[Vosges Matin]
La vie en Saône Lorraine - Page 29
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Abbaye Saint-Maur de Bleurville : "Les faïenceries vosgiennes au XVIIIe siècle"
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Vif succès de la fête Renaissance de Chatillon-sur-Saône
[Vosges Matin]
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Regnévelle (Vosges) : la paroisse rend hommage au Père Olric de Bouvier
A l'occasion de la fête patronale de saint Roch, la paroisse de Regnévelle, située dans le canton de Monthureux-sur-Saône, aux confins des Vosges et de la Haute-Saône, s'est souvenue de l'un de ses illustres enfants : le Père Olric de Bouvier.
A l'issue de la messe dominicale, une plaque, réalisée en grès reconstitué par Henri Côme, de Darney, a été bénie par l'abbé Clément Ayéméné, curé de la paroisse Notre-Dame de la Saône, à la mémoire du Père Olric de Bouvier, moine bénédictin à l'abbaye d'En Calcat, dans le Tarn.
André Poissonnier, au nom des paroissiens, a retracé brièvement la biographie du Père de Bouvier. Né le 15 octobre 1927 à Metz, Olric de Bouvier arrive très jeune avec ses parents qui s'installent, pour des raisons professionnelles, au hameau des Essarts, dépendant de la commune de Regnévelle. Après des études au lycée de Mirecourt, il entre à l'abbaye bénédictine d'En Calcat où il est ordonné prêtre le 4 juin 1955. Il célébrera sa première messe en l'église de Regnévelle en juillet suivant. Au sein de l'abbaye, le Père de Bouvier occupera plusieurs fonctions : il assure notamment la prédication de retraites et remplit la fonction liturgique de cérémoniaire. Après le concile Vatican II, le père abbé l'enverra en mission au Togo et en Côte d'Ivoire. Cependant, des ennuis de santé l'obligeront à rentrer à En Calcat où il se mettra au service des paroisses des environs.
Le Père Olric de Bouvier est décédé à l'abbaye d'En Calcat le 27 mai 2009. Il est inhumé dans le cimetière des bénédictins.
Un membre de sa famille a rappelé que le village de Regnévelle et ses curés avaient formé spirituellement le Père Olric. Sa vocation monastique est peut-être venue lorsqu'il entendait son père chanter lors des messes à l'église paroissiale... Olric de Bouvier aimait particulièrement son village d'adoption : jeune, il appréciait participer aux fêtes du village où il savait s'amuser et danser avec les autres jeunes gens.
La plaque apposée désormais dans l'église de Regnévelle, à côté de celle du RP Noble dominicain originaire également de la paroisse, est en quelque sorte un jumelage spirituel entre Regnévelle et l'abbaye d'En Calcat. Pour que le souvenir du Père Olric demeure et soit fécond auprès des futures générations de catholiques vosgiens.
[clichés H&PB]
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Châtillon-sur-Saône : histoires salées pour le Musée vivant
[Vosges Matin]
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Monthureux-sur-Saône : dernières représentations de "La fleur du destin"
[Vosges Matin]
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Réédition du livre sur le verrier Lorrain François-Théodore Legras
Il y a presque dix ans, paraissait l’étude inédite sur Legras, celui qui fut « un maître du verre gravé, émaillé et peint, reconnu tant dans la région parisienne que dans une grande partie du monde », sur ce Vosgien d’origine modeste (né à Claudon, canton de Monthureux-sur-Saône) et devenu l’un des chefs d’entreprise les plus brillants de son époque.
Le livre qui va paraître, avec les mêmes auteurs, n’est ni un deuxième tome, ni une simple réédition. C’est une refonte quasi complète, avec de nouvelles photos de grande qualité, et un regard encore plus précis et rigoureux sur la production artistique associée à l’histoire des Verreries et Cristalleries de Saint-Denis et Pantin réunies.
Les auteurs, Jean-François et Marie-Françoise Michel, qui animent l’association Saône Lorraine, Jean et Dominique Vitrat, grands collectionneurs et spécialistes reconnus du maître de Saint-Denis, se trouvent épaulés par d’autres connaisseurs, comme Bernard Delemontey, conservateur du musée du verre d’Hennezel-Clairey, ou l’Unité archéologique de Saint-Denis.
