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La vie en Lorraine - Page 67

  • Premier musée vivant de la saison à Châtillon-sur-Saône

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    Châtillon-sur-Saône, à la jointure de trois provinces, est riche d'une histoire tiraillée entre Barrois, Lorraine et France. Que de trésors ici, que de patrimoine et de coutumes à valoriser. Que d'écrits à décrypter pour mieux comprendre comment fonctionnait le village Renaissance autrefois. Comment, aussi, le faire sortir d'un relatif oubli avec l'avantage de se situer aux confins des chemins touristiques lorrains, franc-comtois et champardennais ?

     

    La vie, la vraie vie, voilà ce qui intéresse l'association du musée portée par une poignée de bénévoles autour du maire des Thons, Robert Mougin,  qui se démène avec Saône Lorraine pour préserver ce qui peut l'être. Comme la majestueuse tour de guet du XIVe siècle victime du temps. La Maison du cordonnier et celle du berger donnent de l'assise à un musée éclectique qui s'anime cinq fois par an. Dominique Grandjean, la voisine de Passavant, qui avait enfilé pour les besoins de la cause les habits de la soubrette de Madame de Saint-Ouen, guidait les visiteurs du dimanche. « Un musée vivant est un musée qui prend de la valeur parce que l'on y fait revivre les choses, on montre les savoir-faire ! ».

    Dimanche 4 mai, on baguenaudait entre les outils du cordonnier-bottier du XIXe et les récits de l'homme de l'art, Jean-Paul Délémontey, entre les travaux d'aiguilles mirecurtiens de Françoise la dentellière piquant le « carreau ». Sylvie livrait ses secrets de lavandière : cendre et coquilles d'œufs dans le chaudron. Pendant que Georges énonçait la dictée « Jules Ferry » et distribuait le bonnet d'âne. Jacques, postier de son état, avait enfilé la tenue de l'herboriste amateur concoctant le « vinaigre des 4 voleurs », un remède contre la peste, paraît-il. Commentaire de l'aromathérapeute : « je préfère préserver la santé plutôt que soigner la maladie ». Claude, féru d'héraldique, livrait à la pointe de son épée les fruits de ses recherches sur les blasons et les ducs de Lorraine. « Si on ne fait pas vivre le milieu rural, que va-t-il devenir ? ». Robert Mougin, un homme de la terre, pose la bonne question. Sans le musée et le souffle du passé recomposé pour les visiteurs, Châtillon s'endormirait, comme tant d'autres villages et de bourgs qui ont pourtant des tas de choses à montrer. C'est le pari que renouvelle chaque année depuis 1983 les bénévoles de Saône Lorraine.

    • Prochaines journées "Musée Vivant" à Châtillon-sur-Saône les dimanches 1er juin, 13 juillet, 3 août (avec une fête Renaissance) et 7 septembre, de 14 h 30 à 18 h 00. Contactez le Grenier à sel au 03.29.07.91.78.

    [source : L'Est Républicain]

     

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  • Pèlerinage annuel de Domremy à Vaucouleurs les 17 et 18 mai 2008

    30ème anniversaire du pèlerinage organisé par
    l'association Pèlerins de Lorraine
    (1978 - 2008)
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    Tous les ans, aux environs du 13 mai, a lieu le pèlerinage de Domremy à Vaucouleurs dans les pas de la sainte de la patrie. Cette marche de 22 km rappelle le tout premier départ de Jeanne d 'Arc lorsqu'elle a été trouver le Sire de Baudricourt pour lui faire part de sa mission. Cela eut lieu en 1429 vers le moment de l'Ascension qui tombait cette année-là le 13 mai. Cette commémoration est importante dans sa signification, car sans Baudricourt et sans Vaucouleurs, la mission de Jeanne était impossible. Donc, cette année encore, après la veillée du samedi à Notre-Dame de Beauregard, hauteur qui domine le pays de Domremy, un groupe que l'on souhaite important, partira dans le petit matin depuis la maison natale de Jeanne vers la porte de France à Vaucouleurs.

    Passant par les villages et sites pittoresques de cette contrée, faisant étape à Notre-Dame de Bermont où Jeanne aimait venir prier tous les samedis, la colonne des marcheurs lancera ses chants joyeux dans le ciel. Après l'ermitage de Bermont situé dans une clairière, voilà Goussaincourt puis Montbras où l'on s'arrête un temps devant la magnifique façade Renaissance d'un imposant château, Taillancourt et enfin Champougny, l'étape attendue à mi-chemin. La messe a lieu à midi dans une curieuse église fortifiée du XIIe siècle. Le repas tiré des sacs sera pris à l'ombre d'énormes châtaigniers et proches d'une petite chapelle, très bien entretenue, qui renferme de belles statues rustiques.

