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  • Jubilé de l'abbé Norbert Valentin à Saint-Maurice-sur-Mortagne (Vosges)

    Le dimanche 5 octobre, s'est déroulée la fête pour l'unité de la Paroisse Notre-Dame de la Mortagne. Mais également la messe du jubilé de l'abbé Norbert Valentin.

     

    jubilé abbé valentin.jpgC’est devant une large assemblée que la messe a été dite par Monseigneur Jean-Paul Mathieu et concélébrée par sept prêtres du secteur : les abbés Norbert Valentin, Robert Marchal, Robert Cuny, Gabriel Claudon, Olivier Bourion, Jean Rivot et Georges Fresse. Mgr l’évêque avait déjà célébré le matin la messe du jubilé de l'abbé Jean Didot à Padoux. Après un petit mot d'accueil du jubilaire, l'évêque remercia le prêtre. Car celui-ci lui a donné la possibilité de venir d'une manière officielle dans la paroisse.

     

    L'abbé Valentin a eu une diversité pastorale remarquable et un ministère varié. A l'issue de cette célébration, un vin d'honneur a été offert par la paroisse. Que d'événements grands et petits, joyeux et douloureux vécus par le jubilaire depuis sa naissance, à La Bresse, en 1932, où son père était garçon boulanger et sa mère tisserande. « Très jeune, je voulais être prêtre ». C'est sur les conseils d'un prêtre qu'il entra au clergé diocésain.

     

    C'est le mercredi 13 décembre 1944, en début d'après-midi qu'il est monté dans une remorque à destination du petit séminaire de Langres. Puis ce furent les séminaires de Martigny-les-Bains, Autrey et Saint-Dié.

     

    C'est le samedi 24 mai 1958 qu'il a été ordonné prêtre par Mgr Brault. Tout en terminant son séminaire d'octobre à décembre, il a secondé l'abbé Cladidier, curé de Saint-Michel-sur-Meurthe ainsi que l'abbé Claude Mathieu qui devint vicaire à Plombières en 1959.

     

    En paroisse, il a rejoint Plombières en tant que vicaire pour Noël 1958. A la Toussaint 70, c'était le départ pour rejoindre l'équipe d'Haréville-sous-Monfort. Le nombre de prêtres diminuant, il fut retiré de cette équipe pour assurer son ministère à Vrécourt avec Sauville, Blevaincourt, Robécourt et Rozière-sur-Mouzon pour annexes durant 9 ans. C'est à ce moment que sont décédés son père en 1977 et sa mère en 1980.

     

    Puis, en 1981, il rejoint Provenchères-sur-Fave avec La Petite Fosse pour annexe, puis Lusse, six semaines plus tard et à partir de 1993, toutes les paroisses du canton. En 1996, direction Roville-aux-Chênes où il n'a pas eu de successeur…

     

    [d’après L'Est Républicain | 08.10.2008]

  • Châteaux et villes fortes du comté de Vaudémont en Lorraine médiévale

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    Depuis les travaux de Michel François consacrés à l'histoire des comtes de Vaudémont, il restait à donner une base matérielle à cette principauté. C'est chose faite avec l'ouvrage de Gérard Giuliato à travers lequel on voit se constituer le comté au détriment de deux pagi carolingiens, le Saintois et le Chaumontois. L'auteur propose une lecture attentive des constructions fortifiées au premier rang desquelles se détachent l'énigmatique tour Brunehaut — le plus ancien donjon de Lorraine — et Châtel-sur-Moselle, exceptionnel ensemble du milieu du 15ème siècle, adapté à l'artillerie à poudre. Il nous révèle aussi d'autres sites comme Bainville-aux-Miroirs, Chaligny, Deuilly, Messein, Pont-Saint-Vincent et Vézelise généralement oubliés car moins bien conservés.

     

    Accompagné de nombreuses cartes, de plans, de relevés d'architecture et d'un cédérom qui invite à une visite virtuelle des sites dans leurs moindres détails, l'ouvrage permet de comprendre l'évolution de l'architecture défensive lorraine durant cinq siècles. Cette étude fondée sur le croisement des sources écrites et des sources archéologiques montre comment un réseau de fortification peut constituer un bon reflet du pouvoir d'un prince au Moyen Âge. Les comtes de Vaudémont surent conserver la plénitude de leur droit de défense en bâtissant les châteaux et enceintes urbaines nécessaires à assurer la sécurité de leurs terres et de leurs sujets et en gardèrent un contrôle jaloux. Contrairement à d'autres princes, ils n'aliénèrent aucune de leurs possessions et empêchèrent la prolifération de maisons fortes et de toute fortification tenue par des vassaux.