Basée sur les souvenirs du célèbre verrier Heiligenstein (qui travailla à Saint-Denis dans sa jeunesse) et sur des documents familiaux, l’étude précisera les techniques de fabrication dans les ateliers des usines Legras. Mais le livre fera également le point sur les liquoristes de la Belle Epoque, clients de Legras, et dont certains existent encore. Il éclairera aussi les sombres conditions de travail d’une partie du personnel : les gamins espagnols, les réseaux de l’abbé Santol, les accidents du travail du verre.
Ni polémique, ni angélique, le livre sera aussi un récit de la vie ouvrière à La Plaine-Saint-Denis.
‡ Plus d’infos ici : www.legras2-lelivre.fr
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Monthureux : « La Fleur du Destin », comédie opérette fantaisie et farfelue
« La fleur du destin » qui se joue cette année à Monthureux-sur-Saône fait la part belle au textile, fleuron de l’industrie locale au XIXe siècle. « L’association l’Odyssée a souhaité évoquer cette part de notre histoire » souligne Catherine Flieller, l’actuelle présidente. La pièce, réalisée par les membres de l’atelier écriture et mise en scène par Clair Arthur se déroule donc dans l’ancienne filature de Monthureux « La filature de la Perche » qui en 1851 a brûlé. Rachetée par une riche famille venue d’Alsace, les Kiener, elle sert de décor à une histoire d’amour et à plusieurs rencontres.
Le spectacle débute sur l’incendie et l’arrivée du couple Kiener, alsaciens pure souche suscitant quelques jalousies dans le village. À partir de ce fait, une fiction a été inventée mettant en scène une jeune ouvrière Adèle Poinselot (la jeune Laura Lherbet). Cette dernière a eu un enfant naturel avec le notaire qui l’a laissé tomber. Désespérée, elle décide de mettre fin à ses jours. Elle dépose donc le bébé devant la maison des Kiener, espérant qu’ils lui offrent un « meilleur » destin avant de se jeter à la rivière.
Le sort va en décider autrement. Car ce soir-là, trois brigands, Fouillard, la Gauffre et Bernique en plein cambriolage, découvrent le bambin. Voulant lui épargner un destin de « patron », ils déposent le chérubin devant la porte du poivrot du village, Le Savonneux…
Une trame savoureuse à souhait qui permet d’inventer diverses péripéties. Et d’emmener le spectateur dans un univers plein de drôlerie et de scènes cocasses. « Nous avons imaginé une foule de rôles car il faut faire participer un maximum de gens » note le metteur en scène qui s’est visiblement beaucoup amusé. Sans oublier les figurants puisqu’au final, 150 personnes se croisent sur la scène répartie en plusieurs niveaux dans les jardins de l’ancien presbytère.
Cette astuce permet ainsi de voir évoluer les personnages en même temps dans différents endroits. Tout en haut, à l’étage, on pénètre dans l’univers des patrons qui tâtent la politique. Les ouvriers sont cantonnés comme dans l’échelle sociale, au bas niveau et évoluent dans un joli décor au côté rétro’. À aucun moment, on devine que l’on est face à des amateurs si l’on n’est pas averti.
Pour preuve, une trentaine d’entre eux a été dotée de micro HF et distille leur texte en direct dans un décor soigné et plein de charme. Les costumes, confectionnés par l’atelier couture de l’association ont été fait sur-mesure et l’on en prend plein les yeux. Sans oublier les oreilles lorsque Lulu la Chance, chanteuse du Moulin Rouge fait un passage à Monthureux. Un chouette et enthousiasmant moment musical et lyrique qui donne envie de reprendre en chœur les airs de ce cabaret entraînant.
On ne dévoilera pas les différents rebondissements mais on peut dire que ce spectacle vivant est plein de drôlerie et de fantaisie. Clair Arthur y a apporté sa touche humoristique, fantaisiste et une grande part de poésie en même temps. Les surprises sont au rendez-vous. Et pas toujours là où on les attend. Il suffit de lever les yeux au bon moment et de savoir se laisser porter par cette fresque burlesque qui se laisse apprécier.
