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Notre histoire - Page 53

  • Les Journées du Patrimoine 2014 à Robécourt

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  • Jean Quenette, un lorrain dans le XXe siècle

    quenette.jpgDes études consacrées à la période de l'Occupation ont démontré que la Résistance ne fut pas le seul fait d'un seul et même élan patriotique répondant à l'appel du général de Gaulle.

    Alors que certains ministres du gouvernement du maréchal Pétain avaient officiellement pactisé avec l'Allemagne hitlérienne et l'Italie fasciste, un bon nombre de Français, fidèles au maréchal, ont choisi de se battre sur place contre l'occupant, y compris au sein même de l'appareil de l'Etat. Le Lorrain Jean Quenette, l'une des principales personnalités de la droite nationale d'avant-guerre, avocat, conseiller général de Meurthe-et-Moselle, député, et de 1940 à 1943, préfet régional de l'Aisne puis de Bretagne et de Bourgogne, fut un de ces "vichysto-résitants". C'est en fournissant à Londres d'importants renseignements sur les mouvements de l'armée allemande et ses bases sous-marines, en vue du débarquement allié, qu'il participa le plus activement à la Résistance.

    Devenu suspect pour ses initiatives personnelles et révoqué par le gouvernement de Laval fin 1943, il fut contraint de passer dans la clandestinité pour échapper à la Gestapo.

    En 1945, refusant pour des raisons de principe de solliciter la levée de son inéligibilité pour avoir voté les pleins pouvoir à Philippe Pétain le 10 juillet 1940, Jean Quenette abandonna la politique. Il devint alors l'un des artisans de la renaissance économique de la France durant les Trente Glorieuses.

    Catholique humaniste, il milita en faveur de l'abolition de la peine de mort.

    Inspiré par la plus légitime admiration d'une fille pour son père, mais fondé sur une scrupuleuse documentation - principalement sur les archives personnelles inédites de Jean Quenette -, ce livre brosse le portrait d'un combattant de conviction dont la vie entière fut vouée au culte de l'honneur de la patrie, de la justice et du droit.

    Au-delà d'une simple monographie politique, faisant fi des clichés et des idées reçues - notamment sur le régime de Vichy -, l'auteur, Anne-Marie Quenette, sans se faire l'avocate de son père, propose une contribution utile à l'élargissement des choix faits par les Français lors des années sombres de leur histoire. Et ce choix fut celui d'une large majorité, fidèle au maréchal Pétain - ni gaulliste, ni communiste - tout en étant farouchement opposée à l'envahisseur nazi.

     

    ‡ Jean Quenette. Un lorrain dans le XXe siècle, Anne-Marie Quenette, éditions du Quotidien, 2014, 415 p., ill. (30 €).

  • Les Journées du Patrimoine à Val-et-Châtillon

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  • Les Journées du Patrimoine au Pays de la Saône vosgienne

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    ‡ Plus d'info en téléchargeant le fichier PDF ici : JDP_Pays Saône vosgienne 2014.pdf

  • Jules Crevaux, l'explorateur de l'Amazonie

    crevaux.jpg"Tiens bon !", telle était la devise que Jules Crevaux s'était forgée au fil de ses explorations.

    Il fallait en effet une force de caractère exceptionnelle pour arpenter durant six ans le bassin septentrional de l'Amazonie. Jules Crevaux, Lorrain né à Lorquin en 1847, devenu chirurgien de la Marine, décida d'explorer ces régions où personne n'avait encore oser s'aventurer.

    Soutenu par le vosgien Jules Ferry, alors ministre de l'Instruction publique, il sillonna, dans un esprit humanitaire et scientifique, la Guyane française, puis alla jusqu'aux confins des Andes. Il parcourut ainsi 12 000 kilomètres, le plus souvent en pirogue, mais aussi à pied voire à dos de mule. Sa curiosité et son savoir protéiforme firent progresser la connaissance de ces régions lointaines tant sur le plan du naturalisme, de la géographie que de l'ethnologie. Il partagea ses découvertes en publiant dans la revue Le Tour du Monde les récits de ses explorations illustrés par Riou ou Valette.

     

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    Buste de Jules Crevaux, monument du jardin Godron à Nancy [cliché H&PB].

     

    Il mourut tragiquement, assassiné puis mangé par les indiens Tobas, sur les bords du Pilcomayo. A Paris, le Musée du Quai Branly conserve et expose une partie de ses collections.

    Il s'agit là de première biographie de Jules Crevaux.

     

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    Monument à la gloire de Jules Crevaux au jardin Godron à Nancy [cliché H&PB].

     

     

    ‡ Jules Crevaux. L'explorateur de l'Amazonie, de la Guyane aux Andes, Corinne Fenchelle-Charlot, éditions Gérard Louis, 2014, 267 p., ill. (30 €).

