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islam

  • Pas de statue de Charles Martel à Poitiers mais une mosquée...

    Pas de statue de Charles Martel à Poitiers mais une mosquée dénommée "Pavé des martyrs"...

    C’est l’imam de cette mosquée qui explique sans aucune vergogne : "le « Pavé des Martyrs » c’est le nom donné à la mosquée de Poitiers en l’honneur des envahisseurs musulmans stoppés en ce lieu-même par Charles Martel".

    La « bataille du Pavé des Martyrs », c’est le nom par lequel les historiens arabes désignent la bataille de Poitiers qui a vu la victoire en 732 du chef des Francs Charles Martel sur l’armée d’Abd er-Rahman, signant ainsi l’arrêt de leur progression vers le nord de la France et le début de la libération de l’Aquitaine et du Languedoc.

    « Nous voulons que ce centre soit une mosquée et un centre de rayonnement culturel », s’enorgueillit le frère-musulman Boubaker El-Hadj Amor. « Le but de ce centre est de créer les conditions d’une rencontre avec l’islam et parler de cette religion sainte et pour qu’il soit un centre de prédication. Inch’Allah. »

    A la place d’une statue du libérateurs de la France, c’est donc un monument à la gloire des envahisseurs qui est dressé en ce lieu mémorable. C’est dire si c’est bien en conquérant que l’islam implante en France ses gigantesques complexes politico-culturo-religieux, avec la complicité, - ainsi que s’enorgueillit cet imam -, des autorités de la ville et de celles du ministère de l'intérieur.

    Une mosquée financée par le Qatar

    L'imam de Poitiers admet en effet avoir bénéficié de fonds étrangers pour poursuivre la construction de la mosquée, interrompue plusieurs années durant en raison d’un manque de financement par les fidèles locaux. « Ce que nous avons construit, c’est grâce à Dieu et avec l’aide de l’organisation “Qatar Charity” », admet-il. L’organisation caritative, « bras humanitaire de l’émirat à l’étranger », « est devenue au fil des ans l’un des relais du soft power de Doha dans le monde », écrivaient les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot dans leur livre « Nos très chers émirs », publié en 2016. En plus de sa mission humanitaire, « l’autre domaine d’activité de Qatar Charity, c’est le prosélytisme religieux, notamment en Afrique… », ajoutaient-ils, précisant que « l’ONG soutient dans le monde entier des projets de mosquées, d’écoles coraniques et d’instituts de mémorisation du Coran. » Y compris en France.

     

    Le Qatar, dont le mufti officieux est Youssef al-Qaradawi, prédicateur égyptien antisémite, pro-terroriste et interdit de territoire français depuis 2012, investit le plus souvent dans des mosquées gérées par l’UOIF ou ses satellites, comme celle, gigantesque, de Mulhouse, financée à hauteur de 2 millions d’euros. Plus inquiétant, Qatar Charity a été accusée par les Etats-Unis, Israel et plusieurs pays du Golfe de soutenir le terrorisme. Selon des documents officiels, produits par la justice américaine, Oussama Ben Laden a utilisé l’organisation pour financer les activités criminelles de sa nébuleuse Al-Qaida dans les années 90. Des groupes djihadistes au sein de l’opposition syrienne ont aussi bénéficié de son soutien. Des djihadistes ont enfin opéré sous couverture de Qatar Charity au Mali, a révélé le Canard enchaîné.

    Un projet encouragé par la mairie socialiste de Poitiers

    Interrogé sur l’accord donné par les autorités politiques au projet, l’imam de Poitiers évoque le soutien personnel du maire socialiste. « Bien sûr, le maire, grâce à Dieu, est mon collègue à l’université. Il a encouragé la construction de ce centre, et nous avons pu, grâce à Dieu, obtenir la licence, dit-il. Le problème est que la licence est de dix ans et a expiré en 2013. Mais, grâce à la relation de fraternité et d’amitié entre le maire et moi, il m’incite toujours à accélérer l’achèvement du projet. Que Dieu nous bénisse. Inch’Allah. » Son argument pour les convaincre ? « J’ai fait valoir l’histoire de Poitiers. Un lieu de culte et de paix sur les ruines de la bataille de 732 : tout un symbole », leur a-t-il expliqué.

  • Châtenois (88 ) : débat interreligieux islamo-chrétien avec le collège Bienheureux Frassati

  • Lamarche (88) : les trinitaires hier et aujourd'hui

  • Un prêtre catholique assassiné par des islamistes

    En France, on assassine un prêtre. Désormais, ça n'est plus "réservé" qu'aux chrétiens d'Orient... Résultat de l'islamisation qui gangrène notre pays chrétien et de quarante ans d'incompétence et d'aveuglement de nos gouvernants !

    Prions pour le repos de l'âme de l'abbé Hamel et la conversion des musulmans.

    La France restera une terre de chrétienté !

    RIP+

  • Lamarche (88) : rachat des captifs et des esclaves aux mains des musulmans : un trinitaire lorrain témoigne

    Le P. Aldo Berardi lors de sa conférence en l'église de Lamarche [cl. ©H&PB]

    L'ancien couvent des Trinitaires à Lamarche, on connaît. Mais sait-on qu'elles étaient les missions de ces religieux ? Le Père Berardi, prêtre trinitaire, a présenté lors d'une causerie l'action de ces religieux auprès des chrétiens persécutés.

    Le Père Aldo Berardi, après avoir concélébré la messe dominicale à Gignéville, a été accueilli en l'église Notre-Dame de Lamarche par l'abbé Ayéméné, curé de la paroisse, et Jean-François Michel, président de l'association Saône Lorraine. « Le Père Berardi, originaire de Metz, fut mon élève au lycée Georges de La Tour lorsque j'enseignais à Metz à la fin des années 70 » précise J.-F. Michel. En préambule à la conférence donnée par le P. Berardi, J.-F. Michel rappela brièvement l'histoire de la fondation par le comte de Bar de la maison de la Trinité de Lamarche au début du XIIIe siècle. Transformée en établissement scolaire au XIXe siècle, il en subsiste quelques éléments.

    « L'ordre de la Sainte-Trinité a été créé au XIIe siècle pour le rachat des captifs lors des Croisades, à un moment d'affrontement entre l'Orient et l'Occident et en plein changement dans la vie des monastères » rappelle le P. Berardi. Les trinitaires, religieux non cloîtrés, ajoutent à la prière une vie apostolique missionnaire vouée au rachat des captifs et des esclaves au Proche et Moyen-Orient et en Afrique du Nord sous domination islamique. Ces religieux au vêtement blanc marqué d'une croix rouge et bleue – en souvenir du sang et de l'eau sortis du côté du Christ sur la croix – seront présents dans toute l'Europe jusqu'à la Révolution.

    Reconstitués à Rome au XIXe siècle, les Trinitaires appartiennent désormais à un ordre hispanique de trinitaires réformés déchaussés. Cet ordre regroupe 600 religieux et 2000 religieuses qui recrutent essentiellement en Asie et en Afrique. Si les maisons féminines sont implantées surtout en Amérique du Sud, les hommes exercent leur apostolat dans vingt-sept pays et partout où les chrétiens sont persécutés pour leur foi (pays musulmans et certains pays d'Asie bouddhistes).

    Le P. Berardi est actuellement en poste au Moyen-Orient et, tout en composant avec les impératifs de la politique et de la diplomatie internationales, travaille quotidiennement au rachat des personnes de toutes religions victimes de rapt ou réduites en esclavage, comme c'est le cas au Soudan par exemple.

