[Vosges Matin]
vosges - Page 23
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Henri tart, un pilote de course du début du XXe siècle
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Saône vosgienne : "Bien vivre aujourd'hui dans une maison ancienne"
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Bleurville (88) : quelle mémoire du 70ème anniversaire de la capitulation allemande ?
Lecture du message du ministre par le maire de Bleurville [cl. ©H&PB].
Que reste-il du souvenir de la capitulation du IIIe Reich le 8 mai 1945 ? A voir le peu de population participer à la commémoration du 8-Mai, nous sommes en droit de nous poser la question.
Et pourtant, depuis 70 ans, chaque année, les municipalité successives et les associations patriotiques locales maintiennent le souvenir des militaires morts pour la France et des victimes civiles tuées durant la Seconde Guerre mondiale en organisant la cérémonie patriotique au pied du monument aux morts du village.
Dès 8h45, les cloches s'ébranlaient pour rappeler ce jour d'allégresse que fut ce 8 mai 1945 pour des millions d'européens, alors que les représentants de l'Allemagne nationale-socialiste signaient à Berlin la capitulation sans condition devant les Alliés. Jour de joie, mais aussi d'immense tristesse, avec la libération des camps de prisonniers de guerre – les grands oubliés de ce conflit mondial – et des camps de concentration...
Après les sonneries réglementaires effectuées par la fanfare cantonale et la levée des couleurs, Denis Bisval, maire de Bleurville, déposa une gerbe au pied du monument aux morts, accompagné de deux enfants de l'école du village. Puis, à l'issue de l'appel des soldats morts pour la France, il a procédé à la lecture du message du secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et victimes de guerre. Il a remercié les habitants qui avaient fait leur devoir de mémoire, les porte-drapeaux des Anciens Combattants 14-18 / 39-45 et AFN, madame l'institutrice et les enfants qui interprétèrent la Marseillaise, ainsi que la fanfare locale qui accompagne avec brio toutes les cérémonies patriotiques au pays de la Saône vosgienne.
Toute l'assistance a ensuite partagé le vin d'honneur dans la salle de réunion de la mairie.
Un service religieux était célébré en l'église de Monthureux-sur-Saône pour le repos des âmes des victimes des guerres et pour la paix.
‡ Plus de photos ici https://www.facebook.com/pages/Abbaye-Saint-Maur-De-Bleurville/764967763526975?fref=ts
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Bleurville (88) : images printanières en jaune et vert
‡ Plus de photos ici https://www.facebook.com/attalin.bertarius
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8-Mai : commémoration de la capitulation allemande et hommage aux libérateurs
Commémoration du 8-Mai devant le monument aux morts de Bleurville [cl. archives H&PB].
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Saône vosgienne : le plan local d'urbanisme intercommunal en débat
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (88) : les animations de l'été 2015
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Travaux à l'abbaye Notre-Dame d'Autrey (88)
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Hennezel (88) : Mémoire de la Grande Guerre au musée du verre
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Bleurville (88) : les acteurs du tourisme promeuvent "Les Vosges côté sud-ouest"
Devant le prieuré bénédictin de Bleurville [cl. H&PB].
Bleurville accueillait ce 2 mai 2015 les acteurs du tourisme dans le sud-ouest vosgien à l'initiative des communautés de communes du Pays de Saône et Madon, du Pays de la Saône vosgienne, du Val de Vôge et des Marches de Lorraine ainsi que des syndicats d'initiative de Bains-les-Bains, Darney, Monthureux-sur-Saône et Martigny-les-Bains.
L'après-midi était consacré à la présentation des activités de quatre associations : les Amis du Vieux-Fontenoy qui travaille à la restauration du donjon médiéval de la cité de la Vôge, l'association Environnement & Patrimoine de Martigny-les-Bains qui gère les anciennes thermes, Yves Humblot, sculpteur et animateur du domaine de Guillevic à Darney, et l'association du marché bio de Bleurville qui organise mensuellement le marché des producteurs locaux.
