Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Edvard Benes, un drame entre Hitler et Staline

    benes.jpgEdvard Beneš (1884-1948) est une figure majeure de l'histoire tchèque. Ministre des Affaires étrangères pendant 17 ans puis deuxième président de la République tchécoslovaque, il a joué un rôle capital pour avoir été confronté à trois grandes expériences historiques : la fin des empires en 1818, la confrontation avec le monde hitlérien et la division de l'Europe en deux avec le passage de sa moitié orientale sous la tutelle communiste. En résumé, sa vi incarne la tragédie européenne du XXe siècle.

    Si Beneš a été l'objet de très nombreux travaux en Pays tchèques, c'est qu'il est au cœur d'interrogations et de polémiques centrales pour les identités nationale et étatique. Au niveau européen, son nom est lié à la fin de l'Empire austro-hongrois auquel il était un opposant farouche, à la Conférence de la paix de la région parisienne, à la politique de l'entre-deux-guerres. Il est aussi en relation avec le système international de l'époque, qu'il s'agisse des relations bilatérales avec la France, de la sécurité collective ou des grands événements qui ont marqué cette période. Ce sont surtout les accords de Munich de septembre 1938 qui sont associés à son nom, comme victime de l'abandon des puissances occidentales, et le basculement de son pays lors du "coup de Prague" de février 1948.

    N'ayant fait l'objet d'aucune biographie en France, l'auteur s'est attaché à croiser les archives françaises, tchèques et slovaques ainsi que les centaines d'ouvrages parus sur cette personnalité controversée pour en dresser un portrait juste.

    Pour nous Lorrains, si Beneš est surtout l'opposant radical à la dynastie Habsbourg-Lorraine qui règne sur l'empire austro-hongrois, il fut aussi présent sur notre territoire puisqu'il se rendit à Darney, dans le sud-ouest vosgien, en 1918, lieu où stationnaient des troupes tchèques et slovaques et où fut proclamé la création de l'Etat tchécoslovaque.

     

    ‡ Edvard Beneš. Un drame entre Hitler et Staline, Antoine Marès, éditions Perrin, 2015, 506 p., ill. (26 €).

  • Fête de saint Maur, patron secondaire de Bleurville

    Depuis des temps immémoriaux, la paroisse de Bleurville fête chaque 15 janvier, comme patron secondaire, le saint patron de l'abbatiale bénédictine fondée au village dans le deuxième quart du XIe siècle : saint Maur, disciple de saint Benoît (un doute subsiste cependant sur la véritable identité du saint : il pourrait aussi s'agir de saint Maur, deuxième évêque de Verdun, entre 356 et 383).

    Notre saint, auquel est dédié un autel latéral dans l'église paroissiale, fut fêté avec solennité jusque dans les années 1990 puis, avec le départ du dernier curé résident et la raréfaction des prêtres disponibles, la commémoration de la "Saint Maur" fut abandonnée...

    Peut-on espérer revivre un jour cette fête qui était également suivie de réjouissances plus profanes avec repas de famille et bal populaire.

     

    Bleurville_autel st-maur 2014 01.JPG

    Autel de Saint Maur, église paroissiale, Bleurville.

     

    Os iusti meditábitur sapiéntiam, et lingua eius loquétur iudícium : lex Dei eius in corde ipsíus.

    Noli æmulári in malignántibus : neque zeláveris faciéntes iniquitátem.  

    [introït de la messe du commun des abbés Os iusti]

    La bouche du juste méditera la sagesse et sa langue proférera l’équité ; la loi de son Dieu est dans son cœur.

    Ne porte pas envie au méchant et ne sois pas jaloux de ceux qui commettent l’iniquité.

     

    Bleurville_autel st-maur 2014 04.JPG

     

       

    Intercéssio nos, quǽsumus, Dómine, beáti Mauris Abbátis comméndet : ut, quod nostris méritis non valémus, eius patrocínio assequámur. Per Dóminum nostrum.

    [collecte de la messe du commun des abbés Os iusti]

    Que l’intercession du bienheureux Abbé Maur, nous recommande, s’il vous plaît, auprès de vous, Seigneur, afin que nous obtenions, par son patronage, ce que nous ne pouvons attendre de nos mérites.