    « Depuis 800 ans, les trinitaires poursuivent l'oeuvre de miséricorde et de prière, malgré les innombrables difficultés et les dangers pour les religieux, dans la fidélité aux intuitions reçues par leur fondateur, Jean de Matha » conclut le P. Berardi.

    A l'issue de sa conférence, le P. Aldo Berardi a célébré les vêpres avec l'abbé Ayéméné.

  • Nancy : conférence de l'abbé Loiseau sur "L'islam, défi pour les chrétiens"

    L’abbé Fabrice Loiseau, fondateur et supérieur des Missionnaires de la Miséricorde du diocèse de Fréjus-Toulon, a donné une conférence sur le thème « L’islam, défi pour les chrétiens » à Nancy.

    Il a notamment invité les catholiques à regarder en toute lucidité la réalité de l'islam et à prier et agir pour la conversion des musulmans.

  • Mémoires d'un juif lorain en Algérie

    Parti de Lorraine pour rejoindre l'Algérie après l'Annexion de 1870, la famille Lebon, des marchands de grains mosellans, effectuera le chemin inverse moins de cent ans plus tard. Mais Elie qui ne peut se défaire du pays de ses ancêtres, y retournera des années plus tard.

    Là-bas, il ne pourra que constater la dégradation des relations entre les deux pays, la rancune tenace, l'antisémitisme rampant, l'intégrisme de l'islam, loin de ses rêves d'une Algérie multiethnique débarrassée des haines et des frustrations.

    Laura Tared signe, à travers le récit de cet homme, un roman historique bouleversant sur la tolérance, habitée de cette mélancolie propre aux exilés, notamment celles des pieds-noirs dont la blessure est toujours suintante.

     

    ‡ Mémoires d'un juif lorrain en Algérie. Entre terres chaudes et acier froid, Laura Tared, éditions L'Harmattan, 2016, 258 p. (23 €).

  • La Nuit des témoins à Nancy le 31 janvier 2016 avec l'AED

  • Migrants, réfugiés... : la souffrance de l'Occident chrétien est pour demain

  • Sainte Thérèse d'Avila

    Les éditions Via Romana rééditent l'ouvrage consacré à Sainte Thérèse d'Avila du Lorrain et académicien Louis Bertrand (1866-1941) paru pour la première fois en 1927.

    Tombé amoureux de l'Espagne, le nouveau converti Louis Bertrand nous donne à lire des pages frémissantes sur celle qu'il veut faire aimer. Il admire la profonde intelligence, toute pratique, de Thérèse, sa surnaturelle énergie et la réformatrice du Carmel. Il est fasciné par la puissance de sa vie intérieure qui s'exprime par l'oraison, et aussi par son don extraordinaire d'amour s'exprimant par son inlassable désir de propager son œuvre. Bref, son zèle apostolique subjugue le nouveau chrétien qu'il est devenu.

    Louis Bertrand s'appuie sans cesse sur les écrits de la sainte espagnole afin de nous la faire mieux connaître. Thérèse d'Avila est une messagère du surnaturel que l'auteur réussit à nous faire aimer et que l'on suit dans sa quête spirituelle... et les craintes de son époque (au XVIe siècle), la réforme protestante et l'islam, pour une part toujours bien réelle aujourd'hui.

     

    ‡ Sainte Thérèse d'Avila, Louis Bertrand, éditions Via Romana, 2015, 341 p. (24 €).

  • François Guillaume : "Pas d'églises transformées en mosquées !"

    Le Lorrain François Guillaume, paysan retraité, ancien ministre de l'Agriculture de 1986 à 1988 et député de Meurthe-et-Moselle de 1993 à 2007, a écrit une lettre ouverte à Mgr Dubost, évêque d’Evry, qui a déclaré récemment qu'il préférait que "les églises deviennent des mosquées plutôt que des restaurants" :

    " Monseigneur,

    J’ai lu dans le Figaro de ce jour que vous déclarez « préférer que les églises deviennent des mosquées plutôt que des restaurants ». A tout prendre, je préfèrerais l’inverse parce que c’est moins dangereux. Mais comment peut-on envisager une telle reconversion de nos édifices religieux construits par des chrétiens pour témoigner de leur foi en un Christ d’Amour quand les dignitaires musulmans se refusent à condamner clairement le massacre des chrétiens d’Orient ? Veut-on faire de la France la fille aînée de l’Islam ? Entre la tolérance et la naïveté, il n’y a qu’un pas que d’aucuns ont déjà franchi. Je pense à ce que disait Einstein : « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les laissent faire sans rien dire ». La légitime défense n’interdit pas la charité, elle la permet.

    Certes en milieu rural, beaucoup de nos églises ne sont plus ou peu fréquentées. Elles sont une lourde charge pour nos petites communes. Pourtant député durant 14 ans d’une circonscription rurale, je n’ai connu et ne connais aucun maire qu’il soit catholique, indifférent ou athée, qui ait renoncé à entretenir la Maison de Dieu ou, pire, qui ait envisagé de l’abattre. Pour tout habitant l’église est un symbole ; elle est identité du terroir ; elle est un appel fut-il inconscient à la solidarité et à l’indulgence envers autrui. Dans mon premier ouvrage « Le pain de la liberté », je le traduisais ainsi : « Le clocher, pour nous, c’est la durée ; c’est la concrétion des siècles ; c’est l’unité des vivants et des morts ; c’est la beauté et c’est la fragilité confiée au goût et à la force des hommes. Il suffit de pousser la porte pour que le silence du lieu saint vous invite à la méditation et vous pénètre de sa paix ».

    Si l’en est ainsi, comment ne pas alors, quand le culte n’est plus pratiqué, rechercher une autre destination de l’édifice qui ne porte pas préjudice à son caractère sacré ? Je crois y être parvenu dans une commune de Lorraine dont l’église romane datant de la fin du XIème siècle menaçait ruine. Sa restauration exigeait des fonds que j’ai obtenus sous l’engagement par la municipalité d’une activité à la fois culturelle et cultuelle qui, à la belle saison, invite les mélomanes de la grande région à un festival de quinze concerts de musique sacrée baroque interprétée par d’éminents artistes (Jordi Savall) et par des contre-ténors réputés (Jarouski, Andreas Scholl, …). « Chanter, c’est prier deux fois » m’a-t-on dit dans mon enfance. A Froville la Romane, on met en application cette recommandation et sa centaine d’habitants est heureuse et fière d’avoir sauvé son église bâtie par des moines défricheurs.

    Monseigneur, je ne me prévaux pas d’une très grande piété et je me garde bien de juger mon prochain mais je ne souffre pas qu’on décrète l’Evangile et le Coran compatibles. Sans pour autant que je mette en cause la sincérité d’une majorité de musulmans, je redoute cependant qu’elle ne se laisse embrigader, volens nolens, par des imams pour qui leur confier nos églises désaffectées serait un moyen inespéré de propager leur prosélytisme.

    Veuillez croire, Monseigneur, à ma très respectueuse considération. "

  • Les combats de l'Eglise au Moyen Âge

    Ce recueil, premier du genre, retrace les grands combats menés par l'Eglise catholique pendant un millénaire, du Ve au XVe siècle. Combat pour la conversion des Barbares et contre l'idolâtrie païenne et mahométane. Combat conte la toute-puissance de la papauté et contre la richesse. Combat contre les dissidences théocratiques et pour l'union des Eglises d'Orient et d'Occident. Combat pour l'éducation des clercs et des laïcs. Combat pour la diffusion du savoir et contre la violence. Combat contre les hérésies et pour la "paix de Dieu". Combat contre le judaïsme, mais aussi, en sa faveur...

