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  • Rentrée des Europa-Scouts nancéiens à Laneuvelotte le 2 octobre 2015

  • Nancy : en hommage aux hommes du 26e RI

    Une cérémonie commémorative et une conférence organisées à l’initiative des membres de la Légion d’honneur.

    En hommage au sacrifice des combattants du 26e régiment d’infanterie et de la 11e division qui livrèrent les combats héroïques (dits du « Grand Couronné ») les 25 et 26 août 1914, la section 54 de la société des membres de la Légion d’honneur, présidée par le colonel Daniel Bitsch, organise une cérémonie commémorative d’envergure le vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati – Mouton Noir à Vitrimont.

    « Les hommes du 26e RI ont contribué à mettre les forces allemandes en échec. Celles-ci voulaient s’emparer de Nancy », explique le colonel Bitsch. « Elles avaient même projeté de défiler en septembre dans les rues de la cité et de remettre les clés de la ville à l’épouse de Guillaume II sur la place Stanislas. Les combattants français ont sauvé la ville, mais ont payé un lourd tribut. La bataille du Couronné a fait 40.000 morts ».

    Cette cérémonie d’envergure qui aura lieu en présence de nombreuses autorités civiles et militaires se déroulera en plusieurs étapes. Tout d’abord une évocation historique du président du comité d’entraide des membres de la Légion d’Honneur des combats du Grand Léomont, un dépôt de gerbes, la sonnerie aux morts, la minute de silence, le refrain de la Marseillaise et le traditionnel vin d’honneur.

    Le lendemain, samedi 26, une autre évocation des soldats du 26e RI donnera lieu à une conférence à partir de 10h00 dans les grands salons de l’Hôtel de Ville de Nancy. Président du Groupe Blandan et de l’amicale des anciens du 26e RI, le colonel Pierre Geoffroy évoquera le souvenir de ce régiment aujourd’hui dissous, installé au cœur de la ville depuis 1873, et plus particulièrement son action héroïque au cours de la Grande Guerre.

    Rappelons que le colonel Pierre Geoffroy est l’auteur d’un livre historique sur le 26e RI, « Qui s’y frotte s’y pique », lequel lui a valu, au moment de sa sortie, d’être distingué par l’Académie Stanislas.

     

    ‡ Cérémonie commémorative vendredi 25 septembre à partir de 16h30 à la nécropole militaire de Friscati. Conférence du colonel Pierre Geoffroy samedi 26 septembre à partir de 10h00 dans les grands salons de l’hôtel de ville de Nancy.

  • Nancy : histoire du monument commémoratif de la mort de Charles le Téméraire

    Cette croix monumentale, installée désormais dans le cloître de l’ancien couvent des Cordeliers, témoigne d’un événement parmi les plus illustres de l’histoire ducale lorraine : la bataille de Nancy qui opposa Lorrains et Bourguignons en 1477.

    Le duc de Bourgogne Charles le Téméraire est à cette époque l’un des plus puissants seigneurs d’Occident. Ses prétentions débordantes inquiètent les plus grands, du royaume de France  jusqu’au Saint Empire. Il ambitionne, notamment, la création d’un grand royaume réunissant ses possessions, depuis la  Bourgogne au sud jusqu’aux Flandres au nord. La prise de la Lorraine en 1475, le lui permet en partie. Encouragé par le roi de France, lui aussi menacé, le duc de Lorraine René II va chercher auprès des Suisses, le soutien indispensable à la reconquête de son duché. Rejoints par les Alsaciens, ils partent à l’assaut de l’envahisseur bourguignon et emportent la victoire finale le 5 janvier 1477 à Nancy. Le duché de Lorraine entre alors dans une ère d’indépendance.

    Le corps du Téméraire, retrouvé cinq jours plus tard gisant à une extrémité de l’étang Saint-Jean, est traité par son rival avec les égards dus à un prince chrétien. Peu de temps après la bataille, René II fait lever, en signe de piété et de triomphe, une croix de Lorraine à l’endroit même de son trépas. La croix à double traverse, avait été amenée d’Anjou par son grand-père René Ier. Elle était devenue le symbole de ses troupes. Au lendemain de la bataille de Nancy, elle est adoptée comme emblème de la maison ducale.

