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La Lorraine vient de connaître un week-end consacré à son saint patron, Saint Nicolas.
Fête traditionnelle s'il en est, elle devrait être avant tout la fête des enfants, de l'innocence et de la gratuité pure. Or, nous avons, au fil des ans, de plus en plus affaire à des "Saint Nicolas" spectacles et mercantiles où le mauvais goût est trop souvent présent.
Nancy, en particulier, en donne un triste exemple. Plus de marché de Noël, mais désormais un marché de Saint Nicolas avec son cortège de boutiques attrape-nigauds et autres baraques à frites, son défilé carnavalesque, sa débauche de feux d'artifice et sa cohorte de touristes pressés... Heureusement, la ville de Saint-Nicolas-de-Port sauve la mise en conservant à cette fête traditionnelle son caractère religieux, avec la cérémonie de la grande procession.
On a même pu lire dans un quotidien régional que les libre-penseurs ne "s'attaqueront" pas à cette fête car ils estiment qu'elle n'a pas de caractère... religieux, et surtout qu'elle n'est plus catholique ! C'est vous dire que, dans l'opinion publique, la "Saint Nicolas" est devenu laïque, commerciale et banale, réduite au rang de la fête de Noël qui ne fait désormais plus les beaux jours que des commerçants !
A quand le retour d'une fête de Saint Nicolas faite de simplicité et de proximité avec les enfants ? Ce qu'elle n'aurait jamais due cesser d'être...
Le saviez-vous ? En l’église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles sont conservées des reliques du Bienheureux Charles Ier d’Autriche – ou de Habsbourg-Lorraine - béatifié en 2004 par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II.
C’est en cette même église que l’un des petits-fils du dernier empereur d’Autriche et roi de Hongrie, l’archiduc Lorenz d’Autriche-Este épousa en 1984 la princesse Astrid de Belgique.
La Lorraine conserve également des reliques du Bienheureux Charles en la basilique Saint-Epvre de Nancy et une chapellenie lui est également dédiée dans la cité ducale.
Le 29 novembre 2014, l’association nationale « SOS Tout Petits » fêtera son 28ème anniversaire. Le Rosaire pour la Vie a été instauré il y a quatre ans, un 27 novembre, jour choisi en raison de l’apparition de la Sainte Vierge à Catherine Labouré, rue du Bac à Paris, qui est à l’origine de la Médaille miraculeuse.
L'association vous invite à participer au rassemblement du Rosaire pour la Vie à
Les traditionnelles couronnes de l’Avent fabriquées par les guides Europa Scouts de Nancy seront livrées le 1er dimanche de l’Avent 30 novembre 2014 sur le parvis de l'église Marie-Immaculée, 33 avenue Général Leclerc à Nancy.
Les commandes peuvent être passées jusqu’au 19 novembre auprès de la cheftaine de groupe, Mme Géraldine Kimenau au 07.86.15.28.55 ou geraldine.kimenau@free.fr
Vente aux enchères le 5 novembre dans les murs de la congrégation de la Doctrine chrétienne, rue Saint-Dizier à Nancy.
C’est une page de l’histoire de Nancy qui se tourne. Les Sœurs de la Doctrine chrétienne déménagent et vendent une partie du mobilier de la congrégation. Non sans un pincement au cœur, car si la Congrégation des Sœurs de la Doctrine chrétienne a été fondée en 1717 à Toul, c’est en 1804 que les religieuses sont venues s’installer à Nancy, dans l’ancien couvent des Capucins. Leur mission première était l’éducation des filles pauvres. Leur fonction d’enseignement, elles l’ont assurée, sans discontinuer, jusqu’il y a deux ans. Malheureusement, si l’on comptait jusqu’à 3000 sœurs en Europe et en Algérie à la fin du XIXe siècle, elles ne sont plus que 430 aujourd’hui, et le centre de gravité s’est déplacé, puisque les communautés les plus nombreuses se trouvent désormais en Asie. À Nancy, elles sont environ 70, si l’on comptabilise celles qui dépendent de l’Institution Saint-Joseph. Dans les milliers de m² de l'ex-couvent des Capucins, elles n’étaient plus que cinq : sœurs Véronique, Viviane, Marie-Ghislaine, Malsook et Fabiola.