    Ce millénaire va donner naissance à une nouvelle spiritualité. Il prépare une crise, concrétisée par le schisme de Luther au XVIe siècle, mais montre aussi la volonté permanente d'adaptation de l'Eglise romaine aux grands défis de son époque.

    Un éclairage passionnant sur les mentalités médiévales et la place du religieux dans la vie de la Cité dont pourraient s'inspirer les tenants de la laïcité en France face à la violence du communautarisme islamique.

     

    ‡ Les combats de l'Eglise au Moyen Âge, Pierre Riché, CNRS éditions, 2015, 302 p. (23,90 €).

  • Les agressions contre les lieux de culte en France : les chrétiens les plus attaqués

    cathophobie.jpg

    ... Sans commentaire.

     

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  • Italie : un musulman saccage une église en hurlant des versets coraniques

    eglise.pngHurlant en arabe des phrases du coran, un marocain a jeté à terre et gravement endommagé cinq statues d’intérêt artistique et d’autres objets religieux dans un église du Trentin.

    Le saccage a eu lieu le 1er janvier dans l’église paroissiale de Santa Maria Assunta à Cles (Trente). L'individu de 67 ans a été arrêté par la police. Agissant en quelques minutes, le marocain se servant d’une barre de fer a jeté à terre la statue de la Vierge à l’Enfant, celle de la Vierge Immaculée ainsi que celles de Notre-Dame du Rosaire, celle de Notre-Dame des Douleurs et la statue de Saint-Joseph à l’Enfant. Le vandale a également ciblé l’autel de marbre et le baptistère qu’il a brisé, ainsi que deux retables et un grand tableau de l’Assomption.

    Interpellé par la police, l’homme a été arrêté pour dommages aggravés et sera jugé par la cour de justice de Trente. Le Marocain est un résident de longue date dans la région.

    Selon la police, son geste est lié à un problème mental et non à un fanatisme religieux... Décidément, il y a beaucoup de fous chez les mahométans en ce moment... Et de telles profanations ont lieu quasi quotidiennement dans des lieux de culte chrétiens - et pas seulement à l'étranger, mais aussi chez nous, en France - ; mais cela, les médias grand public, n'en parlent absolument pas. Il ne faut pas faire d'amalgame et "stigmatiser" cette frange de la population, bien sûr.

    JUSQU'A QUAND LES AUTORITES PUBLIQUES ACCEPTERONT CE FANATISME MAHOMETAN EN EUROPE ET EN FRANCE ?

    [source : Observatoire de la christianophobie]

  • Remplissez les églises et les crèches se défendront elles-mêmes !

    "Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera avec la construction des mosquées.

    crèche.jpgLe mouvement a rapidement pris de l’ampleur. Pour les plus médiatisées d’entre elles, celle de Béziers, la crèche de la Nativité, dite de Robert Ménard, son maire, puis la crèche du Conseil général de Vendée dont l’installation a été suspendue par ordre du tribunal de Nantes.

    Très vite, la mobilisation générale (sur internet seulement) pour la défense de nos us, de nos coutumes, de nos traditions, de notre culture, de notre histoire, de nos valeurs, etc. Des pétitions ont circulé, rapidement signées ; des groupes Facebook se sont constitués, aussitôt « likés » ; des articles rédigés, vite partagés, commentés à profusion ; des tweets d’orfraie composés, immédiatement retweetés.

    Et pendant ce temps-là, les églises sont restées vides.

    Et pendant que les églises sont restées vides, les mosquées sont restées, comme il se doit, remplies. Pleines. À craquer. Débordantes. Occupant les rues et les ruelles, les boulevards et les places publiques. Crédibles.

    Et alors que les mosquées ne désemplissent pas, les églises restent vides, colonisées de temps en temps par des grévistes de la faim, des réfugiés, des demandeurs d’asile qui iront plus tard grossir les régiments des fidèles dans les mosquées. Puis ces églises redeviendront vides. Froides. Comme un Lazare qui n’arrive plus à ressusciter.

    Et puis les églises vides sont désacralisées, déchristianisées, comme le sol qui s’islamise sous leurs fondations. « Tu es Pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon Église. » L’Église, communauté des chrétiens. La pierre est devenue argile et les églises sont détruites ou transformées en centres culturels, en hôtels. Bon pour l’économie locale. Pour le tourisme aussi.

    Et puis les églises se rempliront à nouveau. Pleines. À craquer. Débordantes. Parce que transformées en mosquées. Fières. Arrogantes.

    « Le christianisme, et le catholicisme plus précisément, n’est pas n’importe quelle religion pour la France, c’est la religion qui a fait la France, depuis 1500 ans, depuis le sacre de Clovis. Ce n’est pas n’importe quelle religion, ce n’est pas le judaïsme, ce n’est pas le protestantisme, ce n’est pas l’islam », disait récemment Éric Zemmour. Le christianisme, c’est aussi la parole du Christ, issue des Évangiles. À redécouvrir. Et Zemmour de conclure par une phrase de Chateaubriand : « Si vous chassez le christianisme, vous aurez l’islam. »

    Notre grandeur s’est construite de front avec la construction de nos églises, de nos cathédrales ; notre déchéance se fera, conquis, avec la construction des mosquées.

    J’oubliais. Remplissez vos églises et vos crèches se défendront d’elles-mêmes."

    [Pierre Mylestin | Boulevard Voltaire]

  • Mgr Nona Amel : « Vos principes libéraux et démocratiques ne valent rien ici »

    De Mgr Nona Amel, archevêque catholique chaldéen de Mossoul (Irak), maintenant exilé à Erbil, le 9 août 2014 :

    Mgr-Nona.jpg« Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, les européens et les chrétiens occidentaux, allez souffrir aussi dans un proche avenir. J'ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourions. Mais ma communauté est toujours en vie. S'il vous plaît, essayez de nous comprendre. Vos principes libéraux et démocratiques ne valent rien ici. Vous devez examiner à nouveau cette réalité au Moyen-Orient, parce que vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses, même s'ils contredisent vos principes. Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais ce n'est pas vrai : l'Islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l'ennemi que vous avez accueilli chez vous. »

  • Petit vademecum sur l'islam à l'usage du premier ministre

    Anti-Islam.jpgGender, dénaturation du mariage, etc. Le positionnement sociétal des gouvernements de François Hollande a tout pour rebuter les franges de la population attachées aux valeurs familiales. Parmi celles-ci, une grande partie des musulmans, dont le vote historiquement acquis aux socialistes est en train de virer à droite. Devant l’érosion du dernier quartier d’électeurs potentiels, Manuel Valls a accouru à la mosquée d’Evry pour « rompre le jeûne », alors même qu’il décommandait sa présence à Bouvines pour le 800e anniversaire de la bataille éponyme.

    Ce faisant, il n’a pas pu s’empêcher de déblatérer sur l’islam en des termes qui pourraient faire rire.

    Quand des casseurs se réclament d’une forme dévoyée de l’islam, ce sont les musulmans qui souffrent les premiers car ces actes nourrissent des amalgames insupportables. Ces groupes radicalisés s’en prennent à votre foi, à la noblesse du message de l’islam, à ses valeurs d’ouverture, de tolérance.

