cure
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Mgr Berthet à la rencontre des paroissiens de Notre-Dame de la Saône
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Graffigny-Chemin (52) : obsèques de l'abbé Fourgerolle
Encensement du corps par Mgr l'évêque de Langres [cl. Y. Masson].
Les obsèques de M. l'abbé Emile Fourgerolle ont été célébrées ce samedi 29 avril 2017 en l'église Saint-Elophe et Saint-Christophe de Graffigny (52) par Mgr Joseph de Metz-Noblat, évêque de Langres, en présence de plusieurs prêtres et des anciens paroissiens de l'abbé Fourgerolle.
Originaire du diocèse de Saint-Dié - né en 1919 à Lerrain -, il avait exercé son ministère à Tollaincourt et Romain-aux-Bois ainsi qu'à Anould, avant d'être mis à disposition du diocèse de Langres en 1960. L'abbé Fourgerolle sera curé de Graffigny-Chemin de 1969 à 1999, date à laquelle il prit sa retraite dans son presbytère de Graffigny.
RIP+
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Des paroissiens honorés à Notre-Dame de la Saône
[VM]
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Messe de Requiem pour l'abbé Charles Villaume le 13 septembre
L'abbé Charles Villaume à son bureau à la cure de Bleurville [cl. archives H&PB].
Une messe de Requiem sera célébrée dimanche 13 septembre 2015 à 10h30 en l'église de Monthureux-sur-Saône pour l'abbé Charles Villaume, ancien curé de la paroisse Notre-Dame de la Saône, décédé le 30 août dernier.
L'abbé Villaume fut curé in solidum avec l'abbé Maillard de la paroisse N.-D. de la Saône durant 16 ans ; il résidait au presbytère de Bleurville.
Le verre de l'amitié rassemblera les fidèles à l'issue de la messe.
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Décès de l'abbé Charles Villaume, ancien curé de Bleurville
Nous apprenons le décès de M. l'abbé Charles Villaume, survenu à Saint-Dié-des-Vosges le 30 août, à l'âge de 89 ans. Il était né à Doncières, dans les Vosges, le 13 mars 1926.
L'abbé Charles Villaume avait rejoint la maison de retraite des prêtres du diocèse de Saint-Dié en octobre 2010 après avoir été durant 16 ans (1994-2010) curé in solidum avec l'abbé Maillard, de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône. Durant son ministère pastoral, il résida au presbytère de Bleurville prenant la suite de l'abbé Houot.
Ce "bon prêtre" a laissé une marque indélébile dans ses paroisses vosgiennes - après avoir passé presque 30 ans au Mali comme prêtre fidei donum - : il fut notamment le promoteur de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône. Prêtre discret et solitaire, il parcourait la campagne et allait régulièrement méditer et prier au pied de la Grande Croix, à Bleurville, en plein milieu de la nuit. Ses anciens paroissiens conserveront également le souvenir de ses homélies toujours remarquablement structurées et riches d'enseignements évangéliques.
Ses obsèques seront célébrées jeudi 3 septembre à 14h30, en l'église de Doncières.
RIP+
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Frain (88) : dernière messe de l'abbé Febvet
Dimanche 1er février 2015, en l’église Saint-Martin de Frain, la foule des fidèles est venue nombreuse pour entourer leur prêtre, l'abbé Pierre Febvet, lors de sa dernière messe célébrée avec la communauté catholique de la grande paroisse Bhx Jean-Baptiste Ménestrel.
A l'issue, une réception organisée par la municipalité rassemblait les fidèles autour du curé Febvet.
Curé de la paroisse de Frain depuis 1955, l'abbé Febvet rejoint, à 92 ans, la maison de retraite de Portieux après un ministère de 60 ans dans cette paroisse rurale de l'ouest vosgien ; "exploit" exceptionnel pour un prêtre au XXe siècle, ce sera son seul et unique ministère !
Bonne retraite Monsieur le curé et priez bien pour nous et pour le diocèse de Saint-Dié !
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Paroisse Bhx Jean-Baptiste Ménestrel : départ de l'abbé Pierre Febvet
L'abbé Pierre Febvet - assis au 1er rang, 3ème à partir de la gauche - entouré de quelques paroissiens lors de sa dernière réunion pastorale [cl. Vosges Matin].