A l'issue, les participants ont visité l'abbaye Saint-Maur et le musée de la Piété populaire.
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Parc naturel régional Saône-Meuse : le projet présenté
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Bleurville (88) : restauration de l'escalier d'accès à l'ancien prieuré
Les ouvriers d'Acti'Sov achèvent les travaux de réfection de l'escalier du prieuré.
Propriété de l'association des Amis de Saint-Maur, l'ancien prieuré bénédictin du XVIIIe siècle est situé à côté de l'abbatiale Saint-Maur.
L'escalier d'accès était en mauvais état, victime du temps et des hommes. A l'automne dernier, le bureau de l'association avait décidé de procéder à sa réfection. Chose faite désormais, le chantier d'insertion Acti'Sov de la Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne a réalisé promptement et efficacement ces travaux, dans le respect de l'environnement architectural : les éléments anciens en grès des Vosges ont notamment été réemployés.
Le logis prieural, qui abrite en particulier le musée de la Piété populaire, est prêt pour accueillir les visiteurs ; la saison ouvrira le 1er juillet prochain.
[cliché M. Bisval]
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Fort d'Uxegney (88) : sur les traces des Poilus d'Alaska
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Plombières-les-Bains (88) : vers la réfection de la toiture de l'église Saint-Amé ?
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Chroniques 1900 de Remiremont
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27 avril 1895 : la tragédie de Bouzey
Cent vingt ans se sont écoulés. Et pourtant, le souvenir se perpétue dans les vieilles familles de la vallée de l’Avière qui ont vécu la catastrophe du 27 avril 1895. A 5h15 précisément, le barrage du réservoir de Bouzey (servant à alimenter le canal de l’Est, rebaptisé depuis 2003 canal des Vosges) cédait sous la pression des millions de mètres cubes d’eau. Un véritable raz-de-marée a surpris les habitants, pour la plupart encore endormis.
Seules les deux extrémités de l’édifice, érigé en ligne droite sur une longueur de 500 m, sont restées debout. Les 7 000 000 de mètres cubes d’eau se sont engouffrés par une brèche de 250 m dans un vacarme assourdissant audible à plusieurs kilomètres à la ronde. Quinze minutes ont suffi pour vider la totalité du réservoir. La vague de près de quatre mètres de hauteur a tout balayé sur son passage. La pisciculture Claudon, placée au pied de la digue, n’a pas fait un pli. Le canal de l’Est n’a pas résisté non plus. Ses eaux se sont mêlées au torrent qui s’est dirigé tout droit vers la vallée de l’Avière.
A 7h03, les eaux boueuses ont terminé leur course folle d’une vingtaine de kilomètres dans la Moselle, à Nomexy.
Une fois la décrue amorcée, les villages meurtris ont découvert le désastre et, surtout, ont compté leurs morts. Ils s’appelaient Marie, Julie, Joseph, Arsène… Des enfants, des femmes, des hommes. En tout 87 victimes ont été dénombrées. 17 à Chaumousey, autant à Uxegney, 10 à Sanchey et Nomexy, 1 à Darnieulles, 1 à Oncourt. Frizon n’a pas été épargné par les eaux. Néanmoins, il est le seul village où aucun habitant n’a trouvé la mort. En revanche, Domèvre-sur-Avière a été le plus impacté avec 31 victimes. Une dizaine d’autres sont mortes à leur tour quelques jours plus tard, suite à la pollution des puits. Tout a été dévasté. Des ponts se sont écroulés comme des châteaux de cartes, les arbres ont été déracinés, des centaines de cadavres d’animaux gisaient ça et là. Des bateaux se sont retrouvés dans des champs. Près de cent maisons ont été emportées. Celles restées debout ont été sérieusement endommagées. Le pays tout entier s’est mobilisé pour venir en aide aux victimes de ce qu’on peut appeler un véritable cataclysme.