    Aaaah ! cet islam d’ouverture et de tolérance… il y avait bien longtemps qu’on n’en avait pas entendu parler !

    Alors, vois-tu, Manu, histoire de bien te rafraîchir les idées, voici un petit vademecum. Tu pourras demander aux gars de la DCRI en charge de la lecture de Boulevard Voltaire de te l’imprimer sur un petit carton, et comme ça tu pourras le garder dans ta poche. Tu vas voir, c’est riche en enseignements sur la naissance de ces « valeurs d’ouverture, de tolérance ».

    618

    Massacre des ennemis à la bataille de Bu’ath.

    622

    Mahomet « reçoit » le verset : « Tuez les infidèles où vous les trouverez ».

    Sad fils d’Abou Waqqash lance la première flèche tirée par un musulman.

    623

    Combat de Nakhla ; premières morts violentes ; quatre bédouins tués par huit musulmans.

    Meutre d’Amrou ben Al Hadhrami chef de caravane, premier tué notable par les musulmans.

    Avis de Mahomet :

    Ce sont des infidèles, envers lesquels il n’y a pas lieu d’observer une interdiction sacrée.

    624

    Bataille de Badr ; première victoire sur les « infidèles ».

    Razzia sur la Mecque, pillage et prise de captifs.

    Après la victoire de Badr, début de l’élimination des Juifs.

    Décapitation du poète Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet.

    Bataille de Badr : Mahomet à oqba :

    Je fais à Dieu le voeu que si je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête.

    Bataille de Badr ; Abou Bakr à Mahomet :

    L’infidélité sera exterminée dans le monde.

    Bataille de Badr ; défaite des infidèles : « les musulmans les tuèrent à coup de sabres« .

    Bataille de Badr ; Mahomet à ses hommes :

    Quiconque d’entre vous rencontrera Djahl, tranchez-lui la tête et apportez la moi.

    « Révélation » de Mahomet :

    Il n’a pas été donné à un prophète d’avoir des prisonniers sans faire de grands massacres sur la terre.

    Décapitation de Kab ben Asraf, poète critique.

    Décapitation de deux poètes anonymes après la bataille de Badr.

    Après la bataille de Badr, Mahomet à Oqba :

    Ta place et celle des tes enfants est en enfer. S’ils ne deviennent pas croyants, je les ferai tuer

    Décapitation du poète Abu Afak en Arabie pour avoir critiqué l’islam.

    Exécution d’Asma Bint Marwan, femme ayant critiqué Mahomet.

    Expulsion du clan juif des Al Nadir.

    626

    Massacre des Juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.

    Expédition contre les Juifs beni Qoraizha,insultés par Mahomet : « O vous, singes et cochons… »

    Massacre des 700 Juifs Beni Qoraïzha, liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d’un fossé.

    Meurtre du Juif Kab, chef des Beni nadhir, poète satiriste, et de sa femme qui s’était moqué de Mahomet.

    Expédition contre les Juifs de Kaihbar.

    Meurtre sur ordre de Mahomet du Juif Sallam abou rafi.

    Tentative de meurtre d’Abou Sofyan ordonné par Mahomet.

    Mahomet fait couper les palmiers de l’oasis des Juifs Beni Nadhir.

    Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme butin.

    627

    Elimination du clan juif des Qurayza à Médine.

    Massacre des Juifs de Médine ; partage des familles et des biens.

    Début de la politique d’agression systématique des autres tribus.

    Agression de la tribu des Bani Moustalik.

    628

    Attaque par Mahomet de l’oasis de Khaybar.

    Caravane d’ »infidèles » pillée par Mahomet.

    Mahomet aux Juifs beni Qainoqa :

    Si vous n’embrassez par l’islam, je vous déclare la guerre.

    Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik.

    Attaque des Juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers.

    Prise de l’oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet.

    Soumission des Juifs de Wadil Qora.

    630

    Prise de la Mecque ; 30 exécutions.

    Première agression contre la Perse à Tabuk.

    Bataille de Honaïn contre les Bédouins païens.

    Soumission des Juifs et Chrétiens de Makna, Eilat, Jarba.

    Décapitation à la Mecque de Abdallah ibn Abou Sahr apostat.

    Décapitation à la Mecque de Abdallah ibn Khatal poète satiriste.

    Décapitation à la Mecque de Howairith ibn Noqaïd.

    Condamnation à mort à la Mecque de Ikrima, en fuite.

    Condamnation à la Mecque de Cafwan ibn Ommayya, en fuite.

    Condamnation à mort à la Mecque de Hind femme d’Abou Sofyan, en fuite.

    Exécution à la Mecque de Sara, esclave affranchie.

    Exécution à la Mecque de Qariba, chanteuse.

    Exécution à la Mecque de Fartana, chanteuse qui s’était moquée de Mahomet.

    Destruction de l’idole d’Hubal située dans la Kaaba.

    Mahomet à son ennemi Cafwan :

    Tu n’as qu’à chosir entre le sabre et l’islam.

    Massacre de la tribu des beni Djadsimaa.

    Arrachage des vignes en Arabie.

    Prise de Taif par les musulmans.

    Bataille de Houynan contre les tribus hawazites.

    Meurtre de Dubayya prêtre d’Al Uzza.

    631

    Attaque de la ville byzantine de Tabouk.

    Soumission de Tabouk ; tribut pour les chrétiens.

    Attaque contre le chrétien Adi et rapt de sa soeur.

    Pour les Mecquois :

    Ceux qui restent : qu’ils deviennent musulmans, sinon, que le sabre ou la guerre décident.

    Apostasie de la tribu des Abdul Qaïs, chrétiens à l’origine ; soumission ou élimination.

    Soumission des chrétiens de Nadjran.

    632

    Traité de soumission de la tribu chrétienne des Taghlibites.

    Traité de soumission de la tribu chrétienne du Nadjran.

    Soumission d’Al Aswad chef yéménite apostat.

    À sa mort en 632, Mahomet possède 7 sabres, 3 lances, 3 cuirasses, un bouclier. Et des hectolitres de sang sur les mains.

    Fondant ainsi la « religion » de Paix et d’Amour dont tu nous abreuves le long de tes discours, Manolito.

    À qui mens-tu ?

    [source : www.bvoltaire.fr]

  • Persécution des chrétiens en Irak : l'archevêque de Bordeaux appelle à la mobilisation

    Depuis de nombreuses années déjà, les chrétiens sont victimes de persécutions dans de nombreux pays musulmans, et particulièrement au Moyen-Orient. Alors que ces pays étaient chrétiens bien avant de nombreux pays européens, la présence de ces derniers s’est réduite, ces derniers mois, à peau de chagrin.

    Cardinal_Ricard.jpgParmi les pays les plus touchés, on peut citer la Syrie et l’Irak, où la déstabilisation des régimes en place par l’Occident - en installant des islamistes au pouvoir - a grandement contribué à l’aggravation de la situation.

    A Mossoul, les djihadistes ont ordonné aux chrétiens de se convertir à l’islam ou de payer l’impôt spécial de la « djizya », faute de quoi ils seront tués s’ils restent dans le « califat » (la population chrétienne de cette ville s’élevait à 100 000 personnes il y a dix ans).

    Pour le cardinal Jean-Pierre Ricard, archevêque de Bordeaux, il faut « dénoncer cette situation et se mobiliser ». Dans un entretien, celui-ci regrette « l’indifférence générale » des pouvoirs publics français : « on a l’impression que les uns et les autres laissent faire ». Nos gouvernants préfèrent plutôt se mobiliser pour le conflit israélo-palestinien...

