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  • Vers la réhabilitation de la Maison des Chapelains à Domremy-la-Pucelle (88)

    lorraine,vosges,domremy,maison des chapelains,basilique,bois chenu,fondation du patrimoineL'édification de la Maison des Chapelains a débuté en 1891, pour accueillir les pères eudistes qui venaient d'arriver au village. Trois ans plus tard, la cause de Jeanne d'Arc est introduite, première étape vers sa béatification puis sa canonisation.

    Lieu d'accueil pour les pèlerins, lieux de résidence des chapelains qui s'y succèdent et promeuvent la cause de Jeanne en faisant vivre et développer le sanctuaire, la maison est reliée à la basilique Sainte-Jeanne dArc du Bois-Chenu par une galerie. Solide construction de la fin du XIXe siècle, son style s'intègre parfaitement à celui de la basilique. À l'allure typique des grandes constructions de ce temps, elle reste un témoin de l'adaptation des formes aux besoins d'une maison de ce type.

    Le bâtiment est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.

    Aujourd'hui, cet élément incontournable du sanctuaire du Bois-Chenu a besoin de tous pour renaître, alors que les pères eudistes ont quitté le sanctuaire. Le diocèse de Saint-Dié va lui redonner vie mais des travaux sur les couvertures et façades, avant un aménagement intérieur sont nécessaires.

    Les travaux consistent en la réfection du clos et du couvert ; le montant retenu pour la souscription s'élève à 169 291 € TTC. Le coût global de la restauration est de 178 648 €.

    L'Association Diocésaine de Saint-Dié est le maître d'ouvrage du projet ; elle est soutenue financièrement par la Région Lorraine, le Conseil général des Vosges et par la DRAC Lorraine.

     

    ‡ Don possible sur http://www.fondation-patrimoine.org/fr/lorraine-15/tous-les-projets-722/detail-maison-des-chapelains-a-domremy-la-pucelle-15176

  • La guerre à coups d'hommes : la bataille des frontières de l'Est - Lorraine 1914

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    ‡ Plus d'info sur l'ouvrage ici http://guerrelorraine1914.monsite-orange.fr/index.html

  • "Danrit" : Driant écrivain

    Nancy a célébré samedi 22 février le 98ème anniversaire de la mort du colonel Driant. A cette occasion, le Souvenir Français a proposé une rétrospective sur Driant écrivain qui, rappelons-le, prit comme pseudonyme "Danrit" pour écrire ses ouvrages.

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    [source : Bibliothèque-médiathèque de Nancy]

     

    ‡ Plus d'info : http://issuu.com/stanislasbmnancy/docs/driant_livret_2014

  • Bleurville (88) : le bulletin municipal 2013 est paru

    Le dernier bulletin du mandat du maire André Granget est paru voici quelques semaines.

    bleurville-bulletin 2013.jpgLa brochure égraine les événements et manifestations qui ont marqué au cours de l'année 2013 la vie du village. Chaque association locale fait le point sur ses propres activités (Les Amis de Saint-Maur, le Comité des fêtes, la société de chasse, l'association sportive...).

    La municipalité fait également la rétrospective des différents travaux engagés avec un zoom sur la problématique des inondations qui occasionnent depuis plusieurs années des gênes importantes aux riverains du ruisseau du Gras.

    Moments de détente, histoire locale et informations sur nos arbres égayent encore les pages du bulletin municipal.

    Celui de 2014 verra une nouvelle municipalité et un nouveau premier magistrat prendre la responsabilité de la gestion de la commune. Et de son développement.

  • Expo' "La manufacture vosgienne de grandes orgues de Rambervillers"

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  • Conférence sur les fortifications Séré de Rivières en Lorraine le 7 mars

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    Le Centre d'Interprétation et de Documentation 1914-1918 propose une conférence sur le général Séré de Rivières le vendredi 7 mars à 20h00 (entrée libre).

    Luc Dumont, spécialiste de la fortification et ancien du génie, parlera du général Séré de Rivières à qui nous devons prés de 450 forts, batteries et ouvrages divers dont le forts du Parmont (Remiremont), d'Uxegney (Epinal), Viller-le-Sec (Toul) et Manonviller.

    La conférence suivante, le 4 avril à 20h00 et au même endroit, permettra de comparer ce système au système allemand.

    Le CID 14-18 se trouve à la Ménelle, commune de Pierre-Percée (54).