  • Les Journées du Patrimoine 2014 à Lignéville et Contrexéville

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  • 70ème anniversaire de la Libération de Nancy

    lorraine,nancy,libération,guerre 1939-1945,de gaulle,leclercAprès plusieurs jours de manœuvres d’encerclement de la ville, le 15 septembre 1944, les soldats de la 35e Division d’Infanterie américaine entrent dans Nancy, aidés par l’action préalable des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), des Francs Tireurs et des Partisans Français (FTP).

    Ils mettent fin à une occupation douloureuse, marquée par la barbarie allemande et le sacrifice de dizaines de Nancéiens héroïques.

    70 ans plus tard, du 12 au 15 septembre 2014, la Ville de Nancy célèbre sa liberté retrouvée et rend hommage à ses libérateurs.

    Quelques images de la libération de Nancy...

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    [clichés Centre Images Lorraine]

     

    ... Et quelques images de la reconstitution de l'entrée des Alliés dans Nancy le 15 septembre 1944 avec les associations de matériels militaires anciens...

     

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    Jean-Marie Cuny embarqué par la MP...

    [clichés H&PB]

     

  • Les Journées du Patrimoine 2014 aux Archives départementales des Vosges

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  • 70ème anniversaire du maquis de Grandrupt (Vosges)

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : consécration de l'autel de Notre-Dame-de-Lourdes le 5 octobre

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  • Patrimoine religieux vosgien

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    [Vosges Matin]

  • La Meuse défend la France

    meuse 14 18.jpgSaluons la belle initiative du Conseil général de la Meuse qui lance la publication d'une revue à l'occasion du Centenaire de la Grande Guerre.

    Le département de la Meuse, par sa place dans le premier conflit mondial, mérite de la Nation. Il a été très fortement marqué par le conflit, au point de voir sa population meurtrie par les souffrances endurées durant quatre longues années, ses terres bouleversées par l'acharnement des combats et de connaître la plus grande bataille du XXe siècle : Verdun. Verdun qui sonne encore aujourd'hui comme le symbole de la guerre à outrance et surtout comme le symbole de la paix construite dans la souffrance des hommes.

    La première édition de cette revue à destination pédagogique, doit permettre aux lecteurs de découvrir que le conflit n'est pas arrivé par hasard. Au contraire, il a été préparé en Allemagne comme en France par les politiques et les militaires. La revanche de la guerre de 1870 se préparait.

    La revue aborde l'histoire militaire et civile du département qui se militarisait et se fortifiait. Terre de garnisons : le premier numéro de cette publication rappelle que la Meuse fut une réserve de régiments, de casernes, de terrains de manœuvre... Toute une économie pour forger les hommes de la revanche.

    Bref, un état des lieux avant l'entrée dans la Grande Guerre et le terrible mois d'août 14.

     

    ‡ La Meuse défend la France. Terre de garnisons, Laurent Jalabert, éditions du Quotidien, n° 1, août 2014, 63 p., ill. (10 €).

  • Les taxis des Vosges pendant la bataille des frontières

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    [Vosges Matin]

  • Journées johanniques de Bermont les 27-28 septembre 2014

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    Jehanne d'Arc devant la chapelle Notre-Dame de Bermont [cliché ©H&PB].

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  • Dans les greniers de la Chartreuse de Bosserville

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    [ER]

  • Fontenay (88) : la mémoire du village

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    [Vosges Matin]
  • Infos lorraines

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    [Vosges Matin]

  • Nancy : hommage à un aviateur et au 26ème RI

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    [ER]

  • Il y a 100 ans, le 8 septembre 1914 : le « miracle » de la Marne

    Certains historiens parlent de l’événement militaire du 8 septembre 1914 comme d’un « miracle », toujours entre guillemets, ou du « petit miracle ». Lequel « miracle » entre guillemets ils attribuent à diverses causes, mais jamais à Celle qui seule pouvait accomplir un (vrai) miracle, et qui l’a fait : la Sainte Vierge.

    barcy.jpgLe Courrier de la Manche, le 9 janvier 1917, avait compilé plusieurs témoignages.