    Si le prélat bordelais ne donne pas lui-même de marche à suivre, « nous réfléchissons au niveau de la conférence des évêques », il laisse la responsabilité au pouvoir socialiste : « c’est au niveau de nos gouvernements que la préoccupation doit être portée ». Sera-t-il entendu par les faux laïcards  du gouvernement qui pratiquent la sélection dans le choix des religions à défendre. Laïcs, mais "religieusement corrects" nos socialistes !

     

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    eglise,catholique,chrétgiens,moyen orient,islam,islamisme,persécutions,cardinal ricardLa Maison généralice de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) communique :

    "La FSSP demande à tous ses apostolats à travers le monde de consacrer le vendredi 1er août prochain comme un jour de prière et de pénitence pour les chrétiens qui souffrent une terrible persécution en Irak, en Syrie et au Moyen-Orient. Le 1er août est cette année à la fois le premier vendredi du mois et la fête de Saint-Pierre-aux-Liens, qui est célébrée comme une fête de troisième classe dans les maisons et apostolats de la FSSP. À l’occasion de cette fête, nous nous souvenons du grand pouvoir de la prière persévérante des membres de l’Eglise : « Tandis que Pierre était gardé en prison, la prière incessante de la communauté montait vers Dieu pour lui » (Ac. 12,5, épître de la messe). Que cette fête de notre patron soit une invitation pour les fidèles à se joindre aux divers Heures Saintes ou prières pénitentielles organisées pour implorer de la Sainte Trinité que ces membres du Corps mystique persévèrent dans la foi et que, comme saint Pierre, ils soient délivrés de cette terrible persécution. Que ce jour soit pour nous le rappel du fort contraste qui existe entre nos jours de vacances d’une part et leur combat quotidien pour survivre ou partir en exil d’autre part."

     

  • Non, l’Islam n’est pas une chance pour la France

    Si rien n'est fait, Notre-Dame de Paris deviendra mosquée avant le XXIIe siècle.

    Anti-Islam.jpgManuel Valls, notre cher Premier Ministre, vient de prononcer un discours proprement hallucinant pour peu que l’on veuille défendre la culture française. C’était le Jeudi 26 Juin, à l’institut du Monde Arabe à l’issue de sa visite de l’exposition « Hajj, le pèlerinage à la Mecque ».

    Sans aucune prospective de ce qui attend la France dans 20 ou 30 ans, c’est à dire rien moins que le grand changement de civilisation, le Premier Ministre a conclu ce long discours à la gloire de l’Islam et de l’amitié franco-arabe par cette belle envolée : « Lors du repas de rupture du jeûne du mois sacré de ramadan, j’adresserai aux musulmans de France un message de confiance. Un message qui souligne combien la France est une terre de liberté qui respecte les croyances de chacun et qui considère que le fait que l’Islam est la deuxième religion de France est une chance pour la France ».

    Mais le pire c’est que Manuel Valls avait osé montrer la grande attirance et assurément la préférence qu’il a pour cette religion : « Au-delà des musulmans de France, c’est toute une nation qui reconnaît, ici, la grandeur, la finesse et la diversité de l’Islam. C’est toute une nation qui dit aussi que l’Islam a toute sa place en France, parce que l’Islam est une religion de tolérance, de respect, une religion de lumière et d’avenir, à mille lieues de ceux qui en détournent et en salissent le message ».

    Que l’Islam ait sa place en France, en dix ans, il est évident qu’elle a envahi l’espace avec ses presque 3000 mosquées, les femmes voilées voir « niqabées » qui avant 2001 étaient si discrètes qu’on ne les voyait pas, et les drapeaux étrangers qui envahissent les manifestations y compris lors de l’élection d’un président comme ce fut le cas pour Chirac et Hollande.

    Que l’Islam soit une religion de tolérance est une méconnaissance totale de la réalité : le musulman, cher Monsieur Valls, n’a pas le droit de se convertir à une autre religion sous peine de mort dans la plupart des pays où la charia est appliquée, ou sous peine de rejet familial chez nous. Si vous êtes musulman, pendant le ramadan, essayez de boire ou de manger avant le coucher de soleil. L’œil du prophète vous surveille en la personne des délateurs que chaque musulman est appelé à devenir contre la violation des règles islamiques.

    Que l’Islam soit une religion de lumière et d’avenir, là vous êtes clairvoyant, mon cher Manuel! Religion de lumière ? Quelle est la lumière évoquée celle des Lumières dont le mouvement au XVIIIe siècle voulait lutter contre l’obscurantisme ? Franchement, vous croyez que l’Islam qui se réfère à des textes du VIIe siècle n’est pas restée dans les ténèbres les plus sombres ? Vous en avez, tous les jours, des exemples multiples à travers le monde. Quant à l’avenir, là vous êtes dans le vrai : avec des gouvernants tels que ceux que nous avons depuis Giscard et son fameux regroupement familial, l’avenir de l’Islam est si radieux qu’il aboutira à islamiser la France en moins de 30 ans. Nul ne peut nier que les prévisions démographiques amèneront les Français dits de souche à être minoritaires dans leur pays. Si rien n’est fait, Notre-Dame deviendra mosquée avant le XXIIe siècle. Et vous le savez.

    [source : site internet « Boulevard Voltaire »]

  • l'islamisme raconté à ma fille

    islamisme.jpgAlbert Camus nous avait prévenus : "Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde." Tous ceux qui nient la réalité de l'islamisation rampante de l'Europe et, dans une moindre mesure, l'Amérique, sont en train d'ajouter au malheur de la laïcité déjà assez malmenée.

    Dire que les musulmans, dans leur majorité, n'ont aucun problème avec la laïcité et que seule une minorité intégriste pose problème, est non seulement une contre-vérité, mais aussi une insulte à l'intelligence et à la culture de nos contemporains. Quels sont ceux, en effet, qui multiplient les demandes de dérogations en tout genre ? Des intégristes ou des musulmans ordinaires ou bien les deux en même temps ? En revanche, quand des Français, dans leur majorité, rejettent l'islam, sont-ils racistes ou clairvoyants ? La question est posée.

    L'auteur, journaliste indépendant et auteur d'essais sur les problèmes sociétaux touchant à l'islam, développe dans un jeu de questions/réponses avec sa fille la problématique de l'impossible intégration de l'islam dans le monde moderne : "Il y a une incompatibilité fondamentale entre islam et modernité du fait même de l'esprit du Coran. Sa lecture intégrale nous fait apparaître l'intolérance, la fermeture à l'autre, l'esprit prosélyte et l'immobilisme de ce texte fondateur qui depuis sa naissance, au VIIe siècle, ne s'est jamais remis en question."

    L'ouvrage est accessible à tous. A faire lire surtout aux jeunes - et aux jeunes filles en particulier - et à tous ceux qui, par ignorance ou irénisme, acceptent sans broncher l'islamisation du monde entier.

     

    ‡ L'islamisme raconté à ma fille, Hamid Zanaz, éditions Tatamis, 2014, 174 p. (15 €).

  • La nouvelle guerre de religion mondiale

    Thierry Desjardins, journaliste et reporter, directeur général adjoint du Figaro, nous fait part de ses réflexions concernant la nouvelle guerre de religion qui menace le monde.

    coran.jpg« Il serait grand temps que nous nous apercevions – enfin - qu'une nouvelle guerre de religion a éclaté et, cette fois, à l'échelle planétaire.