       

     

  • Les métiers oubliés de Niderviller et des environs

    niderviller.jpg

  • Bleurville (88) : des projets malgré un contexte difficile

    La municipalité accueillait récemment les habitants du village pour la traditionnelle cérémonie des vœux. Des projets à l'ordre du jour malgré les difficultés économiques.

    vosges,bleurville,denis bisval,maire,alain roussel,conseiller général,voeuxUne minute de silence a tout d'abord été respectée à la mémoire de toutes les victimes des récents attentats perpétrés à Paris. Le maire, Denis Bisval, entouré de son conseil municipal, a salué la présence d'Alain Roussel, conseiller général du canton et président de la communauté de communes, de Maurice Hatier, maire de Nonville, des représentants de la gendarmerie de Monthureux-sur-Saône ainsi que des responsables des différentes associations locales dont il a salué le travail d'animation réalisé tout au long de l'année. Denis Bisval a paticulièrement souligné le dynamisme des entreprises industrielles et artisanales du village ; il s'agit là d'un véritable atout de développement qui doit contribuer à renforcer la démographie de Bleurville. Sur ce plan, le maire a déploré la baisse de la population avec pour conséquence directe la fermeture d'une classe en 2014...

    La nouvelle municipalité élue en mars dernier a poursuivi les travaux engagés sous la mandature d'André Granget : l'entretien des voies communales, l’aménagement de l'atelier municipal, l'installation d'une rampe d’accessibilité de l’école maternelle ; la pose d’un nouveau paratonnerre et le remplacement des moteurs et battants des cloches de l'église paroissiale. Et, dans un trait d'humour, Denis Bisval a souhaité qu'aucun grincheux ne demande la suppression des sonneries de cloches, car c'est une tradition qui ne souffrira d'aucune remise en cause ! Enfin, il a rappelé la création, à l'entrée du village, d'un chenal permettant d'éviter les inondations du quartier situé entre le ruisseau du Gras et celui des Ailes.

    Malgré la baisse des recettes fiscales, des subventions et des dotations de l'Etat, Bleurville va connaître courant 2015 quelques travaux d'aménagement et d'amélioration du confort des administrés : la desserte forestière du Neufmont sera achevée au printemps, la réparation des routes communales et forestières se poursuivra – Bleurville possède 20 km de voies à entretenir ! -, la salle du club Joyeux villageois, sous l’ancienne mairie, sera remise en état afin d'accueillir les rencontres des retraités et les réunions d’associations. « Le projet de schéma d’assainissement collectif a été adopté », a précisé le maire. « Il s’agit là d’un projet ambitieux. Dans quelques jours, je réunirai les personnes compétentes pour étudier et approfondir les coûts, définir les aides aux financements. Ce sera long, et nous tous devrons participer financièrement en premier lieu par l’augmentation du coût du m3 d’eau. » Au printemps, ERDF procédera au renforcement du réseau électrique dans le quartier de Belle-Perche avec des travaux d'enfouissement. Alain Roussel a également rassuré les Bleurvillois en annonçant l'arrivée prochaine du très haut débit pour les utilisateurs d'internet. Enfin, la carrière de granit de Noirmont sera relouée à deux entreprises candidates.

    Le conseiller général a souligné brièvement toutes les actions engagées par le Conseil général des Vosges et la Codecom en faveur du dynamisme du bourg centre et des communes du canton, notamment avec la création de la maison de santé. Plus que jamais, il faut que de jeunes actifs s'installent dans nos villages et y développent leurs talents pour que nos villages demeurent attractifs et dynamiques.

    Après l'échange des traditionnels souhaits, les participants ont partagé le verre de l'amitié dans une ambiance sympathique et une coupe de fleurs a été remise au seul couple venu s'installer à Bleurville en 2014. On les espère plus nombreux en 2015 !...

    [cliché : courtoisie de M. Bisval]

     

  • Val-et-Châtillon (54) : retour sur la vie de la commune en 2014

    VAL_ET_CHATILLON-54.jpg

    La commune de Val-et-Châtillon nous informe de la parution du bulletin municipal 2014.

    C'est avec plaisir que nous le proposons à la lecture de nos visiteurs ; chacun se rendra compte de la richesse des activités et du dynamisme de ce bourg rural du sud-est meurthe-et-mosellan.

    Pour les personnes désirant commander un exemplaire papier, s'adresser en mairie  en envoyant ses coordonnées postales et un chèque à l’ordre du Trésor public (5 € + frais de port pour un envoi de 500 gr).

     

    On peut consulter le bulletin municipal 2014 ici b319

  • Naissance de l’archiduchesse Katarina de Habsbourg-Lorraine

    Dans notre monde de brutes et de fous, c'est avec plaisir que nous apprenons la naissance d'une petite Katarina chez l'archiduc Christophe de Habsbourg-Lorraine et l'archiduchesse Adélaïde, dont le mariage avait été célébré à Nancy le 29 décembre 2012.

    habsbourg1.jpgL’archiduc Christoph, fils de l’archiduc Carl Christian de Habsbourg-Lorraine et de la princesse Marie Astrid de Luxembourg et son épouse Adélaïde Drapé-Frische ont eu leur premier enfant le 22 décembre 2014 à Genève. La petite archiduchesse qui est le quatrième petit-enfant de Carl Christian et Marie Astrid de Habsbourg-Lorraine ainsi que le 7ème arrière-petit-enfant du grand-duc Jean de Luxembourg, a été prénommée Katarina, Marie-Christine, Fabiola.