    Malgré la présence continue d’un monument depuis le XVe siècle, les différentes reprises empêchent la connaissance certaine de sa forme initiale et de l’inscription primitive. Ce monument à la colonne corinthienne néoclassique serait le quatrième, construit modestement grâce à une subvention lancée en 1821 au bord de l’étang Saint-Jean. Déplacé une première fois suite aux travaux d’urbanisme, il subsistera un temps sur la nouvelle Place de la Croix de Bourgogne construite sur l’étang désormais asséché, avant d’être finalement déposé au musée et remplacé par le monument actuel de Victor Prouvé achevé en 1933.

  • Nancy inaugure la porte Saint-Georges restaurée

    « Nous sommes réunis pour mettre à l’honneur une vieille dame dont le début de la construction a débuté en 1604 ». Françoise Hervé, adjointe nancéienne au patrimoine, dans la salle habituellement occupée par le Cercle du travail, lançait l’inauguration de la porte Saint-Georges restaurée.

    L’élue a rappelé l’histoire de ce monument qui, « sans un comité de soutien lancé par Emile Gallé rejoint par Victor Hugo, a bien failli être démolie pour laisser passer le tramway hippomobile ». Françoise Hervé a aussi souligné que ce « remarquable édifice » portait le nom du « patron de toute la chevalerie chrétienne occidentale vénéré tout particulièrement par les ducs de Lorraine ; Nancy possédant une ancienne collégiale – aujourd'hui disparue -, une rue, une église, une école dédiées au saint chevalier ».

    Puis, Armand Chapuis, président du Cercle du travail, a exprimé sa satisfaction avant de céder la parole au directeur territorial d’ErdF, à Mathieu Klein, président du Conseil départemental, à André Rossinot, président du Grand Nancy, et, pour clore le tout, à Laurent Hénart, maire de Nancy. Tous les partenaires de l’opération de restauration dont le coût s’élève à 1.489.882 € TTC, ont salué le travail accompli sous l’égide de Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques.

    Le chantier de restauration de la porte, inscrit dans le projet « Nancy Renaissance », a commencé en février 2013. Il a permis de mettre en valeur des remparts côté Est, avec le déplacement du transformateur électrique repositionné dans l’emprise de la porte Saint-Georges, avec le concours du concessionnaire ErDF. Cela a permis d’offrir une nouvelle visibilité des remparts de la ville au-devant de l’édifice et l’ouverture d’une ruelle entre l’avenue du XXe Corps et la rue Saint-Georges.

    Le chantier a également permis de restaurer les deux façades et la voûte en briques, d’aménager la cour d’accès au Cercle du travail au 1 rue Drouin, de mettre à jour les vestiges d’un mur ancien et de les intégrer au nouvel escalier d’accès aux locaux de l’association. Par ailleurs, un ascenseur a été installé pour les personnes à mobilité réduite et la terrasse intermédiaire du monument a été aménagée en un petit théâtre de plein air. Un aménagement réalisé avec l’intervention de personnes du chantier d’insertion du Grand Sauvoy.

    Le public est invité à découvrir ce week-end la porte Saint-Georges restaurée et ses aménagements, ainsi que deux expositions temporaires installées place du Colonel-Driant jusqu’au 31 décembre : « Le sauvetage de la Porte Saint-Georges » et « L’aventure du chantier ».

     

    > Samedi 19 septembre : portes ouvertes de 10 h à 19 h, et à 16 h, rétrospective 1900 avec une chorale par Gilles Provin.

    > Dimanche 20 septembre : portes ouvertes de 10 h à 19 h avec présentation des activités du Cercle du travail, visite commentée de la porte à 14 h 30, et conférence sur l’étude archéologique, l’histoire et la rénovation de la porte par Pierre-Yves Caillault et Rémy Jude.

    [source : d'après ER]

  • Nancy : les archéologues de l’Inrap ont mis au jour un pan de mur de l'ancienne fortification

    Les archéologues de l’Inrap ont mis au jour un pan de mur de l'ancienne fortification de la cité ducale sur le chantier Nancy Grand Coeur, boulevard Joffre.