    Les islamistes massacrent les chrétiens en Égypte, en Irak, aux Philippines, en Indonésie, au Pakistan, au Nigeria, un peu partout. Malraux avait dit : « Le XXIème siècle sera religieux ou il ne sera pas ».

    On a bien l'impression que ce siècle qui commence va voir le déchaînement sans pitié d'un Islam renaissant, voulant dominer le monde et faire payer à la civilisation chrétienne les quelques siècles pendant lesquels elle a régné sur la planète.

    Cette haine du chrétien dépasse de beaucoup tous les problèmes de la foi. En s'attaquant aux églises, aux prêtres, aux religieuses, aux fidèles, les islamistes veulent abattre la civilisation occidentale, la démocratie, le capitalisme, ce qu'ils appellent le « néo-colonialisme », la parité hommes femmes, les Droits de l'Homme, le progrès tel que nous le concevons.

    Le XXème siècle a été marqué par l'affrontement Est-Ouest, le bloc communiste contre les pays « libres ». Marx, Lénine et Staline se sont  effondrés d'eux-mêmes sous les incohérences, bien souvent monstrueuses, de leur idéologie. Mais ils ont aussitôt été remplacés par Allah et son Prophète.

    Le Coran a pris la place du Communisme, le drapeau vert de l'Islam celle du drapeau rouge, les imams prédicateurs des mosquées celle des commissaires politiques.

    Le XXIème siècle sera une guerre sans merci car les foules immenses du Tiers-monde islamisé (et des banlieues de nos grandes métropoles) sont autrement plus dangereuses que ne l'ont jamais été les chars du Pacte de Varsovie.

    Nous pleurons, avec nos larmes de crocodiles habituelles, les coptes massacrés à Alexandrie et les chrétiens assassinés à Bagdad.

    Mais nous restons les bras ballants.

    Il faut bien dire qu'on voit mal ce que nous pourrions faire. Ce n'est plus guère le temps des croisades et nos dernières expériences en Afghanistan ou en Irak (où nous commençons à regretter la belle époque de Saddam Hussein qui savait, lui, au moins, faire respecter la laïcité baasiste) n'ont pas été très concluantes, c'est le moins qu'on puisse dire. Il est bien loin le temps où Napoléon III pouvait envoyer un corps expéditionnaire protéger les maronites du Liban que massacraient les Druzes.

    Mais au moins restons lucides et surtout arrêtons de ressortir une fois de plus la fameuse « repentance » qui nous sert désormais pour maquiller toutes nos lâchetés.

    L'autre jour, un imbécile de service nous a longuement expliqué à la télévision que si les islamistes égyptiens massacraient les coptes c'était parce que ces chrétiens de la vallée du Nil étaient « les représentants de l'Occident », les ambassadeurs de la culture européenne, les symboles vivants du capitalisme, du néocolonialisme, du dollar et du coca-cola. En un mot, les ultimes survivants de l'époque coloniale. Autant dire, à l'en croire, que les islamistes avaient parfaitement raison de vouloir éliminer ces survivances d'un passé détesté.

    Les coptes sont les descendants du peuple des pharaons. « Copte » veut dire « égyptien ». Ils étaient sur les bords du Nil bien avant la conquête arabe et musulmane. S'ils sont plus nombreux au sud, entre Assiout et Assouan, c'est précisément parce qu'ils ont fui les cavaliers conquérants venus d'Arabie. Ils avaient leurs églises bien avant que nous ne construisions nos cathédrales.

    On peut d'ailleurs dire exactement la même chose de tous les chrétiens d'Orient qu'ils soient catholiques (de rite d'Antioche, de rite syriaque comme les maronites libanais, de rite byzantin, de rite arménien, de rite d'Alexandrie) ou « non chalcédoniens » comme les coptes, ou orthodoxes (ayant leur patriarcat soit à Istanbul, soit à Alexandrie, soit à Jérusalem, soit à Damas). Tous sont « chez eux » dans ces pays-là depuis des millénaires, certains parlant encore l'araméen, la langue du Christ. En faire des ambassadeurs de l'Occident, des représentants du capitalisme colonial est évidemment une absurdité.

    Même si, en effet, ils sont « de culture chrétienne ». Mais ils l'étaient avant nous. Nous ne pouvons rien faire pour les protéger, mais au moins ne les trahissons pas en reprenant à notre compte les accusations odieuses de leurs assassins. Nous pouvons les accueillir, comme nous nous devons d'accueillir tous ceux qui sont persécutés. Beaucoup ont déjà fui leur pays.

    Mais, en tous les cas, ne continuons pas à nous boucher les yeux, à parler de « l'amitié islamo-chrétienne », d'un « Islam à l'occidentale », de « la cohabitation harmonieuse des trois monothéismes ».

    Soyons intransigeants avec les règles de notre laïcité, mais ne nous laissons entraîner ni vers la stigmatisation ni vers la discrimination (surtout si elle devait être « positive », comme le souhaitent certains), car ce serait, évidemment, faire le jeu des fanatiques.

    Aujourd'hui, la grande mode est d'évoquer, d'invoquer à tout bout de champ "les années les plus sombres de notre histoire". C'est souvent absurde et parfois odieux. Mais s'il y a une leçon qu'il ne faut jamais oublier c'est bien celle de Munich, Churchill avait dit : « Ils ont préféré le déshonneur à la guerre et ils auront les deux.»

    Il ne faut jamais tenter de pactiser avec ceux qui vous ont déclaré la guerre. »

  • Découvrir le vrai visage de l'islam

    islam_0002.jpg"Le dialogue inter-religieux et interculturel entre chrétiens et musulmans ne peut pas de réduire à un choix passager. C'est en effet une nécessité vitale, dont dépend en grande partie notre avenir" Sa Sainteté Benoît XVI, Cologne, 20 août 2005.

    Déjà, en 2003, le pape Jean-Paul II lançait cet appel : " Il est nécessaire de préparer convenablement les chrétiens qui vivent au contact quotidien des musulmans à connaître l'islam de manière objective et à savoir s'y confronter. "

    La confrontation avec l'islam à laquelle le pape somme les chrétiens de se préparer, leur demande non seulement de bien connaître l'islam, mais surtout de se connaître eux-mêmes... C'est donc à une réappropriation de leur identité qu'ils sont appelés, en ces temps d'indifférentisme et d'apostasie silencieuse dénoncés par les exhortations des souverains pontifes.

    Pour répondre à cette demande de l'Eglise catholique, l'abbé Guy Pagès, prêtre du diocèse de Paris ayant vécu et évangélisé en République islamique de Djibouti, nous offre cet ouvrage bâti comme un inventaire de réponses à apporter par la raison et la foi aux principales affirmations de l'apologétique musulmane. Si cet ouvrage entend donner de nombreux éléments d'information relatifs à l'islam tout en montrant la cohérence de la foi chrétienne, il s'adresse également aux musulmans désireux de s'informer du regard que la foi chrétienne pose sur l'islam, eux à qui Allah demande : "Si tu es dans le doute sur ce qui t'as été envoyé d'en haut, interroge ceux qui lisent les Ecritures envoyées avant toi." (Coran, 10.94).

     

    ‡ Interroger l'islam, abbé Guy Pagès, éditions DDM, 2013, 319 p. (21 €).

     

    la nef.jpgLa revue mensuelle La Nef propose dans son numéro de septembre un dossier sur l'islam et les moyens de convertir les musulmans au christianisme.