Nous apprenons avec grande surprise le départ de l'abbé Pierre Febvet, prêtre in solidum attaché aux grandes paroisses Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel et Notre-Dame de la Saône (sud-ouest vosgien).
Âgé de plus de 90 ans, il va rejoindre prochainement la maison de retraite des Sœurs de la Providence de Portieux (Vosges).
Prêtre nommé à la paroisse Saint-Martin de Frain (canton de Lamarche) en 1955, à l'âge de 32 ans - fait rarissime à notre époque, cette paroisse fut son unique ministère de curé depuis son ordination ! -, il est demeuré attaché à cette paroisse rurale jusqu'à ce jour.
Depuis 2009, il était prêtre in solidum à la grande paroisse Bhx J.-B. Ménestrel et secondait toujours avec disponibilité et dynamisme l'abbé Clément Ayéméné ; il assurait plus particulièrement les messes et l'accompagnement des chrétiens retraités et la chorale sur la paroisse de Martigny-les-Bains et les clochers voisins.
Pendant de nombreuses années, il remplaça durant les vacances les curés dans les paroisses environnantes et, notamment, à Bleurville à l'époque de l'abbé André Houot (1969-1993) ou à Martigny-les-Bains avec les abbés Marion puis Simonin.
Nous lui souhaitons d'ores et déjà une bonne et sereine retraite durant laquelle, nous n'en doutons pas, il priera pour ses anciens paroissiens et pour que l'Eglise qui est dans les Vosges ait toujours beaucoup de saints prêtres.
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Quel avenir pour les presbytères vosgiens ?
Vente, rénovation ou destruction, les municipalités, pour la plupart propriétaires des maisons de prêtres, s’interrogent. Les réponses ne sont pas toujours satisfaisantes.
Pour les communes, la question se pose forcément une fois. Que faire du presbytère ? Le réhabiliter, le vendre ? Le conseil municipal de Saint-Maurice-sur-Moselle a dernièrement pris sa décision : le rénover pour y créer deux appartements. « Nous n’avons plus de prêtre depuis 2008, souligne le maire Philippe Spilleboute. Nous engageons des travaux importants notamment en matière d’isolation dans cette belle bâtisse et nous créons une salle de cantine qui jouxtera l’ancien presbytère. » Il y a deux ans, c’est Dogneville qui passait à l’acte en inaugurant son ancien presbytère transformé en appartements. Et dans les Vosges – qui comptaient dans les années 1970 quelque 400 presbytères – les exemples ne manquent pas…
Si la question du devenir des maisons de curé revient régulièrement sur la table des mairies, c’est parce qu’elles en sont majoritairement propriétaires. « Aujourd’hui l’Eglise n’a plus les moyens d’être propriétaire de ces bâtiments. C’est un gouffre financier lorsqu’il faut assurer toutes les réparations », explique Michel Petitdemange, économe du diocèse de Saint-Dié.
Dans les Vosges, si quinze presbytères restent dans les mains de l’évêché, trente-huit d’entre eux appartiennent aux communes. Dans ce cas, deux cas de figure se présentent : le prêtre y est encore en fonction et un contrat de bail est signé entre la commune et l’association diocésaine car « la responsabilité de l’évêché est de loger ses prêtres jusqu’à la mort », souligne Michel Petitdemange ; ou il n’y a plus de prêtre (souvent pour des raisons d’âge ou de regroupement de paroisses) et les municipalités disposent de leur bien comme elles l’entendent…
Et là, ça peut « faire mal au cœur », souligne Jean-François Michel, le président de l’association Saône Lorraine. Un exemple : Mattaincourt. Le presbytère de Saint-Pierre-Fourier – transformé en maison d’habitation – a été « un peu défiguré. » « On ne voit quasiment plus le puits, ni la cour intérieure. Le musée n’existe plus. Toute une partie a été goudronnée. Ce presbytère a perdu toute son originalité », souligne celui le président bénévole auteur de l’ouvrage “Maisons de curé et presbytères anciens des Vosges”. Globalement, « les municipalités qui entreprennent, malmènent les bâtiments », note le spécialiste. Il arrive même que ces édifices disparaissent totalement du paysage, soit par irrespect, soit par ignorance d’éléments patrimoniaux et historiques. Alors que les presbytères se font rares dans les Hautes-Vosges, celui de Bussang n’est pas passé loin du couperet. Il a été sauvé grâce à un conseiller municipal qui a brandi l’ouvrage de Jean-François Michel en réunion. Eh oui, le presbytère y est répertorié comme haut lieu patrimonial…
A contrario, quelques communes chérissent leur maison de curé. Monthureux-sur-Saône a transformé son presbytère en musée. A Bleurville, Nonville et Serécourt par exemple, ce sont de très belles restaurations qui ont été faites par des particuliers, amoureux des vieilles pierres. Mais, malheureusement, souvent acquis par des propriétaires originaires de Belgique, du Luxembourg ou des Pays-Bas, ces résidences secondaires changent bien vite de mains… et perdent une grande partie de leur âme.