    Ce n’est pas vraiment une découverte… Mais plutôt une confirmation ! Un sondage archéologique réalisé sur le chantier du nouveau quartier Nancy Grand-Coeur, boulevard Joffre, a permis aux archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives de mettre au jour un mur de l’ancienne enceinte bastionnée construite au début du XVIIe siècle sous l’impulsion de Charles III. L’énorme trou creusé sur le parking Joffre a été rebouché hier. Il avait été réalisé par un engin de chantier afin de permettre aux spécialistes d’effectuer des relevés et d’enrichir leurs connaissances sur le positionnement précis du rempart.

    « Les diagnostics sont faits en amont du chantier en lien avec l’aménageur », explique Marie Zanon, représentant la Solorem à qui la maîtrise d’œuvre du chantier Nancy Grand-Cœur a été confiée. « Cela n’entraîne pas de retard pour le chantier car, comme tous les gros aménageurs, la Solorem a intégré les sondages et fouilles archéologiques préventives dans son calendrier. Nous savons bien que nous sommes sur l’emprise des anciens bastions de la ville… »

    Alors que les entreprises termineront la pose du réseau de chauffage urbain, les archéologues réaliseront un nouveau sondage sur le chantier situé en face du building Joffre.

    En 2011, des fouilles préventives effectuées sur le chantier du Centre Prouvé avaient déjà permis de mettre au jour la partie inférieure de ce qui fut le bastion Saint-Thiébaut, le long des voies SNCF. Une découverte qui a donné l’occasion à l’Inrap d’en savoir plus sur les techniques de construction de l’époque.

    On se souvient aussi qu’en 2008, les sondages archéologiques réalisés en préalable à la requalification du site de l’ancienne imprimerie Berger-Levrault avaient mis en évidence des vestiges de la citadelle, le bastion Le Marquis, ainsi que l’ancien cimetière dit des Trois-Maisons créé au XVIIIe siècle.

    [source ER]

  • De Nancy au Camp des Romains - 1914

    En 1933, le médecin colonel Eugène Georges du 8e régiment d'artillerie de Nancy traduisait les mémoires du général allemand Ludwig von Gebsattel. Depuis 80 ans, ce tapuscrit est resté inédit malgré l'intérêt historique majeur pour la compréhension des batailles du Grand Couronné (ou bataille de Nancy) et du Saillant de Saint-Mihiel en 1914.

    Voilà enfin édité un outil important attendu par les historiens des batailles de Lorraine. La version allemande de ces évènements confirme l'âpreté des combats, l'acharnement pou remporter la victoire sur les forces françaises.

    La description précise des lieux, la présence des noms des combattants et leurs positions sur le terrain, leurs manœuvres bien préparées offrent au lecteur un autre éclairage des conflits en Lorraine au début de la Grande Guerre. Même si les Français sont cités comme étant l'ennemi dans les propos du général commandant le IIIe Corps d'armée bavarois, le lecteur est pris dans l'action et découvre que nous avons échappé de peu à un désastre le 11 septembre 1914, alors que les forces en présence prévoient chacune de leur côté la retraite... C'est la divine surprise qui fait attendre 24 heures au général de Castelnau et à ses généraux, alors que Nancy est bombardée par l'artillerie allemande, commençant leur retraite décidée par le commandement suprême.

    Une équipe d'historiens lorrains a remis le travail du médecin colonel Georges à l'honneur à l'occasion du Centenaire de la Première Guerre mondiale, en accompagnant la traduction avec des notes explicatives.

     

    ‡ De Nancy au Camps des Romains 1914, Baron Ludwig von Gebsattel, Christian Dumont et Jean-Claude L'Huillier (prés.), 2015, 259 p., ill., cartes (22 €).

  • Nancy célèbre le 71ème anniversaire de sa Libération

  • Nancy : la chapelle Don Bosco bientôt démolie

    Depuis 1947, la chapelle Don Bosco, rue Vayringe à Nancy, accueille les paroissiens de ce quartier populaire situé entre Meurthe et canal.