    A quatorze heures, nouveau départ en chantant le chapelet, des méditations sont proposées au pied des calvaires par les responsables des différents groupes participants à ce pèlerinage.

    Voici Chalaines, puis l'on passe le pont sur la Meuse pour entrer dans Vaucouleurs en chantant haut et fort...

    L'arrivée a lieu à la porte de France, dominant la célèbre vallée des couleurs. C'est ici même que Jeanne d'Arc commença sa mission qui devait la conduire à Orléans puis à Reims pour le couronnement de Charles VII et se terminer, de façon tragique pour la raison humaine, sur le bûcher de Rouen.

    A bientôt pour notre pèlerinage joyeux dans les pas de Jeanne la bonne Lorraine !

    Jean-Marie CUNY, responsable du pèlerinage

     

    Renseignements et commande du livret du pèlerinage (5 €) :

    ASSOCIATION PELERINS DE LORRAINE - LE TREMBLOIS - 54280 LANEUVELOTTE

    Tél. : 03.83.20.67.22

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    Jeanne d'Arc (Nancy, place Lafayette), par Frémiet
  • Les maires du canton de Monthureux-sur-Saône (Vosges)

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    Nous publions ci-dessous à l'attention de nos visiteurs, originaires de la Saône Lorraine, la liste des maires des communes du canton de Monthureux-sur-Saône élus (ou réélus) en mars 2008 :

    AMEUVELLE                                           Pascal NICOLAS

    BLEURVILLE                                          André GRANGET

    CLAUDON                                             Alain ROUSSEL

    FIGNEVELLE                                          Daniel BERNARD

    GIGNEVILLE                                          Jean-Paul CHANAUX

    GODONCOURT                                      Roland FERDINAND

    MARTINVELLE                                       Bernadette DISPOT

    MONTHUREUX-SUR-SAÔNE                     Raynald MAGNIEN

    NONVILLE                                             Jean-Marie ANTOINE

    REGNEVELLE                                         Jean-Jacques BONY

    VIVIERS-LE-GRAS                                 Jean-François DURAND

  • 30ème PELERINAGE DOMREMY - VAUCOULEURS AVEC L'ASSOCIATION "PELERINS DE LORRAINE"

     

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    L'association Pèlerins de Lorraine organise pour la 30ème année son pèlerinage annuel entre Domrémy et Vaucouleurs le samedi 17 et le dimanche 18 mai 2008.

    SAMEDI 17 MAI

    19H00 : rendez-vous au bivouac sur le plateau de Notre-Dame de Beauregard, au-dessus de Maxey-sur-Meuse. Repas tiré des sacs.

    20h30 : veillée générale animée par le scouts d'Europe de la IIIème Nancy

    21h30 : complies

    22h00 : veillée des Maîtrises, commémoration historique

    24h00 : extinction des feux

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    DIMANCHE 18 MAI

    7h30 : départ du bivouac

    8h30 : rendez-vous devant la maison natale de Jeanne d'Arc, début du pèlerinage vers Greux

    9h30 : étape à Notre-Dame de Bermont, puis chemin vers Goussaincourt - Montbras - Taillancourt...

    12h00 : messe en l'église de Champougny par M. l'abbé Sébastien Dufour, aumônier des scouts d'Europe IIIème Nancy, puis repas tiré des sacs

    14h30 : départ vers Sepvigny-Vieux Astre - Châlaines - Vaucouleurs

    16h30 : arrivée à la Porte de France à Vaucouleurs, Salut au Saint-Sacrement dans la chapelle castrale

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    Eglise de Champougny (Meuse)

    Renseignements :

    Jean-Marie CUNY - Le Tremblois - 54280 LANEUVELOTTE

    Tél. : 03.83.20.67.22

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    Vaucouleurs, la Porte de France

     

  • Denier du culte... pensons-y !

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    CONTACT :
    Diocèse de Saint-Dié :
    Diocèse de Nancy & de Toul :

     

  • Photos nature en Saône vosgienne

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    RENCONTRES NATUR'IMAGES
    5 ET 6 AVRIL 2008
    MAISON DE LA NATURE ET DE LA FORÊT
     A TIGNECOURT (VOSGES, ENTRE LAMARCHE ET MONTHUREUX-SUR-SAÔNE)
    FORÊT GEREE PAR LE CONSEIL GENERAL DES VOSGES
    Rencontres photographiques, expositions et projections, stages photos et promenades photographiques avec des photographes animaliers (Fabrice Cahez, Frédéric Fève, François Nowicki...)
    Renseignement :
    Communauté de Communes du Pays de la Saône Vosgienne
    Tél. : 03.29.07.57.84

  • Une plaque en souvenir de la chanteuse Damia à Darney

    Le bourg vosgien a honoré la chanteuse par la pose d'une plaque commémorative

    ad8b68a9d714fa108a45f8d93e615bc7.jpgLe 30 janvier 1978 s'éteint dans une clinique de la banlieue parisienne, à l'âge de 89 ans, Marie-Louise Damien, plus connue sous le nom de Damia.