     

    Ce patrimoine joua un rôle important dans l'histoire militaire de la région à la fin du Moyen Âge. En 1346, il entra dans les possessions des sires de Joinville avant d'être divisé en 1380. Châtel, Bainville et Chaligny constituèrent une nouvelle entité qui passa par mariage aux sires de Neufchâtel (Franche-Comté). Unis, les deux lignages affrontèrent le duc de Lorraine René Ier entre 1430 et 1441 avant de s'opposer en 1475-1477. Il fallut attendre 1543 pour que le domaine ancestral soit rassemblé par le duc Antoine, avec l'accord du roi de France et de l'empereur.

     

    • Châteaux et villes fortes du comté de Vaudémont en Lorraine médiévale, Gérard Guiliato, PUN, 2008, 276 p., ill., cartes, préface de Michel Bur (30 €)

  • Darney : le Soldat de 1870 va rentrer dans le rang

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    Dépose du Monument commémoratif 1870-1871 de Darney (Vosges)
    [cliché : Est Républicain]

     A la faveur de travaux de voirie, la municipalité de Darney a décidé de déplacer la statue du Soldat de 1870, situé actuellement sur le rond-point de la place Masaryk, et de lui faire reprendre sa place originelle, celle qu'elle occupait lors de son inauguration.

    Ce Monument commémoratif honore la mémoire des soldats de la commune morts lors du conflit franco-prussien de 1870-1871. C'est un élément incontournable du patrimoine urbain de Darney.

    Le Soldat et son piedestal seront désormais installés en bordure de la rue de la République, endroit où le monument avait été initialement inauguré le 14 avril 1912.

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  • Contes des Pays Lorrains

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    Savez-vous que le Petit Poucet avait jadis semé ses miettes en pays lorrain, que le bon saint Nicolas avait vécu là ses troublantes aventures, et que le preux Roland avait choisi cette contrée pour théâtre de ses combats ? Ignorez-vous encore que la fée Herqueuche avait commis ses vilenies en ces hauts lieux et qu'elle avait eu pour voisine, par-delà monts et vallées, l'ondine de la Nied à la douceur effarouchée ?

    Pas à pas, dans les empreintes laissées par Jean de l'Ours, de vaillants chevaliers, des rois, des princesses, des géants, le diable en personne ou ses complices, Roger Maudhuy a arpenté une nouvelle fois la Lorraine, sa terre de prédilection.

    Collant son oreille à la porte des chaumières, à l'écoute des anciens, il a glané ces contes de tradition orale qui firent trembler petits et grands à la veillée au coin de la cheminée.

    Les héros en sont-ils universels, ils sont ici avant tout d'humeur lorraine. Diable et saints de ces histoires ancestrales fleurent bon le terroir des Pays Lorrains !

    Contes des Pays Lorrains, Roger Maudhuy, éditions Lucien Souny, 2008, 414 p. (21 €)

  • Une cathédrale de fleurs

    La sainte Fleur a été dignement fêtée. La cathédrale de Nancy avait revêtu une parure de pétales multicolores.

    cathédrale fleurie.jpgLe nouveau bureau de la chambre syndicale des fleuristes a voulu marquer son entrée en fonction en donnant du relief à la sainte Fleur. Cette fête, célébrée à Nice depuis 1996, l'était également à Nancy, depuis 4 ou 5 ans, mais pas régulièrement. Le nouveau président, Richard Hauck, fleuriste à Vandoeuvre-les-Nancy, a souhaité donner de l'éclat à l'édition 2008 et pérenniser la manifestation.

     

    De mercredi à dimanche, 30 fleuristes ont travaillé « d'arrache-fleur » à la cathédrale pour lui offrir une somptueuse parure. Pas moins de 10.000 tiges ont été utilisées pour les compositions florales ornant la façade, la nef, le chœur, le pourtour des bénitiers. On pourra seulement s'étonner de la présence, dans le sanctuaire, de plusieurs vélos fleuris... Prévus pour une parade dans la cité, ils étaient parqués sous la protection de Notre Dame de Bonne Nouvelle. Un habit de pétales et de senteurs dessiné par Benoît Saint-Amand, venu de Mont-de-Marsan animer un stage de formation, et très apprécié des paroissiens. Ils ont aussi été impressionnés par l'élégance et la grâce des femmes-fleurs qui ont fait une entrée remarquée dans l'édifice religieux lors de la messe dominicale.

     

     

    [d’après L'Est Républicain | 06.10.2008]

  • Patrimoine de la cité ducale lorraine : en mémoire de Charles III

    La conseillère municipale de Nancy, Françoise Hervé, attire l’attention des nancéiens sur son cheval de bataille de prédilection : la défense du patrimoine.