    Cette modeste chapelle d'après-guerre, construite à l'économie, va être démolie afin de laisser la place à un "centre de vie" paroissial polyvalent.

  • Nancy : Saint-Georges ferme ses portes

    La porte Saint-Georges, un des éléments architecturaux le mieux conservé de l'ancien rempart de la cité ducale, est en plein chantier.

    La ville fait actuellement poser des grilles sur les portes piétonnes et charretières, sur le modèle de celles qui équipent désormais la porte de la Craffe, en Vieille Ville.

    Par ailleurs, l'accès à la terrasse de la porte est également en cours d'aménagement.

  • Autoportraits. Chefs d'oeuvre de la collection du musée d'Orsay à Nancy

    Ce catalogue est édité à l'occasion de l'exposition temporaire La représentation de soi. Autoportraits dans les collections du musée d'Orsay présentée jusqu'au 31 août 2015 au musée des Beaux-Arts de Nancy.

    Exercice d'introspection, genre ancestral, l'autoportrait questionne depuis la Renaissance la vision que l'artiste a de lui-même. L'autoportrait a accompagné les grandes mutations sociales de la deuxième moitié du XIXe siècle qui fut aussi une période de bouleversements artistiques et de rejet de l'académisme.

    Moyen de définition et de redéfinitions de la mise en scène de soi, d'affirmation de la place de l'artiste dans la société, il a parfois fait office de manifeste. Il 'est également réinventé, en devenant métaphore de la personnalité du créateur, tel Courbet dans la représentation de son atelier. D'autres, comme Carpeaux, Redon, Gauguin ou Cézanne mélangent recherche picturale et introspection psychologique. Le thème de l'autoportrait s'avère par ailleurs un outil de choix pour mettre en lumière la diversité des styles et des courants présents dans les collections du musée d'Orsay.

     

    ‡ Autoportraits. La représentation de soi, collectif, éditions Flammarion, 2015, 128 p., ill. (25 €).

  • Conférence sur "Albert Lebrun, dernier président de la IIIe République" le 25 juin à Nancy

  • Nancy : colloque "Pierre à pierre - Ier s. av. JC au XVIIe s." les 5-6 novembre 2015

  • Nancy : une ordination presbytérale à la cathédrale le 21 juin

     

    Dimanche 21 juin, à 15h30, Mgr Papin ordonnera prêtre Sébastien Cano pour le diocèse de Nancy et de Toul.

    Dès 17 ans, Sébastian songe à devenir prêtre. Mais un changement de vie professionnelle chez ses parents le pousse à chercher rapidement un travail.

    C’est le début d’une longue série d’expériences. Après le lycée, Sébastian travaille dans le secteur du nettoyage industriel. Lorsque vient le moment d’entamer le service militaire, il choisit d’être objecteur de conscience. Il entre alors dans l’univers du zoo. Employé dans un parc animalier en Bretagne pour réaliser des prestations pédagogiques, il se découvre une vocation de soigneur pour les animaux.

    La vie de Sébastian prend une autre direction. Il passe son bac à 27 ans puis s’oriente vers l’informatique. Naturellement doué avec l’outil, un problème de santé lui fait tout arrêter. Après une période de remise en question, il entame alors une formation de mécanicien en aviation légère. Cette fois-ci, ce sont des problèmes familiaux qui s’interposent…

    En 2005, Il se connecte sur le site internet du diocèse de Nancy et de Toul et envoie un courriel. Après plusieurs rencontres avec des prêtres, il entre en propédeutique. Puis, l’année suivante, au séminaire de Metz. Sébastian est ordonné diacre le 15 juin 2014. Le 21 juin 2015, il sera ordonné prêtre pour le diocèse de Nancy et de Toul.

    Deo gratias !

    Prions Notre-Dame et saint Pierre Fourier pour lui et pour les vocations sacerdotales.

     

  • Nancy : les créations de Jean Prouvé flambent aux enchères

     

    Sur le marché de l’art, les créations en métal du designer nancéien valent désormais de l’or. Il y a quarante ans, elles finissaient à la benne.