Zoom sur les « artistes »
Malou fume sa Gitane tranquilou. La énième de la journée. Il pleut des trombes sur les gradins et le décor installés dans le jardin du presbytère de Monthureux en ce samedi grisouille. Mais les comédiens bénévoles sont pour la plupart au rendez-vous. Sa sœur Marcelle elle, révise son texte avec un stress plus marqué. Et l’envie furieuse de s’éclipser pour se concentrer. Pourtant ce duo complice et inséparable fait les belles heures des spectacles et des répètes de l’Odyssée depuis sa création en 1997. Et de « La Fleur du destin » créé l’an dernier et rejoué cette année à Monthureux-sur-Saône. Les deux coquettes dépassent à elles deux plus du cent cinquantenaire mais impossible de leur faire avouer leur âge. Alors que Claude Guillaumont, alias Fouillard, affiche ses 80 printemps avec fierté et 7 années de présence à l’Odyssée.
Tout juste sait-on que ces deux Parisiennes exilées par un hasard familial pour leur retraite à Martinvelle ont longtemps travaillé dans la comptabilité avant de s’impliquer dans le monde associatif vosgien. Plus particulièrement dans le théâtre qu’elles apprécient. « Nous avons connu tous les grands du TNP (Théâtre national populaire) et de la troupe de Jean Vilar. Alors pensez donc, si on adore ça jouer ! » s’amusent-elles. Marcelle endosse cette année le rôle de Mme Kiener, la patronne du textile. Sa sœur Malou joue l’une des lavandières « Radio gamelle vous savez » glisse-t-elle avec malice.
Les deux femmes, que l’équipe surnomme affectueusement "les demoiselles de Monthureux", ont écumé tous les spectacles de l’Odyssée avec une gourmandise, une énergie et une espièglerie sans faille. À faire pâlir les plus jeunots d’entre eux. « Nous avons trouvé ici une ambiance du tonnerre et chaque année c’est différent. Toute l’équipe est sympa. Ça nous a permis de rencontrer du monde car ici, en campagne, pas simple. »
À une journée de l’avant-première, les répétitions s’accélèrent et le metteur en scène Clair Arthur veille à ce que tout soit au point. Il manque pourtant toujours un comédien à l’appel. « Ce sont des bénévoles, ce n’est pas simple. Ils ont déjà le mérite d’être là » s’excuse-t-il en tentant d’avoir un petit mot pour chacun, alors que le stress gagne les acteurs. Son assistant Manu n’est jamais très loin pour l’aider dans sa tâche de chef d’orchestre d’une troupe hors norme. Sylvie Boulian elle, a rejoint l’équipe l’an dernier. Ce professeur de français est installé à Saint-Pétersbourg. Une aubaine pour Clair Arthur qui a inclus cette chanteuse lyrique dans son spectacle avec d’autres chanteuses, et la fanfare locale. Sylvie y incarne Lulu la Chance, une star de cabaret qui a été la maîtresse d’Offenbach. Ces scènes chantées sont un réel atout pour le spectacle. Notre chanteuse monthurolaise, qui a étudié à Nancy et donne aujourd’hui des cours de phonétique aux chanteurs russes, y pousse la chansonnette avec brio. Évoluant par ailleurs dans un orchestre de chambre, sa pratique de la musique a été fort précieuse à l’équipe technique pour la partie musicale du spectacle.
Son savoir-faire a été vite repéré et utilisé à plusieurs fins. Dont celle de former au chant la jeune Laura Lherbet, 20 ans. Elle débute dans la troupe avec son papa Eric, pour jouer Adèle Poincelot, une ouvrière textile qui a un enfant naturel avec le notaire du village. L’étudiante est aux anges de faire ses premiers pas sur scène et en chanson. Son père lui ne s’y attendait pas mais prend goût à cette aventure humaine. La pluie fait une pause, tout le monde se précipite sur la scène. Exit les blagues et les papotages. On range les antisèches. « Le spectacle reprend ! » lance le technicien…
La compagnie L’Odyssée en chiffres
Créée en 1997 sur le territoire de la Saône vosgienne, la Compagnie l’Odyssée mène, depuis de 12 ans, une mission très ambitieuse dans le domaine social et culturel. Plusieurs spectacles à son actif :
- 1998-1999 : « Godoncourt 1636 » à Godoncourt
- 2000 : « Une aventure industrielle » à Martinvelle
- 2001 : « De la terre à l’usine » à Martinvelle
- 2002-2003 : « Il était une fois Droiteval » à Claudon
- 2004-2005-2006 : « Malédiction et Révolution, le secret des Cordeliers » à Les Thons
- 2007-2008 : « La Lune écarlate » à Bleurville
- 2009 : « La Forêt aux Sortilèges » à Droiteval
- 2010-2011 : « La Fleur du Destin » à Monthureux-sur-Saône.