    Elle n'a que 18 ans, en 1907, quand Roberty, le mari de Fréhel, la remarque alors qu'elle occupe un simple rôle de figurante au Châtelet à Paris. Il lui fait suivre des cours de chant et la fait débuter, en 1910, au Petit Casino, puis à la Pépinière sous le nom de Maryse Damia.

    Remarquée par Mayol, elle est aussitôt engagée pour son Concert.

    Durant la guerre de 14-18, elle chante au front puis elle rencontre Loïe Fuller, danseuse américaine, avec qui elle part en tournée, et qui lui enseigne la science des éclairages et de la lumière mais surtout celle de la mise en scène. À son retour, le personnage de Damia est né.

    Mais pourquoi Damia à Darney ?

    Tout simplement parce que sa mère y est née et y a vécu tandis que son père étaient originaire du village voisin de Nonville. Le foyer s'installera à Paris où le père devint agent de police mais Marie-Louise Damien, même devenue la célèbre Damia, reviendra chaque année chez ses grands-parents cultivateurs darnéens. Elle chantera même à la salle des fêtes, c'est pourquoi la municipalité a voulu rendre un hommage officiel à la vedette internationale qu'elle fut et en souvenir de ses racines darnéennes.


    Dimanche 17 février, une plaque souvenir a été inaugurée par le maire de Darney devant la maison familiale, rue des Champs-Cailloux, et un récital exceptionnel a été donné dans la salle des fêtes par la chanteuse Michèle Gallino, spécialisée dans le répertoire de Damia ; occasion unique de revivre la Belle Epoque par les aînés, mais aussi les plus jeunes, et de découvrir cette grande dame qui a servi de modèle à Piaf, Gréco, et Barbara.

     
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  • Hommage au colonel Driant à Nancy

    fdf527ee3e19685f76a80888de459eb3.jpgSamedi 16 février, les associations patriotiques de la ville de Nancy et la municipalité s'associaient pour commémorer le début de la bataille de Verdun et le souvenir du sacrifice des chasseurs du colonel Driant. Après l'évocation de la mémoire de Emile Driant - le militaire, le député de Nancy et l'écrivain - des gerbes furent déposées place du Colonel-Driant, proche de la porte Saint-Georges, par le maire de Nancy, les Diables Bleus et le Souvenir Français.

    Le 20 février 1916, à la veille du déclenchement de la bataille de Verdun, le lieutenant-colonel Driant adresse ce dernier courrier à sa femme :

    « je ne t'écris que quelques lignes hâtives, car je monte là-haut, encourager tout mon monde, voir les derniersd9c0b1526690da90beb909fb0e10c9c5.jpg préparatifs ; l'ordre du général Bapst que je t'envoie, la visite de Joffre, hier, prouvent que l'heure est proche et au fond, j'éprouve une satisfaction à voir que je ne me suis pas trompé en annonçant il y a un mois ce qui arrive, par l'ordre du bataillon que je t'ai envoyé.A la grâce de Dieu ! Vois-tu, je ferai de mon mieux et je me sens très calme. J'ai toujours eu une telle chance que j'y crois encore pour cette fois.
    Leur assaut peut avoir lieu cette nuit comme il peut encore reculer de plusieurs jours. Mais il est certain. Notre bois aura ses premières tranchées prises dès les premières minutes, car ils y emploieront flammes et gaz. Nous le savons, par un prisonnier de ce matin. Mes pauvres bataillons si épargnés jusqu'ici ! Enfin, eux aussi ont eu de la chance jusqu'à présent… Qui sait ! Mais comme on se sent peu de choses à ces heures-là. »

    Le 21 février 1916 le Kronprintz déclenche une attaque brusquée des troupes allemandes sur la Meuse près de Verdun, appuyée par un formidable tir d'artillerie. Il se heurte à une résistance farouche, symbolisée par le sacrifice du colonel Driant et de son régiment de chasseurs à pied au bois des Caures, face à l'avant-garde d'une vague de 80.000 hommes. L'offensive sera finalement stoppée en juillet 1916, après les batailles acharnées de la cote 304, de la crête du Mort-Homme et des forts de Vaux et de Douaumont.