    Ceux qui sont passés à côté s’en mordent les doigts. Dans la Lorraine de Jean Prouvé, les anecdotes ne manquent pas. « Il y a plus de vingt-cinq ans, j’ai eu l’occasion de pouvoir acheter une bibliothèque de la maison du Mexique de Charlotte Perriand dont le piétement et les casiers avaient été réalisés par Jean Prouvé. Ma femme m’a dit : mais qu’est-ce que tu vas bien pouvoir faire de ce bout de métal encombrant », confie un amateur d’art nancéien. Une autre se souvient des chaises Prouvé « que l’on jetait à la benne dans les années 70 ». Aujourd’hui, les meubles du designer de la cité ducale valent de l’or. L’an dernier, sa table dite « Trapèze » s’est vendue plus 1,24 million d’euros. Il y a trois semaines, un de ses bureaux « Présidence » a été acheté plus d’1,1 million d’euros à une vente aux enchères organisée par Artcurial Paris. Pour le responsable du département design de la maison de vente, Emmanuel Berard, ces deux ventes à plus d’un million d’euros ne sont pas un accident. « Le marché Prouvé est arrivé à maturité. Ces œuvres sont recherchées par de grands collectionneurs internationaux », dit-il.

    Il note surtout : « Ceux qui se les arrachent aujourd’hui ne sont pas des collectionneurs Prouvé. On est passé à un autre stade ». C’est, à l’entendre, d’abord la reconnaissance du design made in France entre les années 30 et les années 60. Le Corbusier, Charlotte Perriand, Jean Prouvé en sont les icônes et rivalisent, voire dépassent, les autres grands designers de cette période que sont les designers italiens ou scandinaves. Cette French touch a gagné ses lettres de noblesse surtout après la Seconde Guerre mondiale. Il fallait reloger les Français et vite. Le talent de Prouvé, pour ne pas dire son génie : s’inspirer des techniques de construction du bâtiment pour faire des meubles. Il suffit de regarder l’architecture d’une maison démontable Prouvé. Elle se distingue par des portants en forme de compas. Vous prenez cette armature, vous la réduisez à l’échelle d’une table et vous reconnaîtrez sa fameuse « Trapèze ». Maintenant, si le marché est ce qu’il est aujourd’hui c’est aussi grâce aux galeristes comme Patrick Seguin et François Laffanour, qui depuis une trentaine d’années mettent en valeur le travail de Jean Prouvé. Une démarche certes de passionnés mais qui est aussi intéressée. En rachetant des stocks de pièces et notamment ses fameuses chaises, dont six par exemple se sont vendues en mai pour plus de 53.000 €, les galeristes sont en mesure de satisfaire le nombre grandissant d’amateurs d’art qui rêvent de compléter leurs collections des objets du designer nancéien.

    [source : ER]

     

  • Nancy : colloque "L'ordre des Prêcheurs en Lorraine" le 12 juin

  • Fête de la Très Sainte Trinité

    Sainte Trinité ou triangle lumineux, église Saint-Pierre-aux-Liens, Bleurville, XVIIIe s. [cl. ©H&PB].

     

    Benedícta sit sancta Trínitas atque indivísa Unitas : confitébimur ei, quia fecit nobíscum misericórdiam suam.

    Dómine, Dóminus noster, quam admirábile est nomen tuum in univérsa terra !

    [introït de la messe la Très Sainte Trinité]

     

    Bénie soit la sainte Trinité et son indivisible unité : glorifions-la, parce qu’elle a fait éclater sur nous sa miséricorde.

    Seigneur notre Maître, que votre nom est admirable dans toute la terre !

  • Ily a 71 ans à Nancy : la visite du Maréchal Pétain

    Le 26 mai 1944, voici 71 ans jour pour jour, le chef de l'Etat français, le maréchal Philippe Pétain, effectuait une visite officielle à Nancy.

    La place Stanislas était noire de monde pour écouter le discours du chef de l'Etat.