[d’après Vosges Matin]
Destruction du presbytère de Grandvillers (88)
L’ancien presbytère de Bleurville est à vendre
Presbytère et église surplombent le village [cliché ©H&PB].
Noble bâtisse est située en face de l’église paroissiale et surplombe le village de Bleurville avec une jolie vue sur la vaste forêt de Darney.
Maison de cure depuis le 18ème siècle, elle a connu un remaniement important en 1829-1830. Le presbytère fut occupé par le desservant de la paroisse jusqu’en 2010.
Vaste demeure dont la toiture est refaite à neuf (2012), elle est close de murs et dispose d’un vaste jardin et d’un verger à l’arrière.
Cette maison de caractère conviendrait tout-à-fait pour la réalisation d'un projet de création de chambres d'hôtes.
Bleurville est situé dans le canton de Monthureux-sur-Saône, à 21 km au sud de Vittel et proche de la sortie A31 de Bulgnéville.
> Renseignements : Étude REBOURG-BALANCY à Vittel
> Tél. : 03 29 08 01 80 – etude-rebourg.balancy@notaires.fr
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Décès de l’abbé Pierre Brice, ancien curé de Bleurville
Nous apprenons la disparition de l’abbé Pierre Brice, survenue à la maison de retraite Saint-Pierre Fourier de Saint-Dié, au cours de la semaine dernière.
L’abbé Brice fut curé de la paroisse de Bleurville en 1966-1967, au départ de l’abbé Baderot. Ce fut l’époque où Mgr Vilnet, évêque de Saint-Dié, faisait l’expérience des regroupements de prêtres. La cure de Bleurville accueillit alors jusqu’à trois prêtres : les abbés Brice, Daval et Pétin qui exerçaient leur ministère sur le secteur, entre Viviers-le-Gras et Claudon, l’abbé Brice étant particulièrement chargé de Bleurville. Expérience de courte durée, puisque dès 1967, l’équipe est remplacée par l’abbé Raymond Demarche au presbytère de Bleurville.
Très proche de ses paroissiens et d’un caractère jovial, il participait volontiers aux repas familiaux dont nous conservons le souvenir ému.
Nous associerons à notre souvenir et à notre prière, le frère aîné de Pierre Brice, l’abbé André Brice, qui fut professeur de mathématiques à l’Institution Saint-Clément de Martigny-les-Bains au début des années 1970.
RIP †
[cliché : abbé Pierre Brice, 2003]
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L'ombre rouge de la Vieille Ville
Huit morts en quinze mois. Personne n'est à l'abri. Mais qui sème donc l'épouvante en Vieille Ville de Nancy ? Police, experts en sciences occultes et clergé doivent unir leurs forces pour terrasser ce fou vengeur. Magie noire, sorcellerie, possession... Comment mettre un terme à ce massacre ?
On n'attendait pas le Père François Weber, curé de la paroisse Saint-Epvre de Nancy et membre de la congrégation de l'Oratoire Saint-Philippe Néri, dans ce roman policier "magico-mystico-religieux". Il y a même du Da Vinci Code dans cette histoire qui mèlent avec talent intrigue policière, occultisme et histoire régionale. Les lecteurs nancéiens suivront pas à pas les enquêteurs dans les quartiers bien connus de la ville et les autres découvriront la capitale ducale avec ses rues et ses monuments mystérieux... L'Eglise n'est évidemment pas absente de ce thriller : nos ecclésiastiques apportent leurs lumières spirituelles aux officiers de police afin de résoudre l'énigme de ces meurtres en série.
Un bon polar' "régionaliste" et une belle première pour le Père Weber, qui ajoute une nouvelle corde à son arc !
