Lors de la Semaine Sainte, en signe de pénitence et de deuil, les cloches se taisent après le Gloria de la messe de la Sainte Cène jusqu'au matin de Pâques où elles carillonnent joyeusement la résurrection du Christ. Nos cloches sont parties en voyage à Rome...
Dans la tradition de l’Eglise catholique, les crécelles font partie du mobilier liturgique de la sacristie : elles servent notamment au moment de l’élévation à la messe du Jeudi Saint. Jadis, elles étaient prêtées aux enfants de chœur ou, comme à Champigneulles (Meurthe-et-Moselle), au milieu du XXe siècle, réservées aux communiants qui avaient l'honneur d'agiter les crécelles trois fois dans la journée aux heures habituelles de l'Angélus. Désormais, les groupes mixtes de servants d'autel comprennent les enfants des catéchismes qui acceptent de se lever très tôt !
Dès le Vendredi Saint au matin, on entend encore dans les rues de nos villages et bourgs lorrains le bruit caractéristique des crécelles interrompu par une sorte de ritournelle : "C'est l'angélus !" ou "A l'Angélus !". Il existe bien d'autres variantes d’antiennes selon les villages. Et ce sera ainsi jusqu’au soir de la Vigile pascale ; les enfants annonçant également les offices du Vendredi Saint et du Samedi Saint en même temps que l’Angélus.
Après la messe du jour de Pâques, les crécelleurs, appelés aussi « bruants » ou « brouants », effectueront leur dernière tournée de porte en porte pour recevoir le fruit de leurs efforts. Dans le sud-ouest vosgien, on appelle cette tournée « la roulée ». Aujourd'hui, il s'agit de récolter des friandises ou plus souvent quelques pièces de monnaie dont le chef des crécelleurs fera le partage entre tous. Souvent, une partie de l'argent est réservée à une œuvre charitable. A Bleurville (Vosges), jusque dans les années 1980, l’argent de la « roulée » servait au desservant de la paroisse à payer un voyage à ses enfants de chœur. Mais jadis, l'argent étant rare, les crécelleurs recevaient des œufs, du beurre et de la farine ; ils se réunissaient alors chez l'un d'entre eux pour faire des crêpes. Ces produits pouvaient aussi être vendus au boulanger du village et l’argent réparti entre les enfants.





La messe sera dite par l’abbé Vuillemin, curé de la paroisse, jeudi 16 juillet 2009 à 18h30 en l’église Saint-Louis de Vittel.
A l'occasion de la fête patronale de Bleurville, la messe a été chantée par le Père Jonas, d'origine malienne. Il est actuellement en stage dans le Sud-Ouest vosgien dans le cadre d'une opération de découverte des méthodes d'organisation agricole et de développement rural. Il poursuit des études en Belgique avant de rejoindre son diocèse malien pour y mettre en place des actions de développement auprès des populations chrétiennes locales fortement soumises à la pression des musulmans soutenus par l'Arabie Saoudite.





Stanislas Leszczynski, est décédé le 23 février 1766 à Lunéville à l'âge de 89 ans, des suites d'une chute dans un âtre du château. Jusqu'en 1790 une messe était dite pour le repos de son âme à chaque anniversaire de sa mort. Puis cette tradition s'éteignit.
L'abbé Jacques Bombardier, prêtre de l'Oratoire Saint-Philippe-Néri et curé de Notre-Dame de Bonsecours, célébrera une messe pour le repos de l'âme du roi de Pologne et duc de Lorraine et de Bar Stanislas Leszczinski ce samedi 21 février à 18 heures en l'église Notre-Dame de Bonsecours à Nancy.







Pour la commémoration du 89ème anniversaire de l'Armistice 1918, et malgré un ciel de novembre pluvieux, la population du village a répondu à l'appel de la municipalité en se rassemblant nombreuse autour du monument aux Morts.