    « Un prêtre allemand, blessé et fait prisonnier à la bataille de la Marne, est mort dans une ambulance française où se trouvaient des religieuses. Il leur a dit : “Comme soldat, je devrais garder le silence ; comme prêtre, je crois devoir dire ce que j’ai vu. Pendant la bataille, nous étions surpris d’être refoulés car nous étions légion, comparés aux Français, et nous comptions bien arriver à Paris. Mais nous vîmes la Sainte Vierge toute habillée de blanc, avec une ceinture bleue, inclinée vers Paris… Elle nous tournait le dos et, de la main droite, semblait nous repousser.” »

    Un officier allemand : « Si j'étais sur le front, je serais fusillé, car défense a été faite de raconter, sous peine de mort ce que je vais vous dire : vous avez été étonnés de notre recul si subit quand nous sommes arrivés aux portes de Paris. Nous n'avons pas pu aller plus loin, une Vierge se tenait devant nous, les bras étendus, nous poussant chaque fois que nous avions l'ordre d'avancer. Pendant plusieurs jours nous ne savions pas si c'était une de vos saintes nationales, Geneviève ou Jeanne d'Arc. Après, nous avons compris que c'était la Sainte Vierge qui nous clouait sur place. Le 8 septembre, Elle nous repoussa avec tant de force, que tous, comme un seul homme, nous nous sommes enfuis. Ce que je vous dis, vous l'entendrez sans doute redire plus tard, car nous sommes peut-être 100.000 hommes qui l'avons vue. »

    Deux officiers allemands blessés sont accompagnés par une infirmière. Entrés à l’hôpital, ils aperçoivent une statue de la Vierge de Lourdes et l’un d’eux s’écrie : « Die Frau von der Marne ! » (Oh ! La Vierge de la Marne !).Son compagnon lui désigna l’infirmière afin qu’il se taise car elle les écoutait. Elle tenta vainement de les faire parler.

    Une religieuse qui soignait des blessés à Issy-les-Moulineaux :

    marne,bataille,vierge marie,miracle« C’était après la bataille de la Marne. Parmi les blessés soignés à l’ambulance d’Issy, se trouvait un Allemand très grièvement atteint et jugé perdu. Grâce aux soins qui lui furent prodigués, il vécut encore plus d’un mois. Il était catholique et témoignait de grands sentiments de foi. Les infirmiers étaient tous prêtres. Il reçut les secours de la religion et ne savait comment témoigner sa gratitude. Il disait souvent : “Je voudrais faire quelque chose pour vous remercier.” Enfin, le jour où il reçut l’extrême-onction, il dit aux infirmiers : “Vous m’avez soigné avec beaucoup de charité, je veux faire quelque chose pour vous en vous racontant ce qui n’est pas à notre avantage mais qui vous fera plaisir. Je payerai ainsi un peu ma dette. Si j’étais sur le front, je serais fusillé car défense a été faite d’en parler. » Et il parla de cette visite de la Vierge qui épouvanta les soldats allemands et provoqua leur fuite.

    Dans une ambulance, un soldat allemand dit à la religieuse française qui le soignait :

    — Ma sœur, c’est fini, bientôt je serai mort. Je voudrais vous remercier de m’avoir si bien soigné, moi un ennemi. Alors je vais vous dire une chose qui vous fera grand plaisir. En ce moment, nous avançons beaucoup en France mais, malgré tout, à la fin c’est votre pays qui gagnera.

    — Comment le savez-vous ?

    À la bataille de la Marne, nous avons vu la Sainte Vierge nous repousser. Elle vous protège contre nous. Les officiers nous ont défendu, sous peine de mort, de parler de cette vision. Mais maintenant je suis fini. Quand je serai mort vous pourrez raconter la chose, pourvu que vous ne me nommiez pas.

    Témoignage d’un Allemand sur la bataille de l’Ourcq :

    « Pendant plusieurs jours, toute notre division a vu devant elle, dans le ciel, une Dame blanche avec une ceinture bleue flottant et un voile blanc. Elle nous tournait le dos et nous effrayait beaucoup. Le 5 septembre 1914, nous avons reçu l’ordre d’avancer et nous avons essayé de le faire : mais la Dame a paru tellement éblouissante et nous repoussait de ses deux mains de façon si terrifiante que nous nous sommes tous enfuis. »

    Témoignage d’un soldat, à Liège, après l’armistice :

    « Oh ! Dès le commencement de la guerre je savais bien qu’à la fin nous serions battus. Je peux bien vous dire ça car je sais bien que vous ne le répéterez pas à nos officiers. À la première bataille de la Marne, nous avions devant nous, dans le ciel, une Dame blanche qui nous tournait le dos et nous repoussait de ses deux mains. Malgré nous, nous étions pris de panique, nous ne pouvions plus avancer. Trois de nos divisions au moins ont vu cette apparition. C’était sûrement la Sainte Vierge !  À un moment, Elle nous a tellement épouvantés que nous nous sommes tous enfuis, les officiers comme les autres. Seulement, le lendemain ils ont défendu d’en parler sous peine de mort : si toute l’armée l’avait su, elle aurait été démoralisée. Pour nous, nous n’avions plus le cœur à nous battre puisque Dieu était contre nous. C’était sûr qu’on allait à la mort pour rien mais il fallait bien marcher quand même. Nous ne pouvions pas faire autrement. C’est dur la guerre ! »

  • Corpus Christi

    corpus christi.jpgL'Incarnation de Dieu atteint son véritable sommet d'auto-humiliation et d'auto-dépouillement dans le mystère de l'Eucharistie. Le Christ est le Dieu qui, dans la petite hostie consacrée, se donne de façon inconditionnelle aux hommes. Jésus-Eucharistie est véritablement l'Etre le plus pauvre et le plus démuni de toute l'Eglise et Il l'est tout particulièrement au moment de la distribution de la communion.