     

    charles III de lorraine.jpgIl a été évoqué récemment le retour possible de la statue de Charles III sur la place du Marché de Nancy, devant l’église Saint-Sébastien. Selon l’élue, « Ce retour de Charles III au cœur du secteur sauvegardé constituerait un acte hautement symbolique dans la mesure où il replacerait ce personnage dans la mémoire collective des Nancéiens. » Le règne de Charles III fut grand, tant par la durée que par ses réalisations. « Ouvert sur l'Italie, on lui doit aussi la construction d'imposantes fortifications dont il reste peu de chose aujourd'hui ». La porte Saint-Nicolas, entre autres, dernier vestige situé à un jet de pierre de la rue des Fabriques « qu'on a malheureusement dépouillée de ses atouts originels ».

     

    « Depuis trente ans, ce secteur, une part majeure du patrimoine urbain de Nancy, est demeuré le parent pauvre de la politique municipale », poursuit Françoise Hervé. « Rappelons qu'il a même failli disparaître dans la foulée de la construction du quartier Saint-Sébastien. La mobilisation de quelques Nancéiens à l'époque n'a pas permis de sauver des campagnes de ravalement les décors sculptés et autres menuiseries. »

     

    Alors Françoise Hervé se met à penser que peut-être les travaux d'expertise, menés actuellement dans le cadre du plan de restauration de la Ville Neuve, pourraient conduire à une nouvelle révision de ce secteur sauvegardé. « Car il y a tant à faire ! D'abord établir un diagnostic plus précis des richesses de ce secteur. Il faut relancer la recherche universitaire. »

     

    françoise hervé.jpgUn travail de longue haleine qui devrait être conduit « en parallèle de quelques mesures d'urgence », estime Françoise Hervé comme par exemple « refermer l'ouverture béante sur le côté de la porte Saint-Nicolas, actuellement livrée aux véhicules ; remettre en valeur la place des Vosges ; redonner vie à la partie sud de la ville laissée en déshérence ; recréer quelques lieux forts en redonnant par exemple à l'hôtel de Mahuet son portail transféré au parc Olry, ou bien en reconstruisant le décor urbain de la place du Marché. Pourquoi ne pas substituer à l'architecture de ZUP actuelle des façades reconstruites dans l'esprit de l'époque de Charles III ? » Une époque faste où la ville comptait près de 200 sculpteurs...

     

     

    [d’après L'Est Républicain | 05.10.2008]

  • Messe à la mémoire des ducs de Lorraine

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    Chapelle des Cordeliers

    La messe annuelle dite à la mémoire des ducs de Lorraine et de leur famille sera célébrée le dimanche 19 octobre 2008 à 11h00 en la chapelle des Cordeliers de Nancy (à côté du Palais ducal - Musée lorrain, en Grande-Rue).

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    Lors de la messe des Ducs de Lorraine en 2006
  • Bleurville : assemblée paroissiale le 7 octobre

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    L'abbé Villaume, curé de la paroisse, et les membres du conseil paroissial, invitent tous les habitants de Bleurville, croyants pratiquants ou non et non croyants, à participer à l'assemblée paroissiale le mardi 7 octobre à 20 h 00 au presbytère de Bleurville.

    La vie de la paroisse y sera présentée. Par ailleurs, des informations seront apportées concernant la nomination d'un nouveau prêtre à la cure de Lamarche : l'abbé Clément Ayemene. Ce prêtre d'origine africaine sera l'administrateur des deux grandes paroisses du sud-ouest vosgien "Bienheureux Jean-Baptiste Menestrel" et "Notre-Dame de la Saône". Il viendra aider les abbés Febvet et Villaume dans leur ministère respectif.

    L'abbé Ayemene sera installé officiellement par Mgr Jean-Paul Mathieu, évêque de Saint-Dié, dimanche 12 octobre en l'église de Lamarche.

  • C'était la Saint Michel à Monthureux-sur-Saône

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    Lors de la messe célébrée en l'honneur de saint Michel le dimanche 5 octobre 2008
    Traditionnellement fêté le dimanche qui suit le 29 septembre, saint Michel archange, patron de l'église de Monthureux,  a été solennellement honoré lors de la messe célébrée par l'abbé Villaume, curé de la grande paroisse. Après la distribution du pain bénit, les fidèles ont partagé cordialement le verre de l'amitié dans la salle de la maison paroissiale Notre-Dame de la Saône.
    Dimanche 12 octobre, Monthureux fêtera un autre "saint" puisque la commune s'apprête à accueillir... la 40ème foire au boudin. Ce sera donc la fête du "saint" cochon !
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    Le verre de l'amitié après l'office dominical

  • Un marché de Noël et des animations au profit du Téléthon le 6 décembre à Bleurville

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    Bleurville vue générale du nord-est (chemin des Regnoncourt)

     

     

     

    A l’initiative de la municipalité, une réunion a rassemblé récemment les représentants des associations locales afin de définir un programme d’animations à l’occasion du week-end du Téléthon en décembre prochain.