Les charges de chauffage et d’entretien devenaient disproportionnées. C’est donc, à regret, qu’elles ont été contraintes de vendre à la société Acapace, qui va réhabiliter les bâtiments pour en faire un foyer-résidence pour seniors de 100 logements. Les 5 sœurs ont, provisoirement, emménagé dans des appartements au-dessus de la pharmacie Saint-Nicolas, 147 bis rue Saint-Dizier, en attendant la fin des travaux de rénovation de leur nouveau lieu de vie, 40 bis rue Charles-III. Elles ont fait appel à Me Antoine Audhuy, commissaire-priseur de l’Hôtel Blandan, pour procéder à la vente aux enchères du mobilier du couvent. La vente aura lieu, sur place, le mercredi 5 novembre, à partir de 11h00. La visite s’effectuera une heure avant. Des professionnels pourraient être intéressés par le mobilier de la cuisine en inox datant de 2002. Quant aux particuliers, ils pourront acquérir des chaises, secrétaires, armoires lorraines des XVIIIe et XIXe siècles, et même un confessional qui a été estimé entre 400 et 600 €. Deux importants buffets à aubes, dont l’un contient un coffre-fort, pourraient trouver preneur autour de 100 €. Les armoires lorraines se négocieront entre 150 et 300 €. Deux œuvres d’art devraient intéresser les amateurs : un Christ en ivoire du XVIIIe dans un encadrement en bois doré (500 à 800 €) et une huile sur toile, dans son cadre d’origine, représentant sainte Anne et Marie d’après Rubens, que le commissaire-priseur a estimée entre 1 000 et 3 000 €.
Mais le souvenir n’a pas de prix et il est certain que de nombreux Nancéiens auront à cœur d’acquérir un meuble de la congrégation, en tant que part du patrimoine de la cité et les générations de jeunes filles qui se sont succédé sur les bancs de l’institution voudront sûrement emporter une chaise ou un bureau. Sont à vendre également des objets en faïence et de la verrerie.
Jacques Muller, le "saint Nicolas" des commerçants de la Vieille Ville de Nancy, est décédé dans le dénuement. Le quartier s’est mobilisé pour lui offrir des obsèques décentes. Dernier miracle de Saint Nicolas, le patron des Lorrains !
Il aurait dû être inhumé dans le carré des indigents, alors même qu’il avait souscrit une convention d’obsèques. Mais Jacques Muller est décédé durant le délai de carence. L’assurance ne pouvait donc pas prendre en charge les prestations prévues dans le contrat. Il avait 74 ans. Les commerçants de la Vieille Ville se sont mobilisés pour collecter les fonds nécessaires. C’était un personnage sympathique, apprécié de son entourage, mais c’était un homme seul.
Il a été retrouvé à son domicile, plusieurs jours après son décès. C’est sa voisine, inquiète de ne pas le voir depuis quelques jours, qui a alerté la police. Il n’avait plus de famille, seulement de lointains cousins. Chacune des personnes qu’il côtoyait détient une partie de l’histoire de ce personnage né en Alsace où son père était, semble-t-il, officier. Lui, avait travaillé dans le milieu artistique. D’abord à Paris, où il était costumier pour le théâtre et pour le cinéma, travaillant notamment pour la Paramount. Appelé durant la Guerre d’Algérie, il en était revenu avec le paludisme et des cheveux tout blancs. Il s’était alors installé à Nancy où il avait trouvé du travail chez les frères Mauchaussée, antiquaires-décorateurs, rue de Serre. Il était devenu leur intime et, à la mort de Paul Mauchaussée, il avait hérité, avec deux autres personnes, du Domaine des Eaux-Bleues à Liverdun ; un cadeau empoisonné, puisqu’avec les dettes et les droits de succession très élevés en l’absence de tout lien de parenté, Jacques Muller s’était retrouvé dans une situation financière délicate. Mais c’était un homme d’honneur et il avait tenu à régler tout ce qu’il devait. Sur sa petite retraite, il payait, rubis sur l’ongle, son loyer. C’est pourquoi, son propriétaire, lorsqu’il a appris le décès et le mouvement de solidarité, a tenu à apporter son écot.
