Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Droiteval-Ourche-Patrimoine : mini financements pour maxi projets

    dop.jpg

    [Vosges Matin]

  • L'histoire des pompiers en Lorraine

    « Cela m’a demandé cinq ans de travail. Et le plus dur au fond a été de tout rassembler en 160 pages », explique Denis Bergerot. Le maire de Millery (54), enseignant et éditeur au sein de sa maison Gens de Lorraine, vient de signer une monographie sur le monde des sapeurs-pompiers en Lorraine.

    lorraine,sapeurs pompiers,denis bergerotD’archives départementales en témoignages, il s’est mué en reporter de l’histoire pour partir dans les pas des pompiers des origines. « C’étaient alors, les religieux qui étaient chargés d’éteindre les feux avec des professions réquisitionnées, comme les charpentiers, tonneliers, en passant - chose plus surprenante - par les bourreaux des villes qui allaient chercher les prostituées pour porter les seaux d’eau. Le premier service de caserne était né », explique l’auteur qui s’étonne lui-même qu’aux origines les pompiers posaient leur échelle à même les façades en feu.

    Pire, dans l’un des nombreux incendies du château de Lunéville, au XVIIIe, ordre fut donné d’abattre un escalier pour couper l’avancée des flammes. Tant pis pour les hommes qui luttaient à l’étage… « La crainte de voir les incendies se propager était plus importante ». Il faudra attendre la seconde partie du XIXe pour que les considérations évoluent. Mais ce sont les deux guerres mondiales qui ouvriront les pompiers au sauvetage des vies.

    Les pompiers doivent à plusieurs de leurs pairs lorrains, de vastes avancées. « C’est un métier où les pompiers eux-mêmes font des découvertes ». Gugumus inventera une échelle autonome à Nancy. Dans les années 1900, le capitaine Barbier posera les fonts baptismaux des casernes. Les Nancéiens lui doivent « la » Gambetta et un musée du feu. À Metz, un autre invente le premier appareil respiratoire.

    Denis Bergerot, fait voyager le lecteur au gré des clichés historiques et modernes. De l’antique Delahaye de Bar-le-Duc aux pompes à bras de Vittel, en passant par les casques de cuir et de cuivre, c’est toute l’aventure du sauvetage qui se décline, pour naturellement s’achever, avec le nec plus ultra, des véhicules affectés aux SDIS d’aujourd’hui. Voilà qui devrait assurer un joli succès littéraire à son auteur. Particulièrement chez les hommes du feu.

    [d'après ER]

     

    ‡ Les sapeurs-pompiers de Lorraine, Denis Bergerot, éditions Gens de Lorraine (32 €).

  • Bleurville : un marché de Noël arrosé

    marché noel.jpg

    bleurville marché.jpg

    [Vosges Matin]

  • Le saint lorrain du mois : saint Pierre Fourier

    saint-pierre-fourier.jpgPierre Fourier est né à Mirecourt le 30 novembre 1565 de commerçants aisés. Ayant reçu de ses parents une éducation familiale très soignée, il fit ses premières études dans sa ville natale parmi les « enfants prêtres » (enfants destinés au sacerdoce), puis à partir de 1578, il les continua à l’Université de Pont-à-Mousson où il manifesta d’exceptionnelles qualités intellectuelles en même temps qu’une très vive piété. En 1585, il entra chez les Chanoines réguliers de Chaumouzey, près d’Épinal. Ordonné prêtre en 1589, il reprit l’étude de la théologie à Pont-à-Mousson, puis rentra dans son abbaye et en 1597, fut nommé curé de Mattaincourt, gros village commerçant, voisin de sa ville natale.

    A une grande austérité de vie, Pierre Fourier joignit une activité pastorale admirable : prédication et enseignement solidement assis sur de vastes connaissances et sur un travail ininterrompu ; charité inépuisable à l’égard de tous ; cérémonies du culte célébrées avec un éclat inaccoutumé.

    Pierre Fourier ne limita pas ses activités à la seule paroisse de Mattaincourt. Soucieux de l’instruction des petites filles, il fonda dès 1597, avec le concours de la bienheureuse Alix Le Clerc une association qui devint bientôt la « Congrégation de Notre-Dame », et se répandit rapidement dans le pays, et même en France voisine. Il entreprit également la réforme des Chanoines réguliers, ordre auquel il appartenait, et groupa leurs maisons en une « Congrégation de Notre-Sauveur ». Il fut encore un missionnaire zélé et la région de Badonviller a gardé une vive reconnaissance au « Bon Père » qui, en 1625, la ramena du protestantisme au sein de l’Église catholique.

    Conseiller volontiers écouté à la cour de Lorraine, Pierre Fourier fut, à la fin de sa vie, victime de son patriotisme. Il dut quitter son pays envahi par les troupes françaises, et mourut en exil à Gray, le 9 décembre 1640. Il a été canonisé par le pape Léon XIII le 27 mai 1897.