     

    L’association du marché bio de Bleurville, le Comité des Fêtes, le Comité de jumelage, l’ASVS Bleurville-Monthureux, la ferme du Bignovre, l’association Gym-Détente et les Amis de Saint-Maur proposent d’organiser le 6 décembre, dans le cadre du marché bio mensuel, un marché de Noël qui accueillera de 14h à 19h divers exposants et fabricants de décorations de Noël.

     

    Par ailleurs, diverses animations destinées à recueillir des fonds pour le Téléthon seront proposées aux visiteurs : lâcher de ballons par les enfants des écoles, ballades en calèche avec saint Nicolas, vente de vin chaud, crêpes et gaufres, parcours-découverte dans les rues du village… Ces manifestations s’inscriront dans le programme du Téléthon mis en place par les associations des communes du secteur.

     

    Il est toujours possible de proposer de nouvelles animations et toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. On peut contacter Mme Myriam Didier, adjointe chargée de cette manifestation.

     

    • Prochaine réunion « marché de Noël et Téléthon » avec les responsables d’associations et toute personne intéressée samedi 8 novembre à 17h en mairie de Bleurville.
  • La foire au boudin de Monthureux-sur-Saône a 40 ans !

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    Créée en 1968 par un commerçant local, la foire au boudin de Monthureux-sur-Saône, aux confins des Vosges, de la Haute-Saône et de la Haute-Marne, attire chaque automne des centaines de badauds amateurs de bonnes affaires... et de bon boudin élaboré par les bouchers locaux !

    Découvrez son histoire sur http://membres.lycos.fr/monthureux

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    La 1ère foire au boudin vue par la presse locale (La Liberté de l'Est, octobre 1968)
  • Hommage à Albert Ronsin, historien de Saint-Dié et de l'imprimerie en Lorraine

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    Les Annales de l'Est publient un numéro spécial avec le soutien du Conseil général des Vosges, la ville de Saint-Dié-des-Vosges, de l'université de Nancy 2 et de la Société philomatique des Vosges sur Albert Ronsin décédé en 2007.

    Docteur en histoire, conservateur des bibliothèques et du musée de Saint-Dié-des-Vosges, président de la Société philomatique des Vosges, Albert Ronsin militait afin que le plus grand nombre puisse accéder à la culture. Attaché à la fois au patrimoine et au développement de la lecture publique, il sut placer les bibliothèques déodatiennes au premier rang national pour le taux de lecture par habitant.

    Enseignant, il est aussi l'auteur de nombreux articles sur le livre et l'imprimerie en Lorraine, l'histoire de Saint-Dié, le baptême de l'Amérique.

    Cet ami des Arts s'est employé à remettre en lumière les artistes vosgiens, en particulier l'écrivain déodation Yvan Goll. Quinze artistes lui rendent ici hommage par des oeuvres qui accompagnent un choix de ses articles parus dans diverses publications nationales et régionales.

    • Regards éclairés d'Albert Ronsin, Annales de l'Est, numéro spécial 2008, 264 p., ill., postface de Christian Poncelet, président du Conseil général des Vosges (23 €).
    • A commander aux Editions Dominique Guéniot - 52200 Langres.
  • Chapelle templière de Rugney (Vosges) : des précisions

    M. Cédric Moulis, ingénieur d'étude à Nancy, qui a organisé le chantier d'étudiants à Xugney sur le site de la commanderie templière de Rugney, nous apporte des précisions concernant ces travaux.

    Il nous signale n'avoir jamais réalisé de sondage lors de ce chantier. La totalité de son intervention s'est uniquement déroulée sur les élévations du bâtiment : c'est important de le faire remarquer, quand on sait qu'une demande de sondages avait été faite auprès du Service Régional de l'Archéologie et qu'elle a été refusée.

    Par ailleurs, il convient de préciser que la façade n'est pas le seul vestige du XIIe siècle, mais c'est l'ensemble de la chapelle, hormis bien sûr les réparations plus ou moins importantes selon les secteurs, qui appartient au XIIe siècle.

    Nous le remercions pour ces précisions indispensables.