    On notera l’hommage que l’archiduc Christoph et l’archiduchesse Adelaide ont souhaité rendre à la défunte reine de Belgique Fabiola.

    habsbourg2.jpgL’archiduchesse Katarina a été baptisée cinq jours après sa naissance à Genève. Sa marraine est l’archiduchesse Marie Christine, comtesse Rodolphe de Limburg-Stirum, sœur de l’archiduc Christoph et son parrain Galdric Drapé-Frische, frère de l’archiduchesse Adélaïde.

    Et vive notre archiduchesse, descendante de nos ducs de Lorraine !

    [clichés © 2014 Cour grand-ducale de Luxembourg]

     

     

     

  • Cher Jean, cher Georges, cher Stéphane, cher Bernard de Charlie-Hebdo

    chb.jpg« Bien que je sois prêtre et que cet état par le passé vous débectait, permettez-moi de vous appeler par vos prénoms et non par vos noms de guerre. Une façon comme une autre de me sentir votre frère. Certes, vous demeurez Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, dessinateurs de profession, crayonneurs d’idées, trublions de vie politique, insulteurs de justes et de coupables, souvent drôles et méchants sous le crayon vulgaire et obsessionnellement blasphémateur du sacré, mais à mon esprit éduqué par le Christ à dépasser les apparences, vous apparaissez plus grands que votre œuvre, plus grands que vos dessins offerts aux combats rétrécis de la terre. Seule la bonté personnelle qualifie un être et l’ennoblit jusqu’à la moelle, je le crois, et pour cela, je mourrais. Tout le reste n’appartient qu’à la petite histoire qui finit sous le dégueuloir conventionnel des hommages et des récompenses accordés entre hommes, au gré des intérêts particuliers et des partis. Bah ! que tout cela est bas !

    Aujourd’hui, préoccupé par plus haut, maintenant que la vie n’est plus un mystère pour vous puisque vous connaissez la vérité tout entière (et Dieu sait si cette connaissance doit désormais susciter en vous non plus votre humour mais votre joie), je viens vous demander un petit coup de main pour la France. Ne me le refusez pas.

    Amis, auriez-vous la gentillesse de dire un mot au créateur du monde afin qu’il continue de juger avec indulgence ses enfants d’en bas qui le rejettent ou qui prétendent le défendre en tuant leurs semblables ? Faites cela pour nous, je vous en supplie ! Que le Ciel n’abandonne pas la terre, et que les hommes comprennent enfin que travailler à la mort de Dieu dans les consciences ou tuer au nom de Dieu revient à massacrer l’homme lui-même ! Pourriez-vous aussi de vos lumières actuelles éclairer nos intelligences de manière à ce que nous empruntions les chemins par lesquels on peut enrayer les fusils les plus huilés ?

    Je vous avoue qu’une chose me surprend depuis votre entrée dans la vie éternelle : c’est la glorification unanime de la liberté d’expression que vous auriez honorée magnifiquement jusqu’à mourir pour elle ! Je dirais plus sobrement que vous avez exprimé librement ce que vous pensiez sans jamais vous préoccuper des effets collatéraux que l’expression de VOTRE vérité pouvait créer dans les esprits. C’est ainsi. Pourtant, dans les relations humaines, et en particulier dans la vie conjugale, familiale, et même amicale, nous ne lâchons pas ce que nous pensons sans exercer un certain discernement à la seule fin de ne pas blesser inutilement nos proches. Et cela devrait valoir aussi pour les lointains.

    La raison de cette retenue n’est pas à chercher bien loin, elle appartient à l’univers de l’amour qui tout simplement ne désire pas blesser. Cette retenue dans le langage, cette réserve bienveillante n’est pas une faiblesse, elle est une intelligence qui protège les liens et qui, en évitant de faire monter le sang à la tête de l’adversaire potentiel, empêche par rebond de le faire jaillir de la tête d’un autre. Cette réserve, tout homme peut la vivre, elle est vraiment à la portée de tous, sauf de l’extrémiste qui donne aux idées plein pouvoir y compris à l’irrespect qui, paraît-il, gagne la partie.

    Le président de la République n’a pas cessé ces derniers jours d’appeler le peuple français à la vigilance. Encore une idée bien abstraite !

    Que faut-il donc faire ? Rester chez soi ? Faire des provisions ? Lire le Coran ? Souscrire à un abonnement à Charlie Hebdo ? J’aurais préféré qu’il demandât humblement à tous les Français de calmer le jeu de la haine en les suppliant de ne plus blesser la conscience d’autrui au nom d’une liberté d’expression pas assez réfléchie, autrement dit, en nous invitant tous à prendre la résolution de respecter profondément les croyances qui sont chères à des millions de personnes. C’est à ce prix que la paix fera son lit.