Infos pratiques
« La Fleur du Destin » : spectacle son et lumière, 150 acteurs et figurants sur scène.
À ciel ouvert, ce grand théâtre se joue sur le site magnifique des jardins du presbytère. Accompagnés d’une création musicale inédite, les 150 acteurs et figurants se produiront dans un décor très réaliste à quelques mètres du public.
Lieu : Jardins du Presbytère de Monthureux-sur-Saône
Dates : 29, 30, 31 juillet et 4, 5, 6 et 7 août 2011
Horaire : 21 h 30
Tarifs : de 12,70 à 19 euros.
[Vosges Matin | 27.07.2011]
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Morimond (Haute-Marne) : les enseignements du chantier archéologique 2011
La campagne de fouilles menée sur le site de l’ancienne abbaye cistercienne de Morimond (Haute-Marne) n’a certes duré que deux semaines, mais a permis d’être conclusif sur les objectifs prévus.
Il s’agissait tout d’abord d’achever les dernières observations des trois années de fouilles programmées afin d’établir le rapport définitif. Elles ont permis de découvrir sous la forge et les écuries connues par la documentation, un bâtiment qui était voûté d'ogives et qui fut interprété comme l'hospice d'accueil (hôpital ou bâtiment des hôtes pour loger les visiteurs, les voyageurs de passage ou les pèlerins hors l'enceinte du monastère).
Par ailleurs, il convenait de préparer la future campagne de fouilles programmées sur trois ans - dans la mesure où elle sera autorisée - destinée à poursuivre la mise au jour des structures enfouies qui complètent le bâtiment, et peut être révéler les traces de l'implantation d'origine des premiers religieux du XIe siècle.
Enfin, il s'agissait de réfléchir aux moyens à mettre en oeuvre afin de préserver les structures désormais visibles et de les intégrer dans un espace paysager ouvert au public, agrémenté de panneaux pédagogiques.
Deux archéologues médiévistes lorrains, Cédric Moulis et Jean-François Proquin - auxquels s'étaient joints des bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville - participaient à ce chantier de fouilles de l’été 2011 placé sous la responsabilité scientifique de Benoît Rouzeau, de l’université de Paris-1.
[Informations aimablement communiquées par Gilou Salvini, président du Cercle d’études locales de Contrexéville]
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Au Musée de l'Image d'Epinal : exposition "Mondes à l'envers | Patrick Neu | Connivence 2"
Du 18 juin au 2 novembre 2011 au Musée de l'Image à Epinal.
Dans ce deuxième volet de la série Connivence initiée en 2010, le Musée de l’Image a choisi de mettre en lumière les images des Mondes à l’envers et les œuvres de l’artiste Patrick Neu.
De ces deux sujets, qui pourraient sembler éloignés, le musée crée une rencontre, suscite le regard d’un artiste contemporain sur des images anciennes et sur un thème étonnant né au 16e siècle… En connivence.Les images du Monde à l'envers
Les maisons éclairent le soleil et la lune,
Le cheval monte l’homme,
L’ours fait danser son maître…Dans les images des Mondes à l’envers, tout est possible… Mais un instant seulement, et pour mieux revenir à la normalité ensuite. En effet, le climat du 19e siècle est un climat de contraintes : l’État, quels que soient ses représentants, ou encore l’Église, édictent chaque jour des règles visant à limiter le « libre-agir » des citoyens. Comme le Carnaval, le thème des mondes renversés apparaît alors aux imagiers et aux artistes comme un moyen de publier des images « folles », une manière pour les pouvoirs en place de tolérer temporairement le désordre, la transgression des règles.
‡ Consultez le dossier de presse ici : Mondes à l'envers_2011.pdf
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En Saône Lorraine : Fête de l'Ourche le 14 août 2011
C'est devenue une institution en Saône Lorraine : le rallye découverte de la vallée de l'Ourche organisé par l'association Droiteval-Ourche-Patrimoine aura lieu le 14 août.