  • Saône Lorraine : La Lorraine à la traîne dans le soutien au projet de Parc naturel régional

    pnr.jpg

    [Vosges Matin]

  • Vendée, du génocide au mémoricide

    vendée.jpgVingt-cinq ans après la publication de son livre Le Génocide franco-français : la Vendée-Vengé, Reynald Secher, grâce à la découverte aux Archives nationales de documents totalement inédits, démontre, preuves à l'appui, que le génocide de la Vendée a bien été conçu, voté et mis en oeuvre personnellement par les membres du Comité de salut public et par la Convention, et que l'armée et l'administration n'ont fait qu'exécuter les ordres.

    Afin d'échapper à leurs responsabilités et de masquer la logique idéologique et politique qui menait inéluctablement la République jacobine au génocide, ces criminels et leurs héritiers politiques (communistes, nazis) ont nié les faits, imposé à la nation leur auto-amnistie et une impunité générale. Ils ont ainsi perpétré un second crime, celui de mémoricide, qui, par un renversement pervers, a désigné les victimes vendéennes comme bourreaux et transformé les bourreaux jacobins en victimes.

    A ce premier scandale s'en est ajouté un second. ces bourreaux ont bénéficié de toutes les faveurs et des honneurs de l'Etat, tandis que les victimes et leurs descendants, traumatisés, ont été réduits au silence et en permanence persécutés, se retrouvant ainsi exclus d'une citoyenneté qui leur revenait de droit.

    Raynald Secher, docteur ès Lettres, écrivain, scénariste, est l'auteur du concept de mémoricide, quatrième crime de génocide.

     

    ‡ Vendée, du génocide au mémoricide, Reynald Secher, éditions du Cerf, 2011, 444 p., ill. (24 €).

  • En Lorraine, les cloches sont considérées comme des nuisances sonores...

    sainte-ruffine.jpgLa Cour administrative d’appel de Nancy a condamné la commune de Saint-Ruffine (Moselle) pour nuisances sonores, à la suite du recours d’un couple de la commune qui voulait que les cloches de l’église cessent de sonner la nuit.
     
    Le couple, qui habite l'ancien presbytère, à côté de l'église, et se plaignait de nuisances sonores entre 20h00 et 08h00, avait été débouté en première instance par le tribunal administratif de Strasbourg.
     
    Mais, en appel, les magistrats ont reconnu leur préjudice et ont condamné la commune à leur verser 1.500 euros de dommages et intérêts, alors qu’ils réclamaient 70.000 euros.
     
    « Evidemment, c’est la déception, mais c’est une décision de justice et nous la respectons », a indiqué à l’AFP le maire, Jean-Claude Wannenmacher. « Ceci dit, sur les 270 familles qui résident à Sainte-Ruffine, plus de 250 ont signé une pétition pour le maintien des cloches. Seule une famille se plaint du carillon », a-t-il indiqué.
     
    Le maire a par ailleurs indiqué qu’il allait « réfléchir à un pourvoi en cassation » devant le Conseil d’Etat pour contester cette décision.
     
    Ces mêmes personnes ne trouvent sûrement rien à redire contre les automobiles et autres scooters qui circulent de nuit dans les rues du village... Le bruit des moteurs ne les empêche pas de dormir !
     
    [d'après ER]

  • 6 décembre : fête de Saint Nicolas, saint patron de la Lorraine et des enfants sages

    saint nicolas,saint nicolas de port,enfants,église,myre,varangéville,basilique,processionLe culte de saint Nicolas a connu en Lorraine un développement considérable. Il faut en chercher l’origine au Xe siècle, quand la femme de l’empereur Otton II, Théophanie, qui était d’origine grecque, apporta dans la région rhénane des reliques de l’évêque de Myre. Au milieu du XIe siècle, quelques-unes de ces reliques étaient à l’abbaye de Gorze, qui fonda à Port, sur une terre lui appartenant à côté de Varangéville, une chapelle Saint-Nicolas.

    Ce fut cependant sous l’épiscopat de Pibon, 42ème évêque de Toul, en 1087, qu’arriva l’enlèvement du corps de saint Nicolas, évêque de Myre, par des marins marchands de Bari ; puis l’importation en 1090, au village de Port, sur la Meurthe, par un seigneur lorrain nommé Albert, de l’un des doigts du bienheureux pontife.

    L’église de Port, dépendant du prieuré de Varangéville, devint bientôt le but d’un pèlerinage très fréquenté. Le prieur, qui en avait la charge, la fit réparer et même augmenter en 1110, puis y établit quelques-uns de ses religieux pour aider les pèlerins à satisfaire leur dévotion. Tels furent les commencements du prieuré de Saint-Nicolas. Saint-Nicolas-de-Port fut, à partir de la fin du XIe siècle, un centre de culte très fréquenté ; l’affluence des pèlerins obligea plusieurs fois à reconstruire l’église.