  • "Mémoire de Saône Lorraine sur la Grande Guerre" à Hennezel (88)

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    ‡ Exposition à découvrir du 13 avril au 31 octobre 2014

    au musée des activités anciennes et de la Résistance 

    de Hennezel-Clairey (Vosges)

    Renseignement au 03.29.07.00.80

  • Bleurville (88) : la sous-préfète aux champs

    Ss Pref St Maur.jpgMadame Marie-Claude Lambert, sous-préfète de Neufchâteau, était en visite à Bleurville le 14 février dernier.

    Elle en a profité pour découvrir l’ancienne abbaye Saint-Maur, sous la conduite de Denis Bisval, adjoint au maire et membre de l'association des Amis de Saint-Maur.

    Elle a particulièrement apprécié la crypte pré-romane ainsi que le musée de la Piété populaire qui conserve une magnifique collection de bénitiers de chevet.

    Rappelons que l'abbaye bénédictine de Bleurville fut fondée par un comte de Toul dans le deuxième quart du XIe siècle. L'abbatiale fut consacrée en 1050 par le pape Léon IX, ancien évêque de Toul. Transformé en simple prieuré au début du XIIe siècle, le monastère fut rattaché au prieuré bénédictin de Varangéville-Saint-Nicolas-de-Port en 1627. Le prieuré fut fermé en 1790 et vendu comme bien national. Son sauvetage intervint à partir de 1974 grâce à l'action de l'abbé Paul Pierrat, prêtre du diocèse de Saint-Dié.

    [cliché ©M. Bisval]

  • Les paysages de la Saône vosgienne passés au crible

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    [Vosges Matin]

  • La tante de Russie

    fischer.jpgUne journaliste lorraine exhume le passé fabuleux d'une lointaine tante, femme hors du commun, qui vécut à la cour du tsar Nicolas II, auprès de la princesse Anastasia, et côtoya Raspoutine...

    Septembre 1899. La jeune Lucie quitte sa terre lorraine pour accomplir son fabuleux destin. Ou comment une orpheline née à Saint-Dizier, à la frontière de la Champagne et de la Lorraine, devient, à Saint-Pétersbourg, l'intime de la plus haute aristocratie impériale, la gouvernante des filles du dernier tsar de Russie, les princesses Olga et Tatiana, et l'amante passionnée du chef des cosaques du Don.

    Autant d'années lumineuses juste avant le chaos, la révolte d'un peuple acculé dont elle comprend pourtant la détresse. Et ses propres drames...

    Un nouveau roman de la lorraine Elise Fischer, plein de charme et d'émotions, entre Lorraine et Sainte Russie avant la révolution bolchevique de 1917.

     

    ‡ La tante de Russie, Elise Fischer, éditions Presse de la Cité, 2014, 264 p. (20 €).

  • Vanniers Yéniches d'Alsace

    yéniches.jpgBon nombre de villageois alsaciens et lorrains se souviennent que, jusqu'au début des années 1980, ont rencontrait encore fréquemment vanniers, bohémiens, manouches et autres "camps volants", sillonner les villages ruraux proposant corbeilles, paniers et "charpagnes" de leur production, mais aussi aiguisant les couteaux ou encore récupérant les peaux de lapins, avec leur phrasé si caractéristique. Parmi ces gens du voyage, il y avait des Yéniches, des nomades blonds venus du Ried alsacien...

    Bien que faisant partie du "paysage local", ces personnages sont souvent assimilés à des Tsiganes alors que leurs origines sont toutes autres. Cette méconnaissance s'explique d'une part par l'absence d'écrits et de sources historiques - ces populations sont de tradition orale - et, d'autre part, par la disparition progressive des métiers traditionnels.

    Cet ouvrage, fruit de nombreuses années de recherches, est un voyage "au pays des Yéniches" auquel le lecteur est invité à la rencontre de personnes qui rappelleront forcément des portraits d'hommes et de femmes rencontrés à un moment de son existence, dont il pourra découvrir, au-delà de l'absence apparente de richesses culturelles, une communauté minoritaire réellement digne d'intérêt qui marqua la vie traditionnelle de nos villages de l'Est.

    Une étude sociologique solide et originale sur un groupe humain méconnu et mystérieux.

     

    ‡ Vanniers (Yéniches) d'Alsace, Rémy Welschinger, éditions L'Harmattan, 2013, 293 p., ill. (29 €).

  • Edouard de Castelnau, l'artisan de la victoire

    Castelnau.jpgSaint-cyrien et combattant de 1870, le général de Castelnau fut l'une des grandes figures de l'armée française de la Belle Epoque, autant par son implication dans les grands débats de son temps que pour son rôle dans l'élaboration du plan XVII et la préparation de l'armée à la guerre.