Il y a de très nombreuses années, Jacques Muller avait accepté d’être le saint Nicolas des commerçants de la Vieille Ville, distribuant les papillotes, avec douceur et bonhomie, début décembre. Lorsque Nathalie a contacté l’association, il n’y a pas eu un instant d’hésitation pour signer un chèque et chaque commerçant a, en plus, apporté son obole, à titre personnel. Jusqu’à l’atelier de vie de quartier, en sommeil depuis les dernières élections municipales, qui a prélevé quelques euros sur son compte. La Ville de Nancy a usé de son poids auprès des pompes funèbres pour obtenir un tarif spécial.
Le clergé nancéien s’est également mobilisé pour offrir des obsèques catholiques à un homme de foi qui assistait aux offices à la cathédrale, mais s’occupait de l’animation paroissiale à Notre-Dame-de- Lourdes. C’est en la basilique Saint-Epvre, l’église de sa paroisse, que se dérouleront ses obsèques ce mardi 21 octobre à 10h00.
A l'origine du temple protestant de Nancy, on trouve l'église des prémontrés construite à proximité de la porte Saint-Jean à partir de 1713. Les travaux seront interrompus faute de ressources financières. Ce n'est qu'en 1758 que l'architecte Claude Mique, dit "la Douceur", architecte du roi Stanislas, reprit les travaux ; l'église fut achevée par Louis Joseph Mique, fils de Claude, en 1780. Elle sera également utilisée comme annexe paroissiale de l'église Saint-Sébastien.
Cette église conventuelle s'inscrit dans la tradition baroque du XVIIIe siècle. Sa façade s'inspire de celle de l'église de Sainte-Marie-Majeure de Pont-à-Mousson, maison-mère de l'ordre prémontré en Lorraine. Elle est composée de deux ordres décorés de pilastres corinthiens et composites. Deux niches, actuellement vides, recevaient les statues de la Vierge et de Saint Joseph. Le porche d'entrée est surmonté d'un fronton circulaire où l'artiste a sculpté Saint Joseph portant l'Enfant-Jésus et sur le phylactère on peut lire Dabo tibi corona vitae (je te donnerai la couronne de vie). La façade est surmontée d'un fronton triangulaire où est représenté en son centre l'œil de la Providence environné de rayons et de nuages au milieu desquels apparaissent chérubins et séraphins. Une croix et deux vases couronnent le tout. Deux tours ovales flanquent le chœur : celle situé à sa droite abrite deux cloches.
Attribuée en 1807 à la communauté protestante de Nancy - qui comptait environ 500 fidèles -, l'église connaît d'importants travaux d'aménagement intérieur (l'orgue de 1807 est reconstruit en 1856 par Cuvillier). Les objets du culte catholique seront transférés à l'église Saint-Sébastien (maître-autel, statue de saint Joseph...). Avec la loi de Séparation des Eglises et de l'Etat, le temple devient propriété de la ville.
[source : conférence donnée le 11 octobre 2014 au temple Saint-Jean par Bénédicte Bouvet, directrice de l'Inventaire général de Lorraine]
Voici une formule originale pour découvrir le long temps du premier conflit mondial. Christian Lapointe propose un cahier constitué de "fiches anecdotes" qui est, en quelque sorte, le complément pratique de son ouvrage paru fin 2013 sur Le Grand Couronné : les combats, la victoire.