Véritable promenade découverte originale de la vallée de l'Ourche, le rallye pédestre consistera en une boucle d'environ 8 km, accessible à tous, avec des énigmes, des épreuves ludiques, des jeux...
Il partira cette année de La Hutte, hameau situé sur la commune de Hennezel, au cœur de la vallée de l'Ourche.
‡ Rendez-vous le dimanche 14 août 2011 pour un départ entre 9h00 et 10h30 au hameau de La Hutte. Inscription 3 euros - gratuit jusqu'à 12 ans.
‡ Possibilité de repas bûcheron après le rallye, en pleine nature, sur réservation uniquement : adultes 7 € - enfants 5 € (boissons non comprises).
‡ Pour toutes informations complémentaires et réservation repas, contact par téléphone au 03.29.09.91.05 ou au 06.72.05.10.66 ou par mail : droiteval-ourche-patrimoine@orange.fr‡ Consultez le programme ici : Fête de l'Ourche_14 août 2011.pdf
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Dimanche 31 juillet à Marey (Vosges) : les Gaulois sont dans la plaine
Groupe des Mediomatrici.
Dimanche 31 juillet à Marey (sud-ouest des Vosges, entre Martigny-les-Bains et Contrexéville) à partir de 12h00, sur l'ancienne voie romaine au lieu-dit "Haut-de-Salin", grande fête gauloise organisée par l'association du Juminel.
Nombreuses animations : reconstitutions historiques avec le groupe des Mediomatrici, démonstration d'une moisonneuse gauloise, groupe celte, tissage gaulois par le Centre de la préhistoire de Darney, présentation des résultats de fouilles archéologiques par le Cercle d'études locales de Contrexéville, activités ludiques pour enfants, restauration sur place...
‡ Plus d'images ici : Fête gauloise_Marey.pdf
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Châtillon-sur-Saône : grand Musée vivant Renaissance le 7 aôut
Point d'orgue de la saison touristique à Châtillon-sur-Saône, cité Renaissance du Sud-Ouest vosgien, le grand Musée vivant du dimanche 7 août s'organisera autour de l'histoire du sel et de ses légendes.
La Renaissance sera présente tout au long de la journée : le déjeuner (avec cochon à la broche et repas rustique) sera animé par les comédiens costumés de l'association Saône Lorraine. Saynètes, fabliaux, musiques et danses égayeront l'assistance.
Le groupe Arthus Mains et Merveilles présentera un spectacle sur le sel dans la grande tradition des animations de rue. L'histoire du sel s'articulera autour des légendes liées à sa naissance, sa découverte, les routes du sel, la gabelle, les faux saulniers, les révoltes populaires et leurs icônes.
‡ Renseignements au 03.29.07.91.78 ou nathaliebonneret@orange.fr
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Abbaye de Morimond (Haute-Marne) : 24 juillet après-midi, "porte ouverte" sur les fouilles archéologiques
Ce dimanche 24 juillet après-midi, Benoît Rouzeau, responsable des fouilles, présentera au public le résultat des travaux archéologiques menés durant deux semaines sur le site de l'abbaye cistercienne de Morimond, avec le concours des archéologues bénévoles du Cercle d'études locales de Contrexéville.
Les premières révélations éclairent d'un jour nouveau l'organisation de l'habitat d'origine des premiers religieux.
[info : courtoisie de Gilou Salvini]
‡ Dimanche 24 juillet 2011, après-midi porte ouverte sur le chantier archéologique de l'abbaye de Morimond (Haute-Marne). Accès libre.
‡ Quelques images ici : fouilles_morimond_2011.pdf
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : grande fête Renaissance le 7 août
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"Les racines du bien", premier roman historique du Vosgien Roger Poinsot
Quelle famille pourrait supporter, aujourd'hui, la misère et la famine qui ruinaient la Lorraine de nos aïeuls ? Cette époque, celle du XVIIe siècle, n'est pas si lointaine. Remontez votre propre passé de quelques « grand-pères » et vous retrouverez cet homme tenaillé par la faim, la peur du loup, celle du diable.
Dans cette période, celle de la guerre de Trente Ans, Roger Poinsot a voulu se placer dans la peau de l'un d'entre eux, Hyacinthe, le grand-père à nous tous.