    En 1914, il conduisit l'offensive de sa IIe armée en Lorraine et sut rétablir la situation après la sévère défaite du 20 août devant Morhange. Dès lors, "le sauveur de Nancy" s'affirma comme l'un des généraux les plus capables, notamment lors de la bataille du Grand Couronné entre le 4 et le 13 septembre 1914.

    Lorsqu'il fut appelé au GQG auprès de Joffre, il joua encore un rôle prépondérant dans la réaction à l'attaque sur Verdun. Toutefois, la portée réelle de son action reste méconnue, voire minimisée. Bien qu'il ait été l'un des principaux artisans de la victoire, il fut écarté du maréchalat après guerre, avant de s'engager dans un nouveau combat, politique, social et confessionnel, avec la Fédération nationale catholique qu'il crée en 1924 en réponse à la politique jugée antireligieuse du Cartel des gauches.

     

     ‡ Edouard de Castelnau (1851-1944). L'artisan de la victoire, Jean-Paul Huet, éditions Anovi, 2013, 128 p., ill. (7,50 €).

  • Saône vosgienne : l'amicale des AFN a 50 ans

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    [Vosges Matin]

  • Ce qu'annonce le chant du coq...

    chant coq.jpgDans la mouvance de La Manif' pour Tous - vaste mouvement de contestation de la remise au cause des fondements de la société -, cet ouvrage démontre que nous sommes à la veille d'une grande aurore métaphysique qui, d'ores et déjà, devrait nous emplir le coeur d'une immense et joyeuse espérance.

    La machine politique était bien huilée. Tout était en place pour faire changer la France de civilisation sans que l'on s'en aperçoive... Mais un grain de sable s'est glissé dan les rouages. De toutes les provinces, le pays s'est levé en masse pour rejoindre Paris par trois fois, entre le 13 janvier et le 26 mai 2013, et nous étions - quoi qu'en aient dit les chiffres officiels - autour d'un million chaque fois ! Mobilisation incroyable, inattendue, révélatrice d'une force vive qui couvait malgré les mensonges des médias aux ordres du pouvoir.

    La France silencieuse, la France profonde, la France qui travaille et qui paie sans rechigner, s'est bel et bien réveillée ! Et maintenant ? Comment "transformer l'essai" en action efficace pour remettre dans notre société, le mariage et l'humain à leur juste place institutionnelle et sociétale, et pour préserver l'éducation de nos enfants d'une idéologie du genre qui veut changer radicalement les paradigmes de notre civilisation ?

    Le Pape François donne la réponse : "La politique est la forme la plus haute de la charité car elle cherche le Bien Commun [...] Les laïcs ont le devoir de s'enfoncer dans la politique [...] La politique, c'est sale, mais elle est peut-être sale parce que les chrétiens ne s'y impliquent pas." (Rome, 7 juin 2013).

    Pourquoi et comment incarner notre résistance dans l'action sur le terrain, c'est-à-dire en vue du Bien Commun politique ? Ce livre tente de répondre à cette interrogation.

    A lire pour comprendre ce qui se passe actuellement dans la société française.

     

    ‡ Ce qu'annonce le chant du coq, Geneviève Esquier, éditions Rassemblement à Son Image, 2014, 192 p. (18 €).

     

  • Joffre

    joffre.jpgNi hagiographie, ni critique systématique, cette biographie complète et contextualisée permet, à partir des archives et des écrits de l'époque, de retracer la carrière du maréchal Joseph Joffre (1852-1931). Ce catalan, réputé "mou", fut l'un des chefs militaires les plus contestés de la Première Guerre mondiale.

    Apprécié comme l'un des meilleurs connaisseurs de l'armée française, métropolitaine ou coloniale, sous toutes ses facettes, ce sapeur de formation - il fut ingénieur du génie -, fut critiqué par les conservateurs lors de sa nomination comme chef d'état-major général en 1911 (ses accointances avec la franc-maçonnerie lui furent reprochées, même s'il prit ses distances avec le Grand Orient à la suite de sa nomination outre-mer).

    Adulé après la bataille de la Marne, même si la paternité de la victoire lui est disputée par le général Gallieni, il est de plus en plus critiqué jusqu'à être remplacé par Nivelle en 1916. Peu à peu oublié puis calomnié à partir de l'entre-deux-guerres, Joffre n'est plus qu'une image d'Epinal. Or, contrairement à ce que répètent ceux qui se contentent de colporter les idées reçues, ses décisions ont souvent été particulièrement judicieuses.

