un Sarkozy tout à la fois préoccupé mais n'hésitant pas à prendre son temps, que les Vosgiens de la Plaine et de la Vôge ont pu découvrir hier. Un habitué, c'est sa quatrième visite dans le département, mais toujours pas un Chirac des cours de ferme.

     

    sarkozy à monthureux.jpgIl paraît plus à l'aise dans la scierie de Monthureux, leader français de la fabrication des pièces de chêne qui serviront pour assembler des tonneaux. Pour les grands crus de Californie, de Nouvelle-Zélande et même de France. Il s'attarde auprès des scieurs, des gaillards qui travaillent dans le bruit et le froid, et une odeur de bois frais qui embaume.

     

    Il loue leur dextérité, rapidité, sûreté... « Avec les machines que vous avez, y a pas intérêt à se louper... Remarquez-moi non plus - c'est pas les mêmes machines - mais j'ai pas intérêt à me louper non plus... »

     

    Il les aidera mais il a bien conscience en disant ça, qu'ils se sont eux-mêmes déjà aidés. Créer une centaine d'emplois et générer 40 millions de chiffre d'affaires, dans une région qui paraît encore plus loin de tout, noyée qu'elle était hier dans le brouillard gelé, il faut le faire... « Franchement, c'est pas évident de venir là », dit-il. « Non, c'est beau, c'est tranquille... En venant, on est là dans la voiture, tranquille, et on pense à toutes les bonnes nouvelles qu'on entend... »

     

    sarkozy à monthureux.jpg

     

     

    La ruralité, c'est une pause pour le président. A la télé, dit-il « on ne parle que des villes où on fout le feu et où on casse les services publics... Ici on veut les préserver... ». « Quand on est président de la République, on est responsable de tout, tout le temps... J'en vois un grand là qui se dit : si ça t'avait pas plu, t'avais qu'à faire autre chose. Il a raison... » Le '' grand '' sourit. « La situation est grave... mais on peut s'en sortir. Si on avait dit qu'ici il y a trente ans on ferait un leader mondial, c'est pas tout le monde qui y aurait cru... », poursuit Sarkozy comme pour lui-même, et dans ce style inimitable. « On traverse un gros grain, c'est pas facile. Mais c'est comme ça qu'on va s'en sortir, en travaillant plus, en investissant plus... plutôt qu'en expliquant aux gens qu'ils n'ont pas à bosser ».

     

    Nicolas Sarkozy est inquiet… Les manifs lycéennes, la suppression de la pub à la télé publique, le travail du dimanche, la crise économique... Les ruraux vosgiens aussi. Une visite présidentielle qui ne restera vraiment pas dans les annales de l’histoire locale. Les Vosgiens ne devront encore une fois compter que sur eux-mêmes pour s’en sortir. Il faut dire qu’ils sont devenus une minorité « ethnique » en voie de disparition qui n’attire pas vraiment les médias…

     

     

    [d’après l’Est Républicain | 19.12.08 et commentaires personnels]

     

     

    En savoir plus : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article.html?iurweb=265407 et http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article.html?iurweb=265338

  • Darney, Bleurville et Monthureux s’apprêtent à accueillir le président de la République

    Visites d'une ferme dans les environs de Darney, de la scierie Granget à Bleurville et de Merrain International à Monthureux-sur-Saône seraient au menu de la journée « ruralité ».

     

    Itinéraire très minuté que celui de Nicolas Sarkozy jeudi 18 décembre. Les services élyséens n'ont-ils pas rejeté la visite d'une ferme du canton de Darney ? Ce qu'on lui reprochait ? De retarder de deux minutes le parcours présidentiel.

     

    agriculteur vôge.jpgNicolas Sarkozy aura tout de même tout loisir de traiter de la question de la ruralité. Dans une terre à la fois conquise et propice. Les conseillers généraux et maires des cantons de Darney et Monthureux penchent sans ambiguïté du côté de la majorité, à l'exception nuancée de Raynald Magnien, maire de Monthureux et vice-président du Modem au point de vue départemental. Cette zone entre Vôge et Plaine se prête en tout état de cause au thème du jour - celui de la ruralité. La densité de population oscille entre 15 et 17 habitants au km². L'une des plus faibles du département, fait valoir Alain Roussel, qui observe qu'elle est encore plus faible dans les départements limitrophes de Haute-Marne et Haute-Saône.