Suivez ce jeune homme dans son parcours vers le petit village du duché de Lorraine, à la frontière du royaume de France : Marey. Il prend la décision de partir de cette belle cité fortifiée de La Mothe, en pleine destruction. C'est le début des rencontres avec les brigands, les villages rasés et surtout l'obscurantisme.
Pensez qu'en 1645, manger ce qui pousse sous terre, c'est manger le diable... Hyacinthe, ce grand-père qui pourrait être le vôtre, l'a fait.
L'auteur, Roger Poinsot, est professeur en génie mécanique à la retraite. Passionné d'histoire, il sillonne la région, prospecte et effectue ses premières fouilles avec le Cercle d'études locales de Contrexéville. Plongé dans les archives des Vosges depuis 2004, il s'imprègne du quotidien des Lorrains des XVIIe et XVIIIe siècles dont il aime dépeindre la vie simple. Son premier roman en est une illustration. En même temps, depuis 2002, il expose sa peinture fondée sur le passé de la paysannerie ; il obtient, en 2010, le 1er prix du public de la commune vosgienne de Circourt-sur-Mouzon.
Les racines du bien, roman de 190 pages, est illustré de dessins et tableaux peints par l'auteur. L'ouvrage est publié par les Editions des Lutins.
‡ Souscription pour Les racines du bien ouverte jusqu'au 18 septembre 2011. Pour commander l'ouvrage, imprimez ou recopiez le bon de souscription ici : souscription_les racines du bien.pdf
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Hennezel : à la découverte de la verrerie de Clairefontaine
[Vosges Matin]
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Marey (Vosges) : Fête Gauloise le 31 juillet
Des Gaulois et leur moissonneuse en pleine action [cliché ©Ass. Le Juminel]
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Lignéville (Vosges) : au chevet de la chapelle Saint-Basle
[Vosges Matin]
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L'été avec Droiteval Ourche Patrimoine
Le sud-ouest vosgien ne manque pas d'attrait. De nombreuses associations patrimoniales et culturelles travaillent à faire connaître ce pays coincé entre Lorraine et Franche-Comté. Droiteval Ourche Patrimoine (DOP) veille tout particulièrement à la valorisation de l'enchanteresse vallée de l'Ourche, entre Droiteval et Clairey.
Cet été devrait voir la mise en place d'une signalétique appropriée sur les sites qui ont marqué l'histoire de la vallée : anciennes verreries, forges et sites religieux et naturels.
L'association organise par ailleurs un rallye pédestre le dimanche 14 août au départ du hameau de La Hutte, sur la commune d'Hennezel.
Les 24 juillet et 6 août après-midi, visites guidées gratuites en attelage équestre au départ du musée de Hennezel-Clairey : les visiteurs promeneurs pourront ainsi faire connaissance d'une manière originale avec la diversité des sites historiques et naturels de la vallée de l'Ourche.
‡ Pour tout renseignement complémentaire contactez le 03.29.09.91.05 ou droiteval-ourche-patrimoine@orange.fr
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : le buste de Monchablon bientôt de retour au pays
[Vosges Matin]
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Week-end d'animations en Saône Lorraine
A Bleurville, les 9 & 10 juillet fête patronale de Saint Pierre-aux-Liens
A Châtillon-sur-Saône, samedi 9 juillet Musée vivant nocturne
Dans la vallée de l'Ourche, entre Hennezel et Droiteval, dimanche 10 juillet "Raconte-moi la vallée de l'Ourche"
Dimanche 10 juillet visite guidée de la vallée de l'Ourche en attelage équestre organisées par l'association Droiteval Ourche Patrimoine en partenariat avec le Pays d'Epinal Coeur des Vosges.
Rendez-vous au musée de Hennezel-Clairey à 15h00 pour une balade en calèche avec découverte de la vallée de l'Ourche, de ses anciennes verreries, des forges et de son abbaye cistercienne.
Réservation obligatoire au 03.29.07.57.84.
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Saône vosgienne : les Journées du Patrimoine se préparent
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : Musée vivant nocturne le 9 juillet
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Châtillon-sur-Saône : Catherine Caquel expose au Grenier à Sel
Le Grenier à Sel de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône accueille jusque fin juillet une exposition des oeuvres picturales de Catherine Caquel. Etonnantes.