    L’édifice actuel, commencé à l’extrême fin du XVe siècle, achevé vers 1550, témoigne par son ampleur de l’importance du pèlerinage à cette époque. Les malheurs de la guerre de 30 ans marquent le début d’une longue décadence. De nos jours, les pèlerins viennent encore nombreux le samedi le plus proche du 6 décembre au soir pour la « Procession du Sire de Réchicourt » - cérémonie votive qui remonte à l’époque des croisades et rappelle que saint Nicolas est le protecteur des prisonniers -, et le lundi de la Pentecôte.

    [source : http://www.introibo.fr]

  • Les coulisses de la guerre de 1870 en Lorraine

    guerre 70.jpgLa fin de la guerre franco-prussienne de 1870-1871 s'achève de manière désastreuse et se traduit par l'annexion de la Moselle à l'Empire allemand. La Moselle devient alors la Lorraine.

    Cet ouvrage ne raconte pas une fois de plus, ce pan de notre histoire commune avec ses champs de bataille, ses stratèges et le déroulement de combats, mais au contraire il propose un éclairage novateur sur ce conflit raconté tel un vaste reportage où l'humain tient une place prépondérante. Grâce à des témoignages d'époque, souvent inconnus, comme ceux de l'entourage de Napoléon III et du prince impérial alors à Metz, de journalistes français et étrangers, de médecins, de photographes, de simples citoyens, l'auteur restitue avec précision l'atmosphère de ces jours et ces mois qui changèrent le cours de l'histoire et la vie des Lorrains durant près d'un demi-siècle.

    De nombreuses illustrations et gravures inédites viennent soutenir et éclairer ce récit original et néanmois rigoureusement historique.

    L'auteur, Jeanne Vincler, est professeur de lettres modernes en Moselle et préside l'association Du Chaussy à Courcelles ayant pour centres d'intérêt l'annexion et le protestantisme en Pays messin.

     

    ‡ Les coulisses de la guerre de 1870 en Lorraine, Jeanne Vincler, éditions Serpenoise, 199 p., ill. (30 €).

  • Saint-Nicolas-de-Port : la foule des grands jours pour la 766e procession en l'honneur de Saint Nicolas

    Ce samedi 3 décembre, près de 3000 pèlerins avaient envahi pacifiquement la vaste nef de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port, haut lieu du pèlérinage en l'honneur de saint Nicolas, un saint qui unit l'Orient et l'Occident chrétien. La cérémonie était présidée conjointement par Mgr Soueif, archevêque maronite de Chypre, et Mgr Papin, évêque de Nancy & de Toul.

    st nicolas 2012 018.jpgL'antique procession de Saint-Nicolas-de-Port s'est déroulée pour la première fois le 6 décembre 1245 en reconnaissance de la libération miraculeuse du sire de Réchicourt, après quatre années de captivité près de Gaza, en Palestine, lors d'une croisade.

    Cunon de Réchicourt, rentré sur ses terres, à Réchicourt-le-Château (près de Sarrebourg), a institué une procession à Saint-Nicolas-de-Port en accord avec le prieur de l'abbaye de Gorze dont dépendaient les terres de Saint-Nicolas-de-Port.

    Interrompue durant la Révolution, la procession se perpétue depuis 766 ans avec la participation de pèlerins venant de Lorraine bien sûr, d'Europe mais également des cinq continents.

    Le pèlérinage de la Saint-Nicolas d'été aura lieu le Lundi de Pentecôte 28 mai 2012.

    lorraine,saint nicolas,saint nicolas de port,pèlérinage

    Clin d'oeil aux louveteaux et louvettes Europa-Scouts de Nancy qui avaient répondu présents lors la procession de Saint Nicolas au côté de nombreux autres scouts et guides Scouts d'Europe (cliché ER).

     

    st nicolas 2012.jpg

    [Est Républicain]

    lorraine,saint nicolas,saint nicolas de port,pèlérinage

    lorraine,saint nicolas,saint nicolas de port,pèlérinage

    lorraine,saint nicolas,saint nicolas de port,pèlérinage

    lorraine,saint nicolas,saint nicolas de port,pèlérinage

    [clichés © H&PB]

  • Les sapeurs-pompiers de Lorraine

    pompiers.jpgAlors que Paris célèbre cette année le bicentenaire de la création du bataillon des sapeurs-pompiers, premier corps professionnel de lutte contre l'incendie, Denis Bergerot nous propose une histoire des sapeurs-pompiers de Lorraine.