Les travaux de l’édifice uniquement fait de béton avaient débuté en 1878 pour se terminer en 1880. La mise en eau du réservoir s’est faite petit à petit. En 1884, alors que le niveau maximal n’est pas encore atteint, une inflexion de 34 centimètres s’est produite sur une longueur de 135 mètres accentuant des fissures d’où s’échappaient 30 000 m³ d’eau par jour. Le colmatage de ces fissures n’a rien apporté de plus. Des modifications ont aussitôt été entreprises, visant à élargir la base du barrage, passant de 12,40 m à 18,40 m.
En 1890, après une lente mise en eau, la cote maximale du réservoir a été atteinte et ainsi maintenue malgré la perception de craquements et les gerbes d’eau qui s’échappaient encore, faisant craindre le pire aux habitants des villages situés en aval. Et ce qui malheureusement était tant redouté a bien eu lieu.
A Uxegney, la maison Pierre garde toujours les stigmates de la catastrophe. Les propriétaires successifs ont tenu à préserver la façade sans jamais la rénover. Le haut du bardage de tavaillons (tuiles en bois) est resté tel quel. Les trois mètres du dessous ont disparu. Emportés par la rivière en furie, l’Avière. Celle qui a marqué et meurtri plusieurs générations.
[d'après Vosges Matin]
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Mirecourt (88) : la tradition luthière bien vivante
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"Les Vosges côté sud-ouest" à Bleurville le 2 mai
Les communautés de communes du sud-ouest des Vosges (Darney, Monthureux-sur-Saône, Bains-les-Bains et Lamarche) donnent rendez-vous aux acteurs du tourisme vosgien à la salle de réunion de la mairie de Bleurville samedi 2 mai 2015 à partir de 14h00 pour un programme de découverte du sud-ouest vosgien dans le cadre de l'opération "Les Vosges côté sud-ouest".
Au programme :
- 14h30 - 15h30 : présentation des actions engagées par des associations locales sur les thèmes suivants : sur les traces du passé, au fil de l'eau, vivre la nature et saveurs et traditions
- 15h30 - 16h15 : visite guidée de l'abbaye Saint-Maur
- 16h15 : visite du marché bio de Bleurville, place du Prince
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Epinal : cure de jouvence pour l'orgue de choeur de la basilique Saint-Maurice
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Châtillon-sur-Saône prépare sa saison touristique
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Attigny (88) : il faut sauver la chapelle Bizot
La chapelle Notre-Dame de Pitié d'Attigny, état avril 2015 [cl. ©H&PB].
Depuis notre article publié dans L'Echo des Trois Provinces en 2013 - et sur ce même blog -, la chapelle Bizot d'Attigny a bénéficié d'une sérieuse opération de nettoyage : la commune d'Attigny a en effet procédé à l'éradication de la végétation qui envahissait lentement mais inexorablement cet édifice construit en 1867 sur les ruines d'un ermitage fondé au XVIIe siècle.
Dédiée à Notre-Dame de Pitié, cette chapelle située en forêt, entre Attigny et Claudon, dans le sud-ouest des Vosges, est depuis longtemps oubliée des fidèles et ne reçoit plus la visite que de vandales...
Propriété privée, ce lieu de culte champêtre et forestier mériterait un meilleur sort : sa toiture étant plutôt en bon état, il suffirait d'un peu de moyens financiers et beaucoup d'huile de coude pour lui redonner une nouvelle jeunesse et en faire un lieu patrimonial et chrétien attractif dans ce secteur rural qui dépérit, lui aussi, dans le silence et l'indifférence.
On espère que le futur parc naturel régional entre Saône et Meuse, actuellement en discussion, contribuera à la sauvegarde et à la valorisation de ce patrimoine historique et spirituel...
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Le Pays Lorrain n° 1 - 2015 : cartes et plans anciens de la Lorraine
Ce numéro du Pays Lorrain, la revue du Musée Lorrain de Nancy, est essentiellement consacré à la représentation cartographique de la Lorraine, de la restauration des duchés par le duc Léopold Ier au début du XVIIIe siècle, à l'établissement des premières cartes géologiques au siècle suivant. Photographiés, numérisés et mis en ligne, cartes et plans anciens, souvent méconnus ou ignorés, sortent enfin de l'oubli ou de la confidentialité où ils étaient relégués. Pour notre plus grand plaisir et pour toujours mieux connaître notre province.