  • Union franco-tchèque dans les Vosges

    Depuis 90 ans, la cité vosgienne de Darney a droit au titre de « berceau de la Tchécoslovaquie » puisque c'est ici qu'est née officiellement ce nouvel Etat européen en 1918. Or, qui dit berceau dit aussi mariage, et le musée tchécoslovaque darnéen a eu l'honneur samedi d'accueillir un jeune couple franco-tchèque en la personne de Barbora Sladka, auditeur financier à Ostrava (3ème ville tchèque forte de plus de 320.000 habitants) et son époux Paul de Villepin, contrôleur de gestion et cousin germain de Dominique de Villepin, qui a occupé de hautes responsabilités politiques comme secrétaire général de l'Elysée aux côtés du président Chirac et plus récemment premier ministre du dernier gouvernement de Jacques Chirac.

     

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    Eglise paroissiale de Regnévelle (Vosges)

     

    Si Dominique de Villepin n'a pu être présent à la cérémonie de mariage qui s’est déroulée à Regnévelle - où la famille de Villepin possède une maison -, en revanche son père a effectué le déplacement de Paris dans les Vosges pour être aux côtés du marié, son neveu.

     

    Au musée, étaient présents une quinzaine de parents et amis de la mariés venus d'Ostrava et fort surpris de fouler dans les Vosges une parcelle de terre tchécoslovaque et de découvrir la vie à Darney de leurs aïeuls (les 6.000 légionnaires qui ont combattu dans l'Est au cours de la Grande Guerre).

  • L’association « Le Phare » de Bonsecours à Nancy change de président

    phare bonsecours.jpgLe « Phare » de Bonsecours est une association qui est née il y a dix ans, grâce à l'abbé Guy Jacques, qui s'était désolé de l'état de délabrement du sanctuaire nancéien de Notre-Dame-de-Bonsecours. Lors d'une homélie dominicale, il avait appelé les bonnes volontés à se pencher sur l'avenir d'une église dont les murs et le toit avaient été restaurés mais non les décors intérieurs. L'association est née de la rencontre de l'abbé avec un professeur d'université de Nancy 2 François Pupil. Etudiants et bénévoles sont venus grossir ses rangs.

     

    L'association donne des conférences et des concerts. Elle compte plusieurs centaines d'adhérents et des donateurs généreux. Son programme de restauration : la Vierge au manteau, les tableaux latéraux, les confessionnaux. L'historique de « Phare » a été retracé par le président François Pupil lors de l'assemblée générale qui vient de se dérouler en l'église Notre-Dame-de-Bonsecours.

     

    Au cours de cette assemblée, les différents rapports ont été adoptés à l'unanimité. Benoît Paquin, le trésorier, a indiqué le versement de 30.000 € à la ville pour la participation de l'association à la restauration de l'église.

     

    François Pupil a déclaré qu'il ne pouvait plus assurer la présidence de « Phare » habitant désormais Paris, mais qu'il souhaitait rester dans l'association comme vice-président ; il a proposé la candidature d'Olivier Ageron, candidature qui a été acceptée à l'unanimité.

     

    L’abbé Jacques Bombardier, nouveau curé, a indiqué qu'il voulait faire vivre l’église de Notre-Dame-de-Bonsecours, précisant que la solennité de l'Immaculée-Conception serait célébrée le 8 décembre à 20 h30 de même que la solennité de l'Annonciation le 25 mars, la solennité de N.D.de-Bonsecours le 22 mai sans oublier une messe pour le roi Stanislas et les défunts de sa famille le 21 février à 18 h.

     

     

    [d’après L'Est Républicain | 30.09.2008]

  • Veillée avec Jean-Claude Gianadda à Monthureux-sur-Saône

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    On ne passe pas ses disques à la radio, on ne le voit pas à la télévision, cependant, ses chansons sont bien connues de ceux qui assistent aux offices religieux, du baptême aux obsèques en passant par la profession de foi ou le mariage : « Trouver dans ma vie ta présence », « Chercher avec toi Marie », « Qu'il est formidable d'aimer », etc.

     

    Le public aura l'occasion de les entendre en live puisque l’auteur-compositeur et interprète participera à une veillée en l'église Saint-Michel de Monthureux-sur-Saône lundi 6 octobre à 20 h 15.

     

    Jean-Claude Gianadda avec son idéal, sa foi, son dynamisme communicatif, a le secret de l'animation, celui des veillées de rencontre. Ce « Troubadour du Bon Dieu » sillonne la France depuis des années à la rencontre de son public et pour son plus grand bonheur.

     

    Entrée libre. Une corbeille recueillera les dons destinés pour partie à couvrir les frais et pour l'autre partie destinée à aider les plus démunis.