Ces fiches, organisées sous la forme d'un quotidien avec ses multiples rubriques, présentent, par petites touches, une vision globale du conflit entre le 3 août 1914 et le 11 novembre 1918. Il s'attache en particulier sur les événements qui ont marqué la Lorraine après la deuxième quinzaine de septembre 1914, tels que les attaques du Xon, du Bois le Prêtre, de Flirey et Limey, la Woëvre et Verdun, sans oublier les escarmouches et bombardements qui affectèrent la frontière d'alors, de la Seille à Blâmont jusqu'aux cols vosgiens. En parallèle, l'auteur s'attarde sur les conditions de vie des populations dans les environs de Nancy durant la Grande Guerre.
‡ Les Cahiers du Poilu : 14-18 vu du Grand Couronné, Christian Lapointe, éditions du Cercle d'histoire du Foyer rural de Laneuvelotte, 2014, 41 p., ill. (15 €).
Consécration rituelle de l'autel par Monseigneur l'évêque de Nancy et de Toul.
En ce dimanche 5 octobre 2014, Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul, primat de Lorraine, a consacré le nouvel autel de la basilique Notre-Dame de Lourdes à Nancy.
Une nombreuse assemblée, où se côtoyaient paroissiens, élus - dont le maire de Nancy - et habitants du quartier, a assisté avec ferveur à cette cérémonie célébrée selon le rite de l'Eglise catholique.
Célébration du Saint Sacrifice sur le nouvel autel.
La basilique Notre-Dame-de-Lourdes vient d’accueillir son autel en marbre. Une opération délicate et millimétrée. Consécration dimanche 5 octobre par Monseigneur l’évêque de Nancy & de Toul.
« Cet autel achève l’œuvre ! ». L’abbé Dominique Doidy suivait de près les opérations. En octobre 2013, la paroisse lançait le projet de construction d’un autel en marbre. La pièce manquante de cette basilique datant de 1908. Après réflexion, l’annonce était faite aux paroissiens en février dernier. L’autel en bois « modèle face au peuple » vivait ses derniers instants.
Devant l’édifice, le camion livrant le marbre prenait minutieusement place. Les ouvriers se mettaient à la manœuvre pour décharger notamment la table pesant près d’une tonne. Et si, dans un premier temps, il a été envisagé d’effectuer cette opération à bras d’hommes, au final, poulie et chariot ont pris le relais. Chaque étape était répétée avant de lancer le mouvement pour la mise en place. La table repose sur douze colonnes, représentant les douze tribus d'Israël ou, plus symboliquement pour la table où est célébré le Saint Sacrifice, les douze apôtres présents lors de la dernière Cène du Christ.
Financé par la paroisse grâce aux dons de ses fidèles, ce projet de 30.000 € se veut à la fois sobre et moderne. Un socle en marbre gris de Badiglio, douze colonnes en marbre rose de Bourgogne, pesant 80 kg chacune, une table en marbre blanc de Carrare et des leds au sol… L’autel s’intègre sans difficulté dans la basilique.
« On a voulu conserver l’esprit de l’édifice qui possède déjà soixante-quatre marbres différents. Il n’était pas nécessaire d’en rajouter. On est resté dans la symbolique », explique l’abbé Dominique Doidy qui devra attendre que l’évêque consacre l’autel avant de pouvoir l’utiliser pour les célébrations. « Le 5 octobre, à 15 h 30, l’autel sera consacré solennellement selon le rite de l’Eglise catholique. La basilique reste un acteur de la vie spirituelle de ce quartier », conclut l’abbé Doidy.
Parce que ce fut l'une des premières de la Grande Guerre, la bataille du Grand Couronné - ou bataille de Nancy - est aussi celle que la "grande Histoire" a tendance à oublier.