  • Hommage aux gendarmes de Neufchâteau morts en intervention

    4a85fec5527b4c776e4f25eb22766b50.jpgLe chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, accompagné de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et du ministre de la Défense Hervé Morin, est arrivé à Neufchateau ce mardi 29 janvier à 10 h 20 où il a été accueilli par le maire Jacques Drapier, le président du Conseil général des Vosges et président du Sénat Christian Poncelet, et le préfet Albert Dupuy. Le président de la République a gagné la place Carrière proche de l'église Saint-Nicolas, où une foule de 350 personnes environ, composée d'officiels, de militaires mais aussi beaucoup de néocastriens, avait pris place dans une atmosphère de ferveur recueillie. Nicolas Sarkozy a d'abord salué les familles des trois gendarmes tués. Pendant une dizaine de minutes, il a échangé des mots de sympathie et de compassion à l'égard des proches des gendarmes Boyer, Régnier, et Bienfait, membres de la communauté de gendarmerie de Neufchateau-Coussey,  morts en service dans la nuit du 24 au 25 janvier, percutés par un train sur un passage à niveau.

    Portés par six gendarmes, les cercueils des trois militaires ont été déposés au centre de la place sur un catafalque. Les 341d97776002d73de8e430af835aefce.jpgcercueils ont ensuite été recouverts d'un drapeau tricolore tandis que la fanfare de la Garde républicainne interprétait les partitions de rigueur en pareilles circonstances. Le Président Sarkozy a ensuite pris la parole : " Je sais pour y avoir été malheureusement trop souvent confronté, le lourd tribut que paie la gendarmerie, comme la police, pour assurer la sécurité à laquelle aspirent logiquement nos concitoyens " a-t-il déclaré. " Les femmes et les hommes qui la composent et qui sont ainsi marqués dans leur chair, montrent la grandeur de l'idéal de justice et de paix qu'ils défendent chaque jour par un engagement absolu et sans faille, dans un contexte difficile où le danger est présent en permanence " a poursuivi Nicolas Sarkozy. Le président a également évoqué sa lassitude. " Que les choses soient claires : ce n'est pas normal pour moi que trois hommes puissent trouver la mort par l'inconscience d'un délinquant multirécidiviste. Quel que soit l'âge du délinquant, il y a un moment où trop, c'est trop " a déclaré le président de la République, avant d'ajouter : " je n'ai pas l'intention d'assister indéfiniment à des cérémonies où je dois accompagner des policiers ou des gendarmes à leur dernière demeure. La société doit choisir de quel côté elle est. Je souhaite qu'elle soit du côté des victimes " a poursuivi le chef de l'Etat avant de promettre l'exercice d'une grande sévérité à sanctionner les délinquants multirécidivistes.  

    5d8ace40d93a9abb31907b456d207224.jpgA l'issue de son discours, Nicolas Sarkozy a décoré les cercueils des trois gendarmes de la croix de chevalier de la Légion d'honneur, décernée à titre posthume. Les militaires ont également reçu la médaille de la gendarmerie avec citation et tous les trois ont été promus. A l'issue de la cérémonie, le chef de l'Etat a rencontré les militaires de la région Nord-Est et du groupemnt de gendarmerie des Vosges avant de quitter Neufchateau.

    RIP.

    [sources : Est Républicain, clichés Présidence de la République]

  • Un vrai hiver de vosgien... et bonne année 2008 !

    6a338b43921d3920b0a61fac1a9778d4.jpgAvec Noël, la Lorraine est vraiment rentrée dans l'hiver. Gel, givre et neige... et soleil nous ont accompagnés en cette fin d'année... Qui a dit que la planète se réchauffe ? En tout cas, c'est pas encore vrai chez nous, en Lorraine ! Nos Hautes-Vosges ont accueilli avec plaisir les premiers flocons de neige pour le plus grand plaisir des vacanciers et des enfants...

    Nous profitons de ce petit bulletin météorologique lorrain pour souhaiter à tous648810db25c24b0ea0562724cdaecc3b.jpg nos visiteurs et lecteurs une bonne et heureuse année 2008.

    Et aussi " Bonne année, bonne santé et le paradis à la fin de vos jours " (comme on disait naguère chez nous en Lorraine !) à tous les Bleurvillois, à tous les Vosgiens et à tous les Lorrains !

    Et à bientôt pour une nouvelle année autour de notre patrimoine et de nos traditions !

     

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     [clichés Ville de Nancy et anonyme]

  • Samedi 5 janvier 2008, fête nationale des Lorrains à Nancy

    VENEZ FETER LA FETE NATIONALE DES LORRAINS AUTOUR DE LA CROIX DE BOURGOGNE A NANCY

    SAMEDI 5 JANVIER 2008 A 18H00

    c0b1b97625292ff85a174f0ab9f6ba54.jpgComme chaque début d'année depuis plus de 30 ans, Jean-Marie Cuny, grand défenseur des traditions lorraines, invite tous les Lorrains à venir fêter dans une ambiance sympathique la fête nationale des Lorrains le samedi 5 janvier prochain. Rendez-vous à 18h00 autour de la Croix de Bourgogne à Nancy (proche rue Jeanne-d'Arc) pour écouter la harangue de Jean-Marie Cuny et partager le vin chaud proposé par l'association Mémoire des Lorrains.