‡ L'ombre rouge de la Vieille Ville, François Weber, éditions Serpenoise, 2013, 227 p. (19 €).
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In memoriam abbé René Baderot (1922-2012), ancien curé de Bleurville
Messe de Saint-Grégoire.
Nous venons d'apprendre - avec beaucoup de retard - le décès de Monsieur l'abbé René Baderot à l'âge de 90 ans. Il a rejoint la Maison du Père le 2 octobre 2012 à Saint-Dié-des-Vosges. Quasiment aveugle, il était pensionnaire de la maison de retraite des prêtres du diocèse depuis plusieurs années.
L'abbé Baderot fut curé de Bleurville de 1951 à 1966. Il desservit également la paroisse de Claudon. Après avoir quitté Bleurville, il exerça son ministère à Plainfaing puis à Champ-le-Duc.
L'abbé René Baderot a laissé d'excellents souvenirs lors de son passage à la cure de Bleurville (où il vivait avec sa maman, d'heureuse mémoire) : il organisait notamment des séances de cinéma à la salle des fêtes et mit sur pied une troupe scoute qui occupait le "commando", bâtisse aujourd'hui disparue, jouxtant le presbytère.
De façon plus personnelle, nous conservons l'agréable souvenir de l'abbé Baderot, portant alors la soutane, participant à nos repas de famille...
† RIP.
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Au diable la tiédeur !
En France, comme dans de nombreux pays d'Europe occidentale, l'Eglise catholique chante-t-elle son chant du cygne ? Si des paroisses sont encore vivantes, si des chrétiens sont à l'oeuvre, annonçant la beauté de la foi et du message évangélique, il faut bien reconnaître que bon nombre de nos contemporains, pourtant baptisés dans le Christ, estiment qu'ils n'ont plus besoin de l'Eglise pour vivre le mystère de Dieu. La crise est profonde.
A Marseille, en pleine quartier cosmopolite, l'abbé Michel-Marie Zanotti-Sorkine a ressuscité une paroisse moribonde, faute de fidèles. La renaissance est spectaculaire : la foule se presse lors des messes dominicales, les conversions et les retours à la foi sont nombreux. Le dimanche, le peuple de Dieu s'y rassemble, attiré par la qualité et la dignité de la liturgie, et la prédication et la sacralité qui imprègne ce lieu sacré. Cent soixante-deux baptêmes d'adultes ont été célébrés à Pâques. L'église des Réformés est ouverte 12 heures par jour, la messe est dite quotidiennement au maître-autel, le culte est célébré dans le rite traditionnel avec processions solennelles, enfants de choeur nombreux, encens, grandes orgues, chants, chapelets dits en commun, confessions quotidiennes...
Cette "réussite" pourrait-elle en inspirer d'autres ?
Ce livre, hymne à l'ardeur, s'adresse à ceux qui éprouvent le besoin de repenser leur action à la lumière d'une expérience sacerdotale présentée ici sous forme d'aphorismes percutants : cinquante pages de pensées, conseils, sentences simples et fortes à destination des prêtres. Cette partie est suivie d'une seconde destinée aux fidèles et aux autres pour leur rappeler les bases du catholicisme ainsi que des comportements et des vertus qui aident à vivre.
Un petit bouquin d'une richesse inouïe qui donne envie de croire en Dieu... et à l'Eglise !
L'auteur, l'abbé Michel-Marie Zanotti-Sorkine est né en 1959. Il a d'abord été chanteur-compositeur-interprète dans des cabarets parisiens. A 28 ans, il étudie la philosophie et la théologie puis entre chez les Franciscains. En les quittant, il vient à Marseille où il est ordonné prêtre à 40 ans ; l'évêque lui confie la paroisse des Réformés, en haut de la Canebière. Il est l'auteur de six livres.
On peut suivre l'actualité de l'abbé Zanotti-Sorkine et celle de sa paroisse marseillaise sur son site Internet delamoureneclats.fr
‡ Au diable la tiédeur suivi d'un Petit traité de l'essentiel, Michel-Marie Zanotti-Sorkine (abbé), Robert Laffont éditeur, 2012, 191 p. (14,90 €).
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Le curé de Dombasle-sur-Meurthe (54) agressé à son domicile
L’abbé François Geoffroy a été victime d’un mystérieuse agression jeudi 8 novembre vers 22h30, alors qu’il regagnait son domicile après une réunion.