    Chers Jean, Georges, Stéphane et Bernard, votre mort ignominieuse me fait une peine immense et je voudrais qu’elle ne soit pas inutile. Vos caricatures ne méritaient pas de vous tuer, mais elles l’ont fait. D’une certaine façon, vous avez touché de votre humour grinçant les régions les plus viscéralement haineuses de la nature humaine assoiffée de justice et de vengeance, et par là, vous avez provoqué l’avénement de la barbarie. Parce que votre nature était saine, je veux le croire, parce que vous cherchiez sans doute à votre manière le bien commun, parce que vous considériez la liberté d’expression comme un droit devant s’exprimer sans état d’âme, parce que vous étiez au fond restés des enfants qui dessinaient comme tous les enfants tout en jouant à mettre le feu, vous avez oublié la permanence de la cruauté humaine quand elle se met au service d’une cause jugée absolue. Vous avez touché à de l’intouchable, et en réponse, vous qui étiez intouchables de par votre dignité d’homme, vous avez été plus que touchés, abattus en plein cœur.

    Au-delà de toutes les décisions politiques qui seront prises, je l’espère, pour contrecarrer les actes terroristes, intercédez pour nous, chers Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, rendez-nous intelligents et respectueux des croyances d’autrui pour que la France se distingue encore par sa hauteur civilisatrice.

    Un dernier point qui me tient à coeur : si vous croisiez au Ciel les trois petits enfants qui, lors de l’affaire Merah, ont été assassinés sauvagement, embrassez-les pour moi, et partagez avec eux la gloire qui est la vôtre aujourd’hui. Eux n’ont pas eu droit à une journée de deuil national ni à une manifestation d’envergure. Mais que pouvons-nous y faire ? Ces enfants ne disposaient que de leurs prénoms, ils n’avaient pas de noms de guerre, et ils ne défendaient pas la liberté d’expression ni la cause de certains politiques ! Qu’importe ! Seule la bonté personnelle qualifie un être et l’ennoblit jusqu’à la moelle, je le crois. Pour cela, je mourrais.

    Allez, chers Cabu, Wolinski, Charb et Tignous, soyez dans la joie de Dieu, continuez votre vie, et éclairez-nous maintenant de vos clartés. »

    Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine,

    prêtre catholique, prédicateur, écrivain, compositeur et chanteur.

    [Source : Boulevard Voltaire]

  • Val-et-Châtillon (54) : pour l'acquisition d'un tableau d'Alfred Renaudin

    val et chatillon.jpg

    Val-et-Châtillon, huile sur toile, Alfred Renaudin.

     

    L'association des Amis d'Alfred Renaudin vient d'être reconnue d'utilité publique.

    Elle se propose d'acquérir un tableau du peintre représentant le bourg de Val-et-Châtillon.

    Afin de contribuer à cette acquisition, l'association vous propose le formulaire joint pour effectuer un don défiscalisable :

    Appel don acquisition tableau Renaudin.pdf

  • Tignécourt (88) : 9èmes rencontres Natur'images les 11 et 12 avril 2015

    tignecourt_2015.jpg

     

    ‡ Plus d'info sur http://naturimages.unblog.fr

  • Une association pour "le Frontstalag 120 de Mirecourt"

    frontstalag.jpg

    [Vosges Matin]

  • La Lorraine royaliste se souvient de Louis XVI et de Marie-Antoinette

    Louis-16-adieux.jpg

    Les adieux de Louis XVI à Marie-Antoinette et à ses enfants.

     

    Messe pour le repos de l’âme du roi Louis XVI

    et de la reine Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine

    Dimanche 25 janvier 2015

    à Nancy suivi d'un repas en commun.

     

    ‡ Possibilité de s'inscrire au repas en imprimant ou recopiant le formulaire ici Inscription repas Lorraine royaliste_25 janvier 2015.pdf

  • Vomécourt-sur-Madon (88) : projet de restauration de l'église

    vomécourt.jpg

    [Vosges Matin]

  • Concert de l'Epiphanie en la chapelle du Sacré-Coeur de Nancy le 11 janvier 2015

    CONCERT.jpg

  • Fête de l'Epiphanie de Notre-Seigneur Jésus-Christ

    St-Epvre_crèche 2014 02.JPG

    Crèche de la basilique Saint-Epvre de Nancy [cliché ©H&PB - 2014].


    Omnes de Saba vénient, aurum et thus deferéntes, et laudem Dómino annuntiántes.

    Surge et illumináre, Ierúsalem : quia glória Dómini super te orta est.

    Allelúia, allelúia.

    Vídimus stellam eius in Oriénte, et vénimus cum munéribus adoráre Dóminum. Allelúia.