     

    Les deux chefs lieux de canton sont de taille modeste : 1300 habitants à Darney, 1000 à Monthureux. Tous deux ont subi une hémorragie démographique et économique. Darney a perdu la fabrique d'épaulettes Helsa ; Monthureux a vu partir récemment Gantois. Les services suivent à leur manière : doucement mais sûrement. Raynald Magnien déplore le regroupement des brigades de gendarmerie au sein d'une communauté Darney-Monthureux-Lamarche. Une fusion qui ne choque pas Hervé Buffe, maire de Darney, dans la mesure où elle participe d'une politique globale d'économie, décidée par l'Etat : à ses yeux, il appartient aux communes qui le souhaitent de se doter d'une police de proximité. L'essentiel étant de mobiliser son énergie sur des projets d'intérêt général pour les deux cantons. La vieille rivalité entre Darney et Monthureux s'estompe, souligne Daniel Grandclair, ex-président de la FDSEA, qui, à l'instar de Bruno Laroche, 35 ans souhaite que les agriculteurs puissent vivre de leurs produits. A Monthureux, le maire déplore la fermeture imminente de la Trésorerie, qui rendait de précieux services aux personnes âgées et à la commune. Un service qui va s'exiler pour Darney, à douze kilomètres de là. Les distances comptent beaucoup dans un monde rural qui souffre de l'enclavement. Alain Roussel souhaite que l'Etat prenne davantage en compte ce critère quand le gouvernement vote, par exemple, le principe d'horaires supplémentaires de soutien pour les élèves : qui a pensé aux problèmes de transport que cela soulève à la campagne ? Il propose que toute mesure nouvelle soit passée au tamis de la raison par un « Monsieur Ruralité ».

     

    Alain Roussel au CG88 27.03.06.jpgAu premier rang des atouts, la forêt a permis l'éclosion d'une entreprise en expansion. Merrain-International fabrique des planches pour tonneaux. Elle exporte aux USA, en Bourgogne et dans le Bordelais. Mais aussi la reprise d’une scierie familiale à Bleurville. Darney se signale par la richesse de ses services sociaux, le dynamisme d'élus, pionniers départementaux de la « communauté de communes ». Les énergies se mobilisent autour de l'extension de l'hôpital, de la création d'une maison de la santé, et de la venue de nouveaux médecins. L'enjeu, c'est l'attractivité de toute une région : « J'en suis tombé amoureux », confie Hervé Buffe. Raynald Magnien souligne la vitalité du commerce local, et Alain Roussel celle du tissu associatif, illustrée par le Pôle d'excellence rural et les spectacles en plein air donnés depuis onze ans par la compagnie L’Odyssée.

     

    La dernière visite d'un président de la République à Darney remonte à 90 ans. Raymond Poincaré, en juin 1918, y avait proclamé le droit de la Tchécoslovaquie, alors dans l’empire austro-hongrois, à son indépendance…

     

    [d’après l’Est Républicain | 16.12.08]

  • Le président de la République jeudi prochain à Darney (Vosges)

    Le président de la République évoquera le thème de la ruralité jeudi 18 décembre 2008 à Darney.

     

    sarkozy à neufchâteau.jpgLe planning des déplacements de l’Elysée ne l’a pas encore officialisé mais la venue du président Sarkozy est confirmée par les élus locaux de la plaine des Vosges.