  • La confrérie Saint-Fiacre de Nancy

    Chaque année, le premier samedi de septembre, la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation de Nancy offre aux fidèles émerveillés un décor coloré et parfumé : du narthex au maître-autel et dans la chapelle latérale de Saint-Fiacre, s'épanouissent une multitude de compositions florales, légumières et fruitières conçues et mises en place par les confrères de Saint-Fiacre. Ce jour-là, au cours de la messe, ils perpétuent dans la joie et la ferveur, la tradition qui se transmet depuis près de quatre siècles : la fête de leur saint patron, saint Fiacre, moine irlandais protecteur des jardiniers et maraîchers, et évangélisateur de la Brie champenoise.

    Cette brochure était attendue. En effet, cette vénérable confrérie nancéienne n'avait pas encore trouvé son historien. Elisabeth et Jean-Charles Pierron ont mené de passionnantes recherches afin de faire partager à leurs confrères jardiniers et à tous ceux qui s'intéressent à l'histoire de la Lorraine, l'histoire de cette confrérie fondée en 1644 en l'église Notre-Dame de Nancy (aujourd'hui disparue) et toujours active.

    Un recueil indispensable pour tout connaître de saint Fiacre et sa confrérie éponyme, agrémenté de nombreuses illustrations couleurs et reproductions de documents anciens. Pour que la tradition perdure pour le plus grand plaisir de nos yeux... et de nos papilles !

     

    ‡ La confrérie Saint-Fiacre de Nancy. Quatre siècles de l'histoire d'une confrérie, Elisabeth et Jean-Charles Pierron, éditions Saint-Fiacre, 2015, 80 p., ill. (19 €).

  • Nancy : des bénédictins américains à la chapelle du Sacré-Cœur

    Deux bénédictins américains, le Père Cyprien, prieur du monastère Notre-Dame de Guadalupe, et un jeune confrère, ont célébré récemment la messe à la chapelle du Sacré-Cœur de Nancy.

    Ils ont profité de leur passage en Lorraine pour effectuer notamment un pèlerinage dans les pas de Jeanne d’Arc. Leur périple les a conduit à Domremy, l’ermitage de Bermont à Greux, Art-sur-Meurthe, Lunéville, Saint-Nicolas-de-Port, Compiègne et Rouen.

    Leur monastère est installé aux Etats-Unis, dans l'Etat du Nouveau Mexique, entre le Texas et l'Arizona, à 200 km du Mexique, dans les montagnes Rocheuses, à 2500 m d'altitude.

    Le Père Cyprien a fondé le monastère il y a 24 ans et doit encore l'agrandir pour héberger ses 35 moines. Comme toute communauté bénédictine, ce monastère américain développe une spécialité : la torréfaction et la vente par correspondance de café.

    [texte et cliché : courtoisie de Ph. Marietti]

  • Mercredi des Rogations et vigile de l'Ascension

    Messe de la Vigile de l'Ascension

    en l'église Marie-Immaculée

    33 avenue Général Leclerc à Nancy

    mercredi 13 mai à 18h30

    (rite extraordinaire de l'Eglise catholique)

  • Emile Gallé et le verre

    Emile Gallé (1846-1904), artiste, industriel d'art et président de l'Ecole de Nancy, est demeuré célèbre pour son œuvre de verrier. Il a su, dans cette matière, exprimer intensément la multiplicité de ses recherches et de ses engagements.

    Riche de 458 pièces, la collection des verreries de Gallé conservée au musée de l'Ecole de Nancy est passionnante à plus d'un titre, par la quantité et la qualité des pièces, par la diversité et l'étendue des inspirations et des techniques. Elle est une référence pour appréhender l'œuvre du verrier.

    Cette collection revêt, de plus, un caractère symbolique fort : c'est l'artiste lui-même qui a choisi en 1904, les premières pièces qui la constituent. Des enrichissements successifs ont permis de réunir services de verres, objets d'art, luminaires et études situés entre 1867, date de ses premières créations personnelles, et 1904, année de sa disparition, marquée par l'aboutissement de ses expériences formelles et décoratives.

    Un bel ouvrage à parcourir pour découvrir cette remarquable collection mise en valeur dans le cadre du musée de l'Ecole de Nancy.