     

    [graduel de la messe de l'Epiphanie]

     

    Tous ceux de Saba viendront, ils apporteront de l’or et de l’encens, et publieront les louanges du Seigneur.

    Lève-toi, et resplendis, Jérusalem ! Car la gloire du Seigneur s’est levée sur toi.

    Allelúia, allelúia.

    Nous avons vu son étoile à l’Orient et nous sommes venus avec des présents adorer le Seigneur. Alléluia.

  • 538ème anniversaire de la Bataille de Nancy (1477-2015)

    Fête lorrains_2015 009.JPGDepuis bientôt 40 ans, Jean-Marie Cuny et Mémoire des Lorrains invitent les Lorrains à renouer avec la fête nationale des Lorrains.

    Cette année encore, ce 5 janvier a rassemblé une belle assistance de jeunes lorrains et de moins jeunes au pied du monument de la Croix-de-Bourgogne à Nancy, lieu où fut retrouvé mort le Grand Duc d'Occident, Charles le Téméraire, au lendemain de la bataille du 5 janvier 1477.

    Jean-Marie Cuny prononça sa traditionnelle harangue devant un parterre de jeunes gens particulièrement enthousiastes.

    Lire la harangue ici : Harangue JMC 5 janvier 2015.pdf

    lorraine,nancy,fête nationale,jean marie cuny,bataille de nancy,rené II,charles le téméraireAprès avoir été chaleureusement applaudi aux cris de "Vive la Lorraine !", notre orateur céda sa place à quelques feux d'artifice qui égayèrent la place noyée dans un froid brouillard hivernal. A l'issue, les participants partagèrent joyeusement le vin chaud et le pain d'épices de Laneuvelotte.

    Il est à noter que la manifestation s'est déroulée sans incident et dans le respect de l'esprit mémoriel de cette commémoration à vocation uniquement historique.

    Fête lorrains_2015 010.JPG

    Fête lorrains_2015 004.JPG

    [clichés ©H&PB]

  • 5 janvier : fête de la nation lorraine

     

    DROUIN_ 006.JPG

    Rosace aux armes de Lorraine, chapelle des Cordeliers de Nancy, nécropole nationale des ducs et duchesses de Lorraine [cliché ©H&PB].

    Les Lorrains célèbrent ce jour la fête de la nation lorraine, traditionnellement fixée au 5 janvier en souvenir de la victoire remportée le 5 janvier 1477 par le duc René II sur Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, lors de la fameuse Bataille de Nancy.

  • Deux hameaux vosgiens anéantis durant la Grande Guerre

    Deux hameaux du Ban-de-Sapt ont été rasés par les combats de la Première Guerre mondiale. Situés sur la ligne de front, ils n'ont pas été reconstruits après l'Armistice.

    ban de sapt.jpg

    [Vosges Matin]

  • Résurrection de la chapelle Saint-Basle de Lignéville (Vosges)

    Cédée pour l'euro symbolique par le diocèse de Saint-Dié à la commune de Lignéville en 2012, l'édifice n'a pas attendu longtemps pour être l'objet d'une rénovation complète débutée en septembre 2013 et qui s'achève en ce début d'année 2015.

    lignéville1.jpgLes travaux sont d'envergure. Jugez-en : réfection des voûtes, consolidation des murs, réfection des enduits intérieurs et extérieurs, du clocheton et de l'ensemble de la couverture, mise en valeur des éléments architecturaux anciens, remplacement des huisseries, aménagements extérieurs... Leur coût global se monte à 273.000 €, montant subventionné à 41,50 % par l'État, la Région Lorraine et le Conseil général des Vosges, à laquelle il convient d'ajouter les nombreuses aides émanant d'organismes divers (la Fondation du Patrimoine notamment) et des dons de particuliers.

    Bien que non inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, la rénovation de la chapelle Saint-Basle a fait l'objet d'une attention particulière de la DRAC de Lorraine, ainsi que celle de la Fondation du patrimoine qui a ouvert une souscription. Dans le cadre de ce partenariat, les rénovations du portail et des autres boiseries ont été confiées aux jeunes apprentis du Centre de formation d'Arches.

    vosges,lignéville,chapelle saint basle,gilou salvini,cercle d'études locales de contrexéville,sra,drac,lorraine,diocèse de saint diéParallèlement à l'exécution des travaux sur l'édifice, trois opérations archéologiques ont eu lieu, autorisées par le Service régional de l'archéologie :

    - une étude du bâti effectuée par Nord-Est archéologie a révélée que l'édifice actuel était issu d'une première construction datée du XIIe siècle ;

    - un sondage partiel mené par le Cercle d'études locales de Contrexéville a mis au jour une nécropole du haut Moyen Âge, livrant trois sarcophages et 28 sépultures ;

    - un autre sondage partiel mené par la même association a mis au jour une partie de la structure d'un bâtiment d'origine gallo-romain daté du Ier siècle de notre ère.