     

    Le chef de l'Etat reviendra pour la troisième fois cette année dans la Plaine vosgienne. Ce sera le jeudi 18 décembre. Il évoquera la thématique de la ruralité et des territoires ruraux, particulièrement adaptée à la zone du Sud-Ouest vosgien frappée par la désertification et le vieillissement de la population. « Il n'est pas une semaine où je ne sois interpellé sur le maintien des services publics de proximité », témoigne Jean-Jacques Gaultier, député de la circonscription. « Lors de la réunion des maires, le 17 octobre dernier à Darney, les élus m'ont encore interrogé sur le devenir de la Poste et des Trésoreries, et sur la pérennité du poste de sous-préfet de Neufchâteau. »

     

    Un sujet qui préoccupe la population : « Si 80 % des Français occupent un tiers du territoire, il ne faut pas oublier les deux autres tiers », met en garde le député Gaultier. Dans sa circonscription très rurale, les élus ont récemment suscité la mise en place d'un « relais des services publics » à Monthureux-sur-Saône. Des crédits sont mis en œuvre pour la création d'un hôtel des finances qui regroupera les trésoreries de Liffol-le-Grand et Coussey. Selon un schéma analogue, la synergie entre les hôpitaux de Vittel et Neufchâteau avait été mise en avant dans le domaine de la santé, lors de la visite de Nicolas Sarkozy à Neufchâteau le 18 avril dernier. Il avait choisi la sous-préfecture des Vosges pour présenter la réforme hospitalière.

     

    Comment rendre attractifs les territoires ruraux ? La question, lourde d'enjeux, sera au centre du débat organisé au gymnase de Darney, qui peut contenir plus de six cents personnes. La visite du chef de l'Etat doit avoir lieu en plein territoire rural.

     

    La Vôge et tous les territoires ruraux de notre pays attendent des actions concrètes de la part du chef de l’Etat et de son gouvernement. Et pas seulement des paroles… même si elles sont réconfortantes.

     

     

    [d'après l'Est Républicain | 13.12.08 et commentaires personnels]

  • La Saint Nicolas fêtée chez le Président de la République

    nicolas et st nicolas.jpg
    Un Saint Nicolas en chocolat offert au président de la République par les chocolatiers lorrains

    Avec son colis lorrain gourmand, André Rossinot, le maire de Nancy, n'a pas surpris Nicolas Sarkozy qui recevait en privé la Lorraine à l'Elysée le 5 décembre pour la fête de Saint-Nicolas.

    otto de habsbourg-lorraine.jpgPréparée par un ami lorrain de Nicolas Sarkozy, la rencontre amicale s'est déroulée sous le regard d'Otto de Habsbourg-Lorraine, descendant du dernier duc de Lorraine François III, qui entretient une vraie complicité avec Nicolas Sarkozy. « Otto de Habsbourg est toujours aussi écouté, il incarne à merveille la légitimité de la Lorraine ducale », confie André Rossinot, qu'accompagnait entre autres le nancéien Bernard Guerrier de Dumast. Celui-ci était venu avec un bel ouvrage consacré à Saint-Nicolas-des-Lorrains à Rome, doublé d'une médaille.

     

    A cette occasion, Otto de Habsbourg-Lorraine a appris qu’il était élevé au rang de Grand Croix dans l’Ordre de la Légion d’Honneur. Toutes nos félicitations au nouveau et prestigieux promu, ami de la Lorraine.

     

     

    [clichés syndicat des chocolatiers et Wikipédia]

     

    En savoir plus : http://www.republicain-lorrain.fr/fr/permalien/article.html?iurweb=254120

  • Otto de Habsbourg-Lorraine souhaitera la Saint Nicolas à l’Elysée

    st nicolas.jpgL'archiduc Otto de Habsbourg-Lorraine fait partie des invités d'une cérémonie privée qui aura lieu vendredi 5 décembre au Palais de l'Élysée. Agé de 96 ans, le fils du dernier Empereur d'Autriche Charles Ier et descendant des ducs de Lorraine, souhaitera la Saint Nicolas au Président de la République.

     

    A l'initiative de Lorrains, cette fête a déjà été organisée l'an passé. A cette occasion, le président Nicolas Sarkozy avait reçu des présents signés Baccarat. Cette année, c'est un autre pôle d'excellence de la Lorraine qui sera à l'honneur avec une réalisation contemporaine.