    Rappelons que la Lorraine fête ce jour-là, veille de l'Epiphanie, la victoire remportée le 5 janvier 1477 par le duc René II sur les armées du Grand Duc d'Occident, Charles le Téméraire, qui voulait s'emparer de la Lorraine afin de réunir ses états bourguignons et flamands.

    C'est lors de cette fameuse victoire que le duc de Lorraine René II proclama saint Nicolas saint patron de la Lorraine, lui attribuant la victoire remportée sur le Téméraire.

    21d9b15fd3a2b19072dffc503e05d48d.jpgLa fête des Lorrains était célébrée avec fastes jusqu'à l'avénement de Stanislas en 1737 avec une messe solennelle chantée en l'église de Notre-Dame de Bonsecours à la mémoire des victimes de la bataille de Nancy de 1477. Elle était précédée d'une procession où prenait place toutes les autorités civiles, religieuses et militaires de la cité ducale.

    Alors, à bientôt pour célébrer joyeusement la fête nationale des Lorrains samedi 5 janvier 2008 à 18h00 Place de la Croix de Bourgogne à Nancy !

  • 762ème procession en l'honneur de saint Nicolas en la basilique de Saint-Nicolas-de-Port

    Samedi 8 décembre 2007, la basilique portoise était archi-comble. Une foule fervente était venue y honorer le saint patron de la Lorraine et des enfants sages.

    6c6819f1539efc8c5dcc941324a85916.jpgIl est 20 heures. Les cloches de la basilique de Saint-Nicolas-de-Port, sanctuaire national des Lorrains, sonnent à toute volée. La foule des pèlerins s'engouffre dans les petites rues pour atteindre l'édifice. La basilique a vécu hier sa 762ème procession en l'honneur de saint Nicolas. La célébration était présidée par Mgr Pierre Raffin, évêque de Metz, et par Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy & de Toul.

    La grande basilique est remplie des pèlerins venus de partout, d'Europe et du9ffb7b3d7fa6ace1f3b3304ca2e9dcdc.jpg monde entier. De Russie, d'Ukraine, de Roumanie, de Serbie... Mais aussi des Etats-Unis, du Canada, du Mexique, de Taïwan... Et un petit groupe de San-Salvo, paroisse italienne jumelée à celle de Saint-Nicolas-de-Port. « Je suis heureux ce soir d'être pèlerin comme vous » a lancé Mgr Raffin. « Saint Nicolas est d'abord un saint de l'église d'Orient ». Son culte y était très répandu et d'inviter les fidèles à prier saint Nicolas pour hâter la réunification des Eglises orthodoxes et catholique séparées depuis 1054. Saint-Nicolas est aussi « un trait d'union reconnu depuis longtemps entre l'Orient et l'Occident ».

    303db909b858260c37f725e3b0ed8182.jpg« Saint Nicolas est devenu le patron des enfants. Ils sont les préférés de Jésus » a dit l'évêque de Metz en insistant sur l'importance de la place de l'enfant et de son éducation. Puis l'abbé Jacquot a invité à faire le geste traditionnel de la procession qui s'est perpétué à travers les siècles depuis 1245, en reconnaissance de la libération du Sire de Réchicourt après quatre années d'emprisonnement près de Gaza, en Palestine.

     Les lumières se sont alors éteintes et la basilique s'est éclairée des milliers de4653b41ed4cb456bf5c88901b0a195b2.jpg cierges des fidèles qui ont chanté des louanges à saint Nicolas pendant une heure en reprenant en choeur le traditionnel refrain :

    Saint Nicolas, ton crédit d'âge en âge a fait pleuvoir des bienfaits souverains, viens, couvre encore de ton doux patronage tes vieux amis, les enfants des Lorrains

    Totale vénération dans un océan de lumière derrière les reliques, statues et bannières de saint Nicolas 0af7b9315a680076c3848b0cb20f42cf.jpgoù avait pris place un nombreux clergé diocésain ainsi que des représentants des Eglises orthodoxes et gréco-catholique. Moment aussi d'une intense et fervente communion populaire des Lorrains autour de leur Saint Patron.

  • Saint Nicolas, Patron de la Lorraine et des enfants sages !