     

    ‡ Emile Gallé et le verre. La collection du musée de l'Ecole de Nancy, collectif, éditions Somogy, 2014, 221 p., ill. (35 €).

  • Nancy : 150e anniversaire du couronnement de la Vierge de Bonsecours

    Dans le cadre de la préparation des fêtes du 150ème anniversaire du couronnement de la Vierge de Bonsecours accordé le 3 septembre 1865 par le Bienheureux pape Pie IX sur la demande de Mgr Lavigerie, évêque de Nancy & de Toul,

    la paroisse Saint-Pierre - Notre-Dame de Bonsecours de Nancy

    propose le vendredi 22 mai 2015

    une conférence sur l'histoire du couronnement de la Vierge et les miracles obtenus à N.-D. de Bonsecours

    ainsi qu'une procession suivie de la messe

     

     

  • Nancy : inauguration d'un monument à la mémoire des victimes du Génocide arménien de 1915

    Installation du monument du souvenir du Génocide arménien de 1915 devant la basilique N.-D. de Lourdes à Nancy le 25 avril 2015 [cl. ER].

     

    Samedi 16 mai 2015 à 11h00 sur le parvis de la basilique Notre-Dame de Lourdes, avenue Général Leclerc à Nancy,

    Sous le haut patronage de M. Laurent Hénart, maire de Nancy,

    et de Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et Toul,

    inauguration d’un monument commémoratif

    à la mémoire des victimes du Génocide Arménien de 1915,

    en présence de Monseigneur Vahan Hovhannisian,

    primat du diocèse de France de l’Eglise arménienne apostolique.

  • Nancy : exposition « Trois siècles au service des enfants : de la Maison des orphelines au lycée Charles de Foucauld »

     Nancy, orphelinat de jeunes filles dite Maison des orphelines Sainte-Elisabeth, Vue d'ensemble, fin 19e siècle. Tronquart, Martine (reproduction). Conservée aux Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, cote 101 J 114) © AD54 © Région Lorraine - Inventaire général.

     

    A partir du 28 avril 2015 dans la chapelle Sainte-Elisabeth, angle rue des Tiercelins - rue Jeannot à Nancy.

    Exposition réalisée pour le tricentenaire de la Maison des orphelines par la Fondation Solidarité lorraine, avec le concours scientifique et technique du service régional de l’Inventaire général du patrimoine culturel.

    La Maison des orphelines fut fondée à Nancy en 1715 afin d’accueillir les enfants les plus démunis. Dirigée depuis le début du XIXe siècle par les Sœurs de la Doctrine chrétienne, et administrée par la Fondation Solidarité lorraine, elle abrite aujourd’hui le lycée Charles de Foucault.

    Entrée gratuite.

     

     

     

     

  • Préville, secrets de cimetière

    Grand connaisseur des généalogies des hommes et femmes célèbres de Lorraine, Daniel Da-Ponte nous propose dans son quatorzième ouvrage un parcours-découverte du cimetière de Préville, le "Père Lachaise nancéien".

    Après un aperçu sur l'origine des cimetières en Occident, la symbolique de l'art funéraire, il nous invite à pratiquer le "nécrotourisme" en développant la biographie de plus de 300 personnages inhumés dans cette nécropole nancéienne aménagée en 1842. Bon nombre d'entre eux appartiennent à des familles qui ont "fait" l'histoire de la Lorraine. Pour d'autres, l'auteur les arrache à l'oubli en les présentant dans un riche dictionnaire biographique décryptant, au passage, les représentations héraldiques des familles. Il développe ainsi une face inédite de l'histoire de Nancy et de ce vaste "champ de la mémoire" qui constitue ce grand musée architectural avec ses nombreuses chapelles funéraires.

    Cet ouvrage intéressera les curieux mais aussi les généalogistes et amateurs d'histoire régionale qui y découvriront que les défunts participent éternellement à la connaissance des vivants.

     

    ‡ Préville, secrets de cimetière, Daniel Da-Ponte, CopyBook impression, 2015, 192 p., ill. (27 €).