     

    Aux côtés d'Otto de Habsbourg-Lorraine, le nancéien Bernard Guerrier de Dumast, ami de la famille impériale et membre de l'Ordre de la Toison d'Or, mais aussi Gérard Longuet, sénateur de la Meuse et ancien président du Conseil régional de Lorraine, André Rossinot, maire de Nancy, ou Philippe Leroy, président du Conseil général de Moselle. Des entrepreneurs de la région ont également été conviés à cette fête de la Saint-Nicolas qui réunit des Lorrains au-delà de leurs différences autour de cette fête traditionnelle et sympathique.

     

     

    Régina et Otto de Habsbourg-Lorraine.jpg
    Otto de Habsbourg-Lorraine et son épouse.
  • Hommage aux gendarmes de Neufchâteau morts en intervention

    4a85fec5527b4c776e4f25eb22766b50.jpgLe chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, accompagné de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et du ministre de la Défense Hervé Morin, est arrivé à Neufchateau ce mardi 29 janvier à 10 h 20 où il a été accueilli par le maire Jacques Drapier, le président du Conseil général des Vosges et président du Sénat Christian Poncelet, et le préfet Albert Dupuy. Le président de la République a gagné la place Carrière proche de l'église Saint-Nicolas, où une foule de 350 personnes environ, composée d'officiels, de militaires mais aussi beaucoup de néocastriens, avait pris place dans une atmosphère de ferveur recueillie. Nicolas Sarkozy a d'abord salué les familles des trois gendarmes tués. Pendant une dizaine de minutes, il a échangé des mots de sympathie et de compassion à l'égard des proches des gendarmes Boyer, Régnier, et Bienfait, membres de la communauté de gendarmerie de Neufchateau-Coussey,  morts en service dans la nuit du 24 au 25 janvier, percutés par un train sur un passage à niveau.

    Portés par six gendarmes, les cercueils des trois militaires ont été déposés au centre de la place sur un catafalque. Les 341d97776002d73de8e430af835aefce.jpgcercueils ont ensuite été recouverts d'un drapeau tricolore tandis que la fanfare de la Garde républicainne interprétait les partitions de rigueur en pareilles circonstances. Le Président Sarkozy a ensuite pris la parole : " Je sais pour y avoir été malheureusement trop souvent confronté, le lourd tribut que paie la gendarmerie, comme la police, pour assurer la sécurité à laquelle aspirent logiquement nos concitoyens " a-t-il déclaré. " Les femmes et les hommes qui la composent et qui sont ainsi marqués dans leur chair, montrent la grandeur de l'idéal de justice et de paix qu'ils défendent chaque jour par un engagement absolu et sans faille, dans un contexte difficile où le danger est présent en permanence " a poursuivi Nicolas Sarkozy. Le président a également évoqué sa lassitude. " Que les choses soient claires : ce n'est pas normal pour moi que trois hommes puissent trouver la mort par l'inconscience d'un délinquant multirécidiviste. Quel que soit l'âge du délinquant, il y a un moment où trop, c'est trop " a déclaré le président de la République, avant d'ajouter : " je n'ai pas l'intention d'assister indéfiniment à des cérémonies où je dois accompagner des policiers ou des gendarmes à leur dernière demeure. La société doit choisir de quel côté elle est. Je souhaite qu'elle soit du côté des victimes " a poursuivi le chef de l'Etat avant de promettre l'exercice d'une grande sévérité à sanctionner les délinquants multirécidivistes.  

    5d8ace40d93a9abb31907b456d207224.jpgA l'issue de son discours, Nicolas Sarkozy a décoré les cercueils des trois gendarmes de la croix de chevalier de la Légion d'honneur, décernée à titre posthume. Les militaires ont également reçu la médaille de la gendarmerie avec citation et tous les trois ont été promus. A l'issue de la cérémonie, le chef de l'Etat a rencontré les militaires de la région Nord-Est et du groupemnt de gendarmerie des Vosges avant de quitter Neufchateau.

    RIP.

    [sources : Est Républicain, clichés Présidence de la République]