    Car ce n'est pas un hasard si l'islam a envahi l'Occident : les loges maçonniques, le relativisme, l'athéisme et le matérialisme, l'adoration de l'argent et le consumérisme, l'impérialisme américain, se sont employés à détruire les racines et valeurs chrétiennes pour leur substituer le multiculturalisme et le métissage tous azimuts censés conduire au marché sans frontière, nouvel Eden. L'islam, voué par nature à produire un peuple de soumis, ayant condamné la réflexion philosophique, voyant dans la richesse et la jouissance des biens de ce monde la preuve de la bénédiction divine, est certainement courtisé sinon instrumentalisé par l'hydre du messianisme politique pour faire advenir sur terre ce paradis.

     

    ‡ La Nef, numéro 251, septembre 2013 (8 €). A commander à LA NEF, 2 cour des Coulons, 78810 FEUCHEROLLES ou par mail : lanef@lanef.net

    Plus d'infos sur le site de La Nef : www.lanef.net 

  • La Légion d’honneur traînée dans la boue

    legion-dhonneur.jpgParmi les 681 personnes « distinguées » cette année par la Légion d’honneur lors de la promotion du 14 juillet, on a pu lire avec surprise dans le Journal officiel le nom de Tareq Oubrou, promu au grade de chevalier, au titre du ministère de l’Intérieur. Pour quel "haut-fait", au fait ? Le JO ne le dit pas...

    Membre d'une des organisations les plus radicales de l'islam en France (UOIF : union des organisations islamiques de France), dont la devise est « Le Coran est notre Constitution », Tareq Oubrou est également l'ancien président de l'association « Imams de France ».

    Né au Maroc, il est un grand admirateur du fondateur des Frères musulmans, Hassan Al Banna. Il y a quelques années, lors d'une conférence publique, Tareq Oubrou déclarait : « L'Islam touche à tous les domaines de la vie. Comme le veut le Coran, C'est un Etat, c'est un pays, dans le sens géographique, c'est à dire qu'il regroupe toute la communauté dans une géographie où il n'y a pas de frontières. La frontière entre deux pays musulmans est une hérésie méprisable par l'Islam… La politique des musulmans ce n'est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge ».

    Le gouvernement français, grand pourfendeur des religions (surtout le catholicisme...) et adepte du laïcisme pur et dur (et imbécile surtout) du temps d’Emile Combes et de Léon Bourgeois, a osé décerner la suprême décoration nationale à un promoteur de l’islam radical, recteur de mosquée, fervent soutien des poseurs de bombes et égorgeurs des coptes chrétiens… Napoléon doit se retourner dans sa tombe ! Et les Légionnaires et descendants de Légionnaires apprécieront.

    La décadence de la France s'accélère à grands pas...

  • Le printemps du Vatican

    b16.jpgLa dignité du geste du pape Benoît XVI, son sens du respect de ses responsabilités sont historiques. Une rigueur germanique s’est imposée dans la gestion d’une gouvernance efficace. C’est un signe pour ses successeurs. Le monde moderne exige un pape actif et en pleine possession de tous ses moyens, une adaptation de la forme d’une mission qui n’implique en rien une modification du fond. Une leçon pour les politiques ou les religieux au pouvoir qui s’accrochent.

    Mais qui parlera, par opposition aux hivers des dictateurs arabes, d’un printemps au Vatican ?

    Les médias n’ont vu que l’écume de l’évènement. Ils ont laissé entendre que le pape renonçait, finalement, face à des échecs, qu’il reconnaissait une crise entre l’Eglise et les croyants, crise qu’il était incapable de résoudre en raison de son âge et de son conservatisme, entendez de sa sclérose intellectuelle. D’ailleurs, ils ont déjà désigné le nouveau pape, dans de « petits » conclaves, un pape plus jeune et beaucoup plus progressiste et forcément de couleur. L’idéal serait en fait au bout du compte que le prochain pape ne soit pas catholique.

    On notera tout de même que c’est lors de la canonisation des 800 martyrs d’Otrante (massacrés par les Turcs lors du siège de leur ville en 1480 pour avoir refusé de se convertir à l’islam) que Benoît XVI a annoncé sa décision. L'importance du port de cette cité de la grande Grèce lui fit assumer le rôle de pont entre Orient et Occident, et Otrante devint un centre byzantin puis normand, angevin et aragonais. La cathédrale, construite entre 1080 et 1088 et modifiée par la suite, est le reflet de ces dominations successives. A Otrante, le 11 septembre 1227, mourut de malaria le landgrave de Thuringe, époux d'Élisabeth de Hongrie.

    Le 28 juillet 1480, une flotte turque de cent navires commandée par Kedük Ahmed Pacha se présenta devant Otrante. La ville fut prise d'assaut le 11 août : « Sur les 22 000 habitants, 12 000 furent impitoyablement massacrés : ceux dont on espérait une forte rançon, ou qui pouvaient se vendre avantageusement, furent réduits en esclavage (...) L'archevêque, les prêtres et le commandant d'Otrante furent sciés en deux ». Voilà l’humanisme musulman…

    Les Turcs détruisirent  le monastère de San Nicola di Casole un peu plus au sud. Dans ce monastère, les moines avaient constitué la plus vaste bibliothèque de l'époque en Occident et avaient institué la première forme de collège de l'histoire, qui accueillait des escholiers de toute l'Europe. Ce fut l'un de ces religieux, Pantaléon, qui composa dans la cathédrale, la plus grande mosaïque d'Europe. Trois mois plus tard, Otrante fut réoccupée par les Aragonais.

    Les médias ne savent rien de l’histoire, mais la papauté, elle, n’oublie rien, ni les souffrances, ni les revers, ni les reconquêtes. Rien n’est jamais définitif pour celui qui connaît son passé et ne renonce pas à maîtriser son futur. Pour les catholiques, Benoit XVI a rempli sa tâche puis se retire pour la gloire de son Eglise, renonçant au pouvoir. Un exemple. Et c’est pourquoi Benoit XVI est grand. Et c'est pourquoi aussi l'Eglise catholique est étonnament moderne.

    [source : Metamag]

  • La Turquie veut récupérer les reliques de saint Nicolas

    La Turquie relance la campagne visant à « récupérer » les reliques de saint Nicolas de Myre, qui se trouvent dispersées depuis le Moyen Âge. Une partie des reliques, subtilisée en Turquie en 1087 par des marins, se trouve dans la crypte de la basilique de Bari (sud de l’Italie), une autre relique à Saint-Nicolas-de-Port et une autre à la cathédrale Saint-Nicolas de Fribourg (Suisse).

    les-reliques-sont-conservees-dans-un-magnifique-reliquaire-en-vermeil-et-en-forme-de-bras-(photo.jpgL’archéologue turc Nevzat Çelik, responsable des fouilles sur le site de Myre-Andriake (Turquie), a relancé, à l’occasion des fêtes de Noël, la requête de restitution à la Turquie des reliques du saint évêque de Myre. Cette fois, le destinataire de la requête n’est plus – comme par le passé – le gouvernement italien, mais le Vatican. L’initiative, selon la presse turque, correspond à la volonté des actuels responsables du ministère turc de la culture et du tourisme de rapatrier des œuvres d’art, objets archéologiques et reliques emmenés à l’étranger par le passé.