    Pendant la communion, on assiste de nos jours à un surprenant manque d'attention et de respect envers la Présence Réelle de Dieu incarné dans l'hostie consacrée. Les actes extérieurs d'adoration envers l'hostie sont souvent réduits au  strict minimum... Avec le temps, cette façon négligée de traiter l'hostie consacrée conduit à une croyance dans l'Incarnation et la transubstantiation qui n'est plus que théorique.

    L'Eucharistie est au centre de la vie de l'Eglise. Elle est donc au cœur de la crise que vit encore l'Eglise aujourd'hui. Pour soulager ce mal, il faut restaurer un culte digne de Jésus-Eucharistie dans l'hostie consacrée.

    L'auteur, Mgr Athanasius Schneider, est né en 1961 au Kirghizistan. Il est évêque auxiliaire de l'archidiocèse d'Astana, capitale du Kazakhstan. Il est président de la commission liturgique et secrétaire général de la Conférence des évêques catholiques du Kazakhstan.

     

    ‡ Corpus Christi. La communion dans la main au cœur de la crise de l'Eglise, Mgr Athanasius Schneider, éditions Contretemps - Renaissance catholique publications, 2014, 108 p. (13 €).

  • Les mystères du Vallon Saint-Martin d'Escles

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    [Vosges Matin]

  • La Grande Guerre du docteur Jean Thiéry de Contrexéville

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    [Vosges Matin]

  • Pétain

    pétain.jpgCe que l'on sait du maréchal Philippe Pétain se résume souvent à Vichy, sa rivalité avec de Gaulle, Verdun, sa condamnation à mort, sa réputation d'hommes à femmes. Voici enfin une biographie honnête et fort complète, nourrie d'éléments nouveaux, qui met en perspective la trajectoire lente mais extraordinaire d'une personnalité d'apparence mystérieuse. Pétain l'orphelin fut d'abord un jeune homme sportif, épris d'études et d'enseignement. Août 1914 changea sa destinée : en quatre ans, le colonel à la veille de la retraite devient le chef des armées françaises, tout en menant une vie amoureuse active.

    Dès lors commence un lien particulier avec les Français, qui durera jusqu'à l'été 1944, et parfois après pour ceux qui n'abandonnèrent pas son souvenir.

    A la fois politique, militaire, intellectuel, physique et psychologique, le portrait évolutif auquel aboutit l'auteur est bien différent des images d'Epinal en noir et blanc qui nous sont servies régulièrement par les médias.

    L'auteur est docteur en histoire de l'IEP de Paris. Elle a travaillé sur plusieurs biographies autour de la Seconde Guerre mondiale : Jean Moulin, le Docteur Bernard Ménétrel, médecin et secrétaire particulier de Pétain, puis Les Vichysto-résistants.

     

    ‡ Pétain, Bénédicte Vergez-Chaignon, éditions Perrin, 2014, 1040 p., ill. (29 €).

  • Villey-Saint-Etienne (54) célèbre le Centenaire de 1914

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  • L’Alsace au cœur de la bataille d’août 1870

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    La charge de Reichshoffen.

     

    Vendredi 5 septembre à 20h00 au Centre d'Interprétation et de Documentation de la Menelle à Pierre-Percée (Vosges)

    Nicolas Vignos,

    animateur de l'abri-mémoire d'Uffoltz et auteur d'un ouvrage sur ce même sujet,

    présentera une conférence :

    « L’Alsace au cœur de la bataille d’août 1870 »

     

    Qui n’a pas entendu parler de la charge des cuirassiers de Reichshoffen, des défaites de Wissembourg, de Woerth et des sièges de Strasbourg et Belfort ? Six mois de combats et de restrictions ont été nécessaires pour que l’Alsace soit prise par les armes. Nicolas Vignos, animateur de l’abri-mémoire d’Uffotz, passionné de l’histoire de 1870, nous apporte sa vision de ces événements graves de conséquences. La connaissance de cette triste période est un élément essentiel pour comprendre la période qui va conduire à la catastrophe de la Grande guerre.

    Entrée libre.

  • L'ambulance du Sacré-Coeur de Nancy : de la fleur au fusil à la grâce de Dieu

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