    Traditionnellement se déroulait dans la chapelle l'office religieux du Lundi de Pâques pour la paroisse Saint-Basle de la Plaine. En 2015, la messe de ce jour sera particulièrement consacrée à l'inauguration de la chapelle rénovée en présence de Mgr Mathieu, évêque de Saint-Dié.

    [infos aimablement communiquées par Gilou Salvini]

     

    vosges,lignéville,chapelle saint basle,gilou salvini,cercle d'études locales de contrexéville,sra,drac,lorraine,diocèse de saint dié

    [Vosges Matin]

     

     

  • Italie : un musulman saccage une église en hurlant des versets coraniques

    eglise.pngHurlant en arabe des phrases du coran, un marocain a jeté à terre et gravement endommagé cinq statues d’intérêt artistique et d’autres objets religieux dans un église du Trentin.

    Le saccage a eu lieu le 1er janvier dans l’église paroissiale de Santa Maria Assunta à Cles (Trente). L'individu de 67 ans a été arrêté par la police. Agissant en quelques minutes, le marocain se servant d’une barre de fer a jeté à terre la statue de la Vierge à l’Enfant, celle de la Vierge Immaculée ainsi que celles de Notre-Dame du Rosaire, celle de Notre-Dame des Douleurs et la statue de Saint-Joseph à l’Enfant. Le vandale a également ciblé l’autel de marbre et le baptistère qu’il a brisé, ainsi que deux retables et un grand tableau de l’Assomption.

    Interpellé par la police, l’homme a été arrêté pour dommages aggravés et sera jugé par la cour de justice de Trente. Le Marocain est un résident de longue date dans la région.

    Selon la police, son geste est lié à un problème mental et non à un fanatisme religieux... Décidément, il y a beaucoup de fous chez les mahométans en ce moment... Et de telles profanations ont lieu quasi quotidiennement dans des lieux de culte chrétiens - et pas seulement à l'étranger, mais aussi chez nous, en France - ; mais cela, les médias grand public, n'en parlent absolument pas. Il ne faut pas faire d'amalgame et "stigmatiser" cette frange de la population, bien sûr.

    JUSQU'A QUAND LES AUTORITES PUBLIQUES ACCEPTERONT CE FANATISME MAHOMETAN EN EUROPE ET EN FRANCE ?

    [source : Observatoire de la christianophobie]

  • Champigneulles (54) : une habitante pétitionne contre les cloches

    Réveillée tous les matins à 7 h 03 par l’angélus, une habitante a récolté une soixantaine de signatures sur sa pétition destinée à faire décaler l’heure de l'angélus. Mais le maire ne l’entend pas de cette oreille...

    clocher_champigneulles.jpgOriginaire de cette commune, elle est revenue y vivre il y a maintenant trois mois. Et elle assure vivre un "enfer". « Quand sonne l’angélus, à 7 h, midi et 19 h, j’ai 62 décibels chez moi. Les autres sonneries, les sonneries civiles, toutes les heures ou les demi-heures, on ne les entend pas beaucoup. Juste un ‘’ding’’… C’est surtout celle de 7 h, les week-ends, qui est très dérangeante. Quand je me suis installée ici, je me suis renseignée. La police municipale m’a dit que le week-end, les cloches ne sonnaient qu’au moment de la messe ».

    Cette habitante est partie en quête d’autres témoignages et a lancé une pétition. Elle ne demande pas l’arrêt complet des cloches mais un aménagement des horaires (décaler un peu plus tard l’angélus de 7 h). Le premier édile a déjà fait connaître sa réponse. « La tradition, c’est la tradition : rien ne bougera », explique Claude Hartmann. « Quand elle s’est installée, cette jeune femme a bien vu qu’il y avait une église en face, non ? C’est ce que j’appelle la jurisprudence de l’aéroport. Vous achetez une maison, on vous met un aéroport à côté, vous pouvez demander une indemnisation. S’il existait déjà, non ».

    Le maire assure qu’il a habité pendant 25 ans « rue Anatole-France, en face de certains pétitionnaires. Je peux vous dire que je n’ai jamais été dérangé. Les sonneries d’une église rythment la vie d’une commune. Et la principale nuisance de Champigneulles est ailleurs : c’est l’A31 ! ».

    Une contre-pétition, intitulée « Touche pas à mes cloches ! », a été lancée par Séverin Lamotte, conseiller municipal. Elle a déjà recueilli plus de 500 signatures. « Cette habitante essaie de faire aménager le rythme des cloches pour un confort personnel. Nous, nous voulons sauvegarder le patrimoine et la culture des cloches. L’objectif de notre pétition est de recueillir mille signatures avant de la déposer en mairie ».