Le curé de Dombasle-sur-Meurthe venait de garer sa voiture dans le garage quand un homme, dont le visage était dissimulé par une cagoule, lui a sauté dessus.
« Apparemment, il m’attendait », confie l’abbé Geoffroy. « Il m’a jeté plusieurs fois à terre, je me suis relevé à chaque fois et je me suis défendu ». Les motivations de l’agresseur sont obscures : rien n’a été volé. « Il n’a pas prononcé une seule parole : on dirait qu’il avait peur d’être identifié. Je crois avoir ma petite idée… ». Durant la rixe, l’agresseur a perdu sa montre. Elle permettra peut-être de le démasquer.
Souffrant de douleurs costales et d’une estafilade au visage, le prêtre, âgé de 75 ans, a été conduit à l’hôpital où il a passé la nuit. Plainte contre X a été déposée.
[source : Est Républicain]
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Le curé et son âne
Pour la fin de ces vacances estivales, on sort de la Lorraine. Nous vous proposons non pas une nouvelle fable de notre bon Jean de La Fontaine, mais un clin d'oeil qui vous surprendra par son originalité et son côté sympathique.
Avec son col romain, son béret et son âne, l'abbé Don Antoine Drouineau, 34 ans, n’est pas passé inaperçu ces derniers jours sur les routes de Loir-et-Cher, du Loiret, de l’Essonne et de Seine-et-Marne. Aumônier dans un lycée de Loir-et-Cher, ce membre de la communauté Saint-Martin vient d’être nommé prêtre référent à Brie-Comte-Robert (Seine-et-Marne) pour exercer son ministère dans les paroisses de Moissy-Cramayel, Lieusaint et Réau, et a décidé de transformer sa mutation en pèlerinage.
Le jeune homme est parti le 21 août. Il a posé son sac à Sénart ce week-end, sans ampoules aux pieds et comblé par l’expérience. « J’ai voulu faire un petit pèlerinage pour arriver sur mon nouveau ministère et avoir le temps de prier, explique-t-il. La marche avec l’âne était propice à la méditation car il marche doucement. Ce sont d’anciens paroissiens qui me l’ont offert à Chinon. Il s’appelle Balaam, comme le prophète. Son âne vit l’ange du Seigneur et l’empêcha de faire le mal. Il parla à Balaam et lui donna la bonne direction. »
Le périple du jeune prêtre s’est déroulé sans encombre : « J’ai planté la tente tous les soirs. Des gens m’ont accueilli pour m’offrir une douche ou de la nourriture. J’ai traversé des paysages magnifiques : la Sologne, la forêt de Chambord, où on a vu du gibier, la Loire… » Mais croiser un curé et son âne sur les routes de campagne n’a pas manqué d’attirer la curiosité des passants : « Les gens m’ont souvent demandé d’où je venais, où j’allais. Et l’âne les a attendris. Quand ils voyaient que j’étais prêtre grâce à mon col romain, ils étaient d’autant plus intrigués par ma démarche. Certains m’ont confié leurs prières. »
Don Antoine — l’appellation 'Don' vient des origines italiennes de la communauté Saint-Martin — remplacera à Sénart le Père Salvador, rentré en Inde précipitamment pour raison de santé. Il sera officiellement installé dans la paroisse ce dimanche 2 septembre au cours des messes de Lieusaint et de Moissy-Cramayel. Cette proximité avec Paris lui permettra d’y commencer son doctorat de philosophie.
[Le Parisien | 27.08.2012]
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Bleurville (Vosges) : le presbytère XVIIIe-XIXe est vendu
Le dernier desservant de la paroisse a quitté le presbytère en octobre 2010. L'ancienne maison curiale, propriété de la commune, vient d'être vendue à un particulier.
Vaste bâtisse du XVIIIe siècle, elle a été transformée en 1830 en pleine révolution, entre la chute du roi Charles X et l'avènement du roi des Français Louis-Philippe. Le presbytère, situé en face de l'église paroissiale, est entouré de murs et dispose d'un vaste jardin à l'arrière ainsi qu'un verger.
La cure avait été vendue à la Révolution puis rachetée par la commune au moment de la restauration du culte catholique lors du Concordat de 1801. Des travaux d'agrandissement et d'embellissement seront réalisés en 1829.