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    La Lorraine et ses enfants fêtent cette semaine leur saint patron, saint Nicolas. Les enfants pourront lui chanter cette ritournelle bien sympathique :
    Saint Nicolas mon bon patron,
    Apportez moi des macarons,
    Des biscuits pour les p'tites filles,
    Des macarons pour les garçons,
    Des mirabelles pour les d'moiselles,
    De beaux rubans pour les mamans,
    Du tabac pour les papas,
    Des lunettes pour les grands pères,
    Des halettes pour les grands mères,
    Un pot de fleurs pour la chère soeur,
    Un baiser pour mon petit coeur.
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  • Dernier à Dieu à Anne-Lorraine

    9551575ad3171a5b63c1a6443f811f08.jpgPlus d'un millier de personnes à l'intérieur de la cathédrale de Senlis, des centaines massées à l'extérieur : c'est devant une foule impressionnante - au sein de laquelle les ministres Christine Boutin et Eric Woerth représentaient le gouvernement - que se sont déroulées samedi 1er décembre les obsèques d'Anne-Lorraine Schmitt. Une cérémonie à l'image de cette jeune fille et de sa famille : digne, sobre, et par là même extraordinairement émouvante.

    Mais cette tragique circonstance fut aussi l'occasion de voir rassemblée une autre France que celle qu'on nous montre complaisamment, et qui n'aime d'ailleurs pas trop faire parler d'elle. Pourtant, elle existe bien, cette France-là : elle est forte, solidaire, sensible et pudique à la fois, cette France des familles d'officiers, des écoles catholiques, des troupes de scouts, des jeunes prêts à vivre au service d'un idéal qui les transcende.

    Cette France, les médias l'avaient redécouverte avec stupéfaction il y a tout juste dix ans, lorsqu'elle avait accueilli dans une explosion de joie le pape Jean Paul II aux JMJ de Paris, en août 1997. Hier, elle était rassemblée dans le chagrin, présente à Senlis ou en union de pensée, mais c'était bien la même. Avec surtout la même foi, qui arrive à lui faire tirer de ses plus grands malheurs des messages de courage et d'espérance.

    Oui, cette France-là existe encore, elle existera toujours : nous l'avoir rappelé, c'est sans doute le dernier cadeau que nous aura fait Anne-Lorraine à l'issue de son si bref passage en notre monde. Qu'elle repose en paix.

    On regrettera - et c'est un euphémisme - que la presse régionale lorraine s'est une fois de plus faite remarquer par son assourdissant silence dans cette affaire qui touche tout particulièrement notre Lorraine, puisque la famille Schmitt en est originaire. S'il s'était agit d'un assassinat perpétré dans une de nos banlieues, il n'y a pas de doute que les "journaleux" locaux s'y seraient précipités et nous auraient abreuver de commentaires insipides conformes à la pensée unique. Et, évidemment, en plaignant nos pauvres jeunes oisifs et abandonnés par la société... Pauvre France. Mais quel exemple nous a donné cette jeune fille de France. Quelle leçon de courage et d'espérance pour l'avenir.

    par Gérard Gachet

    (source : www.lesalonbeige.com)

  • Le livre gourmand tient salon à Saint-Max

    236181171830f4f45f17da86d480c1ac.jpgLe salon lorrain du livre gourmand s'est tenu à Saint-Max durant le week-end des 18-19 novembre organisé par l'association "Mémoire des Lorrains" présidé par Jean-Marie Cuny. Il s'agissait de sa première édition qui accueillait plus de trente auteurs de livres ayant pour thème les arts culinaires en Lorraine, ainsi que des exposants et des conférenciers. Philippe Bajolet et ses illustrations, Alain Barot, Odile Mélinette et ses aquarelles, Francis Perignon avec « Aujourd'hui 1900 », Jacques Rivière et ses enluminures moyenâgeuses, le Cercle Généalogique de Nancy, le club philatélique de Saint-Max, les Amis de la faïence de Lunéville-Saint-Clément et les images anciennes et modernes de saint Nicolas étaient présents pour exposer différents produits et créations dérivés du savoir-faire culinaire lorrain.

    b2202536e1b165d8b28b302e7b90d7d3.jpgAu programme aussi des démonstrations et des dégustations proposées par Jean-François Adam, de la pâtisserie Saint-Epvre de Nancy, Hervé Coche, l'apiculteur de Laneuvelotte, et Catherine Holveck de Melun et ses productions à base de coquelicots, Roland Lelièvre et son vin gris de Toul et Robert Merlette, le chocolatier de Saint-Max. Plusieurs intervenants ont animé ces deux journées : la Confrérie des Macarons et Bergamotes, Gens de Lorraine et son « Orgue de barbarie » et la Ronde lorraine. Enfin, Claude Thouvenot, Anne-Lise Henry et Alain Barot ont donné des conférences sur les habitudes alimentaires en Lorraine et sur la bergamote, une spécialité des confiseurs lorrains.

    d912717f5b9deac35424e4ed5bd973c7.jpgLes nombreux visiteurs ont pu se faire dédicacer des ouvrages sur la cuisine et la gastronomie lorraines auprès des auteurs présents : Martine Dalger, Gérard Louis,  Claude Thouvenot, Marie-Françoise Michel, Daniel Lejaille, Martine et Daniel Bontemps, Benoît Taveneaux... Par ailleurs, La Revue Lorraine Populaire était représentée par quelques collaborateurs qui ont accueilli avec plaisir les abonnés et lecteurs assidus de cette revue régionaliste. La RLP fêtera d'ailleurs son 200e numéro en février 2008 !