    Une personnalité du premier conflit mondial à redécouvrir à l'occasion du Centenaire de l'entrée en guerre.

     

    ‡ Joffre, Rémy Porte, éditions Perrin, 2014, 427 p. (23 €).

  • Saône vosgienne : un nouveau président pour le Club vosgien

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    [Vosges Matin]

  • Ville-en-Vermois (54) : des objets du culte abandonnés dans le cimetière

    chapelle-saint-hilaire.jpgEtonnante découverte, ce dimanche 16 février à Ville-en-Vermois, village proche de Saint-Nicolas-de-Port, à proximité de l’église Saint-Hilaire et du cimetière de la commune. Un couple de retraités qui allait se recueillir sur la tombe d’un proche, a trouvé plusieurs objets religieux : une quinzaine de tableaux de petits formats représentant des scènes bibliques, deux calices et un crucifix.

    « C’était posé avec précaution à l’entrée du cimetière, comme si on allait venir les reprendre », indique le maire de Ville-en-Vermois, Jean-François Guillaume, qui a été alerté par le couple de retraités et qui s’est rendu sur place. L’élu a prévenu la gendarmerie locale. L’église Saint-Hilaire, qui est à l’écart du village, a été examinée à la loupe et il s’est avéré, contrairement à ce qu’on aurait pu penser, qu’elle n’avait pas été victime d’un cambriolage. Aucune trace d’effraction. Le maire du village voisin de Lupcourt a également vérifié l’intérieur de son église paroissiale, « Cela ne vient pas non plus de l’église de Lupcourt », précise le maire de Ville-en-Vermois.

    Une enquête est donc en cours afin d'élucider ce mystère et tenter de déterminer la provenance de ces objets religieux et sacrés, probablement soustraits à un lieu de culte profané.

    [d’après ER]

  • Eté 1914, la Lorraine dans la Grande Guerre

    Visite de l'expo' présentée au Musée Lorrain "Eté 1914, Nancy et la Lorraine dans la guerre". Cette rétrospective présente le contexte de l'entrée en guerre en Lorraine et le début du conflit dans la région.

    Expo Eté 1914 Ncy et la Lorraine en guerre 006.jpgLa première section présente le contexte historique et politique entre 1870 et 1914. A la suite de la guerre de 1870 et à la défaite française, une partie du territoire lorrain est annexé au Reich et Nancy devient alors la capitale de la Lorraine française, à quelques kilomètres de la nouvelle frontière. L'exposition s'intéresse aux relations franco-allemandes et aux tensions transfrontalières.

    La deuxième section présente l'enchaînement des événements qui conduisent à l'entrée en guerre et rend palpable l'atmosphère des soldats partant à la guerre au travers d'extraits sonores, de témoignages et d'images.

    La troisième section s'attache aux premiers combats de l'été 1914 sur le sol lorrain qui constituent le baptême du feu pour de nombreux soldats. Elle présente tout particulièrement la bataille du Grand Couronné, confrontation qui permit de protéger Nancy et de permettre la victoire de la bataille de la Marne.

    La quatrième section explique la postérité de la bataille tant en Lorraine qu'en France et à l'étranger. 

    La visite s'achève sur la vision des traces matérielles et de la mémoire du début de la guerre en Lorraine sous la forme d'une expo' photographique.

    A voir jusqu'au 21 septembre 2014.

    Quelques images de l'expo'...

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    [clichés ©H&PB]

     

  • Raoul Tonnelier et l’expo’ « Eté 1914, Nancy et la Lorraine en guerre »

    raoul tonnelier,grande guerre,fanny tonnelier,nancy,lorraineFanny Tonnelier, belle fille du peintre Raoul Tonnelier (Nancy 1884 – Cunault (49) 1953) fait des recherches sur l’œuvre de son beau-père et a écrit un livre fort intéressant, « Raoul Tonnelier, une vie d’artiste », publié chez Opéra éditions.

    Fanny Tonnelier cherche à reconstituer l’œuvre de Raoul Tonnelier. Si vous en possédez, vous pouvez la contacter à l’adresse mail suivante : fanny.tonnelier@hotmail.com

    tonnelier.jpgFanny Tonnelier avait proposé au Musée Lorrain ‘la Légende de France’ de Tonnelier pour le centenaire de la guerre de 1914. Des estampes originales de Raoul Tonnelier représentant la bataille du Grand Couronné et le Kaiser vaincu devant Nancy et quelques autres encore ont également été présentées. L’une des estampes de Raoul Tonnelier a été retenue et sert de visuel pour tous les supports de l’exposition "Eté 1914, Nancy et la Lorraine en guerre".

