Notre patrimoine - Page 22
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Le volcan d'Essey-la-Côte (54)
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Claudon (88) : DOP en assemblée générale
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Les Amis du peintre Alfred Renaudin célèbrent le 150e anniversaire de sa naissance
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Il faut sauver L'Echo des Trois Provinces !
[Vosges Matin]
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La Nouvelle revue lorraine n° 37 : Gaël Lesure, artiste photographe, à l'honneur
Jean-Marie Cuny rappelle dans son édito' le "symbole fort" que constitue le retour de l'anneau de Jehanne, notre Bonne Lorraine, en terre de France et salue ce geste de la famille de Villiers, famille de vieille souche lorraine.
Comme à son habitude, la revue régionaliste propose un sommaire qui ravira tous les lecteurs et amoureux de la Lorraine :
- Le dernier duc François III
- De la Lorraine ducale à la Ve République
- Sous le roi Stanislas
- Le siège de Montmédy (1657)
- A propos du théâtre démoli de Remiremont
- A Nancy, la place de la gare
- Jean Daum : de la gueule des fours à la bouche des canons
- Février 1916 : Revigny à la une des journaux
- Un poilu de la classe 1916 : Camille Laurent
- Le tableau magique
- Les dix travailleurs de la mère Vert-d'Eau
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Epvre de Thélod
- Floriane Bogard, meilleure sportive vosgienne de l'année
- Gaël Lesure, l'artiste photographe
... Et les rubriques habituelles : l'édito' de JMC, les infos lorraines, les livres, Entre-nous...> La Nouvelle revue lorraine est disponible sur abonnement : coordonnées postales et règlement (38 € par chèque à l'ordre de SEP HELENUS NRL) à envoyer à : LA NOUVELLE REVUE LORRAINE, LE TREMBLOIS, 54280 LANEUVELOTTE.
> Vente au numéro : 9 € franco (chèque à l'ordre de SEP HELENUS NRL).
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Les "champs golot", une tradition vosgienne bien vivante
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Tignécourt (88) : 10e Rencontres Natur'images les 9-10 avril 2016
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La broderie perlée dans le Lunévillois et le Saintois
Les villages du Lunévillois et du Saintois ont été pendant plus d'un siècle, entre 1830 et l'entre-deux-guerres, le siège d'une activité artisanale et artistique originale : la broderie perlée.
Lorsque le Lunévillois Louis Ferry a l'idée d'incorporer perles et paillettes au point de chainette, déjà célèbre dans la région, il ne s'imaginait pas qu'il allait créer une économie parallèle qui devint vite indispensable au bien-être des villageois et particulièrement des femmes lorraines. Sans "les perles", comment terminer le mois correctement, même en cultivant un lopin de terre ?
Si les robes et accessoires réalisés dans cette Lorraine centrale étaient rapidement dirigés vers Paris et l'étranger, ils ne portaient jamais le nom de la brodeuse, ni même celui de l'entrepreneur en broderie... Il n'en reste pas moins que les brodeuses étaient très fières de les voir dans la presse ou, plus tard, à la télévision, portés par une célébrité à la mode.
L'ouvrage, abondamment illustré, s'attache à présenter l'apparition et le développement de la broderie perlée en Lorraine, activité que pratiquent encore quelques amoureuses de ces travaux situés aux confins de l'artisanat de luxe et de l'art.
‡ La broderie perlée dans le Lunévillois et le Saintois, Marc Gabriel, NMG éditions, 2015, 104 p., ill. (15 €).
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Retour de la croix-reliquaire d'Antoine Sarazin de Germainvilliers à La Mothe
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Domremy-la-Pucelle (88) : L'Abri du Pèlerin est démoli
Le projet ne fait pas l’unanimité autour des sanctuaires de Jehanne, il n’empêche : les opérations de démolition de l’ancienne grande salle qui accueillait jadis les pèlerins du monde entier à l’occasion des fêtes johanniques de mai ont débuté ce 30 mars dans le bruit et la poussière.
Deux énormes pelles appartenant à la société Voillaume de Neufchâteau se sont simultanément mises en mouvement jusque tard dans la soirée afin de mettre à terre un volume évalué à environ 5 000 m³. « Nous en profitons pour trier les matériaux et notamment la ferraille et procéderons dans la foulée au retrait des gravats », souligne Dominique Voillaume, de la société éponyme. Les opérations de désamiantage se sont déroulées la semaine dernière. Prochainement, pour des raisons de sécurité, c’est le restaurant L’Accueil du Pèlerin qui sera mis à terre. « Dans quinze jours, tout sera clair », sourit Dominique Voillaume.