    De son côté, la réclamante insiste : « je ne veux pas la suppression de cloches mais un aménagement, au moins pour le week-end ou le dimanche matin. Je ne pense pas que cela changerait grand-chose à la vie des gens, non ? »…

    [d’après ER]

     

    Notre avis :

    Entre nous, nous avons là un bel exemple de « déculturation religieuse » : la vie religieuse – et chrétienne - est rythmée depuis des siècles par les sonneries cultuelles des cloches (angélus, offices…) en plus des sonneries civiles (tocsin, heures). Or, la déchristianisation et la sécularisation - qui sévissent durement en France depuis la Révolution - contribuent à déconnecter totalement les habitants de nos villes et villages de ces traditions multiséculaires qui étaient encore, jusqu’à fort peu, vécues naturellement.

    A Bleurville, l’angélus du matin sonne à 6h45 et personne ne s’en plaint. Pour l’instant. Pour la petite histoire, les curés de la paroisse - dont le presbytère était situé au pied du clocher - les ont entendues pendant des lustres sans jamais s'en plaindre ! Ce qui nous manque le plus désormais, ce sont bien les sonneries en volée des messes dominicales qui se font entendre de plus en plus rarement par manque de prêtres... Et pour ce genre de problème, pétitionner ne réglera pas grand'chose !... Par contre, les cloches sont bien une invitation à la prière et, là, nous en avons cruellement besoin pour les temps que nous vivons.

  • Non à la fusion de la Lorraine avec l'Alsace et la Champagne !

    armoiries de Rene II.jpg

    Non à la fusion de la Lorraine avec l'Alsace et la Champagne !

     

    Lorrains, venez nombreux défendre l'identité lorraine

    samedi 10 janvier 2015

    place de la Carrière à Nancy

     

    Programme proposé par le Parti Lorrain :

    > 15h00 : dépôt d'une gerbe aux pieds de la statue équestre de René II, place Saint-Epvre et commémoration de la Bataille de Nancy du 5 janvier 1477

    > à partir de 15h30 : manifestation contre la fusion de la Lorraine place de la Carrière

  • Disparition de Robert Chambeiron, compagnon de Jean Moulin et ancien député des Vosges

    Compagnon de Jean Moulin, Robert Chambeiron, ancien député des Vosges, est décédé le 31 décembre 2014 à 99 ans.

    chambeiron.jpgRobert Chambeiron est né le 22 mai 1915 à Paris. Après des études secondaires, il devient fonctionnaire et commence une activité politique. En 1936, il fait partie du cabinet de Pierre Cot, ministre de l'Air, où il côtoie Jean Moulin, Henri Manhès, Pierre Mendès-France, Pierre Meunier et contribue à l'aide clandestine aux Républicains espagnols.

    En 1939, il est mobilisé dans l'aviation. En octobre-novembre 1940, revenu d'Afrique du Nord, il entre dans la Résistance. Jean Moulin reprend contact avec ses anciens camarades, dont Robert Chambeiron. Le parcours de ce dernier dans la Résistance est très lié à celui de son ami Pierre Meunier. Avec lui, il se voit en effet chargé par Jean Moulin de rechercher des informations sur les groupuscules clandestins de Résistance.

    Toujours aux côtés de Meunier, il sert d'adjoint à Henri Manhès, représentant de Moulin en zone occupée. Avec Meunier encore, il organise la première réunion du Conseil national de la Résistance (CNR) le 27 mai 1943, rue du Four à Paris (6ème arrondissement), dont il assure la sécurité : « Le plus grand risque venait des représentants des partis politiques, ils avaient des visages connus, comme celui de Marc Rucart [NDLR : ancien député des Vosges et franc-maçon notoire], qui avait été ministre en 36, ou Le Troquer, qui avait perdu un bras en 14-18 : il fallait vérifier qu'ils n'avaient pas été suivis. »

    En 1944 et 1945, il est délégué à l'Assemblée consultative provisoire. Il fait partie de différentes commissions dont celle des Finances et celle de la réforme de l'Etat. Il est membre de la première et de la seconde Assemblée nationale constituante pour les Vosges. Chambeiron appartient au groupe d'Union républicaine et résistante, apparenté au groupe communiste. Il est député des Vosges de 1946 à 1951.

    Aux élections de 1951 il échoue contre le représentant du RPF (gaulliste), Georges Gaillemin. En 1948, il dénonce, à l'occasion d'une tentative d'évasion de collaborateurs du camp de La Vierge à Epinal, la mansuétude du gouvernement à l'égard des faits de collaboration. En 1950, il occupe le poste de secrétaire de l'Union progressiste que Pierre Cot vient de fonder. A la Chambre, il est l'un des principaux porte-parole des députés progressistes. Au nom de son groupe, il rejette le Pacte Atlantique. Il condamne la politique française en Asie. A la tribune, il est accusé d'incitation à la désertion lorsqu'il fait part de sa compréhension à l'égard de jeunes soldats français qui avaient refusé d'aller en Indochine.