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    « Selon le Larousse de la gastronomie, la Lorraine est un pays de haute gourmandise », expliquait Jean-Marie Cuny lors du discours d'ouverture du salon. Avec lui ont peu affirmer que la Lorraine est riche d'un savoir-faire culinaire et gastronomique que tous les participants et visiteurs ont sympathiquement célébré lors de ce premier Salon. A l'année prochaine... peut-être...

    [Vous retrouverez toutes les images du Salon dans un prochain numéro de La Revue Lorraine Populaire]

  • Une grande exposition à Nancy sur l'histoire du verre

    TRANSPARENCES - Histoire du verre et du cristal en Lorraine

    429d308b0e03f545c5fb890f5ccc00d1.jpgL’exposition dresse le premier bilan sur l’histoire du verre et du cristal en Lorraine de l’époque antique au début du XXe siècle. Près de 300 objets prestigieux, sortis des ateliers lorrains de Baccarat, Saint-Louis, Portieux, Gallé, Daum et de nombreux musées régionaux et nationaux, évoquent ce savoir-faire et cette haute technicité à l’origine du renouveau verrier de la fin du XIXe siècle.
    La région de la Vôge est grandement concernée par cette histoire : au XIVe siècle, le duc de Lorraine autorise des verriers venus de Bohême (d'Hennezel, Thizac, Thiétry, Bisval) à installer des fours à verre en forêt de Darney et dans les forêts avoisinantes. Ce sera le début d'une période fastueuse pour la Lorraine méridionale avant la survenance des malheurs des guerres de religions puis celles du XVIIe qui ruineront l'activité verrière de la Vôge. La production du verre connaîtra un regain d'activité dans la Vôge au cours du XIXe siècle avec François Théodore Legras et la verrerie d'Hennezel-Clairey. Et surtout la verrerie de La Rochère, aux confins des Vosges et de la Haute-Saône, qui entretient ses feux depuis 1475.

    [cliché : vase bol Legras, XXe s.]

    Du 6 octobre 2007 au 7 janvier 2008
    Musée Lorrain
    64 Grande Rue – 54000 Nancy
    Tél. : 03 83 32 18 74
    www.nancy.fr

  • Un "Parvis Jean-Paul II" à Nancy

    b8c0db1bba8a822e5d40552ca04f72ee.jpgSamedi 20 octobre 2007, le Maire de Nancy, André Rossinot, et l'évêque de Nancy & Toul, Mgr Jean-Louis Papin, ont inauguré devant une foule de curieux et de fidèles, le "Parvis Jean-Paul II" au pied de la cathédrale Notre-Dame de l'Annonciation.

    Le nom s'inscrit en lettres de laiton incrustées dans le calcaire des larges dalles blanches. Ce parvis avait été foulé par le pape Jean-Paul II lors de sa visite à Nancy le 10 octobre 1988. Un homme qui aura marqué son époque et la vie de l'Eglise.

  • Alix Le Clerc à la cathédrale de Nancy

    729a1282cc5df03e5d25e92cf04eed19.jpgDimanche 14 octobre 2007, la cité ducale a connu un événement religieux exceptionnel : la translation des reliques de la Bienheureuse Alix Le Clerc à la cathédrale. Ces pieux restes étaient conservés depuis les années soixante dans la chapelle du Cour Notre-Dame à Nancy. Retour sur l’histoire de notre Bienheureuse lorraine et sur cette translation historique.

    Alix est née le 2 février 1576 à Remiremont. Menant une vie mondaine, après une maladie elle décide de changer ses habitudes de vie et de rejoindre Pierre Fourier, le nouveau curé de Mattaincourt. Une apparition de la Vierge lui fit comprendre qu’elle devait s’occuper de l’éducation des petites filles tant pauvres que riches. Aidées par Pierre Fourier, elles ouvrent à Poussay en 1598 la première école gratuite pour filles. Malgré les nombreuses difficultés, une congrégation prend forme et d’autres écoles se créent en Lorraine (Saint-Mihiel, Nancy, Pont-à-Mousson, Verdun, Bar-le-Duc, Saint-Nicolas-de-Port, Mirecourt, Epinal, La Mothe…). Le monastère Notre-Dame de Nancy est reconnu canoniquement en 1617 ; il était situé entre l’actuelle place Stanislas et la cathédrale, sur l’emplacement du lycée Jeanne-d’Arc. En 1618, Alix est élue supérieure de la communauté de ce premier monastère où elle décédera quatre ans plus tard, le 9 janvier 1622. Elle est béatifiée en 1947 à Rome par le pape Pie XII.