    L’artiste lorrain revient en force un siècle après dans sa ville natale ! Sa première exposition a eu lieu en effet en 1910 à la salle Poirel : il y présentait des paysages d’Espagne et des portraits, en particulier le portrait du Comte de Landrian, propriété de Société historique et archéologique de Bourmont.

    [info’ de Christine Le Maréchal]

     

    ‡ Pour découvrir l'oeuvre picturale de Raoul Tonnelier, visitez le site dédié ici www.raoul-tonnelier.fr 

  • Pourquoi nous battons-nous ?

    guerre.jpgComment survivre à l'enfer, sous un déluge de feu et de fer ? Comment s'expliquer philosophiquement, politiquement, spirituellement, la boucherie de 1914-1918 ? Et comment demeurer un homme au sein du chaos ?

    Le vertige de la Grande Guerre nous est devenu insaisissable. Le livre d'Emmanuel Godo rend la parole à ceux qui l'ont vécu. Ce sont eux qui nous racontent leur départ au front, au nom des idéaux patriotiques ; leur épreuve du feu, du fond des tranchées ; leur quête de signification face à l'abîme entre les doctrines et les faits. Français, Allemands, Américains, Anglais, Tchèques..., se sont tous des écrivains, des intellectuels, des militants. Chacun essaie, à sa façon, de donner sens à l'insensé. Pour le socialiste Barbusse, il s'agit de faire la guerre à la guerre. Pour l'agnostique Jünger, de construire un homme nouveau. Pour les catholiques Teilhard de Chardin et Barrès, de redécouvrir le prix de la foi. Pour eux, comme pour tous les autres témoins convoqués dans cet ouvrage, il faut humaniser l'inhumanité.

    Nourri d'une riche documentation, porté par un vrai souffle, cet essai original, complet et novateur répond aux questions que nous ne cessons de nous poser un siècle après 1914.

     

    ‡ Pourquoi nous battons-nous ? 1914-1918 : les écrivains face à leur guerre, Emmanuel Godo, éditions du Cerf, 2014, 384 p. (24 €).

  • Expo' "La manufacture vosgienne de grandes orgues de Rambervillers" aux Archives départementales à Epinal

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  • Le président Albert Lebrun dévoilé

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  • Expo' "Eté 1914, Nancy et la Lorraine dans la guerre" au Musée lorrain

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  • "La théorie du genre" à l'école : ce n'est pas qu'une rumeur...

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  • Expo' "La Grande Guerre dans le Blâmontois" à Blâmont (54)

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  • Les apprentis visitent la chapelle Saint-Basle de Lignéville

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    [L'Abeille]

  • Des batailles mérovingiennes à Liffol-le-Grand (88)

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    [L'Abeille]

  • Robécourt (88) : restauration de l'église N.-D. de l'Assomption avec la Fondation du Patrimoine

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    [L'Abeille]

  • Châteaux forts et fortifications médiévales d'Alsace

    Chateaux alsace.GIFLa silhouette des châteaux forts médiévaux en ruine, en sentinelle sur la ligne des Vosges, donne au paysage alsacien son inimitable cachet romantique. Ils ne sont pas là pour le décor, mais expriment la riche histoire de la région, son passé à la fois tourmenté et brillant.

    De l'an Mil à la fin du XVIIe siècle, ce sont plusieurs centaines de châteaux forts, mais aussi de fermes et d'églises fortifiées, d'enceintes urbaines, qui ont ainsi été bâties par les seigneurs, les cités ou le clergé, dans une densité qui n'a guère d'équivalents dans l'autres régions d'Europe. Leur diversité est infinie, leur état des plus variables, en ruine ou bien réhabilités et affectés à d'autres usages. Tous témoignent d'un patrimoine prestigieux, mais aussi fragile et menacé.

    Chercheurs exigeants et homme de terrain enthousiastes, nos auteurs ont réalisé un travail de titan pour décrire plus de 550 sites répartis sur les versants lorrain, alsacien et comtois du massif vosgien.

    Richement illustrées avec 750 photos, très bien documentées, leur notices historiques et architecturales invitent à la découverte, bien au-delà de la seul région Alsace.

    Ce bel ouvrage constitue un véritable dictionnaire historico-architectural des châteaux forts et fortifications médiévales du vaste massif des Vosges.

     

    ‡ Châteaux forts et fortifications médiévales d'Alsace, Nicolas Mengus et Jean-Michel  Rudrauf, éditions La Nuée Bleue, 2013, 375 p., ill. (29 €).