Pourtant, sur un front de 70 km, à l'est de Nancy, entre Pont-à-Mousson et Gerbéviller, c'est un carnage qui s'opéra dans l'apprentissage d'une nouvelle forme de guerre pour les deux ennemis en conflit : villages dévastés, civils massacrés ou pris en otage, soldats envoyés "au casse-pipe". Dans ce secteur de la Lorraine, le long d'une frontière subie depuis la défaite de 1870, c'est un condensé des horreurs qui vont durant quatre longues années entacher durablement la conscience de l'humanité.
Le 12 septembre 1914, jour de la retraite allemande, le théâtre des opérations évolua vers d'autres horizons. Nancy était sauvée et la victoire du Grand Couronné permit celle de la Marne. Les villages meurtris survécurent dans la résignation. L'armée française oublia de comptabiliser ses soldats tombés au champs d'honneur. Les tourments de la grande Histoire européenne étaient passés par là...
Cet ouvrage complète fort utilement le livre de Christian Lapointe paru en septembre 2013, en abordant la bataille du Grand Couronné sous l'angle militaro-géographique et en s'attachant à présenter les différents acteurs de cette bataille.
‡ La bataille du Grand Couronné. Août et septembre 1914, Philippe Bruant, éditions Gérard Louis, 2014, 141 p., ill., cartes (22 €).
Lors du mariage civil à Nancy de l'archiduc Christoph de Habsbourg-Lorraine et de l'archiduchesse Adélaïde [cliché ER].
L’archiduc Christoph, fils de l’archiduc Carl Christian de Habsbourg-Lorraine et de la princesse Marie Astrid de Luxembourg, et son épouse l’archiduchesse Adélaïde attendent leur premier enfant pour la fin de l’année.
Le couple s’est marié à Nancy le 29 décembre 2012. Le bébé sera aussi le 7ème arrière-petit-enfant du grand-duc Jean de Luxembourg.
Fermée pendant 40 ans, l'église Marie-Immaculée de Nancy (située 33 avenue Général Leclerc) est exceptionnellement ouverte au public lors des Journées européennes du Patrimoine des 20 et 21 septembre.
L'église est réaffectée au culte catholique depuis novembre 2013. Le diocèse de Nancy & de Toul l'a confié à la chapellenie Bienheureux Charles Ier de Habsbourg-Lorraine.
Alors, si vous passez par Nancy ce week-end, n'hésitez pas à aller découvrir cette église néogothique - le prototype de ces nombreux édifices qui couvriront la Lorraine au cours du second XIXe siècle - qui a conservé tout son mobilier aménagé entre 1850 et 1860.
[dépliant réalisé par l'association Saint-Brunon qui regroupe les fidèles de la chapellenie Bhx Charles de Habsbourg-Lorraine]
Après plusieurs jours de manœuvres d’encerclement de la ville, le 15 septembre 1944, les soldats de la 35e Division d’Infanterie américaine entrent dans Nancy, aidés par l’action préalable des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), des Francs Tireurs et des Partisans Français (FTP).
Ils mettent fin à une occupation douloureuse, marquée par la barbarie allemande et le sacrifice de dizaines de Nancéiens héroïques.
70 ans plus tard, du 12 au 15 septembre 2014, la Ville de Nancy célèbre sa liberté retrouvée et rend hommage à ses libérateurs.
Quelques images de la libération de Nancy...
[clichés Centre Images Lorraine]
... Et quelques images de la reconstitution de l'entrée des Alliés dans Nancy le 15 septembre 1944 avec les associations de matériels militaires anciens...
> Jeudi 11 Septembre à 20h30 Place Stanislas à Nancy : les Sentinelles reprennent du service !
>> Pour montrer notre opposition aux attaques incessantes du gouvernement envers la Famille (après le "mariage" homo", voici la GPA et la PMA),
>>> Pour montrer notre détermination à protéger les enfants face aux délires portés par Vallaud-Belkacem et Taubira sur l'identité de genre et l'indifférenciation des sexes,
>>>> Venez nombreux chaque premier jeudi de chaque mois à partir d'octobre !