    Or, dans la nuit du 2 mai 1950, des étudiants, qui aménageaient une piste de danse dans une cave située sur l’emprise de l’ancien monastère Notre-Dame rue Maurice-Barrès, ont la surprise de mettre au jour, à 1,50 mètre de profondeur, un cercueil de plomb et une boîte en forme de cœur. Ils venaient de découvrir fortuitement la dépouille d’Alix Le Clerc. Les multiples campagnes de fouilles qui avaient été menées depuis le XIXème siècle étaient restées vaines. Les restes seront déposés à l’école Notre-Dame dans un reliquaire dû à l’artiste Philippe Desforges et le cercueil sera confié au musée de Remiremont.

    La cérémonie de translation des reliques fut précédée d’une évocation historique sur les lieux même du décès d’Alix Le Clerc, devant le numéro 9 de la rue Maurice-Barrès, ancienne rue de la Congrégation. Pour l’occasion, le porche avait été décoré d’une guirlande portant les blasons des villes qui accueillirent des écoles fondées par Alix.

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    Porté par quatre religieuses de la Congrégation Notre-Dame, le reliquaire fut accompagné processionnellement jusqu’au parvis de la cathédrale où Mgr Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et Toul, entouré des évêques de Belfort-Montbéliard et de Trèves, l’accueillit. La sœur supérieure générale de la Congrégation Notre-Dame lue officiellement sa demande de voir confier les reliques de la Bienheureuse Alix à la cathédrale de Nancy pour permettre un culte public. Puis, ce fut l’entrée solennelle dans la nef accompagnée par les grandes orgues, le chœur des Petits Chanteurs à la Croix de Bois et la Maîtrise de la cathédrale de Reims.

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    La messe fut suivie par plusieurs milliers de fidèles et, tout particulièrement, par les chanoinesses de Saint-Augustin venues d’Europe mais aussi d’Afrique, d’Amérique et d’Asie. A l’issue de la célébration, les reliques entourées des sœurs et du clergé furent emmenées en procession jusqu’au reliquaire conservé dans une chapelle latérale de la cathédrale : les trois coffrets furent déposés tour à tour par la supérieure générale puis par la soeur provinciale et par l’évêque de Nancy et Toul.

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     [article à paraître dans La Revue Lorraine Populaire]

  • La Vierge de Sion de nouveau au sommet de la basilique

    bc04001fffe93521099891c7f822f1e3.jpgSamedi 13 octobre en matinée, la statue de Notre-Dame de Sion, haute de 7 mètres, s'est élevée dans le brouillard pour rejoindre le sommet de la tour de la basilique. Elle avait été descendue à la suite de l'incendie qui avait endommagé le clocher de l'église en novembre 2003. La restauration de la tour a été rondement menée par des entreprises spécialisées.

    Outre la réinstallation de la statue de la Vierge, quatre nouvelles cloches ont été baptisées : elle sont dédiées au Christ, à la Vierge, à saint Michel et aux saints lorrains. Elles seront hissées dans le beffroi le 8 décembre prochain, lors de la fête de l'Immaculée-Conception.

    Bravo aux collectivités locales qui ont financé la restauration de la tour de la basilique de Sion, phare de la "colline inspirée" chère à Barrès, le chantre de la Lorraine.

  • Un nouvel établissement scolaire privé dans les Vosges

    Le collège-lycée privé hors contrat "Bienheureux Frassati" est un internat pour garçons de la 6ème à la seconde incluse avec possibilité de rester le week-end.

    Il vient d'ouvrir pour la rentrée 2007-2008 à Mandres-sur-Vair (à 5 mn de Vittel-Contrexéville).

    L'établissement propose un enseignement de qualité et un travail personnel individualisé dans un idéal de vie catholique. Le cadre naturel de l'établissement permet une activité physique intense (randonnées, VTT, courses d'orientation, ski, etc.).

    L'établissement dispense un enseignement de qualité, exigeant en terme de travail personnel. Il est accessible, tant aux enfants doués intellectuellement qu'à ceux qui ont moins de facilités. Pour atteindre cet objectif, l'enseignement et le travail personnel sont individualisés et adaptés à chacun. L'échec scolaire est combattu, la réussite n'ayant de sens que proportionnée aux talents de chacun, selon la parabole évangélique. Chacun est simplement invité à donner le meilleur de lui-même.

    Contact et renseignement :

    Patrick GIRARD, Directeur

    Collège & Lycée Bienheureux Frassati
    Château de Mandres-sur-Vair
    50, Rue Monseigneur Rodhain
    88 800 MANDRES-SUR-VAIR

    Tél. : 03 29 09 86 18
    collegefrassati@hotmail.com
    www.collegefrassati.com