L'immeuble dispose de nombreuses pièces, une belle montée d'escaliers en pierre de taille, une vaste cave ainsi qu'une grange et un bûcher.
Elément notable : grâce à son emplacement privilégié, la maison curiale jouit d'une large vue surplombante sur une grande partie du village ainsi que sur la vaste forêt de Darney qui s'étend à l'horizon.
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Appel aux Bleurvillois : à la recherche de photos d'anciens curés de Bleurville
Nous lançons un appel aux Bleurvillois "de Bleurville" - et aux Bleurvillois expatriés ! - ainsi qu'à toute personne pouvant nous aider afin de retrouver des photographies de curés ayant exercé leur ministère à Bleurville.
Dans la perspective de rédiger un ouvrage sur le village de Bleurville, nous recherchons des clichés où apparaissent les anciens curés de Bleurville suivants :
- les abbés Pierre Brice et Max Daval, curés de Bleurville (et Viviers-le-Gras) en 1966-1967
- l'abbé Raymond Demarche, curé de Bleurville entre 1967 et 1969
Merci d'avance pour votre collaboration !
[sur le cliché ci-contre : l'abbé Demarche (à gauche) en 1969 à Charmes, archives La Liberté de l'Est]
‡ Merci de nous contacter par mail : histoireetpatrimoinebleurvillois@laposte.net
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Nancy : installation du nouveau curé de la cathédrale
Dimanche 11 septembre, lors de la Sainte Messe, l'abbé Munier, vicaire général du diocèse de Nancy & de Toul, a installé officiellement le nouveau curé de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy. Il s'agit de l'abbé Guy LESCANNE, curé de la paroisse Notre-Dame de Bonne Nouvelle.
L'abbé Jean-Louis COINSMANN, prêtre de la dernière ordination, est nommé prêtre coopérateur sur la paroisse et référent pour les établissements scolaires Saint-Dominique et Charles de Foucauld. l'abbé Michel OGER, prêtre en retraite sera également présent à leurs côtés.
Nous leur souhaitons un fructueux ministère auprès des catholiques du centre ville.
A l'occasion de l'installation du nouveau pasteur, nous aurons une pensée pour l'ancien curé de la cathédrale récemment décédé, l'abbé Daniel Boichot.
[cliché ©paroisse N.-D. de Bonne Nouvelle]
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Nancy : installation du nouveau curé de la cathédrale
Dimanche 11 septembre 2011, le nouveau curé de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation, l'abbé Guy Lescanne, et l'abbé Jean-Louis Coinsmann, prêtre coopérateur à la paroisse Notre-Dame de Bonne Nouvelle, seront installés lors de la messe de 11h15 par l'abbé Jean-Michaël Munier, vicaire général.
La messe d'installation des prêtres sera suivie du verre de l'amitié puis du repas paroissial servi dans la cour du lycée Saint-Dominique, à côté de la cathédrale (prix du repas : 10 €, réservation avant le 5 septembre au presbytère 6 rue des chanoines à Nancy).
‡ Installation des abbés Guy Lescanne et Jean-Louis Coinsmann, dimanche 11 septembre 2011 à 11h15 à la cathédrale de Nancy.
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Décès de l'abbé Daniel Boichot, curé de la cathédrale de Nancy
L'abbé Daniel Boichot, curé démissionnaire de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy, est décédé à l'aube de ce jeudi 23 juin.
Une veillée de prières est organisée dimanche 26 juin prochain à 20h30 à la cathédrale.
Les funérailles se dérouleront lundi 27 juin à 15h00 en la cathédrale Notre-Dame.RIP.
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Paroisse Notre-Dame de la Saône : messe d'au revoir de l'abbé Villaume le 2 octobre
L'abbé Charles Villaume s'apprête à quitter la paroisse Notre-Dame de la Saône. Il avait déjà pris une semi-retraite dans son presbytère de Bleurville depuis fin 2009.
Nommé curé in solidum avec l'abbé Pierre Maillard, curé de Monthureux-sur-Saône, en 1994, en résidence à la cure de Bleurville, il avait mené à bien la création de la grande paroisse Notre-Dame de la Saône qui regroupe onze clochers, après avoir été durant 30 ans missionnaire fidei donum au Mali.
Son âge - 83 ans - et quelques soucis de santé l'ont décidé à quitter la maison curiale de Bleurville pour se rapprocher de sa famille.