Erigée dans les années 1930, cette grande salle d’accueil dite « Abri du pèlerin » pouvait accueillir quelques centaines de personnes désirant pique-niquer. Le deuxième dimanche de mai, on voyait déferler là des dizaines de milliers de pèlerins. Environ 90 000 sur une seule journée, au seuil des années 1950. Le site laissera la place à un restaurant.
[d'après Vosges Matin]
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Bouxières-aux-Dames (54) : des fresques à restaurer à l'église Saint-Martin
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Christ est vraiment ressuscité !
La Résurrection, huile sur toile, détail, fin XVIIIe s., église de Bleurville [cliché ©H&PB].
Resurréxi, et adhuc tecum sum, allelúia : posuísti super me manum tuam, allelúia : mirábilis facta est sciéntia tua, allelúia, allelúia.
Dómine, probásti me et cognovísti me : tu cognovísti sessiónem meam et resurrectiónem meam.
[introït de la messe de Pâques]
Je suis ressuscité, et je suis encore avec Vous, Alléluia ! Vous avez posé votre main sur moi, alléluia ! Votre sagesse a fait des merveilles, alléluia, alléluia !
Seigneur, Vous m’avez éprouvé et vous me connaissez : vous avez été témoin de ma mort et de ma résurrection.
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Beau bilan au Cercle d'études locales de Contrexéville
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Le temps des crécelles...
Nostalgie... Il y a encore fort peu, à l'heure de l'angélus matinal du Vendredi Saint on voyait des bandes de jeunes garçons - la plupart du temps les enfants de choeur de la paroisse - dans les rues de nos villages lorrains. Ceux-ci agitaient des crécelles (appelées "bruants" dans les Vosges, ou "brouants") afin de remplacer les sonneries des cloches devenues muettes du Gloria de la messe du Jeudi Saint jusqu'à celui de la messe de la Vigile pascale. Nos jeunes servants d'autel étaient chargés d'annoncer l'angélus du matin, du midi et du soir ainsi que les offices de la Semaine Sainte.
Nostalgie, en effet, car désormais rares sont les villages lorrains qui connaissent encore ce genre d'animation et de tradition pascale...
Dommage. Cette tradition contribuait à resserrer les liens au sein de la communauté villageoise ainsi qu'à la visibilité du christianisme dans la cité.
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Saône vosgiennne : "Plus d'arbres, plus de vie"
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Etienne Cournault (1891-1948), la part du rêve
Ce catalogue est publié à l’occasion de l’exposition « Étienne Cournault (1891-1948) : la part du rêve », présentée du 26 février au 23 mai 2016 au musée des Beaux-Arts de Nancy.
Né à Malzéville, Étienne Cournault (1891-1948) a grandi dans un milieu aisé et cultivé, fasciné par l’Orient et « l’ailleurs ». Décorateur « occasionnel » après avoir été remarqué par le collectionneur Jacques Doucet lors de l’exposition organisée par Max Berger à la galerie Vavin-Raspail en 1928, il commence une carrière parisienne ponctuée par des commandes, explorant avec poésie et ironie la frontière entre les beaux-arts et les arts décoratifs. Se nouent alors collaborations et amitiés avec d’autres proches de Doucet : Pierre Legrain et Rose Adler tandis qu’en 1929 il est l’un des artistes fondateurs de l’Union des artistes modernes.
Très indépendant, « peintre avant tout et par-dessus tout », il fait bientôt de l’atelier de la Douëra le siège d’une œuvre aussi troublante que confidentielle. Il la nourrit par des recherches constantes sur les matériaux et expérimente avec bonheur de nombreuses techniques : peintures et objets sous verre avec miroir argenté, peintures au sable (dès 1923), pastels, gravures, et la fresque qu’il ne cesse de réinventer. Amoureux du visage humain, curieux des graffiti dès 1927 et de formes hybrides évoquant le surréalisme, voyageur parmi des constellations abstraites, Cournault invente sa propre modernité. « L’inutile, l’étrange, le mystère » habitent son monde.
Cette « part du rêve » identifiée par André Chastel en 1951 est au cœur de l’exposition organisée par les musées des Beaux-Arts de Nancy.
‡ Etienne Cournault (1891-1948). La part du rêve, Blandine Chavanne et Charles Villeneuve de Janti (dir.), éditions Snoeck, 2016, 160 p., ill. (22 €).