    En 1956, il présente avec le socialiste Maurice Poirot une liste « Pour un nouveau Front populaire » qui est élue. Il est à nouveau député des Vosges jusqu'en 1958. Il lutte contre la guerre d'Algérie, insistant sur ses effets économiques désastreux. Il soutient une politique de rapprochement avec les pays communistes. Ainsi dépose-t-il, le 14 février 1957, une demande d'interpellation du gouvernement au sujet des avantages économiques, commerciaux et culturels qu'il y aurait à reconnaître la République populaire de Chine.

    En 1958, Robert Chambeiron s'oppose au retour au pouvoir du général de Gaulle.

    De façon plus anecdotique, concernant la vie de notre village de Bleurville,  l'ancien maire communiste Robert Denizot (1971-1977) entretint des relations d'amitié et de proximité politique avec Robert Chambeiron.

  • L'Ecole de Metz : figures et pratiques d'artistes au XIXe siècle

    lorraine,metz,école de metz,peinture,delacroix,migette,devilly,maréchalLe mouvement d'artistes que l'on salua dès le XIXe siècle du nom d'« École de Metz » apparut au cours des années 1830 sur la scène locale comme aux Salons de Paris.

    Issus des écoles municipales, puis élèves des ateliers de la capitale, Charles-Laurent Maréchal, Auguste Migette, Aimé de Lemud, Théodore Devilly, Auguste Rolland et leurs amis ont animé à Metz une vie artistique où dialoguent peinture, littérature et musique.

    L'admiration pour Eugène Delacroix, l'ouverture sur l'Allemagne, le goût pour le Moyen Âge, entretenu par le riche passé de la ville, nourrissent une création qui associe art et industrie.

    Un ouvrage très riche ponctué par une iconographie abondante.

    L'auteur, Christine Peltre, professeur d'histoire de l'art contemporain à l'université de Strasbourg, est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'art du XIXe siècle.

     

    ‡ L'Ecole de Metz : figures et pratiques d'artistes au XIXe siècle, Christine Peltre, éditions du Quotidien, 2014, 151 p., ill. (39 €).

  • Les anniversaires célébrés en 2015

    Le blog du Maître-chat Lully nous invite à commémorer cette année les grandes événements suivants :

    fourier.jpg- le 3ème centenaire de la mort du roi Louis XIV

    - le 15ème centenaire de la fondation de l’abbaye Saint-Maurice d’Agaune

    - le 13ème centenaire de la naissance de Pépin III, dit le Bref

    - le millénaire de la fondation de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg

    - le 9ème centenaire de la fondation de l’abbaye de Clairvaux

    - le 9ème centenaire de la mort d’Yves de Chartres

    - le 850ème anniversaire de la naissance de Philippe II Auguste

    - le 850ème anniversaire de la canonisation de Charlemagne

    - le 8ème centenaire de la fondation de l’Ordre des Frères Prêcheurs

    - le 8ème centenaire du quatrième concile du Latran

    - le 750ème anniversaire de la naissance de Dante

    - le 6ème centenaire de la déposition du pape Jean XXIII par le concile de Constance

    - le 550ème anniversaire de la mort du prince et poète Charles d’Orléans

    - le 5ème centenaire de l’avènement de François Ier, de la bataille de Marignan et de l’entrevue de Bologne

    - le 5ème centenaire des naissances de sainte Thérèse d’Avila et saint Philippe Néri

    - le 450ème anniversaire de la naissance de saint Pierre Fourier, patron des prêtres vosgiens et lorrains

    - le 350ème anniversaire de la mort de Nicolas Poussin

    - le 3ème centenaire de la mort de Fénelon, de Girardon, de Dom Pérignon et de Nicolas Malebranche

    - le 250ème anniversaire de l’approbation par le Saint-Siège du culte du Sacré-Coeur

    - le 2ème centenaire de la mort de Louis de La Rochejaquelein

    - le 2ème centenaire de la naissance du cardinal Pie

    - le 2ème centenaire de la conclusion du Congrès de Vienne

    - le 150ème anniversaire de la mort de sainte Madeleine-Sophie Barat

    - le centenaire de la naissance d’Edith Piaf

    - le 50ème anniversaire de la conclusion du concile Vatican II

    … Et bien d’autres encore !...

    [source : http://leblogdumesnil.unblog.fr]

  • Bonne année 2015 !

    2015.jpg

     

    Votre blog préféré vous souhaite

    une bonne année,

    une bonne santé...

    et le paradis à la fin de vos jours !