L'abbé Villaume célébrera sa messe d'au revoir en l'église de Regnévelle samedi 2 octobre à 18h00. Elle sera suivi du verre de l'amitié.
Nul doute que les paroissiens pratiquants et non pratiquants auront à coeur de participer nombreux à sa dernière messe dans la paroisse Notre-Dame de la Saône.
Merci Monsieur l'abbé pour votre fructueux ministère passé parmi ces vosgiens catholiques du bout du diocèse !
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Une pétition pour garder le curé de Corcieux (Vosges)
[Vosges Matin | 14.07.09] -
Les chanoines de Vittel
[Vosges Matin] -
L'abbé Chapiat, le curé historien de Vittel
[Vosges Matin] -
Denier de l'Eglise : donnez... et réduisez vos impôts !
Renseignements et don possible sur http://catholique-nancy.cef.fr
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Un dimanche convivial à la paroisse Saint-Pierre – N.-D.-de-Bonsecours de Nancy
Chaque année, la paroisse Saint-Pierre - Notre-Dame-de-Bonsecours organise un repas amical réunissant clergé et paroissiens.
Ce repas a réuni dimanche dernier 70 personnes, qui ont tous apprécié la délicieuse choucroute au menu. Ce fut l'occasion pour les curés de la paroisse, le père Jacques Bombardier, de l’Oratoire Saint-Philippe-Néri, et l’abbé Florent Husson, de discuter en toute amitié avec leurs paroissiens et de mieux les connaître. On notait également la présence du diacre Georges Le Tallec parmi les convives.
Ce moment de convivialité s'est déroulé dans une excellente ambiance, permettant à certains de découvrir des voisins ou de retrouver des connaissances perdues de vue depuis quelque temps.
[cliché Est Républicain]
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Installation de l'abbé Clément Ayéméné à Lamarche (Vosges)
L'abbé Clément Ayéméné a été officiellement installé à la cure de Lamarche ce dimanche 12 octobre 2008.
Eglise Notre-Dame de LamarcheIl a été accueilli par la communauté de la grande paroisse Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel lors de la messe de 15 h 00 célébrée en l'église Notre-Dame de Lamarche. Après la procession d'entrée, le Père Ayéméné a été accueilli par l'abbé Claude Durupt, vicaire général représentant Monseigneur l'évêque de Saint-Dié.
L'abbé Pierre Febvet a ensuite présenté la paroisse Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel et a rappelé l'histoire de ce prêtre originaire de Serécourt et mort en martyr de la foi sur les pontons de Rochefort en 1794.
L'abbé Clément Ayéméné a donc été officiellement investi des pouvoirs d'administrer les paroisses Bienheureux Jean-Baptiste Ménestrel et Notre-Dame de la Saône.
Il a été ordonné prêtre le 16 octobre 1994 à Gagnoa, en Côte d'Ivoire. Après sa formation à la faculté de théologie catholique de Strasbourg, il a exercé un ministère paroissial dans le Haut-Rhin depuis octobre 2000.
L'abbé Durupt lui a rappelé qu'il allait vivre au milieu d'hommes et de femmes amoureux de leur pays et très attachés à leurs villages. Sa mission est d'évangéliser cette terre, comme les missionnaires français ont pu le faire jadis dans son pays, de stimuler et de former les chrétiens du lieu, d'accompagner les jeunes avec les catéchistes. Cela ne pourra se faire qu'avec l'aide de tous et surtout de ses frères prêtres du secteur avec qui il va travailler - les abbés Febvet et Villaume -, du curé-doyen Jean-Marie Lallemand et des équipes paroissiales.
Après avoir été officiellement installé sur le siège de présidence en l'église Notre-Dame de Lamarche par le vicaire général, l'abbé Ayéméné a concélébré le Saint Sacrifice avec les prêtres présents, dont un représentant de l'archevêque de Dijon.
On notait dans l'assistance la présence de maires de communes de la paroisse Bx J.-B. Ménestrel qui seront desservies par l'abbé Clément Ayéméné.
Nous souhaitons au Père Ayéméné un fructueux ministère dans le sud-ouest vosgien.
Procession d'entréeProfession de foi du Père Ayéméné et installation sur le siège de présidencePrière eucharistiqueCélébration du Saint Sacrifice