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L'Art en héritage : sur les traces des Donzelli en Meuse
Un père et son fils. Deux immigrés italiens, deux artistes venus s'installer en Meuse pour y exercer leur talents artistiques. Les auteurs sont partis sur les traces laissées en terre meusienne par deux hommes talentueux et généreux. Duilio et Dante Donzelli ont imprimé leur marque artistique et spirituelle bien au-delà de leur village d'adoption de Lacroix-sur-Meuse ; de nombreuses églises meusiennes ainsi que des villages à travers la France ont bénéficié des talents du peintre et du sculpteur venus d'Italie...
L'ouvrage invite à revisiter les œuvres des Donzelli désormais inscrites sur les murs et dans les nefs des édifices cultuels meusiens : fresques à caractère religieux, portraits, images de saints, sculptures, éléments d'architecture et monuments aux morts se laissent découvrir dans de nombreuses communes meusiennes.
Outre qu'il s'agit de la première biographie des artistes, le livre est également un magnifique catalogue des œuvres picturales et sculptées des Donzelli père et fils.
‡ L'Art en héritage. Sur les traces des Donzelli en Meuse, Dominique Lacorde et Patricia Pierson, éditions Dacres, 2016, 255 p., ill. (30 €).
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Procès de sorcellerie aux XVIe et XVIIe siècles en Alsace, Franche-Comté et Lorraine
Les manuels d'histoire n'en font que peu de cas, mais à la fin du Moyen Âge, des bûchers sont dressés dans toute l'Europe chrétienne et consument des milliers de femmes condamnées pour sorcellerie.
En suivant le fil de ses recherches historiques, le Vosgien Jacques Roehrig met au jour un épisode sombre de notre histoire, dont il se fait l'écho retentissant, et qui résonne jusqu'à nos jours par sa saisissante et effroyable actualité. Après avoir analysé le contexte qui a vu naître ces grands procès de sorcellerie des XVIe et XVIIe siècles, l'auteur se consacre au territoire correspondant aux actuelles régions emblématiques d'Alsace, de Lorraine et de Franche-Comté, pour y mener son enquête.
Dans cette période trouble marquée par les crises économiques et les guerres, les autorités tant laïques que spirituelles stigmatisent, sous le règne de la peur, un pan marginalisé de la société sous prétexte qu'il pactise avec le Diable, responsable de tous les malheurs d'ici-bas. Est ainsi créé le crime mixte de sorcellerie qui permettra aux institutions judiciaires d'aggraver une simple querelle de voisinage en acte de sorcellerie dont l'enjeu devient la condamnation à mort.
En dévoilant le déroulement de ces procès, et en allant jusqu'à rapporter le récit détaillé de trois d'entre eux, Jacques Roehrig nous permet de découvrir les rouages et les ravages du système inquisitoire pour mieux comprendre ce que l'on appellera, des siècles plus tard, « la chasse aux sorcières ».
En fin d'ouvrage et au-delà de son rôle d'historien, Jacques Roehrig prend position pour que soit honorée la mémoire de ces femmes - mais aussi des hommes - persécutées. Obéissant au désir de leur redonner corps, il dresse ainsi, sur la base des archives consultées, un « Mémorial des sorcières », riche de plus de 5000 noms, qui intéressera les chercheurs, les généalogistes comme tous les autres curieux.
‡ Procès de sorcellerie aux XVIe et XVIIe siècles - Alsace, Franche-Comté, Lorraine, Jacques Roehrig, éditions Trajectoire, 2016, 376 p. (25 €).
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Nancy : le Musée Lorrain entre dans le XXIe siècle
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Quand les gallo-romains étaient à Bulgnéville...
[L'Abeille]
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Viviers-le-Gras (88) : à la découverte de la Roche du Lorrain
[VM]
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Les Thons (88) : un pigeonnier du XVIe siècle labellisé par la Fondation du Patrimoine
Parce qu’elle récompense aussi la préservation du patrimoine rural privé, la Fondation du Patrimoine a remis un label à un propriétaire de ce village de l’extrême sud-ouest vosgien pour la restauration d’un imposant pigeonnier.
Plus connue pour les aides qu’elle apporte aux collectivités publiques et aux associations la Fondation du Patrimoine, en la personne de son délégué départemental Jackie Fremont, était récemment sur les terres des Thons pour récompenser un propriétaire privé, Jean-Claude Morel. En effet, cette fondation privée, qui fête cette année ses 20 ans, est également très active dans l’aide pour la restauration du petit patrimoine rural privé non protégé par les monuments historiques.
Jackie Fremont était accompagné de Robert Mougin, maire des Thons, de Jean-François Michel et son épouse, président et animateurs de l’association Saône Lorraine, très connus pour leur constant dévouement au service du patrimoine de ce petit territoire des Vosges.