Dans son propos liminaire, le président de Saône Lorraine, Jean-François Michel, exprimait son plaisir d'accueillir pour la deuxième fois sur les cimaises du Grenier à Sel les peintures de la monthurolaise Catherine Caquel. En effet, Catherine reste une monthurolaise de coeur même si, aujourd'hui, elle vit et travaille dans la région nancéienne. Depuis sa prime jeunesse, Catherine peint pour son plaisir et pour celui de ses proches. Mais pas seulement puisqu'elle expose régulièrement dans les salons des environs de Nancy.
Comment définir sa peinture ? C'est une peinture résolument moderne et contemporaine associant plusieurs matériaux : toile, papier, végétaux... Mais ce qui caractérise sûrement la peinture de Catherine c'est sa luminosité qui donne au ciel lorrain un air... méditerranéen. Sont-ce des réminiscences de sa naissance, dans le sud de la Lorraine, attiré qu'il est par les rivages méditerranéens vers lesquelles roule la Saône, la fiancée du Rhône ?
Trêve de rêveries. Les tableaux de Catherine Caquel sont avant tout un hymne à la nature. Et à la nature de notre Saône Lorraine, puisque le visiteur appréciera tout particulièrement les paysages des environs de Monthureux ou de Bleurville, mais aussi de la vallée de la Saône vosgienne... Les tons chauds, lumineux, couleurs de feu, donnent un éclat particulier à ces paysages. Un vrai grand talent !
A voir au Grenier à Sel jusqu'au 31 juillet.
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Monthureux-sur-Saône : inauguration du Musée du Patrimoine local
Ce samedi 2 juillet, le petit monde de la culture de la Saône Lorraine inaugurait le nouveau musée du Patrimoine local installé dans l'ancien presbytère.
Marie-Madeleine Boulian, la cheville ouvrière de cette opération, guidait ses invités dans les salles rénovées de l'ancien presbytère reconstruit par la famille du curé Gantois au début des années 1730. Ce conservatoire du patrimoine local rassemble tous les objets de la vie quotidienne et des métiers de nos ancêtres. Les collections sont sympathiquement mise en valeur dans les vastes pièces de l'ancienne demeure curiale, en particulier la reconstitution d'une chambre à coucher avec le nécessaire de toilette... et son vase de nuit !
Le musée du Patrimoine local de Monthureux fut fondé dans les années 1970 avec le soutien du docteur Cayotte, alors maire de la localité et conseiller général, de Serge Beltrame, alors maire de Contrexéville et député des Vosges, des époux Michel, actifs animateurs de l'association Saône Lorraine, de M. Poirier, un monthurolais attaché à la sauvegarde du patrimoine de nos aïeux, ainsi que de nombreux donateurs du secteur. Le musée était alors installé dans le lavoir de la rue des Halles. Mais ce local était devenu trop exigu et, surtout, était régulièrement envahi par les caprices de la Saône toute proche...
"Pour bâtir l'avenir, les générations doivent s'appuyer sur leur passé" rappelait Marie-Madeleine Boulian. Les animateurs du musée local se font fort d'appliquer ce principe de vie en poursuivant l'aménagement des salles d'exposition dont les vitrines proviennent du musée départemental d'Epinal.
Une nouvelle vie désormais pour le vieux presbytère... Même si l'on peut regretter qu'il ne réponde plus à son usage premier : celui d'accueillir le curé de la paroisse.
Quelques images de l'inauguration...
[clichés © H&PB]
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Bleurville : vif succès de la marche populaire
[Vosges Matin]
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L'Amérique du Sud à l'abbaye Saint-Maur de Bleurville
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Bleurville : entre Barrois mouvant et Lorraine, un village à la riche histoire
[Vosges Matin]
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Des visites insolites au Pays d'Epinal Coeur des Vosges
[Vosges Matin]
‡ Découvrez le site des Merveilleuses & Insolites du Pays d'Epinal Coeur des Vosges : http://www.lesmerveilleusesetinsolites.com
‡ Découvrez la brochures des visites estivales proposées par le Pays d'Epinal Coeur des Vosges : Merveilleuses et Insolites_été 2011.pdf
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Bleurville : concert de l'ensemble Molto Vivo le 3 juillet à l'abbaye Saint-Maur