    À Antalya, il est prévu prochainement l’ouverture d’un musée dédié à l’antique et mystérieuse civilisation de la Lycie (région de naissance de Nicolas de Myre) destiné également à accueillir les objets provenant des sites archéologiques de Myre et d’Andriake. Une section du musée sera dédiée aux premiers siècles chrétiens et à la vie de saint Nicolas, l’évêque du IVe siècle qui, à cause de sa charité et de sa générosité envers les hommes et les enfants, est également considéré comme le personnage ayant inspiré la figure du Père Noël.

    Au XIe siècle, les reliques du saint furent « transférées » dans l’actuel chef-lieu des Pouilles, en Italie, par une expédition de marins de Bari. Au cours de ces dernières années, la basilique qui les accueille est également devenue le but d’un flux croissant de pèlerins russes, saint Nicolas étant le patron de la Russie.

    Les revendications turques concernant les reliques de saint Nicolas sont connues depuis longtemps. Mais c’est seulement récemment qu’elles ont trouvé des appuis institutionnels importants, en lien avec la valorisation touristique de la région. « Si nous construisons un musée à Demre, ce que nous demanderons en premier, ce seront les restes de saint Nicolas. Ces os devront être exposés ici et non pas dans une ville de pirates », avait déclaré voici deux ans le ministre turc de la culture et du tourisme. Maintenant, les milieux universitaires, dont fait partie le professeur Çelik, en appellent au Vatican.

    En Suisse, le prévôt de la cathédrale de Fribourg, le chanoine Claude Ducarroz, a exclu lundi 7 janvier de restituer les reliques de saint Nicolas revendiquées par la Turquie. « Nous ne rendrons jamais les reliques de saint Nicolas, a-t-il affirmé. Elles appartiennent au Chapitre et au peuple fribourgeois. » Il se dit étonné d’une telle demande de la part d’un État dominé par les islamistes, « en qui je n’ai pas confiance », précise-t-il, rappelant que les reliques avaient été enlevées de Myre « pour les protéger de l’avancée des Ottomans ». De même, à Saint-Nicolas-de-Port, l’abbé Jean-Louis Jacquot, recteur de la basilique, exclut toute restitution des reliques du saint patron de la Lorraine pour des raisons bassement matérielles. Les reliques de saint Nicolas resteront donc en Lorraine.

    [source : La Croix / Agence APIC / cliché Vosges Matin]

  • Mariée à un musulman

    islam,musulman,radicaux,fondamentalisme,catholique,chrétien,mariage,algérieMariée à un musulman n'est ni une thèse, ni un manifeste. C'est un témoignage, un récit, une tranche de vie.

    Comme Le prix à payer de Joseph Fadelle, Mariée à un musulman raconte une histoire qui n'arrive certes pas tous les jour et à tout le monde, une histoire extrême si l'on veut. Mais une histoire ô combien symbolique et symptomatique de ce que vit notre société occidentale. Elle s'inscrit dans une réalité dont les média évite soigneusement  de parler.

    Si tout les musulmans ne sont pas des fondamentalistes radicaux, nous savons que l'islam intégriste et régressif progresse de jour en jour. Dans le monde arabe aussi bien qu'en France. Musulmanes ou non, les jeunes femmes des banlieues vivent souvent dans la persécution au quotidien, dans la soumission au diktat et à l'arbitraire violent de jeunes hommes nés et éduqués dans une France "laïque", mais "radicalisés" à l'extrême.

    L'histoire de Maria, auteur et personnage central de ce témoignage poignant, est à la fois terrible et héroïque. Pour tous ceux qui refusent la domination de cette religion arriérée, elle est une résistante des temps modernes. Une femme qui ose parler, alors que tant d'autres se taisent.

    On attend bien sûr la réaction de toutes ces associations "droits-de-l'homistes" et féministes pour enfin s'élever contre ces pratiques d'un autre âge : la soumission de la femme et la conversion de force à une religion qui bafoue les droits les plus élémentaires de l'être humain, dont celui de pouvoir choisir sa religion.

    Un témoignage bouleversant. A lire, à méditer, à diffuser sans restriction.

    L'auteur, Maria S. (qui souhaite rester anonyme par peur des représailles), est d'origine portugaise installée en France. Elle rencontre un français d'origine algérienne. Une idylle en banlieue parisienne. Elle, catholique de naissance, lui, musulman se disant "ouvert d'esprit". Ils décident de se marier. Présentation à la famille en Algérie et début du calvaire...

     

    ‡ Mariée à un musulman, Maria S., L'Oeuvre éditions, 2012, 119 p. (18 €).

  • Charles de Foucauld, pensées dérangeantes et incorrectes

    foucauld.jpgOfficier, explorateur, prêtre, missionnaire, ermite, le Lorrain Charles de Foucauld demeure l'une des figures les plus connues du XXe siècle. Il avait recherché l'abaissement et l'obscurité, mais aura marqué ses contemporains par son ascèse, sa curiosité, son dévouement auprès des peuples indigènes. Longtemps avant que l'Eglise ne le béatifie, la vox populi en avait fait un saint.

    Si nul n'ignore aujourd'hui les grandes lignes de sa vie, l'époque passe volontiers ses écrits sur l'islam et la colonisation. Ces écrits gênent. Car si son amour des peuples d'Afrique du Nord alla jusqu'au don de sa vie, le catholique et le Français qu'il était demeuraient attaché à la civilisation et à la culture européenne qui allait de pair avec la foi chrétienne.

    C'est cet aspect de sa pensée qui est remis en lumière dans ce petit ouvrage politiquement et religieusement "incorrect". Un livre à lire et à méditer en ces temps de pensée unique...

     

    ‡ Charles de Foucauld. Pensées intempestives, dérangeantes et incorrectes, Jacques de Guillebon (réunies par), L'Oeuvre éditions, 2011, 106 p. (14 €).

  • Jean-Marie Lassausse, Le jardinier de Tibhirine

    lassausse.jpgLe Père Jean-Marie Lassausse, Vosgien originaire d'Esley, dans le canton de Darney, issu d'une famille d'agriculteurs, est aujourd'hui le "jardinier de Tibhirine". C'est lui qui entretient les lieux déserts du monastère cisterciens algérien, qui travaille la terre du domaine avec les villageois. Son témoignage simple, profond, est en faveur d'une "Eglise de la rencontre". Son expérience, ses voyages en "terre des autres" peuvent, selon lui, aider la réflexion des églises occidentales désaffectées, et surtout aider à comprendre l'urgence d'une pastorale de la rencontre.

    Il a découvert l'héritage spirituel des frères cisterciens de Tibhirine principalement par le dialogue avec la population musulmane locale. Il partage dans cet ouvrage les témoignages des musulmans sur la communauté catholique du Père Christian de Chergé, sur le martyre des religieux, sur leurs relations avec eux, et leur héritage concret qui aujourd'hui peut paraître en déshérence...

    Un témoignage qui invite à revoir nos idées reçues sur le dialogue avec l'islam en particulier et l'héritage des frères de Tibhirine.

    Le Père Lassausse est prêtre de la Mission de France. Il a passé de nombreuses années en mission en Afrique. Depuis 2001, il a la responsabilité des terres du monastère algérien de Tibhirine. Après avoir été missionnaire en Tanzanie, en Ethiopie et au Maroc, il est en Algérie depuis 2000.

     

    >> Le jardinier de Tibhirine. Le témoignage exceptionnel du gardien de la mémoire des lieux, Jean-Marie Lassausse et Christophe Henning, éditions Bayard, 2010, 150 p. (18 €).