Le label de la Fondation a été remis à Jean-Claude Morel à la suite des travaux de ravalement de son imposant pigeonnier datant du XVIe siècle qui conservent ses 1240 boulins en grès ; l’ensemble de l’édifice étant toujours resté pratiquement dans son aspect d’origine. La propriété de ces pigeonniers était réservée aux seigneurs locaux et le nombre de boulins définissait la richesse de la famille noble.
Les travaux, d’un montant de 19 000 €, ont été réalisés en 2015. Ces travaux ont été supervisés par l’architecte des Bâtiments de France. Une plaque label a été remise à Jean-Claude Morel et Jackie Fremont l’a chaleureusement félicité pour la qualité de cette restauration et pour son attachement à faire revivre ce beau patrimoine rural traditionnel.
Le pigeonnier est ouvert gratuitement aux visites et à ceux qui voudraient admirer aussi l’intérieur afin d’y découvrir son fonctionnement.
Rappelons que tout propriétaire privé envisageant des travaux sur son patrimoine bâti peut s’adresser à Jackie Fremont pour tout conseil au 06 87 08 86 63.
[d'après Vosges Matin] -
Nancy : vers une réhabilitation de la Place Carnot et du Cours Léopold ?
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Un anneau attribué à Jeanne d'Arc acquis par la Fondation "Le Puy du Fou Espérance"
L'anneau a été acheté par la Fondation Puy du Fou Espérance, représentée par Nicolas de Villiers, fils de Philippe de Villiers et président du parc à thème vendéen mondialement connu, au cours d’une vente aux enchères organisée à Londres.
La mise à prix de la relique datant du XVe siècle était de 14 000 livres sterling (19 051 €). Malgré l'absence de preuves que cet anneau ait appartenu à Jeanne d'Arc, il a été vendu le 26 février pour un montant record de 297 600 livres sterling (376 833 €).
Selon les représentants de la maison d'enchères, Jeanne d'Arc a donné une description détaillée de cet anneau au cours de son interrogatoire à Rouen le 17 mars 1431 : elle présente l'inscription "Jhesus Maria" et trois croix gravées.
L'anneau, accompagné de documents qui l'authentifient, est conservé dans un baguier en bois. Après l'exécution de Jeanne, l'objet précieux a été porté par le roi Henry VII d'Angleterre.
Grand merci à la famille de Villiers qui, par ce geste généreux, honore la France, son histoire, Jehanne d'Arc et la Lorraine... puisque les de Villiers ont des origines lorraines !
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L'Odyssée du quartier Saint-Epvre de Nancy
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Nancy : la chapelle cachée de la Doctrine chrétienne
Cette chapelle de la deuxième moitié du XIXe siècle est intégrée dans une maison de retraite avenue de Strasbourg, propriété des Soeurs de la Doctrine chrétienne.
Cet édifice religieux ne doit pas être confondu avec la chapelle de l'ancienne maison de la Doctrine chrétienne située rue Saint-Dizier à Nancy.
Cette chapelle est superbement entretenue par les religieuses et est toujours consacrée au culte ; une messe y est célébrée quotidiennement.
Elle possède un intéressant chemin de croix, une belle statuaire (saint Antoine de Padoue, sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, saint Joseph, Notre-Dame de Lourdes, saint Pierre Fourier, Sacré-Coeur...) ainsi que de beaux vitraux de la maison nancéienne Janin.
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Nancy : pèlerinage du Saint Clou de Toul le 19 mars 2016
Vitrail représentant saint Gérard portant la relique du Saint Clou, cathédrale de Toul.
Pèlerinage du Saint Clou de Toul avec les fidèles de la chapelle du Sacré-Coeur de Nancy samedi 19 mars 2016.
Programme de la journée :
- 7h45 : messe à la chapelle du Sacré-Coeur, rue Oudinot à Nancy
- 8h45 : petit déjeuner
- 9h30 : départ en bus de la chapelle
- 10h00 : départ du pèlerinage vers Toul
- 16h00 : rassemblement à Gondreville
- 17h00 : arrivée à Toul
- 17h30 : vénération de la relique du Saint Clou en la cathédrale Saint-Etienne de Toul
- 19h15 : retour en bus vers Nancy>> Participation : 8 € (petit déjeuner + bus)
>> Inscription obligatoire au 06 23 46 75 83 ou pelerinage.toul@gmx.fr -
Art-sur-Meurthe (88) : vers la restauration de la chapelle de la Chartreuse ?
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Hennezel (88) : expo' "L'enfance de jadis dans l'oeil du photographe"
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