    Si depuis la nuit des temps, l'homme est fasciné par le feu, il a toujours cherché en s'en protéger, et à toutes les époques des hommes se sont organisés pour lutter contre les incendies. Depuis les jurés du feu, maçons, tonneliers et charpentiers du Moyen Âge jusqu'au sapeurs-pompiers du XXIe siècle, l'ouvrage rend un bel hommage à ces hommes et ces femmes qui ont combattu - et combattent - ce fléau destructeur.

    Au fil des siècles, ils ont su mettre à profit leur expérience acquise au péril de leur vie, pour inventer, développer le matériel et les techniques de lutte contre l'incendie et ainsi devenir ce corps d'élite dont chacun reconnaît l'efficacité et le dévouement.

    Un hommage sympathique et en images à ces soldats du feu lorrains dont la devise "Courage & Dévouement" en fait désormais des "soldats de la vie".

    L'auteur, Denis Bergerot, responsable des éditions Gens de Lorraine, est maire de Millery-aux-Templiers, en Meurthe-et-Moselle.

     

    ‡ Les sapeurs-pompiers de Lorraine, Denis Bergerot, éditions Gens de Lorraine, 2011, 160 p., ill. (32 €).

  • Martigny-les-Bains (Vosges) : l'Hôtel international transformé en centre de traitement de la fibromyalgie

    martigny1.jpg

    martigny2.jpg

    [Vosges Matin]

  • François-Ferdinand d'Autriche

    francois ferdinand.jpgSarajevo, 28 juin 1914. Alors que l'archiduc François-Ferdinand de Habsbourg-Lorraine, neveu de François-Joseph et héritier du trône d'Autriche-Hongrie, travers la ville, il est abattu à coup de pistolet ainsi que son épouse Sophie Chotek, duchesse de Hohenberg.

    L'Autriche, suspectant la Serbie voisine d'avoir commandité l'assassinat, lui pose un ultimatum qu'elle refuse. Par le jeu successif des alliances, la Première Guerre mondiale éclate un mois plus tard.

    Cette biographie remarquée met en lumière la personnalité méconnue de François-Ferdinand d'Autriche, prince réformateur en politique et iconoclaste dans sa vie privée, descendant des dernières ducs héréditaires de Lorraine. Derrière la vie de l'homme, elle dresse le tableau d'un empire au crépuscule, écartelé entre fédéralisme impossible et réaction mortifère.

    L'auteur, Jean-Louis Thiériot, avocat et historien, est un fin connaisseur de l'Autriche.

     

    ‡ François-Ferdinand d'Autriche, Jean-Louis Thiériot, éditions Perrin, collection Tempus, 2011, 537 p. (11 €).

  • Atlas de la vie religieuse en Lorraine à l'époque moderne

    vie religieuse.jpg"Lorraine, vieille terre de catholicité". Cette formule est souvent utilisée pour présenter notre région. Si elle reflète un fait essentiel de notre histoire, elle pourrait être un peu détournée et devenir "Lorraine, vielle terre d'histoire religieuse". C'est au croisement de ces deux réalités que les auteurs de cet atlas vous invitent.

    Oeuvre d'une trentaine de contributeurs, cet ouvrage propose un panorama de trois siècles de vie religieuse, depuis la fin du XVe siècle jusqu'aux premières années de la Révolution. Période riche pendant laquelle les ville se couvrent de couvents et les campagnes de la moitié des églises paroissiales actuelles. Moment où l'art religieux atteint son apogée avec les sculptures de Ligier Richier ou les gravures de Jacques Callot. Epoque de la chasse aux sorciers, des miracles, des mystiques ou des dévots. Temps des guerres de religion, des périodes de cohabitation ou d'exil pour certaines confessions. Trois siècles denses et complexes mais fondamentaux pour comprendre le monde actuel.

    Ce livre montre comment le catholicisme s'est ancré en Lorraine grâce à l'action des évêques et des curés, mais aussi par l'action des innombrables ordres religieux. L'Eglise est alors au coeur de la vie quotidienne : elle s'occupe de la charité ou de l'éducation. Une société chrétienne se met en place avec ses rites, ses monuments ou son calendrier, à côté desquels subsistent superstitions et coutumes folkloriques. A côté de l'Eglise catholique, d'autres confessions ont pu vivre, souvent avec difficulté, que ce soient les juifs ou les protestants. Au sein même du monde catholique, différents courants se sont aussi affirmés.

    Avec des chapitres courts, de nombreux portraits et des synthèses, c'est la richesse de l'histoire religieuse lorraine qui est mise à la portée de tous. Le texte s'appuie sur plus d'une centaine de cartes et près de deux cents illustrations. Il s'enrichit d'une bibliographie de plus de 700 titres.

     

    ‡ Atlas de la vie religieuse en Lorraine à l'époque moderne, Fabienne Henryot, Laurent Jalabert, Philippe Martin (sous la dir.), éditions Serpenoise, 320 p., ill., cartes (35 €).