A découvrir :
- Didier Bugnon, un ingénieur géographe français au service du duc Léopold
- la vue cavalière de Remiremont de 1733
- le plan terrier de l'abbaye de Gorze : un regard sur la Lorraine rurale du XVIIIe siècle
- cartes et plans forestiers lorrains du XVIIIe siècle : lectures et apports
- jardins et chènevières du village lorrain d'après les cartes et plans anciens
- "encrer" les terroirs par la carte "topographique" : l'exemple de Moncel-sur-Seille (1726)
- les premières cartes géologiques en Lorraine : l'évolution des concepts en sciences de la terre du XVIIIe au XIXe siècle
- François de Lorraine (1689-1715) : le "petit frère" du duc Léopold
- Bourbaki, un collectif au travail
Et les rubriques habituelles: la chronique régionale, les livres et périodiques, la vie du musée et de la société.
‡ Le Pays Lorrain est disponible à l'accueil du Musée Lorrain ou sur abonnement (39 €, 4 numéros) en adressant vos coordonnées postales et votre règlement à : LE PAYS LORRAIN, 64 GRANDE RUE, 54000 NANCY.
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L'Echo des Trois Provinces de printemps est paru
Au sommaire de ce numéro printanier de L'Echo des Trois Provinces, le magazine des habitants du secteur couvrant les confins de la Lorraine, de la Champagne et de la Franche-Comté :
- la famille Duhoux
- le préventorium d'Isches
- Lamarche : les cahiers de Melle Marchal (1914-1918)
- au fort d'Uxegney : sur les traces des poilus d'Alaska
- poésie pascale
- Isches : un étudiant indien à la découverte du savoir-faire laitier
- Lamarche: la culture pour tous avec la nouvelle médiathèque
- histoire de la cuisine
- Parc naturel régional : 2015 une année décisive pour le futur parc
- Jonvelle : une bonne saison pour le site gallo-romain
- Tignécourt : 9ème rencontres Natur'Images
- Isches : 16ème rando' VTT nature à l'Ascension
- les animations du printemps au Pays des Trois Provinces
‡ L'Echo des Trois Provinces est disponible sur abonnement. Contactez trésorerie.adp3p@yahoo.fr
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34ème AG de Saône Lorraine sous le signe du renouveau
L'association patrimoniale du sud-ouest vosgien tenait ses assises annuelles à Vrécourt. Moment important pour cette « petite entreprise » pilotée par Jean-François Michel pour dresser le bilan de l'année écoulée et esquisser son avenir.
La plus ancienne association de sauvegarde du patrimoine du sud-ouest des Vosges - devancée de quelques années par celle des Amis de Saint-Maur de Bleurville, née en 1976 - avait rassemblé ce dimanche 19 avril ses adhérents à Vrécourt afin de passer en revue les actions engagées en 2014 dans les différents sites gérés par la structure. Après avoir été accueilli par le maire de la localité, le président Jean-François Michel a dressé un rapport moral globalement satisfaisant. Il a salué la mémoire des adhérents décédés l'an passé et a rendu un hommage particulier au docteur Daniel Durand, très attaché au village de Martinvelle, qui fut un pilier de l'association à ses débuts.
Musée d'Hennezel. Le musée des activités anciennes de la forêt de Darney a connu une belle fréquentation avec le marché de Pâques et l'exposition temporaire sur la mémoire de la Grande Guerre en Saône lorraine qui est reconduite cette année. En 2016, une rétrospective sur l'enfance costumée aux XIXe-XXe siècles est prévue, « rayon de soleil » après deux années consacrées aux malheurs de la guerre. Dans le futur proche, la salle d'exposition sera transformée en un lieu permanent dédié au verrier François-Théodore Legras.
Cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône. Une nouvelle convention a été adoptée entre Saône Lorraine et l'association du Musée de Châtillon. Désormais, cette dernière gérera directement les animations et leur organisation. Cette nouvelle collaboration devrait permettre un renouveau des manifestations destinées à valoriser le patrimoine historique. La création d'un site internet devrait aussi constituer un nouveau relais de communication. Les musées vivants ont connu une fréquentation variable selon les dates. Ils sont reconduits et le premier aura lieu le 10 mai.
L'église et le couvent des Cordeliers des Thons. Des travaux importants sur les toitures on été réalisés en 2014 sous l'autorité de l'architecte en chef des Monuments historiques. Les travaux se poursuivront à l'église en fonction des aides qui pourront être obtenues. Le président Michel a remercié en particulier Jacky Frémont, délégué de la Fondation du Patrimoine des Vosges, et Mireille-Bénédicte Bouvet, conservatrice de l'Inventaire général de Lorraine, pour leur soutien actif. Les concerts organisés aux Cordeliers l'été dernier ont connu une bonne fréquentation.
Saône Lorraine est forte de 418 adhérents, une légère baisse est notée par rapport à 2013 (- 3%). Le rapport financier a été adopté à l'unanimité laissant apparaître une situation saine.
Plusieurs membres du conseil d'administration ont été réélus : Bernard Délémontey, Marie-Madeleine Boulian, Gilbert Prosper, Robert Mougin, Francis Relion, Nicole Hottier, Albert Craplet et Paulette Wacquez.
Châtillon accueillera le 6 juin prochain la Journée d'histoire régionale organisée par le Comité d'histoire régionale. Le président Michel a confirmé que les Journées d'études vosgiennes 2016, organisées en partenariat avec la Fédération des sociétés savantes des Vosges, auront lieu à Monthureux-sur-Saône et dans la vallée de l'Ourche.
Enfin un repas a rassemblé les adhérents dans une excellente ambiance. À l'issue, une promenade-découverte du patrimoine de Vrécourt a mené les curieux à l'église puis dans les caves de l'ancien château. Une rétrospective sur les 35 ans de l'association a également été présentée par Pierre Bordes.
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Bleurville (88) : pour le développement de la bibliothèque municipale
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Jeanne d'Arc en histoire et en musique à Domremy le 25 avril 2015
‡ Plus d'info sur http://crulh.univ-lorraine.fr/content/jeanne-darc-en-histoire-et-en-musique-2eme-partie
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Le maître sculpteur Jean Bailly et les sculpteurs de Damas-aux-Bois
Alain Claude, généalogiste et chercheur vosgien passionné, nous offre dans cet ouvrage le fruit de plusieurs années de dépouillement de fonds d'archives, en révélant au lecteur l'histoire d'une dynastie de sculpteurs sur bois : les Bailly de Damas-aux-Bois, dans le bailliage d'Epinal.
Aux XVIIe-XVIIIe siècles, Damas-aux-Bois fut en effet un centre actif de la sculpture religieuse : plusieurs églises des Vosges et de Meurthe-et-Moselle conservent encore du mobilier liturgique qui fut créé par les Bailly de Damas-aux-Bois.
L'auteur nous fait partager le parcours de Jean Bailly et nous laisse admirer la splendeur de ses œuvres, dignes des plus grands artistes de l'époque qu'il a pu fréquenter (les Gerdolle par exemple). L'ouvrage comprend également un répertoire complet des sculpteurs et doreurs vosgiens qui travaillèrent entre le XVIIe et le XXe siècle.
Véritable guide historique et artistique, il guidera le passionné d'art sacré à travers la Lorraine des "sculpteurs de Dieu".
‡ Le maître sculpteur Jean Bailly et les sculpteurs de Damas-aux-Bois, Alain Claude, Cercle généalogique et historique de Vincey et du bailliage d'Epinal, 2015, 187 p., ill. (28 €).
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Soulosse-sous-Saint-Elophe (88) : vers une restauration de la chapelle Saint-Epéotte
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La vache Vosgienne devient une marque
[VM]
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Chaumousey (88) : des cartes postales pour restaurer l'église
[Vosges Matin]